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 Pour connaître la joie, il faut partager.

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MessageSujet: Pour connaître la joie, il faut partager. Pour connaître la joie, il faut partager.  EmptyDim 9 Sep - 11:22



    BRETZELBURG AVENUE, 1130 SEVENTH AVE, Demeure des Sullivan, dimanche 9 septembre, 11h15

    Depuis mon arrivée dans ce monde, il fallait l'avouer, ma vie avait drôlement changé. Que ce soit au niveau de ma famille ou mon style de vie. Même si Kiara et moi étions toujours aussi proches, je ne pouvais nier qu'il y avait quelque chose de différent, c'était comme si quelque chose s'était "casser", entre nous. Désormais il résidait une fissure, qui je l'espère, finirait vite par s'estomper. Je ne pouvais accepter de voir cette situation empirer, j'avais besoin d'être aux côtés de ma fille et de lui venir en aide, mais cette dernière repoussait ma présence. A croire que notre relation fusionnelle n'était plus qu'une histoire ancienne. J'étais bien décidée à remédier à ce problème au plus vite, avant que cela ne soit trop tard.
    Avec mon époux Simba, notre amour était toujours aussi fort, c'était justement grâce à ce soutien, que je réussissais malgré tout à rester forte et continuer à avancer dans ce monde étrange dans lequel nous avions atterri. Il avait fini par trouver un emploi et s'investissait beaucoup, oubliant sa peine et son chagrin. Son royaume lui manquait plus que tout et j'essayais par tous les moyens de l'aider. Mais cela ne remplacerait jamais notre belle Terre des Lions, ce magnifique coucher de soleil, le paysage de la savane...
    Heureusement, j'avais eu la possibilité de rencontrer beaucoup de personnes et ainsi pouvoir tisser des liens forts avec eux. Je repense notamment à la famille Bennet-Darcy, mes collègues etc... Même si la Terre des Lions me manquait énormément, je devais reconnaître que ce monde n'était pas si terrible que ça. J'arrivais doucement à m'habituer à ce mode de vie bien différent de celui dont j'avais l'habitude.

    Niveau emploi, après mainte hésitation, mon choix c'était porté sur la photographie. Etant discrète et rusée, ces qualités s'étaient révélées indispensables pour réussir à prendre en photos les animaux du zoo, aussi espiègle qu'ils pouvaient l'être. Malheureusement, le temps avait fini par fausser mon jugement et mon emploi s'était transformé en loisir. Il était temps pour moi de changer d'air et de repartir de zéro, m'essayant à un nouvel objectif. Etant toujours proche des autres et souhaitant par-dessus tous les aider, je savais qu'au plus profond que moi, les soigner et les guérir était ce dont il me fallait, c'était une évidence. Après plusieurs visites à l'hôpital Botmond, j'avais fini par postuler pour un poste de médecin. Cela faisait donc plusieurs mois que je travaillais dans cet hôpital, espérant devenir titulaire le plus rapidement possible, car il fallait l'avouer, je venais enfin de trouver ma voie. Je savais désormais que j'étais pleinement heureuse dans ce rôle et qu'il me correspondait parfaitement. Grâce à mon nouvel emploi, il m'avait été possible de venir en aide à Avalon. En effet cette dernière m'avait avoué être enceinte de Criquet, un jeune garçon récemment arrivé dans notre service, à la suite d'un accident de la route. Il avait été mon patient et j'avais également pris en charge la jeune maman, dans l'espoir de l'aider dans ce triste épisode.

    Seules les amies qui m'étaient le plus proche étaient au courant de mon désir d'avoir un second enfant. Je me souvenais encore de l'enfance de Kiara, de ma grossesse, de sa naissance, comme si c'était hier, mais au fond de moi j'avais besoin d'agrandir notre famille. Il ne se passait pas un jour sans que je ne repense à Kopa, notre premier enfant, qui avait disparu tragiquement. Personne ne savait ce qui lui était arrivé. Simba et moi avions tenté de le retrouver, mais sans résultat. Cet épisode fut le plus sombre de toute ma vie, il m'avait fallu beaucoup de temps avant d'accepter la terrible vérité et je pouvais compter sur mon époux pour me soutenir et m'aider à avancer. Dans ma poitrine se trouvait un trou béant qui ne pourrait jamais se refermer et si les miracles pouvaient exister, je ne cesserais jamais de prier pour que notre fils Kopa revienne dans notre famille.

    Aujourd'hui tout le monde était à la maison, pour Simba et moi-même il s'agissait de notre jour de repos et c'était l'une des rares occasions pour nous retrouver enfin. J'appréciais énormément ces instants, le simple fait d'être en compagnie de ma famille me remplissait de bonheur. Je tenais à eux plus que ma propre vie et les voir chaque jour me rendait heureuse. Kiara était à l'étage, dans sa chambre, surement au téléphone avec l'une de ses amies, Simba devait être dans son bureau ou devant la télévision, tandis que j'étais dans la cuisine dans l'espoir de préparer un bon petit plat pour le repas du midi, mais c'est alors que la sonnerie retentit dans notre maison. Attendant que quelqu'un finisse par ouvrir, je compris que j'avais été la seule à l'avoir entendu. Enlevant mon tablier, je me mis en route pour ouvrir à notre mystérieux invité.

    ▬ Bonjour, en quoi puis-je vous aider ?

    Un jeune homme d'une vingtaine d'années se trouvait devant moi. J'attendais avec impatience sa réponse, dans l'espoir de lui venir en aide. Je devenais certainement cinglé, peut-être la fatigue, mais bizarrement, ce jeune homme ne m'était pas inconnu. Pourtant j'étais certaine de ne jamais l'avoir vu, mais ses yeux ... c'était vraiment étrange, mais c'était comme si je les avais déjà vus quelque part ... mais où ?!?

    ▬ Veuillez m'excuser, mais ... ne nous sommes-nous pas déjà rencontrés quelque part?

    C'était vraiment étrange, mais ce jeune homme me rappelait vaguement quelqu'un, alors je préférais tenter le coup, savoir si je devenais folle ou peut-être, qu'il ne s'agissait que d'une coïncidence.



Dernière édition par Nala S. Sullivan le Lun 7 Jan - 21:10, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Pour connaître la joie, il faut partager. Pour connaître la joie, il faut partager.  EmptyMar 13 Nov - 16:48


J'étais loin, loin de la savane, loin de chez moi, loin de tout, mais j'étais surtout loin d'eux.. Cependant, aujourd'hui et pour la première fois depuis longtemps, j'avais un petit espoir de retrouver ma famille. Mais sans grande conviction pour le moment. A l'internat, j'avais entendu quelques pensionnaire citer le nom de mes parents, Simba et Nala. Quel humain outre un disney irait se faire appeler Simba ou Nala ? Personne, du moins je l’espérais, la personne avait dit un truc du genre " j'étais à Bretzelburg avenue, je revenais de chez Simba et Nala, leur maison est incroyable, sa change de l'internat". Bretzelburg ne me disait rien du tout, mais les humains avaient des machines incroyable, tel que l'ordinateur, j'avais tapé l'adresse sur un simple moteur de recherche et j'avais obtenu un itinéraire parfait. Et voilà comment je me suis retrouvé ici ! Devant la demeure des Sullivan. Mes parents et ma soeur vivaient ici. J'en revenais pas. Mais comment pourrais-je les reconnaître ? Comment s'avoir s'il s'agit bien là de ma famille et non d'une simple famille d'humains ordinaires ? Mon coeur battait à cent à l'heure, mes mains étaient moitent. Je serrais ma main, fermement, légèrement tremblante et je frappais la porte d'entré.

Quelques secondes après, un visage m'apparut, tel un ange, c'était elle, ma mère, j'en était persuadé ! Mes yeux ne quittaient plus les siens, mon coeur ne s'arrêtait pas de battre à une vitesse peu normal..

▬ Bonjour, en quoi puis-je vous aider ? me demandait-elle. Mince, je n'avais pas réfléchis à cela, je n'avais préparé aucun speech, aucun scénario, que dire ? Que faire ? Seul impuissant face à une mère que j'aurais tant aimé prendre dans mes bras et tout lui avouer. Mais si ce n'était pas elle ? Impossible ! C'était elle ! ▬ Veuillez m'excuser, mais ... ne nous sommes-nous pas déjà rencontrés quelque part ? continuait-elle de plus bel, bien sur ! Bien sur qu'on s'est déjà rencontrés maman ! C'est moi c'est Kopa ! Je ne pouvais dire cela. Qui m'assurerait que Zira n'est pas dans les parages ? Qui. J'ouvris la bouche, prêt à lui répondre, quand je vis à l'arrière plan, une magnifique jeune femme, brune, féline, descendre les marches de l'escalier qui se trouvait derrière Nala.

▬ Kiara ? Demandais-je sans m'en rendre compte, spontanément, je l'aurais reconnue entre mille ; ma petite soeur. Ses yeux n'avaient pas changés, ils étaient restés identiques, la petite lionne qu'elle était devenue, était magnifique. J'écarquillais les yeux.. Pensant que Nala m'avait entendu. Je veux dire.. Je toussotais légèrement, posant de nouveau les yeux sur ma mère, ma si jolie maman, elle était tout ce qu'il me manquait, une mère, c'est si important... La mienne m'avait terriblement manquée, trop ! Kiara avait toujours plus ressemblée à papa, tandis que moi, c'était à ma mère que je ressemblais le plus. ▬ Je peux rentrer ? Je veux dire, je vends des tickets de tombola ! N'importe quoi ! Je n'avais aucun tickets de quoi que ce soit sur moi. Mais j'avais vraiment envie de rentrer... chez moi.


Dernière édition par Kopa P. Sullivan le Mar 20 Nov - 13:06, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Pour connaître la joie, il faut partager. Pour connaître la joie, il faut partager.  EmptyJeu 15 Nov - 14:08

Pour connaître la joie, il faut partager.  Tumblr_mdislxq16w1qhiah7o2_500


Allongée sur mon lit, le téléphone en main, j'écoutais cette Jessica me déballer tous les petits potins de la ville. Je ne connaissais pas la moitié des personnes dont elle me parlait et à vrai dire je n'avais pas vraiment l'esprit à l'écouter. Non, il y avait tellement d'autres choses dans mon esprit. Il y avait surtout quelqu'un à vrai dire. Peter me hantait. Je ne pensais qu'à lui, et, inévitablement à Kovu. Ca me rendait malade de le rendre si malheureux, mais j'en avais assez de faire semblant. Dans un soupire, j'annonçais à Jessica que je devais la laisser et raccrochais sans attendre de réponse. A quoi bon ? Je posais les deux mains sur mon ventre, fixant le plafond. Je n'avais pas revu Kovu depuis notre séparation. Je n'avais pas encore été voir Peter. Il y avait trop de choses qui se bousculaient, trop de sentiments contradictoires. Mais je prenais ma vie en main. Enfin. Les décisions étaient les miennes, mes envies, mes ressentis, c'était moi. Tout à fait moi. Et j'avais envie qu'ils m'aiment pour ce que je suis, non pour ce que j'étais. Challenge. Je devais leur faire oublier mon comportement avec Kovu, qu'ils affectionnent particulièrement. Ils, mes parents. Je les aimais tellement, mais ils ne voyaient pas que j'avais besoin d'être moi-même. Ils restaient bloqués dans le passé, leur royaume qu'ils avaient perdus à jamais, leur petite fille chérie qui devenait une femme. J'avais l'impression qu'ils n'arrivaient pas à voir la vérité en face. Ils pensaient encore à leur vie d'avant, ils pensaient qu'on pouvait revenir. Moi, je savais que c'était impossible. vivre ici me plaisait. Pas autant que dans mon pays, que sur mes terres. Mais il y avait tellement d'avantage à être ici et pas là bas. Tellement... Mais ils ne comprenaient pas cela. Ou peut-être ne voulaient-ils pas le comprendre.

Mon ventre grogna. Je mangeais plus sous forme humaine que lorsque j'étais une lionne, c'était incroyable. A croire que le système digestif humain était moins efficace que celui des fauves. Je me levais et me dirigeais vers la porte de ma chambre. Un regard vers le réveil. Dans moins d'une heure nous allions déjeuner. Maman allait certainement surveiller si je ne pique rien dans le placard. Elle déteste quand on grignote entre les repas. Discrètement, j'ouvrais la porte pour me faufiler à l'extérieur. Doucement, je descendais les marches afin de ne faire pas de bruit et priais pour que ma mère ne soit pas dans la cuisine. Quand soudain... « Kiara ? » Je sursautais avant de grimacer, déçue d'être prise sur le fait. Mais je me rendais alors compte que la voix qui avait résonné n'était pas celle de mon père. Je tournais la tête, posant les yeux sur le jeune homme qui se trouvait face à ma mère, sur le pas de la porte. Un léger silence s'installa. Je le regardais, comme fascinée, comme entraînée par ce regard si... familier. Pourtant impossible de me souvenir où je l'avais vu et le fait qu'il me connaisse me forçait à me dire que, oui, nous nous connaissions. Je descendais les dernières marches et m'approchais d'eux lentement, interloquée. « Je peux rentrer ? Je veux dire je vends des tickets de tombola. » Quoi ? Je levais les sourcils. Mes yeux dévièrent sur ses mains. Aucun tickets en vu. Je revenais sur son visage. Il était beau. Terriblement beau. Et sa peau avait l'air si douce. Oh. Il avait le même regard plein d'innocence que Maman... Il... Ressemblait... Étrangement... Je n'étais qu'un petit lionceau quand Kopa a disparu. J'avais vécu toute ma vie en fille unique parce qu'il était parti. On n'en parlait jamais, c'était un sujet délicat. Je ne savais rien de ce qu'il s'était passé, où il était, pourquoi, comment. Je m'étais tant de fois posé la question et personne n'avait su me répondre. « Je... Maman... Je crois que... Que c'est lui. » soufflais-je alors que les larmes remplissaient mes yeux. Oh non, c'était trop beau. C'était impossible. Comment aurait-il fait pour nous retrouver ? Je devenais folle. Complètement. Je ravalais mes larmes, déçue d'y avoir cru alors que je savais pertinemment que c'était impossible qu'il soit, devant moi. Mon imagination me jouait des tours. « Oublies ce que j'ai dis. » déclarais-je d'un ton plus fort, avant de me détourner d'eux et de me rendre dans le salon. Je tombais alors sur mon père que je croisais. J'avais laissé la déception et la mélancolie m'envahir et laissais les larmes couler. Jamais on ne retrouverait Kopa. Et l'espoir, lorsqu'il est trop grand, peut détruire. J'avais tant d'années espéré. Aujourd'hui je devais m'y faire.









PS; Pardonnez-moi c'est nuuuul ! tristeuh
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MessageSujet: Re: Pour connaître la joie, il faut partager. Pour connaître la joie, il faut partager.  EmptyVen 16 Nov - 15:03

C'est de bonne humeur que je m'étais levé ce matin, prêt à passer une bonne journée avec ma famille. Aujourd'hui pas de travail, c'était dimanche donc pas de courses poursuites ou d'arrestations pour moi aujourd'hui et je devais avouer que c'était plaisant de pouvoir se relaxer et de pouvoir apprécier un moment tranquille à la maison. C'était certainement le moment de la semaine que j'attendais le plus, non pas parce que je ne travaillais pas, au contraire, j'aimais mon travail, j'aimais aider et sauver les gens, ça avait toujours été dans la nature, non, ce n'était pas pour ça mais parce que je pouvais tout simplement me retrouver avec ma famille, complète, ou presque... Et l'on pouvait discuter, se raconter les nouvelles et tout, ce qui devenait de plus en plus rare. Surtout avec Kiara. Cette dernière changeait, elle avait changée dès notre arrivée ici et j'avais l'impression que ma petite fille s'éloignait. Je ne comprenais pas ce qui pouvait bien lui arriver et puis, la séparation avec Kovu avait été un évènement marquant pour nous qui n'étions pas préparés à ça. Au début, c'est vrai que je ne portais pas vraiment Kovu dans mon coeur mais il avait su me prouver sa valeur et était devenu un membre à part entière de ma famille, de notre famille, la grande famille de la terre des lions. En tant que roi, le voir s'éloigner, je trouvais ça vraiment regrettable d'autant plus que je ne comprenais pas les raisons de Kiara, pourquoi pas l'avait-elle quittée? Pour un autre homme? J'avais déjà du mal à faire confiance à Kovu, j'aurais encore plus de mal à faire confiance au prochain. J'étais devant la télé en train de regarder un match de football, c'était un sport que j'avais découvert il y a peu de temps mais qui m'intéressait, je trouvais ça intéressant à regarder bien que je n'étais pas le plus doué balle aux pieds. Je pouvais sentir une délicieuse odeur qui s'élevait de la cuisine et qui provenait du bon repas que nous préparait ma chère Nala. A la terre des lions ou ici, elle continuait à s'occuper autant qu'elle pouvait de nous et c'est pour cette gentille que je l'aimais, sa personnalité, son caractère. Bien trop concentré sur le match, je n'avais pas remarqué que quelqu'un avait sonné à la porte et qu'une certaine agitation naissait près de la porte d'entrée. Me levant pour aller voir ma femme, je vis Kiara entrer dans le salon, les yeux remplis de larmes. Immédiatement, j'allais vers elle d'un air interrogateur et la prise dans mes bras, déposant un baiser sur son front. « Kiara... Qu'est ce qui se passe? Pourquoi est-ce que tu pleures? » C'est alors que je vis Nala à la porte entrain de parler avec quelqu'un, est ce que ça avait un rapport avec Kiara. Je la regardais et dit « Je reviens. » Je la lâchais et me dirigea vers la porte ou je rejoignis Nala et en face d'elle je découvris un jeune homme. En regardant son visage, j'eus un mouvement de recul, il me faisait penser à... C'était vraiment étrange et cela m'avait destabilisé. Apparemment, ce dernier vendait des billets de tombolat... « Tu vends des tickets de tombola... un dimanche? Trouve une meilleure excuse la prochaine fois petit.» avais-je dis en le regardant avec un sourire sarcastique, lui faisant comprendre qu'on ne me la faisais pas à moi. Maintenant, je me demandais vraiment ce qu'il faisait ici, qu'est ce qu'il nous voulait? « Maintenant dis moi pourquoi tu es ici. Et... je veux la vraie raison. » avais-je dis calmement, parlant avec mon autorité naturelle. Je le regardais, le dévisageant même mais je ne pouvais me dire qu'il ressemblait à Kopa, mon petit Kopa. Je m'approcha de la porte et le regardait, intrigué, je ne pu m'empêcher de lui demander avec espoir.« Kopa...? C'est bien toi? » C'était mon fils, j'étais son père, ça se sentait, je pouvais reconnaître mon fils peu importe à quel point il avait grandi...
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MessageSujet: Re: Pour connaître la joie, il faut partager. Pour connaître la joie, il faut partager.  EmptyVen 16 Nov - 23:10

Pour connaître la joie, il faut partager.  Tumblr_ljyrtjcSgM1qcfuqvo1_500
Sullivan Family

    Peut-être n'étais-je pas si folle que ça en fin de compte ? Je n'avais pas encore réussit à l'admettre, mais ce garçon me rappelait étrangement quelqu'un, une personne que je n'avais pas revu depuis très longtemps et dont l'absence me brisait le coeur. Cette personne était mon tout petit Kopa, mon fils disparu et dont l'absence me détruisait jour après jour. Je n'avais toujours pas réussi à faire son deuil et jamais je ne pourrais admettre la vérité. Après des jours et des jours de recherche, personne ne l'avait revus et ce fut une vraie déchirure, que personne ne pourrait guérir. Je me sentais en partie coupable de sa disparition, si j'avais été une meilleure mère, préventive et protectrice, jamais cela ne serait arrivé. J'étais sa mère, mon rôle était de le protéger et je n'avais pas réussi à le faire. Seul le soutien de Simba et de Kiara me permettait d'avancer, mais jamais je ne pourrais refermer cette blessure qui continuait encore aujourd'hui à saigner.

    Le garçon se trouvant devant moi me rappelait Kopa, son regard, ses yeux, son expression ... C'était comme revoir un fantôme surgit du passé, mais mon désir de le revoir était si fort, qu'il m'arrivait d'avoir des hallucinations, mais ce n'était qu'un mirage, un mauvais tour joué par mon esprit, mes souvenirs toujours présent et j'espérais plus que tout au monde s'était de pouvoir le serrer dans mes bras et le garder auprès de moi pour l'éternité. Mais cela n'était malheureusement qu'un rêve et je devais me résoudre à l'accepter, ce que je n'arrivais pas. Quand le mystérieux jeune homme prononça le nom de ma fille, ce fut un choc et c'était comme si mon coeur allait sortir de ma poitrine tellement qu'il battait fort. Immédiatement je tournais la tête et croisait le regard de ma fille, elle aussi étonnée et surprise par notre invité. Bon sang cette voix !!! Elle résonnait en boucle dans ma tête, je n'étais pas folle, cela ne pouvait pas être une coïncidence, il y avait trop de facteurs prouvant le contraire, se pourrait-il qu'en réalité mes doutes soient vrais ? "Je peux rentrer ? Je veux dire, je vends des tickets de tombola !" Sans pouvoir décrocher le moindre mot, je me contentais de l'observer, encore abasourdi par cette découverte. Mes yeux grands ouvert, je le regardais ébahis, impossible de réaliser ce qu'il était en train de se passer. Kiara confirma la question, elle aussi semblait avoir reconnu ce jeune homme "Je... Maman... Je crois que... Que c'est lui." Je retournerais ciel et terre pour que cela soit la vérité, mon tout petit, je ne désirais qu'une chose aujourd'hui, c'était de pouvoir le revoir, mon fils, mon enfant, mon sang, ma vie ...

    Simba fit son arrivée et cette fois-ci je compris qu'il ne pouvait s'agir que de ça. N'arrivant toujours pas à dire quoi que ce soit, je me contentais d'assister à la scène qui s'offrait devant moi. Simba essaya à son tour de comprendre la véritable raison de la présence de ce garçon, sachant pertinemment que les tickets de tombola n'étaient pas une excuse valable surtout durant un dimanche. "Kopa ?" Lorsque le nom de notre fils sortit de la bouche de mon époux, cette fois-ci, ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase, mes larmes coulèrent le long de mes joues, sans que je puisse les arrêter. Bien évidemment que c'était lui, une mère serait capable de reconnaître son enfant entre mille et cette fois-ci il n'y avait plus aucun doute, c'était bien Kopa. Je n'avais pas voulu admettre la vérité de peur de souffrir à nouveau, mais là j'étais sûr de moi. Et puis Kiara et Simba pensaient la même chose, encore une preuve valable.
    Immédiatement, sans même me contrôler, je sautai au cou de Kopa et le serra si fort, de peur de le perdre à nouveau. Je continuais de pleurer, incapable de m'arrêter.

    ▬ Dis-moi que ce n'est pas un rêve et que tu ne vas pas partir à nouveau.

    Je finis par m'éloigner, laissant à Kopa le temps de reprendre son souffle et posa mes mains sur son visage, touchant ses joues, ses cheveux, ses tempes, espérant que ce n'était pas un mirage et qu'il se trouvait bien devant moi. Je déposais également un baiser sur sa joue et ne voulait plus le lâcher, il m'avait tellement manqué que le perdre une seconde fois serait une déchirure, je serais incapable de m'en remettre cette fois-ci.

    ▬ Je suis désolé mon ange, je ... je ... je t'aime tellement, excuse-moi !

    Je n'arrivais même plus à m'exprimer correctement, encore sous le coup de l'émotion. Revoir son enfant après tout ce temps était quelque chose d'incroyable, c'était un nouveau souffle pour moi, la douleur dans ma poitrine était partie, laissant place à un bonheur inimaginable et euphorique.
    Je priais intérieurement pour que Kopa ne m'annonce pas que c'était une erreur qu'il n'était pas mon fils et qu'il s'éloigne à nouveau. J'étais vraiment sûr de moi et personne ne pourrait me faire changer d'avis. J'étais sa mère, je le connaissais par-cœur, je serais capable de le reconnaître entre mille, je l’avais porté, il était mon enfant, impossible que ce soit faux. Impossible...
    Cette scène me rappela étrangement une situation similaire. Un fantôme du passé resurgit après tant d'année. Ce n'était pas Kopa à l'époque, mais son père Simba ...
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MessageSujet: Re: Pour connaître la joie, il faut partager. Pour connaître la joie, il faut partager.  EmptyMar 20 Nov - 13:36


J'avais cité le nom de ma soeur, sans même le vouloir, n'étant réellement sur de rien. J'avais vu au loin, dans ses yeux, une lueur de Kiara, cette petite lueur qu'elle avait eu en me regardant pour la première fois, la première fois où j'avais vu ma soeur. La première et dernière fois. Jusqu'à ce jour. Du moins je l’espérait. La jeune femme brune, à l'entente de son nom se retourna vers moi, instinctivement. Alors était-ce réellement son nom ? Mon espoir se faisait beaucoup plus grand à présent. Mon coeur se mit à battre un peu plus fort lorsqu'elle s'approchait de sa mère et de moi-même. Ses yeux s'humidifiaient à la venue de ses larmes. J'étais bouleversé de la voir pleurer. J'étais touché.. Mon regard croisait le sien, ému, j'avais envie de la prendre dans mes bras, de la serrer très fort, sans jamais la lâcher. Je ne la connaissais pas, peut-être, mais quelque chose me dit qu'elle fait partie de moi, elle aussi. « Je... Maman... Je crois que... Que c'est lui. » souffla t-elle à l'oreille de sa mère, je fronçais les sourcils en essayant de tendre l'oreille, mais un simple « c'est lui. » frôla les miennes. Peut-être parlaient-elles de se que je pensais. Je me raclais la gorge, un peu gêné par ces messes basses. M’inquiétant légèrement. Kiara partit soudainement, sans pouvoir se retenir, elle éclata en sanglot.

« Que lui arrive t-il ? » demandais-je poliment. Me souciant aussi beaucoup de ce qu'elle avait pu dire à sa mère. Je voulais tellement savoir si elle était celle que je pensais. Tout comme cette femme face à moi. Était-ce ma mère ? Ses yeux ne pouvaient me tromper, mais j'avais si peur, peur de tout gâcher. J'avais peur de connaitre la vérité. Imaginez qu'elle me dise que ce n'était pas elle, pas ma mère.. Encore une fois je serais seul.

Soudain un homme, une présence incroyable fit son apparition. Je sentais mes jambes trembler à chaque pas qu'il faisait vers moi. Je raclais encore ma gorge, avalant ma salive. Lorsqu'il planta son regard sur moi, instinctivement je baissais les yeux. J'avais l'impression de redevenir un lionceau dominé par son père après avoir fait une bêtise. « Tu vends des tickets de tombola... un dimanche? Trouve une meilleure excuse la prochaine fois petit.» sa voix résonnait dans toute la pièce, jusqu'à l’extérieur de la maison, pourtant il n'avait pas haussé le ton. Son regard ténébreux se figea dans le mien. « Maintenant dis moi pourquoi tu es ici. Et... je veux la vraie raison. » Comment lui dire ? Par où commencer ? -Bonjour je suis Kopa, je pense que vous êtes ma famille, je suis un lion dans mon ancienne vie !- si ce n'était pas eux, je serais passé pour un malade. Clairement. Mais l'homme s'approcha de moi, de plus en plus près de mon visage. Je restais figé au sol, vraiment pas rassuré. Lorsque soudain, d'une voix tremblante d'espoir il me demandait « Kopa...? C'est bien toi ? » J'écarquillais les yeux, pleins d'espoir, de soulagement, de.. vie. Ma bouche s'entrouvrait, mais aucun son n'en sortait, aucun mots.. Rien. J’acquiesçais alors d'un signe de tête. Les larmes noyais mes yeux à présent. Je vis le visage de la femme face à moi se décomposé, telle une mère retrouvant son fils perdu, depuis des années et des années d'attentes. La femme en question me sauta dessus, me serrant très fort dans ses bras. Ce geste d'amour et d'affection, ces gestes d'une maman me manquait tant. Ce trop pleins d'amour que j'avais attendu depuis longtemps, fit couler les larmes sur mes joues. Alors qu'elle me tenait dans ses bras, moi j'étais comme pétrifié, aucun de mes membres ne pouvait bouger. « Dis-moi que ce n'est pas un rêve et que tu ne vas pas partir à nouveau. » me soufflait-elle. A l'entente de ses mots, mon coeur se mit à battre tellement fort, j'avais l'impression qu'il allait s'échapper de ma poitrine. Mes larmes continuaient de couler, lorsque mes bras, enfin l'enlaçait à son tour. Je la serrais de toutes mes forces. « Jamais plus. Jamais plus je ne partirais. »

« Je suis désolé mon ange, je ... je ... je t'aime tellement, excuse-moi ! » continuait-elle. « C'est moi qui suis désolé, pour tout.. Ma.. mam.. maman.. Je t'.. t'aime tellement moi aussi.. » Dieu qu'elle n'avait pas à s'excuser. Qu'elle me prenne dans les bras, j'en avais rêvé, tant de fois.. Des nuits et des jours.. Sans jamais en avoir le droit, je n'en avais pas le choix. Zira .. m'avait.. Enfin.. Tout était trop douloureux. Je ne devais pas penser à elle, pas dans un moment pareille. Enfin j'avais retrouvé ma famille. J'avais envie de serrer mon père très fort.. Simba.. Mais j'avais si peur de lui, de sa réaction.. Mon père, mon héros. Je l'avais décu. Mon erreur de "jeunesse" m'avait coûté ma famille, jamais plus je ne lui désobéirais. Que Kiara revienne.. Qu'elle revienne me voir. Je voulais la revoir. Encore une fois, pour toujours.
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MessageSujet: Re: Pour connaître la joie, il faut partager. Pour connaître la joie, il faut partager.  EmptyMar 8 Jan - 12:16

Les retrouvailles ont, en tout temps, été des choses des plus agréables, des plus douces pour le coeur, qui ont su guérir bien des maux. Cela se comprend tout à fait, après tout, quoi de plus beau que de retrouver celle, ou celui pour qui notre coeur bat après de longs mois de séparations ? Ou encore, notre frère tant aimé, ou pourquoi pas un ami si cher à nos yeux ? Peu de choses, je le crains. Malgré tout, cela implique la souffrance d'une séparation. Il y a pourtant un vieux dicton qui dit "Loin des yeux, près du coeur." et il est vrai qu'une fois séparé des personnes que l'on aime, nos pensées ne sont que pour elles. Mais, les retrouvailles ne sont pas joyeuses uniquement lorsque deux personnes proches se retrouvent. N'avez-vous jamais sourit en retrouvant quelqu'un avec qui vous avez sympathisé et dont vous ne connaissez que peu de choses de lui ? Je pense bien que oui. Mais là n'était pas vraiment l'histoire, j'avais été surprise d'entendre mon prénom sortir de la bouche de ce garçon qui prétendait vendre des tickets de tombola un dimanche. Ce regard si familier toucha aussi loin que possible mon âme, j'eus cru un instant que nous l'avions retrouvé, le fils de la famille, mon frère que je n'ai jamais connu. Pour moi, sur le coup, j'avais accusé la façon de prononcer mon prénom en plus de son regard qui en disait bien long d'être celui que nous recherchions depuis tant d'années, mais que nous avions perdu tout espoir de retrouver un jour.

Ce garçon me semblait tellement familier que je n'avais pas réfléchi avant d'avouer à ma mère que mon frère était peut-être de retour. Mes larmes avaient fini par envahir mon corps, cachant, voilant, humidifiant mes deux prunelles qui me servaient de vue. Le doute s'empara alors de mon esprit, il ne pouvait pas être lui, notre Kopa, clignant un court instant mes yeux, je laissais un soupir s'échapper dans l'air avant de demander à ma mère d'oublier ce que je venais d'insinuer. Je leur tournais simplement le dos voulant simplement oublier ce petit moment qui me fera encore plus de mal. Je voulais simplement me déconnecter des problèmes qui occupaient habituellement toutes mes pensées. Traînant paresseusement des pas jusqu'au salon, je croisais mon père sur mon chemin « Kiara... Qu'est ce qui se passe? Pourquoi est-ce que tu pleures? » Mon père toujours aussi protecteur, il ne cessera donc jamais de me surveiller, de me laisser un peu d'espace et d'intimité. Je n'étais plus la petite Kiara, la lionne, j'étais Kiara l'humaine qui voulait à présent voler de ses propres ailes. Mais vous savez quoi ? Mon père était l'homme de ma vie, si un jour je devrais marcher au bras d'un homme afin de m'unir pour le meilleur comme le pire, je voudrais qu'il soit comme mon père, cet homme/lion de famille qui a su parfaitement tout gérer, c'était mon papa à moi et je ne le partagerais pour rien au monde, enfin, je le partageais déjà avec ma mère. « Rien... Ce n'est rien papa... » Disais-je en hochant négativement de la tête, tendis qu'il traça aussitôt son chemin pour aller rejoindre ma mère et ce garçon.

Je n'osais véritablement regarder derrière moi, voir encore son regard que me troublait et qui me faisait encore douter sur son identité. À la place, j'avais préféré m'étaler sur le sofa le plus proche du salon. Allongé et fixant le plafond, beaucoup trop de choses encombraient mes pensées, mais seulement un seul mot me délivra de cette emprise dans laquelle je venais de plonger. « Kopa...? » Ce mot que mon père venait de prononcer me fit rapidement réagir, je me redressais légèrement fixant rapidement mes parents, de loin, j'assistais à la scène, mon coeur fit un bon dans ma cage thoracique, j'étais à la fois emporté par la joie, mais aussi par la crainte de m'approcher, tout simplement que j'avais trop peur de rêver, qu'à ce moment même je m'étais assoupis aussitôt la tête posée sur le fauteuil. Pourtant, tout ceci me semblait bien et bel réel. Je ne perdis plus le temps, me levant précipitamment en direction ma famille, j'hésitais, mais finalement je m'en approchais, fixant d'abord mon père « Papa... » d'une petite voix étouffée par mes lèvres « Maman... » Oui je ne rêvais pas, c'était bien mon frère, mes parents venaient de le confirmer. D'un pas hésitante, mais déterminé, je m'approchais finalement de mon grand-frère. Lorsque je fus assez proche de lui, redressant quelque peu ma tête afin de pouvoir croiser son regard, un long frisson se propagea dans mon corps. « Kopa...mon... mon frère » murmurais-je dans l'air d'une petite voix tremblante. Mes mains emprisonnèrent soudainement les épaules de mon frère venant à leurs aises s'intensifier, le plaquant doucement contre moi. « Si tu savais comme j'ai tant voulu te connaître...Ne nous quitte plus...grand-frère... » Les larmes accompagnèrent mes paroles, tandis que « Maman...Papa...câlin familiale toute suite !. » Oui j'exigeais que nos parents viennent nous serrer dans leurs bras, que nous quatre partagions ce câlin retrouvailles. Je venais enfin de retrouver mon frère après ces longues années de séparations, ça ce fête.
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Madame Pixie Dust

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MessageSujet: Re: Pour connaître la joie, il faut partager. Pour connaître la joie, il faut partager.  EmptyDim 24 Mar - 12:59

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Pour connaître la joie, il faut partager.

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