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Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. Vide
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 Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim.

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MessageSujet: Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. EmptyMer 2 Jan - 12:16



Quand Mécanique rime avec Orgasmique…
feat Jim, mon mécano.


Il fait beau, il fait chaud,
Et je regarde mon mécano.
Je rêve que ses mains,
Se posent sur mes seins.
Mes fesses, non mes seins,
Ca rime avec mains.
Toutes ses pensées très sages,
Enflamment mon visage.
Et pour me ressaisir,
Ah non, il me sourit.
Je fonds comme neige au soleil,
Comment voulez vous résister à un mec pareil.
Je prends une longue respiration pour essayer d’éviter d’avoir chaud ailleurs. Quand une voix me ramène gentiment sur terre. « Clé de douze, Iri. Irina, clé de douze, s’il te plait. » Je vois s’agiter une main noire devant mes yeux, la même main qui à l’instant était sur mes seins, mes fesses. Plus question d’être sur mes seins et mon joli chemisier blanc, ni sur mes fesses moulé dans mon short en jean neuf. Quoique si je n’ai rien sur le corps. Oups. Non, on n’en est pas encore là. Commençons par le commencement logique, évitons de faire chauffer les neurones de certains trop vite. C’était juste une mise en bouche, juste de quoi vous donner envie de lire jusqu’au bout… de la nuit.

Bon aujourd’hui c’est journée cours de mécanique, j’adooooooooooooooore ce mot, avec n’hésitons pas le seeeeeeeeexy, celui la aussi, Jim. Oui il c’est mis dans la tête de m’expliquer les secrets les plus profonds et les plus intimes de la mécanique, j’abuse encore une fois. Bien entendu à moi, c’est pas trop mon truc, mais du moment qu’on s’amuse et qu’on peut mettre les mains partout ça me va. Et bien oui la nature dans cette nouvelle vie m’a doté de mains alors autant sans servir et avec Jim les mains wahouuuuuuuuuu, on s’en sert, croyez moi. Mais n’allez pas vous imaginer des choses, on a les mains dans le moteur de la voiture, bien sur, enfin surtout lui, moi je suis plutôt là pour regarder, faire passer les outils et abuser de son grand savoir de manipulation des objets. Et n’allez pas vous imaginez des choses. Mais avec Jim les jeux de mains, dans le moteur okay, deviennent très instructifs même couvertes de cambouis. Ah mesdames, vous ne vous imaginez pas à quel point le cambouis c’est s…

Donc je suis au garage de Jim et pas en petit chemisier à boutons, ni en short moulant hyper sexy. Non, en bonne élève attentive, je suis en maillot de bain couverte par un vieux tee-shirt à Jim, ben quoi, je n’allais pas salir mes fringues. Et puis j’adoooooooooooooooooore, il sent la lessive, eh oui pas son parfum agrémenté de transpiration, vous allez vous imaginez quoi, pffff. Je suis là, regardant l’homme qui est devant, il est pleine action, la tête dans… euh… sous le capot, très absorbé par ce qu’il fait. Je peux donc laissez à loisir mon regard se balader sur son corps si bien dessiné, même si la tenue qu’il porte, cache ses belles formes. Mes yeux ne peuvent s’empêcher de s’attarder sur ses fesses et ma tête ne peut s’empêcher d’imaginer mes mains sur celles-ci. Encore un coup de chaud. Evitons que les mains aillent trainer ailleurs sinon on n’a pas fini d’avoir chaud. Bon revenons à la leçon, ça c’est la batterie, sans batterie rien ne marche. Là, on met l’huile, mais pas celle de la cuisine. Ensuite il y a l’alternateur, le modérateur, l’administrateur. Non hors sujet, Irina tu te perds. Oui je sais mais difficile de rester concentrée devant ce corps qui s’agite et qui déclenche en moi des pensées pas très catholique. Devant Jim, je suis comme une enfant devant une sucette qui n’a qu’une envie de la mettre à la bouche. On parle de la sucette et de l’enfant, pas de ce à quoi vous pensez, bande de pervers. Restons chastes.

« Jim franchement, tu veux pas qu’on fasse autre chose. Tu ne veux pas me parler, de l’intérieur de la voiture. Je ne sais pas moi, les sièges par exemple. Ils sont moelleux, on y tient à deux dessus. Bah oui je pense que ceux de derrière sont surement, très… grands ? A vrai dire j’y poserais bien mes fesses dessus. Ouai je suis fatiguée là. Et puis t’as rien à boire de frais, j’ai méga chaud là. Je ne sais pas si c’est moi, mais la température est montée d’un coup là. Ouh, c’est presque à s’évanouir. » Je défaille et me laisse tomber dans les bras de Jim, mettant malencontreusement ma main dans le cambouis. Et hop, étalage dans le dos de Jim en me relevant. « Han, mince, je suis désolé. Je n’ai pas fais exprès. Bah, écoute, enlève ton tee-shirt, tu seras plus à l’aise. » Je lui enlève son tee-shirt étant donné que ses mains sont sales et pour qu’il ne fasse pas plus de tâches. Et donc, nos corps se sont dangereusement rapprochés, je sens sont souffle chaud sur ma peau. Je dépose un léger baiser sur sa joue, pour me faire pardonner de ma maladresse… volontaire, un deuxième sur son autre joue, ne faisant pas de jalouses. Je parle des joues bien entendu, maintes filles aimeraient être à ma place. Oui, oui, je sais, Fred me dit souvent attention, quand on joue avec les allumettes on fini par se brûler. N’empêche faut que l’allumette soit allumée, parce que sinon, on risque rien… Alors est-ce que Jim est une allumette allumée ? Ou faut-il que je l’allume ? Moi je veux bien aller me brûler avec lui. Fred, je te jure, je serais sage… dans tes rêves. Puis t’inquiète c’est qu’un jeu, un jeu physique… avec la voix bien sensuelle. Vous imaginez le truc, bref, je m’arrêterais là. Jim c’est à toi de répondre. Alors, on met le feu ou pas ? Allumez le feu ! Ouai Johnny est d’accord. C’est bon, foutons le feu. OUAIIIIII… Du coup, et pour finir en beauté. Je passe mes mains autour du cou de Jim et ma bouche emprisonne la sienne. OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!! Jim à ton tour.
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Dernière édition par C. Irina Glass-Shoe le Mer 16 Jan - 11:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. EmptyMer 2 Jan - 21:49

Irina Ҩ Jim
« La vaste nuit allume ses étoiles »


Mes yeux caressent doucement ses formes, mes mains touchent avec envie son corps. Elles se font douces, tendres comme si elle était la plus précieuse des choses et dans ma tête, c’est un peu ça. Chaque fois que je pose mon regard sur elle, je suis tellement fier et c’est avec désir que je prends possession d’elle… Mais n’aller pas penser n’importe quoi, je parle de ma voiture, de mon Impala voyons ! Quoi un double sens… Je ne vois vraiment pas de quoi vous voulez parler mais ce n’est pas bien grave, je m’en moque pas mal au final parce que tout ce qui compte c’est l’instant présent. Et alors que je prends soin de ma petite, j’en profite pour montrer à Irina quelque petite chose sur la mécanique. Je ne sais pas vraiment pourquoi je me suis mis cela en tête, c’est peut-être elle qui me l’a demandé je ne m’en souviens même plus… Ça c’est la magie d’avoir une mémoire de poisson rouge, mais qu’importe parce que le fait est qu’elle est là et qu’elle m’écoute… Plus ou moins je n’en sais rien. Je sais à quel point il est facile d’être distrait lorsqu’on n’est pas dans le feu de l’action.
- Clé de douze, Iri. Irina, clé de douze, s’il te plait.
Oui je tente de temps en temps de l’interpeller afin qu’elle reste totalement avec moi, histoire qu’elle ne s’évade pas trop… C’est vrai que cela c’est très humain, on ne peut pas se concentrer plus de dix minutes c’est totalement faux. Il y a toujours un moment ou notre cerveau dévie sur telle ou telle chose, c’est plus fort que nous. Mais je ne sais pas, c’est comme si j’avais envie de lui faire découvrir mon monde même si cela doit profondément l’ennuyer au final… Je ne suis pas dans sa tête après tout mais il est vrai que parfois j’aimerais mieux comprendre ce à quoi elle peut penser. Mais je me sens tellement responsable dans ce monde. Que ce soit avec Tara, alors que je lui apprends à vivre avec ce corps, ou encore avec Kath, une étoile tombé du ciel, je me sens tellement fautif parfois que je fais tout pour rendre leurs vie plus aisées, moins dramatique, mieux pour être simple. Je me demande si j’y arrive d’ailleurs… Mais là n’est pas la question. J’ai ce sentiment aussi avec Irina, même si parfois c’est un peu plus ardent mais ça, c’est une autre histoire.
Bref, je lui montre les choses importante, le moteur, ou mettre l’huile, le liquide de refroidissement mais je me demande vaguement si elle va tout retenir et cette pensé me fait sourire, au pire elle aura une petite session de rattrapage et je suis sûre qu’on sera s’en servir à bon escient… Je relève la tête pour voir si elle me suit et sourit encore plus en la voyant habillé ainsi, d’un maillot de bain et de l’un de mes T-shirt, je ne suis pas sûre qu’elle se rende compte de l’effet que cette tenue peux avoir sur moi… A moins que ?... Pas que de voir mes T-shirt me rende fou mais sur elle, c’est fou je me dis que c’est elle qui devrait les porter plutôt que moi. De temps en temps je regarde autour de nous alors que certains collègues font leurs apparition cinq petites minutes pour me demander quelque chose ou m’emprunter un outil, je remarque bien leurs regard, après tout nous restons des hommes et voir une aussi belle femme trainer dans les parages reste quelque chose de très… Excitant… Mais je reporte vite mon attention sur la voiture parce que l’on sait tous les deux comment cela pourrait finir…
- Jim franchement, tu veux pas qu’on fasse autre chose. Tu ne veux pas me parler, de l’intérieur de la voiture. Je ne sais pas moi, les sièges par exemple. Ils sont moelleux, on y tient à deux dessus. Bah oui je pense que ceux de derrière sont surement, très… grands ? A vrai dire j’y poserais bien mes fesses dessus. Ouai je suis fatiguée là.
J’éclate de rire mais je fais une petite moue. Zut, moi qui pensais qu’elle s’amusait j’avais tout faux… Pfff ce que je peux être nul franchement.
- Et puis t’as rien à boire de frais, j’ai méga chaud là. Je ne sais pas si c’est moi, mais la température est montée d’un coup là. Ouh, c’est presque à s’évanouir.
Je la rattrape alors qu’elle semble tomber et hop la main dans le cambouis.
- Bon sang, tu es bien une femme toi.
J’éclate à nouveau de rire alors que je sens sa main dans mon dos.
- Oui c’est ça, salit moi en plus !
- Han, mince, je suis désolé. Je n’ai pas fais exprès. Bah, écoute, enlève ton tee-shirt, tu seras plus à l’aise.
Mon T-shirt vole presque entre ses mains de fées et moi je la regarde en mordant la lèvre inférieure. Essayer les sièges, tomber dans les pommes, me déshabiller à moitié… Elle est beaucoup moins innocente que ce que je pensais. En fait, à chaque fois je me fais avoir et à chaque fois je suis étonné de ma propre naïveté. Elle m’embrasse les deux joues, et moi je suis encore sur le c** devant ma pauvre naïveté… Bon sang, elle à raison, il fait de plus en plus chaud dis donc !
Ses mains sur ma nuque je me sens frissonner et ce qui devait arriver arrive, elle m’embrasse. Moi, pauvre homme que je suis, je suis bien trop faible pour la rejeter non. Je souris contre ses lèvres, prolongeant le baiser et posant mes mains sur ses hanches afin de la coller un peu plus contre moi. Mes mains joue même avec le T-shirt, le soulevant légèrement afin de caresser sa peau nue.
Puis je romps le baiser et plonge mon regard dans le sien. C’est tout sourire que je mets un doigt dans le cambouis que j’étale ensuite sur sa joue, ma main se posant entièrement sur celle-ci et y restant alors que je lui souffle :
- C’est pour mon dos ça…
Mais pas le temps pour elle de réagir que mes lèvres sont de nouveau sur les siennes. Je la pousse, un peu trop violement mais c’est ainsi, c’est de la passion on va dire, plus fort que moi, contre la portière avant de la voiture, me collant encore plus à elle si bien que je peux sentir son cœur battre contre ma peau. Mmmmh pour le moment je n’ai pas vraiment la force d’ouvrir la portière arrière même s’il est bien vrai que je testerais bien cette banquette arrière, elle a l’air si confortable et attrayante dis donc… Mais pour l’instant ce sont ses lèvres qui me captivent le plus, ses lèvres bougeant au rythme des miennes. Je ferme les yeux et entrouvre légèrement la bouche, sentant un léger grognement de plaisir monter dans ma gorge…
Finalement elle a raison, la mécanique c’est pas si intéressant que cela lorsqu’on en parle, rien n’est meilleur que la pratique.
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MessageSujet: Re: Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. EmptyJeu 3 Jan - 18:53



Quand Mécanique rime avec Orgasmique…
feat Jim, mon mécano.


Ses collègues font de petites apparitions, de temps à autre pour prendre un outil quelconque, ah la belle excuse, faut pas me prendre pour une idiote, ils viennent juste pour lorgner sur mes formes et j’avoue que cela ne me déplait pas. Et puis ça fait monter la température ce désir qui plane autour de nous. Jim doit être un peu gêné, vu comme ils les regardent ou bien veut-il leurs faire comprendre que ma carrosserie est chasse gardée. Vu comme ça c’est plaisant.

« Bon sang tu es bien une femme toi. » Ah bon, si tu le dis chéri. Mais je sais que cela est loin de lui déplaire que je sois de ce sexe. Et j’avoue que cela ne me déplait pas mon plus, je peux ainsi user de mes charmes à loisir et abuser des siens.« Oui, c’est ça, salit moi en plus ! » Mais je suis certaine qu’il aime, il ne me fera pas croire le contraire. D’ailleurs la suite va lui plaire aussi. C’est alors que j’emprisonne sa bouche chaude et humide pour un baiser langoureux, qui en dit long sur ce que je veux. Sa réaction est immédiate, je le sens sourire contre mes lèvres, et ses mains se posent enfin sur moi, que ce contact est agréable, et lorsqu’il glisse celles-ci sous mon ou plutôt son tee-shirt, une chaleur envahit mon bas ventre. Je ne veux pas que cela s’arrête, mais il coupe l’instant magique et il plonge son regard dans le mieux, comme s’il voulait lire en moi. Et voilà qu’il profite de ma faiblesse pour me mettre du cambouis sur la joue, qu’il étale bien gentiment avec sa main. Chouette masque de beauté.« C’est pour mon dos ça… » Ah il veut la joue de cette façon, mais je n’ai le temps de rien faire, Jim repose ses lèvres sur les miennes, mais cette fois c’est lui qui a le contrôle. Il me pousse contre la portière avant de la voiture et le contact froid de la carrosserie fait augmenter la chaleur qui m’habite. Je sens son cœur battre contre sa peau, mon rythme respiratoire s’accélère, le baiser est de plus en plus enivrant, ma bouche s’ouvre pour s’offrir à la sienne. Et pour augmenter l’effet, mes mains qui jusqu’à présent caressaient sa nuque, descende le long de son dos, tout en frôlant sa peau, pour finir sur ses fesses que je m’empresse de serrer poussant un peu plus son corps contre le mien.

Afin de reprendre ma respiration, je tire ma tête légèrement en arrière, mais garde mon corps collé au sien, je ne veux pas perdre une miette de ce contact sensuel. Puis mon visage se dirige vers son cou, profitant pour y déposer quelques baisers, mes lèvres remontent vers son oreille, d’ailleurs j’en profite pour la titiller et la mordre mais tendrement, tout cela reste très sage, pour le moment.« Jim, Jim, merci pour le masque de beauté, va falloir que j’enlève le tee-shirt pour essuyer mon visage, à par que je frotte ma joue sur ton torse en partant de ton épaule pour descendre jusqu’à la ceinture de ton pantalon. Tu préfères quoi ? » Je continue à jouer avec son oreille, puis mes lèvres se baladent sur son cou, sa peau est douce et son odeur délicieusement existante, ne me demandez pas de vous la d’écrire c’est impossible, en tout cas à moi ça me faisait beaucoup d’effet. Quand à mes mains qui jusqu’à présent étaient posées sur ses jolies fesses pour le garder coller contre moi, et bien elles s’amusent à se promener le long de la ceinture de son pantalon. C’est comme si elles voulaient passer entre la ceinture et sa peau. Je pense que si nous avions été seuls, elles auraient déjà trouvées le chemin, mais il y a les collègues. Quoique cela peut donner du piquant au jeu, ne pas être pris en flagrant délit de caresses coquines ou pire encore.

« Jim, nous ne sommes pas seul, si on se trouvait un coin tranquille, à par que tu vires tous tes collèges de l’atelier. Sinon l’arrière de l’impala ça te tente, ils ont l’air confortable les sièges et puis on a vu pire tous les deux. Parce que la moi je n’ai qu’une idée c’est mettre ta clé de contact dans ma serrure et de faire ronronner le moteur. C’est bien comme ça que ça démarre une voiture, et je pense que c’est le meilleur moyen de calmer l’incendie qui est en train de nous consumer. » Mes mains ont enfin trouvé le chemin, mais elles s’aventurent doucement, je suis du genre à prendre mon temps pour finir de réveiller les désirs. Ah vous ne me voyez pas ainsi, et bien tant pis. J’ai la chance d’avoir, pour je ne sais quelle durée encore, été doté d’un corps relativement bien fait alors autant profiter du cadeau. On ne sait jamais le sort qui m’a fait, comme bien d’autre, venir ici, peut se rompre sans prévenir et nous remettre à nos places. Alors je ne sens aucune honte à gouter aux plaisirs de la vie et surtout à ceux de la chair. Entre Jim est moi les choses ont été mise au clair d’entrée pas de sentiment mais du sexe quand on a en envie, et le contrat me convient, surtout que Jim est très adroit de ses mains pour ces choses là. Franchement qu’il y a-t-il de mieux qu’un mécano pour faire démarrer au quart de tour un moteur que l’on a bien huilé avant. Alors je vais abuser encore et encore de ce moment, laissant mes mains prendre possession de sa peau, laissant ma bouche murmurer les mots que ses caresses provoqueront, laissant ses mains ôter mon tee-shirt et défaire le nœud du haut de mon maillot, laissant nos corps s’abandonner l’un à l’autre juste pour le plaisir, le désir. Mes yeux plongent dans les siens, mon corps bouge légèrement contre le sien pouvant me donner une idée de son état physique, mes mains deviennent plus coquines.

« Jim, ouvres la portière arrière et enlèves moi mon tee-shirt. Ainsi tu pourras essuyer le cambouis que tu m’as délicatement mis sur la joue. Et nous pourrons mettre en pratique la leçon de démarrage avec ta clé de contact. »


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MessageSujet: Re: Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. EmptyLun 7 Jan - 22:28

Irina Ҩ Jim
« La vaste nuit allume ses étoiles »


Elle sait comment agir avec moi c’est dingue.
Enfin, je me rends compte que parfois je suis assez complexe, dans les mains de Tara ou encore celle de Kath, c’est la douceur que je recherche, les caresses, la tendresse.
Avec Irina, c’est totalement différent, avec elle j’ai besoin de sauvagerie, de violence de passion…
Oui en fait, je ne sais pas vraiment ce que je veux, ou si, je sais ce que je veux mais tout cela dépend des femmes… C’est assez étrange quand on y pense, mais après tout, pourquoi pas non ? On a tous besoin de plusieurs point de vue, et j’ai la chance de les avoirs, bon plus ou moins parce qu’avec mon trésor ainsi que mon étoile, nous n’avons jamais été aussi… Physique.

Oui, et d’ailleurs en cet instant, elle est très tactile avec moi et… Faudrait être idiot pour ne pas l’avouer mais, j’adore ça. Elle ne cesse de jouer avec moi, que ce soit avec son regard, son sourire, ses gestes, sa façon de me toucher même lorsque c’est pour me salir. Elle a le don de rendre tout ce qu’elle fait incroyablement sexy. Et même lorsqu’elle m’embrasse… Grrrr, ok elle connait mon grand point faible… Bon sang, je suis foutue si elle sait cela aussi tôt. Bon ok je ne suis pas du tout discret et même les filles savent mon secret. Je reste quelqu’un d’assez égoïste quand même, je sais à quel point mes conneries leurs font du mal, mais je suis incapable de résister lorsqu’une fille, lorsqu’Irina m’embrasse ainsi, alors que je sens sa chaleur, son corps si proche du mien c’est tout simplement impossible de rester insensible. Je reste un homme et j’aimerais bien connaitre le nom d’un seul homme qui dirait non à une telle créature.
Je réponds à son appel sans trop me faire prier, posant mes mains sur elle, la caressant doucement alors que nos lèvres sont collés, mais elle veut jouer, alors on sera deux et je ne me gêne pas pour la salir. Grrr même ainsi elle est incroyablement sexy, elle a le don de rendre le travail de garagiste tellement intéressant ! Enfin, je ne veux pas savoir ce qu’elle fera, car sa vengeance peut être terrible mouahaha, et donc je l’embrasse de nouveau, oui, c’est beaucoup plus plaisant que de se salir… Non ?...
Et elle fait ressortir cette violence et cette envie en moi, je la pousse contre la portière, elle est a moi et je pris tout de même pour qu’un collègue ne fasse pas son apparition, mais, en un sens c’est tout aussi excitant de vivre ainsi dans le danger, et puis, ils savent que s’il nous voit ainsi, ils ont intérêt à partir s’il veulent pas que je me mette en rogne.
Mais je ne pense déjà plus à eu, ses mains sur ma peau nu laisse une ligne de feu.
Je ferme les yeux alors que je sens ses lèvres sur mon cou, et je frissonne au son de sa voix, si proche.
- Jim, Jim, merci pour le masque de beauté, va falloir que j’enlève le tee-shirt pour essuyer mon visage. Tu préfères quoi ?
Elle se frotte à moi et je continue de garder les yeux fermés, frémissant et sentant la chaleur monter. Ses mains sur mes fesses, je sursaute mais éclate de rire, animalité, toujours, à croire qu’il y a un félin en elle.
Encore un frisson alors que ses mains se ballade dangereusement sur mon bas ventre, suivant ma ceinture et je me dis que je n’aurais pas dû en mettre tient.
- Lorsque tu es collé contre moi ainsi, ce que je préfère... Je préfère t'embrasser voyons, et ton masque de beauté te donne un certain caractère.
- Jim, nous ne sommes pas seul, si on se trouvait un coin tranquille, à par que tu vires tous tes collèges de l’atelier. Sinon l’arrière de l’impala ça te tente, ils ont l’air confortable les sièges et puis on a vu pire tous les deux. Parce que la moi je n’ai qu’une idée c’est mettre ta clé de contact dans ma serrure et de faire ronronner le moteur. C’est bien comme ça que ça démarre une voiture, et je pense que c’est le meilleur moyen de calmer l’incendie qui est en train de nous consumer.
J’éclate de rire.
- Quoi, madame aurais peur de se faire surprendre, aurait-elle peur de tenter l’aventure ? Moi j’ai envie de toi maintenant, et je sais que je ne pourrais pas tenir ! Je te veux maintenant Irina, et collègue ou non… Mmmmh et en plus tu veux faire ça à mon bébé, dans l’Impala… mmmmmh… Le feu qui s'empare de toi, intéressant, je voudrais bien l'éteindre mais... Je crois que je préfère le raviver encore plus !
Bon sang, j’ai l’impression qu’elle va presque trop lentement, j’ai juste envie de la déshabiller, et lorsqu’elle bouge contre moi, bordel je ressens des décharge électrique.
- Jim, ouvres la portière arrière et enlèves moi mon tee-shirt. Ainsi tu pourras essuyer le cambouis que tu m’as délicatement mis sur la joue. Et nous pourrons mettre en pratique la leçon de démarrage avec ta clé de contact.
Ô la reine de la métaphore est parmi nous !!! Mais elle ne se doute pas que j’ai déjà démarré et au quart de tour.
Je souris bêtement alors que mes mains empoignent le bas du T-shirt que je fais passer au-dessus de sa tête, me mordant la lèvre en voyant un peu plus son corps. Je balance le T-shirt je ne sais où et c’est à mon tour de jouer avec elle, mes lèvres se posent sur son cou, l’embrassant encore et encore, mordillant sa peau doucement, et mes mains bien baladeuse se glisse sans gêne sous son maillot de bain, empoignant fermement ses fesses.
Une de mes mains vient finalement glisser sur la carrosserie de mon bébé, ouvrant la portière arrière, mais pour l’instant je reste à l’extérieure, disons que j’ai du mal pour le moment de me laisser détacher.
- Ô belle Irina, il semblerait que tu es parfaitement compris la leçon, mon moteur est déjà allumer et n’attends qu’une chose, que l’on passe à la vitesse supérieure.
Au final, mes mains se places sous ses fesses et je soulève ses cuisses afin que ses jambes encadrent mes hanches, me collant encore plus à elle… Bordel je ne suis même pas sûre que je serais capable d’attendre jusqu’à ce que l’on soit à l’arrière de la voiture, quoi que, au final ce n’est que le début et souvent entre nous deux, cela peut durer un moment, un long moment…
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MessageSujet: Re: Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. EmptyVen 11 Jan - 22:51



Quand Mécanique rime avec Orgasmique…
feat Jim, mon mécano.

Le jeu devient plus amusant, plus excitant. Jim répond à mes baisers, à mes caresses. Tout en s’amusant à me salir, ce qu’il a l’air de trouver très à son gout. Remarquez je l’ai un peu cherché, vu que c’est moi qui est commencé. Après tout on récolte se que l’on sème, mais cette récolte là vu le chemin qu’elle prend ne me déplait pas. Voilà qu’il me coince encore plus contre la portière. Un tas d’idées plus folles les unes que les autres me passent par la tête, idée inavouable sauf à l’oreille de Jim. Et je n’ai qu’une envie les mettre en pratique, mais j’aime jouer surtout avec lui et le faire languir après avoir allumé le feu, le résultat n’en ai que plus satisfaisant pour nous deux. Je le sens frissonner, sous mes baisers, sous mes caresses, il est tout à moi. Il est à la fois près à me dévorer et à être dévorer.

« Lorsque tu es collé contre moi ainsi, ce que je préfère… Je préfère t’embrasser voyons, et ton masque de beauté te donne un certain caractère. » D’accord si tu me trouves à ton gout et puis il éclate de rire à allusion à ses collègues, un rire qui montre à quel point il s’en fou du monde qu’il y a autour de nous. « Quoi, Madame aurais peur de se faire surprendre, aurait-elle peur de tenter l’aventure ? Moi j’ai envie de toi maintenant, et je sais que je ne pourrais pas tenir ! Je te veux maintenant Irina, et les collègues ou non….Mmmmh et en plus tu veux faire ça à mon bébé, dans l’Impala…mmmmh… Le feu qui s’empare de toi, intéressant, je voudrais bien l’éteindre mais… Je crois que je préfère le raviver encore plus ! » Un sourire apparait sur ses lèvres, le rendant encore plus désirable et en moins de temps qu’il ne me la fallut pour le dire, il ôte mon tee-shirt et le jette. « Tu veux faire l’amour, là sur le capot, très intéressant, terriblement excitant. En fait tu es un exhibitionniste ou alors un gros vilain qui veut rendre ses copains jaloux. » Il m’embrasse, me mordille ma peau, jusqu’à me faire perdre pied. Puis ses mains se posent sur mes fesses qu’ils emprisonnent, quel coquin. Il réussit je ne sais comment à ouvrir la portière arrière de la voiture, mais ne me donne pas l’impression de vouloir y rentrer dedans. Par contre, moi je sens qu’il est près à glisser à l’intérieur de mon corps, et j’avoue que cette pensée de le sentir en moi me rend folle. Mes mains jouent de plus en plus avec la ceinture de son pantalon, alors qu’à moi il ne me reste que mon maillot, le match est loin d’être équitable. Quand va-t-il détacher le haut pour que mes seins se trouvent enfin en contact avec son torse si chaud ?

« Ô belle Irina, il semblerait que tu es parfaitement compris la leçon, mon moteur est déjà allumer et n’attends qu’une chose, que l’on passe à la vitesse supérieure. » Comment si je ne l’avais pas compris, avant cela je dois te délester de quelque chose. « Laisses moi le temps de m’occuper de la ceinture de ton pantalon, et du reste pour facilité le passage à la vitesse supérieure, car c’est tout ce que je souhaite, mais nous ne sommes pas pressé, laisses l’incendie encore monter. Doucement… oui, tout doucement… » Ma voix est à la limite du murmure, ma bouche cherche sa bouche, pendant ce temps ses gestes se font plus précis, il me soulève les cuisses, ouvrant mon corps à son corps. Je suis entre ses jambes, il n’y a plus que son pantalon et mon bas de maillot qui font barrière à l’aboutissement de la leçon. Mes mains décident alors de s’attaquer au dernier rempart, d’abord la ceinture. Je défais le cran ou bien pour mettre du piquant je le resserre. Juste pour jouer, juste pour le provoquer, il me semble que l’autre soir il voulait me laisser sans calin, n’est ce pas Jim, je desserre un peu, puis resserre aussitôt. Puis d’un mouvement lent, je défais le cran et tire la ceinture, reste plus que les boutons du pantalon. Et un, puis deux et enfin trois…je fais attention de ne pas effleurer celui qui se cache derrière. Ce qui n’est pas chose aisé, vu la taille de l’objet de mon désir, difficile de le loupé. Enfin le pantalon tombe, nous sommes à égalité. Mes mains glissent alors entre l’élastique et sa peau emprisonnant à mon tour ses fesses fermes et charnues, mais elles n’ont pas l’intention de rester là, non, il y a un endroit bien plus intéressant juste devant. Je les fais donc glisser sur ses hanches pour chercher enfin son être doux qui ne demande qu’une chose visiter ma grotte. Elles trouvent enfin, le trésor caché juste là au chaud, elles se mettent à le caresser. Je le libère de sa prison de tissus, en le gardant à distance. Nos deux corps sont très proches, et il me suffit d’un geste pour que nos corps rentrent enfin en contact, un contact charnel, humide, chaud, enivrant. Ma respiration est rapide, mon cœur bat à trois mille à l’heure, et sa peau me fait l’effet d’une brûlure sur la mienne. Ma bouche se fait plus gourmande, je me sens si vulnérable et pourtant j’ai envie d’être une vraie sauvage. C’est fou l’effet qu’il me fait, je suis prête à me donner à lui, maintenant et sans retenu, il lui suffit juste de défaire le nœud qui tient le bout de tissus qui nous sépare du paradis. C'est-à-dire mon maillot. « Jim, viens, je brûle, fais moi l’amour...humm, oui, n’attends plus, viens... »

Mes yeux se ferment, ma bouche s’ouvre, mes mains libèrent celui qui va devenir mon prisonnier pour notre plus grand plaisir. La porte de la grotte est toute grande ouverte, Jim je t’attends….
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MessageSujet: Re: Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. EmptyLun 21 Jan - 1:23

Irina Ҩ Jim
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Comment résister à une femme comme elle, qui semble si fragile et naïve alors qu’en fait c’est une femme fatale qui se cache à l’intérieure. Je crois que c’est limite excitant cette double facette. Comment j’ai réussi à la voir d’ailleurs cette femme fatale en elle, je ne saurais même pas dire.
Oui c’est ça en fait, on croirait au premier abord que c’est un petit chaton, tout mignon et ronronnant, et au final c’est une tigresse qui sommeille… A croire qu’elle sait vraiment y faire avec moi ça fout tout simplement les mikettes !
Moi qui été sérieux, moi qui voulais lui apprendre la mécanique, il semble que cela l’ennui tellement qu’elle veut me forcer à ne plus parler de moteur ou encore de voiture. Bon on est d’accord que forcer est un bien grand mot lorsque je réponds parfaitement à sa demande… Je ne suis pas vraiment très compliqué et c’est peut être ça le problème, mais je ne me formalise pas là-dessus pour le moment.

J’aime la voir ainsi, aussi proche de moi et ce que j’adore c’est ce jeu entre nous, on n’a pas de tabou entre nous, on dit tout et n’importe quoi et cela n’est pas si dérangeant que ça puisque dès qu’elle pose ses lèvres contre les miennes je deviens tout simplement fou et j’en oublie mon latin. Son T-shirt en moins franchement, je ne peux nier que le spectacle est très agréable, ce petit maillot de bain lui va parfaitement et j’ai presque envie de rire en me disant que nous sommes beaucoup moins sexy nous pauvre garagiste.
-Tu veux faire l’amour, là sur le capot, très intéressant, terriblement excitant. En fait tu es un exhibitionniste ou alors un gros vilain qui veut rendre ses copains jaloux.
Je rigole en mordillant sa peau.
- Mmmh, peut-être que oui, peut-être que non. En tout cas, je crois qu’ils étaient déjà jaloux de moi dès que tu es rentré dans ce garage.
Je souris, jouant de la métaphore avec elle-même si je suis beaucoup moins doué qu’elle il faut l’admettre, je suis plus doué pour ce qui est de l’emmener au septième ciel on va dire.
- Laisses moi le temps de m’occuper de la ceinture de ton pantalon, et du reste pour facilité le passage à la vitesse supérieure, car c’est tout ce que je souhaite, mais nous ne sommes pas pressé, laisses l’incendie encore monter. Doucement… oui, tout doucement…
Je soupire doucement, ouais doucement, doucement, mais bon, à force moi je suis totalement fou et je ne suis pas vraiment très connu pour la patience, surtout lorsqu’elle me murmure de façon aussi sensuelle ce genre de chose. Bien sûre Irina, j’ai bien envie de ralentir quoi…
Et je pense que cela peut se sentir lorsque je l’embrasse, lorsque je la soulève afin qu’elle puisse encadrer ses cuisse autour de ma taille. Je souris contre ses lèvres en sentant ses mains s’activer sur ma ceinture, l’ouvrant petit à petit, le refermant et faisant ce petit rituel à plusieurs reprises… Bordel elle a vraiment décidé de me faire languir. Et puis, chaque bouton qu’elle retire fait comme un grand BOUM en moi, c’est dingue tout semble résonner.
Finalement, je me retrouve en boxer. Je ne cesse de l’embrasser, ouvrant doucement la bouche pour jouer avec sa langue. Ma respiration se fait plus forte au contact de ses mains sur mes fesses, elle me rend fou.
Je lâche un léger soupir de contentement lorsque ses doigts caressent mon intimité, puis je me retrouve totalement nu mais qu’importe, je suis bien plus concentré sur ses lèvres, sa peau, son corps si proche de moi.
- Jim, viens, je brûle, fais moi l’amour...humm, oui, n’attends plus, viens...
Je souris en la voyant faire, puis, je me recule, la laissant de nouveau toucher le sol alors que d’une main je la pousse doucement vers l’arrière de la voiture. Finalement, je la pousse une nouvelle fois afin qu’elle s’allonge sur la banquette arrière alors que je me place vite au-dessus d’elle.
Mes lèvres se glissent dans son cou et alors qu’elle cambre son dos, j’en profite afin de tirer sur la ficelle de son haut, permettant de libérer sa poitrine. Je descends doucement mes lèvres embrassant sa poitrine avec envie, mes mains caressant ses hanches tendrement.
- Si toi tu brûles, qu’est-ce que je dois dire moi ? Et puis, je croyais qu’il fallait y aller douuuucement.
Oui, je la taquine clairement, mais je ne lui laisse pas le temps de répondre, ses lèvres sont à moi tout simplement.
Ô Irina, maintenant c’est toi l’impatiente et moi, car je suis un homme je décide de faire tout le contraire de ce que tu me demande, je vais te faire languir, te faire envie, me faire désirer pour encore mieux te conquérir.
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MessageSujet: Re: Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. EmptyMar 22 Jan - 17:57



Quand Mécanique rime avec Orgasmique…
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« Mmmh, peut-être que oui, peut-être que non. En tout cas, je crois qu’ils étaient déjà jaloux de moi dès que tu es rentré dans ce garage. » Il est vrai qu’à part moi je n’ai pas vu d’autre présence féminine au garage à par des clientes, mais quel homme aurait l’idée de vouloir donner des cours de mécanique à une fille, n’est ce pas Jim. Mais ce n’est pas grave, j’aime comment va finir cette leçon, peu importe le lieu et le pourquoi de la chose, j’aime tout simplement quand Jim et moi partageons ces moments d’intimité. Pas d’attache, pas de sentiment, juste donner du plaisir pour en recevoir en retour, juste un corps à corps qui au final nous procure une joie intense. Sa bouche ne cesse de jouer avec ma peau, avec mes lèvres, avec ma langue rendant chaque baiser plus intense, plus ouvert vers la destination du plaisir. Puis il recule, mes jambes glissent alors le long de ses jambes et mes pieds retrouvent le froid du sol, durant quelques second le contact de nos deux corps est rompu, cela me semble une éternité. Sur son visage se dessine un sourire, que va-t-il faire ? Enfin il me fait glisser vers la portière et avec toute sa délicatesse me couche sur le siège frais de la voiture, se positionnant juste au dessus, son souffle chaud chatouille ma peau et le battement de son cœur emplit mes oreilles. Sa bouche prend possession de mon cou, en retour mon corps réagit aussitôt et je cambre le dos. Il décide de s’occuper du haut de mon maillot, avant dernier rempart avant que mon corps ne soit tout à lui, en défaisant le petit nœud. Mes seins sont remplis du plaisir qui s’annonce et ses lèvres gourmandes leurs en procurent d’avantage et le contact de ses mains sur mes hanches déclenche des frissons qui me parcourent de part en part. Compte t-il me faire languir, je sais je l’ai un peu cherché, mais là ça devient dangereux, mais c’est tellement excitant. Je suis alors comme la plage de sable fin qui attend la marée, la douceur d’une vague qui viendrait la caresser, pour ensuite repartir et mieux revenir. Tout mon corps est en éveil et en demande de cet instant merveilleux, qui nous emporte vers d’autres cieux. « Si toi tu brûles, qu’est-ce que je dois dire moi ? Et puis, je croyais qu’il fallait y aller douuuucement. » Pas le temps de répliquer que sa bouche est à nouveau sur la mienne, il m’embrasse avec fougue et je réponds à son baiser collant au plus prêt mon corps contre le sien. Je sens son désir fort, brûlant.

Mes yeux cherchent ses yeux, juste pour savoir s’il ils brûlent du même feu que les miens, j’en profite pour faire glisser mes mains le long de son dos jusqu’à la naissance de ses fesses, puis elles passent doucement sur ses hanches. Une de mes mains quittent un instant son corps pour aller défaire les deux petits nœuds qui tiennent mon bas de maillot, ainsi nous sommes à égalité. Les choses sérieuses vont pouvoir commencer, à partir de maintenant c’est à qui fera craquer l’autre, à qui prendra le dessus, sachant très bien qu’à la fin de la partie chacun de nous aura gagné. Jouant du bout des doigts, griffant un peu parfois, mais sans lui faire mal, je ne veux laisser aucune marque sur sa jolie peau, du moins pour le moment, j’ai encore l’esprit clair. Ensuite mes bras passent autour de son cou, mes doigts jouent avec ses mèches de cheveux, je libère ma bouche de la sienne et l’approche de son oreille pour lui murmurer des mots que seul des amants disent dans ces moments là, pas des mots d’amour, ni des je t’aime, mais des mots qui bien prononcés vont sérieusement donner des idées à mon cher mécanicien. « Si tu veux tu peux avoir humhum , je peux te faire hamham , puis hothot et oui je sais faire ça aussi et encore je ne te dis pas tout, faut bien laisser un peu de place à la surprise. » Vu que certain on un esprit chaste j’ai préférais laisser le libre cour à la pensée de chacun pour éviter de choquer les esprits. lool Quand à toi mon Jim si tu veux en savoir plus tu peux me mpoter ou bien imaginer ce qu’Irina veut te faire ptdr . Une fois que j’ai dévoilé de tout ce je désire obtenir de son magnifique corps, je lui lance espérant vraiment le rendre fou. « Et le moteur va finir par caler si tu ne fais rien pour l’alimenter, et si tu attends trop je serais obliger de quitter la route pour faire une pause…si tu vois ce que je veux dire.» Je me mets à rire en voyant le regard de l’apollon que je tiens contre moi, et je profite de ce moment de faiblesse pour passer mes jambes autour de ses hanches posant mes pieds sur son fesses et d’un mouvement doux mais ferme je fais que sa vague vienne caresser ma plage, il est largement temps à la marée de monter. Ma bouche se dirige à nouveau vers la sienne, je resserre l’étreinte de mes jambes autour de son corps ne voulant pas le laisser échapper. Mon corps ondule alors doucement sous le sien, mes hanches se soulèvent, mes reins se creusent, je m’approche de plus en plus prêt du contact intime de mon corps contre son corps, mais j’attends, je l’attends. Jim va enfin prendre possession de mon corps, il est si prêt, mon souffle est rapide, mon cœur bat comme un fou, enfin il est en…. TOC.. TOC.. TOC. pas content « Euh, je. ..je. ..ne voudrais pas déranger mais Jim, tu sais où sont les batteries neuves. Et je ne regarde pas…vous pouvez continuer… » Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. 4197597986 Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. 1934592144
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MessageSujet: Re: Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. EmptyLun 18 Mar - 0:30

Irina Ҩ Jim
« La vaste nuit allume ses étoiles »


Cette journée de travail est bien trop agréable.
Après tout, on est sensé râlé toute la journée et attendre qu’une seule chose, rentrer à la maison.
Avec Irina dans les parages, il était difficile de me dire que j’avais un sale boulot. Et bien oui, lorsqu’elle se colle à moi, lorsqu’elle me dit ses phrases de façon aussi sensuelle, lorsque ses lèvres cherche les miennes. C’est tout simplement impossible de détester mon travail en ce moment même.
Et puis, sa présence fait du bien. Comme je lui fais remarquer, il n’y a pas tant de féminité ici, et rien que des cheveux long peuvent nous rendent fou. De vraie tarés ouais !
Il est vrai que de toute façon je l’ai convié pour un petit cours. Quoi ! C’est adorable de ma part, si elle a un pneu a changé elle n’a pas besoin d’attendre un preux chevalier et peut le faire toute seule. Je suis un héros tout simplement n’est-ce pas Irina ?
A l’arrière de l’Impala mon souffle se fait de plus en plus rapide alors que nos corps se collent un peu plus.
Ma bouche joue avec sa peau, mes doigts avec ses courbes. Je sens parfaitement les frissons que cela lui procure et je ne peux m’empêcher de sourire comme un imbécile. Elle veut jouer avec moi, et bien on est deux.
J’adore sentir son dos se cabré sous l’effet de mes caresses, j’adore sentir son souffle plus fort, son cœur battre plus fort.
J’adore lui faire tous ces effets au final. Finalement je dévoile sa poitrine. L’une de mes mains se place dessus, les caressant avec une envie non dissimulé.
Elle me parle alors d’un feu, du fait qu’elle brûle et moi, je ne peux que répliquer en lui disant qu’elle n’est pas la seule. Ô non, tout en moi est en train de brûler, si bien que je me sens totalement suffoquer.
Mais je ne lui laisse pas le temps de répondre. A quoi bon parler d’un feu que l’on ressent tous les deux, surtout lorsque celui-ci ravage tout sur son passage. Sa poitrine se colle un peu plus contre mon torse et je souris contre ses lèvres, heureux de la sentir aussi proche de moi.
C’est à mon tour de frissonner à chaque caresse de ses mains. Ses doigts laissant une ligne de feu particulièrement dangereuse sur ma peau déjà à vif. Je lâche ses lèvres pour regarder ses mains retirer les bouts de ficelle retenant son dernier sous vêtement. Je la regarde de nouveau, un sourire taquin aux lèvres alors que mes doigts se posent sur les siens, l’aidant à retirer les nœuds, même si je sais qu’elle n’a aucunement besoin de moi mais bon.
Je l’embrasse de nouveau, grognant doucement en sentant ses ongles dans ma peau mais je lui pardonne étrangement.
Sa bouche lâche finalement la mienne, me murmurant des choses qui me rendent encore plus désireux. Bon sang, elle a le droit de me dire des choses pareilles en cet instant ? Moi je dis que cela devrait être interdit par la loi.
Ainsi, elle est aussi une rebelle ? Comme c’est étrange, mais moi j’adore ça.
Elle sait parfaitement ce qu’il faut me dire pour me rendre encore plus désireux et fou. Je ne doute pas qu’elle doit parfaitement manipuler les hommes. Cela doit être tellement facile. Nous sommes de pauvres âmes sensibles voyons ! Il ne faut pas dire des choses pareilles sous peine de se retrouver nu et ravager par le désir…
Enfin nue, elle l’est déjà, pour mon plus grand plaisir.
- Et le moteur va finir par caler si tu ne fais rien pour l’alimenter, et si tu attends trop je serais obliger de quitter la route pour faire une pause…si tu vois ce que je veux dire
Son rire envahit le petit habitacle alors que je la regarde avec de petits yeux.
- Tu oses douter de la carrosserie ? Pas besoin de pause ou d’alimentation, juste besoin d’être bichonné.
Je rigole en voyant son regard joueur et sens son corps plus proche du mien tandis qu’elle passe ses jambes autours de mes hanches. Je la sens parfaitement me chercher, et elle sait encore une fois parfaitement ce qu’elle doit faire pour me rendre fou. Une vague, une simple vague, enfin… un tsunami plutôt qui ravage mon cœur.
- Putain, j’échappe sans le vouloir alors qu’elle emprisonne de nouveau mes lèvres.
Je me fais encore plus présent, jouant avec sa langue. Elle aussi se fait plus présente, la chaleur ne cessant d’augmenter, cette fois on y est, j’y suis presque… Enfin je vais p…
TOC TOC TOC
-Euh, je. ..je. ..ne voudrais pas déranger mais Jim, tu sais où sont les batteries neuves. Et je ne regarde pas…vous pouvez continuer…
Je me stop net, reculant le visage et regardant vers la fenêtre où mon collègue avait fait irruption.
- Putain tu déconnes là !!!
J’attrape la première chose qui me tombe sous la main… Sa culotte et lui lance violemment… Ce qui est assez ridicule au final…
- Tu voudrais pas déranger mais c’est ce que tu fais. Va demander à un autre !!! Casses-toi !!!!
Il éclate de rire en partant.
Je regarde de nouveau Irina et je ne peux m’empêcher d’éclater de rire.
- Ok… Putain… Désolé pour ta culotte qui a volé aussi.
Je me mords la lèvre inférieure, la regardant toujours avec envie, et finalement je retrouve ses lèvres de façon plus douce, comme pour rallumer les moteurs dirons-nous. Me collant encore plus à elle, faisant de léger mouvement de hanche.
- Mais ce n’est pas finit, c’était la pub avant le meilleur moment.
Je rigole de nouveau mordillant sa lèvre inférieure. Oui, le meilleure est à venir, encore un instant Irina, et nous ne formerons plus qu’un, nous pourront ainsi grimper les étages et arriver au septième ciel…

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MessageSujet: Re: Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. Quand mécanique rime avec orgasmique → ft Jim. EmptySam 6 Avr - 11:33



Quand Mécanique rime avec Orgasmique…
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Je suis allongée sur le siège de l’impala, le corps brûlant de désir pour Jim, pensant à ce qui nous attend dans les instants à venir, à cette douceur qui va emporter nos corps et nos âmes vers des mondes meilleurs, vers des contrés plus douces et plus sauvage. Je pense aussi au fait que c’est la dernière fois que je me donne à lui, son cœur appartient à une autre, et moi je commence trop à m’attacher, je ne veux pas souffrir, alors j’ai décidé que nous resterions juste amis, c’est mieux ainsi. Et puis je compte partie vers d’autres horizons, je ne peux plus rester à Fantasia Hill, j’ai besoin de voir le monde, de changer de pays, ici je ne respire plus. Même si je sais que je vais avoir mal de laisser derrière moi des amis, faut que j’avance et que je change de vie. Il finit de m’ôter la seule petite chose qui nous empêchait de nous donner l’un à l’autre et lorsque qu’enfin on …Nous voilà interrompu par un de ses collègues qui cherche des batteries, Jim est fou de rage et je le comprend, il se met à lui hurler dessus et pour mieux lui faire comprendre qu’il commence sérieusement à l’énerver il lui jette ton bonnement ma petite culotte. C’est malin ça j’espère pour lui qu’elle n’est pas tombé dans une flaque de cambouis. Mon esprit suite à ça revient à la réalité et je me souviens que j’étais venu avec un sac posé je ne sais où et qui contenait une boite de glace au rhum-raisin et une bombe de chantilly, la pauvre glace a du fondre vu le temps que Jim a mis pour me déposer en douceur sur le siège de la voiture, et la chantilly a du virer, tant pis je tartinerais le joli corps de Jim une prochaine fois, non car il n’y aura pas de prochaine fois. Je me le suis jurée. Il prend à nouveau possession de ma bouche, j’entoure mes jambes autour de ses hanches et tout en douceur je le laisse enfin glisser en moi, soulevant mon corps pour mieux apprécier le délicieux va et viens. Mes mains s’imprègne de chaque centimètre de sa peau, je ne ferme pas mes yeux juste pour pouvoir emporter avec moi chaque détail de son doux visage, le dessin de ses lèvres, la forme de son nez, la couleur de ses yeux, je me colle contre lui et respire l’odeur de sa peau. Je veux tout garder, tout emporter, ne rien oublier, à ses pensées je sent les larmes monter dans mes yeux, je ne veux pas qu’il les voient, j’enfonce ma tête au creux de son épaule et puis je murmure. « Jim, emmènes moi chez toi, au pays des étoiles voir la planète aux trésors, fais moi oublier ce monde, fais moi partir loin d’ici. Jim fais moi l’amour comme si …. » Je ne peux finir ma phrase, l’émotion m’emporte et le reste avec, je suis la plage caressée par la vague, je suis la feuille bercée par le vent, je suis l’éclair attendant la tempête, je suis bien plus que ce que je n’ose être. Et dans le tourbillon de nos corps enlacé, ivre de se donner et de se caresser, j’oublie tout, et je ne pense qu’à lui, à Jim qui à cet instant il n’appartient qu’à moi. Mais tout rêve a une fin, toute chose a une place, et lorsque la réalité reprend ses droits, tout vous éclate au visage, il ne reste que les souvenirs pour vous aider à avancer.

Je regarde Jim, ses yeux sont remplis d’étoiles, j’aime ça, je pose un baiser sur un de ses joues, puis sur l’autre savourant ce délicieux moment, celui juste après la tempête, ce moment ou les corps sont engourdis par le sublime instant qu’ils viennent de vivre. Ce moment ou on se love l’un contre l’autre priant pour qu’il n’y est pas de fin, mon corps est emplit par le plaisir qu’il vient de me donner, mes mains ne cessent de jouer avec ses courbes, pendant que les siennes réconfortent ma peau. Une douce chaleur m’envahit, une envie de lui en redemander encore, mais ce serait qu’être trop gourmande, même si mon corps dit le contraire, il faut mieux que je parte. « Jim, je crois qu’il serait plus sage que je me rhabille, avant que tu ne saisisses l’occasion de me refaire partir vers d’autre cieux, je ne veux pas abuser de ton corps, je sais je ne me gène pas d’habitude, mais là ce n’est pas pareil. » Et voilà ces vilaines larmes qui refond leur apparition, je ne veux pas qu’il me voit pleurer, que va-t-il penser, je veux qu’il garde de moi le souvenir d’une Irina souriante et pleine de vie, le souvenir de nos jeux fous et interdits, de nos crises de rire, et même de fou rire, de ces moments de joie que l’on ne nous volera pas. Mais comment lui avouer certaines choses, comment lui dire que je vais partir, alors que ses mains remettent le feu à mon corps. « Jim s’il te plait arrête, il faut que je te parle, je vais partir Jim, quitter Fantasia Hill, je ne peux plus rester, et dont on ne va pas ce voir durant un bout de temps, je garderais contact c’est promis, mais enfin voilà, je pars Jim et j’ignore si je reviendrais. » Les mots sont tombés, je me sens soulagé et je laisse du coup couler mes larmes, plus envie de cacher la peine qui m’envahit. Je me colle contre lui encore une fois, je me rhabille, et sort de la voiture. Je le regarde, je le serre voulant emporter la chaleur de son corps avec moi, puis passe une main contre sa joue et je pose un dernier baiser sur sa bouche sucrée qui a encore le gout de nos ébats, un doux baiser que je laisse se prolonger, je goutte sa langue une dernière fois, un frisson me parcours. Je m’écarte car le désir de le posséder encore devient trop fort. « Au revoir Jim, merci pour tout, merci pour ces moments merveilleux, pour tout ce que tu m’as donné, je ne t’oublierais pas et t’inquiètes je te donnerais de mes nouvelles, promis, juré, craché. Prends soin de toi et je te souhaite tout le bonheur du monde avec Tara. Ah une dernière chose, je peux garder ton tee-shirt, tu sais celui que tu n’as gentiment ôté tout à l’heure. » Je regarde une dernière fois fini de prendre mes affaires et prend la direction de la sortie, le cœur lourd et les yeux en pleurt, je laisse là un homme merveilleux qui j’espère sera heureux. Et juste avant de passer la porte, je me retourne, lui envoie un baiser du bout de mes doigts et lui dit. « Je t’aime Jim et jamais je ne t’oublierai. »

Irina part vers d’autres cieux plus propices ou elle trouvera surement celui qui fera battre son cœur, plus fort encore.
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J'ai posé bagages ici le : 20/04/2012 Jouant le rôle de : Emily, the Corpse Bride. Nombre de messages : 2553 On me connait sous le pseudo : Broken Cookie. Un merci à : paperbrain & hotmess & BTVS & tumblr. Je suis fier(e) de porter l'avatar de : Felicity Jones.
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