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La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Vide
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 La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.

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MessageSujet: La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. EmptyDim 13 Jan - 15:20

La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Tumblr_lh7el8VQPp1qay81po1_500
To love deeply in one direction makes us more loving in all others

La nuit avait été longue et pour cause, je n'avais pas réussi à fermer l'oeil de la nuit. Mon esprit était sans cesse troublé bien que j'étais à peu près que de me tourmenter pour rien. Et pourtant, j'aurais aimé dormir avec autant de facilité que j'en avais eu auparavant. Autrefois, une simple infusion réussissait à me plonger en plein rêve, profondément endormi, maintenant, une force m'arrachait au sommeil et me faisait piquer du nez chaque nuit devant la télévision.
La chasse aux antilopes n'avaient pourtant rien de très intéressant mais ce n'était pas ce qu'il se passait sur l'écran qui me distrayait l'esprit. En effet, il se trouvait que je ne sache comment expliquer ce qui avait changé mon comportement ces dernier mois. Lorsque je prenais du recul et que je me regardais, je me disais que plus rien n'était comme avant et cette transformation s'était opérée sans que je m'en eusse rendu compte. Je ne savais pas comment le prendre, s'il fallait que je sois fâché d'un tel changement ou bien que j'en tire satisfaction. Au final, j'étais tellement contradictoire que je me perdais moi même et remettait tout mes principes en question ainsi que la vie en elle même.

L'origine d'une telle tourmente avait un nom et elle s'appelait Leila. Jeune violoniste au talent inestimable et à la mélodie envoutante, tellement que j'avais été pris au piège, avait réussi à faire de moi une personne méconnaissable. Sans cesse je la soupçonnais d'être dotée de magie mais je me rendais bien compte que c'était ridicule comme théorie. En voyant le comportement des gens, je me disais que je n'étais qu'un parmi tant d'autre et pourtant, cette affirmation ne me persuadait pas encore. Pourquoi? Je savais bien qu'il était inutile de se fatiguer à essayer de trouver la réponse à cette question et encore plus de la poser et pourtant, c'était plus fort que moi. J'avais besoin d'être éclaircit parce que je n'avais jamais été aussi mal et aussi bien de ma vie à la fois, comme lorsque l'on se tenait sur un fil et que notre corps se balançait d'un côté puis d'un autre. Peut être que je devenais complètement fou...

Le travail n'avait pas besoin de moi ce jour là et le jour ensoleillé de ce matin d'hiver guida mes pas vers le parc où des enfants s'amusaient à se lancer des boules de neige. Je laissais la brise se frotter contre mon visage, un petit vent frai et agréable et enfonça mes pieds dans la neige. Elle se crispa à mesure que je la piétinais tout en faisant un bruit assourdissant et qui me laissait à penser qu'elle exprimait sa souffrance. Je m'étais retourné après avoir reçu la boule de neige d'un gamin qui avait fui en me voyant. J'aurais pu essayer de le suivre mais même si je n'avais rien de mieux à faire, je décidai simplement de hausser les épaules et poursuivre ma route en me disant que ce serait une perte de temps que de jouer avec un môme.
Je réussi à m'asseoir sur un banc sec en dessous d'un grand chêne. La neige s'était remise à tomber et je serrais un peu plus mon écharpe et enfui ma bouche derrière. Il faisait froid mais étrangement, j'appréciais la température. Des gens passaient devant moi et mon impolitesse reprit le dessus lorsque je ne répondis pas à leur bonjour matinal. A quoi cela servait-il au final, puisqu'ils se fichaient bien de ma présence et que la simple perspective de dire ce mot là était juste pour se faire bien voir? Je n'aimais pas les gens, ils étaient bien trop hypocrite à mes yeux et lorsqu'ils me qualifiaient de fou, cela me faisait bien rire. Non, je n'étais pas fou. J'étais seulement moi même.

Mon visage se tourna vers la personne à l'autre bout du banc. Je n'avais pas remarqué sa présence et visiblement, il n'avait pas non plus remarqué la mienne. C'était un garçon, tout comme je l'étais, et l'espace d'un instant, j'essayais d'imaginer la raison qui l'avait poussé à venir s'asseoir ici lui aussi. Peut être étais-je bien trop compliqué finalement et que ma vie n'avait vraiment aucun intérêt pour être arrivé au point de m'imaginer de telle chose sans la moindre importance. Au final, je décidai de me lancer.

"Dites moi garçon, pourrais-je savoir ce qui vous a poussé à venir ici?"

Il fallait que j'obtienne la réponse à cette question parce que telle était ainsi ma façon de fonctionner. Je ne tolérais aucune énigme sans sa solution, même les plus futile qu'il soit.
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MessageSujet: Re: La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. EmptyMar 22 Jan - 3:25

Qui s'embarrasse à regretter le passé, perd le présent et risque l'avenir.
-Francisco De Quevedo



    D’abord un léger bruissement en fond sonore, puis ils apparaissent à l’horizon. Un rire, deux plutôt, comme il y a bien deux enfants. Leur joie aurait dû m’être contagieuse, mais d’ici, d’en haut rien ne m’atteint, pas même l’ébauche d’un sourire forcé. Ils me passent sous les yeux en un coup de vent et je suis la finalité de leur course d’un regard curieux. C’est cette bonne humeur enfantine qui suit un mauvais coup, je sais reconnaître une bêtise quand j’en vois une. J’en côtoie à tous les jours... pire encore, j’en suis un moi-même. Éternel contre mon gré. Ce temps me semble bien loin, trop peut-être comme ma mémoire m’échappe un peu plus de jours en jours. Parfois je me demande si cette histoire fût réellement mienne, si ce Peter Pan avait bien été moi auparavant. Tant de chose me sont arrivés, avait changé mon existence et ma personnalité depuis. Le doute ne s’installe jamais très longtemps, il y a toujours quelque chose pour me rassurer, aujourd’hui c’est cette vue. Je suis perché sur ce banc, sous ce gigantesque arbre aux feuillures absentes. Jamais je ne serais monté si je n’avais pas ce souvenir bien précis en tête. Je cherchais le remède à mes blessures les plus récentes, baume à mon existence. Peut-être que cette fois, en le voulant suffisamment, j’y arriverai? S’il vous plaît... Au compte de trois, je me retrouve à nouveau sur le sol, les deux pieds enfoncés dans la neige folle, mon envol de si courte durée. Je sers la mâchoire, vaincu et déchu. Je retiens mes peines, retiens ma colère, ma violence instinctive et me contente de m'asseoir. Enfouissant ma tête entre mes paumes, j’ignore le monde l’espace d’un soupire. Quelques pas devant moi, mais rien de suffisamment intéressant pour piquer ma curiosité. Au compte de trois, ces gens me passent sous le nez sans s’arrêter. Que vais-je faire maintenant? Dire que j’y ai cru... pendant un instant j’y ai vraiment cru. Quel idiot! Tu n’es plus ce même Peter, il est temps d’en faire le deuil. Mais comment? Par où commencer? Je n’ai personne, pas une âme à qui me confier, pas sous la main. Un flocon de neige me chatouille l’oreille et je relève les yeux pour constater que la neige c’était mise à tomber à nouveau. C’est un de mes spectacles favoris, un peu plus et il me ferait tout oublier, jusqu’à mes maux les plus profonds, les plus douloureux. Juste alors où je tournais la tête pour observer les passants, mon regard croise celui d’un homme assis à une proximité respectable mais non insignifiante, nous partageons le même banc. Je le tenaille en silence et c’est lui qui prononce les premiers mots. «Dites moi garçon, pourrais-je savoir ce qui vous a poussé à venir ici?» J’arque un sourcils, c’est une étrange façon de m’aborder, mais non déplaisante. Les modalités sont si ennuyeuses, avoir à m’en passer pour une fois ne m’est pas de refus. Lui cacher la vérité ou tout lui dire? Du coin de l’oeil je croise son oreille gauche, elle semble en norme, fonctionnelle... elle fera l’affaire.

    «Je suis venu vérifier si je savais, ou plutôt pouvais encore voler.» Je me tais, l’épis, curieux de savoir ce qu’il penserait de ma réponse franche, mais peut-être inédite. Une question me brûle les lèvres alors que le silence commence déjà à épouser le temps. Je ne sais me retenir et craque. «Qu’est-ce qui vous rend heureux? Qu’est-ce qui vous donne des ailes?» Pour être plus précis. Peut-être n’avait-il jamais réellement volé, je n’en savais rien, mais tout ici, dans ce monde, avait un deuxième sens plus commun, plus figuratif et je l’avais appris à mes dépends. «À quoi rêvez-vous la nuit, le jour, que voulez-vous si ardemment que vous pourriez en perdre la tête?» C’était moi qui en perdais la tête, jamais je n’avais de moment à moi, de répit dorénavant. Ou peut-être étais-je déjà fou, je ne saurais le dire moi-même. «Vous savez? Tout le monde croit que l’ingrédient magique sont les fées, mais c’est faux, complètement faux! Elles sont partout, il suffit réellement d’y croire... en fait c’est le bonheur l’obstacle à l’envol!» Ma voix avait pris de l’assurance, s’était laissé emportée par l’émotion forte qui m’assaillait actuellement. Je ne pouvais plus m’en défaire, j’étais trop en colère contre moi-même, contre ce qui m’empêchait d’être moi-même et de voler. «Je n’y arrive pas, je ne l’aurais jamais cru... devoir réfléchir, me battre pour ne serais-ce qu’un semi-sourire. Alors dites moi, qu’est-ce qui vous rend heureux?» Vraiment heureux. S’il me disait ‘’amour’’, je lui répondrais ‘’mensonge’’.
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MessageSujet: Re: La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. EmptyMer 6 Fév - 15:32

«Je suis venu vérifier si je savais, ou plutôt pouvais encore voler.»

La réponse me surpris et je ne le cachai pas à l'expression que je lui renvoyai. Mais ma surprise laissa place à un sourire en coin, puisqu'au moins, ce jeune homme avait une façon originale de répondre à l'étrange question que je lui avais posée. Néanmoins, sa réponse eut le toupet de me faire réfléchir puisqu'il était difficile de comprendre aux premiers abord, sa signification.
- Voler? répétai-je. "Vous saviez voler vous?"
Je savais bien que cela méritait une vision plus philosophique mais après tout, peut être l'étais-je aussi. La conversation m'avait tout de même attiré et la tournure qu'elle prit fut encore plus intéressante. Lorsqu'il me demanda ce qui me rendait heureux, je savais que je n'allais pas avoir une banale discussion. Bien sur, j'ignorai qui était cet individu et sa façon de s'adresser à moi n'était pas habituelle. Mais cela me plaisait.
J'ouvris la bouche pour lui répondre, mais il s'empressa de me poser une nouvelle question : «À quoi rêvez-vous la nuit, le jour, que voulez-vous si ardemment que vous pourriez en perdre la tête?» Mais cette question me laissa perplexe et dans le besoin de réfléchir. Réfléchir, pour trouver quels mots employer puisque je n'aimais guère exprimer avec inexactitude le fond de ma pensée. Après tout, les mots pouvaient changer toute une façon de penser s'ils n'étaient pas correctement employés.

Cela dit, je me tus. Peut être n'avait-il pas fini de me questionner. En général, je n'appréciai pas que l'on me pose autant d'interrogation à la suite, comme la police avait l'habitude de le faire. En général, je m'énervais rapidement lorsque cela arrivait et je devenais tel un mur refusant de répondre à quiconque. En général, j'aimais que ce soit moi qui les pose, les questions. Mais je ne me fâchais pas cette fois ci. Je voulais continuer à l'entendre me questionner, puisque la recherche de réponses semblait être une activité tout à coup intéressante à mes yeux.
«Vous savez? Tout le monde croit que l’ingrédient magique sont les fées, mais c’est faux, complètement faux! Elles sont partout, il suffit réellement d’y croire... en fait c’est le bonheur l’obstacle à l’envol!» Pour être honnête, j'ignorai complètement là où il venait en venir. Parler de fée à quelqu'un qui passait son temps à boire du thé tout en se souhaitant lui même un joyeux non anniversaire à longueur de journée, c'était comme parler de courbes isométriques et que savais-je encore à un enfant qui ne connaissait encore rien au monde. Mais je me disais que cela avait peut être aussi un sens philosophique. Cependant, la fin de sa phrase était à méditer. Que voulait-il dire par là, puisque cela me semblait à peu près clair?
«Je n’y arrive pas, je ne l’aurais jamais cru... devoir réfléchir, me battre pour ne serais-ce qu’un semi-sourire. Alors dites moi, qu’est-ce qui vous rend heureux?» Je restai à nouveau muet et lorsque je vis qu'il semblait enfin prêt à m'écouter, je décidai d'intervenir. "Avez vous terminé vos questions? Je pense avoir quelques réponses à fournir" répondis-je alors. "Vous savez, il y a plein de choses qui me rendent heureux, voyez vous. La première, c'est de boire du thé. Oh oui, j'arrive à boire du thé, encore du thé, sans jamais me lasser. Mais ce n'est pas tout! Ce qui me rend aussi heureux c'est l'odeur des pâtisseries à la sortie du four, le sable chaud sous les pieds, entendre la pluie tomber lorsque je m'endors et toutes ces petites choses futiles mais néanmoins utiles à votre bien être." Je cessai de parler avant de reprendre la parole presque aussitôt. "Mais, la chose qui me rend heureux au point d'en rêver si ardemment que je pourrais en perdre la tête c'est..." une image me vint immédiatement en tête. Comment ne pouvait-elle pas m'illuminer, puisque cela semblait si évident? "... son sourire. Oui, ce qui me rend heureux, c'est de la voir elle heureuse. Je ferais n'importe quoi pour pouvoir continuer à voir son sourire."
J'avais dit ces paroles en tout regardant le ciel d'un air rêveur. J'aurais pu faire un discours entier sur ma réponse mais je n'avais réussi qu'à résumer ma pensée de cette manière. Non seulement la vision de son sourire m'était apparu mais j'avais aussi entendu son rire, senti sa peau sur le bout de mes doigts, gouter au souvenir de sa compagnie et sentir son parfum. Et bizarrement, me rappeler de son sourire me fit moi même sourire sans que je m'en rende moi même compte. C'était la magie même qu'elle arrivait à produire sur moi et qui agissait avec effet. Une magie douce et agréable. Rien au monde n'était plus plaisant que d'être ensorcelé de la sorte.
Je clignai des yeux en me rendant compte de ma transition d'état. Peut être devrais-je m'excuser, mais je ne voyais pas pourquoi je le ferais. Je tournai ma tête vers le garçon et ce fut tout naturel que je lui demandais un simple : "Et vous? Que vous faut-il pour être heureux, au point d'en rêver si ardemment que vous pourriez en perdre la tête?"
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W. Emily Stoker-Pemberley

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W. Emily Stoker-Pemberley
J'ai posé bagages ici le : 20/04/2012 Jouant le rôle de : Emily, the Corpse Bride. Nombre de messages : 2553 On me connait sous le pseudo : Broken Cookie. Un merci à : paperbrain & hotmess & BTVS & tumblr. Je suis fier(e) de porter l'avatar de : Felicity Jones.
MessageSujet: Re: La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. EmptyMar 30 Avr - 19:05

Presque trois mois sans réponse, j'archive La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. 1823284050

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