L'amitié c'est beau. Même mieux qu'une barbe à papa qui fond dans ta bouche. Tu ne cesse de l'ennuyer avec tes suppliques à la noix. Du genre : " J'ai la dalle, paie moi à bouffer." J'ai soif ta de l'argent ?" Genre c'est ton porte-feuille sur patte. Pourtant tu l'apprécies bien plus qu'elle ne le pense. Quand tu vas mal, que tu as envie de pleurer comme un bébé et bien elle est là. Rien que pour toi, parce-qu'elle te comprends. Elle aussi quand elle va mal t'es là pour elle. Alors oui l'amitié c'est aussi bon qu'une barbe à papa.

Ma Maman Poule. Si tu la touche, si tu lui fais du mal je te bouffe. C'est la mienne, c'est ma propriété. Il n'y a qu'à moi qu'elle fait à manger. Il n'y a qu'à moi qu'elle chante des berceuses et me borde la nuit quand j'ai froid. Alors attention le premier qui lui brise le cœur je le tue. Je lui fais avaler un gland périmé. C'est Maman poule et croit moi je m'y accroche comme-ci ma vie en dépendait.

En pleine réflexion.

En pleine réflexion.

Tu l'as vu seule sans défense désarmée. Un homme plutôt insistant lui faisait miroiter monts et merveilles. Son si beau visage exprimait de la crainte. Alors tu t'es approché d'eux. Tu as jouer ce faux Superman que tu sait si bien imiter. Tu lui as tiré le bras de toutes tes forces pour la planquer dans ton appartement à l’abri des regards. Puis là en signe de bienveillance tu lui pose un énorme Pot de Nutella afin que toutes ses peurs disparaissent. Sauf qu'elle s'est permise de vider à moitié le pot. Mon dieu ! Tu as flippé tellement flippé que tu as caché ton pot de Nutella en signe de défaite. Maintenant elle vient souvent te rendre vite et pour te remercier de ce si beau geste elle t'offre en quelque sorte un bonheur sans fin. "Du Nutella."

En pleine réflexion.

T'étais pas insensible à son charme si bien que tu t'es perdu avec elle dans les plaisirs de la chair sans oublier l'alcool qui te rongeait les veines. Ta honte d'avoir été aussi c*n. Ta l'impression d'avoir profité d'une femme sauf qu'elle n'a pas l'air de ton avis. Tu te sens assez embarrassé par le regard qu'elle te lance. Ta cette impression si mesquine d'avoir tout oublié. Et pourtant ô combien pourtant t'aimerais recommencer.

La voleuse de Tiramisu. Tous les dimanches, je fais la course comme un forcené pour éviter que cette cruelle voleuse me vole mes tendres et chères pâtisseries. Sauf que toutes les semaines elle mène des plans diaboliques pour m'empêcher d'arriver avant elle. A croire que cela lui fait terriblement plaisir de me voir pleurer pour un Tiramisu. Je me répète sans cesse que ce n'est pas si grave que cela, qu'il y a d'autres boulangeries prête à combler mes papilles gustatives. Mais que voulez-vous, je suis un homme et j'ai ma fierté. Je l'aurais un jour !

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

Tu t’attaches tellement à cette personne qu'elle te devient indispensable. Tu deviens alors peu à peu dépends à elle sans contrôler tes gestes, tes mots, ta façon de la regarder. Pour toi tout est normal. Jusqu'au jour ou cette personne disparait sans aucune explication. Alors tu souffres en silence. Tu est en colère, blessé. Tu décides ne plus jamais avoir à faire à elle jusqu'à que tu rencontres à nouveau ses yeux dans un couloir. Ton cœur se remet à faire des soubresauts étranges. T'aimerais la haïr au fond de toi mais t'en a pas le courage.

En pleine réflexion.

Lui c'est Mr conneries. D'ailleurs ta l'impression de revivre en cédant à ses caprices. C'est ton pote et pourtant il n'hésite pas à te lancer toutes sortes de défis à la co* dans lesquels tu cèdes immédiatement. Il t'arrive même de te demander pourquoi tu fais cela ? La réponse est simple. T'aime rire, t'aime t'amuser et pour rien au monde t'échangerais ta place avec quelqu'un d'autre. Ce mec est timbré, toi tu l'es également et t'apprécie jouer au c*n. Tu te pisses parfois dessus à force de capituler face à ses provocations mais en fait ce n'est qu'un jeu. Un jeu tout bonnement banale qui te fais oublier les soucis quotidien et t'apporte le sourire.

Encore ces défis à la c*n que l'on me lance. Et moi de toute évidence je me jette dans la gueule du loup sans aucune hésitation. Sauf que malheureusement en voulant voler l'Impala de ce jeune homme je me suis fais prendre. Je n'ai jamais vu quelqu'un autant aimer une voiture. Je crois que j'aurais pu y laisser ma vie si je ne m'étais pas excuser de si tôt en lui expliquant la raison de cela. De toute façon j'allais lui rendre sa foutue Impala. Du coup je me retrouve sous les ordres de ce type à exercer en tant qu'apprentis garagiste. Encore une fois je me suis mis dans le pétrin. Mais finalement il n'a pas l'air aussi méchant que cela. C'est juste qu'il doit aimer sa voiture plus que tout. Je peux comprendre cela me rappelle ma vie antérieure...

Rencontre pour lem oins assez original. J'étais ivre, je me suis permis de monter sur la piste et de jouer le stripteaseur. Sauf que malheureusement c'était la catastrophe assurée. Je voulais montrer aux yeux des autres que j'étais assez doué dans ce domaine. Raté. Alors des espèces de types baraqués m'ont envoyé valser à l'extérieur de la boîte. Agréable chute dis donc. Puis soudain mon estomac hurlait la faim. Alors je me suis engouffré dans un restaurant pour avaler un plat de pâte gargantuesque quand soudain mon regard rencontra à nouveau deux prunelles bleutées. Tiens Mr "je me fou à poil" était là. Face à moi avec un sourire des plus agréable. Apparemment il voulait prendre de mes nouvelles. Sympa le bellâtre mais j'avais l'air d'aller plutôt bien. Puis le temps passa, les semaines également et une sorte de complicité assez ambiguë s'installa entre nous. C'est trop étrange. Cette situation ne me déplaît pas bien au contraire, mais je suis lassé de tous ces jeux.

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

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