"Seven Devils all around you" ~ RP groupé les méchants et les victimes

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La cigarette dans sa main droite, celle-ci s’enfumait, se consumait, abandonnée par un roi assis sur sa chaise, l’air ennuyé. Les jambes sur le bureau, les écrans tout autour de lui diffusaient une lumière tamisée, morbide par tant d’obscurité. La nuit était tombée, le soleil remplacé par cette pleine lune, argentée, belle dans son lit de ténèbres, elle ne voyait pas elle, ce qui allait se passer cette nuit, elle ne verrait pas les vices commis par un groupe de personne, par des individus morbides portant la mort, le crime sur leurs épaules. Elle ne verrait pas le jeu barbare qui allait se perpétrer dans l’ombre d’un immeuble. Le sourire s’étendit plus encore à la pensée pernicieuse de cette nuit de débauche, il se souvint dans sa mémoire brumeuse que toutes les invitations avaient été envoyées, reçues, les invités étaient déjà là dans cette énorme pièce aux allures de salle d’opéra. Le maire n’avait pas encore fait son entrée, n’avait pas fait son discours qu’il ne ferait jamais, les assignations étaient des illusions destinées à appâter les pauvres victimes, car les villes créatures ne survivraient pas sans des innocentes. Les notes de violon étouffaient la pièce, Nazar prit la télécommande, impérieusement il augmenta le volume, la musique apparu alors dans toute sa splendeur, le maire se leva, tournoya dans son royaume de souffre, ses cheveux volant, il se balançait en cadence, il dansait pour la nuit à venir. Il partit dans ses sombres pensées et le rire résonna, faisant écho à l’enfer, au sang versé sur l’autel satanique. Dans un coin de la pièce, rutilantes, les armes étaient exposées à sa vue, promesse d’éternité pour les personnes en détresses, c’était l’engagement d’un dieu que de pourvoir au bien-être de ses fidèles sujets, il allait leur donner la mort, les transporter dans l’Eden inatteignable. L’arme dans sa poche, son sourire plaqué sur ses dents pointues, la machine infernale allait se mettre en route, les pierres s’effondreraient dans un brouhaha palpable, les crapauds sortiraient des entrailles du ciel, la colère des dieux pourfendrait le traitre, le détruisant, l’émiettant. Avalant un liquide douloureux, tranchant comme une épée, il sortit de son antre, le regard vague, il dansait encore sous le rythme de la musique, son corps tremblant sous l’effet de la joie qu’il éprouvait, ses pensées divagantes dans les eaux enlisées d’ordure. Le tir fut impressionnant, bruyant. Plié en deux, l’hilarité trompait les fortifications en fer forgé, elle s’étalait, planait, on pouvait l’entendre, la surprendre dans un rire dément. Prenant, avec forte délicatesse le micro attaché, la voix sortie du tréfonds des gouffres du maelström, grave, l’ironie comme arme… « Bienvenue mes chers ! J’espère que vous vous êtes bien installés, là, dans votre fauteuil. Avez-vous trouvez un semblant de joie dans cette salle qui recèle des secrets bien intense ? Ce soir, n’est pas une soirée ordinaire mes amis… Ce soir, je vous permettrai de transgresser les limites imposées par la loi de Dieu… Nous le savons tous d’ailleurs, Dieu n’existe pas futile image pour rassurer le commun des mortels. Sur ce, je vous souhaite une bonne soirée, remplie de bonheur et d’amusement. ». C’est alors que la lumière s’éteignit, l’immeuble plongé dans le noir, seul Nazar, caché comme un rat dans ce labyrinthe, avait droit à cette lumière bienfaitrice. « Une autre petite chose également. J’ai oublié de mentionner un infime détail… un somnifère a été placé dans votre boisson. Je trouve cela bien plus palpitant mes amis ! ». Le jeu pouvait alors commencer, le sang éclaboussé partout sur les murs. Oui… le jeu pouvait commencer, c’est au plus fort qui gagnerait la partie.

Spoiler:

Invité

Les méchants && Eerin.

Pourquoi j'étais venue ? Ah oui, pour de la simple curiosité. Je savais que c'était une mauvaise idée de venir chez Nazar. Le maire avait beau être un canon sur pied, il sentait la méchanceté à l'autre bout de la ville. Mais bon, j'y avais été invité, et mon commerce commençait à couler, alors autant aller chercher des clients ce soir. Et puis le coupon d'invitation m'avait plut. C'était d'ailleurs pour cela que je venais, je me demandais bien ce qui allait se passer ensuite. J'aimais les jeux autant que les autres vilains qui se trouveraient avec moi. J'avais envie de jouer, alors autant se rendre la-ba.

Comme à mon habitude, j'ai revêtue une robe et des lunettes noires, qu'on ne me prenne pas pour ce que j'étais. Je m'étais donc rendue chez Nazar, impatiente de cette soirée. J'y mettais beaucoup d'espoir, de vivre une soirée étrange et qui me ferait peut-être même peur. N'exagérons rien non plus, je mettais préparer à la vivre cette soirée. La première chose qui m'énerva c'était le monde. Mon dieu, je pensais petit comité, la ville entière avait été invitée. Je détestais quant-il y avait trop de monde, ça me donnait des envies de meurtres. J'entrais tout en prenant un verre, trop de musique aussi, ça me tuait les oreilles. Je ne pouvais reconnaitre, aucunes personnes, ni aucune voix avec ce bazar. Je me promis de retrouver Nazar et de lui foutre une baffe pour ne pas avoir pensé aux aveugles de la soirée.

Énervée, et seule, je me posais contre un mur, ruminant mes pensées. Je finis mon premier verre rapidement et je levais les yeux au ciel. J'enlevais cependant mes lunettes et ouvrit les yeux histoire de voir ce qui se passait. J'avais hâte que cela avance comme soirée. Un sourire s'étira sur mes lèvres juste à cette pensée.

La voix du maire résonna alors dans la salle. Il voulait jouer, mon dieu, je l'aimais d'un coup. Si on allait jouer, j'étais d'autant plus motivé. Une autre petite chose également. J’ai oublié de mentionner un infime détail… un somnifère a été placé dans votre boisson. Je trouve cela bien plus palpitant mes amis ! Je levais les yeux au ciel. Évidemment, si il fallait dormir autant dormir bien. Je bus donc d'une trêve mon deuxième verre et tombais dans les bras de Morphée sans aucune surprise finalement.

Je fus réveillée et me levais péniblement. Je détestais les somnifères ça avait le don de m'endormir et de me foutre un mal de tête à chaque rêve, comme lorsque j'avais trop bu. En tout cas j'avais prévu le coup. Je sortis donc de sous ma robe un joli pistolet, au cas où. Je n'aimais pas les jeux dans le noir et il n'y avait aucune lumière apparente. Ca ne me plaisait plus du tout. Je me rendis compte que je n'étais plus dans la salle principale. Plus petite, plus confinée. J'ouvris une porte au hasard, cherchant quelqu'un de vivant, je ne jouais jamais avec les armes, mais j'étais titillée ce soir, mieux valait ne pas me chercher. J'avais cependant hâte de trouver quelqu'un de vivant dans ce lieu lugubre et trop sombre à mon gout. « Allez, venez, sait un jeu après, alors bougez vous.

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Silent Sins

Rp des vilains

Et la seule solution était de rester figée et de se battre. De se battre contre cette silhouette si nouvelle, si humaine qui mentait et troublait la justice. Il fallait se battre contre le mensonge qu’on bâtissait pour ne pas tomber dedans et ne plus être retrouvée. Son regard se déversait sur ses courbes lascives et si féminines, s’échouant un instant sur sa robe. Une robe si éclatante pour une muse obscure qui ressemblait à une cascade d’émeraudes dans ces cavernes de trésors qu’on lisait dans les contes. La clarté du tissu peignait le corps avec une sensualité gourmande et dévorait chaque regard qui s’y plongeait, si bien qu’on pouvait imaginer des scènes envoutantes, désolantes, effrayantes d’un serpent dansant sur une macabre découverte. Et sa longue chevelure funeste amplifiait le sombre des illusions. L’étrange apparition détacha ses iris de cette toile d’araignée et se plaça machinalement sur les lèvres de son domestique qui se trouvait derrière l’assassin observant la magnificence qui se reflétait dans un miroir médiocre pour tant de charmes. « Vous êtes divine » Divine...
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Les yeux chatoyants de délices, la prêtresse indécente, avança dans cette salle occupée par d’exquises créatures. Les enfants de Dieu la fascinaient au plus haut point et leurs paroles l’enthousiasmaient davantage. La lumière divine semblait découler du lieu tant l’espace était si juste et joyeux. La traine de sa robe émeraude contrastait avec le doré et le blanc, si bien qu’elle sortait du décor, qu’elle était exclue. Jamais l’épouse d’un monstre ne serait parmi les angelots. Jamais elle ne gouterait au Salut. Attrapant une coupe de champagne sur un plateau qui flottait par là, elle la porta à ses lèvres aux pétales rosées et brillantes. Le liquide brûla sa gorge et s’écoula dans son être pour enivrer ses muscles et les décontracter. Mais l’alcool tombait goutte par goutte dans ses veines, se mêlant à son sang enragé, à sa gloire déchue, dessinant une mousseline limpide et dévorante sur le vin rouge. L’inconscience perçait son esprit, envoutait sa raison et se jouait de son intelligence transformant le Malin en satyre, protecteur des jouissances des fêtes. Un sourire brisa son masque de marbre, les éclats s’envolèrent et tuèrent sa vigilance presque naturelle. Les voiles embrumés de la joie l’enveloppèrent, la jeunesse reflétait sur son visage enjôleur, et elle se laissa couler dans ces eaux méconnaissables qui furent teintées de millions de couleurs plus éclatantes les unes que les autres. Les voix se dispersaient, seule elle était, perdue elle se trouvait. Un labyrinthe envahit sa tête, la boussole en main, en cendre se transforma-t-elle et les quatre vents la dispersèrent, elle, l’innocente. Le tambour de guerre charnel résonna en elle, bientôt chassés furent les autres sons, bientôt assourdie fut ses oreilles, bientôt le bruit la déconcerta et lui donna la migraine. Et alors que sa candide personne s’engouffrait encore plus dans la mer avivée, elle perdit souffle dans cette course contre le sommeil puis s’écrasa sur le sol dallé, aucun drap en velours d’Orient n’épousant les formes de son enveloppe charnel.
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Morphée lâcha peu à peu son emprise, laissant la nymphe habitant les sombres forêts ombrageuses, respirer l’air étouffant de la pièce. Les bruissements des gestes délicatement guidée par le dieu du sommeil ruisselèrent dans ses oreilles et firent frémirent les premiers instincts encore un peu dans les vapes. Les souvenirs assombris par des nuages de doute réveillèrent la bête. L’étrangeté de la situation ouvrit avec brutalité ses paupières et cognant ses ongles au sol gelé, le monstre qu’on avait énervé et désillusionné, releva sa tête lourde. La masse de cheveux couvrait encore son visage pâle et l’encre de ces fils de charbons se fondait parfaitement avec les ombres qui avaient avalé les cadavres. Avec une lenteur déconcertante, l’esprit décryptant l’horreur qui allait surprendre les humains, la sorcière claqua ses talons au sol. Tout lui semblait familier et différent en même temps. Les ténèbres étaient sa famille mais cela n’indiquaient rien de bons en ce qui concernait ses « protégés » jetés aux oubliettes. Un poids froidement placé dans sa poitrine la démangea et sa main plongea dans le fantasme du sexe opposé pour en retirer un objet en métal. La forme lui rappelait une clef et ce n’est que lorsque la chair de ses doigts fut presque broyé par les dents de glaces qu’elle en fut sûre. Elle avait une chance de s’en sortir. Une chance de ne pas finir comme toutes ces futures victimes. Avançant avec une souplesse déconcertante et féline, elle se laissa prendre par les murs et chercha toutes les issues enfonçant la clef dans tous les trous sans aucune grâce envers eux. Rien...Un bruit capta son attention. Une survivante. Les pas tranchés par le son des talons s’étouffa et en animal, elle décida de les suivre. La cage fonda sous son passage, mais tout était noir de nouveau...Elle sentait son corps être plus oppressé, plus enfermée encore, se trouvant donc dans un couloir. Continuant son chemin, cherchant une sortie, la clef dans sa main, sa froideur mordant sa peau délicate. Et pourtant, malgré la douleur humaine, elle se déchirait la chair avec les dents encore plus fort, pour se rassurer, s'assurer même, qu’elle n’était pas une victime de cette machination, mais plutôt, la joueuse.

FICHE PAR STILLNOTGINGER.

Spoiler:

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Sabor + les autres petits morveux

La limousine s'approche et finit par s'arrêter devant l'entrée. Plusieurs regards se sont tournés vers la voiture, mais je ne m'en préoccupe pas. C'est vrai, je ne fais pas une arrivée des plus modestes. Faut dire qu'avec cet engin, c'est difficile de faire le contraire... Et pour ça, je dois remercier Nazar. « T'es un vrai ange. » Je minaude ces paroles avec un beau sourire au portier qui m'ouvre la porte et entre dans l'immeuble d'un pas assuré. Ah, l'endroit est parfait pour une belle fête! Je ne sais pas ce que Nazar a préparé, mais dans tous les cas je sens que ça va me plaire. Je prends le premier verre qui tombe sous ma main et le bois rapidement. La pièce est bondée, beaucoup de gens ont décidé de venir. Bien. Les humains ont tendance à dire que plus on est de fous, plus on rit, et je commence à les croire. Mon regard croise celui d'un homme, fin vingtaine peut-être. Je lui fais un sourire rempli de malice et un petit signe de main. « Salut mon beau, tu n'irais pas me chercher un autre verre? » Il semble surpris sur le coup, étonné probablement qu'une fille comme moi l'aborde comme ça. Ce que c'est mignon. Il part tout de même en direction du bar et je souris de satisfaction. C'est fascinant de voir comment un homme peut facilement se faire berner. Faites-lui des yeux doux et hop, il croit qu'il vous possède déjà.

La voix de Nazar se fait alors entendre pour un petit message de bienvenue et il nous annonce que nos verres contiennent des somnifères. Je n'ai aucune idée où cela va nous mener, mais je sens déjà que je vais bien m'amuser. Mon ''gentlemen'' revient, verre à la main. C'est drôle, il semble beaucoup moins sûr de lui depuis l'annonce. A-t-il déjà peur? « Merci chaton. » Je prends mon verre et le bois, plus tranquillement cette fois. Des invités commencent à ressentir les effets des somnifères, certains tentent d'échapper à l'assoupissement. Je m'étends contre un mur et ferme les yeux. Je me fatigue vite, je ne lutte pas et le sommeil m'emporte peu à peu.

C'est dans un lieu complètement différent que je reprends conscience. La pièce est plus petite, plus sombre. Je me relève lentement, tenaillée par un mal de tête. Malgré cela, je ne perds pas ma bonne humeur. La véritable soirée commence ici, maintenant, et je dois jouer. L'endroit semble avoir une porte, c'est déjà ça. Je m'avance vers elle et l'ouvre. Ça débouche sur un couloir où la pénombre est persistante. Je m'y engage. Mes talons claquent sur le sol, brisant le silence de plomb. Je me balade comme ça, sans trop savoir où je me dirige. Je passe de couloir en couloir sans croiser le moindre signe de vie, pas une seule âme erre avec moi. Mais ça ne saurait tarder, je le sens. Je suis prête aussi, je suis en chasse.

la tenue de Sabor :

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Tell 'em that the villains are back

A l'arrière du taxi , j'étais assis , mon bras dépassant de la fenêtre à demi-ouverte, une cigarette à la main . C'était en début de soirée . Toute la ville de Fantasia Hill avait été conviée à une mystérieuse soirée mondaine . Il n'était généralement pas dans mes habitudes de pointer le bout de mon nez lors de ces stupides soirées mondaines où les invités ne font que caqueter autour d'un verre de cocktail . Et puis, très souvent , le prix du repas était exorbitant et j'étais loin de rouler sur l'or . Mon arrivée à Fantasia Hill n'avait changé en rien celle que j'avais en Louisiane . Je vivais toujours de ce boulot de charlatan , persuadant les autres que j'étais un magicien , me nourrissant de leurs malheurs et de leurs craintes personnelles pour satisfaire mes désirs . La voiture s'immobilisa soudainement . Je jetai d'un geste fugace ma cigarette sur le sol goudronneux et descendis de la voiture .

« Vous viendrez me chercher dans les alentours de trois heures du matin . » lançai-je d'un ton on ne peut plus impérieux .

Vêtu d'un smoking noir , d'une chemise blanche simple agrémentée d'une cravate sombre, je me dirigeai d'un pas nonchalant vers le lieu où la fête avait lieu . Alors que j'atteignis les portes imposantes de ce qui semblait être un opéra, j'attendis une musique lointaine . De toute évidence , quelques invités étaient déjà présents . Un homme vêtu d'un smoking attendait juste devant les portes de l'opéra , les bras croisés , les traits du visage impassibles . Je crus entendre un "bonjour" mais je n'y prêtai guère attention et m'engouffrai dans l'édifice . A peine avais-je pénétré dans la salle , que mon visage s'illumina soudainement . La salle regorgeait d'invités . J'étais prêt à mettre ma main à couper que tout Fantasia Hill était là . Elle grouillait d'invités et il était quasi impossible de se frayer un chemin . Quelques notes de piano en guise de bruit de fond , de longues tables sur lesquelles avaient été posés des buffets , la soirée s'annonçait prometteuse . Je balayai la salle du regard , recherchant un visage qui pouvait éventuellement m'être familier . Mais je ne reconnus pour le moment personne . J'arquai un sourcil et me dirigeai en direction de la foule , me fondant dans la masse . J'esquissai un sourire mauvais en voyant tous ces invités afficher un sourire rayonnant . Les ignorants . Je ne sais pas pourquoi mais j'avais au fond de moi que cette soirée allait être mouvementée , agitée par un évènement complètement inattendu . Cela tombait bien , j'aimais les surprises . Cette soirée allait nous réserver quelques surprises , je l'espérais . Dans le cas contraire, je rentrerai plus tôt . J'avançai alors qu'un serveur approcha avec un plateau de verres . Je m'emparai d'un verre de champagne et esquissai un sourire forcé en guise de merci . Je trempai mes lèvres dans mon verre et au même moment , quelqu'un prit la parole . Cette voix ne m'était pas étrangère . Les sourcils froncés , je tendis l'oreille . Tous les invités avaient cessé de parler et portaient toute leur attention sur le discours de Nazar . Peu de temps après , j'étais pris de vilains maux de tête . Mon corps se mit à vaciller, ma vue devenait de plus en plus floue et je tombai sur le sol carrelé dans un bruit sourd .

Peu de temps après , je me relevai . Je passai une main derrière ma tête , encore un peu secoué . Je n'avais pas compris ce qui avait pu se produire . Je me sentais encore toute chose . Les maux de tête étaient encore présents . Lorsque j'ouvris les yeux , je remarquai que la salle était plongée dans le noir avec pour seule lumière celle provenant des lampadaires de la rue. Je fronçai les sourcils . Cette salle n'avait rien à voir avec la salle dans laquelle je m'étais trouvé en premier lieu . Et où étaient donc passé tous ces invités ? L'espace y était restreint . En me levant , je remarquai que la salle semblait être un salon . Que s'était-il passé ? Je n'en savais strictement rien mais cet évènement avait aiguisé ma curiosité . La partie pouvait commencer . j'arborai un sourire mauvais alors que j'avançai vers ce qui semblait être une porte de marbre . J'essayai de l'ouvrir mais en vain . Elle était vérouillée . Impulsivement , je frappai violemment dans la porte .

« Merde ! » dis-je l'air furieux.

Je perdais patience . Cette salle était-elle sans issue ? je regardais autour de moi et de toute évidence , il n'y avait aucune issue possible . j'eus le réflexe de regarder le sol , cherchant s'il n'y avait pas une trappe mais rien . J'étais pris au piège . Je me mis alors à pousser un cri grave qui résonna à travers toute la salle . Sans plus attendre , j'enfonçai la porte qui , céda à mes coups et se brisa en quelques morceaux . Une douleur à l'épaule , je grimaçai . Le regard assassin , je regardai autour de moi à la recherche d'un signe de vie . J'avais bel et bien raison de croire que cette soirée s'annonçait riche en surprises . Sans trop savoir pourquoi , je me mis à rire d'un rire glacial et guttural . Oui , cet évènement imprévisible avait réveillé en moi un désir ardent de m'amuser et de faire passer un moment infernal à de pauvres créatures innocentes . Alors que Fantasia Hill s'endormait , quelque part là-bas , il y'avait un homme qui restait tapi dans l'ombre attendant impatiemment de prendre sa revanche .

made by pandora.

tremblez, jeunes mortels

Vous voilà, cherchant une issue dans ce labyrinthe sans faille, glissant sur les murs telles des petites vermines. Ce que vous êtes minables à regarder! Allez, rampez, priez. Priez pour revoir la lumière du jour. Ici, même la mort semble douce et sa poigne est réconfortante et vous supplierez bientôt que ce cauchemar prenne fin. À moins que votre coeur soit dur et que votre sang soit froid. Alors, dans ce cas, peut-être avez-vous une minime chance de réussir ce que nous attendons de vous: retrouver Nazar, tapis dans ces sombres dédales. Alors peut-être vous vivrez. Seulement, pour y parvenir, il vous faudrait quelques indices, ou du moins une piste à suivre. Tout ceci vous sera offert si la chance vous sourit, il suffit de suivre mes commandes à la lettre.

Les commandes
4 joueurs sont présentement dans la course. Pour les aider, ils peuvent lancer un dé qui leur donnera un indice/action à jouer dans le RP. Mais attention, la chance n'est pas toujours au rendez-vous! À côté de l'indice, il y aura un chiffre. Ce chiffre représente votre avancée sur la recherche de Nazar. Après les trois prochains tours, celui qui aura le plus de points sera celui qui trouvera Nazar! Vous avez droit à un lancer de dé par tour (par réponse rp, donc). Par contre, vous pourrez relancer le dé, aux tours suivants, si vous tombez sur une option que vous avez déjà eue. Comme il n'y a pas que des chiffres positifs dans les lancers de dé, vous avez toujours la possibilité de ne pas lancer de dé et de faire votre propre réponse rp sans indice/action si vous vous sentez malchanceux.

Pour lancer un dé
Après avoir cliqué sur ''Répondre au sujet'', vous avez, juste en bas des boutons Prévisualiser, Brouillon et Envoyer, les lancers de dé. Donc vous sélectionnez le dé ''seven devils'' et laissez le nombre de lancés à 1, et le tour est joué!

Parce que les lancers de dé c'est neuneu
Finalement je peux pas mettre des phrases dans le dé olala

Donc quand vous lancez le dé, vous recevez un chiffre, et ce chiffre correspond à un indice/action. La liste est là: (adieu la surprise olala

)

1: Vous tombez sur un message écrit au sang sur le mur. ''Pour trouver l'homme caché, suivez la traînée de sang séché.'' +2 points.
2: Vous entrez dans une pièce plongée dans l'obscurité complète. En tâtonnant le sol, vous sentez des corps visqueux sous vos mains... des vers! Vous continuez plus loin et vous vous rendez compte que cette pièce est bien plus grande que ce que vous vous êtes imaginé. Mais où est donc la sortie, la porte par laquelle vous êtes entré? Vous ne le savez plus. - 2 points.
3: Vous trébuchez au sol et tombez par hasard sur un objet personnel de Nazar... Il est probablement passé par là. +1 point.
4: Exténué(e), vous vous laissez glisser sur le mur et restez là un moment. Mais, quelque chose se met à bouger près de vous... un rat! -1 point.
5: Vous vous sentez faiblir à mesure que vos pas rencontrent le sol, vous décidez alors de vous étendre un peu. Seulement, vous vous endormez et faites un petit somme, ce qui vous met un peu de retard dans votre recherche. -1 point
6: Des coups de feux résonnent, de la musique en pulsation, un rire malsain... vous vous approchez du but. +1 point
7: Vous fouillez dans votre poche/sac à main et tombez sur un morceau de papier qui n'était pas là à votre arrivée. Une petite carte de l'endroit y est dessinée! Il est difficile de vous y situez, mais une pièce est marquée par une croix, seule information sur la carte. Si vous vous y rendez, peut-être trouverez vous celui qui se cache... +3 points
8: Vous entrez dans une pièce remplie de paille. La porte se verrouille par elle-même et, pour ressortir, vous devez trouver la clé perdue dans le foin. -3 points
9: Vous vous retournez, vous voyez des ombres furtives. Quelqu'un vous suit, visiblement. Vous tentez de l'intercepter, mais la personne réussit à fuir, laissant derrière elle une petite énigme: ''L'homme que vous cherchez se trouve là où l'obscurité est maître des lieux.''. +1 point
10: En visitant les lieux, vous êtes arrivés dans un coin plus humide des sous-sols et le sol est parsemé de flaques d'eau. Vous finissez par glisser sur l'une d'elles et vous vous blessez à la cheville. -1 point

Vous avez manquer le bateau?
Alors prenez le train!

Donc, tu n'as jamais connu l'existence de ce rp et maintenant que j'y emmène ma belle bouille il t'intéresse? Tu es en retard! Mais pour cette fois-ci je vais être indulgent et tu peux même te rattraper. Tu n'as qu'à faire comme les 4 autres et faire ton lancer de dés, et tu écriras ton rp au même endroit où les autres sont rendus, c'est-à-dire dans les sous-sols en pleine obscurité à chercher Nazar. Tu peux résumer en ''flashbackant'' ton arrivé à cette ''soirée mondaine'' dans ton rp. Donc, par exemple, ta réponse rp pourrait être que ton personnage se réveille, là, flashback de son arrivée à la soirée mondaine, et puis il se met en route et subit l'action du lancer de dés. Compris? Si ça l'est pas c'est normal, au pire envoie-moi un mp et Tonton Anonymous va tout mieux t'expliquer. N'oubliez pas que les gentils aussi peuvent participer, ils vont seulement se faire plus taper dessus. "Seven Devils all around you" ~ RP groupé les méchants et les victimes 1646690119

"Seven Devils all around you" ~ RP groupé les méchants et les victimes 1646690119

charney

Invité

Sabor + les autres petits morveux

Ça viendra éventuellement "Seven Devils all around you" ~ RP groupé les méchants et les victimes 4153354820

Le membre 'K. Sabor-Blyth Kaapo' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'seven devils' : 2

Invité

Silent Sins

Rp des vilains

BLURPINOU !!! Ca viendra mes choux

FICHE PAR STILLNOTGINGER.

Le membre 'Judyx M. "Lilith" O'Mørk' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'seven devils' : 8

Invité

RP ARCHIVÉ

vu la suppression de Nazar (enfin, sa disparition plutôt "Seven Devils all around you" ~ RP groupé les méchants et les victimes 2389784783

), ce rp ne peut plus vraiment être possible... mais on peut toujours s'organiser un rp entre méchants en reprenant quelques idées de celui-ci si ça vous intéresse!