Ma vie avait commencé d’une façon bien différente de tous les autres comptes. Ma mère était morte en me mettant au monde et mon père c’était remarier à une femme méchante qui me voulait du mal, ne supportant pas que mon père me préfère à elle. Dès qu’elle le peut, elle fit tout pour que je tombe, où parte du château. Elle tua mon père, le roi, je n’eus jamais de preuve, mais j’étais sûr que c’était son œuvre ! Lorsque je fus enfin une femme, elle tentât plusieurs fois de me tuer à cause de ma beauté et parce que je lui faisais de l’ombre. Elle envoya un chasseur pour prendre mon cœur, mais il ne réussit pas à me tuer et me laissa seule dans la forêt. Grâce à mon amour pour les animaux, ils me guidèrent jusqu’à une petite maison habité par sept nains qui travaillaient à la mine. Elle s’attacha très vite à ses sept petits bonhommes tous différents mais tellement adorables. Je fus alors heureuse de m’occuper d’eux, leur préparant de bon petit plat, faisait le ménage, m’occupant du linge, j’avais enfin une place importante auprès de quelqu’un. Mais mon bonheur fut de courte durée puisque ma méchante belle-mère réussit son but, avec une pomme empoisonnée en se transformant en une vieille paysanne. Je fus plongé dans un sommeil profond et éternel. Mais un beau prince du nom de Floriant, m’en sortit par un baiser d’amour. Et dans sa démence, la reine, ma belle-mère, tomba d’une falaise, me laissant ainsi tranquille pour toujours ! Floriant me demandât ma main, et nous nous marions très peu de temps après. Nous parlions même d’avoir notre premier enfant.

J’avais froid, il faisait froid et humide. L’odeur de la forêt remplissait mes narines et mes poumons. J’ouvris alors les yeux, j’étais allongé par terre, dans la forêt. Je me redressais sur mes avant-bras, désorienté, ne sachant ni où j’étais, ni ce que je faisais là ! Je regardais autour de moi, une brume épaisse régner autour de moi, j’observais les bras mes jambes, je portais des vêtements bizarre, ils étaient collants, rêche, je ne pas porter ma robe mais quelques choses qui étaient autour de chacune de mes jambes et des chaussures relativement haute. « Prof, Timide, Atchoum, Joyeux, Simplet, Dormeur, Grincheux, Floriant ! » Je les appelais tous, mais je n’eus pas de réponse. Je me levais du sol, me remettant sur mes jambes, passant ma main sur mes vêtements pour retirer la terre et les feuilles qui y restèrent collées. Je ne sais plus combien de temps j’avais marché cette nuit-là, avant de trouver des gens aptes à m’aider, mais ce dont je me rappelle, c’était leur accueille, leur aide et ma fatigue.

Deux ans avaient passé depuis que je n’étais plus chez moi, j’avais atterri ici, ils appelaient cette ville New York, je n’en avais jamais entendu parler avant, mais à présent j’y vivais, sans mon mari, sans mes amis, j’étais seule et je n’avais jamais parlé de mon passé à qui que ce soit, j’étais pleinement consciente que personne ne me croirais. J’avais donc fait ce qu’il appelle des études et j’étais devenu infirmière dans un hôpital psychiatrique, un hôpital pour ce qu’ils appellent « les fous ». Un jour je fus affectée dans une aile où je n’allais jamais, mais une collègue était enceinte et venait de prendre ses congés maternité. C’est alors que je le rencontrais, il disait s’appeler Flynn Rider. Personne ne le croyait évidemment, mais ce ne fut pas mon cas. Je m’attachais alors rapidement à lui, lui conseillant de ne plus parler de ces choses, d’oublier, de faire sa vie et de « devenir normal ». C’est un an plus tard qu’il sortit de cet hôpital et elle démissionna le suivant car à présent, ils étaient en couple, très amoureux l’un de l’autre.

Lorsqu’elle lui dit qu’elle venait du même monde que lui, il en resta choqué, cherchant par tous les moyens s’il y en avait d'autres comme eux. Et ce fut le cas, c’est donc ensemble qu’ils allèrent à fantasia Hill. Ils comprirent alors qu’ils étaient loin d’être les seuls, ils s’installèrent le bas, de façon séparer, car ils étaient tous les deux mariés, les choses s’étaient éclaircies dans un sens, mais vraiment compliquées dans un autre. Elle était dingue de lui attirer comme par un aimant, mais elle ne savait pas ou était son mari, ni la femme de Flynn. Et s'ils étaient dans ce monde, tout comme eux, et qu’ils revenaient par un beau matin et les découvraient dans les bras d’un ou d’une autres. C’était une situation bien compliquée