❖ Si j'étais toi je partirais en courant

« Y’a rien de plus ravissant que de voir un égo meurtri sur le beau visage d’un ange.

Une heure de l'aprés-midi. Les clients affluaient et William n'avait pas arrêté de la journée. Il faut dire qu'en ce moment il y avait de l'amour dans l'air, nombreux étaient les hommes qui se présentaient à lui en lui demandant conseil pour des bagues de fiançailles, visiblement ils avaient tous décidé de sauter le pas, autant dire qu'autant d'amour lui donnait irrémédiablement la nausée. Ensuite, il y avait les vieux gâteux qui venaient revendre leurs bijoux pour les faire expertiser afin d'avoir de l'argent à donner à leurs petits-enfants dans leur testament. La matinée avait été pleine de bénéfice, c'était le moins que l'on puisse dire, et depuis quelques minutes ils pouvaient enfin respirer et faire disparaître ce sourire mielleux de son visage, la première impression faisant toujours sensation il se devait d'être impécable et pourtant dieu sait qu'il aurait eu vite fait d'envoyer se faire voir tous ces pédants. Il prit le temps de s'asseoir face à son bureau et de se servir un verre de vin, premier petit plaisir de la journée, il faut dire que monsieur était un amateur de vin et il estimait qu'il n'y avait pas d'heure pour boire, c'était son premier petit plaisir de la journée. Entendant la petite cloche sonnait, indiquant qu'un client venait de passer la porte, il releva la tête et vu ce qu'il voyait le deuxième petit plaisir de la journée était certainement arrivé. Il avait déjà vu cette fille, une ou deux fois dans la rue, l'avait abordé pour lui ramasser son porte-monnaie qu'elle avait fait tomber. Elle était venue jusqu'à lui, comme pour se jeter dans la gueule du loup, il avait trouvé en elle le profil idéal. Une nouvelle expérience, une nouvelle aventure.

-Bonjour, que puis-je pour vous ?

William & Rose

si j'étais toi je partirais en courant

J'avais enfin fini par m'y faire à cette nouvelle époque, l'époque de la technologie. J'avais même enfin ouvert mon propre refuge et j'avais réussi à avoir des contacts avec qui je communiquais par ses nouveaux outils. Alors bien sur à chaque e-mail, je prenais bien plus d'une heure. Pour chaque nouveau contrat entre le refuge et les familles d'accueil ou bien tout simplement la nouvelle famille de l'animal, j'avais opté par un contrat sur feuille que je retaper sur ordinateur une fois libre. J'avais donc passé ma matinée à taper mes nouveaux contrats.

J'avais décidé de consacrer l'après-midi à une toute autre occupation. J'avais décidé d'écouter ma sœur de cœur, elle qui voulait que je fasse à tout prix des rencontres, j'allais en approfondir une. La veille, j'avais recherché le nom du bel homme que j'avais croisé dans la rue sur internet. Je ne sais pour quelle raison, mais lorsqu'il, c'était redresser devant moi après avoir ramasser mon porte-monnaie, il m'avait tout simplement plu comme une grande attirance physique. Je ne sais pas vraiment à quoi ressemble l'amour si cela commençait par une attirance physique alors je ne voulais pas perdre cette occasion. C'est donc cette après-midi que j'avais décidé de me rendre sur le lieu de travail où il travaillait.

Une fois devant lui, et qu'il m'est demandé ce qu'il pouvait pour moi que je ne savais plus quoi dire. C'est donc avec rapidité que je répondu :

- Vous remerciez de m'avoir donné mon porte-monnaie.

J'avais tout simplement l'air idiote avec ce sourire béant. Comme si, mon sourire allait tout faire et allait rattraper le coup que je sentais me filer sous les doigts.

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« Y’a rien de plus ravissant que de voir un égo meurtri sur le beau visage d’un ange.

Ce monde était tellement distrayant, bien loin de Neverland, ce pays maudit où il n'était qu'un sous-fifre, qu'un faire valoir, à présent il était maître de son propre bateau et cette nouvelle vie lui offrait tellement de perspective qu'il ne savait laquelle choisir. Il scruta sa bijouterie, il avait racheté ces murs miteux et en avait fait la plus célèbre bijouterie de la ville, avec les pierres les plus précieuses qu'on pouvait trouver ici. Enfin, en dehors de sa collection personnelle évidemment. Pourtant, William s'ennuyait à mourir, ses clients l'exaspéraient, et il n'avait pas trouver de nouvelles sources d'amusement récemment. Pas de nouveaux bars à visiter, pas de nouvelles conquêtes ... depuis deux jours, non vraiment, sa vie avait un goût fade.

Pourtant en voyant la jeune femme entrait dans sa bijouterie, tout ses sens se mirent en alerte. Il l'avait remarqué, bien avant qu'elle fasse tomber son porte monnaie, se renseignant sur elle, sachant son métier, connaissant son adresse, il avait dressé un dossier spécial sur elle, tout simplement parce que c'était elle qu'il avait choisit, elle qu'il voulait dés maintenant. Ses magnifiques yeux vert l'avaient immédiatement séduit et il avait eu bien du mal à se défaire de leur emprise. Elle avait l'air naïve, elle avait un "je ne sais quoi" qui l'avait séduit, ainsi lorsqu'elle avait fait tomber son porte-monnaie il lui avait semblait tout naturel qu'il aille l'aborder. Il avait envie de la faire sienne, de la posséder. Un sourire étira ses lèvres, si elle savait tout ce qu'il pensait elle ne le remercierai certainement pas, mais il ne fallait pas lui faire peur, seulement l'amadouer petit à petit.

-Oh je vous en prie c'est normal, je n'allais tous simplement pas vous laisser dans le pétrin.

Son sourire ne passa pas inaperçu et William sentit qu'il fallait saisir la perche dés maintenant. Il se leva, serrant la main de la jeune femme

-Enchanté, je m'appel William.

William & Rose

si j'étais toi je partirais en courant

J'avais passé la matinée à taper mes nouveaux contrats mais aussi à penser à cet homme que j'avais rencontré. Il me paraissait si séduisant, si magnifique, si intéressant. Je ne savais pas si entre nous de l'amour était possible et surtout s'il était célibataire. Il me paraissait si séduisant, si magnifique, si intéressant. J'avais donc réfléchi à ce que je pouvais lui dire toute la matinée, j'avais même fini par trouver des sujet de discution.

Mais désormais, j'étais devant lui, et je ne savais plu quoi lui dire. Hier, je n'avais aperçut ses yeux vert, un vert perçant. J'avais donc fini par ne pas lui sortir une phrase sencer, mais plutôt tout simplement le remercier pour le faite qu'il est ramassé mon portefeuille, ce que j'avais déjà fait. Cette fois-ci, j'avais accompagné cette phrase par un grand sourire en espérant que celui-ci fasse son effet. Celui-ci avait heureusement poursuivi la discutions en se présenta, je pouvais désormais mettre un nom sur son visage.

- Vous avez un magnifique prénom... Enchanté, moi, c'est Rose, Rose Mérida Perse.

Je continuais à paraître totalement idiote face à lui, alors je continuais à avoir un grand sourire pour rattraper le tout.

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« Y’a rien de plus ravissant que de voir un égo meurtri sur le beau visage d’un ange.

Ce qui était bien, c'est que pour William les journées ne se ressemblaient jamais, du moins il faisait en sorte qu'elle soient toujours différentes afin de ne jamais être attirer par l’ennui. Il avait constamment besoin de distractions, et quand elles étaient nouvelles ça n'en était que mieux. Il lui prenait parfois, en regardant les clients, d'imaginer les pires choses, de ne voir que la noirceur de leur âme parce que soyons réaliste, personne n'est réellement tout blanc. Maintenant qu'il avait choisi sa nouvelle proie, il avait juste attendu qu'elle morde à l'hameçon.

Elle était là, devant lui, et William était ravi, c'était tellement plaisant d'arriver à ses fins bien que rien n'était encore gagner, il fallait d'abord apprivoiser la demoiselle et surtout gagner sa confiance. Pour le moment elle était pleine de gratitude, il fallait donc en profiter pour sauter sur le moment et l'attirer pleinement dans ses filets, une bien belle perspective. Le fait qu'elle lui fasse un peu de charme signifiait qu'il avait gagné la moitié du chemin, il lui restait encore l'autre moitié à parcourir. Rose, simple mais qui collait impeccablement avec la jeune femme, aprés tout elle avait tout d'une fleur, l'odeur envoûtante, la couleur de ses yeux chatoyante.

-Je vous retourne le compliment mademoiselle, vous êtes ravissante.

Pour le moment il fallait faire comme si de rien n'était, il fallait qu'il la laisse venir à lui, il fallait qu'elle le désir.

-Désirez-vous voir quelques bijoux ? J'en ai des magnifiques à l'arrière-boutique.

William & Rose

si j'étais toi je partirais en courant

Mes journées se ressemblaient plus ou moins toute, entre taper mes contrats ou bien encore tout simplement les passer, nourrir mes animaux, donner de l'amour à mes animaux. J'avais de la chance d'avoir comme amis Rox qui a une imagination de dingue, un petit jeu qui me sortait toujours de mon contexte habituel. Ainsi que ma sœur de cœur, ma meilleure amie Raiponce qui avait pour idée de me faire rencontrer un jeune homme, que je connaisse l'amour moi aussi à mon tour, et bien évidemment nos sorties sont toujours différentes, rarement le même endroit.

La veille j'avais rencontré un homme dans la rue qui avait tout simplement ramasser mon porte monnaie. Il m'était toute suite parut magnifique, ces yeux verts perçants, son regard, sa coupe de cheveux ébouriffer. Je n'étais jamais tombé sur un homme aussi beau à mes yeux. J'avais donc décidé de lui rendre visite à son lieu de travail après avoir trouver ce renseignement. Je pense que si j'avais laissé cette chance se passait sous mes doigts, Raiponce m'aurait surement fait un sermon.

"Ravissante", j'ai bien entendu que je suis ravissante. Aucun homme n'avait encore employé ce mot vis-à-vis de moi. Je l'avais bien sur déjà entendu, mais pas pour moi, les hommes avaient plus tendance à me dire que je suis belle mais pas ravissante.

- Merci beaucoup.

Je rougissais à la vue de ce compliment.

- Je serais ravie de découvrir vos bijoux et si j'ai l'honneur d'en voir avant les autres, je ne pourrai pas vous dire non.

J'espérais qu'en plus de voir les bijoux, on aurait l'occasion de faire plus ample connaissance. Pour l'instant, je me laissais tout simplement guider par William que ce soit dans le magasin ou même dans notre rencontre.

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« Y’a rien de plus ravissant que de voir un égo meurtri sur le beau visage d’un ange.

C'était magnifique d'avoir toujours des journées différentes. William se souvenait de ses jeunes années, lorsqu'il n'avait que seize ans et qu'il avait embarqué à bord de la flotte du capitaine Crochet, lui qui n'avait ni amis ni famille. Il se souvenait du regard rêveur qu'il posait sur la mer lorsqu'il était sur le pont, du chant des mouettes qui frôlaient les voiles du navire. Il avait été aux ordres du capitaine pendant tellement de temps, lui qui rêvait d'évasion, de liberté. Il avait obéit sans jamais cillé mais secrètement il aurait voulu être à la place du capitaine, avoir son propre navire, son propre équipage et pouvoir piller à sa guise tous les navires qu'il rencontrait. La mer lui manquait, et ce vieux rafiot aussi, aujourd'hui les choses étaient bien différentes. Il avait bâti la bijouterie la plus grande de la ville, et passer ses nuits à boire ou dans la chaleur moite des femmes.

William n'avait pas beaucoup d'amis, à vrai dire il n'avait pas envie de s'attacher à des futilités et d'être freiné dans sa soif de pouvoir. Il voulait le monde à ses pieds, au revoir la bijouterie, bonjour le monde. Le jeune homme pouvait se montrer incroyablement cruel mais surtout trés manipulateur, il avait toujours ce qu'il voulait. Elle était là, devant lui, Rose était entrée d'elle même dans l'antre du loup et c'est lui qui l'y avait guidé. Elle avait su l'intrigué et surtout éveiller son désir, il devait à présent la flatter, la brosser dans le sens du point, lui offrir tous les compliments et les honneurs qu'une femme comme elle méritait.

-Je ne peux m'empêcher de vanter votre beauté car vous êtes exquise.

Un léger sourire étira les lèvres de William, il lui prit délicatement la main, l'emmenant dans l'arrière boutique. C'était une salle spacieuse dans laquelle se trouvait un grand bureau avec un fauteuil et de nombreuses vitrines contenant des bijoux tous plus beaux les uns que les autres. Il s'approcha d'une des vitrines et sortie un grand écrin en velours contenant de magnifiques bagues serties d'émeraude et de rubis.

-Je ne montre jamais à l'avance les prochains bijoux mais vous êtes une exception de plus ... Je serais ravi de vous en offrir un.

William ouvrit l'écrin, lui montrant les bagues, et plongea ses yeux dans ceux de la jeune femme lui demandant d'une voix charmeuse:

-Que faîtes-vous dans la vie ?

William & Rose

si j'étais toi je partirais en courant

Et voilà que je continuais à rougir à tous ces compliments que William m'adressait. Entre le fait que je sois ravissante et maintenant que ma beauté est exquise, je ne pouvais que rougir. Jamais aucun homme ne m'avait adresse autant de compliment en peu de temps et surtout, je n'avais jamais laissé un homme me complimenter aussi longtemps. En temps normal, je serais sur la défensive, à ne pas accepter les compliments, mais avec cet homme, c'était tout simplement différent.

- Et bien, je vous remercie encore une fois. Vous aussi, vous êtes tout simplement magnifique. Un très bel homme.

Je ne pouvais pas dire le contraire. C'est sa beauté qui a fait que je suis aujourd'hui dans sa bijouterie. À la première seconde, j'avais craqué sur lui.
Il m'attrapa la main et encore une fois, je ne lâcha pas sa main immédiatement. Je me laissai même guider vers l'arrière-boutique. Une fois à l'endroit désiré, il me sortit ses magnifiques bijoux. Des trésors comme je les aime avec des pierres. Je remarquai un petit bijou tout simple, mais avec une grande beauté avec trois petites pierres rose.

- Et bien merci, si vous désirez m'offrir un bijou. Je vous laisse choisir celui que vous pensez qui me conviendrez le mieux.

Lorsqu'il plongea ses yeux dans les miens, je craquai de suite sur ses petits yeux verts et son regard, mais encore plus sur sa voix.

- Je dirige un refuge animalier que j'ai construit dans mon grand jardin. Et vous, cet endroit est votre bijouterie ?

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Rose rougissait de tous les compliments qu'il faisait et William était ravi de l'effet qu'il produisait, il la flattait la cajoler de compliments et ses rougeurs étaient tout simplement délicieuse. Le jeune homme étai conscient de l'effet qu'il produisait sur les femmes, il le savait parfaitement et en jouer énormément, il savait que pour arriver à ses fins il fallait arriver à gagner leur confiance, à les attirer un peu plus dans ses filets, et pour le moment ça marchait à merveille avec Rose. Il lui portait un vif intérêt parce qu'il imaginait déjà tout ce qu'il allait pouvoir lui apprendre pour satisfaire un homme. Un sourire étira doucement les lèvres du jeune homme et il prit délicatement la main de la jeune femme pour lui faire un baise main.

-Ca me va droit au coeur.

Elle était adorable, délicieuse, sublime, et bientôt elle serait à lui, la sensation divine qu'elle lui appartenait monta en lui, certes elle ne le savait pas encore mais ça ne saurait tarder, elle finirait par s'en rendre compte, il la dominait déjà de part la naïveté de la jeune femme. Il l'entraîna délicatement dans l'arrière boutique, en pleine heure creuse il ne risquerait pas d'être dérangé, c'était donc parfait. Il ouvrit un coffret pour montrer à la jeune femme toute la beauté des pierres qu'il enfermait dans l'arrière boutique. Il était rare que William offre des bijoux, soit il les vendait soit il les gardait pour lui, mais là c'était bien différent, ça faisait parti de son plan. Il remarqua le regard de la jeune femme errait sur un bracelet simple contenant trois magnifique pierres rose. Il le prit et le passa autours du poignet de la jeune femme.

-Il vous va à ravir.

Un refuge animalier ? Tiens donc, il ne s'attendait pas à ça mais ça ne la rendait que plus intéressante, aprés tout elle avait l'air d'être une vraie enfant de coeur.

-Oui, c'est bel et bien ma bijouterie, j'espère qu'elle vous plaît. Bien que la chaleur soit insupportable.

William desserra sa cravate pour la poser sur la chaise, c'était clairement un sous-entendu à l'atmosphère qui régnait. Il s’approcha dangereusement d'elle.

-Puis-je vous offrir une coupe de champagne ?

William & Rose

si j'étais toi je partirais en courant

Je ne savais pas encore ce qui allait m'arriver. Tout ce que je sais, c'est que j'étais réellement sous le charme de William. Plus il me complimenter et plus je rougissais à la vue de ses mots. J'étais tout simplement heureuse, je flottais sur un petit nuage. Je me demandais si ce n'était pas ça d'être amoureuse, si c'était de l'amour. Non ce n'était pas possible, cela devait seulement être une attirance physique mais vraiment forte. Puis il m'attrapa la main et y déposa un baiser, ce qui me rendit une nouvelle fois rouge.

- Je suis ravie dans ce cas.

Je me trouvais désormais devant plusieurs bijoux, des magnifiques joyaux. L'un d'entre eux me tapa à l'œil. Un petit bracelet avec trois pierres. Cela me fit penser à mon époque, les personnes comme moi de la royauté pouvaient se permettre de porter des bijoux, ma mère voulait souvent que j'en porte. Moi, j'acceptais seulement lorsque c'était de simple bijou et jamais de bagues.

- Oh merci. Mais comment avez-vous su que c'était celui-ci qui me plaisait ? Je ne suis pas aussi discrète que je le souhaite ?

La chaleur insupportable, ça oui, elle se faisait de plus en plus insupportable. D'ailleurs, je n'hésitai pas à enlever mon manteau ainsi que ma petite veste, je me retrouvais désormais avec un petit t-shirt sexy. Cela me fit penser à la fois où je m'étais retrouvé au bord de la forêt en sous vêtement pour faire du stop pour notre fameux jeu du cap ou pas cap. Je compris bien vite que cette fois-ci, ce n'était pas un jeu et puis surtout ce n'était pas avec la même personne.

- Une coupe de champagne, bien sur volontiers. À condition que vous en buviez une avec moi, je ne voudrais pas me retrouver seule à boire.

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« Y’a rien de plus ravissant que de voir un égo meurtri sur le beau visage d’un ange.

La séduction était un art dans lequel William excellait, se surpasser même, Rose était tout à fait charmante et il faisait en sorte que la jeune femme tombe sous son charme afin de pouvoir en faire ce qu'il voulait. Le jeune homme enchaînait les femmes, il n'arrivait pas à se focaliser sur une seule c'était tout bonnement impossible il n'était qu'un homme aprés tout. Il n'était pas avare de compliments ni de gestes tendres pour la jeune femme, il essayait de l'amadouer au possible pour pouvoir l'attraper dans ses filets.

Le joaillier se contenta d'esquisser un petit sourire à la phrase de la jeune femme, il savait que c'était à peu prés gagner, que du moins il l'avait amadouer, il avait utiliser son charme pour l'envoûter, et compter bien faire d'elle sa captive pour un moment. Il eu un petit sourire en coin et fit mine de réfléchit avant de porter son regard sur elle.

-Disons que votre regard en dit long mademoiselle ...

Il avait desserré sa cravate, il faisait insupportablement chaud et la tension était insoutenable. La jeune femme enleva sa petite veste et se retrouva en T-shirt, la jeune homme la contempla sans gêne. Cette jeune femme renfermait bien des mystères et elle lui plaisait de plus en plus. Il hocha la tête et se dirigea vers un meuble en bois, en sortant une bouteille de champagne. Il rempli deux flûtes et versa deux glaçons dans chaque verre. Il lui tendit une des flûtes:

-Tenez ma chère, j'ai sortit l'une de mes meilleures bouteilles.

Il prit à son tour sa coupe et trinqua avec elle.

-A notre rencontre.