Bon vin et révélations.

« Avec une bonne bouteille de vin, attends-toi à quelques révélations qui changeront ta vie à tout jamais. »

Le week-end. Qu'est ce que tu peux le haïr - seul moment de ta vie où te ne travailles pas. Ce n'est pas que tu ne veux pas au contraire, tu aimerais ça toi, travailler le week-end. Mais dans ce monde-ci, il s'avère que la plupart des parents ne travaillent pas le week-end et donc, peuvent s'occuper de leurs enfants eux-même. En gros, durant ces deux jours tu ne sers strictement à rien et durant ces deux interminables jours, tu t'ennuies devant ta télé où au bar du coin devant un petit verre de vin. Et alors que d'autres attendent avec impatience d'être le week-end et de profiter de ce repos pour faire la fête et décompresser. Toi, tu comptes les secondes, les minutes et les heures qui s'écoulent avant d'être le début de semaine afin de servir à nouveau à quelque chose. Mais pour l'instant, tu devais trouver quelque chose à faire, pas question de rester une soirée et week-end de plus devant la télé à te lamenter - pas question non plus de sortir, tu avais comme qui dirait un peu la flemme de bouger tes fesses en boîte où au bar du coin. La seule solution de réserve qu'il te restait était de passer cette soirée avec ta meilleure amie et confidente devant une bonne bouteille de vin. C'était sans doute, bien mieux de finir pompette avec elle - que seule sur ton tabouret à rire sans trop savoir pourquoi. Avec elle, tu savais d'avance que ça serait plus drôle et depuis le temps que tu n'avais pas passé de soirée en sa compagnie, c'était l’occasion de l'inviter. De ta poche, tu y sors ton téléphone portable afin d'envoyer un message d'invitation à Emily. Et une fois fait, tu en profitas pour filer sous la douche et d'enfiler par la suite, des vêtements décontractés.

À partir de là, tu arrangeas le salon à ta manière - de façon à ce que l'ambiance invite bien à la fête intime entre copines. Deux verres à vin sont posés sur la table basse du salon - il ne manque plus qu'elle pour que la soirée puisse commencer. Et en attendant son arrivée, tu décides de regarder un peu la télévision - et en zappant, tu finis par tomber sur une émission consacrer aux félins d'Afrique que tu regardes avec une très grande attention et nostalgie. C'est alors que, tu entends comme deux coups provenir de ta porte d'entrée - tu éteins alors ton poste de télé pour te diriger tout sourire vers l'entrée. Derrière celle-ci, toujours aussi belle et rayonnante ta meilleure amie, ta confidente : Emily.

ø Salut Emy. Comment vas-tu ?! La questionnes-tu après lui avoir faut la bise et l'avoir prit dans tes bras. Mais entre, entre je t'en prie. La laissant passer, tu l'invites à s'avoir sur le canapé où tu t’assois à ton tour en lui offrant ton plus beau sourire avant de reprendre directement la parole. ø Veux-tu un verre de vin ?! Où autre chose peut être ?! Tu veux manger quelque chose ?! Dis moi ce qu'il te ferait plaisir. Un nouveau sourire illumine ton visage - alors que tu attendais de savoir ce qu'elle désirait boire où bien manger. C'était une habitue que tu avais prise à cause des petits que tu gardais - tu avais l'habitude de leur poser cinq milles questions à la suite car, tu ne savais jamais vraiment quand les poser. Et même si tu savais que ton amie prendrait du vin, tu n'avais pas pu t'empêcher de lui poser toutes ses questions.  

super maman & la reine déchue

Bon vin et révélations.

« Avec une bonne bouteille de vin, attends-toi à quelques révélations qui changeront ta vie à tout jamais. »

Lorsqu'elle t'avait demandé si ça ne te dérangeait pas qu'elle est prise la liberté d'amener sa petite chienne - tu la gratifia tout simplement d'un sourire suivit d'un hochement de tête. Signe que ça ne te gêné pas le moins du monde - au contraire une personne de plus où de moins n'avait vraiment aucune espèce d'importance. Et puis, ce n'était cette adorable petite Falyn qui allait vous empêcher de vous amuser où, vous empêcher de passer une bonne soirée. Et donc, installer sur le canapé, elle souhaite boire un bon verre de vin - ça tombe bien c'est justement ce dont tu avais envie toi aussi. Alors, tu l'abandonnes deux secondes - le temps pour toi, d'aller chercher une bouteille dans la cuisine. Et tu reviens rapidement bouteille débouchée en main et sert le premier verre à Emily avant de te servir à ton tour. ø Tiens voilà pour toi. Dis-tu en poussant légèrement le verre face à elle avant de te rendre compte que tu avais oublié d'apporter une gamelle d'eau fraîche pour Falyn. ø Oh mince, excuse moi ma puce je t'ai oublié - attends je reviens. Et, de retour dans la cuisine, tu remplies un assez grand bol d'eau bien froide que tu apportes dans le salon et pose dans un coin. ø Comme ça si elle a soif, elle n'aura qu'à se lever pour aller boire. Un sourire amical étire tes lèvres alors qu'enfin tu décides à t'asseoir face à ton amie. Verre à la main, tu en bois une, puis deux gorgées de suite.

Elle avait déjà mangé - eh bien parfait. Si jamais elle avait encore un petit creux, tu l'inviterais à faire comme chez elle et à aller se servir dans ton frigo. Tu lui jettes un petit sourire alors qu'elle souhaite savoir comment a été ta journée. Eh bien comme tous les samedis, tu te fessais chier comme un rat mort. Tu t'es levé un peu plus tard que d'habitude : 10h00 - pour ensuite te doucher, t'habiller, boire un café et sortir prendre l'air. Et l'après-midi, n'avait pas été guère plus enthousiaste que la matinée : promenade et petite bronzette dans le parc. Donc, rien de bien exaltant. Tu souffles légèrement pour lui montrer ton exaspération dû à cette journée de début de week-end - dire qu'il restait encore le dimanche à passer - voilà qu'il n'allait vraiment pas arranger ton ennui certain.

ø Oh ! Comme un samedi - à chier. Si tu savais comme je hais le week-end. Je n'attend qu'une chose que la semaine recommence pour m'occuper de tous mes bouts de choux. Et toi ta journée ?! La questionnes-tu à ton tour tout en avalant une nouvelle gorgée de vin. J'espère qu'elle a été plus exaltante que la mienne. Ajoutes-tu dans un petit sourire amusé.

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Occupé - comme tu aurais aimé être dans son cas. Car, ta journée avait été pire de que merdique et même si parfois ça fait du bien de lâcher du l'est où de respirer un bon coup. Tu ne pouvais pas nier à quel point, tu te fessais atrocement chier les weekends - tout comme les jours où tu n'avais pas d'enfants à t'occuper. Ces jours là, tu essayes le plus possible de les éviter, mais lorsque cela est impossible est bien, tu fais toujours en sorte de t'occuper. Et comme à chaque fois, il a des jours où sa marche et d'autre non - des jours avec et des jours sans. Quoi qu'il en soit, tu lances un léger sourire à Emy - tout en sirotant une gorgée de ton verre de vin qui est, tu te disais, drôlement bon. Et, tu te disais même que tu finirais par n'acheter que cette marque là de vin - car à tes yeux et surtout à ton palet, il était sans conteste le meilleur vin que tu avais goûté - depuis ton arrivée dans ce monde. Si le lait restait la boisson que tu consommais le plus - le vin, était sans doute celle que tu consommais le plus en compagnie d'Emy où en soirée. Bon ... en soirée, tu évitais d'en boire des litres parce que, avec un sacré un bon coup de nez, tu te savais très très mauvaise. Et ça, tu ne le supportais pas - c'est pour ça, que tu éviterais d'en boire trop ce soir aussi. Et même si il était très bon, tu n'irais pas abusé des bonnes choses.

Et alors que tu avalais une autre gorgée, Emy reprit la parole - et cette fois-ci, ton sourire vint laisser place à un visage neutre même, légèrement attristé. Son mari lui manqué. Comme tu la comprenait. Le tien aussi te manquer cruellement. Depuis ton arrivée dans ce monde, tu n'avais cessé de croire que lui aussi avait pu prendre forme humaine et ressusciter ici même comme-si de rien n'était. C'était peut être fou où même idiot de penser ça, mais tu voulais y croire - pour toi, Mufasa était vivant et même si Fantasia Hill était un endroit atrocement grand, tu savais qu'une jour tu le retrouverais où que lui finirais par de retrouver - ce n'était qu'une question de temps - et ce jour là, tu ne serais retenir toutes ces larmes qui restent ancrées au fond de ton être tout entier. Fixant Emy du regard, tu poses une main amicale, compatissante, rassurant sur son épaule avant de prendre la parole de ta voix douce et rauque.

ø Comme je te comprend. Le mien aussi me manque terriblement. Depuis, mon arrivée ici, je ne cesse d'espérer qu'un jour, nous puissions nous retrouver. Même si, les chances de le revoir un jour sont plus que maigres. dis-tu avec un léger pincement au cœur, même si au fond, un léger espoir persisté toujours. J'espère que tu le retrouveras bientôt. Je te le souhaite en tout cas Dis-tu en lui lançant un léger sourire sympathisant rempli d'espérance et honnêteté.

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Moi et Sarabi, on se complète. Il n'y a rien au monde qui puisse nous enlever ce qui nous ressemble le plus. J'ai toujours voulu en savoir plus sur elle, car il y avait des moments qui me chicotait un peu la tête. Rien de mal, mais simplement parce que je me demande si elle ne venait pas d'un autre monde... comme moi. J'ai vécu dans un monde complètement différent de celui-ci. Parfois, il m'arrive d'avoir le réflexe de me gratté la tête ou le derrière des oreilles avec mes jambes. Une chance que ce n'est que chez moi que ça arrive. Fallyn se couchait en dessous de ma chaise et comme le hasard viens me faire peur parfois, nous avions laissé échapé tous les deux un grand soupir. Merde que je m'ennuit parfois d'être un chien. « Tu sais Sara... si tu as besoin d'avoir plus d'heure de travail dans une journée ou même plusieurs, je peux t'offrir un poste à la garderie. Parfois, je trouve que je n'ais pas assez de temps pour faire ce que j'ai à faire... » Dis-je ouvertement en prenant une gorger de ma coupe de vin. S'était vraiment un bon vin. Pas trop fort, pas trop sucré, juste parfais. Je l'écoutais me parler. Elle aussi, son mari lui manque terriblement. Comment ne pas oublier notre premier amour ?

« Avec Pongo, s'était incroyable comment nous fait l'un pour l'autre et mes enfants me manque terriblement. Qu'est-il arrivé à ton mari ? Si je peux me permettre de te demander la question... » Dis-je poliment parce que je peux peut-être toucher une corde sensible sans le savoir. Je comprenais sa situation. J'ignore si je pourrai refaire ma vie avec un autre homme. Pongo est mon coeur, ma moitier, l'homme qui partage beaucoup de chose avec moi. Je me retenait pour ne pas pleurer. Oui, c'est dure parce que je suis une femme fidèle et j'ai beaucoup d'espoir dans mon coeur pour qu'il puisse revenir un jour. « Il faut être courageuse Sara. C'est ça qui nous rend invincible. Se soutenir entre femme... » Dis-je en la regardant droit dans les yeux parce que peu importe ce qui arrive, les miracles vont toujours exister. C'est pareil pour mes enfants. Rien au monde va m'empêcher de garder cette lueur d'espoir que j'ai d'accrocher à mon coeur. Même si les journées sont difficile. « Sara... est-ce que je peux te confier un grand secret ? » Oui, j'étais prête à lui dire la vérité sur moi.

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Elle t'offrait un poste à la garderie en plus de ton poste d'assistante maternelle. Comment refuser une telle offre - toi qui trouvait ne pas travailler assez et ne pas avoir assez d'heures de travail : ce poste que t'offrait ta meilleure amie, tu allais l'accepter bien évidemment. Au moins, tu ne pourrais pas te plaindre de t'ennuyer et puis, tu aurais le privilège de bosser en compagnie de Mily - c'était une très belle aubaine qui, ne devait pas te laisser filer entre les doigts. Que ce soit dans ton ancien monde où dans ce monde-ci t'occuper d'enfants étaient la chose que tu avais toujours su faire à la perfection. Bon, les lionceaux étaient un peu plus turbulents que les enfants humains, mais ils n'en restaient pas de petits êtes qui avaient autant plus besoin d'amour et d'attention que de besoin de liberté et d'autonomie. Alors, en plus de travailler dans une garderie serait certainement ce qui pourrait animer davantage ta passion pour les enfants et ce besoin sans cesse d'être auprès d'eux - comme si ils étaient tes propres enfants quelque part.

ø Sérieusement tu ferais ça ?! Franchement, ça serait super. Tu sais à quel point je n'ai jamais assez d'heures dans une journée - alors, je serais ravie d'avoir un poste même secondaire à la garderie. Lui dis-tu avec un grand sourire rempli d'enthousiasme et de joie. Car, difficile pour toi de cacher ton engouement vers cette offre si alléchante - une offre qu'il t'aurait été difficile de refuser même si tu l'aurais voulu.

Buvant une nouvelle gorgée de vin, la conversation divergea sur vos compagnons perdus. Tu l'écoutas parler de son mari Pongo et de ses enfants et sur le fait qu'ils lui manquaient terriblement. Comme tu pouvais la comprendre : Mufasa et Simba eux aussi te manquer terriblement. Depuis la mort de Mufasa, tu n'avais cherché à le remplacer, tu ne savais pas si tu pourrais le remplacer un jour - il était ta moitié, le seul homme qui à su de plaire - le seul et unique amour de ta vie. Tu te voyais mal commencer une autre vie, une nouvelle aventure avec un autre homme. Non, pour toi, c'était totalement exclu. Soupirant faiblement, tu entends ta corde sensible se briser - elle souhaitait connaître le comment de la mort de ton mari. Tu n'aimais pas trop en parler - c'était un sujet que tu cherchais toujours à éviter, à feinter, mais tu savais qu'avec Mily, tu pouvais te confier - après tout, elle est ta meilleure et tu sais que tu peux lui faire confiance.

ø Il ... Il ... Il a été assa .. assassiné. Arrives-tu difficilement à prononcer alors que tu sens les larmes de monter aux yeux. C'est son frère qui l'a assassiné pour avoir sa place de Roi. Il a également donné sa vie pour sauver notre fils. Que son frère a également tenté d'assassiner. C'est tellement dur d'en parler. Avoues-tu alors, que quelques larmes commencent lentement à couler le long de tes joues - tant la colère, la peine, la trahison et la tristesse sont présentes en toi en ce moment. Et alors que tu pensais te laisser envahir par la tristesse la plus totale, ta meilleure amie vint te poser une question - qui à ses yeux, lui semblait tellement importante. Alors, tu tentes, en vain de sécher tes larmes et acquiesces difficilement.

ø Bien sûr que tu peux. Les meilleures amies sont faîtes pour ça. Lui dis-tu dans un léger sourire alors que tu te saisissais d'un mouchoir en papier posé sur la table - afin d'essuyer les dernières larmes coulant le long de tes joues. Il fallait rester forte que tu restes forte - même si cette partie de ton passé s'amuse à te rattraper, tu ne dois pas le laisser te nuire. Non, l'oublier pour ne penser qu'à cette autre partie. Celle où Mufasa était encore là à tes côtés : un beau et fière Roi Lion régnant sur la Terre des Lions.

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J'étais contente d'entendre qu'elle acceptais mon offre. Honnêtement, je ne pouvais pas demander mieux pour m'aider à la garderie parce que je sais que Sara est une grande travaillante. Demandant que d'avoir des moments précis pour être occupé à faire quelques choses et surtout qu'elle a aussi un fils, ceci n'est pas du tout un problème pour moi. « Je suis contente que accepte. Tu va me donner un énorme coup de main et tu passera demain à la garderie, je vais te faire faire le tour de l'endroit. » Dis-je avec un grand sourire. Je regardais ma coupe presque vide et avec ma question que je lui avait posé, ses mots sont venu me chercher directement au coeur. Comment avoir vécu une t'elle chose ? Il faut vraiment être sans coeur, mais ce qui me tenu un peu perplexe est le fait qu'elle considaire son mari comme étant un roi. Il était peut-être le chef de la famille ? Enfin... je ne voulais pas trop demander des questions pour ne pas aggravé la situation que je venais d'apporter. Par contre, je voulais m'ouvrir à elle. Je voulais lui dire la vérité sur ma personne. Je ne voulais plus me cacher. « Sara... il y a des moments où est-ce que ma vie est tellement bizarre. Des habitudes revienne sans que je le sache et je donnerais tout pour manger des biscuits de chien en ce moment... » Déjà-là... s'était bizarre parce que oui, je mange des biscuits pour chien. Je ne vais pas le cacher parce que j'adore le goût. Je la regardais dans les yeux et je pouvais aussi ressentir qu'elle avait besoin de m'avouer quelques choses de plus avec la question que je lui avait demander. Je ne voulais pas trop pousser la note, mais je voulais quand même lui dire que j'étais un chien dans mon ancienne vie. « Enfin... si tu veux... à partir d'aujourd'hui tu peux m'appeler Perdita. » Dis-je en lui avouant mon vrai prénom.

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Tu étais toute contente de pouvoir assister ta meilleure amie dans son travail. C'était important pour toi de pouvoir l'aider - surtout lorsqu'il s'agit de s'occuper des bambins. Tu avais vraiment hâte d'être le lendemain pour découvrir le lieu où travaillait Mily. Tu t'imaginais déjà le lieu grouillant d'enfants comme dans une fourmilière. Rien que de penser à cette journée et à ces petites bouilles d'ange te redonnais le sourire - que tu avais perdu en parlant de la mort de Mufasa. Le fait de parler boulot et la joie que tu avais à travailler et à jouer avec les petits te redonnais directement le sourire. Buvant une gorgée de ton verre, tu remarques qu'Emily venait de finir son verre alors, directement, tu t'empares de la bouteille de vin pour lui en remplir un nouveau verre. Tu lui souris, alors qu'elle prend la parole une fois son verre rempli. Tu l'écoutes parlé avec toute l'attention qu'une ancienne féline puisse avoir, alors que ses dernières paroles te font lever un sourcil d’incompréhension - de surprise.

"Je donnerais tout pour manger des biscuits de chien en ce moment..." Cette phrase d'interpella bel et bien. Comment ça elle donnerait tout pour manger des biscuits pou chien. Et à ce moment que tu te dis qu'elle aussi devenait venir du monde monde que toi. Sinon, qu'elle autre explication pourrais-tu donner à cela ?! Alors, était-elle en train de te dire que dans une autre vie, dans un autre monde, elle était une chienne ?! Ça en avait tout l'air - pourquoi aurait-elle dit celà si ça n'avait pas été le cas- ça n'aurait eu aucun intérêt. Tu savais ta meilleure avec des habitudes spéciales, mais jamais tu n'aurais pu croire qu'elle puisse être du même monde que toi. D'ailleurs, comment croire que derrière cette jeune femme puisse en réalité se cacher une chienne ?! Tout comme il était impossible de deviner que derrière la femme que tu es se cache une ancienne lionne. Et lorsqu'elle t'annonce qu'à partir de maintenant tu peux l'appeler Perdita - un petit sourire écrire des lèvres. C'était un prénom très joli pour "une ancienne" chienne. Tu aimais vraiment beaucoup. Et maintenant qu'elle venait de t'annoncer la vérité - à ton tour de lui rendre l'appareil. À ton tour de lui montrer ta véritable nature, celle que tu étais autrefois.

ø Whoa ! Je n'en reviens pas de croiser un personnage du même monde parallèle - oui car, moi aussi j'en viens. Avant d'être cette femme que tu as devant toi, j'étais une majestueuse lionne et ancienne Reine de la Terre des Lions. Et mon prénom était Sarabi. Avoues-tu avec un léger sourire - heureuse de pouvoir enfin le dire à quelqu'un. Surtout lorsque ce quelqu'un se trouvait être ta meilleure amie et venant du même monde parallèle au tien.