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Love, true love ?  Never.

« Rencard ce soir ? » Prim passer sa tête dans l'encadrement de ta porte, ses cheveux long et mouiller sécher sur la serviette qui l'enrouler. Elle te balancer une capote dans la gueule, ridicule objet qui heurter ton front avant de retomber dans tes cheveux. « T'es vraiment une gamine, tu le sait ça ? » elle riait doucement, avant de disparaître dans la cuisine. Tu te redresser, débrancher le dragon pour installer Robert. Le mot « Rencard » était beaucoup trop brute pour toi. D'aussi loin que tu t'en souvienne, tu n'avait jamais eu de rencard et ce mot te terrifier un peu, comme tout les nouveaux mots que tu ne connaissais pas d'ailleurs et dont tu avait terriblement peur. Tu préférés te dire que c'était une sortit entre amis, en sachant très bien que vous étiez plus que des amis. 'Fin, c'est ce que tu penses, même si tout les signes disent le contraire.

Luffy n'était pas le genre de garçon que l'on met dans une case, il était libre et c'était sa plus grande qualité. D'après son entourage, il n'avait jamais eu de vrais copine à proprement parler, il a eu des conquêtes (un bon tas de conquête), et n'avait jamais essayer d'avoir une fille rien pour lui. Et pourtant, il te voulait toi, toi, Lya, handicapé des poumons, le visage boutonné, le corps en vracs et les cheveux mi-long, mi-homme. Tu savait que c'était le jeu qui l'amuser, te laisser désirée, le rendre jaloux, c'était ça qui était amusant, alors quand le jeu seras finit ? Quand le « attrape moi si tu peut » finiras, qu'est-ce qu'il vous resteras ? Il va se lasser, il va te laisser et il va se rendre compte que l'herbe est plus verte ailleurs. Que finalement, c'est chiant de sortir avec une fille qui dors avec un dragon accrocher au poumon, que c'est nul de passer dix heures par semaine en chimio, que manger saignement c'est lassant. Et il va te lâche comme une vielle chaussette, pourtant c'est pas ce que tu veux. Toi, tu veux être une chaussette spéciale, une chaussette de compétition, celle qu'on met pour les autres occasion, celle qu'on met quand on veut avoir de la chance, celle qu'on préserve au fond du tiroir pour nos donner du peps, oui, toi voulais être ce genre de chaussette. Et tu avais peur qu'avec lui, tu ne soit qu'une chaussette de pacotille acheter en vrac dans un hypermarché.

Mais tu ne voulais pas le perdre, non, ce serais trop dur sans lui. Tu n'aurais plus ses papillons dans le ventre, ton cœur ne palpiterais plus, tes penser ne seront plus torturais par son visage que tu voyais partout et n'importe quand. Tu aimer cette sensation qu'il te donner quand ses lèvres effleurer ta joue pour une simple bise, et c'est peut être pour ça que tu avait décidé que ce n'était pas un rencard. Tu te fit quand même belle, les cheveux coiffé, les beaux vêtement propre, le parfum le long de la nuque. Et même si Robert gâcher un peu le tableau, tu t'es dit que ça aller, que c'était tout de même beau.

Il était là, devant le cinéma à t'attendre sagement. Tu lui fit un sourire, un vrais, parce que t'étais contente d'être là, avec lui, dans cette endroit. « Tu sais que tu m'avais manqué toi. » fit-il du bout de ses lèvres, avant de te faire une bise. Tu frissonné. Toi aussi, toi aussi tu me manques, tout le temps à longueur de journée. C'est ce que tu aurais aimer dire mais tu as dit : « Moi aussi ça m'arrive de me manquer. » fit-tu dans un rire en pensant que c'était drôle. Tu passer devant lui pour entré dans le cinéma, traînant Robert avec un peu de difficulté derrière toi. « Je suis vraiment désolée, je veux dire, c'est naze le cinéma, si j'avais pas ce truc, on aurais pu aller faire du vélo, ou un boowling, ou je sais pas quoi d'autre qui serais plus fun. » fit-tu en pointant Robert du doigt.  

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Love, true love ?  Never.

Ta franchisse faisait parfois trop peur aux gens, ce n'était pas possible d'être une si jolie fille et être si franche. Ils en avaient déduit que tu es ce genre de réscaper du cancer, qui ne voit la vit que tu mauvais côté, mais ce n'était pas le cas. Et ça, Luffy l'avait bien compris. A votre première rencontre, il n'avait pas était l'être le plus adorable au monde, il t'avait recaler alors que tu tentes une approche amicale et c'est foutue de toi. A présent, les rôles c'était inverser, à défaut que toi, tu ne te foutais pas de lui. Tu l'aimais vraiment, que ce soit amicalement ou plus et infinité, et tu ne voyais plus ton monde sans lui.  Quand tu regardes en arrière, il y a trois mois de ça tu ne t'aurais jamais dit qu'il pouvait être une des pièces les plus importante, du puzzle qu'étais ta vie. Et pourtant le voilà, il passe ses longs doigts fin le long de on visage et embrasse ta joue. Sa main dans la tienne pour passer le guichet, il supporte ta mauvaise blague, alors que d'autre aurais déjà décamper. Il était courageux ton Luffy, courage de supporter ta personne.

Tu soulignes le fait que si tu n'avais pas Robert, ta vie serais plus joyeuse. C'est sûre, mais serions nous là si il n'avait pas eu pitié de la pauvre petite handicapé ? « Bah tu sais, que ce soit fun ou non, je m'en fiche un peu. Tant que je passe du temps avec toi... » fit-il dans un petit sourire. Un sourire que tu lui rend sans attendre. C'était agréable d'avoir une personne qui vous voit autrement, c'était vraiment agréable. « On va voir quoi? Je te laisse choisir. » poursuivit-il. Tu regardes la liste des films qui sont à l'affiche.  Il y en avait pas mal, tu n'avait pas envie d'aller voir le dernier film d'horreur de hurler comme un enfant alors que lui serais entrain de rire. Ni encore moins le dernier mélo-dramatique, de peur de pleurer pendant toute la séance, et voir une fille se moucher avec ses tiges à la place des poumons. Ça aurais été gênant pour vous deux. Tu pensas donc au dernier film d'humour qui ferais l'affaire. « 22 Jump Street ? Je te promet, de ne pas baver sur le corps musclé de Channing Tatum. » fit-tu dans un rire. Tu passa ta main dans son dos et colla ta tête contre son torse. « J'ai déjà mon Channing Tatum de toute façon. » fit-tu dans une moue boudeuse avant de sourire bêtement comme une adolescente un peu trop rêveuse.

Les billets pris, vous vous dirigiez vers la salle. Certaine personne ont remarqué Robert et vous laisse passez, comme si c'était une obligation de laisser un passage au handicaper. Ça te vexer légèrement, mais c'était pas aussi mal de pouvoir choisir sa place en premier.  « Les avantages d'être avec une handicaper. » murmurais-tu alors que les portes s'ouvrit. Les escaliers était un peu trop brut, mais tu fit un effort pour les monter sans qu'il n'est besoin de t'aider. C'était pas très sexy après, tu était rouge écarlate à cause l'effort.

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Love, true love ?  Never.

Tu ne savais plus à quoi te tenir, tu avais pris l'habitude qu'on te dise que Luffy est un connard, sans cœur, qui traite les femmes comme des objets, qui ne vit que de sa propre loi. Mais qui était cet homme alors ?Tu ne savais plus à quoi te tenir, tu avais pris l'habitude qu'on te dise que Luffy est un connard, sans cœur, qui traite les femmes comme des objets, qui ne vit que de sa propre loi. Qui n'hésiterais pas à sauter d'un train en marche pour aller te chercher un pot de nutella, qui tabasserais des vieux pour toi ? Qui était-il ? Tu l'avais changé et tu ne savais pas si c'était ne bien ou en mal. Étais-ce bien de lui avoir ouvert les yeux sur l'amour ou étais-tu juste entrain d'abîmer un chef d'œuvre avec ta petite voix et tes mots dur. Tu ne savais pas, tu étais perdue et c'était bien ça le souci, personne ne pouvais te dire où tu en était. Faisait-il ça juste pour le plaisir du jeu ? Conquérir une pauvre handicaper était peut-être ce qu'il n'avait jamais fait, et dans un sens c'était un défi pour lui. Tu ne savais pas, tu ne voulais pas savoir. Ton cœur te guider et il te disait que c'était quelqu'un de bien, que personne n'est méchant, que rien n'est grave. Que si tu perds, tu ne serais pas dévasté, parce que ça voudrait dire qu'il ne t'a jamais aimé et que tout ça, c'est du vent.


Et pourtant, ta tête contre son torse, tu sentais son cœur accélérer. Il battait plus fort, plus vite, comme un son de tam tam contre des murs en briques. Quand le monde se retirait pour vous laissez passer, tu sentis son regard sur toi. Il était bienveillant, il s'assurer que tu allais bien, il hésité à t'aider, mais tu te serais vexé, c'est sûr, tête de mule que tu es, tu lui aurais gueulé dessus de t'aimer autant. Les marches étaient rudes et l'endroit confiner, il n'y avait pas d'air pas de lumière, une longe marche noir éclairer par des néons. C'était difficile de reprendre son souffle, mais tu y arriver pas mal. Il te fit t'asseoir sur la première chaise venue, sans réfléchir, tu t'y posais, sans même évaluer si oui ou non, c'était une bonne place. Ton soufflet était cours et tes poumons te suppliaient d'arrêter de te prendre pour Lara Croft. « Ca ira, ici, non? Pas besoin de grimper plus comme ça. Tu veux que j'aille chercher quelque chose à boire ou à manger? » te fit-il dans un doux regard. Tu le regardais dans les yeux, ses beaux et ténébreux yeux. Et tu secouais la tête. Ta main quittée, ton abdomen pour venir sur ses épaules. « Ne pars pas, reste avec moi s'il te plais.. » fit-tu dans une moue un peu boudeuse, que tu ne contrôler même pas. La place n'était pas si mal que ça, vous n'aviez pas eu les meilleures places mais c'était bien quand même. Tu la sentis te pénétrer et raviver tes membres engourdit par cette grande élancer. Ça allait mieux tu respirais.

« Même le cinéma c'est fatiguant.. » fit-tu dans un petit rire pour détendre l'atmosphère. La place n'était pas si mal que ça, vous n'aviez pas eu les meilleures places mais c'était bien quand même. Ni trop haut, ni trop bas, ni trop à gauche, ni trop à droite, on était dans les normes, c'est bien les normes. Une fois assis, tu passais tes mains glacer contre les siennes, d'autre t'aurais laisser crever en aillant trop honte de rester près de la fille qui suffoque après trois pas dans les escalier, lui il était là, près de toi. Tu passais ta tête dans le creux de sa nuque, écoutant une deuxième fois le bruit de tam tam de son cœur..

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Love, true love ?  Never.

« Je ne partirai jamais tu sais. » Il ne s'agissait clairement plus du sachet de pop corn et du sprite. Il s'agissait de vous. Mais à quel moment.. Je veux dire, tu ne l'aimais pas plus que ça, ce gars. Il t'avait salement rejeté alors que tu faisais ton immersion dans le monde, et voilà que le son de son cœur permettait à tes poumons de se calmer. À quel moment étiez-vous passer de deux inconnus différents à cette pseudo-amitié pas assez bien cacher ? Rien n'étais comme tu le croyais, c'était ça l'amour et t'arrivais pas à y faire face. Deux ans passer à lire des livres d'amour et pas capable de le voir quand il est sous tes yeux, oh Lya, que tu es stupide parfois. C'est vrai que ça t'est inconnu, mais quand les signes sont là faut ouvrir les yeux. Tu n'avais jamais connu ça, alors tu ne savais pas quoi dire. C'était une déclaration, 'fin pas entièrement, mais ça l'était tout de même. C'était le premier pas vers autre chose que la friendzone, un peu prise de cours, tu te contentait du plus simple. « Merci. » Fis-tu dans une petite voix, tes doigts enroulant les siens. Le monde s'agitait autour de vous, les gens entraient, sortaient, se déplacer et pourtant, c'est comme si personne n'était là. Tu étais si bien, sa tête blottit contre lui et tes doigts qui se réchauffer entre les siens. Tu ne voyais plus rien, plus personne, les gens n'étaient que du bruit. Il embrassais ton front dans un geste doux, tu fermais doucement les yeux pour en profite. C'était agréable de se savoir aimer, même si la déclaration n'était pas complète, pour un garçon comme Luffy, c'était un bon pas.

Le film ne commencer que dans quelque temps, il y avait minimum quinze minutes de pub. Tu décides de te redresser et de jouet a un moment jeu avant de commencer. « Tu veux qu'on joue à vérité et vérité ? » Dit-il dans un petit rire. C'était tout à fait gamin. Mais tu aimais l'idée d'en savoir plus que tu ne savais déjà. En réalité, ça te permettrait de faire une mise au point sur tes sentiments. « C'est comme action et vérité, sauf qu'on est trop confiné pour faire une action. » Continues-tu. Il y avait trop de rumeurs sur lui, trop de choses pas claires. C'est sûre que tu n'avais pas forcément envie savoir avec qui, comment, combien de position avait-il fait avec toutes ses filles, mais tu voulais savoir approximativement à quoi tu avais affaire. « Tu commences, vérité ou vérité ? »