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(alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. Vide
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 (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux.

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Lydine S. Rhodes-Sirens

My life with you
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Lydine S. Rhodes-Sirens
J'ai posé bagages ici le : 29/09/2014 Jouant le rôle de : Naïdya, la sirène blonde avec une fleure dans les cheveux, une des sirène de peter pan. (#teampeterpan) Nombre de messages : 203 On me connait sous le pseudo : fucking face., mais mon prénom c'est jaël dit jaja. Un merci à : greer. sur bazzart et merci à elle. ♡ Je suis fier(e) de porter l'avatar de : blake ellender brown (lively) ♡
MessageSujet: (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. EmptyMar 6 Jan - 23:50

 

i'm not good at telling stories, i'm a messy eater, half the time i don't make sense. and i know i frustrate you a loot. but i adore you.


La journée avait été calme pour Lydine. Personne n’allait à la piscine en hiver, ou presque, avec le froid qu’il faisait, la ville entière avait envie d’être au chaud, devant une tasse de thé, de café, hors de question d’aller dans l’eau. Elle n’avait plus de travail à présent, ça rendait les choses plus difficiles pour elle, comme de payer ses factures… Il fallait qu’elle trouve une combine, un projet qui lui ferait gagner un peu d’argent, mais elle n’en avait aucun. Sa sœur, celle qui était soudainement devenu « gentille » avait proposé de lui trouver un travail dans son restaurant…. Lydiane, dans un restaurant ? Elle avait refusé, bien sûr, mais après avoir reçu la facture de son appartement, elle avait décidé de tenter le coup. En quoi ça pourrait lui faire de mal ? Elle s’habilla chaudement, sortie de son appartement et se dirigea vers le restaurant de sa sœur. Quelle idée pour une sirène d’ouvrir un restaurant… Elle aurait ouvert une poissonnerie ça aurait été plus compréhensible, mais un restaurant. La nourriture n’y était pas mauvaise, mais le travail était trop dur. Lydine était une personne qui n’aimait pas travailler, elle aimait se détendre, ne rien faire et tout en ayant un bon salaire. Le travail le plus stable qu’elle est eu était bien sûr un travail d’été, un travail qu’elle ne pouvait plus effectuer une fois le premier flocon de neige tomber sur Fantasia Hill. Elle n’était pas confortable dans un restaurant, à servir des gens, nettoyer derrière eux. Elle serait comme une bonne, alors qu’elle était tout sauf une servante. Elle aspirait à tellement plus. A la richesse, l’excellence, l’abondance… Chacune de ses trois choses avaient plus d’importance que n’importe qu’elle autre chose pour elle, et pourtant, regardez où elle en était réduit.

La première pensée qu’eut Lydine en apprenant quel sera son travail dans le restaurant de sa sœur fut Oh mon Dieu. Elle priait les dieux de la mer pour qu’il la réveille de ce cauchemar. Une seule de ses tâches était plus dure que n’importe quelle chose qu’elle avait pu faire auparavant. Elle se sentie défaillir rien qu’à l’idée d’un tel travail, mais il en faut plus pour la faire abandonner. Elle prit un tablier et essaya de se rendre utile…  Pendant quinze minutes. Durant ses quinze minutes, de la sauce avait atterrit sur ses chaussures hors de prix, elle s’était cassé un ongle et avait malencontreusement reçu une perle d’huile dans les yeux. Elle en avait assez, assez pour toute une vie, assez pour sa vie d’humaine. Lorsqu’elle était sirène, jamais elle n’aurait accepté d’être forcé à faire de tel chose, qu’a-t’il put lui arriver ? Ah oui, elle avait été transportée ici. C’était la pire et la meilleure chose qui ne lui soit jamais arrivé. Travailler ne lui allait pas, elle arrêta donc. Déposa son tablier et partie, ruminant sa colère, sans se soucier de ce qu’elle pourrait laisser derrière elle.

Lydine arrivait à son appartement rapidement, heureuse. Elle y était, enfin. Elle n’aurait plus à se soucier de sa tenue, de ses mouvements, et personne ne serait là pour l’observer. Elle serait tranquille, insouciante, pendant au moins quelques heures. Avant que la réalité ne la rattrape. La réalité nous rattrape toujours, elle le savait, mais elle balayait cette pensée sans peine et passait à autre chose. Elle trouverait bien une combine qui la sortirait de sa misère, elle ne pouvait compter que sur elle-même dans tous les cas. Elle monta les dernières marches qui la séparait de la porte d’entrée de son appartement, et tâtonna dans son sac à pour y prendre ses clés. Dix secondes s’écoulèrent, puis vingt, et la jeune femme était toujours devant la porte, farfouillant dans son sac à main. Au bout de trente secondes, elle déposa son sac sur le sol et en sortit le contenu, un à un. Une minute, toujours pas de clé, mais une idée traversa son esprit, et si elle l’avait laissé au restaurant ? Une pensée confirmer par un souvenir flou, d’avoir posé son téléphone et ses clés sur un comptoir. Elle ne trouvait plus son téléphone aussi. Elle se redressait sonna à sa porte, espérant que sa colocataire ne soit pas sorti, mais s’était sans succès. Elle était enfermée dehors, et il n’était pas question qu’elle retourne dans cette enfer de la restauration.




Dernière édition par Lydine S. Rhodes-Sirens le Lun 16 Fév - 18:55, édité 1 fois
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Alam M.-H. Caroll

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MessageSujet: Re: (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. EmptyMar 13 Jan - 22:59

Lydine & Alam
n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux
La soirée de la veille avait été violente pour le pauvre Chapelier, peu habitué à de telle mondanité. Ces temps ci, de plus en plus de grandes fêtes avaient lieues au Unbirthday Tea Party et en l'absence de Jeile, il n'y avait que lui pour prendre soin du salon de thé de la marée humaine qui l'envahissait chaque jour et surtout, chaque nuit. C'était sans doute pour cette raison qu'il avait été incapable de se lever ce matin là, laissant le salon entre les mains bienveillante de son colocataire et meilleur ami: le Lièvre de Mars. Finalement, c'était avec une immense joie que le Chapelier s'était rendu compte qu'ils formaient toujours un duo de choc. Il avait donc passé sa matinée couché dans le canapé du salon, une compresse froide sur le front et, de fil en aiguille, les heures avaient défilé sans qu'il ne puisse sortir de son évidente latence ... Il avait l'impression que la Reine Rouge, sa garde royale et l'intégralité du Pays des Merveilles défilaient en une grande parade à l'intérieur même de sa tête. Il n'était décidément plus habitué à ce genre de mondanité ! Un mal qu'il faudrait bien réparer à un moment où un autre: il ne pouvait lancer son salon de thé convenablement si lui même parvenait à tenir la cadence ! Il était le Chapelier fou après tout ! Alam était malgré tout enchanté de savoir que Jeile n'était pas dans les parages: il avait une vilaine tendance à exagérer ce qui n'allait pas lorsquil était dans les parages ... Et puis l'ancien Lièvre était un grand hypochondriaque ! Non, il était bien mieux tout seul avec sa migraine et sa compresse gelée !

Un grand bruit retentit dans le couloir et le jeune homme leva un sourcil, à travers son gant de toilette humide qui lui recouvrait une partie du visage, intrigué. Il n'était pas assez tard pour que Jeile rentre et il doutait recevoir quelconque visite en ce jour: tous savait qu'il n'aimait pas les surprises de ce genre, il préférait être prévenus et accueillait très mal les visiteurs non désirés. Aucun coup ne vint à la porte mais des soupirs d'agacement se firent entendre. Il bascula ses longues jambes vers le sol et tenta de se mettre debout, ignorant la soudaine nausée qui l'assaillait alors que son cerveau semblait flotter dans sa boite crânienne. Tel un zombie, il parcourut les quelques mètres qui le séparaient de la porte d'entrée se promettant de faire vivre un enfer à celui qui osait raviver la migraine dont il était victime. Le bruit des verrous résonna comme les cloches d'une cathédrale et la porte s'ouvrit sur la silhouette familière de sa charmante voisine. Accroupie devant son sac, elle pestait contre il ne savait quoi et se relevait vivement pour frapper à sa propre porte. Il s'accouda à la porte, observant le spectacle avec un petit sourire moqueur: il l'appréciait bien sa voisine, mais cette amour vache qu'il ressentait envers elle rendait leurs relations de voisinages mille fois plus intéressante que tout ce qu'il avait put connaitre de sa vie de Chapelier. « Mon dieu ! Par tous les Tritons, on a du mal à rentrer chez soi ? » Il ne pouvait résister à l'envie de la taquiner et il savait combien elle était fière de son ancienne vie de sirène. Il avait utilisé sa voix la plus nasillardement agaçante pour la titiller un peu mais il se doutait que l'humeur de la jeune femme ne serait pas des plus agréables. « Tu as besoin d'aide peut être ? » Demanda-t-til plus sérieusement.
electric bird.


Dernière édition par Alam M.-H. Caroll le Lun 26 Jan - 22:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. EmptyDim 25 Jan - 22:05

 

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Elle était tout sauf débrouillarde. Lydine avait tellement de choses sans lesquels elle ne pouvait pas vivre, et plus de la moitié était à l’intérieur de son appartement. Vous pouvez donc vous demandez comment elle pourrait oublier quelque chose d’aussi important que les clés de son appartement, son nirvana. Elle était tellement mal dans le restaurant de sa sœur, qu’elle voulait juste partir le plus loin possible de cet endroit, sans regarder derrière elle. A ce moment-même, alors qu’elle était devant la porte de son appartement et qu’elle vider son sac, elle savait que ce qu’elle cherchait était loin derrière elle, mais elle espérait. Elle espérait ne pas à avoir à y retourner, a avait déjà été une humiliation pour elle d’abandonner aussi vite, y retourner une demi-heure plus tard la queue entre les jambes, pour y reprendre ses clés, semblait invraisemblable, complètement impossible. Le restaurant avait beau être à deux rues de chez elle, il semblait être si loin, un obstacle impossible à rejoindre. Lydine était misérable, complètement paumée, encore un peu plus et elle en pleurait. Elle remettait tous les objets qu’elle avait sortis de son sac à main là où ils étaient, ruminant sur son sort. Pourquoi toujours elle, pourquoi aujourd’hui. Elle en avait déjà marre de cette journée, qui pourtant commençait à peine. Elle regardait l’heure sur son portable. 10 heures 28. Génial, elle ne pourrait pas rentrer chez elle avant le soir, vers 19 heures. Lydine réfléchissait en silence, la solution viendrait d’elle-même pensa-t-elle elle n’avait qu’à attendre. Très rapidement, le fil de ses pensées était interrompu par son voisin. Elle ne l’aimait pas, à vrai dire, elle n’aimait personne. Il ne faisait pas exception, quoi que, uniquement lui semblait ne pas faire attention à ce qu’elle pensait de lui, ou comment elle le traitait. Elle avait beau être aussi cruelle qu’elle pouvait l’être, rien ne changeait. Il restait le même bon vieux Chapelier, souriant à tout vent. Ca l’énervait, ça la frustrait. Elle aimait détester les gens, mais plus encore de le leur faire savoir. Elle ne cessait de le lui dire, à quel point elle le méprise, à quel point il l’insupporte. Elle exagère la vérité, pour le blesser, mais le lendemain elle devait recommencer car il ne cesse de l’oublier, ou de l’ignorer. Faisait-il exprès ou était-il naturellement comme ça ? Elle se pose la question, mais elle finit aussi par s’y habituer. Peut-être même à en tirer de l’amusement ? Elle évitait d’y penser elle préférait le détester. Lui, comme tous les autres. Elle lui adressait son regard le plus ennuyait, elle voulait qu’il comprenne qu’elle n’avait pas envie de l’avoir dans les pattes. « Tu ne pourras pas ouvrir ma porte avec un de tes chapeaux. » Grogna la jeune femme, alors qu’elle se redressait pour lui faire face. Il la déconcertait, mais elle comptait rester sur ses positions… Sauf que. Sauf qu’elle s’est rappelé qu’elle était à la rue, qu’il faisait froid, et qu’elle ne serait pas contre un des fameux thé du Chapelier, mais de là à le lui dire, à accepter la charité d’un homme ? Non, jamais. Elle n’avait pas envie de se rappeler qu’elle lui devait quelque chose à chaque fois qu’elle le verrait, ni de prendre le risque qu’il lui rappelle sans cesse que justement, elle lui en doit une. « Je passe une journée vraiment merdique, je n’ai pas besoin qu’un idiot qui passe son temps à jouer au salon de thé ou à fêter des non-anniversaires viennent me plomber encore plus le moral. Alors retourne chez toi, je me débrouille très bien toute seul. »




Dernière édition par Lydine S. Rhodes-Sirens le Lun 16 Fév - 18:55, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. EmptyLun 26 Jan - 23:36

Lydine & Alam
n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux
Dire qu'il n'avait connu que peu de sirène aurait été un euphémisme: avant sa charmante voisine, Alam ignorait même que ce genre de créature pouvait exister. Le pays des Merveilles n'était pas un bel endroit bordé de plage et, après avoir entendu sa voisine parler, il doutait sérieusement que le climat ne lui ait convenu. C'était peut être l'une des raisons qui le poussait à tenter sa chance, jour après jour, pour se faire accepter auprès d'elle: la demoiselle était jolie, c'était une certitude, mais il était persuadé que sous son apparent coeur de pierre, elle devait plus qu'intéréssante. Pourtant, la blonde mettait un point d'honneur à le repousser, lui envoyant des petites piques pleines d'hypocrisie, se lançant quotidiennement dans des joutes verbales qui ravisait le Chapelier et auxquels il se plaisait à répondre avec une délectation non dissimulée. Pour être honnête, Alam aimait bien ces petits instants avec sa voisine: si elle lui répondait, cela voulait bien dire que, quelque part, il parvenait à se frayer un chemin jusqu'a elle. La seule chose qu'il craignait de sa part était l'indifférence. Il se contenta d'esquisser un sourire forcer lorsqu'il se fit rembarrer avec autant de gentillesse qu'un ours en pleine hibernation. Si seulement elle savait ... Il tapota son kit de couturier avant de laisser un gloussement s'échapper de sa gorge. Une bonne épingle à nourrice et la serrure ne résisterait pas. Mais puisqu'elle avait été, comme à son habitude, fort aimable, Alam décida de la laisser poireauté devant sa porte. Il prit un air faussement outré et, faisant mine de bouder lui lança un   « L'idiot aurait peut être put te faire partager ses talents mais puisqu'une certaine grincheuse persister à vouloir lui faire partager sa mauvaise humeur ... Elle restera dans le couloir ... Ou elle devra supporter l'horriiiiiiiible rituel de thé pour se faire pardonner. »

Il se retourna et rentra dans son appartement, laissant volontairement la porte ouverte en guise d'invitation. Il aimait l'idée de faire des expériences comparatives sur sa voisine. Expérience du jour: les sirènes ont-elles des caractéristiques communes aux chats ? Alam savait que si Cheshire était resté dans le couloir, il n'aurait pas patienter 5 minutes avant de se ruer à l'intérieur: vers un endroit chaud et sec. « Si tu es sage, je te laisserai choisir le thé ! » cria-t-il depuis sa cuisine à l'attention de la jeune femme. Il ouvrit quelques tiroirs à la recherche de quelque chose qui pourrait appâter la blonde mais l'expérience sur  les gout alimentaire des sirènes n'étant pas encore passé, il lui était difficile de savoir ce qui pourrait la faire craquer. Avec une moue interrogatrice, il lança de nouveau un « Tu es plutôt sucré ou salé ? » Il ne lui semblait pas avoir vu Lydine au salon de thé ... Il doutait sérieusement qu'elle puisse aimer quoi que ce soit.
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Dernière édition par Alam M.-H. Caroll le Dim 12 Avr - 13:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. EmptyLun 16 Fév - 18:35

 

i'm not good at telling stories, i'm a messy eater, half the time i don't make sense. and i know i frustrate you a loot. but i adore you.


Lydine n’avait jamais entendu parler du Pays des Merveilles avant de rencontrer son voisin. A vrai dire, en premier lieu, elle ne l’avait pas cru. Elle s’était dit que c’était un autre plan d’un de ses humains pour la mettre dans leur lit, et ça ne marchait pas. Et elle a fini par remarquer qu’Alam n’était pas comme les autres hommes, il était différent. Un homme aussi différent ne pouvait qu’être d’un autre monde, non ? Elle n’a pas cherché à en savoir plus sur son passé, peut-être parce que ça ne l’intéressait pas, elle ne parlait pas de son passé de sirène aussi souvent qu’on pouvait le croire, elle ne chercherait jamais à en savoir plus sur le passé d’autres. Alam était un homme, et elle essayait de le détester comme tous les autres, mais il lui rendait la tâche difficile. Il ne réagissait pas « normalement ». Elle avait beau l’insulter, le critiquer, le secoué, il revenait le lendemain avec un « Joyeux non-anniversaire » et un sourire, qu’elle savait sincère. Comment faisait-il ? Etre agréable avec quelqu’un de désagréable n’était pas donné à tout le monde. Qu’est-ce que c’était même qu’un « non-anniversaire » ? Elle n’avait jamais demandé, même si elle se demande souvent. Elle s’amusait à lui envoyer des piques. Oui, Lydine prenait un certain plaisir à l’embêter, elle ne pouvait pas le nier. Il semblait ne pas y réagir, pas comme si il s’en fichait mais plutôt comme si ça ne l’atteignait pas, alors elle continuait. Aussi perturbant que son comportement ne soit, Alam était un homme que Lydine pourrait qualifier de… « Généreux » ? Elle utilise rarement ce mot, quasiment jamais. Lydine n’avait jamais vu d’acte désintéressé, quoi qu’on fasse pour elle, s’était par intérêt. Pourtant, même si il avait refusé de forcer la porte de son appartement, il lui proposait d’entrer chez lui et de partager un thé. Pourquoi ? Il n’avait pas d’intérêt à le faire, et Lydine avait fini par se persuader qu’il n’avait aucune vue sur elle, qu’il ne faisait rien de tout ça pour la mettre dans son lit. Alors pourquoi, pourquoi l’invité à l’intérieur ? Par gentillesse ? Lydine ne croyait en ça, la gentillesse n’était qu’un mot rassurant pour dire intérêt. Mais elle n’avait pas d’autres options, elle regardait la porte de l’appartement d’Alam qu’il avait laissé entre-ouvert, et la sienne, qui était toujours fermé et qui n’était pas prête de s’ouvrir. Lydine réfléchi et se rendit compte que la chose la plus pénible, mais intelligente à faire était d’entrer chez son voisin.

Elle entre et ferme la porte derrière elle. Elle enlève sa veste et regarde autour d’elle. Tout était très…  Le chapelier. Il avait un appartement qui lui ressemblait bien, et des activités qui lui étaient bien personnelle. Une table de thé très belle dont elle s’approchait en silence et sans regarder Alam. Parce qu’elle était occupé à regarder autour d’elle, mais aussi parce qu’elle était gênée d’avoir renoncé aussi rapidement. « Sucré. » Elle n’aimait pas particulièrement le thé, elle e buvait rarement à vrai dire, elle se contentait de le regarder faire. Elle ressentait déjà l’envie de lui faire une remarque, de le narguer. Elle s’est demandé si c’était une bonne idée pendant une demi-seconde, puisqu’il avait eu la bonté d’âme de lui ouvrir la porte de chez lui, mais ça aurait été trop étrange qu’elle se transforme soudainement en femme aimable. « Un adulte, assez immature pour encore jouer à la dinette. Effarant. » Elle ne savait pas quel âge il avait, il ne devait pas être loin du sien, entre 25 et 35 ans… Un grand nombre de non-anniversaire. « Il arrive ce thé ? » Elle était désagréable, Lydine le savait, mais c’était surtout parce qu’elle ne se sentait pas à l’aise quand il était dans les parages. Il ne respectait pas les standarts qu’elle avait donné à tous les hommes, et ça lui faisait se demandait : avait-elle tort ? Et il n’y a rien qu’elle déteste plus que de se remettre en question.



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MessageSujet: Re: (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. (alam) n'ayez pas de voisins si vous voulez vivre en paix avec eux. EmptyMar 14 Avr - 9:50

Lydine & Alam
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Il eut un petit sourire lorsqu'il entendit la porte de son appartement se fermé et des bruits de pas se diriger vers le salon alors qu'il hochait la tête au choix de sa voisine. Elle avait de bons gouts. Il avait craint qu'elle n'exige du salé ... C'était une sirène après tout. Ça mangeait quoi une sirène ? Il en savait rien du tout. Par chance, la jeune pâtissière qui fournissait le salon lui avait préparé une boite rien que pour lui. Il s'empressa de sortir son armée de gâteau pour les placer sur le joli présentoir qu'il utilisait dès qu'il avait la chance d'avoir des invités: ce qui était, il était obligé de l'admettre, assez rare. Disposant le tout sur un plateau, il finit par revenir dans le salon avec un grand sourire au lèvres. C'était tout lui: d'avoir l'air aussi débile peu importe la personne qu'il avait en face. Même si Lydine n'était pas un modèle de sociabilité entre voisins, elle ne se moquait pas de lui pour ce qu'il était. C'était sans doute ce qui le faisait s'accrocher à elle ainsi: elle était désagréable, mais il n'y avait rien de nouveau à cela, lle l'avait été depuis le début et il n'y avait pas vraiment de raison que cela change. Et puis Alam aimait bien cette petite gueguerre entre eux. Ca le changeait des relations trop plates auxquelles les gens semblaient habitués par ici.  « Mademoiselle, sachez qu'il ne s'agit pas de dinette ! La d'où je viens, c'est très sérieux l'heure du thé ! » Ah le bon temps du pays des Merveilles ! Bon, il ne regrettait pas l'absence de la Reine de Coeur, de ses garde et de sa manie de vouloir couper des têtes ... Cette épée de Damoclès sur sa tête s'était considérablement allégée depuis qu'ils étaient arrivés à Fantasia Hill et le Chapelier appréciait la nouveauté de cette ville qui lui rappelait la raisonnable petite Alice. Pourtant, il était heureux auparavant ... A cette table où il passait le plus clair de son temps, à boire et chanter avec le Lièvre, à réveiller le Loir ou à taquiner le Lapin. « Bien ! Alors pour les demoiselles boudeuses, j'ai le breuvage miracle ! Un thé de Reine, m'a-t-on dit ! » Il leva un sourcil dans une moue étrange et quelque peu effrayante. Posant le plateau, il s'installa sur l'un des fauteuil et commença à surveiller l'infusion du thé dans la théière.  

« Ta ... Soeur ? Hem ... Ta soeur ne tardera j'en suis sur ! » tenta-t-il pour briser le silence qui s'était installé: il se doutait que se retrouver à la porte de chez soi ne devait rien avoir de très agréable et qu'elle était surement d'une humeur encore plus meurtrière qu'à son habitude. « Tu veux peut être utiliser le téléphone ? » proposa-t-il tout en remuant les herbes dans sa théière avant de désigner le combiné présent sur la bibliothèque. Alam leva les yeux quelques secondes pour observer l'ancienne sirène. Elle était jolie avec ses cheveux dorés. Ça lui rappelait Alice. Alice et ses cheveux blonds. Alice et sa petite robe bleue et blanche. Toute mignonne petite Alice perdue dans cet étrange Pays des Merveilles. Il secoua la tête pour se sortir l'enfant perdue de la tête et attrapa une tasse qu'il emplit du liquide brun de la théière. Posant cette dernière devant sa voisine, il désigna le plateau où trônaient encore les différents cupcake de Tanya. « En vous souhaitant un joyeux non-anniversaire ma chère ! » C'était sa phrase habituelle, son petit truc à lui. Il se servit également, tachant de rester un temps soit peu normal. Il manquait plus qu'il lui face peur ! Et puis, il ne se sentait pas vraiment capable de se servir du thé depuis l'autre bout de la pièce comme il le faisait à Wonderland. « Bien ! Comptes-tu me dire la raison de cette mauvaise humeur petite sirène ? Tu sembles bien plus morose que d'ordinaire. Aurais-tu perdu ta plusoyance en même temps que tes clés ? » ajouta-t-il d'un ton taquin. La taquiner semblait toujours une excellente idée: il adorait la manière qu'elle avait de réagir au quart de tour.

HRP:
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