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 (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs.

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Isaak-A.

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Isaak-A. "Kopa" Sullivan
J'ai posé bagages ici le : 10/02/2015 Jouant le rôle de : le petit lion disparu, kopa. #teamlionking Nombre de messages : 355 On me connait sous le pseudo : caius (nico). Un merci à : strawberry insane (avatar) caius, kavinsky (signa). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : william beau "gorgeous" mirchoff.
MessageSujet: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyLun 23 Mar - 19:40

NOTABENE:

tiens je pensais à toi d'ailleurs.
Avec l'arrivée du printemps, tu as l'impression de revivre. Lors de l'hiver, tu es généralement maussade, tu n'as pas envie de sortir, tu déprimes à moitié et le pire de tout c'est le temps qui te démoralise à fond. Le froid et le ciel couramment gris te donnent envie de déprimer, ni plus ni moins. Mais maintenant que les arbres retrouvent leurs belles feuilles vertes et leurs fleurs colorées, les oiseaux qui chantent et l'herbe qui redevient bien verte, tu te sens beaucoup mieux, tu revis en fait. Pas que tu sois mort avant, mais plutôt tu te sens bien, comme si c'était un renouveau, de nouvelles possibles qui s'offrent au monde. Et toi, comme souvent lorsque tu te sens bien, tu préfères être dehors plutôt qu'enfermé dans un bâtiment. Tu aimes sentir le vent caresser tes cheveux, le soleil lécher ta peau et entendre une vie active dans les rues. Mais cela ne remplacera jamais la savane, le lieu où tu es né et qui te manque tellement, parfois tu te surprends à rêver d'être à nouveau un lion et pouvoir courir sur des étendues immenses pour t'amuser ou trouver de quoi manger. Oui, cela te manque, mais ce qui te manque beaucoup moins, c'est la période où tu as été exilé dans la nature, mais tout ceci est une bien autre histoire. Dont la remémoration ne fera pas avancer les choses, bien au contraire, et ça tu en es bien conscient, tu préfères tenter de l'oublier.

Alors que la journée de cours est sur le point de se terminer, tu as pas mal de devoirs à faire, dont commencer à rédiger un mémoire. Sérieusement, c'est vraiment le truc que tu aimes le moins dans ton travail à la faculté. Tout ces trucs à rédiger, ça te dépasse, d'autant plus que c'est courant, les sourds et muets ont du mal à écrire, mais comme tu baignes dans les deux mondes vu que tu n'es que muet, c'est déjà un peu mieux, mais pas forcément pas fameux. Seulement tu ne lâcheras pas l'affaire, si tu fais des études pour devenir traducteur en langue des signes, ce n'est pas pour rien, tu désires réellement faire cela. Après tu ne sais pas si tu changeras d'avis plus tard, mais tu te donnes les moyens pour le moment. C'est dans cette optique tu vas à tous tes cours, que tu bosses comme un forcené et que parfois tu en oublies peut-être un peu de vivre comme tous les autres gens normaux. C'est donc, ta pochettes d'ordinateur à l'épaule que tu avances en profitant du soleil, tu vas aller au Starbucks, pour te poser et bosser un peu avant de rentrer pour te doucher et te changer pour ta nuit de travail au musée. Et oui car comme tous les jours, tu dois te rendre au musée pour le garder pendant la moitié de la nuit avant que quelqu'un d'autre ne prenne le relais.

Tu finis par arriver et prend une table sur la terrasse en attendant qu'un serveur vienne prendre ta commande tu t'installes rapidement en t'étalant un peu. Tu dois bosser sur les expressions sourdes et en donner leur provenance et pourquoi on les signe de la sorte. Un travail plutôt amusant et facile, ensuite tu devras commencer ton mémoire. Lorsque l'on vient te voir pour te demander ce que tu veux prendre, tu commandes un café moka bien chaud et un donut avec coulis de chocolat en lui montrant sur le menu après lui avoir dit simplement que tu ne peux pas parler en signant des choses tellement basiques que même un enfant comprendrait. Bref, moka et donut coulis de chocolat, c'est la combinaison parfaite du gros gourmand. Il y a cependant quelque chose qui te mine le moral ces derniers temps. Depuis la dernière fois que tu as vu Hayley à l'hôpital et que tu t'es enfin un peu plus ouvert à elle, quelque chose à changé en toi. Tu en viens même à te dire qu'elle te manque légèrement. Chose extraordinaire vu que tu sembles la détester vu de l'extérieur. Mais en réalité c'est plus complexe que ça. Tu l'apprécies, peut-être même beaucoup, mais elle t'énerve vraiment à tout le temps jouer l'inspectrice avec toi, à vouloir t'extorquer tes moindres secrets ; et toi tu ne fonctionnes pas comme ça. Justement toi, tu es secret et tu ne veux pas que les gens en sachent de trop sur ta personne, ainsi tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Plongé sur tes feuilles, tu grattes tout ce que tu peux dire sur les expressions sourdes sur lesquelles tu dois travailler quand le serveur finir par venir te donner ce que tu as commandé, tu payes directement et le remercie d'un signe de tête avant de te remettre à écrire. Le devoir tu dois le rendre pour demain, donc tu dois bien travailler dessus, ça fait environ dix minutes que tu es dessus et il ne te restes plus beaucoup d'expressions. Tu prends une gorgée de ton café et tu relèves le regard avant de la voir dans la rue avancer vers toi sans pour autant qu'elle ne t'ait remarqué. En parlant du loup, on en voit la queue.
©clever love.
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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyLun 23 Mar - 20:46

Tiens je pensais à toi d'ailleurs.

ft. Isaak


« A Story by Isley »
Ça y est, c'est enfin le printemps. J'aime cette saison, il ne fait ni chaud, ni froid. On peut porter des vêtements légers, tout en ajoutant un gilet ou une veste. Cette saison me fait penser à Pâquerette, elle qui aime tant la nature et les fleurs. Nos moments avec les filles me maquent, bien que je passais mon temps à me prendre la tête avec Flora. Enfin, c'était un jour nouveau en cette saison. Le soleil chauffait mon visage, ce qui me fit ouvrir un œil. Je posais un pied après l'autre, puis je pris la directement de la cuisine. Aujourd'hui, je ne bosse pas et je n'ai pas à faire un tour à l'hôpital. J'ai donc toute cette journée pour moi. Après le petit-déjeuner, je pris le temps de prendre une bonne douche chaude. Un peu trop longue, vu les plaques rouges qui se sont formées sur mon corps. J'allais passer une bonne partie de la matinée à faire le ménage dans mon appartement, puis je me fis une petite salade composée. J'avais envie de sortir, et de faire quelques petites emplettes. J'avais prévu de faire toutes les boutiques du centre commercial, et de toutes les dévaliser. Enfin, du moins, c'est ce que j'espérais.

En plein centre ville, je viens de passer plus des heures au centre commercial et je n'ai trouvé qu'une chose... Une magnifique robe bleue. Je crois qu'il faut que je me calme avec cette couleur, mon armoire en est remplit. J'ai un mal de pied horrible, je crois qu'il est temps pour moi de retourner à mon apparentement. Je fais donc marche arrière, pour sortir du centre commercial, je me perds facilement dans ce lieu, puis je prends le chemin qui mène vers mon chez-moi. À un feu rouge, je zieute ma petite robe. Je suis fière de cette petite merveille, mais remarque alors qu'elle est bleue, le bleu dont m'a parlé Isaak la dernière fois qu'on s'est vu à l'hôpital. Je ne sais pas pourquoi, mais en ce moment, je pense souvent à lui. Je finis par reprendre mes esprits, puis je traverse pour rejoindre l'autre trottoir. Je continue à marcher, profitant de ce petit air frais qui caresse mes jambes nues. Je n'ai jamais vraiment froid, puis ce temps me donne envie de porter des vêtements légers. Rien de mieux qu'une chemise et un short, ainsi qu'un gilet. Je n'ai certes pas froid, mais je n'ai pas non plus envie de m'attraper la mort.

J'arrive enfin dans Westwood Center Way, là où généralement, je prends le temps de boire et manger au Starbucks. J'avance tout doucement vers le petit café, venant d'en face. Alors que je me rapproche, je remarque finalement son visage, ce qui me fait sourire. Pourquoi je souris comme une débile ? Enfin, je me demande s'il va me dire bonjour, ou s'il va tout simplement m'ignorer. Pas grave, je me lance tout de même en sa direction. Une fois à sa hauteur, je lui dis Salut Isaak, tout en lui souriant. Ayant les mains chargées entre mon sac à main et mon sac de vêtement, je ne peux signer. J'ajoute alors je peux m'asseoir avec toi ?, tout en priant tout au fond de moi pour qu'il accepte. Finalement, il m'accorde le droit de me joindre à lui. Avec joie, je pose mon derrière sur la chaise, posant mes sacs à nos pieds, puis j'interpelle un serveur afin de lui commander un chocolat chaud ainsi qu'un muffin double chocolat. Bah quoi ? Je n'ai mangé qu'une salade aujourd'hui. Je me retourne à nouveau vers Isaak, regardant toutes ses affaires. Je remarque qu'il s'agit de ses cours, je lui signe alors j'espère que je ne te dérange pas, toujours en regardant son petit bordel.



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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyMar 24 Mar - 18:04

tiens je pensais à toi d'ailleurs.
Il y a des choses auxquelles tu ne crois absolument pas, et d'autres qui sont enracinés dur comme fer dans ta tête. Tu ne crois pas en l'amour, parce que tu ne sais pas ce que c'est réellement. Tu n'as eu qu'un amour de jeunesse quand tu étais encore un lionceau et cela ne voulait foncièrement rien signifier. Puis tu as eu celui de tes parents lorsque tu étais encore enfant, mais il a été massacré par la force, l'exil obligatoire et la solitude qui t'ont piétiné le cœur trop fragile que tu pouvais avoir. Et dans ce monde, c'est tellement compliqué de s'y retrouver, tu ne sais pas exactement quoi ressentir, tantôt tu es attiré par telle fille puis deux jours après par un garçon qui passe dans la rue. Ça devient trop compliqué de devenir quelqu'un. Tu n'arrêtes pas de te le dire, tu n'arrives pas à savoir qui tu es réellement, tu ne vis pas vraiment, tu ne fais qu'être là, comme une plante verte dans le décor. Décor qui représente le monde et les autres se sont eux la vie. Toi tu ne fais rien, tu es là, comme inerte, incapable de décider de ce qui est bon ou non pour ta personne. Au début tu pensais que cette opportunité de vivre ici signifiaient que tu avais une nouvelle chance, mais au contraire, ce n'est qu'un perpétuel recommencement. Tout ne fait que recommencer, toujours et encore.

Et si tu te dis cela, c'est parce que là, t'es totalement paumé, tu ne crois pas en l'amour, mais en la présence d'une certaine femme, tu te sens merveilleusement bien. Tu ressens de belles choses en sa présence, comme un feu d'artifice dans ton ventre, et c'est comme si tu étais réellement heureux rien que par sa présence, tu as enfin l'impression de vivre lorsqu'elle est à tes côtés. Et même si elle t'agace, même si tu ne supportes pas le fait qu'elle te pose tout le temps un tas de questions, tu sais qu'en réalité, t'aimes le fait qu'elle soit ainsi avec toi, parce que tu vois enfin quelqu'un qui s'intéresse à toi. C'est la première personne qui agit de la sorte pour toi, et cela n'est pas anodin. Un an passé à t'accompagner chez le médecin, à le faire de son plein gré sans rien en attendre en retour qu'un petit peu d'attention de ta part. Et tu la rejettes tout le temps ; seulement tu ne peux pas changer ta façon d'être, tu n'y arriveras pas, mais il faut que tu sois un peu plus conciliant envers ta bonne fée. Car oui, tu peux la considérer comme une petite fée qui est là et qui sait soigner tous tes maux. Et plus tu y penses, plus tu te dis que Hayley est une fille formidable bien qu'elle soit un peu chiante sur les bords, mais tu la trouves attendrissante malgré tout et tu ne le sais pas encore bien parce que tu ne saisis pas tout, mais elle est le carreaux qui t'a flingué le cœur.

Tu la vois venir vers toi avec un grand sourire sur les lèvres, et toi en bon gros timide, tu ne fais que lui sourire faiblement, après tout, tu es certes très expressif mais cela n'enlève en rien le fait que tu puisses vouloir cacher ce que tu ressens non ? Tu es heureux qu'elle t'ait remarqué, parce que tu n'aurais pas pu crier son nom pour qu'elle te voit. Tout en admirant son corps élancé marcher, tu te dis que cette fille est quand même parfaite, enfin à quelques exceptions près, mais c'est ce qui fait tout son charme justement. On ne regarde pas une personne réellement rien qu'en voyant les choses agréables, ce sont les choses pas belles qui nous font craquer justement, c'est l'adéquation et l'osmose qui se fait entre tout cela qui attire. « Salut Isaak. » Tu lui souris avant de lui signer un bonjour avec un visage radieux, pour une fois tu lui souris et réellement, tes dents sorties, ravis qu'elle puisse venir te voir. Il faut dire aussi que l'ambiance de l'hôpital te rend maussade. T'aimes pas l'hôpital, parce que ça signifie que tu vas voir l'autre gros pervers de service. « Je peux m'asseoir avec toi ? » Toujours avec ce grand sourire tu lui signes que non avant de te lever pour lui tirer la chaise et la faire s'asseoir dessus. Avant de revenir te mettre sur ton propre siège, et la regarder avec les yeux pétillants de malice comme lorsque tu n'étais encore qu'un lionceau. « Bien sûr que tu peux. » La jolie Hayley finit par héler un serveur avant de prendre commande également. Toute aussi gourmande que toi à ce que tu remarques. D'ailleurs en parlant de cela, ton donut ne va pas se manger tout seul, mais autant attendre qu'elle soit servie pour pouvoir déguster en même temps qu'elle. « J'espère que je ne te dérange pas. » Elle regarde ton bordel sur la table et tu vois qu'effectivement, tu t'es un peu étalé, voir beaucoup d'ailleurs. Mais de toute façon, c'est toujours comme ça avec toi, quand tu bosses sur tes cours, tu aimes avoir tout en vue.

Tu termines d'écrire les quelques derniers mots que tu avais à gratter sur le papier sur ta toute dernière expression pi-sourde, avant de remettre ton stylo à plume dans ta trousse et ranger ton cahier et tes feuilles volantes dans ta pochette. « Non, ne t'en fais pas, j'avais finis, je commencerai mon mémoire demain. » Tu finis par voir le serveur arriver avec la commande d'Hayley et tu la laisses payer tout en regardant les passants dans la rue. Ça se voit que c'est le printemps, tout le monde recommence à s'habiller plus légèrement, et ça te plaît, tu préfères ça que voir les gens comme toi faire la tronche parce qu'il fait froid et moche. Tu attrapes ton café avant d'en boire une petite gorgée. Et quand tu reposes la tasse tu vois dans la cuiller que tu as une moustache à cause de la mousse. Tu l’essuies du revers de la main en rougissant doucement. Merde hein. « Quoi de neuf ? » Tu lui demandes, désirant pour une fois faire la conversation et puis comme tu le pensais tout à l'heure, entre l'ambiance à l'hôpital et l'ambiance ici il y a tout un pas et comme tu es lunatique comme pas deux, ça fait toute la différence sur ton comportement, par contre gare à elle si elle recommence avec ses questions à la mords-moi-le-nœud. Mais peut-être que la voir en dehors de l'hôpital permettrait de t'en faire une véritable amie, et non pas simplement ta traductrice orale de tout ce que tu dois à dire à ce putain de pervers qui te sert de médecin. « Enfin je veux dire, tu vas bien et quoi de neuf ? » Oui, tu t'embrouilles et tu n'es pas vraiment habitué à lui parler ainsi mais après tout, y a bien une première à tout. Tu fermes les yeux en prenant une bonne bouffée d'air afin de reprendre tes esprits puis les rouvre en souriant à nouveau.
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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyMar 24 Mar - 19:20

Tiens je pensais à toi d'ailleurs.

ft. Isaak


« A Story by Isley »
En tant qu'ancienne fée, je me dois de tout voir positivement. Fut un temps, j'étais marraine d'une Princesse, enfin, je le suis toujours, mais beaucoup trop de choses ont changé. Pendant seize ans, Pâquerette, Flora et moi-même avons dû l'élever comme notre propre fille. Nous devions nous comporter comme des humaines, sans l'aide de la magie. Pendant cette période, notre côté humain a pris le dessus, nous apprenant à vraiment aimer une personne. Nous aimions Aurore comme notre fille. C'est le seul amour que je connais vraiment. Je ne sais pas ce que c'est de tomber amoureux, car je n'y avais pas le droit. Ça faisait partie des règles de notre monde, puis je ne sais même pas si j'avais cette capacité de vraiment aimer quelqu'un. À Fantasia, j'ai connu des hommes, enfin, ils se comptent sur les doigts d'une main. Si je n'ai pas dû apprendre à me comporter comme une humaine, j'ai dû apprendre à faire avec les nouveaux sentiments qui naissaient en moi. J'ai connu la jalousie, la tristesse, mais aussi la vraie colère. Le vraie, celle qui est multipliée par 10 quand on est une humaine. Avec Isaak, je ne sais pas vraiment ce que je ressens. Enfin, il me fait ressentir des choses que je ne connais pas. Quand je le vois, j'ai automatiquement le sourire, mais dans un sens, j'ai envie de l'étrangler. Bien qu'il ne soit pas tout le temps, voir très rarement agréable, il me déclenche des petits papillons dans le ventre. La dernière fois qu'on s'est vu, il m'a fait rougir. Je ne savais pas où me mettre ou quoi dire.

Alors que je marche pour rentrer chez moi, je le vois, Isaak sur la terrasse du Starbucks. Une nouvelle fois, ce sourire stupide se forme sur mon visage. Je me dirige vers lui, toute contente, puis je le salue espérant qu'il ne me dise pas de le laisser tranquille. Il me répond, en me signant que non, je ne peux pas m'asseoir. Automatiquement, une moue triste se forme sur mon visage, mais elle disparaît vite, alors qu'il tire la chaise pour que je puisse m'asseoir. Merci bien jeune homme, dis-je tout en posant mon fessier sur la chaise. Je commande un chocolat chaud, et une double muffin au chocolat, afin de l'accompagner. Je regarde alors tout son petit bordel, peut-être que je le dérange en fait, mais il me rassure en disant que non. Je regarde autour de nous, le laissant terminer ce qu'il a à faire, puis mon regard se reporte sur lui. Je le regarde écrire, tout en attendant ma commande. Finalement, ma commande arrive, nous pouvons donc commencer notre petit goûté. Je prends un petit morceau de mon muffin, tout en riant légèrement, alors qu'Isaak à une moustache dû à sa boisson. Je ne me moque pas de lui, bien au contraire, je trouve ça mignon. Je finis mon morceau de chocolat, je m'essuie les mains, puis je lui signe afin de lui répondre : Je vais bien merci, je n'ai pas travaillé aujourd'hui, donc je ne peux qu'aller bien. En plus de ça, j'ai eu la journée pour faire les boutiques. Je finis cette phrase, tout en regardant le sac qui est à nos pieds. Je prends une petite gorgée de mon chocolat chaud, puis je reprends et toi alors ? Comment vas-tu ? Les cours ne sont pas trop difficiles ?. Oui, à nouveau des questions, mais elles ne sont pas vraiment personnelles. Enfin, je ne lui demande rien de bien important sur lui. Je le regarde alors me répondre, tout en buvant mon chocolat qui me brûle les lèvres. Bon, note pour la prochaine fois : ne jamais lire ce qu'on me signe tout en buvant quelque chose de chaud, c'est beaucoup trop pour mon petit cerveau.



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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyMer 25 Mar - 13:05

tiens je pensais à toi d'ailleurs.
Ce foutu mémoire te donne réellement envie de te tirer une balle. Ce n'est pas parce que tu n'aimes pas ce que tu fais en cours, mais tu n'as tellement pas de temps pour toi avec tes allés et retours à l'hôpital, tes nuits au musée en tant que gardien et les jours de repos que tu as, tu les passes à dormir la plupart du temps. Il faut dire, que c'est tellement chiant de faire ce genre de choses. Devoir écrire tout ce que l'on a fait au cours des derniers mois, c'est pas quelque chose de passionnant. Et tu dois présenter un sujet d'actualité dans la culture sourde, pour montrer que tu as saisis toutes les spécificités de ce dit sujet. Autant dire que tu vas passer énormément de temps dessus, et que pour dormir ça va être la merde, et avec Luffy qui te fais chier à longueur de journée, tu vas galérer. Heureusement qu'il y a une bibliothèque dans la ville, comme ça tu seras au calme et tu pourras beaucoup mieux travailler. Tu dois t'y mettre rapidement, parce que c'est pour dans pas longtemps, et là actuellement, t'as une de ces flemmes de malade mental, c'est pour cela que tu lui as dit que tu pouvais passer un peu de temps avec elle. Tu commenceras demain et puis c'est tout, inutile de se prendre la tête d'avance, sinon tu auras encore plus pas envie de le faire le moment venu.

C'est bien ce que tu pensais, en la présence de cette fille, tu te sens vraiment bien, c'est comme si le monde reprenait des couleurs. C'est cette douleur-là qui est la pire. Quand elle vous prend au ventre ... Vous terrorise par son intensité. Puis peu à peu elle devient contagieuse, elle voyage vers votre cœur et l'emprisonne. Puis petit à petit le tout part vers votre tête. Une tonne de scénarios s'offrent à vous, vous tuent parce qu'aucun d'eux n'est envisageable. Puis peu à peu vous vous y habituez même si cette petite boule au ventre persiste. Ce mutisme subit que vous avez en la voyant et que vous vous avez lorsque vous vous apprêtez à lui parler est agaçant, il vous énerve. Tu ne sais pas ce qu'est cette douleur, tu préfères même de ne pas le savoir. Dans la vie, il y a des choses qu'il vaut mieux parfois ignorer, tu l'as appris à tes dépends. Notamment des choses à propos des horreurs du passé ou de ce qu'on fait vivre au monde sauvage pour la cupidité humaine. Les hommes sont vraiment tous des barbares, oui, en pensant ainsi, ça fait comme si tu n'étais pas toi même un être humain, mais tu ne l'as pas toujours été et c'est pour cela que tu penses ainsi. Tu ne veux pas tout savoir et tu pars du principe que c'est bien mieux comme ça, autant pour toi que pour les autres.

Alors que vous vous êtes installés et que vous êtes prêts à manger et boire assis à une table sur la terrasse d'un Starbucks, tu te dis que Hayley va vraiment te prendre pour un mec bizarre. Tantôt tu l'envoies chier, tantôt tu es agréable avec elle. Elle ne doit pas savoir sur quel pied danser en ta présence, et tu la comprends, à sa place, tu ne saurais pas comment réagir non plus. « Je vais bien merci, je n'ai pas travaillé aujourd'hui, donc je ne peux qu'aller bien. En plus de ça, j'ai eu la journée pour faire les boutiques. » Tu la regardes avec un petit sourire. Puis tu la vois prendre une gorgée de son chocolat chaud, et tu l'imites avec ton café moka. Mais alors que tu es entrain de boire, elle continue sur sa lancée. « Et toi alors ? Comment vas-tu ? Les cours ne sont pas trop difficiles ? » Tu la regardes en roulant des yeux dans tes orbites quand tu entends la succession de questions, bon d'accord, ce n'est pas tellement personnel, donc ça te va, mais quand même quoi. Un moulin à parole cette fille. Tu ne peux pas l'en blâmer pourtant car comme tu l'as pensé plus tôt, elle au moins, elle s'intéresse vraiment à toi et tu trouves cette attention plutôt agréable, car pour une fois qu'on s'intéresse à toi pour autre chose que ton "handicap", ça te fait plaisir.

Tu finis par prendre un morceau de ton donut en mordant dedans à pleines dents, sauf que tu te mets du coulis de chocolat partout. Sérieusement, c'est vraiment pas ton jour aujourd'hui, ridicule à souhait. Alors que tu t’essuies avec ta serviette, ton regard se pose sur son visage pour lui signifier que tu vas bientôt signer. « On va dire que ça va. Et non, je trouve ça plutôt simple à vrai dire. » Bah oui, traduire des textes, des musiques, parler en langue des signes, cela fait partie de toi désormais, tu n'as pas à te forcer pour y arriver. Alors c'est une aubaine que de te lancer dans ce genre de carrières, bien qu'en réalité, tu commences parfois à te poser des questions, pourquoi se contenter de si peu ? Tu lui souris avant de prendre une gorgée de café et de lui signer à nouveau. « Mais parfois j'aimerai faire une réorientation, tu sais genre, devenir chirurgien, un truc comme ça. » Oui, tu parles pour faire la conversation, d'ailleurs, voilà pour une fois que tu "te confies" sans qu'elle ne te demande rien, un exploit n'est-ce-pas ? Mais bon, après tout, elle est là, et vous êtes en dehors du contexte de l'hôpital, alors autant en profiter pour apprendre à se connaître un peu plus.
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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyMer 25 Mar - 14:57

Tiens je pensais à toi d'ailleurs.

ft. Isaak


« A Story by Isley »
Je n'avais jamais été fan de mode, bien au contraire, je m'en moque totalement. Mais ça, c'était avant l'anniversaire d'Aurore, là fois où Flora et moi avons fait la guerre pour savoir de quelle couleur serait la robe. C'est sûrement mon côté humain qui me fait apprécier le lèche vitrine, porter de belles robes et chaussures. Je suis d'ailleurs couturière, et ça me plaît vraiment de créer de nouveaux vêtements. Je pourrais porter mes créations, mais non, je préfère le faire pour les autres. Les gens m'inspirent, ils me font travailler mon imagination alors que pour moi, je me contenterais d'un simple drap bleu. Oui, du bleu encore et toujours, mais je n'y peux rien. J'essaye de porter d'autres couleurs, mais je me sens nue sans une note de bleu sur moi.

Enfin, ces derniers temps, ce n'est pas de quelle couleur sont mes vêtements qui me préoccupent, mais plutôt ces nouvelles sensations que je ressens tout au fond de moi. Ces sensations que j'ai dans le ventre, dans ma tête quand je suis en présence d'Isaak. Au début, j'allais très bien, je le voyais comme un jeune homme dont je devais traduire ses signes. Plus les mois ont passé, plus je me suis interrogée sur lui et sur qui il est. Je pensais que ça allait être facile d'en apprendre plus sur lui, mais non. Bien au contraire, c'est aussi difficile que de trouver une aiguille dans une botte de foin. Isaak est un être mystérieux que je m'efforce à comprendre. C'est peut-être ce que j'aime chez lui, le fait qu'il soit mystérieux, réservé, bien qu'il m'envoie un peu trop boulé. Enfin, je n'explique quand même pas ces maux de ventre qui apparaissent quand il est là. J'ai aussi le cœur qui bat vite et la tête qui tourne. C'est exactement dans l'état, dans lequel je me trouve actuellement, bien que j'essaye de ne rien laissé paraître derrière mon sourire.

Assise en face de lui, je suis surprise par son premier geste, alors qu'il tire la chaise pour que je puisse m'asseoir. Tiens, mais serait-il capable d'être un vrai gentleman ? Apparemment, oui, il le peut. Je finis par lui raconter ma journée, puisqu'il me le demande. Bon dieu, il s'intéresse à ce que je fais ? Ok, là, je crois qu'il doit être malade. Enfin bref, je finis par lui retourner la question et je le vois lever les yeux au ciel. Quoi ? Trop de questions ? Mais je n'ai encore rien dit !. Je prends une gorgée de mon chocolat chaud tout en le regardant, alors qu'il fait tomber de son coulis de chocolat sur lui. Je finis par rire, je crois que je vais arrêter d'être ta traductrice, pour te donner des cours sur "comment savoir manger correctement", dis-je en lui donnant ma serviette. Voilà qu'il me fait rire maintenant, mais qu'est-ce qu'il m'arrive ?. Il reprend, en signant afin de répondre à ma question. Mes yeux restent fixés comme toujours sur ses mains, bien que je ne puisse m'empêcher de regarder ses yeux. Il a de beaux yeux bleus le petit, ouais non, concentration Hayley. Je secoue ma tête, puis je me reconcentre sur ses mains. Chirurgien ? Mais, ça ne serait pas compliqué ? Vu que tu ne peux pas parler. Oui, une question, encore, mais là, il m'a tendu la perche aussi ! Enfin, si la médecine t'intéresse, tu devrais t'orienter vers cette filière-là, finis-je par signer, posant ensuite mes mains sur la table. Je lui souris, puis un peu mal à l'aise, je regarde autour de nous, des gens qui nous regardent comme toujours quand on signe. Quoi ? Vous voulez notre photo ?, je leur dis d'un ton sec, tout en leur faisant le regard qui tue, mon préféré.


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J'ai posé bagages ici le : 10/02/2015 Jouant le rôle de : le petit lion disparu, kopa. #teamlionking Nombre de messages : 355 On me connait sous le pseudo : caius (nico). Un merci à : strawberry insane (avatar) caius, kavinsky (signa). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : william beau "gorgeous" mirchoff.
MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyMer 25 Mar - 21:47

tiens je pensais à toi d'ailleurs.
Tu te ridiculises devant elle, tu le sais pertinemment, mais les tremblements de tes mains t'empêchent de pouvoir manger convenablement. C'est un comble pour toi qui se sert trois fois plus de tes mains que la plupart des gens dans le monde. Tu les sollicites tout le temps, que ce soit pour écrire ou pour faire des tâches quotidienne, un peu comme tous les individus de la planète, mais tu t'en sers également pour pouvoir parler, alors tu ne devrais trembler de la sorte. Sauf qu'ils sont causés par quelque chose que tu ne connais pas vraiment, une nouvelle sensation, car oui, même après deux ans d'existence, tu ignores encore énormément de choses sur les humains et leurs sensations et sentiments. Par exemple, là tu ne sais pas exactement pourquoi tu as de léger papillons dans le ventre, les mains qui tremblent ou l'impression que ta respiration se coupe lorsqu'elle est entrain de signer pour te parler. D'ailleurs tu la trouves extraordinaire d'accepter de faire ce qu'elle fait pour toi, tout le temps t'accompagner à l'hôpital, supporter tes sautes d'humeurs et tes envies massacrantes lorsque tu sais que tu vas aller voir ce satané médecin beaucoup trop pervers. Et le pire c'est qu'en dehors de l'hôpital, c'est différent, tu aimes bien sa présence, et tu préférerais que cette relation ne soit exclusive que dans une vie quotidienne et non spécifique à ce lieu de damnation. Sauf que comme tu lui as révélé la dernière fois, si tu le fais ce n'est pas pour toi, c'est pour offrir une chance aux autres. Ou du moins, le tenter.

Oui, on pourrait dire que tu es méchant, oui, on pourrait dire que tu es trop renfermé. Seulement, les gens ne savent pas ton vécu, ils ne savent pas l'enfer que tu as pu subir dans ton ancienne vie. Ils ne savent que tu as souffert le martyr en revenant vers ta famille avant de périr, un œil crevé et le corps lacéré par les serres acérées de vautours cherchant pitance. Des jours entiers à avoir faim et soif, dans un milieu hostile, il y a de quoi rendre le plus sociable des individus plutôt taciturne. C'est ce qui t'es arrivé, tu es devenu taciturne, secret et réservé. Et personne ne peut t'en blâmer, mais ils ne savent pas, tu ne veux pas que l'on sache, tu ne veux pas que l'on te prenne pour un fou furieux à t'imaginer dans la peau d'un lion. On t'enverrait immédiatement dans une chambre blanche avec une camisole entourés de médecins prêt à t'envoyer une bonne dose d'anesthésiant histoire que tu n'attaques personne. Alors oui, parfois tu es méchant, oui, tu es renfermé, mais c'est pour de bonnes raisons, et tu as l'impression que là, tes barrières cèdent et que cette fille entre dans ton intimité, qu'elle viole les règles, mais étrangement, cela ne te dérange pas tant que cela. Au contraire, tu trouves cela plutôt agréable et totalement intimidant de sa part. Toi qui ne sait que ressentir à son égard.

Mais alors que tu as encore fait le cochon en mangeant n'importe comment, tu l'écoutes se moquer de toi et tu la regardes en lui disant clairement avec le regard que tu t'en fou de la taquinerie, ça ne te touche pas tant que cela, tu y es habitué avec ton colocataire, c'est monnaie courante. Ses yeux sont cependant restés fixés sur tes mains alors que tu étais entrain de signer, mais tu as croisé son regard et cela t'as perturbé, beaucoup trop pour que cela soit anodin, mais tu as continué. Tu sais que tu es entrain de la perturber, à vrai dire, lui révéler autant de chose sur ta vie alors qu'elle n'a rien pu tirer de toi pendant autant de temps, cela te paraît plutôt improbable, mais pourtant, c'est vrai. Et alors que tu as finis, elle enchaîne directement en te répondant. « Chirurgien ? Mais, ça ne serait pas compliqué ? Vu que tu ne peux pas parler. » Elle n'a pas tord, mais ça le serait bien plus si tu ne pouvais pas entendre, et comme tu es quand même doté d'une ouïe, tu sais très bien que cela peut-être envisageable, ce serait peut-être même une première dans l'histoire mondiale. Un muet qui devient chirurgien. « Enfin, si la médecine t'intéresse, tu devrais t'orienter vers cette filière-là. » Tout ce que tu souhaites c'est qu'en faisant médecine, tu ne deviennes pas comme l'autre taré que tu as comme médecin. Bien que ça ait peut de chance d'arriver, fort heureusement d'ailleurs. Puis Hayley remarque que les gens vous regardent bizarrement, tu souris, habitué à ce genre de comportements. « Quoi ? Vous voulez notre photo ? » Tu la regardes avec un petit sourire timide, tu la mets dans une situation embarrassante, mais tu n'as pas à t'en excuser, tu ne vas pas t'empêcher de vivre pour des idiots non plus.

Alors que tu lui laisses le temps de régler les choses à sa façon, tu continues de boire ton café moka. Et lorsqu'elle revient à toi, tu lui adresses un regard désolé. Un peu dépité à l'idée qu'en fait ton handicape est mal vu par certains qui sont encore réduits d'esprits à l'idée que l'on puisse utiliser la langue des signes pour communiquer. Tu finis par sourire à Hayley avant de commencer à signer. « Laisse tomber, tu sais, on s'y fait à force. » C'est la pure vérité, au fur et à mesure, on s'y habitue, et comme toi tu es né ainsi, c'était plutôt facile, mais pour quelqu'un comme elle qui peut et parler et entendre, c'est sûr que le regard des autres doit être dur à avaler. Mais alors que tu repositionnes ta tasse convenablement sur la coupelle tu continues sur la lancée de tout à l'heure. « Tu sais, mon handicap n'est pas gênant, je peux quand même faire un tas de choses et ça ne peut que m'avantager vu que je me sers de mes mains pour signer. » Tu n'as pas besoin d'expliquer pourquoi tu dis ça, elle le sait très bien. A force de signer longtemps, on finit par avoir mal aux doigts et aux poignets, c'est fatiguant et usant. De ce fait, on finit par devenir musclé et des doigts et des poignets, pour le plaisir de ces dames et ces messieurs d'ailleurs. Enfin c'est une autre affaire ça. « Puis, je sais pas, mais j'ai envie d'aider les gens, de pouvoir... sauver leur vie. » Oui, tu as toujours aimé cela, tu es altruiste, peut-être même de trop, tu feras toujours passer le bonheur et la survie des autres avant la tienne, tu es ainsi, doté d'un cœur en or qui peut parfois te jouer des tours.
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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyMer 25 Mar - 22:31

Tiens je pensais à toi d'ailleurs.

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« A Story by Isley »
Finalement, c'est peut-être bien de voir Isaak en dehors de l'hôpital. Là, on est à l'air libre, le soleil nous mordillent la peau. Il change complètement de celui que je vois d'habitude, de celui qui passe son temps à faire la tête, à bouder comme un bébé ou à m'envoyé balader. Ça doit sûrement lui changer les idées, d'être dehors et non pas enfermé entre quatre murs, avec des médecins qui vous examinent comme si vous étiez une bête de foire.

Je le regarde continuer ses bêtises ce qui me fait rire. J'en profite au passage, pour faire une petite réflexion qui ne le fait hélas pas rire. Tant pis, je lui tire la langue avant de couper un petit bout de mon muffin et de le déguster. Il m'avoue qu'il aimerait bien devenir chirurgien, ce qui pour le coup, me surprend. Je l'imagine alors en salle d'opération, sauf que dans ses cas-là, les médecins parlent et ne perdent pas de temps à signer pour demande un objet. Non parce que même le meilleur chirurgien au monde, à besoin d'assistants. Enfin bref, il est ambitieux et c'est sympa à voir. Beaucoup de muets pourraient rester dans leur coin, à s'apitoyer sur leur sort, mais ce n'est pas le cas d'Isaak. Non, lui, il veut aider les autres. Il aurait fait une bonne fée, voulant le bien des autres. Ouais, sauf qu'il y a déjà une fée qui a un caractère de cochon, et c'est moi qui occupe ce poste.

Je lui souris, lui répondant qu'il n'a qu'à s'orienter vers cette filière, si c'est ce qu'il veut vraiment faire. Alors que nous conversons en signant, je m'aperçois que des gens nous regardent. Je ne supporte pas qu'on me regarde, qu'on nous regarde dans ce cas précis. Parfois, j'ai l'impression que les gens découvrent qu'il existe des sourds et muets. Je les regarde en fronçant les sourcils, puis je leur fais une réflexion, ne les quittant pas des yeux tant qu'ils ne tourneront pas le regard. Non, je ne laisserais pas tomber Isaak. Ces gens sont mal polis, à nous regarder comme ça, je lui signe tout en regardant ces gens par moment. Je hoche à tête à ce qu'il me dit, c'est vrai, ça ne fait que 10 minutes que j'ai commencé à signer, que j'ai déjà mal aux doigts. Je souris à ce qu'il ajoute, puis je lui dis tu serais comme une bonne fée en fait, tout en ayant un léger sourire sur le visage. Entant que fée, on se doit de faire passer les autres avant soit. C'est un peu ce que je fais avec Isaak, quand je lui accorde un moment et que je viens à l'hôpital. Tu pourras peut-être me refaire les nichons quand tu seras chirurgien !, je signe avant d'exploser de rire. Bah quoi, je ne suis pas parfaite, je ne suis pas comme ces mannequins qui ont des poitrines énormes ! Les miens sont petits, je ne serais pas contre un petit tour de magie pour changer tout ça.


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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyJeu 26 Mar - 17:10

tiens je pensais à toi d'ailleurs.
Quand tu penses au fait que tu puisses aider les gens, tu as l'impression qu'une auréole apparaît sur ta tête, symbole que seul toi pourrait voir. Tes parents disaient que les étoiles étaient les esprits des anciens rois et reines de ton royaume, tu te demandes si une fois que tu ne seras plus de ce monde, tu les rejoindras ces jolies étoiles qui brillent de mille feux dans le ciel une fois la nuit tombée. Ce n'est pas pour cela que tu aides les gens, c'est parce que tu aurais aimé qu'on le fasse pour toi, tu aurais apprécié qu'avant on fasse ce genre de gestes pour que tu puisses avoir une vie plus aisée. Quelques personnes le faisait, ta mère, ton père, Timon et Pumba, mais les autres s'en fichaient comme de leur première proie ingérée. Tu n'es pas comme ça, toi tu t'en fais pour les autres, tu fais passer leur bonheur avant le tien, tu fais en sorte qu'ils soient heureux même si toi tu peux être triste comme si tout s'écroulait autour de toi. Si jamais une catastrophe arrivait, comme une invasion de zombies – comme dans tes séries – tu ferais tout pour mettre les autres en danger en dépit du fait que tu risques toi même ta vie pour les autres. Oui, c'est facile à dire, mais plus dur à mettre en pratique, mais tu l'as déjà démontré, une fois quelqu'un a faillis se faire renverser devant toi, et tu l'as poussé afin que la voiture ne le boule pas, alors que tu aurais pu te la prendre en pleine face. Tu as un véritable cœur en or. Une qualité de plus en plus rare dans ce monde de merde.

Et toi qui ne veut qu'aider tes semblables, voilà qu'on te traite comme un handicapé, que dès que tu signes en public, tout le monde te regarde bizarrement. Voilà pourquoi tu évites de le faire devant un tas de gens inconnus, parce que tu n'aimes pas que l'on te dévisage, mais avec Hayley, là, c'est différent, tu te fiches du fait que tu sois muet. Mais elle, les regards ça la dérange, elle s'énerve même sur les gens assis à côté de nous, si elle savait comment c'est inutile, parce qu'ils continueront, les choses dont on n'a pas l'habitude dérangent toujours, c'est comme ça. Même toi parfois certains actes peuvent te gêner, t'intriguer, et c'est un sentiment tout à fait légitime. Mais trop las pour l'expliquer tu préfères abandonner la discussion. Si les gens n'ont que ça à faire, c'est que leur vie doit être bien triste et morne. Et dans ces moments-là, tu te mets à émettre de la pitié pour eux, un sentiment bien étrange envers le monde extérieur, de la crainte, de la peur, mais en même temps une certaine forme de pitié qui se fait sa place lorsque tu les vois, te regarder comme si tu étais un extraterrestre.

Tu finis par la laisser dire, de toute manière autant le faire, elle ne comprendrait probablement pas, vu qu'elle n'est pas dans la même position que toi. Après tout, c'est une personne normale qui parle une langue d'handicapé, alors la conception des choses n'est pas identique, et ça tu l'as bien compris depuis fort longtemps. Tu relances donc la discussion sur ce que tu aimerais faire en réalité si tu pouvais, si tu en avais la force. Elle qui te répond en signant avec un petit air joyeux au visage. « Tu serais comme une bonne fée en fait. » Cette fois-ci, tu t'arrêtes de sourire lorsqu'elle dit ça. Tu te demandes si elle sait, si elle a compris, compris qu'en réalité, tu viens d'un autre monde où ce genre de choses auraient pu exister. Mais tu finis par te dire que ce n'est possible, elle ne peut pas savoir et en prime elle a l'air assez folle – dans le bon sens du terme – pour croire à ce genre de choses. « Tu pourras peut-être me refaire les nichons quand tu seras chirurgien ! » Par contre, là quand tu la vois exploser de rire, tu te mets à sourire, incapable de rire car tu ne peux pas rire sans cordes vocales. Pourtant si tu souris ce n'est pas pour sa blague, mais bien par le fait qu'elle trouve cela très drôle. Toi si tu veux faire chirurgien, ce n'est absolument pas pour refaire une paire de seins. D'autant plus que les siens sont très bien proportionnés et que les retoucher ça ferait vraiment trop surfait donc très moche.

Pourtant hors de question de faire une autre boulette comme la dernière fois, tu ne diras pas qu'ils sont très bien, car se serait vraiment trop étrange. Déjà lui avoir dit que tu aimais la couleur de ses yeux, c'est bizarre, mais là ce sera la boulette de viande sur le plat de pâtes. Oui drôles d'expression, mais toi même tu es drôle et pas dans le sens amusant, bien entendu. « Je parlais pas de chirurgie esthétique. Plutôt cardiaque ou neurologique. » Tu ajoutes cela une fois qu'elle s'est calmée et prend une nouvelle bouchée de ton donut sans t'en mettre partout dessus cette fois-ci, c'est toujours mieux. Alors que tu t’essuies les mains, tu sens ton téléphone vibrer dans ta poche, tu le prends et voit qu'une amie t'a envoyé un message, tu lui réponds rapidement avant de reporter ton attention sur Hayley. « Sinon, tu fais quoi comme travail ? » Bah oui, tu lui demandes parce que tu ne sais tout simplement pas, et au moins tu en apprends un peu plus sur elle vu qu'elle t'a posé des questions la dernière fois, à ton tour de faire pareil.
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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyJeu 26 Mar - 20:35

Tiens je pensais à toi d'ailleurs.

ft. Isaak


« A Story by Isley »
Je souris quand il mentionne qu'il souhaite aider les personnes. Pendant des années, c'est ce que j'ai fait. En plus de protéger la nature avec Pâquerette et Flora, nous devions aussi nous occuper de bons nombres de personnes. Nous étions des marraines fées, prêtent à tout pour faire le bonheur des autres. Aujourd'hui, c'est surtout mon bonheur que je fais. Enfin, je ne suis pas si heureuse que ça, mais il est vrai que je n'ai plus à m'occuper de mes petits protégés. Dans un sens, j'exerce encore un peu mon ancien métier, lorsque je me retrouve à l'hôpital avec Isaak. Je me souviens d'un jour à l'hôpital, où je venais pour faire une prise de sang, avoir entendu un médecin entrain de parler avec une infirmière. Ils parlaient d'un cas exceptionnel, un jeune homme muet qui avait l'air d'être différent des autres. Il leur fallait quelqu'un qui peut communiquer avec lui, enfin, du moins avec eux. J'avais appris la langue des signes grâce à une amie.

J'ai donc sauté le pas, en me proposant. Après tout, ça me manquait de ne pas pouvoir aider les autres. Dans ce cas précis, je pouvais aider, en quelque sorte, un jeune homme à communiquer avec les autres. Je ne savais pas ce qu'il m'attendait, mais c'était ma nouvelle aventure à moi, rien qu'à moi. Bon, si j'avais su qu'il avait un caractère de merde, je ne sais pas si je me serais lancée, mais bon, maintenant que j'y suis, j'y reste. Après tout ce temps à se côtoyer, c'est la première fois qu'on passe un moment ensemble, en dehors de l'hôpital. C'est plutôt agréable en fait, Isaak est beau garçon bien qu'il soit tête à claques. Ce moment agréable est légèrement perturbé, alors que je suis entrain de me prendre, presque, la tête avec des gens. Non mais c'est vrai, je ne supporte pas qu'on me regarder, qu'on ait le regard fixé sur moi et encore moins lorsque je suis entrain de signer. Je n'ai pas honte de ça, c'est juste que je ne suis pas à l'aise.

Enfin bref, Isaak souhaite s'orienter vers la chirurgie pour aider les autres. Je le taquine alors, lui disant qu'il serait comme une bonne fée. Bien évidemment, je suis loin de me douter qu'il vienne d'un autre monde que moi et qu'il est loin d'avoir l'apparence d'une fée. Je continue à le taquiner, lui balançant qu'il pourrait sûrement refaire ma poitrine. Ah...bon au pire, tu pourras voir si mon cerveau est intact....., je signe tout en riant légèrement, puis j'ajoute en reprenant aussi tôt Je t'interdis de faire une réflexion sur ça !. Je finis enfin mon muffin, le regardant pianoter sur son téléphone, puis je reporte mon regard sur ses mains. J'essuie mes mains, puis je me mets à signer Rien de bien exceptionnelle en fait, je suis couturière....J'aime bien créer des vêtements....loin d'être chirurgien quoi, je finis de signer, tout en baisant mon regard vers mon chocolat chaud. Quand je pense qu'avant j'étais une super méga fée, et que là, je me retrouve couturière, ça me dégoûté. Je finis par lever mon regard sur lui, puis je me mets à rougir quand je le vois me regarder lui aussi. Ça y est, mes joues se remettent à bouillir. Finalement, curieuse comme je suis, je finis par lui signer et sinon, tu as une copine ? Ou un copain ?. Merde, j'ai osé, il va me tuer. Je fais une grimace, puis j'ajoute Pardon, c'est trop personnel.


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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyVen 27 Mar - 8:33

tiens je pensais à toi d'ailleurs.
Tu aurais pu mettre fin à la discussion bien plus tôt, mais tu ne l'as pas fais, et pour la simple et bonne raison que vous n'êtes pas dans un contexte entre guillemets professionnel. Là tous les deux, c'est la rue qui vous héberge et non un hôpital qui rend maussade pour de multiples raisons. Ainsi donc tu es légèrement plus agréable, voire beaucoup plus en fait. C'est le jour et la nuit, et ça tu le comprends vu qu'elle se met à rire à gorge déployée alors qu'elle ne le faisait jamais. Tu le vois, tu le saisis, les choses évoluent, de toute manière tout évolue toujours, que ce soit dans un sens positif ou un sens négatif. Tout le monde finit un jour ou l'autre par changer, rien ne peut rester identique, tout doit pouvoir s'adapter au temps qui passe. C'est autant ton cas à toi que votre relation. Bien oui, les choses changent, vous discutez, tu oses même lui parler un peu plus de toi. Donc effectivement ça se modifie, autant en toi qu'en dehors de toi, tu n'es plus dans la même optique, et cela s'observe facilement. Vous plaisantez ensemble, vous parlez ensemble, vous êtes ensemble sans que le ton ne monte alors que d'ordinaire c'est ce que l'on voit tout le temps. Comme quoi, oui les choses sont bien entrain de changer, que ce soit en bien ou en mal.

A croire qu'au final tu ne sais pas comment te comporter avec Hayley, tantôt tu as envie de l'envoyer chier, tantôt tu apprécies sa présence car elle te soulage, tu as l'impression de ne plus être seul et qu'avec elle tu pourrais soulever des montagnes et repousser les mers dans les fonds marins de la planète. C'est totalement étrange comme sentiments, mais c'est qu'il y a à l'intérieur de toi, et peut-être que c'est paradoxal, mais ça te fait du bien aussi de voir que tu es capable de l'apprécier et qu'au final tu l'aimes bien quand même. Au départ tu en doutais, tu te demandais si tu ne la détestais pas, elle et ses questions trop personnelles, sur ta vie, sur ce que tu es, mais finalement tu as pu lui faire comprendre que si tu veux te confier, ça doit venir de toi et non d'elle, ça marche ainsi. Tu veux voir si tu peux lui faire confiance avant de lui dire la moindre choses sur ce que tu peux être. Encore les choses qui se passent à l'hôpital, c'est le secret médical qui l'empêche de parler, elle peut recevoir une amande et être incriminé par la police, mais là si tu lui dis des choses sur toi, et qu'elle veut les dire à n'importe qui, tu ne pourras rien faire du tout, alors tu préfères tester la confiance que tu as en elle.

Alors que tu viens de lui dire que la chirurgie esthétique n'est pas non plus le genre d'opération que tu espères faire si jamais tu te convertis dans la médecine, elle commence à te taquiner, chose qu'elle n'avait jamais fait. Et tu ne sais pas si tu apprécies ou non pour le coup, alors tu la laisses faire. Puis tu lui dis qu'en réalité tu comptes plus faire de la neurologie ou de la cardiologie, quelque chose qui sauve vraiment des vies. « Ah... bon au pire, tu pourras voir si mon cerveau est intact... » Tu te mets à sourire, prêt à signer immédiatement, sauf qu'elle t'arrêtes immédiatement en prenant ta place dans la conversation. « Je t'interdis de faire une réflexion sur ça ! » Tu te remets à sourire parce qu'elle t'a devancé, après tout, tu aurais pu juste lui dire que tu doutais qu'il soit en bonne et due forme, mais cela aurait été pour rire, simplement. Alors que tu manges ton donut, tu reçois un message sur ton téléphone portable auquel tu réponds rapidement pour le remettre dans ta poche. Tu finis par lui demander quel métier elle fait, simplement pour faire la discussion et en apprendre toi aussi un peu plus sur elle. « Rien de bien exceptionnel en fait, je suis couturière... J'aime bien créer des vêtements... loin d'être chirurgien quoi. » Tu la regardes avec un petit sourire alors qu'elle baisse les yeux, presque ayant honte de ce qu'elle est. Sauf que là, toi tu ne comprends pas, c'est un super métier et l'idée de se dévaloriser à moitié parce qu'on est pas quelque chose de très important n'est pas envisageable pour toi. Alors qu'elle relève son visage, tu la vois rougir parce vos regards se croisent, et là tu souris, cette fois-ci ce n'est pas toi. « Il en faut des créateurs et des couturiers, sinon on s'habillerait comment ? » Tu lui tires la langue pour lui redonner le sourire, enfin du moins tu espères qu'elle aura le sourire à nouveau, t'aimes pas la voir comme ça, surtout ici quoi ! Enfin plutôt surtout que vous êtes pas à l'hôpital serait plus juste. Elle finit par changer de sujet du tout au tout. « Et sinon, tu as une copine ? Ou un copain ? » Là par contre, tu buvais une gorgée et tu t’étouffes à moitié avec. Alors que tu tousses à t'arracher les poumons, elle signe à nouveau. « Pardon, c'est trop personnel. » Ça oui, c'est trop personnel. Par contre tu ne t'en offusques pas réellement, c'est plus un jeu que tu vas pouvoir retourner contre elle là.

Tu finis par reprendre ton souffle avant de la regarder avec un air plutôt neutre, ni froid, ni chaleureux. C'est mieux comme ça, tu finis par lâcher un long soupir silencieux vu que tu ne peux sortir aucun son de ta gorge vu que tu n'as pas de cordes vocales, avant de lever les mains pour signer. « Ni l'un, ni l'autre. Bien qu'hier j'étais dans le lit d'un homme et avant hier dans le lit d'une jolie femme. » Et oui, c'est la pure vérité. De toute façon inutile de t'en cacher, sinon elle risquerait de l'apprendre autrement, et ça tu ne le veux pas. Autant dire les choses rapidement, surtout ce genre de choses, parce que la surprise peut faire beaucoup plus mal lorsque l'on l'apprend de quelqu'un d'autre que la personne concernée. « Et oui, c'était personnel. Maintenant à moi de te poser une question. Pourquoi tu fais tout ça pour moi ? » Bah oui, t'aimerais bien savoir, tu veux comprendre ses raisons, parce que ce n'est pas simplement pour aider les gens, ça tu sais qu'elle aime aider les gens, tu l'as bien compris, mais te supporter pendant plus d'une année, tu ne comprends pas ça. Et t'aimerais bien saisir ses raisons, qui doivent être très intéressante à coup sûr.
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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyVen 27 Mar - 17:59

Tiens je pensais à toi d'ailleurs.

ft. Isaak


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La vie nous réserve parfois des surprises, la preuve, alors que c'est mon jour de repos : pas de travail ni d'hôpital, je tombe nez à nez avec Isaak. Il aurait pu m'ignorer, ou j'aurais pu le faire, mais à la place, nous avons décidés de passer un moment ensemble sur la terrasse de ce café. Nous avons commandé de quoi boire et manger, puis nous avons engagé la conversation. Au début, rien de bien exceptionnel à part un quoi de neuf. Puis finalement, Isaak m'a avoué vouloir faire autre chose, comme être chirurgien. Mon dieu, pincez-moi, je rêve ! Serait-il entrain de se confier à moi ? Je hurle de joie à l'intérieur. Je calme mon moi intérieur, puis je le taquine un petit peu en parlant de mon cerveau. Bon ok, il ne me connaît pas vraiment du coup, il ne sait pas si c'est du lard ou du cochon. Bien que finalement, je l'arrête avant qu'il ne puisse signer, pour lui interdire de signer quoique ce soit sur ça. Je le vois sourire, ce qui me fait aussi sourire, il allait me taquiner, peut-être que j'aurais dû le laisser faire ? Quoi-qu'avec moi, il aura plusieurs fois opportunités pour se moquer de ma tête.

Il me questionne sur mon métier, vu qu'il ne le connaît pas. Oui, après plus d'un an, il ne sait même pas mon métier, ça fait toujours plaisir ! Enfin bref, ça m'arrange vu que je suis loin d'être une chirurgienne, ou quelque chose dans ce genre. Je lui réponds un peu timidement, baissant le regard vers mon délicieux chocolat chaud. Je relève ma tête pour le regarder, c'est alors que nos regards se croisent et que je deviens rouge comme une tomate. Bon, on dira que c'est à cause du soleil. Je finis par sourire à sa réflexion qui me fait sentir mieux, puis je ris en le voyant me tirer la langue.

Mon chocolat et mon muffin terminés, je ne peux m'empêcher de lui poser une question.... Intime. C'est trop fort pour moi, je suis comme ça, je n'arrive pas à me retenir, il faut absolument que je lui pose une question intime. Mes yeux s'ouvrent en grand alors que je le vois s'étouffer, c'est si intime que ça ? Je m'excuse, puis finalement, il me répond. Alors que j'ai ma cuillère en bouche, je la fais tomber à cause de sa réponse. Je suis sur le cul, comme on dit vulgairement. Je suis, bouche bée, et je crois que vu la tête que je dois faire, il a bien compris. Je suis un peu déçue de sa réponse, je suis de la vieille école alors savoir qu'il essaye les hommes et les femmes me perturbent un peu. Pourquoi se priver après tout..., dis-je sans le regarder, tout en ramassant ma cuillère.

Je le regarde tout de même, puis il commence à me signer quelque chose. Il veut me poser une question, je hoche donc la tête. Il me demande alors pourquoi je fais ça pour lui. Sur le coup, je hausse un sourcil. Comment ça pourquoi ? Pour t'aider pauvre quiche ! Oui, bon ça, je ne lui dis pas. Je fais tourner ma tasse, tout en réfléchissant, puis je le regarde, prête à signer. Je ne sais pas...., je signe tout en le regardant. Je repose mes mains sur la table, avant de finalement ajouter tu sais que j'aime aider les autres, et ça me rappelle certaines choses. Oui, bon, je ne peux pas clairement lui dire que j'étais une fée, il me prendrait encore plus pour une folle. J'aimerais le lui dire, mais c'est impossible. Si j'avais un indice comme quoi il vient d'un autre monde, je ferais peut-être aussi des allusions, mais là non. Puis, je me suis peut-être attachée à toi, bien que tu aies un caractère de cochon, je finis de signer en rigolant.


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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyVen 27 Mar - 22:38

tiens je pensais à toi d'ailleurs.
Tu ne sais pas pourquoi tu lui as dit, peut-être qu'après tout, elle commence à débloquer certaines parties de toi qui restaient closes jusqu'à présent. Alors que tu croyais être hermétique à toutes ces choses, comme le fait de te dévoiler, tu te surprends à aller dire à cette fille, qui à la base t'agace à trop vouloir en savoir sur toi, des choses que tu ne veux pas partager, comme ton rêve de vouloir devenir chirurgien. Tu sais que tu la surprends, mais tu te surprends toi-même de toute manière, parce que tu ne le fais jamais, même ton meilleur ami ne sait pas tout de toi. Il y a toujours des cachotteries avec toi, tu n'y peux rien, tu es comme ça. Et tu as l'impression qu'en fait, lorsque tu te plonges dans ses beaux yeux marrons, c'est comme si tu était attiré par elle, qu'elle te forçait à te dévoiler, à ouvrir ton cœur. Et bon dieu que ça te fait flipper ça. Jamais une fille n'a eu une telle emprise sur toi. Voilà pourquoi, là, tu la découvres autrement, ce n'est pas l'ambiance de l'hôpital, donc c'est mieux. C'est plus détendu et tu n'as pas en tête que ce foutu médecin de malheur vienne poser ses gros doigts vicieux sur tes fesses ou ton pénis.


Mais tu n'as pas fais que lui parler du fait que tu veuilles être chirurgien. Elle t'a demandé si tu avais une copine ou un copain. Toi tu lui as répondu que tu aimais aller voir chez les filles et les garçons, mais tu ne lui as pas tout dit, et peut-être que tu aurais dû après tout. Mais c'est trop tard le mal est fait. Tu sais que ça l'a déçue, qu'elle aurait aimé autre chose, c'est facile de le savoir vu la réaction qu'elle a eu, mais peut-être que tu vas devoir lui expliquer le fondement réel de ton orientation sexuelle, parce que ça te paraît crucial en fait. Étrangement, tu ne supportes pas l'idée de l'avoir déçu, parce que tu veux être génial pour elle. Et plus tu penses à cette idée que tu viens de formuler dans ta tête, plus tu te dis que tu deviens de plus en plus bizarre. Bon sang, c'est vraiment trop bizarre. Tu ne lui dois rien, cette fille n'est pas ta mère, n'est pas ta copine, n'est pas ta sœur, pour toi, ce n'est que ta traductrice bien que tu te demandes si au fond, elle ne serait pas aussi une amie. Bon d'accord, une amie qui t'as déjà vu presque à poil, mais une amie quand même.

Mais tu as changé de sujet quand même, histoire de la détourner quelques instants, pour finir par lui réexpliquer plus tard. Au moins elle sera peut-être plus à même de pouvoir te regarder signer et de comprendre ce qui se passe dans ta tête. Tu lui demandes pourquoi elle agit comme ça avec toi depuis un an, à venir passer du temps avec toi à l'hôpital. Alors que t'es méchant avec elle. Enfin du moins, quand t'es à l'hosto. « Je ne sais pas... » C'est sûr, ça c'est une réponse qui est très constructive et qui va beaucoup t'aider à comprendre ses motivations. Tu la regardes avec l'air de lui dire de faire un petit effort. Tu veux absolument savoir le pourquoi du comment. « Tu sais que j'aime aider les autres, et ça me rappelle certaines choses. » Tu la regardes avec un sourire, toi aussi certains actes te rappellent des choses. Par exemple voir un chat se lécher te rappelle les toilettes forcées que ta mère te donnaient lorsque tu étais encore un petit lionceau. Tu regrettes ta vie, mais tu ne souhaiterai pas la retrouver pour autant. « Puis, je me suis peut-être attachée à toi, bien que tu aies un caractère de cochon. » Tu la regardes rire en souriant avant de lui tirer la langue pour lui dire que ça ne te fait ni chaud ni froid qu'elle te dise ça. Bon c'est vrai, tu as un sale caractère, tout le monde le dit et tu sais très bien que c'est le cas, mais tu n'y peux rien après tout. « Très drôle. » Tu signes avant de finir ton donut et de t'essuyer les mains sur la serviette.

Tu finis par la regarder avec un air compréhensif, parce que tu comprends totalement ce qu'elle ressent, peut-être même un peu trop pour être honnête. C'est comme si quelque chose vous unissait sans que tu puisses savoir quoi exactement. « Tu sais, si je suis comme ça, c'est parce que j'ai pas eu... tu fais une longue pause avant de continuer de signer, j'ai pas eu une vie facile. » Oui, c'est vrai, tu ne lui diras pas quoi exactement, ou plutôt tu lui mentiras parce que sinon ça risque de lui faire un choc. Savoir que tu viens d'un dessin animé, c'est un coup à faire faire une crise cardiaque à quelqu'un ou à te faire interner parce que tu racontes n'importe quoi. Puis tu vas revenir à ce que tu lui as dis il y a environ une minute. « Je ne suis pas bisexuel, c'est pas pareil. En réalité, j'aime pas les gens en me disant, lui c'est un homme ou elle c'est une femme. Je préfère regarder ce qu'il y a à l'intérieur, tu comprends ? C'est en regardant l'âme ou l'esprit. » Oui, voilà une explication plutôt simplifiée de ce que tu es, bien que ta personnalité ne se résume pas à ton orientation sexuelle. Tu espères qu'elle comprenne ce que tu veux dire et qu'elle ne soit pas réellement déçue. Cependant tu n'as pas à t'en vouloir, tu es comme ça et tu n'y peux rien, c'est comme avoir les yeux bleus, on le choisit pas.
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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyVen 27 Mar - 23:23

Tiens je pensais à toi d'ailleurs.

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« A Story by Isley »
Alors que je suis entrain de prendre ce qu'on pourrait dire un goûter avec Isaak, nous en profitons pour en apprendre un peu plus l'un sur l'autre. C'est à ce moment-là, que mon moi intérieure est tout excité par ce moment. Depuis le temps que je veux en savoir plus sur lui, c'est bien le moment. Bon depuis le début, j'ai appris qu'il est étudiant, mais qu'il aimerait devenir chirurgien et qu'il aime faire des choses avec des femmes, mais aussi des hommes. Je suis choquée, déçue par cette réponse. Je sais bien que ce monde est différent du nôtre, que de nos jours des hommes sont ensembles tout comme des femmes, mais j'aurais préféré une autre réponse. Non mais c'est vrai, vu mon âge et le monde d'où je viens, il est hors de question de voir un homme sans une femme. Sa réponse m'a gêné, je préfère donc détourner mon regard et ramasser la cuillère que j'ai faite tomber au sol.

Heureusement pour moi, il n'en dit pas plus et n'essaye pas de se justifier. Non, parce que je me vois mal jouer la vieille mégère. Je suis censée être une jeune femme de ce monde, et non pas une fée d'un certain âge qui vient d'un autre monde. Pauvre de moi, voilà qu'il change de sujet me demandant pourquoi je fais tout ça pour lui. Sur le coup, je ne sais pas du tout quoi lui dire. Dans un premier temps, j'avais voulu dépanner ce docteur vu que je parle la langue des signes, puis quand j'ai rencontré Isaak, j'ai de suite eu envie de lui mettre des claques. Au fil du temps, sans m'en apercevoir, je me suis attachée à cette petite bouille. Il est renfermé sur lui-même, a l'air timide et ne partage pas grand chose avec moi, à part pour me dire quand je dépasse trop les bornes.

Bon, j'avoue que je suis trop curieuse, ce qui peut être très énervant, mais quand même ! Mon petit visage d'ange devrait dépasser tout ça non ? Non, visiblement. Enfin, je finis par lui répondre en étant vague tout d'abord, puis envoyant l'expression de son visage, je décide d'en dire plus. Il me répond qu'il n'a pas eu une vie facile, ce qui change totalement l'expression de mon visage et me fait complètement oublier ce qu'il m'a balancé comme information, quelques minutes avant. Je pose ma main sur la sienne pendant un petit moment, lui faisant un tout petit sourire. Je sais que je ne peux rien demander de plus comme information, car il ne me dira rien. C'est pour cela, que je retire ma main et que je lui dis je sais que tu me trouves beaucoup trop curieuse Isaak, mais je suis là, tu sais. Si tu as besoin de parler de chose, de tout ou de rien. Je lui souris tendrement, tout en me reculant, reposant mon dos contre le dossier de la chaise. Je sais que si je luis pose des questions, il n'aimera pas ça, je préfère donc juste lui dire que s'il a besoin de se confier, je suis là.

Je regarde autour de nous, les passants se pressent, peut-être sont-ils pressés de rentrer chez eux ? À moins que ça soit la fin du monde ! Je repose finalement mon regard sur Isaak, c'est alors que je le vois signer. Je m'avance de la table, posant mes coudes dessus et reposant ma tête sur mes mains. Crotte, il me reparle de ça tendance homme-femme. Qu'est-ce que je peux bien lui dire ? Je n'ai pas envie de parler de ces choses-là. C'est gênant, la vie sexuelle l'est, en tout cas pour moi. J'étais une femme 100 % vierge, et en arrivant ici, j'ai découvert ce que c'est d'avoir le corps d'une belle femme, et de se faire aborder par les hommes. Il développe sa pensée sur son orientation sexuelle, si on peut dire ainsi. Je souffle légèrement, je ne préfère rien dire, on passe un bon moment et je n'ai pas envie de le gâcher. Je retire mon visage de mes mains, puis je me mets à signer tu n'as pas à te justifier Isaak, c'est ta vie, tu en fais ce que tu veux. Je lui fais un sourire rapide, un sourire gênait. qu'est-ce que tu as prévu de faire après ? Enfin, je veux dire ce soir ?, je finis par lui signer, afin de changer de conversation. Oui des questions, mais rien de vraiment personnel, puis bon vu ce qu'il vient de me révéler, j'ai bien le droit.


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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyVen 3 Avr - 15:08

tiens je pensais à toi d'ailleurs.
Tu ne te reconnais plus, toi le garçon remplit de secret, à la facette agréable à vivre mais qui recèle de cachotteries. Tu ne sais pas ce qui t'arrive, tu ne le comprends pas, mais ce dont tu es sûr c'est que tu es entrain de t'ouvrir aux gens, pas qu'à elle, même si cela commence par ce petit bout de femme. Oui, petite, car tu fais un bon mètre quatre vingt cinq et de ce fait, le fait qu'elle soit plus petite que toi n'es pas forcément étonnant. Tu la dépasses d'au moins dix centimètres en fait. Enfin pourquoi comparer vos tailles ? Tu deviens de plus en plus bizarre, enfin tu ne le fais pas exprès, c'est... automatique.Tu as des papillons dans le ventre, les mains qui tremblent d'où ta maladresse subite, et par dessus tout, si tu avais eu l'occasion de parler, ta voix aurait été hésitante. Et tout cela, tu ne l'as jamais ressenti de toute ta vie, voilà pourquoi tu es réellement paumé. Là c'est quelque chose de nouveau, d'inédit, et tu ne sais comment le gérer, tu as beau tenter de le faire, c'est peine perdue, il faut que tu le reconnaisses, tout ceci est tellement nouveau que c'est impossible à appréhender. Cependant tu sais quelque chose de fondamental. Tout cela, ça vient d'elle et uniquement d'elle. Tu n'étais pas comme ça avant, et quelque chose en toi a changé, mais tu serais bien incapable de dire quoi exactement.

Tu lui as dit, tu as osé lui dire que tu n'avais pas eu une enfance facile et que c'était pour cela que tu agissais ainsi, à toujours vouloir protéger ce que tu es, ce que tu vis, ce que tu ressens. On t'a exilé parce que tu étais trop transparent à l'époque, parce que tout le monde savait tout de toi, et on en a profité, on t'a manipulé et finalement, on t'a soit dit de fuir, soit tu voyais toute ta famille périr avant de mourir également. Ça t'a été insupportable, tu as donc choisis de fuir alors que tu n'étais qu'un enfant, un petit lionceau. Tu as donc retenu la leçon, moins les gens en savent sur toi, moins tu seras à même de souffrir à cause de cela. Et même si tu fais confiance aux gens, tu ne veux pas trop en dire, sauf que là c'est trop tard, Hayley en sait déjà trop. Et il est trop tard pour faire demi-tour, la magie n'existe plus, tu ne peux pas demander à ce qu'on lui efface la mémoire, il va falloir faire avec maintenant. Peut-être même que cela va faire changer les choses ? Peut-être que dorénavant tu n'auras plus peur ? Elle t'assure en prime que si jamais tu as besoin de parler, elle sera là. Oui, elle sera là aussi pour te dénoncer aux autorités psychiatriques et te faire interner quand tu lui auras dit que tu es à la base un personnage de dessin animé et que tu es revenu à la vie surtout.

Tu viens en prime de lui expliquer ton orientation sexuelle. Le monde à l'envers. Tu ne te confies jamais à personne, mais vu que tu as commencé, tu ne peux plus t'arrêter. Finalement tu finiras peut-être en hôpital psychiatrique ce soir. Mais tu sauras te stopper quand il le faudra, sinon tu perdrais ta liberté, déjà qu'elle est bien entravée à cause de ton "handicap". D'ailleurs tu n'es pas aveugle tu as bien vu que lui avoir dit que tu pouvais avoir testé les hommes l'a dégoûté. Enfin pas à proprement parler, ça l'a plutôt chagriné. Mais tu n'y peux rien, elle a lancé le sujet, autant lui répondre. « Tu n'as pas à te justifier Isaak, c'est ta vie, tu en fais ce que tu veux. » Tu la regardes te sourire d'un air gêné. Bon sang, faudrait savoir. C'est elle qui te demande si tu as une copine ou bien un copain, tu lui réponds et ça ne lui va pas. De quoi te conforter dans ton idée de garder tout pour toi tiens. « Qu'est-ce que tu as prévu de faire après ? Enfin, je veux dire ce soir ? » Encore une question, toujours des questions. Bon, tu ne dois pas transférer ton humeur massacrante de l'hôpital maintenant, tu es calme, tu es souriant, parce que tu passes du temps avec une... amie ? Peux-tu la nommer ainsi ? Oui, probablement.

Tu ne réponds pas de suite, tu te demandes si tu peux le faire, à trop lui en dévoiler, elle finit par être déçue. Peut-être que, finalement, tu n'es pas quelqu'un à fréquenter, peut-être que les chois que tu fais déçoivent tout le monde. Tu ne sais pas trop, mais tu te dis que ça ne la choquera pas ton programme de la soirée. « Je vais au musée. Ou plutôt je vais travailler au musée, je suis gardien de nuit. » Oui, c'est la vérité, d'ailleurs il faudra que tu prennes une heure avant d'y aller, histoire de préparer ta tenue, de prendre une douche, de t'habiller et de prendre quelques affaires pour ne pas trop t'ennuyer. Tu reposes tes mains et termine ton café moka et repose la tasse sur la table avant de signer à nouveau. « L'argent tombe pas du ciel malheureusement. » Tu la regardes en souriant et avec les yeux qui expriment ton amusement. Tu ne peux pas rire à proprement parler, alors tu le fais avec les expressions du visage. Puis si tu dis ça, c'est parce que tu dois bien faire comme tout le monde, payer ton loyer, tes études, la nourriture, les extras, et ce n'est pas gratuit malheureusement. Mais si tout était gratuit, la société s'effondrerait, personne ne travaillerait, et rien ne fonctionnerait. Donc il vaut mieux rentrer dans le moule quand même.
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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptySam 4 Avr - 16:35

Tiens je pensais à toi d'ailleurs.

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« A Story by Isley »
Je n'aime pas les secrets et pourtant, j'en garde un énorme depuis deux ans. Ce n'est pas tous les jours facile d'oublier vraiment qui on est. Je me fais passer pour une vraie humaine depuis deux ans, alors que je suis une petite fée bleue. Si j'aime toujours autant le bleue, je dois hélas faire sans magie et pourtant, j'en aurais grandement besoin. En un coup de baguette magique, je peux faire ce que je veux. Je peux me changer, faire à manger et aussi aider les autres. Peut-être que je serais capable de donner une voix à Isaak, bien qu'il n'en veule pas.

Enfin pour le moment, il n'est pas question de ça, mais de la sexualité du jeune homme. Je lui ai demandé s'il était avec quelqu'un, je m'attendais donc à un oui, ou bien un simple non. À la place, il m'a indiqué qu'il aimait bien les deux, ce qui me laissa sur le cul. Non mais c'est vrai, je ne demande pas autant de détail. Je ne viens pas de ce monde, ce qu'il vient de lâcher me choque un peu. Je ne sais même pas pourquoi ça me choque venant de lui, après tout, il fait ce qu'il veut. Mon mal de ventre commence à s'agrandir, sauf que je ne ressens plus de bien. Non là, j'ai l'impression que je vais être malade. Est-ce la révélation d'Isaak qui me rend ainsi ? Peut-être bien, enfin, je ne sais pas trop.

Je change finalement de sujet, lui demandant ce qu'il compte faire ce soir. En posant la question, je grimace, je sais qu'il déteste quand je lui pose des questions. Je lui souris lorsqu'il me dit qu'il doit aller au Musée. Oh, oh est-ce que c'est comme dans le film ? Tu sais "la nuit au musée" ! Tout s'anime la nuit, je lui demande tout excité. Oui bon, sauf que pour le coup, Isaak ne sait pas que je viens d'un dessin animé, et ne peut pas vraiment comprendre ma question. Après tout, c'est des personnages de dessins sont dans ce monde, pourquoi les musées ne s'animeraient-ils pas la nuit ?. Je souris à sa réflexion sur l'argent, puis je lui réponds, avec la magie, on pourrait être riche ! Enfin, bien que ça ne marche pas vraiment comme ça. Je lui souris à nouveau, puis je porte mon regard sur le serveur, qui vient retirer ce qu'on vient de déguster.

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MessageSujet: Re: (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. (ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs. EmptyVen 10 Avr - 17:17

tiens je pensais à toi d'ailleurs.
La vérité c'est qu'au cours de ces deux dernières années de douleurs, de doutes, de pleurs ; t'as eu plusieurs fois l'envie d'en finir avec la vie, de vouloir tout arrêter et de te dire qu'au fond tu serais libre une fois que tu aurais trouvé la mort. Tu as déjà tenté de le faire, mais on t'as sauvé, tu en as les traces sur les poignets, mais à chaque fois tu la regretté. Pourquoi ? Tu n'en sais toujours rien, peut-être qu'au fond tu voyais de l'espoir. On peut toujours en voir, on en a toujours, et t'avoues que même si tout était noir, tu avais néanmoins cette petite lueur qui persistait. Quand tu te dis qu'en réalité t'es entrain de te laisser aller, tu n'éprouves aucuns remords. A quoi bon s'acharner de toute manière ? Il n'y a plus d'espoir, plus de raison de vouloir avancer. Tu ne dis pas que tu as envie que ta vie prenne fin brutalement. Bien au contraire, mais il est temps que tu te fasses une raison, c'est terminé, c'est terminé. Il est inutile de tenter le diable pour les retrouver, ça ne sert strictement plus à rien. Tu les aurais déjà trouvé s'ils étaient là. Oh non, tu ne broies pas du noir, de toute manière, tu ne sais pas trop si les revoir est une bonne chose, mais au fond de toi, ta famille te manque et tu aimerais qu'ils soient à tes côtés, parce que ce monde, il n'est pas pour toi.

Alors qu'elle s'éloigne petit à petit de la question de ta sexualité, tu réprimes un soulagement, à vrai dire, ça te dérange qu'on parle comme ça de ce que tu aimes. C'est pas comme si c'était un sujet facile à vrai dire. Ce n'est jamais facile lorsque l'on aime les garçons, même si l'on aime aussi les filles. Les gens sont parfois totalement opposés à cela, et apparemment à la réaction de Hayley, c'est son cas. Tu en es chagriné, toi qui pensais pouvoir tout lui dire, voilà qu'on te met un stop pour te rappeler qu'il faut que tu tiennes ta langue. La prochaine fois, tu ne lui diras pas de choses aussi personnelles au moins elle ne sera pas déçue. Mais malgré tout, au fond de toi, tu as senti quelque chose céder, tu t'es de nouveau renfermé, parce qu'elle t'as rejeté, elle n'aime pas l'homosexualité, et bien voilà, elle n'aime pas une part de toi, même si tu ne te considères pas comme bisexuel, mais plus comme pansexuel. Si elle n'aime pas ça, elle n'a rien à faire avec toi, c'est aussi simple que cela. Même si au fond de toi, ça te chagrine, tu sais que c'est ainsi, on n'y peut rien changer après tout. Seule elle peut s'adapter et faire en sorte de l'accepter. Bien que ce soit plus facile à dire qu'à faire, et que certains ne le font jamais.

Alors que tu lui as quand même dit que tu allais travailler ce soir même si tu ne voulais plus rien lui dire sur toi, tu la regardes, presque toute excitée. Tu ne sais pas exactement pourquoi elle réagit de la sorte, parce que bon, ce n'est pas extraordinaire d'être gardien dans un musée la nuit. Au contraire, c'est d'un chiant, mais bon, au moins tu as un salaire qui te permet d'aider Luffy à payer le loyer et les courses. « Oh, oh est-ce que c'est comme dans le film ? Tu sais "la nuit au musée" ! Tout s'anime la nuit ? » Tu la regardes, elle ne signe plus, elle parle. Tu n'aimes pas cela, toi tu ne peux pas, et elle, elle s'était toujours adaptée à toi, et au fond de toi, tu sens quelque chose se recroqueviller encore plus. Tu ne comprends pas, tu n'as jamais vu ce film, mais non, ça ne s'anime pas la nuit, tout reste calme et de ce fait tu pionces. Tu signes un rapide non, avec la furieuse envie de te barrer, de te casser de cet endroit et de la laisser seule. Au fond de toi, tu sais qu'elle t'a brisé et tu ne comprends pas comment elle a pu faire ça. Tu lui expliques ensuite que l'argent ne tombe pas du ciel et que c'est pour cela que tu travailles, histoire de voir si elle va signer de nouveau ou pas, mais moralité, ce n'est toujours pas le cas. « Avec la magie, on pourrait être riche ! Enfin, bien que ça ne marche pas vraiment comme ça. » Tu souris, peut-être avec un air un peu crispé, pas naturel, dans tes yeux il y a des choses tristes, et ton visage retranscrit très bien ce que tu ressens, ça tu ne peux pas faire semblant.

Non, ça ne marche pas comme ça, la magie ça n'existe pas, même dans ton monde ça n'existait pas, tout n'était que la nature et rien de plus. Les choses fantastiques arrivaient par l'action des animaux, et non d'une entité telle que la magie. Mais, tu commences à être mal à l'aise là, peu désireux de continuer la discussion. Tu fais semblant de regarder l'heure sur ta montre, avant de faire comme si tu étais effaré de voir qu'il est si tard alors que tu as encore tout ton temps. Tu te lèves rapidement et attrapes tes affaires avant de signer. « Je suis désolé, je dois filer ! » Tu te faufiles à travers les tables de la terrasse, en faisant bien attention de ne bousculer personne, tu as gardé tes réflexes de félin, ainsi c'est facile pour toi, une fois que tu arrives tu te retournes pour la regarder avec ce même sourire que tout à l'heure. « A plus, bonne soirée ! » Tu finis par accélérer le pas pour rentrer chez toi, il faut que tu te changes les idées, il faut que tu arrêtes de te torturer l'esprit, elle t'a blessé, bien plus qu'elle ne voudrait le croire.
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(ISLEY) tiens je pensais à toi d'ailleurs.

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