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Where's my Beast ? [Poca'] Vide
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 Where's my Beast ? [Poca']

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Invité
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MessageSujet: Where's my Beast ? [Poca'] Where's my Beast ? [Poca'] EmptyDim 8 Avr - 23:06

Pocahontas & Belle ♥



Ce matin là, un rayon de soleil aussi fin qu'un fil avait réussi à se faufiler entre mes épais rideaux ; sa lumière était délicatement venue frôler mes yeux encore lourdement engourdis par la fatigue. En étirant mes bras, mes mains caressèrent la parcelle de draps refroidis par le vide qui les occupaient depuis longtemps. Bien trop longtemps. Un long soupir s'échappa d'entre mes lèvres en faisant une nouvelle fois ce constat désespérant. Tous les soirs, je prenais place dans ce grand lit aux draps de soie, et me réveillait chaque matin en ayant pour seule compagnie que le souvenir d'Adam. Il hantait mes pensées nuit et jour, si bien que j'avais énormément de mal à m'épanouir dans l'environnement inhospitalier qui m'avait été offert. Mes pieds nus se posèrent sur ma descente de lit de fourrure. Après avoir jeté un bref coup d'œil par la fenêtre, mes sourcils se froncèrent au-dessus de mes yeux à peine ouverts. Les voitures affluaient sous mon appartement, les gens étaient pressés, couraient dans tous les sens, et la pollution était maîtresse. Ce monde ne me ressemblait absolument pas, et tous les matins, je me réveillais avec une boule au ventre. La seule pensée que je devrais encore survivre dans cette véritable jungle m'angoissait. Je passais une main dans mes cheveux bouclés, qui s'étaient tous rassemblés d'un seul côté de mon visage, me donnant un air négligé tout à fait charmant. Je me leva, et enfila un peignoir blanc cassé soyeux. Machinalement, mes jambes se dirigèrent vers la cuisine. Sous mes pieds, le carrelage froid me donna un léger frisson. Je me prépara un jus d'orange et simple tartine de cette fabuleuse pâte à tartiner en guise de petit-déjeuner. D'ailleurs, s'il y avait quelque chose que j'appréciais dans cet univers, c'était bien le goût de cette délicieuse pâte gourmande sur mes papilles. Quelle belle invention ! Les ingrédients sur un plateau, je me dirigeais vers ma chambre, où ma main attrapa la télécommande. J'avouais que la télévision était également un chouette appareil, même s'il dévoilait souvent trop d'évènements qui me révoltaient. Voilà pourquoi je préférais ne pas opter pour la chaîne d'informations en général. Alors, mon doigt zappa sur un bouton qui m'envoya sur une chaîne spécialisée dans les reportages animaliers. Une jeune femme au teint brun et aux longs cheveux ébène était interviewée sur le poste qu'elle occupait. Cette femme était réellement magnifique, et révélait un sourire éclatant. De quoi égayer votre journée. Apparemment, elle était soigneuse animalière dans le zoo de la ville, et évoquait que sa passion pour les animaux était née depuis sa plus tendre enfance, au milieu d'un environnement réservé aux ours.
C'est alors qu'une idée fabuleuse me vint à l'esprit. Et si Adam s'était retrouvé une nouvelle fois pris au piège dans son corps de bête ? Il aurait ainsi pu être enfermé dans ce zoo de la ville, et attiser la curiosité débordante des passants. Je n'y avais jamais songé, mais c'était une piste intéressante à exploiter. Aussitôt, la tartine que j'avais commencé à serrer entre mes dents glissa entre mes doigts, et retomba, évidemment, tête la première sur le côté tartiné. Tant pis, mes pieds passèrent au-dessus et filèrent dans le dressing. Je m'empressai de me maquiller très légèrement, d'enfiler un jean, un haut ainsi qu'un trench. En moins de deux, j'étais dans le hall d'entrée, mes talons claquant sur le sol impeccablement nettoyé.

J'avançais alors dans le parc, les mains dans les poches de mon manteau. Ma chevelure tombait en cascade le long de mon dos, et les rayons du soleil venaient magnifier ses reflets. Il était tôt, trois ou quatre visiteurs seulement occupaient les allées du zoo. J'espérais trouver un membre du personnel de cet endroit magnifique, où j'avais un peu le sentiment de me retrouver dans mon monde. Ma main ne put s'empêcher d'aller caresser la crinière douce et dorée d'un ravissant poney entre les grillages. Mon attention se détourna très vite de ce sublime équidé, puisqu'un bruit attira toute ma curiosité. Une sorte de « plouf » intriguant au loin se fit entendre, et puis, j'aperçus la jolie jeune femme au teint si parfait du reportage que j'avais visionné une demi-heure à peine avant cette visite. Elle était occupée à nourrir les dauphins d'un grand bassin, leur lançant quelques mots affectueux de temps en temps. Un sourire vint illuminer mon doux visage. J'avançais alors dans sa direction avec une grande précaution, de peur de paraître ridicule avant l'heure. Oui, parce que, la question que j'avais justement l'intention de lui poser allait surement l'étonner, enfin, si elle ne me prenait pas pour une illuminée avant. Dans le second cas, elle me prierait certainement de quitter les lieux sur le champ, et de rejoindre au plus vite un hôpital psychiatrique.

« Bonjour ! » lançais-je d'une petite voix derrière elle. La belle se retourna, et me tendit un sourire charmant qui était encore plus touchant qu'à la télévision. Elle était si grande, si longiligne. J'étais impressionnée par sa beauté. « Excusez-moi, je … en fait, je recherche un animal, enfin. J'ai perdu une bête de taille imposante au pelage de couleur hum.. caramel. Vous ne l'auriez pas vue, par hasard ? » mes doigts se crispaient. Je ne savais pas comment trouver les mots justes pour lui expliquer ma requête, si bien que je bafouillais énormément. Mes yeux pétillants la scrutaient, mais ils révélaient la peur, l'angoisse qui m'habitaient.
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Pocahontas Mojag Powhatan

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Pocahontas Mojag Powhatan
J'ai posé bagages ici le : 05/04/2012 Jouant le rôle de : pocaca, la seule et l'unique. Nombre de messages : 4101 On me connait sous le pseudo : BELLA CIAO. (lorenza) Un merci à : clever love (avatar) + endlesslove (sign). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : la mignonne petite hudgens.
MessageSujet: Re: Where's my Beast ? [Poca'] Where's my Beast ? [Poca'] EmptyLun 9 Avr - 0:04

Code by Holliday


✿ where's my beast ? ✿

Ce fut la pire invention de ce monde qui m’enleva à mes rêves. Un réveil, c’est ainsi que cette horreur se nommait. Je me dépêcha alors de l’éteindre, ne désirant pas réveiller mon cher colocataire d’Ali, mais comme toujours, j’oublia comment on cessait ce bruit infernal. Je cogna alors dessus désespérément, avant de comprendre qu’il suffisait s’appuyer sur un bouton à l’avant.
Vous l’aurez compris, malgré les mois passés ici, je ne me suis toujours pas habituée à ce monde. Ce monde hostile, froid, si loin de chez moi. Je donnerais tout pour y retourner. Je déteste cet endroit, je n’y suis réellement pas à mon aise. Mais malheureusement, je fais avec chaque jour que je me lève, et essaye de me fondre dans la masse. Ce qui explique donc mon réveil si tôt ! En effet, devant subvenir aux besoins du pensionnat, et à mes achats personnels, je me devais de chercher un « travail ». Je n’ai jamais compris à quoi ça servait. Dans ma tribu, nous n’avions pas besoin de travailler pour obtenir ce que nous voulions. Après tout, nous n’avions pas besoin de grand-chose, alors qu’ici, tout n’est donné qu’en échange de ce qu’ils nomment « argent » et qui à l’air si important. Franchement, un bout de papier avec écrit 100 dessus, je n’en vois pas l’importance. Mais cette fascination de l’homme pour l’or, je la connais malheureusement depuis un moment ; il y a des années de cela, ces hommes blancs étaient venus sur les terres des miens pour trouver ce que je croyais être du maïs. J’étais bien naïve. Comment peut-on être à ce point soumis à une pièce de monnaie ? Passer sa vie à travailler comme des animaux, juste pour une pièce. J’appelle ça du masochisme. Enfin passons. Toujours assise sur mon lit, je regarda ce dit réveil qui affichait l’heure. Encore une invention bien étrange de l’homme. Mais utile, je l’avoue. Se référer au soleil pour savoir approximativement l’heure, c’n’était pas très pratique. Et mon dieu qu’il était tôt. Étant devenue, donc, une de ces maso’, je devais me rendre à mon travail au zoo. Pas étonnant que j’y travaille, hein ? Ben, quitte à devoir travailler, autant le faire dans un milieu que j’appréciais ! Et le zoo, c’était devenu pour moi comme un repère. Tout ces animaux, enfermés malheureusement, je l’avoue, mais ils n’étaient pas si malheureux et avaient assez d’espaces, et ces paysages, artificiels certes, me rappelaient mon chez moi. Mon nid. Je m’y ressourçais, et oubliée le temps d’une petite heure en compagnie des animaux le monde dans lequel un foutu sort m’avait embarqué.
Mais pourquoi ? Pourquoi ce sort ? Et pourquoi à un tel moment ? En effet, c’est au moment même où je rentrais chez moi que je fus aspirer ici. J’allais enfin revoir mon père. Et Nakoma ! Au lieu de ça, la dernière chose de mon monde que j’ai vu, ce fut John. Non, pas Smith, mais Rolfe ! Je sais, c’est dur de s’y retrouver entre les deux. Je suis bien placée pour l’affirmer. Franchement, à ma place, que feriez-vous ? Les deux me disent de choisir pour de bon, mais que faire ? Smith est si amusant, si naturel. Et tant de souvenirs nous lient. Quant à Rolfe, il a ce charme noble, cette gentillesse innée. Mon dieu, j’aurai du ne rester qu’avec Meeko et Flit, et puis c’est tout ! Pour en revenir au présent, je lâcha un léger bâillement avant d’enfin lever mon popotin. Je traina des pieds jusqu’à la salle de bain, toujours en prenant soin de ne pas réveiller Ali’, et me lava en vitesse, ayant déjà prit du retard. J’enfila les premiers habits qui me tombèrent sous la main, et partit telle une furie de la chambre. Pieds nus, comme toujours. J’avoue qu’on me regardait souvent bizarrement à cause de ce détail, mais je m’en fichais. J’avais tentais bien des fois d’hausser des chaussures, et ce fut une horreur ! Je préférais rester en contact avec la terre grâce à mes p’tits pieds. Enfin même si dans ce monde la terre était remplacé par du macadam.

Au bout d’une petite demie heure à pieds, et en courant bien entendu. Ne me demandez pas pourquoi je courais sans cesse, c’est dans mon habitude. Bref, j’arriva donc au zoo qui venait tout juste d’ouvrir. Je passa dans la salle des soigneurs et enfila ma veste pour la journée. Sourire constamment collé aux lèvres, je salua mes quelques collègues, et ne perdit pas une minute de plus : direction le bassin des dauphins ! Sur la route du bassin, je repensa alors à la journée d’hier et à cette journaliste qui était venue m’interviewer, je crois que c’Est-ce terme là. Étant donné que le zoo était de plus en plus connue, elle était venue pour se renseigner sur le personnel, donc moi, et m’avait questionner sur les pourquoi de ma passion. Bon, je n’allais pas lui dire que quand on née dans la forêt, et que nos deux meilleurs amis sont un raton-laveur et un colibri, forcément ça aide pour aimer les bêtes !
J’ouvris alors le petit portique pour aller au bord du bassin, mais oublia de le refermer derrière moi. Bref, je m’accroupis alors près de l’eau, et y plongea ma main avec laquelle je fis de petites vagues, histoire d’appeler les dauphins présent dans ce bassin-ci. Rapidement, deux têtes sortirent de l’eau, m’éclaboussant quelques peu. Je lança comme toujours mon petit rire enfantin et leur caressa la tête en collant mon nez sur le leur. Bon, je savais que cet élan d’affection de leur part, c’était surtout pour avoir leur poisson ! J’attrapa donc le petit sac à côté de moi et y sortit un premier repas pour ces dauphins. Le balançant devant eux pour les taquiner, je mis le poisson en l’air pour que l’un de ces nageurs se lève de l’eau pour l’attraper entre sa mâchoire. À présent légèrement trempée, je ris de nouveau. Quand une voix m’interpella. Je me retourna donc, et mes yeux s’arrêtèrent sur une charmante jeune femme, qui semblait quelque peu perdue. Vraiment très belle.
« Bonjour. Vous avez besoin d’aide ? »
Surtout avec cette tignasse, j’en fus presque jalouse ! Namého ! Mais elle me coupa de mes pensées, de nouveau, pour me demander une chose bien étrange. Une bête imposante ? La description qu’elle me fit me laissa penser qu’elle parlait d’un ours. Mais pourquoi serait-elle à la recherche d’un tel animal ? Gardant mon sourire, je fronça néanmoins les sourcils. En voilà, une question étrange ! À côté, mes pieds nus et moi semblons bien normaux.
« Eh biiien… pour vous répondre franchement, je ne vois pas vraiment de quoi vous parlez. Si vous faites allusion aux grizzly, leurs enclos se trouvent à l’autre côté du parc. Mais pourquoi « perdue » ? »
Oui j’avoue, je suis très curieuse ! Mais cela m’intrigua. Elle n’était pas normale, oh non c’n’était pas un reproche ! Je veux dire : elle semblait tellement préoccupée. Ça cachait quelque chose. ♥


Dernière édition par Pocahontas L. Nakota le Jeu 7 Juin - 14:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Where's my Beast ? [Poca'] Where's my Beast ? [Poca'] EmptyLun 9 Avr - 13:28

Les sourcils de la jolie soigneuse se froncèrent. J'avais longuement guetté l'expression de son visage, appréhendant le moindre signe de mépris. En même temps, Belle, t'es un peu nunuche sur ce coup, « j'ai perdu une bête de taille imposante » : mais qu'est-ce qu'une jolie et moderne femme comme toi pourrait faire d'une monstrueuse bête velue dans une ville aussi développée que Fantasia Hill ? En y pensant, j'avais envie de lever les yeux au ciel et de poser mes deux mains sur mes yeux, tellement je me sentais honteuse. Fort heureusement, mon interlocutrice avait gardé son sourire enchanteur, même si je me rendais bien compte que ma demande l'intriguait. Comment lui dire qu'en réalité, je cherchais mon âme sœur, qu'un malencontreux sortilège m'avait ôtée ? Je ne savais pas vraiment comment m'y prendre, la situation était délicate, et mes lèvres se pincèrent tandis que mon regard s'abaissa. Il se reporta sur la soigneuse derrière laquelle les dauphins semblaient réclamer leur nourriture. J'aperçus alors une once d'espoir, mais, malheureusement, Adam ne ressemblait en rien à un grizzly.

« Oh non, ce n'est pas un grizzly. » dis-je en faisant un petit non de la tête. Mon regard semblait perdu dans le vide. Je comprenais que ce n'était pas ici que j'allais retrouver Adam. En réalité, je me remémorais l'allure de cette bête étrange au pelage ébouriffé, qui n'était autre que le résultat d'un mélange entre plusieurs animaux sauvages. Elle avait la tête et les cornes d'un buffle, les pattes avant et le corps d'un ours, les sourcils d'un gorille, la mâchoire, la denture et la crinière d'un lion, les défenses d'un sanglier et pour finir, les pattes arrières d'un loup. La situation était désespérée. Je ne pouvais pas me permettre de lui avouer qu'en réalité, il s'agissait d'une bête comme celle que je viens de décrire, et qui semble n'exister nulle part. Nulle part, sauf dans mon monde fantastique. Ce monde où une rose enchantée, offerte par une sorcière, est capable de contrôler votre destin, et ainsi de bouleverser votre quotidien. Non, la jeune femme n'avait pas à savoir tout cela, et puis, elle devait bien s'en moquer, de mon passé. C'est pour cette raison que j'avais doucement esquivé sa dernière question. Elle devait alors comprendre que je ne cherchais pas une bête à la forme anodine, et qu'elle n'était pas un simple animal de compagnie perdu par sa chère et fidèle maitresse. Un silence dérangeant s'était installé entre nous. J'hésitais à abandonner la conversation, en la remerciant simplement d'avoir bien voulu répondre à ma demande. Le fait est que je ne tenais pas à en rester là, mais plutôt à mettre toutes les chances de mon côté pour retrouver mon cher et tendre.

« En tout cas, si elle n'est pas ici, j'espère qu'elle n'est pas en train d'errer dans la ville en toute liberté. Je ne voudrais pas qu'elle fasse des ravages. Si vous l'apercevez, puis-je vous demander de me le signaler ? Mais je vous en prie, ne laissez pas les autorités lui faire du mal. » dis-je en scrutant la magnifique jeune femme qui se tenait face à moi avec mes yeux de biche. Face au soleil, son teint resplendissait. Elle paraissait tellement en osmose dans cet environnement. Mes prunelles brillaient, et l'on pouvait voir à travers qu'elles étaient pleines d'amour et d'espoir. L'espoir de trouver en Pocahontas une âme charitable qui me mènerait tout droit vers Adam. Le simple fait de penser qu'on pourrait traiter Adam comme un animal dangereux et nuisible pour la société, ou pire, le considérer comme une bête de foire, me terrorisait. J'avais déjà suffisamment souffert lorsque Gaston et l'ensemble des villageois s'étaient réunis dans l'unique but de l'abattre. Oui, car sous son apparence répugnante, Adam était un homme au grand cœur, extrêmement généreux et sensible. Le problème était que les gens s'arrêtaient souvent à son physique, qui était tout à fait impressionnant, moi-même avait failli fuir en l'apercevant. Derrière cette carapace, j'ai découvert un trésor enfoui, et un amour était né, un amour sincère, pur, comme jamais je ne l'avais éprouvé pour quiconque. J'avais été la première à briser le sort, et à voir en cette bête un homme plein de qualités.
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