prince Éric ⊹ PRINCE CHARMING ⊹ feat Tom Hiddleston

Je me réveille, je regarde ma femme endormie, si magnifique, si pure , si douce. Un vrai ange. Je l'embrasse sur le front. Je lui chuchote dans son oreille, en espérant qu'elle entende ce que je vais lui dire : « Mon amour, je dois aller voir quelqu'un pour mon boulot, je ne rentre pas très tard. Je t'aime » Je l'embrasse sur les lèvres, je lui caresse le visage. Il m'est difficile de la quitter. Je sens que je ne pourrais pas être à l'heure à ce rendez-vous. Mais, il faut que je quitte mon Ariel, mon amour. Il le faut. Pourquoi ? Tout simplement car je dois chercher un boulot pour subvenir aux besoins de ma famille dont ma merveilleuse femme et ma petite princesse Mélody. Je sors de mon lit avec paresse. Et, je vais dans la salle de bain avec mollesse. Je me lave mais d'autres pensées m'accaparent, lesquelles ? Celles sur ma femme. Est-t-elle heureuse ? Veux-t-elle un autre enfant ? Je ne sais pas. Mais, je veux le savoir. Je le saurais, après cette entrevue. Je finis de me laver et je part m'habiller. Je n'ai quasiment rien sur moi lors de ma sortie de ma douche sauf quelque chose qui recouvre une part de moi-même. Je vais chercher une tenue. Qu'est-ce que je met ? Costume cravate ? Ou, vraiment quelque chose de simple ? Hum, je vais devoir faire un choix et j'aime pas choisir. Je me tourne en regardant Ariel dormir. J'aimerais lui demander son avis car elle sait m'aider à trouver des tenues, or, je ne veux pas la réveiller, lui briser son sommeil. Donc, je suis seul face à mon destin. Un destin qui se résume à trouver une bonne tenue. Hum, bon, je crois que j'ai fait mon choix. Celui-ci est le costume cravate. Je le sors de la penderie. Et, je m'habille. Je suis enfin prêt pour le show. Enfin, si j'arrive à assurer. Je vois que ma chère épouse dors encore, elle a bien besoin de dormir. Je m'approche d'elle doucement, je me penche vers elle pour l'embrasser et je lui murmure d'une voix suave «  Je t'aime Ariel, je t'aimerais toujours ma sirène, mon enchanteresse de mon âme. » Et, je sors de ma chambre je vois rarement ma fille car elle souvent à l'école, ma chère petite princesse, moitié sirène comme sa magnifique et divine mère et moitié humaine comme moi. Mon unique enfant qui n'aura pas de frère ou petite sœur sauf si avec mon épouse, on décide d'aller au 7ème ciel et d'avoir une autre merveille du monde. Je vais faire un tour dans la chambre de ma fille, j'ouvre sa porte. Elle dort aussi. Ah ces femmes ! Je m'approche d'elle et je m'assoit sur son lit «Bonjour ma petite princesse, j'espère que tu dors bien mon ange, quand je serais de retour mon cœur, il faudra se parler, je t'aime ma fille. » Et, je quitte la quitte. Maintenant, je dois affronter le lion. Enfin, le patron. Je sors de chez moi, une très belle villa. Je monte dans ma voiture, je l'allume. Je démarre celle-ci et je met la radio. Qu'entends-je ? Ride de Lana del Rey. Elle chante bien, mais, pas aussi bien que mon amour ! Des heures après mon trajet, j'arrive à l'immeuble du patron. Celui-ci est mon directeur pour ma musique. Oui, je veux vendre mes talents, pas mes talents sensuels, ils sont que pour Ariel, mais, mes talents musicaux. Je gare ma voiture. Je descends. Je suis armé seulement de ma guitare, c'est déjà pas mal. Je vais à l’accueil.

Éric ▬ Bonjour madame, je puis savoir ou se trouve le bureau de monsieur Hollywood ?

Réceptionniste ▬ Bonjour, il se trouve en haut de notre établissement, mais, monsieur, nous n'avions pas d'escaliers et souvent notre ascenseur s'ouvre sur des portes qu'il faut vérifier car je ne connais pas l'endroit exacte ou il se trouve. C'est pourquoi monsieur ? Vous êtes marié ?

Je ne lui réponds pas encore, je reste sans voix. Je crois que je suis tombée sur un boulet. Mon dieu ! Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter d'avoir ça ? Hein ? Quoi ? Rien. Bref, je dois rester galant. Si, j'arrive.

Éric ▬ Oh d'accord, et bien, je vais les regarder dans ce cas. Monsieur Hollywood doit me prendre pour un rendez-vous sur ma musique. Oui, je suis marié à la plus belle des femmes et je ne compte pas la tromper. Merci madame. Bonne journée.

Et, je la quitte sans rien dire de plus. Je ne lui laisse pas le temps de rajouter quoique que ce soit. Je vois l'ascenseur et j'y rentre. Je me demande ce que je vais découvrir.

L'ascenseur s'arrête au premier niveau, je me demande ce que je vais voir. J'ai peur. Je ne suis pas trouillard d'habitude mais là, je dois avouer que je ne fais confiance à cette femme. Je sors de l'ascenseur malgré mes priori. Je vois tout d'abord une salle blanche, il n'y a rien. Mais vraiment rien. Je pose ma guitare sur le sol. Je me sens intimidé dans cette salle, j'entends des cris, je cours vers l'endroit ou j'entends ce bruit mais quand j'arrive à cet endroit, je suis bloqué par quelque chose. Je met ma main machinalement dessus, la porte coulisse et j'entre dans l'endroit. Que vois-je ? Une femme allongée dans un lit,elle est entourée de femmes en robes blanches, elle pousse des hurlements, elle a une mine affreuse. Je m'approche d'elle.

Éric ▬ Madame, vous voulez que je vous aide ?
Sage-femme ▬ Poussez madame, nous avions bientôt la tête.

Me vois-t-elle ? Je ne sais pas. Mais, une chose est sûre est que je dois aider cette femme enfin si je peux. Que faire ? Je l'ignore. Je me retourne pour regarder une sage-femme qui m'évoque quelqu'un. Puis, je reviens sur la futur mère. Je la regarde avec insistance. Je la reconnais. Qui est-ce ? Ma mère. Mais comment je peux être ici alors que n'ai pas assisté à ma naissance ? Enfin, j'étais indirectement présent mais je n'étais qu'un bébé et les bébés n'ont pas de mémoire. Sauf, si c'est un souvenir que j'ai gardé précieusement ? Hum, j'avoue que je suis perplexe là. Bref, je n'ai qu'une solution pour savoir, je dois assister à la scène sans rien dire. Après quelques minutes, la jeune femme donne naissance à un fils. Je l'observe. J'en suis sûr que ce n'est pas moi. Je n'étais pas maigrichon quand j'étais qu'un nourrisson. Quoique, je ne le sais pas. Je suis dans le doute complet.

Sage-femme ▬ Votre Altesse Royale, le royaume est heureux d'avoir enfin un fils. # Elle donne le nourrisson à la mère avec délicatesse après l'avoir enveloppé dans du linge blanc avec une fleur de lys #
Mère ▬ Un fils, j'en suis tellement comblée. Le roi, mon époux sera heureux. Savez-vous il va rentrer de la chasse ? # Elle regarde l'enfant avec tendresse, et lui caresse le nez
Sage-femme ▬ Je l'ignore ma Dame, sans doute avant le coucher du soleil. J'en suis désolée.

Je ne sais quoi dire devant la scène que j'ai vu. Que dire ? Que la jeune femme n'avais pas eu chance et que son époux n'était pas digne d'être celui-ci ? Pourquoi était-il à la chasse au lieu d'être avec elle ? Pourquoi n'est-il pas là au moment ou elle a eu sa délivrance ? Je l'ignore, je ne pourrais jamais refaire l'histoire, vu que c'est du passé. Je regarde la femme et son bébé, ils sont maintenant seuls au monde. De plus, il faut rajouter que maintenant, ils sont propres et plus tâches de sang contrairement à avant. En observant cette dame, je ne peux remarque sa beauté mais également sa tristesse. Comment est-t-elle ? Elle a une peau laiteuse avec une chevelure d'ébène qui est nattée tandis que son enfant, il n'a pas de cheveux sur son crâne.

Mère ▬ Mon cher fils, nous sommes seuls, seuls parmi les ombres mais heureux. Je suis si heureuse de t'avoir mon trésor. Mais, ton père n'est pas présent lors de ta venue au monde. Je ne sais quoi dire, peut-être que j'ai l'habitude de ne plus le voir …. Or, mon fils, saches une chose, même s'il n'est pas présent aujourd'hui, il est ton père et moi, qui t'ai supporté pendant neufs mois, je ne cesserais de t'aimer jusqu'à mon dernier souffle dans ce bas monde. # Elle s'arrête, des larmes coulent sur son visage laiteux# Mon ange, je t'ai tant attendu depuis des années et me voici mère, pour la première fois. # Petit sourire# Excuses-moi, mon fils. Je ne devrais pas te dire cela mais j'en ai besoin. Je t'aime.

J'entends des bruits. Je me tourne, la femme reste calme avec son enfant, mais, en revanche, un homme est entré. Je ne sais combien de temps, il y a eu entre le dialogue ou plutôt le monologue de la femme à son enfant et l'arrivée de cet homme. Je me demande ce qui va se passer. Je m'assois sur une chaise.

Homme ▬ Althéa, mon épouse, j'ai vu que tu as donné naissance à un fils. J'en suis comblé. As-tu une idée de prénoms pour lui ?
Mère ▬ Non, c'est à vous, mon époux qui doit le choisir ….
Homme ▬ Nous l'appellerons Éric, Doyle et Fitz, si cela te conviens.
Mère ▬ Si cela sied à mon honorable époux, j'en suis forte aise.
Homme ▬ Soit.

Et, il part. Je hais cet homme alors que je l'avais tant aimé quand j'étais qu'un enfant. Pourquoi était-il comme cela avec mère ? J'aimerais tant le savoir. Tellement. Je regarde ma mère avec un sourire, je me lève et je m'approche d'elle. Je lui caresse la joue. Mais, elle reste calme, concentrée sur le bébé, ne disant rien. Et puis, soudainement, la lumière s'éteint. Je tombe par terre, je suis sur le sol froid et inerte. La lumière revient et je me retrouve dans une salle vide. Je me lève et je fais quelques pas. Je regarde la salle. Elle a des couleurs, des couleurs bleus ciels. Je souris et je vois une porte noir. Peut-être, va-t-elle me mener à un autre endroit. Je marche doucement, doucement et j'ouvre la porte. Je vois un ascenseur. Encore un ! J’appuie sur le bouton, l'ascenseur s'ouvre et j'entre dedans. Et c'est partit pour un nouveau moment. Je me demande sur quoi je vais tomber.


L'ascenseur monte d'un étage, je suis donc logiquement au niveau du second étage, il s'arrête à cet étage et je vais dans celui-ci. Je traverse un couloir aux couleurs chatoyantes, j'entends des bruits. A la fin du mur, que vois-je ? Une porte. Alléluia ! Bref, je l'ouvre. Je vois la mère de l'enfant et celui-ci dans la chambre du prince qui était la mienne autrefois dans la passé. Je m'assois près d'eux. La jeune mère caresse les cheveux de son fils, elle embrasse son front avec tendresse et lui sourit. Elle lui raconte une histoire d'une sirène et son marin, une histoire d'amour qui me rappelle sans conteste, celle de mon épouse et la mienne. Ensuite, la pièce tourne pendant quelques minutes. Elle s'arrête. C'est une nouvelle scène qui s'ouvre à moi, je vois Éric en train de monter le mur du palais, il écoute quelque chose puis quand la personne s'approche de la fenêtre, il est pris de panique et tombe sur le sol. Il remarche quelques mois après cet accident qui lui a faillit lui coûter la vie. Depuis que je suis tombé d'en haut, je n'ai plus jamais escaladé. Je me rappelle de ça, j'avais six ans et demi tandis que la scène précédente montrait que j'avais cinq ans. Ensuite, la pièce retourne et je sens que j'aurais une nouvelle scène, celle-ci se passe très vite. Je me vois en train de partir de mon ancienne chambre pour habiter dans une chambre dans la tour, puis, je vois les cours qu'on m'enseigne quand j'étais qu'un enfant de six ans qu'on avait arraché à sa mère, bien qu'elles étaient plus sympathiques, je n'aimais pas travailler donc j'étais souvent puni. Enfin, la pièce s'arrête de tourner. Je remarque qu'il y a une porte en forme de crâne, je sais ce qui va se passer et j'ai guère envie de revivre ce passage de ma vie. Je regarde s'il n'y a pas d'autre sortie et hélas, non. Je n'ai pas le choix, je dois y aller. J'entre et je découvre une salle de cinéma. Je ne comprends pas pourquoi je serais une salle de cinéma mais bref, je m'assois et j'attends que le film soit projeté. Je vois un jeune garçon qui est moi en train de courir sur le sable pour dire au revoir à sa mère, il agrippe à sa robe et pleure.

Enfant ▬ Maman, je ne veux pas que tu partes. Je veux pas ! Restes avec moi. Je t'en prie.
Mère ▬ Éric, je dois y aller. Je dois faire cette traversée.
Enfant ▬ Et si tu … Part.
Mère ▬ Tu devras continuer à vivre, à aimer la vie, à aimer l'amour et à aimer la mer.
Enfant ▬ Jenveuxpas.
Mère ▬ Avec ou sans ton avis, je n'y peux rien. Je dois y aller pour que le peuple se sente mieux. Il faut que tu passes le peuple avant tes désirs, ne l'oublies jamais.
Enfant ▬ Je … Soit mère. Et, je défendrais la veuve et l'orphelin.
Mère ▬ C'est tout à fait ça mon fils et je t'aime. Je donnerais ma vie milles fois pour te rendre heureux à jamais.
Enfant ▬ J'aimerais tant venir avec toi.
Mère ▬ Tu ne peux pas. Et, Éric, tu as un cadeau dans ta chambre.
Enfant ▬ C'est quoi maman ?
Mère ▬ Oh, tu verras et quand je serais revenue, nous parlerons de tout.
Enfant ▬ Si tu vois une sirène, tu penseras à moi hein ?
Mère ▬ Oui …. Je t'aime.
Enfant ▬ Moi aussi.

L'enfant laisse sa mère partir après tant de sanglots qui peuvent faire déchirer l'âme des passants, il marche jusqu'au retour de sa chambre. Il voit un carton et celui-ci bouge. Il le soulève et voit deux chiens, deux petiots chiots. Ils sont tout les deux des chiens bobtails.
Des jours après, le départ de sa mère, l'enfant se réveille en sursaut, il va en bas dans la crypte royale et découvre le corps de sa mère posé dans un cercueil de couleurs océans qui signifie qu'elle est morte dans l'eau. Il pleure, il pleure et se met à hurler.

Le film se termine ainsi.Je me souviens de ces scènes, elles sont ancrais dans ma mémoire, jamais, je n’oubliais ma mère, elle est mon lien le plus important dans ma vie mais je ne pourrais jamais la prendre dans mes bras, car, elle est morte. Perdre un être cher, c'est difficile, douloureux et amère. Mais, perdre une mère ou son enfant, c'est comme perdre une part de notre vie, c'est comme arracher la vie et donner la mort. C'est injuste. Injuste de perdre des parents, injuste de perdre des gens qu'on aime et pourtant c'est dans l'ordre des choses. Nous sommes nés pour mourir … Malheureusement, quel cruel destin qui s'acharne sur nous. Il peut nous détruire mais nous donner l'amour. J'ai perdu ma mère et bien encore mais j'ai gagné Ariel et Mélody. Et, je sais que jamais, si je les perdais, je les rejoindrais, par n'importe quel moyen.



Je veux quitter cette salle de cinéma, sauf, qu'elle tourne. Si cela continue, je sens que je vais vomir. Je me retrouve dans la même salle. Je la regarde encore, et je me demande sur quoi je vais tomber encore, mais, j'imagine que ce n'est rien de bon. J'entends des informations, ah tiens, ça change par rapport à avant …

Voix ▬ A l'âge de huit ans, le jeune prince qui venait de perdre sa mère depuis maintenant un an, il décide de faire un voyage par le biais de la mer, il veut faire celui-ci que sa mère aurait du faire si elle n'avait pas été morte. Ce voyage se passe bien, le prince n'a pas vomi et il n'a pas eu de tempête. Quand, il finit son voyage, il eu une pensée pour sa mère. Il écrit une lettre qu'il fait enfermé dans une bouteille, celle-ci, il la jette à la mer. Il ne l'a plus jamais revu. Ensuite, quand, il revient chez lui six mois après cette traversée, il a neuf ans, un bal est organisé pour son anniversaire il danse avec de nombreuses filles, toutes aussi belles que les autres. Il reçoit des nombreux cadeaux comme un chevalet et une flûte. Après, il s'exerce aussi bien à la musique et la peinture. Puis, il voit une femme se faire frapper par un homme. Il vient la sauver et demande à son père de bannir l'homme, le père accepte avec réticence. De plus, il faut rajouter que le prince Éric aime souvent aller près de la mer, il construit des châteaux de sables et se baigne régulièrement. Un jour après qu'il soit baigné, il voit une petite fille échouée sur le sable avec son animal, il les amène chez lui. Il s'occupe d'eux, il donne de la nourriture aux deux êtres, il apporte des habits à la petite fille et joue avec l'animal. La petite fille devient une sorte de sœur pour Éric, il la nomme Katheryn car celle-ci a perdu la mémoire après le naufrage. Puis, notre prince a dix ans, il participe avec des jeunes gens de son âge ou un peu plus à monter une maison. Il est très fier d'aider son peuple. Il passe leurs désirs avant le sien. Ensuite, il y a eu un incendie dans le royaume du jeune prince, plus précisément dans la demeure d'une famille, celle-ci venait d'avoir un bébé. Éric devait choisir entre la vie de l'enfant car la famille était déjà sortie mais n'avait pas pu récupérer le bambin et il devait sauver celui du chien. Il choisit de sauver l'humain. Il remet l'enfant entre les mains de sa mère. Enfin, des semaines après cet évènement tragique, il aide son marmiton à faire des gâteaux. Il va les donner aux plus pauvres.

La voix avait dit les évènements essentiels de ma vie pour ma période d'enfant. Je regarde de partout et remarque une porte. Je me lève car j'étais toujours assis depuis la première projection et j'ouvre cette porte. Je découvre un couloir. Je l'emprunte. Ensuite, je vois un autre ascenseur. Je l'allume et je suis prêt à découvrir ou plutôt ré-découvrir mon passé.







J'arrive à l'étage trois, si j'ai bien compris le mécanisme de cet ascenseur, le premier étage est la naissance, le second l'enfance donc le troisième l'adolescence. Je sors de l'ascenseur et découvre une salle, une salle très vaste. Il y a sept maisons dans cette pièce, chacune comporte un numéro de onze à dix-sept. Je m'approche de la première, celle qui est numéroté du nombre onze. J'entre et je vois un radio-projecteur, il diffuse des scènes, la première est quand j'étais malade, j'avais attrapé une maladie qui me faisait délirer. Un événement horrible que j'aimerais ne plus revoir, ça serait sympa. Puis quand je décide de fuguer dans la forêt qui mène quelque part mais je me suis perdu et croyez moi quand je suis revenu, je me suis fait punir par mon père. Ensuite, je vis que le film se termine et je me dirige vers la maison douze, je revois toujours le même système, la diffusion d'image, sérieusement, je devrais demander d'interdire d'afficher mon image. Que vois-je cette fois-ci ? Je me vois quand j'apprends à être marin, c'était des expériences magnifique, jamais, j'ai regretté de le faire car en le faisant, je me sentais plus proche de ma mère. Pauvre mère, morte noyée. Je regarde attentivement les scènes sur mon apprentissage de marin, et je remarque que j'avais gagné de l'expérience mais qu'en j'étais qu'un novice, j'ai toujours écouté mes supérieurs. Donc, je prenais plus le plaisir d'être marin que prince. Ensuite, la scène suivante montre une expédition en mer dans celle-ci je croyais voir une sirène. Rêve ou illusion ? Mystère. Puis, il y a eu dans la séquence suivante, l'épisode avec la voyante. C'était lors d'une fête, organisée pour fêter la naissance de mon père. J'entrais dans la tente d'une vieille femme et elle me dit ceci «  Noble Prince Éric, à l'âge de ta majorité, tu rencontreras une personne, tu l'épouseras et tu enfanteras avec elle, une petite princesse, née de deux origines. Mais, mon prince, fais attention à la tentation et surtout ton destin changera bientôt. ». Je n'avais pas compris à l'époque de mes douze ans mais maintenant, j'ai compris. En effet, à l'âge de dix-huit ans, je rencontre mon Ariel, nous tombons amoureux. Je l'épouse après que le roi, son père accepte qu'on s'épouse car ce n'était pas gagné avec lui et moi. Ensuite, ma petite Mélody naquit. Mais, pour la tentation, je ne vois pas sauf peut-être quand Ursula s'est transformé en Vanessa ? Peut-être bien. Et, pour le changement, peut-être celui de venir ici et non de rester là-bas ? Hum, hum, je n'ai pas de réponse. Je sors de cette maison et j'entre dans celle du treize. C'est la même chose qu'aux précédentes, je m'assois à une table et je vois des cakes en forme de cœur. Manger ou ne pas manger ? Hum, je ne préfère pas. J'ai pas envie de mourir. Je regarde le film, enfin, le court film. Pour la première partie, je vois en train de faire une course de cheval avec treize autres garçons de mon âge sur la plage, nous célébrons l'anniversaire de la ville, bâtis, il y a fort longtemps à une date que je ne me souviens pas. Ensuite, après ce court passage, je me revois en train de danser à un bal masqué, je portais le masque d'un soleil. Je dansais avec des dizaines de jeunes filles mais aucunes me plaisaient car je savais en ces temps là, qu'une autre m'attendait quelque part. Cette fille est bien entendue, ma douce Ariel. Et, cette séquence se termine par un baiser entre une fille aux cheveux d'or et moi-même. Je ne l'ai plus jamais revu d'ailleurs. Ensuite, l'épisode suivant montre quand j'ai découvert des éléments sur ma famille dans la tour sud-ouest, la plus grande tour, le premier concerne ma mère, celle-ci est la descendante d'une famille de pêcheur, elle a toujours vécu près des côtes. Elle a épousé mon père à cause d'un pacte, son père, celui de ma mère échangeait sa fille contre la sœur du roi, mon père. Une alliance politique, mais, pas d'amour. J'appris également que mon père était le fils d'hommes qui avaient eu des problèmes avec leurs femmes. Ils les battaient, ils les trompaient. Mais, que mon père ne l'a jamais fait, jamais, il a trompé ma mère, jamais, il a battu. Il était froid pour la protéger de sa folie. Curieux paradoxe ? Et puis, comment je savais ça car j'ai lu dans son journal intime. Je remarque également qu'il a profondément aimé ma mère et moi également. Qu'il préférait ne jamais nous témoigner d'amour que de nous faire du mal et que je n'avais pas hérité de lui pour le physique comme pour le mental mais de ma mère. Ma mère était ma sauveuse. Mon ange. Et, c'est tout ce que je découvre. Je regarde encore ce film. Je me demande si je dois haïr mon père ou l'aimer. Je ne sais plus quoi penser. La folie est un trait de caractère qui se transmet, pourquoi ne l'avais-je pas eu ? À cause de ma mère ? Oui, c'est sans doute ça. Qu'avais-je hérité de mon père ? Rien. Sauf un titre. Je quitte cette maison, d'un geste las. Je ne savais plus quoi penser de lui. Pourquoi il ne l'a pas dit ? Pourquoi ? Je ne le savais pas. Je vais dans la maison numéro quatorze, je m'assois et je découvre enfin je revois par toujours le même système, mon premier baiser avec une servante que mon père fait renvoyer car c'était une servante et qu'il ne voulait pas qu'elle soit la mère de mes enfants. Ensuite, j'allais dans un orphelinat de mon royaume enfin futur vu que mon père n'était pas encore le mien, vu qu'il n'était pas mort. Je m'occupe des enfants avec tendresse. En revoyant ces deux scènes, je me dit que j'étais plus proche de la nature maternelle que paternel. Après ces deux scènes, je revis avec tristesse, l'anniversaire de la mort de ma tendre mère. C'était une cérémonie magnifique, j'étais monté sur un bateau pour déposer une gerbe de plante dans l'eau. Une gerbe de fleurs aux couleurs blanches et rouges, symboles de la pureté et d'amour. Que des souvenirs pour ce jour douloureux. Je préfère ne plus jamais le voir, l'enterrer dans mes souvenirs les plus profonds et ne jamais ouvrir cette case. Je quitte cette maison. Je vais dans celle ayant le numéro seize, j'entre, je m'assoit et je visionne la séquence de mes seize ans. Dans cette période, je me revis en train d'attendre mon père au palais royal, je faisais les cents pas, j'attendais seul, puis, je décidais de rejoindre mon noble père. Je sortais du palais quand je vis une escorte royale portant mon père sur une table. La garde déposait mon père sur son lit royale. Je le regardais, j'étais à ces côtés pour qu'il meurt, pour qu'il rejoigne ma mère. Nous parlions entre hommes, il m'autorisait à être roi seulement si je donnais naissance à un fils à l'âge de 20 ans si je n'ai pas de fils avant cette date, je ne suis encore que le prince mais si j'ai une fille à la place, je peux régner après avoir eu un fils. En gros, je ne saurais pas roi tant que j'aurais pas eu de fils. Ensuite, mon père meurt quelques jours après sa blessure de chasse, je deviens prince et j'organise l'enterrement de mon père. Des jours après, sa mort, je baptise un bateau à son nom, Robert. Je quitte cette maison et je vais à la dernière, que vais-je découvrir ? Mystère. Je me vois en train d'organiser un bal masqué, je dansais avec des nombreuses filles. Pourquoi ? Je dois trouver une princesse. Pour que le peuple ait une reine. Une reine douce. Je décide quelques jours après ce bal de partir en mer. Je quitte cette dernière maison, je marche jusqu'à trouver une porte. Je la prends. Je vois un escalier, je descends celui-ci. En bas, je trouve un ascenseur, je le prends.




J’appuie sur le bouton quatre, or, il ne marche pas. J'essaye les trois premiers, même diagnostique. Je fais sur celui qui est vert. L'ascenseur marche, mais, au lieu de monter comme avant, il descends à toute vitesse. Il s'arrête, il s'ouvre et je découvre une plage. Ah tien, ça change par rapport à avant. Je suis les traces de pas sur ce sable doré. Je vois des coquillages qui m'indique le chemin à suivre. Cool ! J'ai trouvé un GPS utile cette fois-ci. J'arrive à la fin de la plage et au début de la mer. Je vois un bateau, je monte dessus. Je vais dans la cabine de commandement La barque bouge, puis, elle s'arrête. Je sors de la cabine et je vois qu'elle s'est accosté sur une île. Je descends. Je me rends sur l’île. Je vois un sentier avec des flambeaux, décidément, je ne saurais pas encore la raison pour laquelle, je suis ici. J'arrive à la fin de ce chemin, je vois des chaises. Plusieurs. Je ne saurais compté leurs nombres mais je m'assois sur la 7ème rangée de la gauche mais qui est à la droite d'une personne, au numéro sept. Le brouillard fait son apparition. Soudain, j'entends des voix. Des chansons. Je sens de l'air sur mon visage … Que se passe-t-il encore ? Je vais le découvrir. Le brouillard disparaît et je vois la scène. Je me vois avec mon chien Max, cadeau offert par ma tendre mère, décédée. Mon autre moi déclare : «  N'est-ce pas merveilleux cet air marin du large ce vent qui fouette le visage, ah on ne pouvait rêver mieux pour sortir en mer ! » Mon confident vomi, ensuite, quelqu'un parle du roi Triton et mon autre moi une question. J’ignorais qu'il existait un roi de la mer. Mon confident et le pêche se dispute. Je ne sais pas pourquoi mais le temps s’accélère, est-ce que les personnages de mon passé voyait le changement rapide ? Je pense pas. Je me vis en train de fêter mon dix-huitième anniversaire entouré de mes amis, les marins. Je faisais la fête en jouant avec ma flûte et en m'amusant avec Max. Mon confident m'avait offert une statue considérable. Il me dit qu'il aurait bien aimé me l'offrir comme cadeau de mariage avec une princesse. Je lui retoque que je savais qu'une princesse existe mais que je l'avais pas trouvé. Mais, que je le saurais. Après ça, un éclaire fait son apparition et c'est le début de la fin. Les tempêtes commencent, mon chien allait se noyer. J'allais le sauver au péril de ma vie. Mais, quelqu'un me sauve. Elle me chante une chanson. Je faillis apercevoir son visage mais mon confident arrive et la provenance de la voix disparu. Pendant des semaines durant, je ne pensais qu'à cette voix. Jamais, elle ne m'avait quitté. Un jour, je me promenais sur la plage en compagnie de mon chien quand je vis une fille à la chevelure rousse grâce à mon chien que j'ai suivi. Je lui sourit. Elle était si belle, si pure. La jeune innocente était posée sur un rocher. Je pensais que la jeune fille était celle de mes rêves, mais, elle ne parlait pas. Grosse déception. Elle me mima des éléments. Je décidais de la ramener à la maison. Calotta s'occupe d'elle et lors du dîner, c'était épique ! La jeune rousse se servit d'une fourchette pour se coiffer et utilise la pipe de mon confident comme pour faire des bulles. Le lendemain, je fais visiter mon royaume à la jeune fille. C'était difficile de communiquer, mais, nous arrivons. Nous dansons. Je la fais conduire sur ma carriole et j'ai eu la plus grosse peur de ma vie et ensuite, nous allions sur une barque. Je faisais naviguer la barque.

Éric ▬ Vous avez entendu ?

J'allais l'embrassais mais je décidais que ce n'était pas le moment. Que peut-être, je faisais une erreur. Je continuais à ramer.

Éric ▬ J'aimerais bien savoir comment vous appelez..Je peux peut-être deviné ? Serais-ce Mildred ? Rachel ? Ariel ? C'est ravissant, d'accord.

J'allais l'embrasser mais quelqu'un ou quelque chose m'a fait tomber de la barque avec Ariel. Nous rentrons à la maison, ensembles. Mon confident et moi, nous parlâmes. Je regardais Ariel, j'allais grimper quand j'entendais une voix. Celle qui me hantait depuis toujours. Je demandais à la jeune femme qui se nommait Vanessa de m'épouser. Le lendemain, le jour de mes noces, beaucoup d'événements se passait. Je ne sais comment je pourrais les décrire mais quand je tournais la tête vers Ariel, elle avait de nouveau une voix. Celle que j'avais autrefois entendue. La voix de mon amour. Elle se transformait en sirène. Ensuite, j'allais sauver son père qui était détenu par la vilaine sorcière. Je tuais celle-ci. Et, quand, je reviens sur mes plages, je revis mon amour avec des jambes. Des jours après, je pu enfin épouser mon amour. C'était un beau mariage et nous allions en lune de miel pendant des mois.

Je tombe sur le sol. J'avais revécu les moments de ma dix-huitième année. Que dire sur ça ? Que cette année était magnifique, tout simplement, par ma rencontre avec Ariel. Je souris, bêtement. Elle m'avait envoûte, j'étais soumis à sa beauté. Magnifique astre. Bref, une beauté. Je me demandais ce qu'il allait se passer.

Le brouillard revient. J'entends une voix, celle d'Ariel et des gazouillis d'un enfant, Mélody. Je souris, je vais revivre les moments avec mon enfant. Je me retrouve pendant la cérémonie de la naissance de ma fille, enfant conçu lors des nuits de noces avec Ariel. Personne me voit, c'est normal, je suis qu'un passager du futur voyant son passé. Je m'assois quelque part. Je connais ce qui va se passer. La terrible sœur d'Ursula, Morgana va venir troubler la fête. Mais, avant ça, mon beau père offrit un cadeau à ma fille, un collier en coquillage qui lui montre sa part de sirène. La petite était heureuse. Mais, soudain, Morgana captura ma fille. Comment allais-je faire pour la sauver ? Morgana demanda le Trident . Ma femme se saisit de mon épée et casse la voile. Ma fille vole et je vais la sauver. Morgana dit que ce n'est que le début de notre enfer. Arrivée dans notre royaume, Ariel décide de protéger Mélody en décidant de mettre un rempart entre le monde des sirènes et nous. Mon amour s'était sacrifier, nous constructions un mur pour protéger Mélody contre les vices de la terrible Morgana. Les années passent, je m'occupais de ma fille avec tendresse, je lui lisais des histoires, des histoires différentes que celles que ma chère mère me racontait. Je ne voulais pas parler du monde des sirènes à ma fille. Pourquoi ? Pour la protéger. Mais, lorsque ma fille atteint ces douze années, tout change. En effet, j'étais monté dans la chambre de ma fille, Ariel et elle se préparaient pour l'anniversaire de ma douce enfant. Je les prévenait que les invités étaient déjà là. Puis, je les laissait seules. Puis, je remontais dans la chambre de ma fille et je vois sa beauté. Une beauté magnifique, comme sa mère. Nous descendons suivis de notre fille, celle-ci fit son entrée. Un jeune garçon lui demandait de danser avec elle, nous encourageons notre fille à danser. Puis, un accident arrivait, Sébastien, le crabe pince le doigt du cavalier de ma fille. Le gâteau tombait sur le sol. Ma fille parlait à Sébastien et les invitées rigolaient. La fête vire en enfer,ils rigolaient tous de ma fille. Celle-ci courrait dans sa chambre, ma femme voulait la retenir mais elle ne l'écoutait pas. Avec ma femme, nous nettoyons la salle puis je laissais ma femme parlait avec notre fille. Peut-être arrivait-t-elle à parler avec elle ? Tandis que moi, je n'arriverais pas spécialement et puis Ariel est douée pour la faire parler. Je remontais dans la chambre de ma fille, je voyais ma femme triste. Et, nous décidâmes de dire la vérité à notre princesse. Mais, nous ignorâmes qu'elle allait disparaître pendant la nuit. Nous sortîmes dehors avec Ariel et Sébastien viens nous dire que notre fille vient de disparaître quelque part en mer. Avec mon épouse, nous décidions de la chercher. Nous montions sur un bateau, avec celui-ci, nous arrivions sur la mer, le père d'Ariel arrivait et une discutions commence entre lui, elle et moi.

Ariel ▬ Oh papa, je suis tellement inquiète.
Triton ▬ Non, rassures-toi, tout va s'arranger. Nous avions des patrouilleurs qui sillonnent la mer. Je pars me rejoindre à eux.
Éric ▬ Ariel, tu devrais peut-être les accompagner.
Ariel ▬ Mais, Éric.
Éric ▬ Je dois rester pour m'occuper des troupes terrestres, toi, tu connais très bien ces eaux et tu connais aussi notre fille. Crois-moi, tu dois y aller.
Triton ▬ ça peut être dangereux
Ariel ▬ Éric a raison papa, j'aurais du savoir que je ne pourrais pas interdire la mer à Mélody, elle est dans son sang. Tout comme le mien. Oh oui, je dois y aller.
Éric ▬ Ramènes la nous.


Ensuite, ma femme redevenait sirène et je la laissais partir dans les eaux, son royaume. Tandis que moi, je m'occupais des voies terrestres, je cherchais avec mon équipe de marin, ma fille, mais nulle trace de Mélody. Puis, des jours après, je vis ma femme capturé par Morgana, la vilaine femme brisa le glacier. Mon bateau tombait dans l'eau. Je réussissais à me sauver ainsi que mon chien Max. Mon beau-père arrivait dans la bagarre.

Éric ▬ Ou est ma fille ? Qu'as-tu fait d'elle ?

L'animal de compagnie de la sorcière m'emportais dans les eaux, j'allais mourir dans peu de temps, mais mon épouse me sauvait, aidée par Sébastien. Le soleil commençait à se coucher, j'ai peur. Peur de perdre mon épouse ainsi que ma fille. Des secondes ou des minutes plus tard, j'ouvrais les yeux, je voyais ma fille et ma femme. Morgane utilisait le trident de mon beau père pour nous réduire en esclavage. Je ne savais comment mais ma princesse, mon enfant réussis à nous sauver. Nous gagnions grâce à elle. Mon beau-père proposait à notre fille, si elle voulait vivre avec lui sous la mer ou avec nous sur Terre. Mélody a eu une bonne idée, vivre tous ensemble.


Le brouillard se dissipe, et je sors de mes souvenirs. Quelle merveilleuse aventure. Je me lève de ma chaise. Je me demande pourquoi j'étais toujours assis alors que j'étais debout parmi mes souvenirs, une question à élucider bientôt, mais, pas maintenant. Je me lève et je décide de quitter cet endroit. L'endroit de mon âme, âme qui se souviens de son passé et ne tente pas de l'oublier.





Je vois un sentier, je décide de le prendre. Peut-être, je pourrais rejoindre mon présent, et non, mon passé, enfin, je l'espère. Au bout de ce chemin, je vois une grotte, et si j'allais ? Je me demande ce que je vais bien découvrir cette fois-ci. Je vois des images, des images qui montrent le sort et ma venue à Fantasia. Un autre monde. Le monde ou je suis venue habiter avec ma douce et ma fille. Que dire sur ce monde ? Oh que je ne l'aime pas spécialement mais que je l'aime car il y a ma femme et ma fille. Les images montrent également mes rencontres avec diverses personnes mais également mon épouse et moi, heureux avec notre fille. J’aperçois une porte, j'entre et je découvre un couloir. Je marche. À la fin de ce couloir, je découvre des escaliers, je monte ces derniers. Et, je vois une autre porte. Je l'ouvre et je suis sur le toit. Je vois une créature rousse qui marche. Qui est-ce ? J'ai ma petite idée. Enfin, je ne suis pas sûr. J'ai des doutes, mais, oui, je pense que c'est elle. Mais comment le savoir ? Il faut que je réfléchis doucement. Qu'est-ce qu'un homme regarde chez les femmes ? Les courbes ! Oui, je regarde ces courbes, celles-ci, je les ai déjà caressée, embrassée, désirée. Je les observe de nouveau, mon cœur s'emballe à la chamade. Les ailes de mon âme bat rapidement, légèrement, amoureusement. Un sourire s'affiche sur mon visage. Vous voyez de qui je parle ? Non ? Je parle bien entendue de ma douce Ariel. Je m'approche d'elle. Pas à pas. Je suis près d'elle. Je la prends par la taille et j'embrasse son cou et je prononce son prénom sensuellement, Ariel. Puis, je la fait tourner et je la regarde. C'était bien elle ! Vous avez cru que je ne saurais pas reconnaître mon épouse, ma muse, mon enchanteresse ? Vous ne me connaissez pas. Je saurais la reconnaître sous n'importe quelle forme, à n'importe quelle date et à n'importe quel lieu. L'amour que je ressens pour Ariel deviens fort de plus en plus. Il est éternel, pas éphémère comme tant de couple, non. J'aime que ma femme et je ferais tout pour elle. Jusqu'à mourir pour elle. Me sacrifier pour la sauver. Amoureux ? Comme au premier jour, et ce n'est pas le dernier. Je garde mon sourire amoureux sur mes lèvres. Je l'embrasse. Je ne sais quoi dire devant elle. Je me sens idiot. Être amoureux, est-ce une forme d'idiotie ? Je ne le pense pas. J’entrelace nos doigts. Je lui dit enfin : « Mon amour, mon adoré, je suis amoureux de toi chaque jour. Je ne cesse de te désirer, ô mon Ariel, mon astre étoilée, je veux rester à tes côtés, nuits et jours. J'ai l'impression de te refaire une demande en mariage mais si tu veux bien, si tu le désires, souhaites-tu te remarier avec moi ? D'avoir le plus beau des mariages, bien que celui que nous avions eu dans notre monde était magnifique. Magnifique car tu es était là. Je t'aime Ariel, je te désire. Je veux vivre avec toi et avoir d'autres enfants avec toi. » Après ces mots, je l'embrasse encore une fois et je prononce encore une fois son prénom sensuellement.



Et voilà, vous avez finit de lire ma petite fiche:eve : alors, l'idée de l'ascenseur me vient depuis quelques temps, au début, je voulais que le personnage X quand il rentre pour la première fois dans l'ascenseur soit un bébé car il verra sa naissance, puis, son enfance avec l'âge d'un gamin et ect mais ça n'allait pas du tout avec Éric. Ensuite, dans cette histoire, il y a des énormes références à des séries, plus particulièrement à Games of Thrones, par exemple, lors de la naissance d'Éric, la mère accouche seule sans la présence de son époux, ça fait une référence à la relation de Cersei et Robert, de plus, le père d'Éric se nomme Robert. Quand notre héros fait une chute en découvrant un secret fait une référence au petit Bran Stark :bril : ensuite, la famille d'Althéa représente la famille de Théon, le pupille de Ned Stark. Ensuite, je dois avouer que ma présentation est galère mais si vous voulez que je la change, je peux:ange : donc, si vous voulez quand j'écris au passé, c'est les souvenirs d'Éric et au présent, bah c'est Éric au présent. Que dire d'autre ? Ah oui, l'histoire comme le caractère enfin les mises en scènes ont un peu évolué, pour le caractère, normalement c'était des objets qui devaient symboliser son caractère mais ça aurait été bizarre qu'un stylo représente sa possession : arrow : d’où le faite que j'ai changé et que j'ai préféré une mise en scène plus neutre. Pour l'histoire, normalement Éric devait assister à toutes les scènes de son passé, mais, c'était trop long et vous allez vous ennuyer donc j'ai préféré que parfois, il assiste à des scènes directement donc qu'il soit sur scène mais que personne le voit et parfois, Éric voit les scènes de son passé dans un film. Ah oui, la mise en scène du caractère ne sera pas prise en compte dans les rp's, ce qui n'est pas trop le cas de mon histoire qui sera reprise un peu dans mes rp's:sifflote : Enfin, l'idée de la mère qui meurt dans l'eau et que l'amour de son fils pour cette mer vient de la magnifique Snow:ange : merci à toi de m'avoir conseillé ça et puis je trouve plus beau que mourir d'une terrible maladie et moins pathétique. Et je remercie MEC de bien vouloir que joue Éric surtout avec Tom, je crois que j'ai tout dit. Enfin, les visages qui ont représenté sont Asa Butterfield et Tom Welling.