Mrs Darling ❊ Her romantic mind was like the tiny boxes, one within the other, that come from the puzzling East, however many you discover there is always one more.

Invité

elle porte toujours sur elle, la bague de son mari, celle qui marque la fin de son humanité et le début de la piraterie ✖ possède chez elle une petite commode qui présente un tiroir vide, c'est là que M. Darling avait placé ses rêves lorsque ses enfants naquirent, les sacrifiant au Néant, parfois, les contemplait-il puis les rangeait...mais il était de plus en plus difficile de refermer le tiroir, il en est de même à présent pour sa femme ✖ n'ayant jamais souhaité être mère, elle s'abîme en se refusant de revoir ses enfants, qui, lorsqu'ils s'envolèrent, la laissèrent dévastée ✖ ne sais plus quel camp choisir, celui des pirates, éternels voyageurs bravant les cris des sirènes et les colères de Poséidon, ou celui de Peter Pan, celui qui lui sauva la vie et qui enfanta en elle des espoirs nouveaux ✖ elle a des millions de croquis de Neverland sous son matelas, espérant peut-être, y être revenue ✖ adore le feu, elle savoure les flammes lécher la brise d'été, s'élevant toujours plus haut pour rejoindre ses amours : les étoiles ✖ passe souvent à l'observatoire, se délectant de la beauté du Ciel ✖ possède un cabinet de curiosité chez elle, elle s'y enferme souvent pour voyager à travers le temps et les pays ✖ se sent très impliquées dans les disparitions d'enfants pensant toujours que Peter Pan en est le responsable ✖ le baiser au coin de ses lèvres est toujours gravé ✖ au lieu de faire son travail de bibliothécaire, elle s'enferme dans ce lieu et lit des livres toute la journée ✖ se recueille souvent à la mer, restant des heures, debout, humant l'air marin, lavant son être de toutes impuretés ✖ étant une adoratrice du thé, comme toutes anglaises qui se respectent, elle possède toutes les saveurs existantes et en crée même quelques-fois, elle-même ✖ coquète, elle possède toute une armoire de robes dentelées ou pas, courtes ou longues, il y en a pour tous les gouts ✖ malgré son malaise avec les enfants, elle leur ait, par nature, très douce et est très à l'écoute, plongeant son esprit turbulent d'adulte dans le leur vivace et inspirant.

Aimee Mary-Liv "Hook" Darling

Always There for Them ⊹ feat Diane Kruger

Depuis mon arrivée à Fantasia Hill, je m'appelle Mrs A. Mary-Liv Darling, mais en réalité je viens d'un autre monde, un monde magique, là bas on m'appelait Mrs Mary Darling. Vous devez surement me connaitre, avez vous déjà entendu parler de Peter Pan ? De toute manière, je vais vous parler un peu de moi, j'ai trente-deux ans, on dit souvent que je suis calme ✖ douce ✖ réfléchie ✖ romantique ✖ indépendante ✖ mystérieuse. Actuellement, je suis bibliothécaire et écrivaine de contes, mon esprit débordant d'histoires mielleuses aux âmes enfantines, j'aime beaucoup la littérature, aventure pour les êtres prisonniers de la Réalité, issue des songes perdus et les cabinets de curiosité, je puis alors voyager, une tasse de thé chaud entre mes mains frêles, découvrant les espèces que cette Terre nous a offert. Oh et pour les petits curieux, je suis une mariée déchue, une mère corrompue.

« Quand à sa bouche moqueuse, un baiser y était posé que Wendy ne parvenait jamais à prendre. Il se tenait là, bien ostensiblement, au coin des lèvres, à droite. » Barrie
C’était un simple rictus rosé, un trait plié à la bordure extrême de sa bouche fleurie, d’où, s’écoulait à flot, le sang de plusieurs colombes. Un sang limpide semblable à une goutte d’océan se déversant sur son visage, mourant sur sa poitrine, s’infiltrant dans le tissu et dans la peau, traversant les côtes ivoires, s’éclatant en morceaux dans la mer rouge, et voyageant dans le corps de cette nymphe par le biais de ses veines, fissures de la terre. Un cœur réussit à en pomper l’éclat chatoyant, il le garda bien précieusement pour lui et ne l’offrit à personne, bien trop égoïste pour se soucier de l’agacement des mortels du bas-monde, lui-même avait creusé cette fontaine de jouvence, sur sa peau si pâle. Un baiser simple, doux, gardant néanmoins pour lui ses secrets les plus profonds, découlant à présent dans l’être de la belle dame. Elle n’était qu’une enfant lorsqu’elle le reçut. Qu’une innocente fillette qui cherchait par tous les moyens, la délivrance. Ses poumons, à la douce, étaient en piteux états qu’on lui déclara bien vite que la Faucheuse allait s’allonger à côté d’elle dans son lit, sous ses draps soignés par sa mère, et que par sa froideur, elle allait la pétrifier éternellement. Elle n’avait pas pleuré. Son océan ne s’agitait point. Chaque soir, seulement, elle observait l’encadrement de la porte, attendant le frêle squelette, pensant trouver réconfort auprès de celle, qui l’accompagnera jusqu’à sa fin. Mais ce ne fut pas l’entrée de sa chambre que la petite aurait dû surveiller quand le soleil baissait sa garde, ce fut la fenêtre. La minuscule fenêtre par laquelle, un autre ange, vint la récupérer. Il l’emmena loin, là où il le savait, elle serait paisible, où son cœur ne serait point apeuré. Pour la dérober, il ne dût que lui donner un de ses plus beaux sourires, celui auquel aucunes femmes de ce monde et de l’autre ne résistaient, celui unique qui illuminait votre propre visage, votre corps entier, celui qui vous faisait voler. Et elle partit à la rencontre des enfants perdus pour qui elle devint une maman fragile, à celle des sirènes cruelles Vénus de l’imaginaire et à celle des Indiens avec qui elle put danser autours d’un feu qui, elle en était sûr, faisait peur à la Mort, par ses ardentes flammes éprises d’amour pour les Cieux. Elle aurait put rester éternellement ainsi, tenant la main de son sauveur, découvrant chaque jour les trésors qu’il avait à lui sacrifier, à ses yeux ébahis, ne cessant de chercher les étoiles qu’elle pouvait apprécier chez les heureux, les faisant siennes, les transformant en ces constellations qui ravissaient toutes les personnes qui posaient un regard sur elle. Mais un tintement souffrant se logea aux creux de son oreille, rugissant comme une ondine ayant perdue son marin au gré des flots déchainés qui s’abattaient sur les rochers, pensant peut-être les démolir par la force de leur douleur, et il la hantait ; s’intensifiant lorsqu’elle s’approchait de son ange gardien, lui donnant des nausées quand elle lassait ses doigts réchauffés depuis peu, dans les siens brûlant de vie. Il lui fallut peu de temps pour comprendre que c’étaient les cris de sa mère, se brisant comme du verre dans son cœur tout mou, la faisant saigner et mourir à son tour. Elle pria le Ciel, la Terre, l’Air, mais rien n’y fit. L’abattement d’une mère était le pire châtiment sur ce monde comme dans les autres. Personne n’y était indifférent, personne ne l’étouffait sans suffoquer lui-même. Personne. Alors c’est dans une profonde mélancolie qu’on la ramena dans son lit, sous des draps humidifiés par les larmes salées d’une dame effondrée. Ce fut sans doute l’une des rares fois, à part lorsqu’elle visitait le cimetière, qu’elle put voir un chérubin verser à son tour, une goutte de son océan chatoyant sous le Soleil de son âme pure. Elle la recueillit entre ses mains, posant un regard de désespoir vers l’angelot. « Tu pleures parce-que je vais mourir ? » une voix qui s’échoua dans la pièce, remplaçant le silence mortuaire, par une délicate louange funèbre. « Tu ne mourras pas Mary, je te le jure » il sourit délicieusement. Ce n’était pas ce même rictus qu’il avait déballé lors de leur rencontre, c’était sans doute la lumière la plus véritable et la plus magique. Un Salut, puissant et frêle. Il déposa alors au coin de ses lèvres sucrées, ce qu’il appelait un remède, celui qu’il voyait être déversé d’une mère sur son enfant, celui qui enveloppait la victime d’un merveilleux drapé luxuriant, faisant revivre ses derniers espoirs. Et lorsqu’il releva son visage de poupin, l’air rassuré, la belle enfant devint l’œuvre de son prodige. La parfaite statue aimée des siens et des étrangers, la délicieuse martyre d’une sublime illusion. Satisfait, il partit, et Mary ne le revit plus jamais...du moins c’est ce qu’elle pensait. Quelque jours plus tard, le médecin qui, plus tôt auparavant, lui avait annonçait la mort, se vit surprit de ses paroles. « Elle est guérit...elle restera auprès de vous...Je...je vous... enfin...C’est un miracle ! » mais la petite Mary savait bien que cela n’avait rien à voir avec un miracle. C’était une réalité difficile à dévoiler, le fruit d’un amour inconscient et inavoué, s’étant déjà évaporé, dans l’intrépide esprit du jeune Peter Pan.

Et ce délicat baiser se brisa à son tour, mourut en ses lèvres décharnées, le jour où ses propres enfants s’envolèrent et son mari tomba sous les prières, la laissant pour décédée, afin de revivre, plus tard, sur la peau de son ainée.

Ses paupières frigorifiées par la Mort qui avait violé son corps, s’ouvrir peu à peu, baisaient par une lumière qui lui était étrangère. Une lueur emplie de promesses, un baume pour son cœur déchiqueté par les chimères de l’existence, l’éveillant comme une douce mélodie. Une berceuse comme celles qu’elle chantait à ses enfants, contant les histoires fantastiques de princes, chevaliers et princesses mouvant au gré des fées, illusionnistes des contes nourrissant notre imaginaire. Son regard, transpercé par les Cieux qu’elle avait tant de fois accommodée, se déversa sur ses côtés. Du sable chaud en abondance formait son lit, son cercueil bien aimé, et le doux chant, les magnifiques prières, des flots s’échouant sur ce berceau funèbre, l’apaisèrent quelques temps. Quelques minutes avant qu’elle ne comprenne qu’elle était en vie...bien en vie, jeune et belle comme elle l’était dans le passé. Sa première réaction fut d’effleurer de ses doigts le coin droit de sa bouche. Il y était toujours... Ayant prit possession de son être, l’amertume de l’eau s’écrasant sur sa raison comme la Vérité tombait, comprenant où elle se trouvait, elle se précipita vers la mer, les traits raidis et les muscles tendus. Les grains dorés lui rentraient dans les paumes et les genoux, la faisant défaillir sur le chemin, mais elle parvint à caresser l’eau. C’était une brusque caresse, puisque ses yeux se relevèrent vers l’horizon, la limite finale...Et alors qu’une énorme vague, gueule béante se jeta sur un rocher s’élevant, fier, son cri se fit entendre, résonnant dans l’âme des mythiques nymphes des eaux, qui, éprises de cette compassion pour leur sœur, se jetèrent dans le miroir, le plus sombre reflet de l’Eden. Dans leur élan, leur peau, chair, sang et os, se décomposèrent, ne laissant qu’une écume, triste réincarnation. Elles plongèrent dans les profondeurs, leur chant guerrier excitant l’océan, balayant le sable des abysses et dérobant aux entrailles de la Terre, le trésor, unique réconfort, d’une sirène mortellement humaine. Dans leur folle course, elles se jetèrent à ses genoux, la fouettant violemment, lui dévoilant l’objet de ses regrets, étouffant son ultime souffrance dans des larmes qui ravivèrent ses traits. Un élixir d’immortalité ne la trahissant pas comme étant détruite, mais comme étant belle et bien vivante. Ce furent ces gouttes, poésies enchanteresses, qui explosèrent sur le métal, le lavant de toute impureté morale ou physique. Elle prit alors son cœur entre ses mains, ravivant la flamme qu’on avait éteinte, et enfila cette preuve. Il était là...

PSEUDO/PRÉNOM ◆ Tata Snow votre Warrior Queen mes amours. ÂGE ◆ je m'appelle Edward Cullen. PAYS/RÉGIONS ◆ Neverland dans les bras des sirènes, berçant mes rêves romantiques, noyant mon corps nostalgique. OU AS-TU CONNU LE FORUM ◆ depuis des lustres, j'ai pris l'autre étoile. TES IMPRESSIONS ◆ prout. SCÉNARIO OU PI? ◆ Inventé comme toujours. UN DERNIER MOT POUR LA FIN ◆ j'espère que je ne vais pas vous décevoir avec ce personnage ^^.

C'est vraiment un super choix de perso et puis Diane est totalement bave

Bonne chance pour la fiche love

Invité

DIANE DIANE DIANE DIANE bave

re-bienvenue leche

Invité

Stan Merci beaucoup ^^ En effet, je me rajoute avec toi, Diane est bave

MUMMY That's for you my lovely mother !!!!!! :bril:

Merci ^^

Invité

Thank's my girl, you're very cut.
Je suis fière de toi calin

Invité

Mrs Darling ❊ Her romantic mind was like the tiny boxes, one within the other, that come from the puzzling East, however many you discover there is always one more. 4029093039

Merci mum !

Invité

Rebienvenue, donc ^^

calin

Invité

Merci

(ton vava est superbe !)

Invité

Je ne savais pas que Mary était vilaine XD bienvenue

Invité

Elle ne l'est pas ^^ Je suis l'ancienne Judyx, et je remplace mon perso' par un autre ^^ Quoique Barrie souhaitait que l'actrice qui joue Mary Darling, joue aussi Captain Hook, mais le théâtre a fait que ce soit Mr Darling qui prend aussi le rôle du vilain pirate mdrr

Merci ^^

Invité

A Mary-Liv \"Hook" Darling a écrit:: Merci (ton vava est superbe !)

Merciiiiiii calin

Je me suis bien amusée à le faire =)

Invité

De rien

je n'en doute pas olala

Invité

J'aime beaucoup ton histoire et l'hommage à Octo pour la bibliothèque bave

Invité

Ma première pré-validation pour toi, parce que ta fiche est sublime et que je suis ta fille adorée... :bril:

Félicitations !

Bravo ! Tu peux dès maintenant commencer la quête de ton avenir, que nous serons heureuses de suivre dans les moindres détails. Voici une petite liste de liens importants et utiles ci-dessous que tu pourras suivre obligatoirement. Nous te souhaitons néanmoins, la bienvenue ici et surtout bon jeu sur Pixie Dust !.

RECENSER SON AVATAR

RECENSER SON PERSONNAGE

RECENSEMENT DU FAIRYBOOK

RECENSER SON MULTI-COMPTE

PARRAINNAGE

N'OUBLIE PAS LE PETIT VOTE TOUTES LES DEUX HEURES I love you

TRÈS TRÈS TRÈS TRÈS BON CHOIX DE DINGUE
Re-Bienvenue ma belle <3

Invité

Re-bienvenue ma Tata Snow, avec ce choix de fou encore et toujours. Mrs Darling ❊ Her romantic mind was like the tiny boxes, one within the other, that come from the puzzling East, however many you discover there is always one more. 4153354820

Invité

Mummy Tu as vu Mrs Darling ❊ Her romantic mind was like the tiny boxes, one within the other, that come from the puzzling East, however many you discover there is always one more. 4029093039

Fi-fille adorée Merci ma belle I love you

heureuse de refaire partie de la Team Peter Pan !

Adrian Merci Docteur Mrs Darling ❊ Her romantic mind was like the tiny boxes, one within the other, that come from the puzzling East, however many you discover there is always one more. 2389784783

Azrael Michiiiiiiiii ange

Invité

C'est adorable mon p'tit coeur coeur

j'en suis touchée Mrs Darling ❊ Her romantic mind was like the tiny boxes, one within the other, that come from the puzzling East, however many you discover there is always one more. 4029093039

Invité

Bienvenue *_*