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 [Poca&John] Welcome to my life my Virginia

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MessageSujet: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyLun 31 Déc - 15:43

Welcome to my life my Virginia


[Zoo On]
Je souris concernant sa remarque littéraire. Cette histoire était tellement amusante. Non pas que j'appréciais le fait que les femmes soient toutes considérées comme des curieuses et des menteuses mais, les contes pour enfants (quoique celle là était quand même effrayante pour des jeunes) avaient le charme d'ajouter de la fantaisie dans les morales. Surtout dans Barbe Bleue ! Une clef changeante pour preuve et le pire, l'homme riche porte une barbe bleue. Quelle idée ! Voyons c'était tout à fait logique de se colorer la barbe d'une couleur extravagante, il était pas assez moche sans cela. En attendant qu'elle ouvrit les portes, je lui répondis en ne pouvant pas me forcer de rire car à chaque histoire étrange, on retrouvait un rapport avec un anglais on dirait.

Ne me sous estime pas car un anglais a inspiré pour cette histoire !
Nous nous mettons en route en direction de la voiture et ce n'était pas du tout pour me déplaire que mon indienne m'attrapa le bras. Il y a encore quelques jours je n'aurais jamais cru qu'elle se trouverait aussi près de moi. Comme si l'envie de revivre et de sourire à nouveau m'emportait sur un petit nuage. Elle me demandait si sa présence pouvait déranger mais, ce soir le seul programme était de terminer la lecture d'un livre et regarder le match de football à la télévision donc rien de bien important. Le patron se calmait un peu sur les reportages en ce moment avec moi car je devais partir dans environ une semaine pour couvrir un événement en Europe.

Je ne vois pas en quoi ta visite peut gêner.
Moi en tout cas ça me va et Jamy ne semble pas contre non plus !
J'attrapai les clefs de la voiture qui se trouvaient dans la poche arrière de mon jean et ouvris déjà la porte de derrière pour Jamy. J'attendais qu'il se couche sur la banquette avant de refermer. Normalement il se plaçait juste à coté de moi donc c'était possible que cela le dérange mais on dirait que non, le plus important pour lui semblait d'être bien assis et pouvoir se reposer. Ensuite, il était évident que j'ouvre à Pocahontas pour qu'elle puisse à son tour s'installer dans le véhicule. Je pris ma place pour partir en direction du quartier où j'habitais.

Je ne suis pas loin.

[Zoo Off]


Heureusement, la circulation ne demeurait pas compliquée ce soir là. D'un coté, je venais plus souvent du centre ville à cause du travail et donc c'était le moment où les personnes rentraient dans leur habitation. Cette route était plus populaire la journée avec les touristes et les randonneurs. Nous arrivions au bout de vingt minute de trajet dans le quartier. J'étais assez ravi des lieux car il n'y avait que des familles et tout le monde respectait la vie des autres. La nuit, aucun bruit et la journée, les enfants jouaient paisiblement dehors. Je garai la voiture juste devant la maison en essayant de me dire si j'avais laissé des saletés dans les coins. Bref, si c'est le cas de toute façon, ce n'est pas grave ! Ce n'est pas une maison d'homme pour rien ! J'ouvris à Jamy et vérifiai que Pocahontas sortit par ses propres moyens. Je pris sa main en montant les petits escaliers de la terrasse avant de chercher les clefs.

Je te préviens, je ne sais plus si tout est à sa place.

J'ouvris la porte et l'emmenai dans le salon près de l'entrée. Bon à première vue, il n'y avait pas beaucoup de désordre. J'enlevai les trois/quatre canettes de bière qui étaient posées depuis hier soir sur la table basse après avoir remis le livre du moment dans l'étagère. Heureusement que depuis quelques jours j'avais reçu des visites et donc j'avais été obligé de ranger à chaque fois mes affaires.

Je vais te chercher de l'eau, je reviens.

Je m'approchai de ma tendre indienne pour lui déposer un baiser sur le front avant de partir dans la pièce à coté. Une question me vint d'un coup : j'avais une bouteille d'eau ici ?! Je crois bien que je n'avais jamais bu une seule fois de l'eau dans cette maison. Je cherchais au fond du placard dans l'espoir de me dire que je n'étais quand même pas autant désespéré concernant ma façon de boire et de manger. Mais en fin de compte il fallait se faire à l'idée que c'était soit du soda ou de l'alcool alors, heureusement qu'aujourd'hui tout le monde possédait un robinet chez soi. En revenant dans le salon, je déposai le verre sur la table basse et allumai une cigarette. Cela faisait environ deux heures que je n'avais pas fumé et c'était bien une heure de trop.

C'est assez petit mais pour Jamy et moi il ne nous faut pas plus.
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J'ai posé bagages ici le : 05/04/2012 Jouant le rôle de : pocaca, la seule et l'unique. Nombre de messages : 4101 On me connait sous le pseudo : BELLA CIAO. (lorenza) Un merci à : clever love (avatar) + endlesslove (sign). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : la mignonne petite hudgens.
MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyLun 31 Déc - 17:15


welcome to my life my Virginia


▽ If we'd go again all the way from the start, I would try to change.
« Ne me sous estime pas car un anglais a inspiré pour cette histoire ! » Histoire de bien me mettre en confiance ! Mais dans un sens cela ne m’étonnait pas, les Hommes étaient capables de tout. Enfin, j’espère tout de même que ça n’est pas le cas de John. Bref, je devais tout de même prévenir Crystal que je rentrerais tard, histoire qu’elle ne s’inquiète pas trop de savoir où je suis. Enfin j’dis ça, je ne suis même pas sure qu’elle soit elle-même ce soir à notre appart’. John me confirma alors que non, ça ne le dérangeait pas, ni même Jamy. À cette parole, je lâchais un petit rire avant de légèrement me pencher pour caresser l’animal qui nous suivait naturellement. Arrivés à la voiture, je ne me souvenais plus quand était-ce la dernière fois que j’étais montée dans ce genre de véhicule. Ni même si un jour j’y étais montée. Non pas que j’avais peur mais… si, j’avais peur. Ce gros bout de ferraille qui va si vite, avouez que c’est effrayant ! Enfin pour moi ça l’est. C’est pour ça que je préfère toujours être à pieds, de toute façon je n’ai pas ce petit morceau de papier qui t’autorises à rouler. Alors quand John m’ouvris la portière, je m’installais sans rien dire, mais mon cœur palpitait. J’observais l’intérieur de l’habitacle et attachais rapidement ce qui s’appelait « ceinture » et qui était censé maintenir notre sécurité.
Ainsi, durant tout le trajet je ne lâchais pas les yeux de la route, à travers ma fenêtre. Le voir défiler était si impressionnant, comme si nous étions propulsés dans le temps. ‘Fallait vraiment que j’arrête d’avoir peur de tout dans ce monde. Nous arrivions alors très vite dans un quartier qui paraissait calme, au point même qu’il paraissait vide tellement tout était silencieux. Cela me changeait de mon quartier à moi, en plein cœur de la ville où toutes les maisons étaient immenses et très, même trop, luxueuse à mon goût. Mais bon, j’avais accepté d’y habiter pour être avec une amie, je ne regrettais donc pas d’avoir quitter l’univers sans danger du pensionnat.
« Je te préviens, je ne sais plus si tout est à sa place. » « Tu veux dire que tu ne sais plus trop si tu as bien planqué les cadavres dans la petite pièce ? », dis-je tout en riant comme une enfant, toujours amusée de voir John en Barbe Bleue. Si dans mon monde, je ne connaissais pas ce genre d’histoire, depuis le sortilège je m’étais beaucoup intéressée au livre, non seulement pour améliorer mon langage mais aussi pour enrichir ma mince culture. Il me prit alors par la main, geste que j’affectionnais toujours autant, et me fit entrer. Si au départ j’eus peur de tomber face à face avec un vrai désordre, je fus rassurer en constatant que j’avais imaginé n’importe quoi. Totalement curieuse, je jetais un œil dans chaque recoin du salon. Tout n’était certes pas en ordre, mais c’était un appartement normal. À première vue. John retira alors les quelques canettes pour ensuite aller me chercher un rafraîchissement, me déposant avant cela un délicieux baiser sur le front. Et dire qu’encore hier j’étais certaine que plus rien ne pourrait se passer entre nous. J’esquissais alors un faible sourire, et profitais de sa petite absence pour me faufiler entre les meubles du salon, cherchant un petit indice sur sa nouvelle vie. Cependant, c’était sans compter Jamy qui ne cessait de se mettre devant moi, réclamant des caresses, et comme protégeant la vie privée de John boude « D’accord d’accord j’ai compris, je fouillerai un autre jour », lui murmurais-je en le caressant de nouveau.
John revint alors au moment où je m’asseyais sur le canapé, posant le verre devant moi et s’allumant une cigarette, comme en manque ( non mais, j’te jure boude ). Si je considérais que fumer le calumet était chose bénéfique, fumer ces bouts de papier puants n’avaient rien de symbolique et donc était inutile, nuisible même. Mais bon, je n’étais pas ici pour juger des habitudes de John, ni même pour le changer. j’étais justement ici pour observer sa nouvelle vie. Son nouveau lui
« C'est assez petit mais pour Jamy et moi il ne nous faut pas plus. » C’était déjà pas mal. Et puis à ce que j’avais compris il n’était pas souvent chez lui. Personnellement j’ai toujours été habitué à vivre dans des endroits restreints (ben oui y’avait pas de villa dans la forêt [Poca&John] Welcome to my life my Virginia 813734878 ). « Ca va, je m’attendais à pire en t’attendant parler. Tu vis seul ? Je veux dire, à part avec Jamy. », demandais-je tout en portant le verre à mes lèvres, le finissant d’une traite. J’n’avais pas mangé de la journée, je devais bien combler ce manque. Reposant le verre vide, je ne pus m’empêcher de penser à des cadavres planqués sous le canapé. De manière la plus discrète possible, je me penchais légèrement pour voir si un quelconque membre du corps dépassait de sous le meuble. Certes, ça avait été de la part de John une blague, mais il fallait tout de même que je m’en assure. olala
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyLun 31 Déc - 23:55

Welcome to my life my Virginia


Je gagne quand même un minimum ma vie heureusement. Mon seul critère c'est d'être tranquille, sans nuisance sonore et hum.. Je me posai à mon tour sur le canapé avant de mettre la cigarette en veille dans le cendrier oui j'suis seul ici, pas de colocation.

Certes, je vis officiellement seul mais bon il y avait toujours des amis ou des filles d'un soir qui venaient chez moi régulièrement. Enfin, plus maintenant depuis que j'ai su que Pocahontas s'était aussi retrouvé dans ce monde. Donc on pouvait retenir seulement les amis proches venant pour discuter quelques minutes autour d'un café des dernières nouvelles ou des soirées entre hommes devant la télévision ou jeux de cartes.

Quand j'avais terminé ma réponse, mon indienne regarda si on peut dire, d'une grande discrétion tellement son geste se voyait de loin, sous le canapé s'il n'y avait pas quelque chose. J'en déduisais qu'elle serait à la recherche d'une chose étrange comme.. Un corps. Hum j'aurais été fort de le mettre dans le salon et que cela ne sente pas le moisie sans être démasqué.


Je n'suis pas aussi amateur que ça ! Chaque morceau dans un coin précis comme par exemple un œil dans le tiroir de la table de nuit, des cheveux dans la salle de bain pour décoration sans qu'on puisse remarquer le crime !

Je roulais des yeux pour accentuer les bêtises que je racontais. Voyons il fallait être censé ! Si on faisait un meurtre, on devrait tout de suite l'emmener à des centaines de kilomètres au fond d'une forêt et l'enterrer ! Du moins, je ferais ça si un jour je suis obligé de me rendre coupable d'une mort.

Je ne savais pas par où commencer. J'avais tellement de questions à lui poser sur ce sort qui nous a envoyé dans ce monde. Savoir si elle cherchait à comprendre pourquoi c'est arrivé, il y avait-il un but ou ce n'était que pur hasard ? Si aussi, Rolfe faisait parti du voyage comme elle l'avait peut-être vu ici ou pas. Mais bon, ce sujet on allait l'éviter ce soir, pour ne pas gêner Pocahontas mais, aussi pour que je ne m'énerve pas à cause de lui alors que cette journée se trouvait la plus belle depuis mon arrivée. Aussi, comment se portait Meeko depuis le bal car, j'appréciais cette petite boule de poil amusante et si attachante. Cependant, je pense que nous avons à présent tout le temps pour discuter de ce genre de choses, il était peut-être plus préférable de profiter de l'autre. Cela faisait tellement longtemps que je n'avais pas eu de moments seul avec mon unique amour. Nous devrions continuer la visite avec l'étage, les coins de la maison où c'était sur qu'il ne pouvait pas y avoir de critiques sur le ménage. La salle de bain je n'y allais que le matin pour me brosser les dents et me laver. Les demoiselles ayant passé des nuits ici avaient sûrement passé plus de temps dans ce lieu que moi. Je n'étais pas sale mais, me raser m'agaçait par dessus tout et les cheveux.. Peu importe s'ils étaient de travers, ils se remettront correctement à moment ou à un autre !

Viens, je vais te montrer l'étage.. Ne t’inquiète pas, impossible que tu tombes sur les morceaux du voisin perturbant, je les ais bien caché.

Je bondis du canapé pour attraper ses deux mains délicatement et nous diriger vers les escaliers. En montant, je sentis derrière moi une présence de plus et il n'y avait pas trente-six personnes de possible. Je me retournai et fit signe à Jamy de rester en bas. Je savais parfaitement que ce chien ne cessait de bouger dans tous les sens et si on l'ajoutait à l'étage en plus de nous deux, faire un pas sans tomber allait être impossible.
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyMar 1 Jan - 14:03


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▽ If we'd go again all the way from the start, I would try to change.
Je ne savais pas comment John pouvait faire pour vivre « seul ». Si moi aussi j’aimais parfois qu’on me laisse tranquille, être dans le calme pour réfléchir, je n’arriverais jamais à vivre seule. J’ai constamment besoin de compagnie, animale comme humaine. Je deviendrais folle sinon je crois. Lui le vivait plutôt bien d’après ce qu’il me disait. Après tout, il avait Jamy qui paraissait pour lui être plus un ami qu’un simple animal de compagnie. « Je n'suis pas aussi amateur que ça ! Chaque morceau dans un coin précis comme par exemple un œil dans le tiroir de la table de nuit, des cheveux dans la salle de bain pour décoration sans qu'on puisse remarquer le crime ! » Il fallait vraiment qu’il cesse ce genre de plaisanterie, même si au fond je l’avais cherché ! Je ne sais pas pourquoi mais depuis que je suis dans ce monde je suis devenue totalement paranoïaque, aussi bien que je prends au pied de la lettre ce que l’on me dit. Je crois aussi que c’est parce que je suis trop l’actualité de ce monde et que chaque jour je suis surprise de jusqu’où peut aller l’Homme. Mais je lâchais tout de même un léger rire, un peu nerveux certes. J’imaginais John en train de cacher les différentes parties d’un corps un peu partout dans la maison, et ça me faisait encore plus rire comme une idiote. Bon, il fallait m’excuser, nous étions le soir, j’étais fatiguée de ma journée de boulot et affamée.
« J’vais commencer à vraiment croire que tu es devenu un meurtrier. », dis-je dans un sourire moqueur. Cela me faisait tellement de bien de me retrouver avec lui, comme ressourcée. Il était en quelque sorte celui qui me permettait de rester attachée à mon monde, mon vrai. Tout comme avec Meeko ou même Nako, je me sentais libre uniquement avec ceux qui avaient partagé ma vie dans notre univers. Cela me permettait de me dire que je n’étais pas seule, et qu’il y avait peut être un espoir pour qu’on puisse retourner là-bas, que le sort soit conjurer. Car je sais que je ne pourrais plus longtemps supporter cette vie. Du moins, à présent que j’avais réellement retrouver John, peut-être que tout cela changera. Après tout, lui a l’air de s’être habitué à cette nouvelle vie, déjà habitué à un style différent vu d’où il venait. Peut-être qu’il pourra m’apprendre à encore mieux m’intégrer, et à savoir que faire pour survivre ici.
« Viens, je vais te montrer l'étage.. Ne t’inquiète pas, impossible que tu tombes sur les morceaux du voisin perturbant, je les ais bien caché. » Il n’était pas croyable ! Encore un peu et j’allais le taper. C’est d’ailleurs ce que je fis, une petite tape sur l’épaule suivit d’un « Arrêêête ! » dans un soufflement. Un vrai gamin. Enfin, c’est moi qui dis cela…

Il me prit alors de nouveau les mains, et me guida vers l’étage. Jamy comme toujours nous suivait, curieux et voulant lui aussi être de la visite, mais John lui demanda de rester en bas. Je regardais alors John, puis Jamy, et ainsi de suite le temps que nous montions « Avoue, tu ne veux pas que Jamy monte aussi pour pouvoir me tuer sans témoin. T’as prévu ton coup depuis un moment en fait. », plaisantais-je tout en lui serrant un peu plus les mains. Bref, l’étage était aussi propre que le rez-de chaussée, et aucun objet alarmant à portée de vue. J’examinais chaque coin et recoin au fur et à mesure que nous avancions dans les pièces, à la recherche d’un indice qui pourrait me guider sur la nouvelle personnalité de John. Mais rien. Et ça me décevait. Au pire des cas, quand il sera occupé, je fouillerai un peu plus les lieux, et trouverais forcément quelque chose ! Il m’avait bien dit qu’il avait changé, je voulais donc voir à quel point. « Bon, à part le fait que tu es un serial-killer accompli, je n’arrive à rien devenir de ta nouvelle vie. Je suis certaine que tu caches tout tes secrets dans une petite pièce fermée à clef !, dis-je tout en lui lâchant les mains pour me diriger devant la porte de sa chambre. Et qui dit pièce secrète, dit chambre. » J’attendis tout de même qu’il se trouva derrière moi pour me permettre d’y entrer, jetant directement mes yeux aux quatre coin de la pièce. De nouveau, au premier coup d’œil il n’y avait rien à dire, si ce n’était le lit non fait et quelques habits trainant dans un petit coin. Je m’arrêtais alors au centre de la pièce, arborant ma mine boudeuse et croisant les bras. « Bien, c’est bon tu peux me tuer ici, j’n’ai réussi à rien découvrir de toi dans cette visite. »
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyMar 1 Jan - 17:54

Welcome to my life my Virginia
A
près la visite des pièces secondaires à l'étage, mon indienne voulait se diriger dans la chambre. Certes, à part mon ukulélé et ma guitare, je ne voyais pas vraiment ce qui pourrait avoir d'alarmant. C'était mon petit rituel du soir avant de m'endormir pour me détendre de la journée bien oppressante, quinze minutes de création musicale avec Jamy qui dormait au pied du lit. Bon il y avait des vêtements sur le sol près de l'armoire mais c'est normal ça ! Quel homme (à part les ennuyeux ne sortant de chez eux) ne possède pas dans sa chambre des tenues sales parterre ? Puis le matin j'avais souvent pas beaucoup le temps de vérifier si tout était accordé. Toute façon, un jean et une chemise hop c'est parti !

Soudain, quand Pocahontas me fit la remarque d'aucune grande découverte sur ma nouvelle vie, il fallait que j'aperçois juste derrière elle dans un coin de la pièce un vêtement rose pale qui devait être là depuis au moins deux semaines ! J'espère de toutes mes forces qu'elle ne se retourne pas pour par exemple regarder la table de nuit (quelle idée aussi de faire ça) comme le haut se situait juste à coté. Mince ! Pourquoi Jamy n'aurait pas joué avec et aller l'enterrer dans le jardin ! Bon certes il appartenait à Neve mais ça tombait bien mal ! Comment je pourrais expliquer ? Elle avait passé la nuit chez moi et j'avais taché le vêtement alors je lui avais passé un tshirt pour qu'elle le garde par la suite et je lui aurais rendu (ou pas) quand il serait propre.


Hum oui.. J'essayais de regarder mon indienne dans les yeux mais comme les mensonges ce n'étaient pas mon fort, difficile de rester concentré sur son visage. Voyons voir si tu me serais bénéfique.. Je me rapprochais de mon amour lentement pour me placer derrière elle. Mon pied tentait de déplacer le vêtement rose pale sous la table de nuit mais bon c'était une opération délicate pour ne pas être démasqué. J'essayais quand même de rester naturel, surtout que j'avais la chance de pouvoir être très près de ma Pocahontas. Je déplaçais ses cheveux de son cou pour y déposer un baiser. Non ça ne serait pas agréable de te démembrer, tu es trop sublime.

Comment lui résister ? La dernière fois que j'avais eu la possibilité de me sentir aussi près d'elle, sans aucune nuisance, c'était en Virginie et encore, le plaisir fut de courte durée à cause de Kocoum. Cela remontait à.. bien trop longtemps. Quelle personne ne voudrait pas en profiter ? Le désir devenait insurmontable mais pourtant, il fallait se contrôler. Je passais mes bras autour de sa taille et posait ma tête contre la sienne. Elle se trouvait là, auprès de moi, ce n'était pas un rêve et pourtant, on dirait que c'était le cas.
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyJeu 3 Jan - 0:28


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▽ If we'd go again all the way from the start, I would try to change.
Pourquoi paraissait-il soudainement si gêné ? J’avais vu son regard fixer je ne sais quoi, et suite à ça son visage s’était métamorphosé. Il me cachait vraiment quelque chose, là ça n’était plus une blague. Il ne cessait alors de me regarder un coup, puis de fixer derrière moi, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’il bégaye une première phrase. « Voyons voir si tu me serais bénéfique.. » Je choisissais donc de ne rien dire, attendant le bon moment pour plus tard me retourner et chercher ce qui le tracassait tant. Il se plaçait alors derrière moi, poussant manifestement par la même occasion quelque chose au sol, et écarta finalement mes cheveux au niveau de ma nuque. Son baiser sur ma peau me procura une multitude de frisson, et j’oubliais tout geste suspect précédent. Je n’avais à m’inquiéter de rien, mais je me devais de profiter de chaque instant en sa présence auprès de moi, après toutes ces années…
« Non ça ne serait pas agréable de te démembrer, tu es trop sublime. » Cette phrase réussit à me faire décoller un sourire, mais je demeurais les yeux clos, pour ainsi mieux apprécier le souffle lent et froid de John sur ma nuque. M’entourant de ses bras, je posais mes mains sur les siennes et me laissais transporter par la chaleur de son corps. Si proche de moi, mes sentiments commençaient à prendre le dessus sur ma raison, et j’aurai pu rester ainsi avec lui éternellement. « John…, dis-je doucement, tout en caressant le dessus de ses mains. Tu crois que tout peut redevenir comme avant ? Je veux dire… pour nous ? » Je décidais d’y aller franc jeu, voulant à tout prix savoir si oui ou non tout cela valait la peine. Si oui ou non je pourrais récupérer mon John d’avant. Celui qui s’était risqué à mourir pour seulement avoir le droit de m’aimer, celui qui avait tant fait pour prouver qu’il n’était pas comme tout les Blancs, celui qui m’avait vu telle que j’étais, et non comme celle qu’on attendait que je sois. Mais et si aujourd’hui il était devenu un autre homme, un homme que je ne parviendrai pas à comprendre ou pire, que je détesterai ? Dans notre monde, notre histoire avait été bien courte, je n’avais donc pas eu le « temps » d’être, de telle ou telle manière, déçue par lui. Mais aujourd’hui, dans ce monde, cette ville, il nous pouvait plus y avoir de frontière entre nous, et donc j’ai peur qu’au fil des jours, je découvre quel homme il peut vraiment être…
Et dire que je pense tout cela alors qu’il est là, m’enlaçant, proche comme jamais de moi ! Souriant à ma bêtise, je tournais légèrement mon visage vers celui de John, toujours derrière moi, et plaçais l’une de mes mains sur sa joue. « Oublie ma question. », lui demandais-je tout en lui déposant un délicat baiser sur la joue libre, pour ensuite fixer mon regard dans le sien. Et puis, instinctivement, mon sourire enfantin revint à la charge. « Alors dis-moi, si tu ne comptes pas me tuer, que comptes-tu faire de moi ? »

(oh ne t’inquiètes pas je n’oublie pas la petite histoire du t-shirt [Poca&John] Welcome to my life my Virginia 4153354820 mais j’attends encore un peu dans le rp pour que poca le découvre [Poca&John] Welcome to my life my Virginia 2034992622 )
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyJeu 3 Jan - 17:54

Welcome to my life my Virginia
J
e ne voulais plus la lâcher. La garder près de moi le plus longtemps possible. Rien ne pouvait nuire ce moment. J'avais tellement rêvé de la revoir, la toucher, lui prouver à nouveau que je l'aimais et j'avais enfin cette possibilité. Mes tracas dans ce monde n'existait plus. Tout devait se centrer sur Pocahontas. Le travail, mon départ dans quelques jours pour l'Europe, les problèmes de mes amis, même Jamy me semblait secondaire à cet instant. Mon seul ennuis demeurait de trouver une solution pour faire sourire encore une fois mon indienne. Je la serrais si près de moi, en ne voulant pas qu'elle parte. J'étais près à tout pour elle tout simplement... Le John de l'autre monde refaisait son apparition, ce monde où la vie semblait plus simple pour moi du moins, cette ancienne vie était plus captivante. Mais surtout, le Smith qui a connu son premier amour avec une indienne. Celui qui pensait aimer par dessus tout les voyages et la découverte de Nouveaux Mondes. Celui qui croyait que ses pensées iraient jusqu'à sa mort seulement aux aventures. C'est étrange comment une unique personne peut autant changer une vie. Je peux le dire aujourd'hui, je ne voyais aucun avenir si elle ne se trouvait pas dedans. Elle posa alors une question où la réponse semblait évidente pourtant. Si je le ne croyais pas une seule seconde, serais-je entrain de la serrer dans mes bras ? Aurais-je eu le courage de lui dire que je l'aimais comme le premier jour ? Certes, le différence avec le passé est qu'aujourd'hui, nous possédons du temps devant nous normalement pour profiter. Je fermai les yeux pour réfléchir à ma réponse mais, elle me dit dans la seconde suivante de ne plus penser à cette parole. Avait-elle un gros doute sur nous ? J'en avais aussi comme nous nous connaissions pas du tout dans ce nouveau monde mais, ce qui me faisait croire en notre histoire c'était l'espoir. L'espoir que notre amour tienne malgré les difficultés qu'il a dû subir. Je ne me posais plus de question à l'instant qu'elle déposa un bref baiser sur ma joue. Ce petit geste que j'attendais depuis mon départ de Virginie, une intention si douce qui était bien plus importante que toutes les autres.


Je n'eus pas le temps de lui rendre la pareil qu'elle me demanda avec un si beau sourire, que elle seule en avait la clef, de savoir ce que je pourrais bien lui faire à présent. Si Pocahontas connaissait toutes mes envies, mes pensées la concernant.. Je me souvins d'une chose : La faire sourire. Je savais au fond de moi que ce monde lui plaisait bien à moitié, ce n'était pas ses habitudes alors, pourquoi ne pas lui donner un peu plus de gaieté avec mes blagues à deux sous ? Je lui dis avec un grand sourire pour qu'elle sache que ces mots venaient au plus profond de moi.
Que faire de toi.. Te garder pour toujours avec moi ? Je me mis à la serrer un peu plus fort en la poussant vers l'avant pour la forcer de devoir s’étaler sur le lit qui se trouvait juste devant elle pour pouvoir plus facilement ensuite, la prendre par les jambes et la mettre sur mon dos comme un sac. Où te mettre.. Je la gardais derrière moi en la transportant sans difficulté dans les pièces de l'étage. Nous arrivions dans la salle de bain mais comme elle demeurait un peu petite, je ne fis qu'un demi tour au centre de la pièce et essayait de trouver un endroit. Hum dans la douche ? Non pas vraiment confortable. Nous allons ensuite dans la pièce en face, mon petit coin de travail. Mais en voyant tous les papiers parterre et aussi sur le bureau, je passai juste aussi en faisant un tour sur moi même. Tu vas me mettre du bazar dans mes recherches pas une bonne idée. Je sortis de la pièce pour me retrouver dans le couloir, je me stoppais quelques secondes pour bouger un peu dans tous les sens et essayer de déranger Pocahontas. Cette balade ne se trouvait pas si inconfortable pour moi malgré « le sac » sur le dos. Le mieux était quand même ma chambre après brève réflexion. J'entrai dans la salle pour la poser sur le lit et la rejoindre. En fait tu serais mieux ici tout simplement. Posé en tailleur sur un coin du lit, je contemplais toujours en souriant ma petite indienne qui se remettait de sa charmante balade.
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyVen 4 Jan - 2:52


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▽ If we'd go again all the way from the start, I would try to change.
« Que faire de toi.. Te garder pour toujours avec moi ? » Il n’était pas le seul à le vouloir, décidément. Être pour toujours avec lui, quel monde utopique. Plus rien pour nous séparer, plus aucun obstacle, aucune distance, aucune frontière, pour nous empêcher d’être ensemble. Je pourrais alors toute ma vie rester là, entre ses bras, profitant de la chaleur qu’il m’apporte, de son souffle contre moi, du bonheur que sa présence me procure. Oui, une vraie utopie.
Son étreinte se resserra alors, et il me fit avancer droit vers le lit, dans lequel je tombais tel un sac ( boude ). La tête bloquée sur la couette, je me sentis alors m’envoler lorsqu’il m’attrapa par les jambes pour mettre sur son dos, ce qui fit qu’un léger cri m’échappa de la gorge. Il me portait alors avec tant de facilité, et enfin s’amusa à me refaire toute la visite de l’étage mais d’une toute autre manière. Je ne m’arrêtais alors plus de rire. Cela faisait si longtemps que je n’avais connu un si grand bonheur, et que je n’avais pas autant ris de franc cœur. Aucun doute, il n’avait pas tant changer. Il était toujours le même John imprévisible, faisant des choses dont seul lui avait l’idée. Et arrivant à me faire rire à partir de rien.
« Hum dans la douche ? Non pas vraiment confortable. » Je confirme ! À la suite de cette phrase, je lui tapotais légèrement le dos avec mes petites mains, comme pour lui demander de me lâcher. Ce dont je n’avais vraiment pas envie. Certes, me porter comme un sac n’était pas la chose la plus affectueuse qui soit, mais j’étais tellement heureuse qu’on est si vite retrouvé notre complicité. Moi qui pensais que cela nous prendrait des jours à reconstruire, voilà qu’une simple après-midi nous avait suffit à refaire vivre ce lien unique. Comme quoi, il suffisait juste d’une étincelle. Passons. Il m’emmena par la suite dans ce qui s’apparentait être une salle de travail, où il ne fit qu’un demi tour avant de vite repasser par la porte, me balançant « Tu vas me mettre du bazar dans mes recherches pas une bonne idée. » Je pris alors un air offensé, qu’il ne pouvait tout compte fait pas percevoir, avant de lui redonner une tape dans le dos. « A ce que je vois, tu réussis déjà très bien tout seul à y mettre le bazar ! », lui lançais-je en guise de repartie, avant de continuer à rire comme une gamine. Le dernier arrêt fut le couloir, où John s’amusa à me secouer dans tout les sens possibles. Tout en me tenant la tête, je ne cessais de répéter « Arrête arrête arrête ! », mais mes rires ne me permettaient pas d’être prise au sérieux. Il s’arrêta net, pour finalement nous reconduire dans sa chambre, et il me remit dans le lit, de manière plus délicate cette fois-ci. Enfin ma tête pouvait se reposer !
« En fait tu serais mieux ici tout simplement. » Le sale vicieux ! Il me fixait à présent l’air satisfait, assis à côté de moi et fier de sa bêtise. Tandis que moi j’étais affalée sur le dos, les mains sur mon visage pour la faire arrêter de tourner. Finalement, après avoir retrouvé mes esprits, je les retirais et tournais à mon tour mon visage dans la direction de John, tout en restant allongée. « En fait je me suis trompée sur toute la ligne : t’es bien pire que Barbe Bleue toi ! À la place de me tuer directement, tu t’amuses à me torturer ! », lui dis-je avant de lui tirer la langue de la manière la plus enfantine qui soit. Pourvu que le temps ne reprenne jamais…

Avec toute la force qui me restait, je tirais la couverture pour l’enrouler autour de moi, et me décalais légèrement pour poser ma tête sur les jambes croisées de John. Pas meilleur endroit au monde. J’aurai voulu m’endormir là, et ne jamais me réveiller. Rester à ses côtés pour toujours, c’était tout ce qui me préoccupais à l’instant même. Fermant mes yeux un instant pour mieux apprécier ce moment, je les rouvris grands, ma petite moue d’enfant ayant regagné mon visage. « Au fait dis moi, t’as bien beaucoup de force toi ! », dis-je tout en attrapant l’un de ses bras pour l’examiner. Je sentais alors mes joue s’empourprer, ne m’imaginant encore pas faire ce genre de geste cette après-midi même. Mais plus le temps passait en sa compagnie, plus je retrouvais ma liberté avec lui. La liberté de pouvoir faire ce que je souhaitais. Ayant finit ma petite inspection, je posais la paume de ma main contre la sienne, dans le but de comparer la taille des deux. (non j’ai pas piqué ça à jane et tarzan [Poca&John] Welcome to my life my Virginia 4029093039 ). Cela me fit rire de nouveau, et je pris finalement sa main contre moi avant de me rallonger sur ses jambes. « Pour la peine, j’l’a prend en otage ! » Je me fis de nouveau moi-même rire, comme une idiote, et je gardais fermement sa main contre moi, la caressant doucement avec mon pouce et fermant encore mes yeux.
« Et la prochaine fois que tu me fais ce coup là, je te vomis sans répit dessus. »

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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyVen 4 Jan - 23:31

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omment ça je m'amusais avec elle ? Du tout ! Ce n'était pas mon genre de profiter d'être plus fort pour faire n'importe quoi. On n'avait jamais vraiment eu le temps de rire ensemble avec peu de moyen alors je voulais faire découvrir cette facette de ma personnalité à Pocahontas. Dans notre monde, il y avait surtout le temps qui courrait contre nous et dont il fallait essayer de le rallonger mais, la réalité des Hommes s'était mis au milieu de notre chemin. Aujourd'hui, nous étions enfin seul et je ne pense pas qu'un tam-tam ou un de mes camarades pouvait se manifester. Je souriais bêtement à sa remarque avant de l'observer longuement poser sa tête sur mes jambes. Elle fermait les yeux et semblait sereine, je contemplais son visage si particulier par rapport aux autres. Ce teint qui racontait tout de suite une histoire. Quand je suis allé pour la première fois à Monument Valley, j'appréciais tellement ce contact avec cette réserve Navajo qui combattait le gouvernement américain pour s'occuper eux-même de ces terres. Ils avaient tous une histoire concernant leur peuple disparu et le plus dur dans tout cela c'est qu'ils ne souhaitaient pas montrer leur tristesse, simplement être fort et prouver qu'ils réussissaient à tenir avec un sourire sincère. Je m'évadais à mon tour dans mes pensées. Il n'y avait qu'elle, cette demoiselle qui hantait mes nuits depuis mon départ du Nouveau Monde. Même l'envie de fumer me passait étrangement. Aucune addiction serait capable de me faire bouger de ma place.

Soudain, elle prit mon bras droit pour le regarder plus en détail. Sa remarque m'avait fait bien rire. Son côté enfantin était tellement charmant quand il tombait au bon moment. La dessus, on se trouvait bien différent. Je réfléchissais toujours longtemps avant de dire une phrase en essayant de rester sérieux quand il y avait du monde. Certes, sauf quand la colère montait, là mes gestes et mes paroles étaient tout bonnement instinctifs. Faut bien que je le sois pour porter des indiennes trop curieuses ! Toujours avec un sourire, je laissai Pocahontas jouer avec ma main. Cela me rappelait ce moment où elle essayait de me faire apprendre des mots dans sa langue. Garder ma main ? Impossible ! Il me la faut pour écrire, me laver, conduire ou encore, avoir un équilibre pour ensuite... Je me penchais vers le visage de mon indienne pour y déposer délicatement un baiser sur ses lèvres. Je n'avais pas du tout réfléchi à mon geste. Je la voyais dans cette position et l'occasion se présentait, je ne souhaitais seulement pouvoir goutter ses lèvres une nouvelle fois et cette fois-ci, sans gêne.

Quand je me redressai, Pocahontas annonçait une menace qui ne me faisait pas du tout peur. Vomir sur moi ? Oh je ne suis plus à ça près depuis bien longtemps ! Les marins réussissent facilement à faire cet exploit en mer et.. Ils n'ont pas toujours le temps d'atteindre le bord du navire. Tu sais, Thomas m'avait déjà vomi dessus pendant le voyage jusqu'en Virginie et ce n'était pas le premier ! Ah la belle époque ! S'occuper d'un navire pendant des jours entiers entouré de camarades qui racontent leur rêve. Le seul problème pouvant nous inquiéter, c'était de savoir s'il restait encore assez de rhum. Mais.. Tu ne devrais pas me menacer... J'enlevai délicatement sa tête qui se trouvait toujours sur mes jambes pour me déplacer rapidement face à elle et m'étaler sur son corps, comme une masse. Et voilà comment avoir un mètre quatre-vingt et quatre vingt cinq kilos sur soi.
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptySam 5 Jan - 13:16


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▽ If we'd go again all the way from the start, I would try to change.
« Faut bien que je le sois pour porter des indiennes trop curieuses ! » Ca pour être curieuse, je l’étais. Mon pire défaut je crois bien ! Enfin, défaut que si je n’aurai pas eu, je n’aurais jamais rencontré John. C’était bien ma curiosité qui m’avait poussé, ce jour là, à le suivre dans la forêt, intriguée de voir des Blancs sur nos terres. Alors, oui, j’étais curieuse et fière de l’être, car parfois ma curiosité me permettait d’accéder au bonheur. « Garder ma main ? Impossible ! Il me la faut pour écrire, me laver, conduire ou encore, avoir un équilibre pour ensuite... », phrase qui s’enchaîna avec un nouveau baiser de sa part. Celui-ci, je ne l’avais vraiment pas vu arriver, mais j’eus tout de même le réflexe de clore mes yeux à l’instant où ses lèvres touchèrent les miennes, simple réflexe. Et puis, quand il se recula finalement, un sourire niais s’afficha sur mon visage, et je gardais les yeux fermer avant de me rallonger. Cette fois-ci, pas de fuite de sa part, il restait bel et bien là, avec moi. Et il n’avait pas intérêt à se bouger de si tôt !

« Tu sais, Thomas m'avait déjà vomi dessus pendant le voyage jusqu'en Virginie et ce n'était pas le premier ! » Pourquoi fallait-il toujours que je me représente les images dans ma tête ? Même si imaginer le pauvre et frêle Thomas malade comme un chien m’amusait, l’imaginer jeter tout ce qu’il avait dans la pauvre sur ce pauvre John me décocha une petite grimace. Je n’osais même pas imaginer les conditions dans lesquelles ils voyageaient ! Et pourtant, John avait fait de ces voyages une véritable passion, comme quoi… Encore un point qui nous séparait. Si lui adorait par-dessus tout parcourir le monde, découvrir de nouvelle chose, bouger quoi ! Moi je ne désirais qu’une chose : revenir sur ma terre. Tout mes repères s’y trouvés, toute mon histoire, mon passé. Mais pas mon avenir, évidemment. Voilà aussi la principale raison qui avait fait que je n’avais pas désiré repartir avec lui, en Angleterre. Je ne voulais plus quitter ma terre et ma tribu, la première séparation ayant été si difficile. Certes, j’aurai adoré découvrir le monde, rencontrer toutes ces personnes et apprendre leur culture, leur tradition, voir comment eux évolués. Mais je n’y pouvais rien, qu’importe où j’étais, je ne pensais qu’à ma forêt de Virginie. Qu’importe l’endroit où marchaient mes pieds, mon cœur était resté là-bas. Malgré tout, je m’étais habituée à cette nouvelle vie, dans cette ville si différente de Londres à l’époque où j’y avais mis les pieds même. Mes premières semaines ici avaient été un carnage, et plusieurs fois j’avais failli me faire percuter par un véhicule. Heureusement, j’avais très vite trouvé des personnes un peu plus débrouillard et j’avais réussi à rester en vie ! Une pauvre indienne en ville quoi, imaginez un peu la scène.
Étant partie loin dans mes pensées, je n’avais pas eu l’occasion de répondre à John, qu’il prit de nouveau la parole. « Mais.. Tu ne devrais pas me menacer... » Je n’eus alors le temps de voir arriver les choses qu’il était déjà contre moi, m’écrasant de toute sa force. Je lançais alors un petit cri, entre l’amusement et l’agonie. J’aurai voulu dire que je capitulais, mais bizarrement, je ne voulais pas qu’il bouge. Enfin, peut-être juste un peu se relever pour que mon cœur rebatte à nouveau. « Ok ok mon p’tit musclor, je laisse tomber alors laisse moi respirer. », dis-je dans un rire, tout en plaçant mes mains sur ses épaules pour le faire se relever légèrement, tout en lui faisant comprendre que je désirais qu’il reste ainsi. Je le regardais alors, toujours sourire amusé aux lèvres, et soupirais un petit « Ah toi, j’te jure… ».

Nous étions si proches l’un de l’autre. Et mes yeux ne cessèrent de regarder un coup son regard, un coup ses lèvres. Alors, rapidement, je passais mes mains sur ses joues, et à mon tour l’embrassa sans réfléchir au geste. Pourquoi devrais-je hésiter maintenant ? Si encore en début d’après-midi je doutais que l’on puisse tout recommencer, à présent qu’il était au dessus de moi, je n’en avais plus aucun doute. Mes lèvres quittant les siennes, je rouvris lentement mes yeux pour les plonger dans les siens, et puis mon sourire d’enfant me trahit. « Hmm… », soufflais-je de manière énigmatique tout en passant ma langue sur ma lèvre inférieur. Puis, je fermais à nouveau mes yeux et l’embrassa de plus belle. J’y avais re gouté, je ne pouvais plus m’en passer. C’était tellement agréable. Non, bien plus que ça ! C’était…. renh, quels mots utiliser pour décrire ce que je ressentais dans ces moments précis ? C’était comme se dire que le bonheur ne se trouvait que là, au creux de ces lèvres, qu’il n’y avait pas meilleur endroit au monde. Que c’était comme trouver son petit paradis à soi. Sur cette comparaison, je lâchais de nouveau un sourire, avant de quitter tristement les lèvres de John. Je fis alors glisser mon index sur sa joue pour finalement le placer sur sa bouche, le tapotant dessus et faisant mine de réfléchir. « De la guimauve… Ouais, c’est ça le goût… , dis-je à voix basse, comme si je me parlais à moi-même. Tes lèvres ont le goût de la guimauve. », finissais-je par lui avouer, avec mes yeux d’enfants fière de sa découverte. Je ne savais pas si j’avais conclus ça sur le coup de la fin, ou si ses lèvres avaient réellement ce goût particulier, mais cela m’amusait à me faire rire comme une petite idiote. Comme toujours quoi.

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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyDim 6 Jan - 3:29

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e n'arrivais pas à y croire. Cette jeune demoiselle, celle qui faisait chavirer mon cœur depuis plusieurs années se trouvait chez moi. Il n'y a même pas deux semaines, je me disais qu'elle vivait heureuse avec les siens et auprès de celui qu'elle avait choisi. Je voulais essayer de rattraper le temps perdu. Pouvoir la contempler pendant des heures car son visage n'avait été qu'une image fictive un trop long moment. Mémoriser chaque détail comme si je devais le reproduire par la suite sur une toile et l'accrocher dans mon cœur pour toujours. Un silence agréable s'installait entre nous. Nous pouvions enfin montrer notre affection par seulement des petits gestes que tout le monde pourrait demander si c'était la personne qu'on appréciait le plus en face. Le plus beau moment fut qu'elle m'embrassa à son tour, sans rien que je puisse lui demander. Le premier baiser venant d'elle et, il semblait si naturel et sans mensonge. Je ne souhaitais que cela, savoir qu'il y avait peut-être encore une étincelle venant d'elle. Nous étions si près, je ne voulais pas m'éloigner mais rester à ces cotés, à quelques centimètres de son visage pour sentir son souffle et me rassurer de sa présence.

Quand elle déplaça son doigt sur ma bouche, je lui fis une tête énigmatique mais toujours avec un sourire. Que faisait-elle ? Un jeu ? Cela ne serait pas étonnant venant de sa part ! C'est alors qu'elle me dit que mes lèvres avaient le goût d'une sucrerie immonde. Enfin, je ne mangeais pas ce genre de bêtises pour les enfants donc je ne pouvais qu'être indifférent au goût. Je ris quelques secondes à sa remarque assez amusante en continuant d'observer ce visage enfantin qui m'avait tant manqué. De la guimauve ? Tu as trop fumé de Camulet ! J'avais plus l'habitude d'entendre des critiques du genre « tu pues trop la cigarette ! » qu'une sucrerie sentant normalement bon. Refais l'expérience. Je caressai sa joue avant de poser mes deux mains en haut de sa tête pour pouvoir allonger plus facilement mon corps et donc d'être le plus près possible du sien. Je ne pouvais plus m'arrêter. J'avais ce besoin de lui montrer à quel point je tenais à elle. Mes lèvres ne voulais pas laisser passer un centimètre de son cou, chaque partie de son visage aussi m'appelait. Tout en fait m’obsédait à présent mais, il ne fallait pas trop en demander. Je devais me retenir bordel. Je me contentai alors de l'embrasser à nouveau sur ses lèvres mais avec un peu plus d'ardeur qu'il y a quelques minutes.

C'est alors que je sentis la poche arrière de mon pantalon vibrer. C'était mon téléphone.. Qui pouvait bien appeler à vingt heure du soir ? On mangeait normalement ou sinon on ne passerait tout simplement pas son temps à téléphoner ! Je regardai alors qui c'était avec sans grande surprise en fait je voyais que c'était le travail. Sachant que je partais la semaine prochaine pour un sujet, ils voulaient sûrement me demander des informations.
J'suis navré je dois répondre c'est l'assistante de mon patron et comme je pars dans quelques jours pour le boulot.. Enfin je reviens dans deux minutes ! Je déposai un bref baiser sur le front de amour avant de lui chuchoter un Je t'aime.. et partir en direction du bureau.
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyMer 9 Jan - 22:28


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« De la guimauve ? Tu as trop fumé de Camulet ! » Ce qui me décocha immédiatement un rire. C’était pourtant un compliment que je lui avais fait, en comparant ses lèvres à cette friandise. Mais apparemment, lui ne paraissait pas en être vraiment fan. C’est tout moelleux et sucré, et ça rend les lèvres toutes humides. Normal que ça m’ai directement fait penser à cela quand je l’ai embrassé. Mon dieu, je devenais comme Meeko a toujours penser à la bouffe, même dans ce genre de moment ! D’ailleurs, sur cette pensée, mon estomac poussa une discrète plainte, et je regrettais d’avoir sauté mes repas. Bref ! Nos vissages étaient à présents presque collés l’un à l’autre comme jamais, et contrairement à cette après-midi, cela ne me gênait pas. Je désirais justement qu’il ne le décolle jamais du mien, et qu’il n’y ai plus d’adieu après tous ces gestes d’affection, contrairement à avant. Il ne pouvait plus fuir cette fois-ci, même si de nouveau je ne lui reproche pas d’être parti à l’époque de Virginie puisque je le préférais vivant mais loin de moi, que l’inverse. Non, cette fois-ci nous étions chez lui, dans sa chambre, et je ferais tout pour le garder aussi longtemps que possible à mes côtés. Je voulais tellement rattraper tout ce foutu temps perdu, ces années sans lui, toutes ses minutes que nous aurions pu passer ensemble s’il n’y avait pas eu autant d’obstacle entre nous. Plus d’océans entre nous, plus de blessure qui le force à partir, plus personne pour faire hésiter mon cœur. Enfin…
Ses lèvres ne cessèrent alors pas de rejoindre les miennes, comme si ce geste était devenu une drogue. Et plus nous nous embrassions, moins nous n’éprouvions de gêne. Jamais nous n’avions été si intimes et si entreprenant, et pourtant j’en voulais encore plus. Je le voulais lui, cela m’apparaissait à présent comme une évidence. Ça a toujours été lui, le seul et l’unique, à combler mon cœur, à me faire me sentir bien, à m’aimer de cette manière. Comment avais-je pu en douter ? Et puis, alors qu’enfin John et moi étions coupés du monde et noyés dans nos baisers, son portable vibra. Lorsqu’il décrocha ses lèvres des miennes, je voulus alors lâcher un juron, mais me retins. « J'suis navré je dois répondre c'est l'assistante de mon patron et comme je pars dans quelques jours pour le boulot.. Enfin je reviens dans deux minutes ! » Mouais, ça a intérêt à être hyper important pour qu’il gâche cet instant magique ! Comme pour se faire pardonner, il déposa un tendre petit baiser sur mon front, et me murmura ces trois mots qui m’avaient tellement manqué. « Je t’aime... » Avec ça, il était pardonné de tout ! Puis il partit en direction du couloir, me laissant seule étendue dans le lit, le regard à vrai dire un peu perdu.

Je soupirais donc légèrement, et m’assis sur le bord. « Je t’aime aussi… », dis-je à voix basse, en faisant rouler mes yeux. En fait il avait quand même trouvé un moyen de fuir ! J’vous jure, les hommes. Les pieds balançant dans le vide, mes yeux firent le tour de la chambre. J’étais à présent seule. Dans sa chambre. Son lieu intime. Seule. Avec pleins de choses à fouiller. Seule. À pouvoir trouver peut être quelque chose. Et seule. Sourire malicieux aux lèvres, je bondis du lit et, sur la pointe des pieds, commençais ma fouille le plus discrètement possible. Les étagères, le dessous du lit, la table de chevet, même la commode ! Tout y passa, mais rien de rien. Enfin, rien d’intéressant pour apaiser ma curiosité. Avait-il, en sachant qu’il allait me ramener chez lui, tout rangé et caché soigneusement ? Où étais-je tout simplement trop obstinée à trouver chez lui quelque chose de surprenant ? Quelque chose qui pourrait me choquer, me faire rire, me décevoir… ? Mon dieu, et si, en fouillant de nouveau, je découvrais un truc qui ferait que je ne l’aime plus ? Un si gros truc, tellement choquant et horrible, que tout ce que j’imaginais de lui s’écroulerait !?
Ok, j’étais au summum de la paranoïa là. Je m’apprêtais alors à retourner, toujours de manière discrète, dans le lit, quand mon pied se prit dans quelque chose sous la table de chevet. Jetant un coup d’œil à la porte pour voir si John arriva, je m’agenouillais et attrapais le vêtement dans lequel mon pied c’était coincé. Eh bien, soit John s’était découvert une passion soudaine pour la couleur rose, soit ce maillot ne lui appartenait. Et même si j’aurai souhaité que la réponse soit la première, je compris que ce t-shirt était aussi beaucoup trop petit pour qu’il puisse rentrer dedans. Moi qui avais peur de tomber sur quelque chose qui pourrait me décevoir… Et puis quoi ? Poca, ça n’était qu’un maillot après tout, rien de plus ! Et puis, ça ne me regardait pas, ça m’apprendra à ne plus fouiller ça d’ailleurs ! Je ne pouvais en vouloir à John d’avoir peut-être eu ce genre de relation avec… d’autre. Non, non je ne pouvais vraiment pas le lui reprocher. Ça serait ironique de ma part après tout ! Et puis, cette soirée était trop belle pour que je la gâche en lui reprochant d’avoir voulu tourner la page. Oui, je devais oublier ce foutu maillot rose, et faire comme-ci je n’avais rien vu. Je soufflais donc un grand coup, et tenta de remettre le maillot exactement où il était, avant de doucement me relever et de retirer pour de bon mon regard de lui. Je l’aime. Point. Et ça n’était pas ce vêtement, témoin de la vie qu’il avait pu mener ici, qui allait se mettre entre nous.
Bref, jugeant que John était trop long, je décidais d’aller le rejoindre dans le bureau, les mains croisées derrière mon dos. Comme j’avais pu le voir lors de ma petite visite sur l’épaule de mon blond, son bureau était rempli de feuilles éparpillées un peu partout, de livre par-ci par-là, et lui au milieu de la pièce, toujours occupé au téléphone. Je m’amusais alors à trainer autour de lui et à choper quelques feuilles au hasard pour y mettre encore plus de désordre et l’embêter. Je ne cessais de tourner autour pour finalement me mettre en face de lui, sourire espiègle collé au visage. « Ca va être encore looong ?, dis-je à voix basse, histoire que son interlocuteur à l’autre bout du fil n’entende tout de même pas. Parce que si oui, je m’en vaiiiiiis moi. », m’amusais-je à dire sur le même ton. Et puis, toujours aussi chieuse, je me mis sur la pointe des pieds, plaçant mes mains sur ses épaules pour être un peu plus à sa hauteur, et commençais à l’embrasser dans le cou. Un léger rire enfantin m’échappa, avant que je ne continue à l’embêter avec mes baisers dans le cou. Peut-être qu’ainsi il comprendra qu’il ne faut jamais privilégier ses appels à moi ! Et aussi comprendra-t’il que j’étais toujours, et même plus, aussi chiante qu’avant !

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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyVen 11 Jan - 2:32

Welcome to my life my Virginia
Q
uelle idée de me demander l'organisation du voyage à cette heure ! Je ne partais pas dans un pays dangereux mais seulement en Irlande et ce n'est pas comme si je quittais la ville demain matin, il restait encore plusieurs jours de travail. Je détestais ces moments où ils voulaient me surveiller à la minute près ! Surtout que mes voyages se créaient principalement sur place et non pas derrière un bureau des semaines à l'avance. J'attrapai mes lunettes de vue se trouvant entre deux tas de feuilles pour ensuite chercher les informations souhaitées par la direction. Cependant, où avais-je placé ce fichu emploi du temps fictif crée seulement pour les beaux yeux du boss ? Je pensais lui avoir rendu ce document il y a quelques jours mais apparemment ce n'était pas le cas. Mon bureau demeurait un bordel organisé qu'avec les dossiers qui m'étaient chers. Ici, ce n'était pas le cas alors, il pouvait être au fond d'un tiroir comme aussi à la poubelle.. Je cherchais en vain pendant plusieurs minutes à droite et à gauche tout en écoutant le monologue de l’assistante concernant les taches que j'avais à faire avant le départ. Je vous donnerai ce que vous souhaitez demain après-midi. Amusant d'entendre une simple assistante ordonner de rendre les choses à l'heure. Que je haïssais cette vieille femme croyant avoir tout pouvoir seulement parce qu'elle faisait des heures supplémentaires avec le patron.

Je pensais en avoir terminé avec elle mais non à présent il fallait régler un rendez-vous sur place. La direction me demandait d'aller rencontrer un écrivain de contes connus là-bas mais, je ne pouvais pas me téléporter ! C'est alors que mon indienne entra dans la pièce pour se promener et toucher à mes affaires. Heureusement qu'elle venait d’apparaître car sinon j'aurais commencé à m'énerver contre mon interlocutrice.
J'ai appelé l'historien je ne peux pas déplacer il n'a pas que moi et je ne reste qu'une journée à Galway. Pour me calmer, j'observais Pocahontas faire son tour de la pièce et bien sûr, ces manières me faisaient esquisser un sourire sincère. J'écoutais sans vraiment grande attention quand elle se mit à se rapprocher de moi pour me demander quand j'en avais finis avec le téléphone. Je posai mon index sur sa bouche avant de lui caresser la joue et comme toujours, je contemplai son adorable visage auquel je ne pourrais jamais me passer. Mon travail est de faire un article et donc de l'organiser comme je le souhaite, je n'ai pas besoin de vous pour cela. Dès que mon amour me dit que si elle dérangeait, elle pouvait partir, mon bras libre se plaça sur sa taille pour l'obliger à rester aussi près de moi que possible. Ses baisers m'obligeaient à raccrocher. Comment se concentrer quand la femme qu'on aime nous offre un tel cadeau ? Ils m'avaient tant manqué et aujourd'hui, Pocahontas me donnaient le possibilité de les savourer enfin. Bonne soirée. Je n'écoutais plus depuis un long moment son monologue alors je raccrochai sans attendre sa réponse. Le téléphone restera dans cette pièce jusque demain matin au cas où je recevrais encore des appels du travail. Ce soir, le plus important c'était mon Amérique et uniquement elle.

Tu vas me rendre dingue. C'est alors que je l'attrapai délicatement pour la porter en direction de la chambre. Je ne pouvais pas me retenir de la serrer fort contre moi et de l'embrasser dès que j'en avais l'occasion. Penser que c'était moi qui possédait tous ces privilèges alors que pendant énormément de temps, je croyais que cette chance se trouvait dans les mains d'un autre homme. Je posais cette fois-ci mon indienne sur le matelas sans aucun geste brusque avant de continuer à répondre à mes envies de lui prouver physiquement à quel point je l'aimais. Je serai prêt à tout pour cette jeune demoiselle. Avant de la rencontrer, je riais de ces gens qui me racontaient que le vrai amour menait à faire des choses folles. Je ne voulais pas admettre qu'une seule personne avait le pouvoir de métamorphoser un être. Depuis le premier regard au pied de la cascade, j'ai su que mon caractère et mon avenir seraient toujours liés à Pocahontas. Dans l'ombre ou dans la lumière, elle sera toujours présente en moi. Aimerais-tu.. Aimerais-tu rester cette nuit ? Il commence à faire tard et la ville n'est pas si près que ça.. Le zoo est sur ma route demain.. Ne t'inquiète pas je n'ai pas de pensées suspectes comme hum on vient juste.. Han je me tais. Je me retirai d'au dessus de mon indienne pour me mettre sur le coté et pris un oreiller pour me le poser sur le visage. Bafouiller et s'enfoncer juste en posant une simple question, c'était fait ! Non pas que je ne désirais pas aller plus loin avec elle, au contraire ! Mais ce n'était peut-être pas le moment alors qu'on venait de se retrouver.
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyDim 13 Jan - 21:24


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▽ If we'd go again all the way from the start, I would try to change.
« Bonne soirée. » Et là, j’étais totalement fière de moi. John avait alors enfin lâché son téléphone, même si c’était comme il l’avait dit pour le boulot, pour enfin retourner toute son attention vers moi. « Tu vas me rendre dingue. » C’était le but. Ce soir, c’était lui, et uniquement lui qui devait occuper mes pensées. Ca faisait trop longtemps que je n’avais pas mis mes préoccupations et mes problèmes de côté pour passer un bon moment. Mais avec John, c’était diffèrent, il suffisait que je le regarde pour que tout soucis s’envolent, et ça me faisait un bien fou. J’avais comme besoin de me ressourcer, et être avec lui me permettait de me retrouver moi, ma véritable personne, et non pas celle que je m’étais forcée à créer dans ce monde pour entrer dans leur règle et leur norme.
Il me porta alors de nouveau vers la chambre, toujours avec cette incroyable facilité, et je me retrouvais de nouveau allongée sur le lit et cette fois-ci, couverte de baisers par John. J’étais bien, extrêmement bien, tout simplement. Je n’avais pas à m’interdire d’agir ainsi ou ainsi, je me contentais de faire ce que mon cœur me guidait de faire pour la première fois depuis mon arrivée ici. C’est bête mais c’est comme ça, j’avais passé tout mon temps ici à trouver un moyen de retrouver ce bonheur, cette joie de vivre qui me qualifiait, et là en à peine une soirée j’avais réussi à l’a retrouver grâce à lui. Grâce à ce lien qui nous lié et qui avait su si rapidement se reconstruire malgré les années et les obstacles. Avant de le rencontrer, je n’avais aucune idée de ce que pouvait être l’amour, à vrai dire je pensais ne jamais le connaître puisque je fus vite destinée à me marier avec Kocoum pour le bien de la tribu. Être une princesse n’a vraiment pas que des avantages ! Toutes les filles de la tribu pouvait choisir leur époux, et ainsi se marier par amour, mais pour mon cas, c’était différent puisque mon mari devait devenir le prochain chef de notre tribu. Peut-être aurai-je fini par aimer Kocoum, avec le temps ? Mais je crains que non, il était trop différent de moi et tellement…. Tellement Kocoum quoi. Heureusement que John est arrivé à ce moment de ma vie je dois dire !

Sur cette pensée, je re-concentrais à mon tour mon attention sur lui et me laissais bercer par ses baisers qu’il ne cessait, à mon plus grand plaisir. « Aimerais-tu.. Aimerais-tu rester cette nuit ? Il commence à faire tard et la ville n'est pas si près que ça.. Le zoo est sur ma route demain.. Ne t'inquiète pas je n'ai pas de pensées suspectes comme hum on vient juste.. Han je me tais. » Que de bégayements ! Je ne pus me retenir de rire, franchement, voir John dans un tel état était plus qu’hilarant. Il avait atteint le summum de la gêne, si bien qu’il finit par s’allonger à côté de moi en cachant son visage avec un coussin. Tandis que moi je continuais à rire à ses côtés en plaçant mes mains sur mon visage pour tenter d’arrêter ce presque fou rire. Lui qui était d’habitude si sur de lui, le voir bafouiller et se perdre dans ses paroles de cette manière était une première ! Ça lui donnait un côté tellement chou. J’arrêtais alors finalement de rire pour me tourner vers lui, et lui retirer doucement l’oreiller de la tête, le fixant avec un léger sourire de coin. « John, j’n’ai pas cinq ans, tu n’as pas à être gêné en parlant de ce genre de chose, dis-je sur un ton moqueur, tout en le regardant tendrement, histoire tout de même de lui faire comprendre que je ne voulais en aucun cas rire de lui. Et ça marche, je veux bien rester ici pour la nuit, j’espère que tu ronfles pas ! », affirmais-je tout en lui pinçant le nez, me mettant par la même occasion au dessus de lui. Le fait qu’il est « parlait », ou du moins fait comprendre, qu’il ne désirait le faire ce soir, ce qui dans un sens se comprenait puisque nous venions de nous retrouver, dans tout les sens du terme, me décevait quelque peu. J’étais tellement heureuse d’être là avec lui, et tellement prête à aller pour une fois jusqu’où bout à ses côtés… Mais j’avoue que dans un autre sens , j’n’étais en aucun prête. Non seulement parce que comme il l’avait précisait, c’était tout juste nos retrouvailles, mais aussi parce que je ne l’avais jamais fait. Et dire qu’à la télévision je voyais des filles de ce monde, à peine âgée de seize ans se plaindre qu’elles étaient toujours vierges. Que devais-je en penser, avec mes vingt-trois ans ? Devais-je m’inquiéter de n’être toujours pas passée à l’acte, ou était-ce ce monde qui était trop « ouvert » face à ce genre de chose ?

ANH, mais pourquoi est-ce que je m’embrouilles avec tout ça moi ? Si jusqu’à présent je ne l’aies toujours pas fait, c’est juste parce que je n’avais pas encore trouvé la bonne personne ! Enfin, retrouvé la bonne personne plutôt. Je me rendis alors compte que j’étais restée bien silencieuse après cela, toujours au dessus de John à le fixer. J’esquissais donc un dernier sourire et me levais enfin du lit, lâchant un « Bon… » Je posais alors mes mains sur mes hanches, tapotant du pieds sur le plancher en affichant mon habituelle moue. « C’est pas tout ça, mais moi je meurs de faim ! Donc comme nous n’allons rien faire de plus ce soir, autant s’occuper autrement. » J’avais peut-être été trop directe en disant cela. « Enfin j’veux dire… Ouais bon, t’as compris, bafouillais-je à mon tour, tout en plaquant ma main contre mon front comme pour me punir d’avoir laissé sortir ce que je pensais sur le coup. J’vais à la cuisine. », dis-je finalement avant de vite partir de la chambre pour descendre au rez-de chaussée, toute rouge. Déjà qu’il était gêné d’en parler, voilà que j’enfonçais le couteau dans la plaie ! J’étais vraiment pas fine parfois. olala

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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyMar 15 Jan - 2:33

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ourquoi j'avais à parler de ça aussi ? Stupide et illogique. Je n'avais jamais été aussi gêné sur ce sujet alors que ce n'était pas la première fois qu'avec une femme.. Oui bon on me comprend ! Cela me dérangeait de penser à genre de choses quand il s'agissait de Pocahontas. La différence demeurait ici. Je n'avais jamais aimé à ce point une personne pour pouvoir me dire « je la désire autant que je l'aime ». Mes relations avaient toujours été de l'amusement mis à part peut-être Neve au Mexique.. Arg non je ne dois pas penser à cela ce soir ! Il est interdit de s'écarter d'elle. Elle retirai l'oreiller pour m'annoncer avec un sourire qu'elle acceptait de passer la nuit ici. Je ne répondais pas sur sa remarque concernant les ronflements car, oui cela m'arrivait ! Certes, en général j'avais bien bu avant pour que cela se fasse mais je préfère être prudent. L'âge aggravait sûrement ce défaut comme il est fort possible d'entendre cette remarque le matin par Neve alors que la soirée ne fut pas arrosée. Pourquoi je pense encore à mon amie ? Peut-être parce qu'il n'y avait qu'elle avec qui je passais des nuits entières à discuter régulièrement et que ce soir, j'allais m'endormir auprès d'une autre personne qui me tient à cœur. Ce n'était pas qu'une simple amie mais, celle qui hantait mes pensées. Une personne qui m'est impossible de croire seulement comme une amie. Je l'avais toujours connu dans mes bras, rien d'autre. Je restai allongé quand elle bondit du lit pour m'annoncer sa faim et je ne pus que rire concernant la dernière partie de sa phrase. Nous étions quittes. Je pense qu'il valait mieux ne pas parler de cela ce soir et même pour un petit moment. Non pas que je n'étais pas prêt mais, pour le respect de Pocahontas avant tout. Les traditions anciennes sur les relations physiques m'étaient bien inconnues jusqu'à ce que je la rencontre. Je ne souhaitais pas que ce soit comme avec les autres femmes, une obligation au fond de moi de la rendre heureuse et de produire ce qui fait vraiment une première fois.

J'arrive dans deux minutes..

Je m'assis au bord du lit, observant la pièce sans avoir de but précis. Que se passait-il ? Rêvais-je ? Ces instants existaient dans mon esprit depuis la nuit où le navire se dirigeait vers Londres. La seule différence est que je ne voulais pas me réveiller cette fois. Quand nous nous sommes quittés, je ne savais pas si je devais définir ses illusions comme rêve ou cauchemar. La torture d'imaginer que plus jamais je la porterais dans mes bras sans avant pouvoir contempler son sourire. Cependant, sans ces cauchemars qui me suivaient chaque nuit, aurais-je eu quand même la force de trouver un moyen de la rejoindre en Virginie et qu'ils cessent ? Peu importe. Mon Amérique se trouvait en ce moment même chez moi et d'ailleurs, il faudrait que j'aille la rejoindre avant que sa curiosité lui fasse faire de belles découvertes sur ma façon de manger.

Descendant les escaliers deux par deux comme j'en avais l'habitude, un accueil chaleureux de Jamy près de la porte qui attendait sûrement sa nourriture du soir. J'arrivai dans la cuisine et sans aucune surprise, Pocahontas cherchait de la nourriture. Je riais seul un instant en me disant que mon frigo devait être pratiquement vide comme je pars dans quelques jours alors il va falloir se battre pour trouver quelque chose. Je m'occupais de remplir sa gamelle avant d'ouvrir le frigo et remarquer comme j'en avais peur, qu'il était presque vide.
Hum.. Des bières, du jambon périmé, le reste des pâtes de ce midi.. Je fermais ensuite pour me diriger vers les placards dans l'espoir de trouver mieux. Une boite de sachets de riz.. Vide. Des haricots, des haricots ? J'étais de bonne humeur quand j'ai acheté ça ! Hum.. Des céréales.. Rien de plus, rien de moins. En partant aussi dans peu de temps, il serait idiot de prévoir les courses en grand. De toute façon, je ne mangeais pas tant que cela alors je n'achetais jamais en quantité. Je vais commander des pizzas c'est plus judicieux ! Ils ne sont pas loin donc on n'attendra pas une heure. Dis moi ce que tu préfères, je passe commande et en attendant tu peux aller dans le salon.. Faire ce que tu veux. Je m'approchais de mon indienne et commençais à caresser sa joue. Je ne souhaitais plus me retrouver loin d'elle. Est-ce que cela te convient ?
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyMer 16 Jan - 16:54


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▽ If we'd go again all the way from the start, I would try to change.
La cuisine et moi, comment dire ? Nous ne vivions pas tellement une grande et belle histoire d’amour. À vrai dire, j’avais pour habitude de ne faire que des conserves ou des congelés de légumes. J’n’étais pas vraiment végétarienne, mais on va dire que j’appréciais très peu la viande, surtout dans ce monde. Loin d’être fraîche ! Bref, j’avais eu beau fouiller un peu partout dans sa cuisine, j’n’avais rien trouvé de convenable pour préparer quoique ce soit. Et moi qui mourrais de faim ! Je voulus alors tout retourner, contrôlée par cette immense envie de manger, mais je sus me retenir et fis un nouveau tour de la cuisine.
« Hum.. Des bières, du jambon périmé, le reste des pâtes de ce midi.. » Je tressaillis alors au son de sa voix, ne l’ayant pas vu arriver. Je le vis alors fermer désespérément le frigo, avant de s’attaquer aux placards et de retrouver cette même mine. « Une boite de sachets de riz.. Vide. Des haricots, des haricots ? J'étais de bonne humeur quand j'ai acheté ça ! Hum.. Des céréales.. » Le voir lui aussi galérer à trouver quoique ce soit à manger me fit rire, même si mon estomac n’était pas de même humeur. Il devait bien avoir un moyen de cuisiner quelque chose avec tout ceci ! Et il était hors de question que j’aille me coucher le ventre vide ! Déjà qu’il ne cessait de grogner, je n’ose imaginer dans quel état il sera demain si je ne mets rien sous la dent… « Je vais commander des pizzas c'est plus judicieux ! Ils ne sont pas loin donc on n'attendra pas une heure. Dis moi ce que tu préfères, je passe commande et en attendant tu peux aller dans le salon.. Faire ce que tu veux. », m’affirma-t’il tout en passant tendrement sa main sur ma joue, malgré la mine contrariée que j’affichais, me demandant par la même occasion si cela me convenait. Commander des pizzas toutes dégueulasses, toute huileuse, sans goûts et chères pour ce qu’elles étaient ? Non non non ! Je détestais commander de la nourriture, encore moins dans ce genre de situation. Après tout, nous avions le temps non ? Toute la nuit même. Et surtout, je ne me voyais pas attendre sans rien faire dans le salon, moi qui aimais toujours bouger. Rester en place à ne rien faire n’était pas mon point fort. J’attrapais alors la main de John sur ma joue et l’a serra fort, lui caressant le dessus avec mon pouce comme j’avais à présent l’habitude de faire. « C’est donc ça, notre premier dîner en tête à tête ?, dis-je en riant. J’ai ho-rreur de la nourriture commandée, encore plus des pizzas ! Non, je vais bien réussir à préparer quelque chose ne t’inquiètes pas. », précisais-je finalement avant de lâcher la main de John pour attacher mes cheveux en une queue haute grâce à mes élastiques que je gardais toujours sur mon poignet.

Bien. Nous avions du jambon périmée, et le reste de pâte ! À ma connaissance, si on faisait chauffer le jambon, même périmé il passait… Il suffisait juste qu’il ai un fond de crème fraîche et un peu d’huile, et je pourrais faire un petit plat basique. Prête à me mettre à la tâche, je fis alors craquer mes doigts, et fouilla dans le bas de son frigo pour attraper la crème fraîche, dont il ne restait à peine une cuillère à soupe. Ça ferait l’affaire. Prenant par la même occasion l’huile, je déposais le tout sur la table, et regardais John, satisfaite de moi pour le moment. « Tu vois, il y a toujours moyen de préparer quelque chose, même avec le strict minimum. », le taquinais-je avant de m’avancer vers lui et de l’embrasser. À présent que nous étions redevenus proche, ce genre de geste devenait automatique. Posant alors mes mains sur ses joues, je le fixais quelques instants, avant de retourner prendre les ingrédients à contre cœur. La faim se faisait de plus en plus intense, alors si John ne voulait pas finir en maïs géant, je devais absolument préparer ce foutu plat !
Commençant d’une main débutante à faire bouillir l’eau, je chantonnais en même temps sans vraiment faire attention. Ajoutant l’huile, puis les pâtes, je m’en sortais pas mal, même si préparer des pâtes resté la base de la base. Je vis alors John se rapprocher de moi, et comme toujours une bêtise me vint en tête. J’attrapais alors rapidement le pot de crème fraîche, y plongeais mon doigt et en mis sur le nez de John, riant de ma connerie par la même occasion. Je gâchais certes le peu de crème qu’il y avait, mais la tête de John en valait la peine ! Je l’entendais déjà me dire de ne pas jouer avec de la nourriture, mais c’était plus fort que moi, mon esprit enfantin me guidait toujours vers des gamineries de ce genre, qui me faisait rire bêtement comme jamais. Toujours le sourire moqueur au visage, je me mis face à lui et fit doucement glisser mon doigt sur son nez rempli de crème pour en prendre légèrement, avant de porter mon doigt à mes lèvres pour la goûter. « Hmm… ça va, elle, elle n’est pas périmée. », avant de rire de nouveau et de me remettre à la cuisson des pâtes, laissant John avec son nez fourré à la crème fraîche. flyheart

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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptySam 26 Jan - 8:46

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as une seule seconde je me serais dit que j'aurais de la visite ce soir. Tous mes proches savent que je parte dans peu de jours donc ils étaient plutôt du genre a me laisser me préparer. La seule personne qui pourrait venir par surprise serait Neve mais, la nourriture ne demeurait jamais un problème. On se disait qu'on avait connu pire pendant nos voyages quand on devait se nourrir du stricte nécessaire ou le plus malheureux de tous, manger les plats locaux. Je crois bien d'ailleurs que c'est ça qui me dégoûte de la nourriture. Quand je voyage, je ne prends jamais les pays ou la gastronomie est réputée excellente donc on a surtout l'habitude de se retenir qu'autre chose. Sinon, bien sur que je vais essayer de me rattraper pour une soirée moins.. Monotone quand je rentrerai de mon séjour en Irlande. C'est alors que je venais de me rendre compte, pendant une semaine je n'allais pas voir mon indienne.. Rha et voilà les inconvénients du métier qui débarquent ! Je me moquais des collègues quand ils me racontaient qu'ils avaient eu une scène de ménage en rentrant car ils n'étaient pas assez présent pour leur famille. Je répliquais quelque chose comme "c'est un choix qu'il fallait prendre en compte au début". Je me suis toujours dit que je ne finirai jamais avec quelqu'un dans ce monde ou du moins, une relation sérieuse donc les absence a répétition ne me dérangeait pas. En plus, les moyens technologiques nous étaient bénéfique pour avoir des nouvelles facilement avec les personnes qu'on apprécie. Si on avait eu ça dans mon monde, bien des choses auraient été différentes.

Je ferai mieux la prochaine fois pour le repas.

Elle commença alors a faire ses petites affaires dans la cuisine a la recherche de solution pour le dîner. Je m'assis pour la regarder en souriant de la voir toute contente. Faire a manger demeurait bien l'activité que je redoutais le plus dans la journée. Je n'étais pas un homme pour rien. Déjà dans mon monde je n'avais jamais fait la nourriture de ma vie alors cela n'allait pas être dans celui ci que tout changerait. Je peux m'occuper de chasser mais la préparation derrière il ne fallait pas compter sur moi. Elle s'approchait de moi pour l'embrasser brièvement avant de se remettre au travail. Je continuais a l'observer faire. Pour le bien du repas il n'était pas préférable que je m'approche de tout cela ! Si ce matin en me levant je saurais que Pocahontas se trouverait dans la cuisine.. Je n'y croyais toujours pas a vrai dire. Une surprise bien sympathique avant mon départ.

Je n'en doute pas qu'on peut préparer quelque chose mais, est ce que cela ne va pas mener a une intoxication alimentaire ?

Je me levai de la chaise pour me diriger vers mon indienne qui continuait je ne sais quel tour de magie avec la nourriture de la cuisine. C'est quand je m'apprêtais a l'embrasser dans le cou avec une certaine envie de la remercier de s'occuper de cette tâche qu'elle se retourna pour mettre de la crème fraîche sur le nez. Je fermais les yeux quelques secondes avant de les rouvrir et regarder le plafond.

Elle a osé.
.

Je me retenais de rire surtout en voyant l'amusement de mon Amérique a faire ce genre de blague. En général, je restai assez fermé avec ces blagues comme j'étais assez froid et de toute façon le plus souvent, la journée j'étais trop fatigué de la soirée de la veille pour réagir. Il n'y avait que certaines personnes qui pourraient me faire sourire avec ce genre de choses et évidemment, Pocahontas en faisait parti. C'était peut être l'âge qui commençait a m'atteindre. Un vieux grincheux qui aura bientôt trente ans et qui se retenait quand la situation devenait trop puéril. Ou seulement l'humeur ? Je n'avais pas encore trouvé la réponse. Je lui fis une grimace quand elle me répondit que la crème était toujours bonne. Je réfléchissais a ce que je pourrais bien lui faire en retour.. Je n'allais pas me laisser faire voyons ! En voyant mon chien qui dégustait ses croquettes près du frigo, j'eus une idée ! Je vérifiais que Pocahontas restait concentrée dans la cuisine pour aller vers l'animal et le caresser. Discrètement, je passais l'autre main dans sa gamelle d'eau que j'avais change avant de partir pour le zoo. Je savais qu'il n'avait pas bu énormément et de toute façon, mon indienne n'était pas a cela près avec les animaux. Je me redressai pour me diriger tranquillement vers elle pour poser ma main qui ne contenait aucun liquide sur sa taille avant de l'embrasser dans le cou. Pour l'instant, rien n'était suspect sauf si le fait de lui montrer que je l'aimais énormément l'était. Ensuite, je glissai l'autre main sous son haut sur son ventre en assistant bien pour répandre de l'eau sur toute la peau qui était a ma portée.

Oups..


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Dernière édition par John H. Smith le Mer 3 Avr - 14:12, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyDim 3 Fév - 13:14

never let me go.


La cuisine et moi, décidément. Crystal savait bien mieux se débrouiller dans ce domaine ! Heureusement que je vivais avec elle, sinon ça serait tout les jours conserves pour moi. Non merci. Alors oui, peut-être que ce que je faisais là serait immonde, voire indigeste, mais si je ne m'entraînais pas, jamais je ne pourrai m'améliorer ! « Je n'en doute pas qu'on peut préparer quelque chose mais, est ce que cela ne va pas mener a une intoxication alimentaire ? » D'accord, devais-je être vexée de cette petite remarque, ou avait-il tout simplement remarqué à quel point j'étais novice en cuisine ? De mon côté je ne m'inquiétais pas, car j'avais l'estomac assez dur pour avaler n'importe quoi, ancien monde existe. Quant à John je suppose que cela doit être pareil, vu les nombreux voyages très peu agréables qu'il faisait avant. Je m'étais toujours demandé pourquoi il avait choisi de suivre cette route par le passé, lui qui aurait pu rester dans son pays et y faire un travail moins dangereux, et ô combien plus agréable ! J'n'ai jamais compris sa passion de partir aux quatre coins du monde, de voyager. Et dire que même dans ce nouveau monde c'est la voie qu'il a choisi ! De mon côté, je suis toute opposée à lui. J'aurai adoré rester en Virginie, dans ma Forêt, et ne pas découvrir ce Monde. Je suis certes connue comme très curieuse, mais ce genre de découverte ne m'intéresse pas. La seule fois où j'ai du quitter mon peuple, ce fut un désastre, et je gardais un souvenir plutôt mauvais de l'Angleterre. Perdue, vue comme une enfant sauvage, incomprise et emprisonnée. Merci bien, mais j'espère ne plus revivre ce genre d'expérience ! Et surtout, la fin de mon voyage s'était accompagné par la fin officielle, si j'ose dire, entre John et moi. 'Faut toujours que j'y repense, c'est décidément plus fort que moi !

Fière de ma petite blague avec la crème, je continuai la préparation, riant de la grimace de John face à mon caractère enfantin. Trop concentrée sur ce que je faisais, ne voulant pas rendre malade mon cobaye, je ne voyais pas la vengeance de ce dernier venir. Il revint alors derrière moi, une main sur la taille et ses lèvres recouvrant ma nuque. J'adorais juste quand il faisait cela, les frissons que je ressentais, mon cœur palpitant, et ce sourire niais qui s'affichait sans cesse sur mon visage. J'aurai voulu me retourner pour l'embrasser, et lui montrer à mon tour quelques marques de tendresse, mais la nourriture passait avant tout ! Oh, je croirais entendre Meeko décidément... Pendant une fraction de seconde, je ressentis de plus vaste frisson lorsque je sentis sa main sous mon haut, frisson remplacé très vite par toute l'eau qu'il répandit sur mon ventre. Par réflexe à la froideur du liquide, je poussais un léger cri, tout en lâchant la casserole remplies de pâtes qui vint finalement s'écraser au sol. La bouche entièrement ouverte, l'air offusqué, je relevais doucement ma tête vers John. J'aurai dû me douter qu'il n'allait en rester là ! Non seulement j'étais désagréablement trempée du haut, mais le repas était finalement gâché. Je devais trouver une vengeance, hors de question de lui laisser le mot de la fin !
Le sourire puéril revenant finalement, rehaussais un sourcil perplexe en sa direction. « Tu veux jouer à ça avec moi, t'es sur ? », lui disais-je en hochant légèrement la tête du haut vers le bas, suivit par de petits « D'accord d'accord on va jouer. », et de mon regard qui cherchait quelque chose à lui jeter dessus autour de moi.

Et la casserole de pâte m'apparut comme une évidence. Me dépêchant alors de l'a ramasser, je m'approchais de mon cher John et, rapidement, retournais le contenu au dessus de sa tête. Le repas était pour de bon gâché, certes, mais il avait bien servi pour ma vengeance. Mon air vengeur s'était finalement changé pour laisser place à un fou rire, face à la tête de John trempée et remplis de pâtes. Face à lui, j'attrapais alors un morceau de pâte sur sa joue et répliquais à mon tour un « Oupssss. » Rire ainsi me faisait tellement de bien, moi qui m'était tant renfermée depuis mon arrivée dans ce monde. Être avec John, c'était comme être dans une bulle, loin de tout, et c'était comme si je me retrouvais moi-même, la jeune femme d'avant qui se fichait bien de tout, et non pas celle qui devait suivre le rythme de ce nouveau monde, machinalement et de manière si stricte.

Je l'embrassais alors, ne pouvant plus me passer de ce geste quelque soit la situation, et continuais de contempler ma belle vengeance. « Bon, je crois qu'on va finalement se résoudre à commander des pizzas en effet. »

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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyMer 3 Avr - 14:13

Welcome to my life my Virginia
C
omment ne pas rire de ces petites menaces ? Cette façon de me fixer du haut vers le bas ne put qu'avoir cette conséquence. Mon mètre quatre-vingt cinq face à elle semblait bien plus « effrayant » même si Pocahontas se trouvait bien dans la normale des jeunes filles. Quoique.. Un peu trop grande à mon goût surtout quand on sait tous les atouts sportifs qu'elle possède par rapport à énormément de femmes. Je me souviens bien de la petite course dans les bois quand elle désirait s'enfuir par la rivière.. Il fallait suivre ! Certes, handicap de l'équipement d'autrefois mais, une grande rapidité pour sa part. Je me mordillais la lèvre en l'observant chercher une attaque, je sentais la nourriture venir de loin mais bon, je préférais me laisser faire pour cette fois-ci. Bon il est vrai que l'eau chaude des pâtes n'avaient pas une si bonne odeur mais on s'en rend compte seulement quand on en a sur soi. Une douche sera bien obligatoire soit ce soir ou demain matin. Je venais déjà assez souvent au travail avec l'odeur de l'alcool alors n'allons pas rajouter des pâtes dans cette liste bien désagréable.

Ça manque de sel.

Je retirai les aliments se trouvant sur la tête mais sans me préoccuper du reste comme mon Amérique se mit alors à se rapprocher pour m'embrasser. Ce geste qui semblait m'être le plus beau de tous.. Dès notre première rencontre, je ne désirais que ressentir ses lèvres contre les miennes. Si sauvages et pourtant si obsessionnels. Toutes les autres civilisations avant la sienne m'étaient complètement indifférentes. Piller ou pire encore, de tuer toutes ces âmes sans aucune culpabilité derrière me semble bien impossible aujourd'hui. Pourquoi ? Grâce à elle. Jamais je lui raconterai ces histoires car l'Homme a fait assez de dégât et j'en ai honte d'y avoir participé. Beaucoup d'anecdotes ne sont pas racontés et en aucun cas elles devraient être révélées.. Cette tribu je ne plus où précisément dans l'océan pacifique où le but était d'amener famine dans leur village après les avoir exploités et qu'un jour, un homme avait fait disparaître sa femme pour survivre.. Je ne dois plus penser à tout ceci aujourd'hui. Pocahontas me souriait et j'avais souhaité de la voir ainsi auprès de moi pendant un trop long moment. Son baiser terminé, je l'attrapai alors par la taille avant d'intégrer mes mains dans ses poches arrières. Un visage si rayonnant et enfantin qu'il n'y avait pas de meilleur remède pour me rendre heureux.

Pizza.. En fait, il y en a peut-être dans le congélateur dans l'autre pièce tant que j'y pense ! Ça n'a pas de goût mais c'est mieux que rien.. Je me rattraperai.

Illumination certes mais au moins c'est revenu. Je gardais toujours des choses congelées de ce genre pour mon retour d'un voyage. Tous ces aliments me semblaient bien plastiques avec mon addiction pour le tabac mais, c'est aussi le cas pour tout le monde. Un bref baiser sur son front avant de me précipiter dans l'arrière cuisine.

Tu peux aller dans le salon en attendant j'arrive. Jamy doit avoir des jouets à lui balancer et sinon tu as la bibliothèque ou.. Tout ce que tu veux.

En fouillant dans le congélateur, c'est bien le pire repas qu'on pouvait proposer. Pizza quatre fromages mais où on cherche encore les saveurs depuis sa création. J'installai tout cela dans le four mais c'est alors que je me souvins des propositions données à Pocahontas. Jamy et les livres. J’espérais alors que mon indienne était analphabète car plus de la majorité des œuvres littéraires avaient pour thème la découverte des nouveaux mondes et dont la joie immense des européens dans leurs quêtes du pouvoir vis à vis des indigènes. C'est pas vraiment le bon moment pour mettre un froid concernant les conséquences atroces du rêve occidentale. Terminant de mettre les emballages dans la poubelle pour éviter plus de désordre par la suite, je me dirigeai donc dans le salon.

Alors, à part Meeko, il y a d'autres personnes de ta connaissance ici ?

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J'ai posé bagages ici le : 05/04/2012 Jouant le rôle de : pocaca, la seule et l'unique. Nombre de messages : 4101 On me connait sous le pseudo : BELLA CIAO. (lorenza) Un merci à : clever love (avatar) + endlesslove (sign). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : la mignonne petite hudgens.
MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyJeu 18 Avr - 15:34

never let me go.


Moi trempée, et lui couvert de pâtes, quelle belle paire nous formions ! Mais j'étais tout de même heureuse d'avoir réussi à aller au delà de ma gêne ce soir. Dire que, quand John m'a envoyé ce SMS, j'avais cherché dans ma petite tête une quelconque excuse à lui sortir pour éviter ce rendez-vous. A présent, collait contre lui, je ne regrettais pas de lui avoir répondu « OK ». Qu'est-ce que j'aurai raté en tout cas ! Je ne serais pas là, en train de vivre un pur instant de bonheur. Un moment simple, enfantin même, mais tellement réel. Il suffisait juste qu'il soit là pour que mon bonheur soit comblé. Mes paroles peuvent paraître tellement.. niaise, mais je sais que je suis loin de l'être. J'ai beau avoir l'étoffe d'une fille totalement immature, je reste réaliste. Et surtout dépendante en matière d'amour. Je ne suis en aucun cas ce genre de fille à toujours coller leur petit ami, à les harceler chaque jour, à ne pas se sentir vivre sans, à s'affoler sans n'avoir de nouvelle ce serait-ce qu'une journée.. S'il y a bien une chose que je déteste dans une relation, c'est ce genre d'étouffement, d'emprisonnement vis à vis de l'autre. Moi qui suis tant attachée à ma liberté, ce n'est pas en m'enfermant dans une relation amoureuse que j'allais trouver mon bonheur.
J'aimais John, mais en aucun cas je ne pourrais me permettre de me priver de vivre de mon côté. Et c'est bien pour cela que je recommence à croire à notre histoire, parce qu'il en est de même pour lui. Avec ce que j'ai appris de lui pour ce soir, j'ai compris qu'il aimé partir seul dans ses nombreux voyages pour le boulot. Que lui aussi voulait s'évader avec lui-même. Avant, il avait un projet pour nous deux, c'est vraisemblablement ce qui m'avait effrayé et m'avait fait choisir Rolfe. Mais à présent, il a ses projets, et j'ai les miens, et c'est bien pour cela que je suis heureuse de l'avoir retrouvé.
La soirée s'annonçait parfaite jusqu'à présent, lui qui pourtant m'avait prévenu qu'il avait bien changé. Certes, mais rien ne m'avait pour le moment fait fuir. Quelques cadavres d'alcool par-ci par-là, peut être, mais je ne pouvais lui reprocher d'être parfait, quand moi même je suis loin d'atteindre ce stade. « Pizza.. En fait, il y en a peut-être dans le congélateur dans l'autre pièce tant que j'y pense ! Ça n'a pas de goût mais c'est mieux que rien.. Je me rattraperai. », m'annonça-t'il alors, presque fier d'avoir trouvé finalement de la nourriture dans cette maison. Un rapide mais agréable baiser sur le front, et John partit en chasse dans le congélateur, me proposant d'attendre dans le salon en compagnie de Jamy. Ce que je fis alors, m'installant à mon aise dans l'un de ses fauteuils tout en attrapant au passage un jouet couinant. J'appuyais alors dessus pour amuser Jamy, qui ne cessait de faire des tours sur lui-même pour me faire comprendre qu'il fallait que je le lui lance. Telle l'enfant que j'étais, je m'amusais alors à lui faire des feintes, faisant semblant de le lancer pour qu'il court à l'autre bout de la pièce pour rien. Il en fallait véritablement peu pour m'amuser. Finalement, après deux ou trois coups comme celui-ci, j'envoyais cogner le jouet assez loin pour que Jamy puisse enfin se libérer, et au bout du compte au lieu de me le ramener, il resta dans son coin pour le mâchouiller. Je me devais donc de me trouver une autre occupation, et ce fut alors sur la bibliothèque de John que mon regard s'arrêta. Certes, j'avais encore quelques problèmes de lecture avec cette langue, mais mon entourage prenait soin de me l'apprendre petit à petit, et sans me vanter je mémorisais assez bien. Et puis, curieuse comme je peux l'être, j'adorais apprendre les secrets de ce nouveau langage.
Bref, je me levais donc et attrapais au hasard l'un des plus épais livre de sa collection. Je me réinstallais dans mon fauteuil, posant le livre assez lourd sur l'accoudoir, et commençais à feuilleter les vieilles pages. Sans étonnement de la part de John, il s'agissait d'un livre sur les différentes découvertes du monde durant notre époque. S'il y avait quelques mots qui m'échappaient, je pouvais comprendre de quoi parlait les chapitres grâce aux images fournies, et les cartes explicatives. Domination, il n'y avait que domination qui s'illustrait dans cet ouvrage. Le désir incessant de l'Homme de vouloir toujours contrôler. Trop forte la tentation de prendre le pouvoir, trop belle l'illusion d'être Dieu et de conquérir sans cesse. Conquérir en exterminant les sociétés déjà présentes. C'était plus fort que moi, ce genre d'images ne pouvaient que me révolter. J'avais moi-même connue cela, du moins avait réussi à l'empêcher à deux reprises. Car au fond, je n'ai jamais compris le désir qu'avait l'Homme a toujours vouloir avoir, au détriment de ceux qui avaient déjà tout pour être heureux. Nous ne chassions pas plus que nous ne pouvions manger, nous ne cultivions pas plus de terres que nous n'en avions besoin. Nous nous battions, mais ne faisions pas la guerre. Alors notre seule erreur était d'Être, tout simplement.

Si avant, face à ces pensées et à ces images, j'aurais versé une larme, à présent ce genre de tristesse était remplacée par une haine profonde que je m'étonnais parfois de pouvoir ressentir. J'avais grandi en arrivant dans ce monde, et ma totale immersion en lui n'avait fait qu'agrandir ma haine pour l'Homme. Pour ce qu'il avait fait, nous avait fait. L'Homme était tout simplement détestable, et n'avait rien pour lui. Si tôt qu'il venait de conquérir, il délaissait sa nouvelle Terre pour aller en piller une autre. Encore et encore, et encore même aujourd'hui il ne cesse de vouloir ce qu'il n'a pas.
C'est alors perdue dans mes pensées que je m'aperçus que j'avais agrippé l'une des pages du livre, jusqu'à même la déchirer dans mon poing. Je me réveillais alors de tout cela et me sentais coupable pour le pauvre bouquin de John. C'est même à cet instant qu'il revint me voir, ayant apparemment trouvé quelque chose de comestible à chauffer. Je fermais alors le livre, et le laissa sur mes genoux, levant la tête vers mon blondinet. « Alors, à part Meeko, il y a d'autres personnes de ta connaissance ici ? » Merci de me faire penser à une toute autre chose ! Il est vrai que John avait déjà « revu » Meeko lors du bal, le jeune raton ayant sûrement du lui laisser une bonne impression en s'affichant torse nu dans une soirée telle que celle-ci. Alors je me mis à réfléchir, et c'est sur cette question que je me rendis compte qu'en effet non, mis à part Meeko et Nakoma, je n'avais retrouvé personne.. Enfin mis à part Rolfe, aussi, mais je ne prendrais pas le risque de l'évoquer, il était déjà assez apparu dans nos discussions pour aujourd'hui. C'est alors avec regret que je me rendis compte que je n'avais même pas encore retrouvé la trace de mon précieux Flit, ni même de mon propre père, si lui aussi était tombé dans ce monde..
« Euuh..., eus-je du mal à débuter, toujours légèrement perturbée par les pensées que m'avaient engendré la vue du livre. Non, juste le glouton, et Nakoma.. A vrai dire, maintenant que tu me le dis, j'n'ai rien fait pour le moment pour les retrouver. », avouais-je, assez honteuse de moi-même, recommençant à serrer le maudit livre entre mes doigts au souvenir de mon propre peuple pour qui, jusqu'à alors, je ne m'étais pas inquiété de les retrouver..

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MessageSujet: Re: [Poca&John] Welcome to my life my Virginia [Poca&John] Welcome to my life my Virginia EmptyJeu 8 Aoû - 17:24

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