La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin

Invité

Hobbies, petites manies. Rasputin en a. Il en a même beaucoup. De sa main droite, il viendra vous caresser la joue. De sa main gauche, la moins vertueuse, il vous étranglera. Oh ne vous inquiétez pas de la douleur, vous souffrirez beaucoup certes, mais quelle sera votre joie de voir les yeux de votre bourreau plein de plaisir. Il faut savoir une chose mes chers petits avant de vous jetez dans la gueule du loup, l'homme que je vais vous présenter n'est pas innocent. Il n'est pas gentil... Mais il se montrera sous un jour propice à la relation candide. A une relation saine et indolore. Il montrera un sourire toujours conviviale, toujours bienveillant. Mais regardez ses yeux. Ses yeux noirs. Là vous y verrez la haine, la colère. Nazar déteste les gens. Il se sert de son charisme pour vous appâter avec de sombres promesses avant de vous jeter dans le feu du brasier. Cet homme n'a aucun état d'âme. Aucune morale pourrait même dire certains philosophes. Vous le verrez souvent arborer des costumes hors de prix. Armani, Dolce Gabanna, Vuitton... Des grandes marques pour un grand homme. Il vit entouré de serviteurs. Il vit au grès de ses envies et de son pouvoir. Parce que le pouvoir, le tenir entre ses mains, il adore ça. La puissance est droguante. Il aime être enfermé chez lui, dans une pièce sombre, sans lumière. Une pièce où il entreprend ses plus ténébreux desseins. Tic tac. Tic tac. Tic tac.... Boum... Boum. Le bruit de l'explosion est jouissant. Il pourrait même se mettre à sautiller de joie et applaudir. Oui, il est très fier de lui. Il est très fier des meurtres en masse qu'il commet. Une petite bombe dans un centre commercial (là où se réunissent toutes les petites pimbêches) et des vies innocentes parties, envolés en fumée. Lui, il regarde son oeuvre d'art, un café dans la main dans le bar d'à côté. Et il repart, un sourire heureux, joyeux sur ses lèvres corrompus. Lors de ses crises de colère, cependant, ce sera un Nazar fou de rage que vous risqueriez de croiser. Des yeux sombres, voilés par la colère ressenti. La belle villa alors, ne sera plus qu'un chaos indescriptible. Carnage. Des morceaux de verre, des peintures brisés, mutilées. C'est ça manière de se calmer. Les femmes, leurs corps sont une source de joie pour notre beau ténébreux. Séducteur, l'homme aime les défis. Il a d'ailleurs l'habitude de jouer au casino, dépensant sans compter. Il traîne dans les milieux branchés, guettant de nouvelles proies au vu de nombreux plaisirs à venir. Il n'aime pas que tout lui revienne facilement. Cela n'a aucun intérêt. La nuit, il rôde. De temps en temps comme des gens faisant leur shopping en fin d'après-midi, il enlève des jeunes filles inconscientes de la vie. Les séquestrant, il s'amuse avec elles avant de les relâcher. Le plus amusant cela vient après. Lorsque les petites misses croient en la justice. Malheureusement, la justice.... c'est lui.
Souvenez vous, vous le verrez apparaître, innocent, plein de bons sentiments. Cela est une ruse. L'homme essaiera de vous approcher, d'apprendre vos secrets avant de vous faire souffrir. Vous ne le verrez pas, vous croirez que c'est un signe du destin. La patience est la vertu des gens vengeurs. Et Nazar est pour le moins... assez patient.

Nazar I. Rasputin

The Vilains are back ⊹ feat James Franco

Depuis mon arrivé à Fantasia Hill, je m'appelle Nazar. nom dur pour un homme de charisme. Son deuxième prénom Ivan. Deux noms russes pour qu'il n'oublie jamais d'où il vient., mais en réalité je viens d'un autre monde, un monde magique, là bas on m'appelait Rasputin. Vous devez surement me connaitre, avez vous déjà entendu parler de Anastasia, cette enfant aux yeux étincelants qui a osé le défier ? ? De toute manière, je vais vous parler un peu de moi, j'ai 32 ans, on dit souvent que je suis rancunier

manipulateur

insensible

séducteur

charismatique

maniéré

sadique

ayant le sens de l'humour noir

capricieux

ambitieux

franc mais avec une petite touche d'ironie dans sa voix. Tout est bien pour faire du mal aux autres

égoïste

légèrement narcissique

faux semblant

très intelligent

extrêmement patient. Vous l'aurez peut-être compris, cet homme est dangereux. Actuellement, je suis Maire et Juge. Il cumule la fonction politique et judiciaire, car c'est de ces métiers qu'il peut contrôler, j'aime beaucoup le pouvoir, toujours plus et toujours loin et les explosions, celle-ci est sa deuxième passion qui lui prend pas mal de temps. Une oeuvre d'art à part entière.. Oh et pour les petits curieux, je suis Ceci ne vous regarde point mes chers.

Un bruit sonore, sourd dans une énorme maison. Le tic-tac encore et encore n’arrête pas. Profonde litanie faite de mécanique. Le lieu semble vide. Aucuns bruits alentour. Seul le tic-tac… tic. Tac. Et soudain, le vent se lève. Les pages se tournent. Les vases explosent. Les tasses. Et un couteau… énorme objet de boucher vient s’enfoncer dans le mur. Un mur jaune. La couleur du soleil étincelante. Il ne sait pas pourquoi il a fait peindre cette pièce en jaune. Peut-être une envie passagère. Mais l’envie est partie à présent. Je la déteste. Je la déteste. Il me faudrait une hache, un sabre… Je la fendrai en deux. Un couteau ne sera pas assez puissant…. « J’EN AI ASSEZ ! ASSEZ ! ». Les pensées ne suffisent plus. Ce cri, il est parti tout seul. Une prière silencieuse adressée à un dieu auquel l’homme ne croit pas. Il l’avait cherché. Il l’avait trouvé. Cette fillette maintenant devenue grande. Presqu’une jeune femme. Ses cheveux flottant au vent. Une sainte dans une rue remplie de ces gens qui ne regardaient même pas où ils marchaient dans leur fil de leur destin. Cette fillette, c’est celle qui a détruit ton ancienne vie. Anastasia. Les souvenirs lui tombent dessus. Des visages. Des voix qu’il aimerait étrangères. Il se pose sur le canapé. Son costume fait sur mesure vient épouser ses formes. Puis, de sa main délicate, il passe en revue les objets posés sur sa table basse. La villa respire le luxe, l’argent. Il est comme ça. Plus c’est cher, plus il veut. Puis, il prend une cigarette. Avec sa main libre, il allume la flamme. Légère, tranquille. La fumée envahie l’espace. Il aime. Il aime cette fumée, cette explosion. En face, les baies vitrées lui font face. La nuit, l’obscurité. Les étoiles, petites choses étincelantes éclaires les âmes errantes. Il va pouvoir penser, retourner dans cette ancienne vie tant détestée. Il le faut.

La vie te souriait à cette époque-là. Une vie de château. La Russie était majestueuse, comme une femme souriante, bienveillante. Elle était gouvernée par un Tsar. Un père de famille aimant, entouré de ses enfants. De sa mère. Ils s’aimaient énormément et tu pouvais voir cet amour dans leurs yeux. Un amour indestructible que rien ne pourrait séparer. Un rictus franchissait alors tes lèvres lorsque le père de tous ces hommes te demandait conseil. Parce que c’était ça ton métier. Un homme d’honneur, de parole tu devais être. Un homme en qui toute personne a confiance. Tu étais conseillé, premier ministre. Le pouvoir, cette petite boule de lumière, tu la tenais entre tes longs doigts crochus. Ta longue barbe blanche et tes yeux verts ne laissaient pas place au doute. Tu n’avais pas un physique avantageux. Tu étais laid. Mais le Tsar t’avait choisi et pas un autre. Grisant. Tu vagabondais parmi une multitude de serviteurs, juste là, pour tes désirs. Tu en profitais. Rien n’était plus beau alors que ces visages, prêts à te servir. Il t’arrivait, parfois, de partir dans des fous rires. Il t’arrivait de sautiller rasant les murs de tes doigts. Tune montrais pas ton visage. Le vrai visage. Une face morne, ténébreuse. Une face perverse. Il t’en fallait plus… toujours plus. Jusqu’au jour où… Jusqu’au jour où le Tsar décida de se débarrasser de toi. Comme une vulgaire chaussette qu’on laisserait à l’agonie dans un placard.

La cigarette est terminée. Terminée la fumée. Terminée la cour des rois. Terminés les vêtements de luxe. Il a été déchu. L’homme a besoin de faire quelque chose. Il marche comme un lion en cage. La maison ne suffit plus pour maintenir sa colère grandissante. Ses yeux s’agrandissent. Ses mains se tordent. Il faut qu’il détruise. Mais, jetant un coup d’œil, il voit que tous les vases, les objets sont vains. Détruits.

Tu as mis du temps avant de rebondir. Tu as mis du temps avant de te dire que rien n’était vain. Qu’il fallait simplement laisser de côté. Tu n’avais plus de raison. Tu avais perdu ton pouvoir. La capacité à diriger les gens. Tu avais perdu ta raison de vivre. De tes yeux gonflés par l’ivresse de la bière, tu voyais cette famille à la tête de l’immensité. Ils ne le méritaient pas. Qu’avaient-ils fait eux ? Savaient-ils diriger, régner, réglementer ? Non. Tu étais le plus apte à être à la tête de ce cher pays tant aimé. Or, tes mains étaient maintenant vides. Partout autour de toi. Tu le sentais ce néant. Il te narguait d’un sourire hypocrite. Il voulait t’attirer à lui. Dans ta chaumière, le bruit des feuillages te reposaient. Les pensées affluaient. Millions de petites bestioles. Elles dansaient autour de toi. Les jours passèrent. Puis les minutes, les secondes. Et l’idée apparut. Comme par magie. Le pouvoir tu l’aurais. De force. Une explosion. Un boum.

Les murs sont étroits, froids. Dans sa poche, un pistolet qu’il garde toujours avec lui. Parce que l’homme est prudent, méfiant. La main caresse ce carrelage uniforme. Il est noir. Tout est noir. Tant mieux, ça évite aux autres personnes de descendre. Personne ne descend dans cet endroit. C’est son antre, son havre. Deux portes. La gauche ou la droite ? L’explosion ou le plaisir de la chaire ? Torturer des pauvres âmes innocentes. La porte s’ouvre.

Tu as prévu ton coup. Dehors, une écharpe rapiécé autour de ton cou amaigri, tu patientes. Parce que tu as appris à le faire. Le temps n’est plus rien pour toi. Le temps n’existe plus, envoyé dans des sphères plus profondes. Les gens serrent des mains. Les femmes en robe de soirée et les hommes en costume distingué. Par les hautes fenêtres, tu distingues tes victimes. Ce sont toutes tes victimes, mais la scène que tu vois est abrutissante de niaiserie. La grand-mère offre une boite à musique à cette petite fille que tu as tant détestée. Tu le sens n’est-ce pas ? Les prémices, le début. Et les bouts de verres éclatent. La panique envahie les invités, la famille royale. Tu pars dans un fou rire énorme. Une hystérie. Tu l’as eu ta vengeance. Tu en es très fier. Tu comptes déjà plusieurs morts. Plusieurs corps allongés. Ils ne bougent plus ces insectes. Tant mieux. Tu te fonds dans la nuit profonde. L’obscurité t’avale dans sa gueule béante.

Les fillettes sont là. Il ne les voit pas. Il ne veut pas les voir pour l’instant. Il sait pertinemment que ces âmes fragiles se cachent. Elles rasent les murs de peur qu’il s’intéresse de trop près à l’une d’entre elles. Rousses. Brunes. Blondes. Il ne fait pas de différence. Ce qu’il regarde lui, c’est l’innocence. La détruire, l’écarteler pour ensuite les jeter. Il siffle l’homme. Il est en colère. Se plonger dans les souvenirs fait mal. Ça réveille des choses extrêmes. C’est une mélodie funèbre qu’il se met à chantonner tout en prenant des outils blancs. Métallique. La première qui s’approche, qui gémit sera sa victime.

La Russie est dans un sale état après l’attentat commis par un… par une personne. Le Tsar est mort. On lui a fait une cérémonie officielle. La petite Anastasia a disparu. On n’a pas encore retrouvé son corps. Toi, tu souris à la vie. Tu ne vas pas redevenir le gentil conseiller. Tu ne vas plus travailler dans la famille royale. Celle-ci est d’ailleurs dispersée, séparée à jamais. Tu l’espère. Toi, tu as établis ton domicile sous la terre. Tu ne sais plus trop ce que tu es devenu. Mais tu es à moitié mort. Perdre ta tête, un morceau de ton bras droit ne te dérange pas. Tu ne ressens plus la douleur. Tu ne contrôle plus ton corps.

Il la tient entre ses bras. Sa chevelure blonde se soulève pour venir entre les narines du prédateur. Elle est vivante. Sa poitrine se lève doucement. Elle est juste assommée. Son odeur de framboise, de fruit exotique vient caresser dans un soupir sensuel ses sens. Les autres ne parlent pas. Il a entendu les bruits cependant. Les cris, les hurlements de sa victime. C’est ce qu’il voulait. Voir sur leurs beaux visages, les émotions de la souffrance. Et du sang. Partout du sang. Un jeu funèbre, macabre. Un jeu de domination, de soumission pour ses pauvres victimes. Ici, c’est le roi en sa demeure.

Cette petite était toujours en vie. Tu viens de l’apprendre par ton larbin de service. Comment a-t-elle pu ? Comment a-t-elle survécu à cette explosion ? Celle que tu visais, celle que tu voulais voir par-dessus tout morte… son corps reposant sans vie près de toi. Tu aurais ris. Tu aurais dansé de joie. Mais au lieu de ça, la petite est partie pour Paris. Retrouver sa grand-mère chérie et tant adulée. Un verre se casse. Les murs tremblent. Ta petite bestiole qui te sers d’espion essaie de te rassurer, de te faire retourner dans le droit chemin. Tu sais où il est le droit chemin. Il est là où Anastasia sera morte. Là où tu la tuera de tes propres mains. La rage te contrôle. Tu ne vois plus. Tu n’entends plus. L’univers a disparu pour laisser place à des murs noirs. Le noir t’entoure. La rage te contrôle.

La petite est morte. L’homme, ses cheveux en bataille a trop forcé. La pauvre n’a pu supporter. C’est la même petite chose que tout à l’heure. Seulement son cœur ne bat plus. Il n’entend plus les gémissements, les cris. Le temps est revenu. Avant il ne tuait pas de ses propres mains. Il laissait les bombes faire. Il hausse les épaules dans un soupçon de haine. Ça ne sera pas une grosse perte de toute façon.

Elle est là, allongée devant toi. Sur le pont des arts à Paris. Tu n’as pas pu visiter. Tu le feras tout à l’heure. Tu le feras lorsque tes mains seront pleines de sang de cette fillette, là, devant toi. Soudain, un homme. Tu te souviens de lui. C’est lui qui a sauvé la fillette de tes griffes. C’est lui qui l’a sauvé de l’explosion. Tu es fou de rage. Tu ne sais plus où tu en es. Tu veux les tuer tous les deux. MAINTENANT ! Le temps n’est plus à la vengeance. Tu as perdu. Tu t’effondre hors du pont, hors de tout. Pour atterrir… dans une ville lumineuse. Est-ce le paradis ?

La vitesse. Il n’y a que ça de vrai. La voiture toute de cuir est confortable. Bien calé sur son siège, le loup respire les effluves de cuir. Il s’est changé en vitesse avant de prendre ses clefs. Des hommes attendent son commandement. Le pouvoir. Il l’a dans ce monde. Il est maire d’une ville. Elu de tout un peuple. S’ils savaient.

Non. Ce n’était pas le paradis. Tu as même failli te faire percuter par… par… une sorte de cheval sans cocher. Un drôle d’animal. Tu as su l’éviter à temps. Regardant autour de toi, tu étais perdu dans cet immense océan d’immeubles, de tours d’ivoire. Tu n’avais aucune idée d’où tu pouvais te trouver. Et les jours passèrent, les années. Tu avais repris du poil de la bête comme dirait les gens de ce monde. Longtemps, tu t’es admiré dans le miroir de ton salon. Un petit salon au début. Qui est devenu colossale par la suite. Tu les as manipulés. Un sourire gentil plaqué sur le visage, tu as tout de suite su qu’il fallait trouver la faiblesse des gens avant de les achever. Tu as patienté. Longtemps. Et le tic-tac de ton horloge dans ta chambre. Seul témoin de ta frustration. Puis, un jour, un jour béni par Dieu celui-là, tu as appris que tu étais devenu maire. Après un long travail fastidieux, épuisant. Un long travail pour te faire aimer des gens. Maintenant, le pouvoir c’est toi le possède. C’est toi qui fais la loi. Qui fait exécuter les lois. Et cela est... pour le moins distrayant. Jouissif.

Il serre des mains. Un sourire accroché à son visage, les gens qu’il côtoie ne voient pas dans ses yeux la lueur de haine. Notre homme s’appelle Rasputin. C’est le maire de Fantasia Hill. Notre homme tue sans état d’âme. Ils ne savent pas. Ils ne sauront jamais. Parce que l’homme est adulé, aimé. Qui pourrait imaginer un seul instant qu’ils se trouvent devant un assassin de première catégorie ? Personne.

PSEUDO/PRÉNOM ◆ Becky 8D. ÂGE ◆ 19 ans. PAYS/RÉGIONS ◆ France métropole. OU AS-TU CONNU LE FORUM ◆ Ici même, c'est ma deuxième personnalité qui m'en a parlé. J'ai tué Kidah pour prendre sa place devil

. TES IMPRESSIONS ◆ J ADORE ! Il n'y a pas d'autre mots pour décrire ce forum qui a une super ambiance et où l'activité est au beau fixe !. SCÉNARIO OU PI? ◆ PI love

. UN DERNIER MOT POUR LA FIN ◆ Prédateur à ne pas s'approcher de trop près au risque de se faire exploser.... je vous aurai prévenu What a Face

Sinon je vous aime ! La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 1247806006

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Invité

James Franco! Bienvenuuuuuue et bonne chance pour ta fichette! flyheart

J'approuve le choix de vava !

Invité

re bienvenue et bon courage pour ta fiche o/

Invité

Re-bienvenue, le papa Noël qui va jouer un méchant ça promet.

Bon courage pour ton histoire.

Invité

On avait dit que je te sauterais dessus, donc... REBIENVENUE MON RASPUTIN BG CHÉRIIIIIIIIII La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 1642801012

La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 1642801012

Spoiler:

Invité

JAMES FRANCO bave

re-bienvenu La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 4029093039

Invité

Oh mais du coup, tu es toujours Kida ??

En tout cas James est bave

Re Bienvenue et Bon Courage pour ta fiche I love you

Invité

Merci mes petits chous *-*.

J'espère que le personnage va vous plaire, en tout cas moi je l'adore déjà What a Face

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Non Nyméria, je n'ai plus Kidah bien que je ne l'ai même pas joué. Je me sentais bloquer par elle et je sais qu'avec Rasputin je ne vais pas du tout être bloqué puisque j'ai déjà plein de projets pour lui What a Face

Calypso j'aime ton accueil ! D'ailleurs, tous vous devrez m'accueillir comme ça maintenant La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 4153354820

La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 4153354820

Invité

Re bienvenue ! calin

Invité

PUTAIN T ES ENCORE PLUS SEXE AVEC JAMES FRANCO (l'homme de ma vie) hothot

Bien entendu, puisque tu n'as plus Kidah et que tu es évidemment trop bandant avec jamounet, j'exige un lien humhum

Re Bienvenue mon petit chou eve

Invité

Héhé 8D. Tu es bien courageux mon cher Hadès. Mais c'est bien très bien même... Tu va compter parmi ces plus proche amis... Dis donc t'es un chanceux ! What a Face

Tu vas redevenir un vrai méchant, un vrai de vrai cette fois !

Le trio de choc va être formidable à jouer je le sens couteau

Invité

Je n'ai peur de rien moi, après tout, je suis le Dieu des enfers La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 813734878

Les morts tremblent devant moi!

On va même être des supers potos de fifou! La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 4029093039

Je suis un vrai méchant fuck

Je n'ai plus rien à apprendre couteau

Oui hé hé avec Regina, on va semer la zizanie, surtout la ziza! han

et entre deux massacres, je te violerai dans un coin sombre :sifflote:

Invité

On se violera mutuellement alors mon amour What a Face

Bon alors si t'es un vrai méchant ça va... on ne va pas faire dans les sentiments... Tous les gens seront à nos pieds et on aura un harem avec des femmes toutes plus belles les unes que les autres !

Oh avec Regina han

on va s'en faire des parties avec des boum, des coeurs et des incendies (je sais que t'aime ça dis pas le contraire La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 4153354820

)

Invité

Alors alors mes chéris on complote dans mon dos c'est très vilain ça !

On sera un trio infernal gare aux pauvres petites choses qui croiseront nos route MOUHAHAHAHA
Et puis on fera des orgies de sangs et de sexe

Sinon à part ça MON petit Rasputine contente que tu te lance dans ce nouveau personnage qui roxe à mort !! Tu vas voir comme c'est amusant de jouer les méchants (ça va te changer de la vierge coincée )
Et moi je ne te viole point, je sais que tu es consentant

J'ai hâte de lire ta fiche !

Invité

J'espère que tu as lu mes manies amour de ma vie 8D.
Je trouve que je l'ai bien représenter.

L'histoire va être encore mieux devil

Oui c'est vraiment très amusant, je vais encore plus m'amuser quand je vais faire mon gentille avec les fillettes La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 4153354820

Tu me réserves un rp ma jolie ? What a Face

Invité

j'aime beaucoup tes idées ma diabolique Regina La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 4153354820

rectification, on se réserve un rp à trois boude

oui oui monsieur!

Citation :: Oui c'est vraiment très amusant, je vais encore plus m'amuser quand je vais faire mon gentille avec les fillettes

Eh bah moi, même si je suis méchant, les filles accourent vers moi...ça doit être l'effet ténébreux La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 813734878

Invité

Oui j'ai lu ne t'en fais pas, j'ai bien aimé, un bon criminel comme il se doit mais toujours avec classe évidement

J'ai hâte de lire le reste
Evidemment, un rp quand tu veux mon cher ami

Moi aussi j'aime mes idées Hades :vivemoi: (oui je suis narcissique et alors un problème ? )
Oh oui un rp à trois on va bien s'amuser Je pourrais tuer une ou deux blondes au passage ?

L'effet ténébreux hein ? Mais oui bien sur...le goût du danger je dirais plutôt....

Invité

Il n'y a rien de plus plus séduisant que les beaux ténébreux mon cher Hadès.

Oui bien sur han

Un rp à trois of course ! Je vous inviterai chez moi et on se fera des orgies, on complotera dans le dos des gentils. C'est bien tout ce beau petit monde mais il va falloir les bouger un peu La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 4153354820

. Un peu d'obscur dans un monde à paillette n'a jamais fait de mal couteau

Ma Regina, Rasputin a toujours la classe. Tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes et les secondes 8D. C'est ce qui fait un bon méchant comme il se doit 8D.

J'ai une ou deux blondes chez moi dans mon frigidaire

tu pourras en faire ce que tu voudras ma toute belle La patience est la vertu des gens vengeurs ~ Rasputin 4153354820