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J'aimais bien ta barbe, moi.  Vide
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 J'aimais bien ta barbe, moi.

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MessageSujet: J'aimais bien ta barbe, moi. J'aimais bien ta barbe, moi.  EmptyLun 25 Fév - 8:15

Mon pantalon blanc nacré et ma chemise rose saumon sur le dos, j’informe Dinah, ma colocataire, que ce matin je ne serai pas là. Au passage, il ne faut surtout pas que j’oublie mes gants, ni mon appareil photo, ni ma brosse à dents, surtout pas ma brosse à dents ! ni mon porte-monnaie et mon écharpe. Il semblerait que j’ai tout, oui ! J’ai tout ! Ah oui ça va être chouette ! Dinah me regarde d’un drôle d’air, assise sur le canapé et on peut la comprendre, je suis surexcitée ! Mais comprenez, aujourd’hui j’ai rendez-vous avez mon cher, mon tendre, mon Yoëv !

Juste avant de partir, je dépose un baiser sur le front de ma jolie colocataire avant d’embarquer mon sac à main et mes clés et zou ! Direction Westwood Center Way pour le rejoindre au Starbucks de la ville. J’aime beaucoup ce lieu, un peu magique de par cette odeur de café, de noisettes, de crème, hum… rien que d’y penser, j’ai hâte d’y être ! Le temps de descendre les trois étages qui me séparent du rez-de-chaussée, je rencontre quelques personnes avec qui je discute plus ou moins, avant de reprendre mon chemin.

Ce que j’aime cette sensation, conduire, l’ivresse de la vitesse, la sensation de la pédale sous ma chaussure. Aux dernières nouvelles, c’est le seul moyen de transport capable de me redonner ces sensations de vitesse que j’avais dans mon ancien corps. Le vent me fouette le visage et je pense à mon cher papa noël que je vais retrouver dans peu de temps. Celui-là alors ! Je ne me souviens plus de comment, ni quand est-ce que je l’ai rencontré, simplement que c’est grâce à l’homme de la lune que nous devinrent amis. Depuis ces temps obscurs nous sommes amis, du genre qui se disent tout et se connaissent par cœur, et jamais rien ne nous séparera. Pas même un sortilège, voyez-donc ! Il m’a aidé, à la suite de changement à m’adapter à mon nouveau corps, à ce nouveau monde. Maintenant que nous ne sommes plus que nous et que ni mes petites fées, ni Jack, ni aucun de nos amis ne s’est retrouvé dans ce monde, du moins pas qu’on le sache, il est l’une des seules épaules sur laquelle je puisse me reposer vraiment. Vous comprenez donc ma joie de le retrouver dans quelques minutes ! Pour cesser dans le registre tragique, je peux vous dire que nous deux ça promet !

Mes ballerines roses claquent sur le trottoir et c’est d’une démarche guillerette que je franchis le seuil de ce café si célèbre. Le fumet de café me monte aux narines, il fait bon, il fait chaud. J’enlève aussitôt mon écharpe et mes gants, il parait que l’on risque d’être malade sinon… Je cherche du regard mon ami parmi cette foule bruyante et joyeuse. Il est de dos, face au mur, pas loin du sapin de noël. Je reconnais là l’esprit de fête de Yoëv, à qui, j’en suis certaine, son rôle de gardien manque autant qu’à moi. Je m’approche alors tout doucement de lui, pour finalement me jeter sur son dos et lui cacher les yeux.

« Bonjour mon cher ! Devine qui c’est ! »

La devinette n’étant pas bien difficile je l’accompagnais tout de même d’un éclat de rire histoire de l’aider un peu.
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MessageSujet: Re: J'aimais bien ta barbe, moi. J'aimais bien ta barbe, moi.  EmptyMer 6 Mar - 16:47

Les branches s’élevaient, majestueuses, graciles, elles se balançaient doucement au rythme des arrivants, la tête dans les nuages plein de rêves imaginaire, hors d’atteinte dans cette société fortuite. Yoëv voyait dans ce lieu l’ironie de la vie, rutilante, brillante, le regard moqueur, dévoilant des dents blanches prêtes à mordre, ce monstre sanguinaire qui n’attendait qu’une chose : de dévorer l’âme, de les réduire en pièce avant de les accrocher sur un mur comme le font les chasseurs. L’être humain n’était rien de plus qu’un animal, il avait des jambes, des pieds, il pouvait marcher, chanter, danser, il pouvait combattre mais jamais accéder à la vérité pure, à ce bonheur dont les philosophes se vantaient d’avoir trouvé le secret. North, dans un temps ancien où la neige tombait par de millier de flocons ouvragés, où les oiseaux fredonnaient des mélodies admirables, où les enfants riaient de leurs éclats innocents plein de magie ensorcelante, dans cet autrefois ivre de tendresse, North avait trouvé ce qu’on appelle le bonheur, il vivait dans un bien être concret, admirable, la boule d’énergie avait élu domicile en son sein, en son ventre, en son être entier. Elle illuminait sa gaité, la rendait plus forte, plus vive, plus vivante, North existait alors, avait un but dans son aventure et l’inconscience de cette vie bienfaitrice lui suffisait. La peur, la colère, le père noël ne connaissait pas, le personnage était bon, doux, rieur. Le soleil irradiait de ses feux une destinée que les nuages, que les ombres ne savaient cacher, l’astre bien trop puissant pour ces ennemis bêtes et méchants. Plantant ses yeux dans les rameaux de ce sapin encagé, dans ce végétal prisonnier des hommes et de leurs désirs, Yoëv sentit une ultime larme glisser sur sa joue formant une arabesque argenté. La solitude avait pris une place bien trop importante dans sa vie d’aujourd’hui, l’alcool, ce liquide donateur, une place trop ambitieuse, l’état de Yoëv se détériorait d’heures en heures. Il ne se levait plus, ne mangeait qu’avec difficulté, son regard dans le vide et son esprit Ailleurs. Il pataugeait sur la misère de la terre, il se plongeait dans la tristesse, ce sentiment brumeux qui prenait soin de lui accaparer l’existence. Yoëv n’était plus ce personnage légendaire que les enfants adoraient, choyaient, il n’était plus qu’un homme, qu’un être sans particularités, il nageait parmi la foule maintenant, lot pitoyable de railleries.

« Bonjour mon cher ! Devine qui c’est ! ». Un rire éclata alors, la vue dissimulée par des mains féminines, soyeuses comme du coton rappelant la douceur de l’hiver, les ongles peinturlurés de roses, l’homme reconnut cette fois voix mainte fois aimée, mainte fois célébrée. Gentiment, il décala ces gourmandises et se retourna pour retrouver l’objet que son cœur à l’agonie appelait pour se sentir soutenu dans des moments où le noir empoigne, poignarde. Un sourire plein, non une esquisse, naquit sur ce visage mangé par une forêt noire, sur ce visage manquant de soin, sur ce visage où l’on pouvait lire la détresse éprouvée par le propriétaire. « Tu as vu… Je t’attendais et je suis à l’heure au rendez-vous cette fois-ci. J’avais hâte de te voir ! ». Ces paroles, ces mots sortirent du sommeil destructeur, de cette apathie toujours plus grande que concevait Yoëv comme malédiction présente de son entreprise à présent. Lui montrant une chaise et des boissons qu’il avait spécialement commandé, il s’assit à son tour, la tête dans ses bras croisés et respira ce courant savoureux de l’amitié régulière à ses côtés.
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MessageSujet: Re: J'aimais bien ta barbe, moi. J'aimais bien ta barbe, moi.  EmptySam 30 Mar - 0:46

La vie peut s’avérer injuste, terriblement injuste. Les mains posées sur son beau visage, les yeux gonflés de son ami sous ses doigts délicat, Elizabeth ressentait au plus profond d’elle-même la peine qui animait alors Yoëv. Elle ne pouvait que comprendre. La mélancolie et la tristesse trouvant toujours le moyen de s’emparer des gens, même des plus forts, même des meilleurs. Alors la joie qui submergeait la jolie fée à l’idée de voir Yoëv, la chaleur du café bondé de gens qui détendait chaque parcelle de son être laissèrent petit à petit place à la détresse et au désespoir qui émanaient de lui.
Puis il se détourna, lui faisant face, dans ses grands yeux cherchant le réconfort, étaient visibles les larmes qu’il voulait verser, la colère qu’il désirait laisser exploser et l’alcool qui le noyait. Sa présence était plus que nécessaire, elle était vitale. L’amitié ou le remède le plus efficace pour soigner tous les mots. Lorsque sa voix rauque, fidèle à elle-même, s’échappa de ses lèvres tirées en un demi-sourire sous sa toison de poils bruns et qu’elle la remercia d’être venue, Elizabeth ne put s’empêcher de se glisser dans ses bras. La tête dans son cou elle ne pouvais que remercier le ciel de lui avoir laissé Yoëv, faute de plus, faute de pouvoir récupérer toute la magie à laquelle ils avaient été retirés. Sans lui, Lizzie était consciente d’être perdue, complètement seule et qu’il était le tout premier, qu’elle avait besoin de lui, tout simplement. Mais à cet instant précis, le père noël avait besoin d’elle, de ses bras, de son sourire, de son épaule peut-être pour y déverser les larmes contenues.

Il désigna les boissons qu’il avait commandé avant son arrivée et elle constata qu’il savait ce qu’elle aimait. Un bon chocolat chaud aux éclats de noisettes avec de la crème. Pour tout dire, jamais elle n’avait rien goûté d’autre que cette boisson-ci, mais elle divertissait tant son palais, que les autres boissons paraissaient fades à côté. Finalement assise sur la banquette en face de Yoëv, les mains autour du récipient chaud, elle le regardait, le couvant des yeux. « J’avais hâte aussi. » Puis le liquide chaud et épais s’écoula dans sa gorge. Sa voix douce et compréhensive vint ensuite tenter d’apaiser la tempête de sentiments qui se déroulait sous ses yeux. « Dis-donc toi… ça à pas l’air d’être la grande forme… Tu veux en parler peut-être ? » Elle passa sa main dans ses longs cheveux bruns et enleva son écharpe pour se mettre à l’aise. Elle ne désirait pas lui poser des questions qui le dérangeaient, mais elle avait pour habitude de toujours être là, à tout moment. La simple présence de cet ami si cher à ses yeux permit à Lizzie de se sentir bien, entière et prête à tout. Rien ne fait plus plaisir qu’une présence familière et connue. Et c’est dans cette complaisance sereine qu’elle se laissa aller à la discussion.


Dernière édition par Elizabeth T-F Fairydust le Mar 30 Avr - 0:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: J'aimais bien ta barbe, moi. J'aimais bien ta barbe, moi.  EmptyLun 22 Avr - 20:06

Les larmes comme perles nacrées éclatantes de tristesse ensorcelantes glissèrent sur ses joues froides pareilles au cadavre ayant perdu son âme envolée dans l’éther gelé, Yoëv le dépressif de ses lèvres gercées par le manque de soin vint se serrer dans une danse passionnelle de figures abstraites… Sûrement pour s’empêcher de pleurer, il avait appris par ses oreilles égarées et des paroles énoncées que les hommes étaient mal vus dans la société que de geindre en publique. North n’avait jamais pleuré, aucunes gouttes versées dans ce gobelet ouvragée portant la tristesse. La tristesse de toutes ces âmes damnées, le désespoir de ces brebis souffrantes vicieuses, diablotins aux crocs argenté et leur regard comme deux orbes charbonneuses. Le gant de têtes furibondes, leurs bouches ouvertes sur un cri jamais ne franchissant leurs lèvres mordorées donna le coup de poignard dans son dos craquelé par le globe qu’il devait porter. L’aiguille bouillonnante dans son intestin, ses reins, ses cotes transperçait ses points vitaux, la maladie se propagea et l’état du père se dégrada. Il ne vit pas que sa douce amie doucement se faufilant entre ses bras. Tendresse d’un moment partagé il garda le sourire mais celui-ci fané par cette substance coulant le long de son être et le transformant. La joie disparue de ses yeux clairs, l’eau se tari séchée par le sel des marées et ce visage assombri, il ne tomba pas comme le chiffon d’une main tombant par inadvertance. Il s’assit gardant ce masque trouble, flou d’un bonheur n’existant plus déjà. « J’avais hâte aussi. ». Paroles gravirent les briques de ce lieu, vacarme et bruits tout autour… Yoëv n’entendait pas. Ses sens perdu dans le dédale de ses pensées acerbes, il ne remarqua pas les boissons en face de lui oubliées par le cauchemar étrangleur. « Dis-donc toi… ça a pas l’air d’être la grande forme… Tu veux en parler peut-être ? ». Une main manucurée passa dans les mèches colorées de sa fée, il releva sa tête endormie et les racines se plantèrent dans cette terre abondante de richesses éphémères. Souvenirs vagabonds voltigeant leur plume grise et volages narquoises Yoëv tendit sa main face à cette hallucination. Dépression entre son sein meurtri d’avoir perdu à jamais son monde, ses hauts sommets de puretés vaporeuses et cette joie de préparer noël sa fête. « Ne veux-tu pas retrouver ton monde Eli ? Là où nous étions cinq, amis éternels, nous ne sommes plus rien maintenant. ». Il se tut regarda ces gens sans âmes ayant dispersé depuis longtemps leur enfance. « Te souviens-tu de ces instants où nous étions réunis comme âmes sœurs d’un temps ancien ? Je ne me doutais pas qu’il serait si dur d’y repenser car le regret me morfond, me prend alors dans son étaux. Je n’ai même plus la force de regarder les jouets de mon magasin, de les placer pour les vendre ensuite, de voir ces enfants courir le long des rayons un sourire collé sur leur face. ». La litanie reprit. Les mots s’envolèrent. Yoëv parlait lançant les paroles comme cailloux jetés à cet océan chantant. « Le matin je me lève, je me regarde dans ce miroir révélant cet homme qui n’est pas moi. Le matin je me réveille et je ne vois rien. L’après-midi je ne fais rien étendu dans mon lit je pense à ce que j’ai perdu et que je ne retrouverais pas. Alors je suis meurtri… ». Sa tête tomba lourdement sur la table en acajou.

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MessageSujet: Re: J'aimais bien ta barbe, moi. J'aimais bien ta barbe, moi.  EmptyMar 30 Avr - 0:50

L’air frais, glacé, s’engouffra par la porte entrouverte. Tout semblait s’être arrêté, le temps, les secondes qui défilent et s’envolent à jamais, désormais suspendues dans le vol lourd et pesant des larmes qui défilent au pas de garde sur le visage abimé, insensible même au moindre recours de tendresse venant de cette amitié pourtant profonde et réconfortante. Une fois le gosier confortablement réchauffé, pied de nez à l’hiver venu mordre ses os fragiles, la jeune femme écouta la triste logorrhée de cet être qu’elle connaissait par cœur. Le flot de sentiments qui s’écoulait sur la table, parcouru son corps tout entier d’un frison invisible. Rien au monde ne pouvait lui faire plus de peine que de voir son ami ainsi désespéré. La main de ce dernier tendu comme celle d’un mort face à sa dernière vision, elle ne peut s’empêcher d’hoqueter. Le père noël, joyeux, rieur et barbu se perdait dans les nimbes du désespoir, se laissant transporter par la mélancolie de monde sombre et morne. Les larmes lui montèrent aux yeux, brulant ses paupières, humidifiant ses cils et flouant son regard. Sa gorge se serra et alors que le désespoir avec son sourire lugubre semblait l’emporter, elle saisit la main de son ami. La situation lui étant trop familière pour ne pas lui rappeler leur bataille face à Pitch. A ce moment là, alors que la situation perdait tout son sens et que rien n’était en leur faveur, une chose avait vaincu. L’espoir. Ils devaient croire en eux, en leur amitié, en leurs personnalités respectives et en leurs pouvoirs intérieurs. Du bout de ses doigts frêles elle caressa les phalanges de Yoëv et sa voix douce brisa enfin le silence qui avait pris place. « Yoëv, je sais que c’est dur, que tout ici est pour nous rappeler ce que nous avons perdus, ce que l’on a volé, ce qu’on ne retrouvera surement jamais. Mais pense à ce que tu as, tu m’as moi, tout comme tu es là pour moi. Rien ne peut nous séparer et je sais que tu le sais là. » Liant le geste à la parole, elle se leva de sa banquette pour poser sa paume sur l’emplacement du cœur. Puis elle se rassit. « Notre monde me manque, Jack, me manque, énormément, mais pense un peu à toutes ces opportunités qui s’ouvrent à nous. A ce monde nouveau que l’on peut parcourir en toute liberté. Rien ne t’empêche de devenir le nouveau père noël, de reprendre ton flambeau. Rendre heureux les enfants là n’est pas notre but ? »

Puis elle marqua une pause, pensant soudain à sa condition actuelle, à ce qu’elle vivait personnellement. Elle n’était pas du genre à se lamenter sur son sort, à chercher en quoi sa vie ne lui plaisait pas, mais elle savait aujourd’hui qu’elle avait elle-même perdue son bonheur. Passer du statut de fée des dents à simple dentiste, c’était passer de tout à rien. Autant Yoëv pouvait continuer à distribuer ses cadeaux, à voir ce magnifique sourire s’afficher sur les visages des bambins, autant la seule chose que ces derniers ressentaient en la voyant était de la peur, de la terreur. Et pour le coup, elle aurait donné tout ce qui était en son pouvoir pour les rendre à nouveau heureux. Brusquement son sourire s’effondra, malgré toutes ses belles paroles et elle ne sut si elle allait pleurer, mais comment pouvait-elle réconforter quelqu’un, si elle-même ne croyait pas un seul instant à ce qu’elle disait ?


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MessageSujet: Re: J'aimais bien ta barbe, moi. J'aimais bien ta barbe, moi.  EmptySam 29 Juin - 17:49

J'archive J'aimais bien ta barbe, moi.  1823284050
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