WAOHO GIRLS THEY WANNA HAVE FUN (a)

 

Cette fois, j'étais réellement en vacances. La veille, j'avais passé mon dernier jour au zoo avant de me prendre des petites vacances mais je savais très bien que je ne résisterais pas de faire des petits tours là-bas de temps en temps. Néanmoins, j'étais arrivée avec joie, hier soir, retrouvant tout de suite comme par magie ma meilleure amie, Kiara. On passait un très court moment ensemble avant d'aller s’installer dans nos tentes respectives ou autres. J'étais bien contente de savoir qu'on allait encore pouvoir passer de superbes moments ensemble. D'ailleurs, la brune m'avait directement proposé une séance de folie au Aquatic Land dans l'unique but de faire les malades mentales ensemble. J'avais pris de nouvelles habitudes depuis que j'étais avec elle, apprendre à me lâcher, à laisser certains cotés de ma personnalité que je cachais sortir et du coup, je me laissais parfois le droit de faire ma folle plutôt que la réservée responsable au petit humour sympathique.

Ce matin, quand je me levais, le soleil passa directement derrière le tissu épais de la tente qui me servait de maison pour la nuit. Plus personne à mes cotés, je décidais d'aller aux douches collectifs, ne supportant pas l'idée de ne pas pouvoir sentir ne serais-ce que l'eau couler sur mon corps de bon matin, puis j'avais enfilé mon maillot et un short sympathique. Je décidais de ne pas manger, ne trouvant guère l'appétit. En voyant tous ça, ces gens entrain de s'amuser, je pensais à mon amour avec qui j'aurais voulu partager ces moments qu'on aurait jamais pu vivre chez nous. Je souriais difficilement avant de me secouer un peu pour passer à autre chose et pouvoir profiter de ma journée. Je retournais chercher ma serviette et je partais, direction l'Aquatic land. J'avais qu'une hâte ; retrouver ma chère et tendre amie. Je courais presque, les cheveux dans le vent, le soleil me tapant sur la tête ; Me voilà devant l'envie de notre journée ! Je découvrais alors jeux d'eaux, toboggans et compagnie,; un grand sourire s'imprima sur mon visage et je balayais au maximum que je le pouvais l'endroit, avançant un peu, la cherchant de toute part. J'étais apparemment en avance. Je retournais vers l'entrée, m'appuyant contre le mur en espérant la voir très vite arriver.

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Les vacances commencent enfin, après de longs mois passés dans le froid. Nous pouvons dire que ça faisait du bien. Manquait plus que les amis pour que l'été puisse vraiment débuter, avec les fêtes, les barbecues, les batailles d'eau et tous ces trucs. Et d'ailleurs Kovu et moi avions décidés de venir au camping paradise, dite aussi camping vacancier. Nous voulions prendre un peu de repos, pouvoir profiter pleinement de ce beau soleil et de nous faire de nouveaux souvenirs, c'est pourquoi le premier objet qui avait franchi mon petit sac de camping était mon appareil photo. Hier soir à notre arrivée ici, j'avais revu quelques amis, dont ma meilleure amie. Je fusse heureuse de la savoir ici, ainsi nous allons pouvoir un peu plus profiter l'une de l'autre, ces petits moments entre filles me manquaient beaucoup. J'avais évidemment demandé à mon petit ami, s'il pouvait se passer de moi le temps d'une aprèm pour pouvoir la passer avec ma meilleure amie, je savais que Kovu ne refuserait jamais, mais j'aimais mieux demander pour m'en assurer, je ne voulais pas qu'il se sente seul, quoi que, il avait lui aussi revu quelques amis. Sac de piscine, Lunettes de soleil sur le nez, petite robe transparente en guise de vêtement, maillot de bain en dessous, la tenue typique de la vacancière, je me rendais à destination où m'attendait déjà ma meilleure amie. Je m'approchais d'elle, alors que mon regard croisa cette petite crinière blonde. « Dis-moi que je ne suis pas en retard ?... » Annonçais-je à peine arrivée, lui plaquant deux bises sur les joues avant de m'installer sur le transat juste à côté. « Non mais t'as vu ce soleil ! Et comme je pense à tous...» Je sortis deux canettes de coca que j'avais soigneusement payé au restau du camping, lui en offrant une.

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Alors que je l'attendais impatiemment, je sentais une presence derrière moi. J'étais assise sur le transat, ravie de la journée qui s'annonçait bonne vu le temps et le programme ainsi que la personne choisie pour m'accompagner dans ce jour fabuleux. D'une voix plus que joyeuse, je vis ma meilleure apparaitre en me disant : « Dis-moi que je ne suis pas en retard ?... » Elle me donna deux bises sur mes joues blanches sur lesquelles le soleil tapait déjà beaucoup vu sa grande presence et je souriais en répondant rapidement : « je crois que c'est moi qui suis en avance ! » Je rigolais doucement tandis que je la regardais s'assoir sur le transat d'à coté. Nous voilà, enfin ensemble, le sourire jusqu'aux yeux tellement c'était plaisant de retrouver sa meilleure amie, sa moitié, sa petite femme. « Non mais t'as vu ce soleil ! Et comme je pense à tous...» Elle sortait alors deux canettes de coca me regardant joyeusement et fière d'elle et je continuais de rire en reprenant : « C'est clair, je crame déjà ... ça me rappelle la maison, on n'avait rarement mauvais temps enfin ça dépendait des malheurs qui arrivaient je crois ...»  Mon sourire s’effaça en pensant à mon monde, mon ancienne vie, me ramenant Henry à la pensée puis je secouais la tête pour ne plus y penser avant de lui proposer : « Allez viens, si on allait s'éclater à l'eau ? Toboggan ? »  Je me levais en sautant directement comme un lapin ou comme mon coloc Stitch le ferait et je prenais sa main pour la tirer de son transat en rigolant, montrant toute la joie enfermée en moi.

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Évidemment que je pensais absolument à tout, j'étais un petit peu ce qu'on pouvait appeler, perfectionniste. Je suis très heureuse de pouvoir passer cette journée avec ma meilleure amie, il faudra que je fasse pleins de petits bisous à mon chéri pour m'avoir permis de pouvoir profiter de ma meilleure amie, car je savais que même s'il risquait de se retrouver seul pour le reste de la journée, il ne me le montrerait jamais. Je venais te tendre une canette de coca à Annab'ella pour qu'enfin nous puissions nous désaltérer. « Je crois que c'est moi qui suis en avance ! » Je fus rassurée étant donné que j'avais pris un petit peu de retard. « C'est clair, je crame déjà ... ça me rappelle la maison, on n'avait rarement mauvais temps enfin ça dépendait des malheurs qui arrivaient je crois.. » Ses paroles me fit moi aussi repenser à ma belle savane, à mon monde où tout n'avais jamais été tout beau tout rose, mais qui au final avait trouvé la paix. « Mon chez moi me manque terriblement aussi, il faisait presque toujours beau, mais comme tu dis, nous avons aussi passé par quelques malheurs, heureusement tout s'est bien terminée. » Affirmais-je avec un petit sourire. Quoi que dans ce monde, je n'étais sûre de rien, surtout que Scar et Zira étaient de retour. « Allez viens, si on allait s'éclater à l'eau ? Toboggan ? » Enfin nous pouvions passer aux choses sérieuses. Je fus immédiatement entrainé par ma blondinette « C'est parti ! » Criais-je à petite voix, avant de suivre ma meilleure amie vers les toboggans. Nous grimpions alors sur cet énorme toboggan jaune tendis que l'eau y coulait tout le long. « Attend Ella, vaut mieux qu'on soit collé là, sinon on va se faire mal si j'atterris sur toi ! » J'esquissais un petit rire avant de m'asseoir collé au dos de la belle. Ce toboggan me rappelle bien des souvenirs de moi et Kovu. « Agrippe toi bien, ça va secouer ! » On ne voyait rien en bas, juste notre interminable toboggan formé en zigzag.

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J'aimais voir ma chère meilleure amie. J'avais de réels amis, je m'en étais réellement fait depuis mon arrivée ici mais certains avaient su prendre mon coeur comme si il souhaitait l'enfermer dans un boite près du leur et je les aimais plus que tout ; elle faisait surement parti de ce cercle mais elle était largement devant. Kiara était comme une partie de moi soit la meilleure des meilleurs ? Un sourire m'échappa à cette pensée tout comme ce petit rire trop mignon que j'avais par moment tandis qu'elle semblait perturbée par son retard. Je posais ma main sur la sienne pour la rassurer et lui montrer qu'on se fichait du retard si il avait eu lieu car je n'y croyais pas une seconde ; pour moi, c'était moi qui était en avance. D'ailleurs, elle fut rassurée par mes paroles et on put se désaltérer tranquillement sans que la belle s'inquiète de m'avoir fait attendre et d’être une mauvaise amie. J'arrangeais ma coiffure tandis qu'elle me parlait, touchant doucement mes beaux cheveux à la fois doré par le soleil et bien marron par instant. Kiara me confirmait qu'elle aussi était en manque de son chez elle mais quand je la voyais, je l'étais beaucoup moins et j'avais donc relevé la tête, prenant plus de sérieux, de joie au plus profond de mon être, refusant d’être triste en ce jour si beau. Je m'étais levée, lui proposant d'aller enfin s'amuser et je ne fus pas surprise qu'elle tente de rebrousser chemin et de ne pas me suivre quand je me décidais de la tirer à l'eau. Avec joie, la brune criait alors ; « C'est parti ! » Nous fonçions vers les escaliers menant au toboggan et nous grimpions main dans la main comme deux gosses toute joyeuse. Arrivées en haut, on put découvrir la hauteur du gigantesque toboggan gorgé d'eau. Je la regardais les yeux brillants, j'étais dans un instant enfantin et j'en étais fière ; c'était si rare que je laisse cette once d'énergie enfantine sortir. Je l'entendis rire derrière moi alors que je m’apprêtais presque à me jeter en l'entrainant dans la spirale et elle me dit, sur un ton prévenant et de grande connaisseuse de toboggan ; « Attend Ella, vaut mieux qu'on soit collé là, sinon on va se faire mal si j'atterris sur toi ! » J'eus un petit hoquet de surprise me rendant compte que j'avais failli faire n'importe quoi et je la laissais faire. Elle s'asseyait derrière moi, contre mon dos et je rigolais en disant ; ça va être fou ! Je rigolais doucement, honteuse de faire ma gamine pendant un instant. « Agrippe toi bien, ça va secouer ! » Et hop, je compris que c'était le départ et poussait légèrement à l'aide de mon amie pour qu'on commence à tomber dans le tourbillon infernal qu'était ce toboggan. Je criais à la fois de folie, de joie mais aussi de peur. C'était tout étrange l'adrénaline qu'on pouvait ressentir en descendant ce truc là. ça allait vite, trop vite, très vite et une fois vers la fin qui arriva plus vite que je le pensais ... je pensais à me boucher le nez tout en cherchant de mon autre main celle de mon amie. HOP. les fesses dans l'eau ! Je rigolais, remontant à la surfasse avec difficulté surement du à la chute, surprenante. Je passais ma main sur ma tete, touchant mes cheveux trempés et me rendait compte que j'avais perdu mon ruban. J'y tenais alors paniqué, je cherchais dans la piscine autour de moi, oubliant un instant mon ami ; Il est où ? Où est mon ruban ? pourquoi je l'ai mis ? C'était un des rares souvenirs de mon cher amour et le perdre me traumatisé déjà comme si je m'accrochais à des pacotilles parce que j'avais perdu toute espoir. Kiara était ma meilleure amie et je ne doutais pas qu'elle avait plus ou moins compris mon inquiétude mais surement allait-elle encore entreprendre de me calmer. Je cherchais et le voyait au fond de l'eau, un peu plus loin, fonçant en piquet au fond pour le prendre. Je l'attachais à mon poignet et me rendait compte que mon ami était là, me regardant. Gênée, je lui disais ; Je suis désolé de ce ... comportement ... disons étrange ... d'un coup ! Vous avez dit bizarre ? ouais.

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Ayant goûté à ce genre d'adrénaline, je savais à quoi m'y attendre, dans mon monde, nous avions Kovu et moi, été poussé par Rafiki, sur une très grande descente en bois, recouvert d'eau ruisselant, nous avons alors glissé avec cette énorme feuille sur cette descente. J'imagine encore la tête de Kovu terriblement effrayé alors que moi j'étais complètement aux éclats de rires. Me rappeler de ce genre de souvenirs me faisait énormément du bien, tout comme la présence de ma meilleure amie, qui comptait beaucoup pour moi. Elle avait pris une si grande place dans ma vie, que si je devais un jour retourner dans mon monde, je serais attristé de devoir lui dire au revoir. C'est pourquoi je profitais de chaque moment, certes j'espérais qu'un côté nous puissions rester tous ensemble, de l'autre mon monde me manquait aussi. Mais il est clair que je désirais plus que tout rester auprès des personnes qui me sont chers. Pour plus de précaution, je l'avais proposé que nous restions collé, pour éviter de se faire mal en tombant. « ça va être fou ! » J'aimais trop sa bonne humeur, son petit côté enfantin, tout comme moi d'ailleurs. En sa compagnie, il m'était impossible de ne pas garder le sourire, nous nous complétons tellement bien. Je m'agrippais fort à elle, alors que nous nous lançâmes dans ce tourbillon d'adrénaline, de sensation forte, animé par nos cries et nos rires de joie. C'était bon, bon de le refaire à nouveau et cette fois en compagnie de ma meilleure amie. Pouf ! Nous atterrîmes fesses dans l'eau, je remontais à la surface en rigolant, lorsque j'aperçus Anna très anxieuse. « Il est où ? Où est mon ruban ? pourquoi je l'ai mis ? » Je me suis mise immédiatement à chercher son ruban, car je savais qu'il était d'une très grande importance pour elle. Finalement, elle le retrouva et l'attacha à son poignet. « Je suis désolé de ce ... comportement ... disons étrange ... d'un coup ! » Elle n'avait pas à l'être, oh que non, j'aurais réagi de la même manière. « Ne sois pas désolé, j'aurais réagi de la même manière, je sais à quel point il est important pour toi ce ruban » Un large sourire anima de nouveau mes lèvres, alors que nous nous dirigions vers le rebord de la piscine pour nous agripper et pouvoir discuter. « Parle-moi un peu de ton prince, comment ça commencé vous deux ? » Je voulais l'aider et ce par n'importe quel moyen, du moment qu'elle gardait son sourire. « Je suis sûre que tu finiras par le retrouver, j'ai retrouvé Kovu, alors ne perd jamais espoir... » Disais-je avec un petit sourire, tentant de l'apaiser.

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Pourquoi est-ce que je passais mon temps à faire des histoires de futilités ? Je rougissais de honte. Je me sens bien trop sentimentale et c'est bien trop banale, je crois. (a) Enfin, je me sentais bien honteuse et cela se sentait lorsqu'on regardait bien mes deux joues blanches devenus rouge telle la pomme de la reine de Snow White. Je devais bien le dire ; je tenais à ce ruban mais pourquoi avais-je fait tant de grabuge pour ça alors que je savais très bien que je pouvais le retrouver ? C'est pas la mer, c'est une piscine. Je devais changer et surtout, commencer à comprendre que je devais cesser de vivre en me rattachant à des souvenirs pourtant mon amie me surprit enfin pas vraiment en me soutenant alors que je rattachais le ruban dans mes cheveux clairs ;  « Ne sois pas désolé, j'aurais réagi de la même manière, je sais à quel point il est important pour toi ce ruban » Je souriais très timidement, un très petit sourire, juste un trait rien de plus pour le moment, je n'arrivais pas à me décoincer parce que la honte était trop grosse ; je me trouvais démesurée. Pourtant, je me sentais incapable de changer, vivant trop dans et avec le passé. Je sentais mon regard trouble et alors que je devais m'amuser, j'avais mon coup de blues et ne parlait pas, regardant l'eau dans laquelle je me trouvais, la touchant comme si je la découvrais, laissant mes doigts y glisser tout en avançant vers le rebords où on s'appuyait et que Kiara, elle, me parlait encore  ; « Parle-moi un peu de ton prince, comment ça commencé vous deux ? » Je restais impassible, gloussant légèrement lorsqu'elle parla de mon prince et me demanda dans parler. Mon cœur se serra et j'hésitais, sentant ma tête bougeait toute seule pour lui dire oui d'un signe alors qu'elle continuait en souriant franchement ; « Je suis sûre que tu finiras par le retrouver, j'ai retrouvé Kovu, alors ne perd jamais espoir... » Je posais ma main sur la sienne et la regarda essayant de ne pas faire la malheureuse dans mon regard mais plutôt lui montrer ma reconnaissance face à son aide, à ce qu'elle tentait de faire ; me réconforter ! Je restais accrocher au rebord en regardant le vaste, le bord et rien d'autres comme dans le flou. Je prenais une grande inspiration avant de me racler la gorge, l'émotion tiraillant alors mes entrailles ; Ce fut le coup de foudre ... Les yeux pleins de cœur à la pensée de ce bal, de cette rencontre, je sentais mon cœur battre et je sentais que ce que je racontais ... était totalement conte de fée. Je n'étais que la servante de ma belle-mère et de ses abominables filles ... et il y a eu ce bal ... J'inspirais fort, rêveuse. Je tentais de me tourner vers elle pour la regarder prenant une de ses mains et la regardant, le visage illuminait surement grâce à l'histoire que je lui contais ; On n'annonça un bal ... où toutes les jeunes filles à marier étaient conviées mais les trois firent tout pour m'en empêcher ... Je grimpais, jouant de mes petits muscles pour m'assoir sur le rebord de la piscine gardant les pieds dans l'eau. Je battais doucement des pieds, regardant le beau ciel bleu en continuant ; Mais à la nuit tombée, ma marraine a fait de ma vie autre chose, a tout changé me permettant d'aller au bal ... et c'est là, que j'ai rencontré cet homme que je ne savais pas comme le prince vois-tu mais il fut mon coup de foudre ... Le sourire m'était revenu quand j'avais commencé à revoir toutes ces images et dans une envie inconnue, je reprenais malicieuse ; Veux-tu connaitre la suite ? Je souriais comme une enfant, heureuse et totalement en plein rêve.