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 LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you.

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Neo

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Neo "Cheshire" R. Burton
J'ai posé bagages ici le : 29/10/2013 Jouant le rôle de : Cheshire, l'esprit étrange sous forme féline. #teamwonderland Nombre de messages : 434 On me connait sous le pseudo : wednesday' (cam). Un merci à : hey jude (avatar) Je suis fier(e) de porter l'avatar de : rdj, la perfection.
MessageSujet: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyJeu 26 Déc - 18:30


   
LUCKARY❧ I hate you almost as much as I love you.
Une journée grisonnante de plus dans la vie d'un ex-chien au poil blanc. Celui ci d'ailleurs ne pointa le bout de son nez en cours que très en retard, s'étant très mal réveillé le matin même. Impossible pour lui de dormir la nuit, c'était un jeune homme qui pensait bien trop pour laisser son cerveau trouver le repos. Avant de s'endormir, il fallait toujours qu'il trouve des réponses à milles et unes questions impossibles, puis enfin se détendait et reposait la tête sur son oreiller, mais pas avant. Le problème, c'était que ces derniers temps, il était incapable de répondre à une certaine question, qui lui revenait sans cesse à l'esprit lorsqu'il se glissait dans les draps : Quand cessera-t-il d'avoir mal ? C'était une question stupide, dont la réponse était d'ailleurs totalement impossible à trouver. Évidement qu'il cesserait un jour d'avoir mal... Mais quand, personne ne pouvait le savoir. Le pire, c'est que ce n'était pas le fait de ne pas pouvoir répondre à cette question qui l'énervait le plus, mais celle ci le ramène encore et toujours à penser à ce connard. Et oui, quoiqu'il fasse, quoiqu'il pense, cela reviendrait toujours à Lucifer, alias Luc Norris, le plus beau garçon du lycée de loin, selon Zackary. Ce n'était peut être pas le cas, mais Zack ne voyait que lui, toujours que lui.

Ce fut donc avec facilement vingt bonnes minutes de retard que Zackary toqua à la porte de son cours de français. Son vieux prof puant le livre en décomposition lui ouvrit et d'un pincement de lèvre le pria d'aller s'asseoir. Il ne fallut pas plus au chien pour rejoindre bien vite son siège, et sortir ses affaires. Il tâcha l'espace d'une minute de suivre le cours, avant d'abandonner et de finalement poser sa joue contre la table, crevé mais surtout totalement désintéressé du style réaliste et morbide de Zola. Il pria alors pour que la fin du cours n'arrive pas trop longtemps ; en vain.

Ce fut donc après de longs moments de torture mentale que Zack pu enfin quitter la salle, sans se faire prier. Il rejoignit son meilleur ami, Rhino, qui était comme d'habitude occupé à grignoter quelques biscuits. Il en tendit d'ailleurs un à Zack, qui refusa poliment. « 'Quoi après ? » demanda l'ex-hamster entre deux bouchées, suivant son ami en trottinant alors que ce dernier marchait de son pas d'un habituel sûr de lui. « Sport il me semble bien. » Cependant le chien semblait inquiet, il observait les couloirs comme si il cherchait quelqu'un. « ''T'cherche qui ? » Zackary inspira, s'arrêtant d'un seul coup de marcher, ayant rejoint la cour. Il déglutit. « ...Personne. Personne. » Il se tourna vers son ami et lui adressa un sourire un peu faux. Il fallait qu'il se calme, aucun chat aux alentours, avec un peu de chance, Lucifer au regard de braise ne serait pas là.

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MessageSujet: Re: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyJeu 26 Déc - 22:21


   
LUCKARY❧ I hate you almost as much as I love you.
« On y va mec ? » Tu grognais, alors que Cillian te rappelait que la récréation venait de finir. C'était toujours trop cours, les récréations. Les gens avaient à peine le temps de s'allumer une clope, que déjà, il était temps de l'éteindre. Tu soupirais un peu, écrasant cette dernière sur le sol parsemé de graviers de l'entrée du lycée, et tu remis ton sac, qui pendait maintenant d'une seule lanière sur ton épaule droite. « Pour ce que je vais y faire. » Tu répondais, levant les yeux au ciel. T'aimais pas ça le sport, malgré ce que les gens pouvaient s'imaginer en te regardant. T'avais juste un bon métabolisme qui t'aidait à rester mince en toutes circonstances, mais tu ne faisais pas de sport pour t'aider à maigrir ou à mieux dessiner tes abdos - jamais. T'étais un chat autrefois, et les chats comme tu l'étais ne s'abaissaient pas à des pratiques si futiles. Tu entrais donc une nouvelle fois à l'intérieur du lycée, dehors étant le seul endroit où les gens pouvaient fumer, et tu marchais presque à reculons dans la cours. Tu balayais les autres lycéens du regard, quand tes yeux s'arrêtèrent sur une silhouette que tu reconnaissais, pas très loin. Tu pouvais y voir de dos Zackary, qui était avec son meilleur ami, mais c'était surtout ce premier qui t'intéressait tant depuis la fois où tu avais pu coucher avec lui. C'était bizarre, comme s'il t'obsédait depuis, alors que même ceux avec qui tu couchais régulièrement ne te fascinaient pas autant. « Passe devant, j'arrive bientôt. » Cillian, ton ami et colocataire, tournait la tête vers toi, puis il hochait la tête, avant de partir vers le bâtiment où se passait le cours de sport. Toi, tu décidais qu'il fallait que tu te fasses voir de Zackary, juste un instant. Tu t'avançais donc vers le duo, et Zackary étant toujours de dos à toi, il fallait que son meilleur ami fasse vraiment attention à toi pour que lui te remarque, ce qu'il ne fit pas. Arrivé juste derrière Zackary, tu passas une main sur ses fesses, les agrippant un instant entre tes doigts, alors que ton visage s'arrêtait près de son oreille. « Hey babe. » tu murmurais, de façon à ce qu'il soit le seul à l'attendre et non son pote, et tu délaissais enfin ses fesses pour s'éloigner, un sourire sur tes lèvres, fier de toi. Ton apparition était furtive, mais c'était ce que tu voulais. Tu te dirigeais ensuite dans les vestiaires sans te retourner, et tu lâchais ton sac sur le banc à côté de Cillian, avant de commencer à te changer. Ça te mettait en rage le fait qu'on t'obligeait à te mettre en tenue de sport, alors que le prof savait très bien, commençant maintenant à te connaître, que t'allais rien faire pendant la séance de deux heures. Tu restais une bonne minute assis sur le banc sans rien faire, les yeux dans le vague, ne faisant nullement attention à l'agitation des mecs autour de toi. Ils avaient l'air tous excités pour la plupart, pour eux le sport, c'était une sorte de récréation prolongée, alors que toi, ça rimait avec enfer. Tu lâchais enfin un soupire dramatique, t'étant un peu motivé mentalement, et tu passais ton t-shirt au-dessus de ta tête, ton manteau traînant déjà sur le banc. En relevant tes yeux, tu remarquais une nouvelle fois Zackary, assis de l'autre côté du vestiaire et tu décidais d'aller l'emmerder un peu plus, tant qu'à faire. Tu attrapais donc ton t-shirt de sport, le gardant entre tes doigts sans l'enfiler, et tu te levais pour t'asseoir à ses côtés, passant un bras le long de ses épaules. « Alors, tu vas te déshabiller pour moi ? » Un large sourire en coin avait prit possession de tes lèvres, zieutant le haut et le bas de sport qu'il n'avait pas encore eu le temps d'enfiler. C'était très bien pour toi, qui allait surement pouvoir profiter du spectacle.
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Neo

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J'ai posé bagages ici le : 29/10/2013 Jouant le rôle de : Cheshire, l'esprit étrange sous forme féline. #teamwonderland Nombre de messages : 434 On me connait sous le pseudo : wednesday' (cam). Un merci à : hey jude (avatar) Je suis fier(e) de porter l'avatar de : rdj, la perfection.
MessageSujet: Re: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyVen 27 Déc - 1:22


   
LUCKARY❧ I hate you almost as much as I love you.
Zack ressemblait à un demeuré. Il zieutait chaque couloir, chaque porte et chaque escalier, plissant les yeux dès qu'il entendait un bruit, et évidement n'écoutant pas un mot de l'histoire passionnante que lui racontait son meilleur ami sur l'épisode de White Collar passé la veille à la télévision. Lui, les abdos de Matt Bomer, ça ne l’intéressait pas pour l'instant, ce qui l’intéressait vraiment, c'était de vérifier qu'un certain individu -et pas des moindres- n'était pas là. Au fond, il savait très bien que c'était un espoir ridicule parce que, pour une raison qui lui échappait, Luc venait tout de même en cours, et qu'il était rare qu'il soit absent toute la journée, contrairement à ce qu'on pouvait penser. Certainement qu'il était trop attaché à ses plans culs du lycée. L'ex chien poussa un soupir. « Hey babe. » Il sursauta violemment, manquant de pousser un cri. Il fallait dire que pour une surprise, c'était une sacré surprise. Il se retourna violemment, les yeux ronds, mais ayant déjà reconnu le pervers rien qu'a sa voix. Le visage de Zackary passa du blanc surpris au rouge tomate, il cligna des yeux, voyant déjà le chat s'éloigner. Tiens donc, il l'avait donc trouvé. Finalement, il n'aurait même pas dû se donner la peine de le chercher... Il inspira, alors que son meilleur ami le fixait avec un drôle d'air. « Heu... » dit-il de sa voix grave alors que Volt serrait les poings et claquait la langue. « Laisse tomber ! » grogna-t-il entre ses dents.

Il pressa le pas, perdant quelque peu Rhino en route qui avait du mal à suivre. Il fallait dire que la colère bouillonnante de Volt le faisait marcher très vite. Il atteignit le gymnase en un rien de temps, et entra dans les vestiaires en pinçant les lèvres. Comme à son habitude, il alla s'installer bien au fond, dans son coin. Ce n'était pas qu'il n'aimait pas les autres garçons mais... Ils étaient tous tellement cons... La moindre de leur conversation se résumait simplement en trois mots : boobs, porn et fight. Ils se disaient tous différents mais au fond, c'étaient tous les mêmes: des crétins sans nom. Alors Zack, alias Volt, préférait s'éloigner un peu. On avait beau dire que Rhino était un peu idiot, il l'était mille fois moins que ces crétins de « sportifs ».

Zackary ouvrit son sac de sport, en extirpant une bouteille d'eau, un jogging et un t-shirt. Il avait toujours un peu de mal à s'y faire avec les joggings. A vrai dire cette obligation qu'avait les humains de changer de tenue pour pouvoir faire du sport le gonflait un peu. Mais bon, ce n'était pas comme si il avait le choix. Il passa un main dans ses cheveux, et aperçu une bombe marcher vers lui. Il serra alors les dents, détournant le regard, se préparant au choc. « Alors, tu vas te déshabiller pour moi ? »  Il cligna des yeux, toujours un peu surpris par les manières de Luc, donc il commençait à avoir l'habitude pourtant. Ce type n'avait aucune pudeur, ni état d'âme. Zack sentit ses poils se hérisser en sentant le bras du brun contre ses épaules, il poussa un grognement et le repoussa. « Certainement pas, dégage. » dit-il en lui adressant un regard noir, se relevant pour échapper à ses bras mais surtout à son odeur absolument délicieuse qui le rendait totalement fou.

Il vit la plupart des garçons quitter le vestiaire, dont Rhino qui discutait avec un roux portant un jogging beaucoup trop grand pour lui. Zackary écarquilla les yeux. « Je vais être en retard en cours ! » dit-il, surpris. Il posa ses doigts sur sa braguette, voulant la descendre, puis son regard se posa sur des pieds juste en face de lui et il déglutit. Luc. Il l'avait presque oublié sur le coup. Il leva les yeux vers lui. « Laisse moi m'habiller tranquille, merde ! » Il pinça les lèvres, tenant son pantalon de jogging dans ses mains. Ce n'était pas parce que le chat l'avait vu une fois nu -et dans une position très... Gênante- que cela devait se reproduire. Zack gonfla un peu les joues. « Luc bordel, je vais être en retard ! » gémit-il, le regard plein de haine.

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MessageSujet: Re: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyVen 27 Déc - 19:01


   
LUCKARY❧ I hate you almost as much as I love you.
Dire que tu étais assez content de ton petit effet était un euphémisme. La manière dont il avait sursauté, celle dont il s'était retourné d'un coup vers toi alors que tu étais déjà sur le point de partir, il fallait l'avouer, tu te sentais très fier de toi à ce moment-là. C'était, pour toi, une manière de lui montrer que tu étais toujours là, une manière de lui montrer que tu n'avais pas encore disparu de la surface de la terre, chose qu'il semblait croire depuis que tu l'avais mit dans ton lit. Il était certain, évidement même, qu'il devait croire que quelque chose t'étais arrivé, que tu t'étais envolé, que tu avais changé de ville, que tu étais mort peut-être même, car sinon, tu ne comprenais pas. Sinon, ça voulait dire que Zackary te fuyait délibérément, faisait tout pour ne pas avoir à se retrouver avec toi dans la même pièce ou te parler. Tu l'avais remarqué, sans trop comprendre pourquoi. Maintenant que toi, la seule chose dont tu avais envie était de te retrouver encore plus avec lui pour espérer le retrouver une nouvelle fois nu dans ton lit, de son côté, Zackary ne prenait même plus le temps de te dire bonjour le matin, alors que vous étiez amis avant que tout n'arrive. Tu existais toujours, tu étais bien là, et tu comptais bien lui montrer. Tu voulais donc profiter de ce temps dans les vestiaires à bon escient, espérant peut-être lui faire un peu baisser sa garde, au minimum te rapprocher de lui. Ce qui n'était vraiment plus si facile ses derniers temps, Zackary étant devenu du genre à aboyer férocement, tel un chien sauvage dès que t'approchais d'un centimètre trop près de lui. C'était d'ailleurs ce qu'il faisait à ce moment-là même, alors que tu avais passé ton bras autour de ses épaules en une tentative d'approche. « Certainement pas, dégage. » Il grognait, repoussant ton bras par la même occasion alors qu'il était si bien précédemment contre lui. Tu fis une moue en le regardant se lever, une moue dans le genre super triste qu'aucun acteur Hollywoodien ne pourrait reproduire aussi bien que toi, à coup sûr. T'étais le meilleur dès qu'on te demandait de jouer la comédie, que ce soit juste un instant pour rire ou pour sauver ta vie. « Tu vas me rejeter comme ça ? C'est pas très gentil. » Et Zackary était du genre à vouloir être gentil et ne pas faire de mal aux gens, contrairement à toi. Tu te levais ensuite, te sentant un peu mieux quand tu remarquais la majorité des gens de ta classe quitter le vestiaires, étant déjà habillé et ayant hâte de commencer le cours de sport. Ils étaient tous fous ces jeunes, suicidaires presque. Ils avaient hâtent de faire du sport. Tu ne comprenais pas. « Je vais être en retard en cours ! » Tes yeux se reposèrent sur le jeune homme en face de toi, et ta langue passait sur tes lèvres un instant pour les humidifier, alors que tu espionnais le moindre de ses mouvements, et qu'il allait pour se déshabiller. Avant de s'arrêter juste avant qu'il descende sa braguette. « Laisse moi m'habiller tranquille, merde ! » Que de violence dans ces mots qui sortaient de sa bouche, que tu ne pu retenir de lever tes yeux au ciel un instant. Tu étais le Roi lorsqu'il s'agissait d'être dramatique dans une situation qui ne s'y apprêtait pas toujours, toujours à exagérer plus qu'il ne faudrait, mais cette fois-ci, il te fallait reconnaître que c'était lui qui poussait le côté dramatique. « Fais pas ton prude babe. » Tu lui répondais, croisant tes bras sur ton torse en le regardant de haut en bas. C'est vrai quoi, tu l'avais déjà vu entièrement nu et plus encore, il n'allait pas commencer à rougir tel une petite pucelle lorsqu'il s'agissait de seulement se changer devant lui, non ? Ce n'était pas comme s'il devait se mettre tout nu pour se changer, seulement enlever son pantalon pour en mettre un autre, manipulation qui prenait peut-être cinq secondes pour les plus rapides. « Luc bordel, je vais être en retard ! » Tu le regardais dans les yeux et Ouah, c'est qui était très énervé le Zackary. Il se mettrait à te taper là de suite que ça ne te surprendrait pas, avec son regard haineux. Qu'est-ce qu'ils avaient tous à vouloir aller en sport en plus ? Tu étais de bien meilleure compagnie qu'un gymnase puant la sueur. « Tu ne seras pas en retard, je vais même t'aider. » Tu lui promis, un sourire se dessinant sur tes lèvres alors que tu fis un pas pour te rapprocher de lui, puis un second. Tu n'étais pas sûr qu'il allait apprécier la petite idée qui s'était formée dans ton cerveau, mais tu n'en avais que faire. Tant que toi elle te plaisait, c'était toujours le plus important, toujours. Tu étais maintenant devant lui, tes pieds à quelques millimètres des siens, ton regard plongeant dans ses yeux noisettes, et tu le regardais intensément, avant d'enfin bouger un peu. Tes mains se dirigèrent vers le bas de son t-shirt, et tu finis par le lui enlever, tes doigts lâchant ensuite le vêtement qui tombait à terre. « Tu vois, je suis un mec plein de bonté, j'aime aider les gens. » Tes yeux détaillaient son visage un instant, avant de descendre admirer son torse maintenant nu. Il devrait d'ailleurs être interdit pour lui de se déplacer avec quelconque habits cachant son magnifique torse, quand toi tu n'avais qu'une envie, de le regarder encore et encore. Tu rapprochais ensuite lentement ton visage près de son oreille. « Surtout toi. » Tu finis, glissant les doigts de ta main droite sur son torse, un sourire en coin sur les lèvres.
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MessageSujet: Re: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyMar 31 Déc - 2:48


   
LUCKARY❧ I hate you almost as much as I love you.
Luc est un con. Luc est un con. Luc est un con. C'était ce que se répétait sans cesse l'ex chien depuis que l’intéressé le fixait droit dans les yeux. Zackary n'avait pas le droit à l'erreur. Mais pourtant, lorsque le brun le fixait comme ça, droit dans les yeux, il avait la sensation que son regard de braise lisait au plus profond de son âme, et qu'il ne pourrait jamais faire semblant de ne pas le désirer. Évidement qu'il le désirait, son corps entier réclamait celui du beau Lucifer, pourtant il n'avait pas le choix et devait réfuter à tout prix cette envie. Parce que le problème était là, contrairement à son interlocuteur, Zackary n'était pas avide seulement de sexe. Au contraire, pour lui le sexe était nécessaire, mais passait en second. A quoi pouvait bien servir une relation purement sexuelle ? Si c'est seulement pour se dépenser, autant faire un bon jogging ou coucher avec sa main... Pourquoi réquisitionner des personnes ? Zack était amoureux, mais Luc ne l'aimait pas. Il l'avait bien comprit ce fameux jour où ils avaient couché ensemble, et que le brun lui avait fait comprendre qu'il pouvait se casser une fois qu'il avait eu finit d'utiliser son corps. C'était un peu facile, surtout que notre héros n'avait pas eu la chance de se venger. Il avait fallut serrer les poings et juste encaisser, sans rien dire. Qu'aurait-il bien pu faire d'autre ? Tout casser chez Luc ? Ça aurait été bien futile. Il valait tout de même mieux que de se comporter comme une gamine ayant ses règles. Non, lui il fulminait de l'intérieur, littéralement. Luc n'en avait pas confiance, mais jamais Zack ne s'était sentit aussi humilié de toute sa vie. Et ça, il allait le lui payer ! ...Mais comment en vouloir à la personne qu'on aime sans doute le plus au monde ? C'était bien compliqué tout cela.

Toujours était-il que ce type était juste devant lui, et qu'il fallait bien répondre quelque chose. Un silence était une réponse qu'on disait noble, mais Luc ne les interprétait que par des oui, alors Zack devait savoir dire non à haute voix, et ne pas se laisser faire. Pourtant, ce n'était pas l'envie qui lui manquait...« Fais pas ton prude babe. » Dit-il, croisant les bras sur son imposant torse que le plus petit ne pu s'empêcher de détailler légèrement, c'était plus fort que lui. Babe ? Il pinça les lèvres, reposant les yeux sur son visage... Son magnifique visage de démon. « Je ne fais pas mon prude, c'est pas parce que tu m'as vu une fois à poil que ça doit recommencer d'accord ? Et puis même, j'ai le droit de ne pas vouloir me changer devant toi... » Rétorqua-t-il, d'un air boudeur et défiant, soutenant son regard, s’efforçant de paraître en colère et d'abandonner son petit air rêveur qu'il avait d'habitude lorsqu'il posait les yeux sur lui. Il voulait paraître indifférent, comme lui, comme si c'était habituel. Pourquoi lui ne pouvait-il pas passer pour un dur caïd aussi hein ? C'était le fait d'être trop gentil qui l’efféminait autant ? Non. Même Superman faisait plus virile en portant des collants et un slip par dessus ! « Tu ne seras pas en retard, je vais même t'aider. » L'autre fit deux pas vers Zack, qui lui recula de deux, avant de s'écraser contre le mur. Merde. « D-De quoi ?! » dit-il, ne comprenant pas bien jusqu'à ce qu'il pose ses doigts sur son t-shirt et lui enlève d'un mouvement si rapide et si inattendu que le chien ne pu s'y opposer. Il se retrouva alors torse nu devant lui, son regard encré dans le sien, et vira au rouge tomate. « Tu vois, je suis un mec plein de bonté, j'aime aider les gens. » Il écarquilla les yeux. « Hey, non ! Arr - » Il fut surpris de constater que Luc admirait son torse avec une envie dans les yeux non dissimulée (ce qui le fit d'ailleurs, d'autant plus rougir). Un tel regard devait être interdit par la loi tant il prodiguait de sensation à notre héros, qui frémissait. C'était quoi ça ? On aurait dit qu'il était prêt à lui sauter dessus... Il fut tellement chamboulé qu'il ne pensa même pas à bouger lorsque le brun se rapprochait un peu plus pour aller mordiller à son oreille : « Surtout toi. » Zackary leva la main, par reflex, voulant la poser sur les épaules du beau démon, comme pour lui dire de continuer. Mais il stoppa son geste: il ne devait pas laisser des réflexes stupides conforter le chat dans son attitude, il était déjà beaucoup trop sûr de lui, et cela prodiguait au chiot autant de plaisir que de rage. La cerise sur le gâteau ne tarda d'ailleurs pas à arriver, alors qu'il posait ses mains sur le torse du cinéphile, qui frémissait de plus belle, poussant même un tout petit gémissant, mais réagissait au quart de tour. Non, non. Là c'était trop, si il le laissait faire, il pouvait faire une croix sur son désir de vengeance. Il attrapa son poignet. « Arrête, Luc ! » s'écria-t-il, se dégageant de ses bras puis s'empara de sa bouteille d'eau qu'il lui lança en plein visage. « Je suis pas un jouet, d'accord ?! » grogna-t-il, des flammes dans les yeux, balançant ce qu'il aurait dû lui balancer ce fameux soir, où il s'était sentit ridiculisé. « Si tu cherches un truc pour t'exciter, vas sur youporn et couche avec ta main, moi on me prend pas et me jette pas après comme une merde ! » il s'exclama, avant de traverser la pièce pour aller enlever son pantalon, et se retrouver dans son petit boxer moulant. Il lisait dans ses yeux un certain désir, autant le faire rager non ? Il bougea, attendant un peu pour mettre son jogging. La rage avait prit possession de lui, et sa timidité avait laissé place à un Volt beaucoup plus intéressant, et sûr de lui. Il fallait bien, du moins essayer, de faire le poids devant cet espèce de démon irrésistible.

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MessageSujet: Re: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyMar 31 Déc - 14:26


   
LUCKARY❧ I hate you almost as much as I love you.
« Je ne fais pas mon prude, c'est pas parce que tu m'as vu une fois à poil que ça doit recommencer d'accord ? Et puis même, j'ai le droit de ne pas vouloir me changer devant toi... » C'est vrai, il avait le droit, mais ça serait beaucoup moins marrant pour toi, n'est-ce pas ? Quel serait ton plaisir s'il se déshabillerait à l'abri de ton regard ? Aucun, exactement. Et ce serait une honte. Il soutenait ton regard, comme si c'était son défi, son challenge à tout prix. Ne pas détourner le regard, montrer qui était le maître ici. Et toi, tu continuais à le regarder aussi, yeux paisibles contre ses iris de colères, deux émotions bien différentes l'une de l'autre. Puis finalement, tu finis par lui dire que tu vas l'aider, qu'il n'avait pas à s'inquiéter d'arriver en retard en sport, et que s'il ne se sentait pas de se changer devant toi, et bien, tu allais le faire pour lui, aussi simple que cela. Il n'avait surement pas très bien compris où tu voulais en venir en te voyant t'approcher de lui, si près, presque collé. Puis tu lui enlevas enfin son t-shirt, et tu fus instantanément ravis de voir ses joues rougir de la situation. Tu décidais d'en jouer un peu plus, ce qui ne lui plaisait pas. « Arrête, Luc ! » Finit par s'écrier l'ancien chien en attrapant ton poignet afin de se dégager de ton emprise. Cela te fit grogner légèrement, franchement, il n'était vraiment pas drôle de casser ton petit délire. Vous n'étiez pas bien là, tous les deux, une seconde auparavant ? Ton souffle chaud contre son oreille, tes doigts se baladant le long de son torse ? Et qu'il n'ose pas dire non si jamais tu lui demandais, car tu avais bien vu l'effet que cette simple touche lui procurait, tu avais bien entendu le léger gémissement qu'il n'avait pu retenir entre ses lèvres avant qu'il ne s'en rende compte et qu'il se force à rejeter le plaisir que tu commençais à lui procurer. Pourquoi fallait-il toujours qu'il se freine, qu'il se retienne ? Pourquoi ne pouvait-il pas simplement se laisser aller ? Tu ne voulais pas ça, tu ne voulais pas qu'il s'oblige à rejeter la moindre de tes touches, le moindre de tes contacts. Et tu savais qu'il était capable du contraire, tu t'en souvenais. Et c'était ça que tu voulais. Ce que tu voulais toi, c'était retrouver l'autre Zackary, celui qui répondait à chacun de tes frôlements, celui qui haletait dès que ton souffle était un petit peu trop près de certaines parties de son corps. Tu voulais retrouver le Zackary que tu avais pu admirer sous toutes les coutures l'autre nuit, et non celui qui se retenait malgré ses envies. Tu attrapais rapidement la bouteille d'eau qu'il te lançait dessus, grâce à tes vieux réflexes de chats que tu avais toujours - dieu merci, juste avant que cette-ci prenne impact sur ton beau nez. Allons, bon, quel était son but maintenant ? Te défigurer ? « Je suis pas un jouet, d'accord ? » Tu levais un sourcil en l'entendant grogner, et tu soupirais en secouant ta tête, avant d'ouvrir la fameuse bouteille d'eau maintenant entre tes mains et de boire quelques gorgées. Cette conversation commençait à prendre un tournant que tu n'aimais pas particulièrement, voir pas du tout. Ce n'était pas du tout ce dont vous étiez censé faire, censé parler. Depuis le temps, vous devriez être déjà nus, dans les douches et baiser passionnément et surtout à répétitions, avec les deux heures de sport de votre classe qui vous assurait deux heures libres et vides dans le vestiaire. Seulement, Zackary s'efforçait à faire son difficile, et ne mettait pas du tout cet incroyable temps libre à contribution. Pourquoi fallait tu que tu sois obsédé par le corps d'un mec qui ne se laissait pas faire ? C'était fatiguant. Tu ne préférais pas répondre à cette attaque, sentant déjà la migraine arrivée si tu allais devoir commencer à parler sentiments et humanité. « Si tu cherches un truc pour t'exciter, vas sur youporn et couche avec ta main, moi on me prend pas et me jette pas après comme une merde ! » A ce moment-là, tu t'étais concentré, il fallait l'avouer, que sur le début de sa phrase. C'était la partie la plus importante non ? La plus intéressante aussi. « Pour quoi faire ? J'ai qu'à te regarder si j'ai envie d'être excité. » Tu lui répondais donc, un sourire amusé sur les lèvres en le détaillant de haut en bas maintenant qu'il enlevait enfin son pantalon pour se retrouver dans son petit boxer qui lui allait très bien. T'avais cette lueur d'envie dans le regard, de désir, et t'avais juste envie de t'approcher une nouvelle fois de lui, avant que ton cerveau ait la mauvaise idée d'analyser la suite de sa phrase précédente. Tu serrais les poings malgré toi, sentant l'énervement pointer le bout de son nez, lentement, mais surement. Putain, tu allais être obligé à parler sentiments hein ? Fait chier. « Mais arrête de faire ta putain de victime ! » Tu finis par t'écrier, montrant que toi aussi, malgré ton calme légendaire et tes sourires calculateurs, tu pouvais avoir de la voix et t'énerver quelques fois. Il n'arrêtait pas de t'accuser, t'accuser toi de ses malheurs, et ça te saoulait. Déjà, tu n'avais jamais fait bon ménage avec les accusations. Pour le savoir, il suffisait de se souvenir de toi en chat. Ça se voyait déjà dans le dessin-animé qu'ils avaient fait de tes aventures - enfin, celle de mademoiselle Cendrillon, mais t'étais super important toi aussi, fallait pas l'oublier. Tu étais tellement un personnage à part et entier qu'au final, tu n'interagissais pas tant que ça avec Cendrillon dans le film, mais que ça n'empêchait pas de te mettre quand même de grosses minutes à l'écran, particulièrement lorsque Jac et les autres souris étaient présentes. T'aimais pas qu'on t'accuse de quoi que ce soit. Que cela soit vrai, que cela soit faux. Encore plus quand c'était faux. Des fois, t'aimerais revenir en arrière. T'aimerais revenir à ta vie de chat avant, où le matin, tu pouvais seul énerver volontairement Pataud puis jouer la comédie pendant qu'il perd son calme et se retourne sur toi juste pour que Cendrillon le punisse. Oh, quelle douce musique c'était à tes oreilles quand tu entendais la voix de la blonde écrier le nom du pauvre chien qui n'avait en vrai rien fait. C'était plus tout à fait pareil ici, et les gens avaient peut-être pour habitude de se venger de ce genre de choses. Tu t'en foutais un peu, des vengeances. C'était juste que dans ta tête, tu pouvais faire des choses, mais les autres ne pouvaient pas les faire à toi. T'accusais, les autres ne t'accusaient pas, c'était aussi simple que cela. Surtout qu'il n'arrêtait pas d'exagérer, le Zackary. « Si tu veux faire ton grand, et montrer que t'es fort et que tu peux te défendre tout seul, ce que tu essaies désespérément de montrer, tu dois arrêter. De faire ta putain. De victime. » C'était ça non ? L'espèce de rejet d'un coup, le contrôle de soit, la suppression de ses désirs lorsque tu étais dans la même pièce, pour ne pas qu'il se laisse aller ? C'était juste pour montrer qu'il pouvait être fort, qu'il n'était pas si faible que tu pouvais le croire. C'était ce qu'il devait penser être nécessaire pour se protéger de toi et de ta pression sur lui, ce qu'il devait penser être nécessaire pour lui afin de regagner son amour propre et sa dignité qu'il pensait peut-être avoir perdu quelques parts enfouit sous tes draps. Se montrer grognant, agressif. Montrer son regard plein de haine lorsque vos yeux ont le malheur de se croiser. Juste pour qu'il sente au fond de lui un peu de puissance. Pour qu'il goûte à cette force et cette confiance qui se bâtit et qui monte en lui, aussi éphémère soit-elle. T'aurais pu lui accorder ça, le laisser regagner sa force d'être humain qui allait se battre face à l'adversité. T'avais plus envie, après ce qu'il avait dit. « Ça t'éclate hein ? De me faire passer pour un monstre ? De me dépeindre comme une ignoble créature sans coeur et sans pitié ? Et bien tu sais quoi ? Si toi, toi plus que tous les autres, tu viens de t'en rendre compte, t'as qu'à t'en prend qu'à toi-même. » Tu crachais, le regard dur. Tu savais très bien comment tu étais. Il n'y avait pas besoin de t'analyser cinquante fois pour comprendre un peu ta vision des choses et le comportement que tu pouvais avoir sur plusieurs sujets. Les gens le voyaient bien, quand tu leur laissais l'opportunité. Mais là, on parlait de coucher ensemble, et ça avait encore moins de secret pour les gens. Ceux derrière leurs écrans, qui regardaient tes vidéos sur youtube, ils pouvaient se tromper. T'essayais de dépeindre un portrait de toi pas complètement faux, mais pas totalement vrai non plus. C'était ça qui était bien avec le virtuel. Ils ne te connaissaient pas vraiment, la majorité ne te rencontreront jamais, et ils pouvaient donc fantasmer sur une idée de toi, sur la personne joyeuse et sensible et aimante que tu pouvais être. Ce n'était pas totalement faux car t'étais souvent joyeux, il ne fallait pas s'y méprendre. Faire des farces aux gens te rendait comme ça, et t'étais juste quelqu'un qui montrait facilement son sourire, même à des inconnus. Tu savais comment être sociable et te faire aimer. Pour la sensibilité ou l'âme aimante ... Ce n'était pas tout à fait pareil. Ils voyaient ce que tu voulais bien leur montrer, ce qui était plus dur à faire dans la vraie vie. Mais, ça n'empêchait pas le fait que jamais tu ne t'étais dit quelqu'un de très sentimental. « On était pas censé être pote avant que tu trouves nécessaire de me fuir ? Arrête de faire comme si tu ne m'avais jamais rencontré avant que je te baise. Tu connaissais très bien comment j'étais et quel était mon caractère. » C'était ça qui t'énervait. Que d'autres peuvent se méprendre, malgré le fait que la majorité des personnes au lycée devait le savoir, ça passait, mais lui... N'était-il pas censé être ton ami ? N'était-il pas celui qui traînait souvent avec toi et Sea ? Celui avec qui il vous arrivait de vous poser dans ta chambre au Méli Mélo House et de mater le plus d'épisodes d'une série possible en une journée, allongé avec une montagne de bouffe sucrées et salées sur le lit ? S'il est censé être si proche de toi, ça voulait dire qu'il était censé te connaître un minimum non ? Peut-être même mieux que bien d'autre. Il savait bien, que tu baisais pleins de gens. Que c'était peut-être même l'un de tes passe-temps favori. Tu ne t'en cachais pas, de changer tous les jours, tu riais sur ça, t'en parlais librement. Pourquoi faisait-il comme s'il ne le savait pas ? « Arrête de faire comme si j'étais le mec le plus romantique de la terre avant ça et que j'ai changé juste avec toi. » Tu croisais une nouvelle fois tes bras sur ton torse, comme une espèce de mécanisme de défense cette fois-ci. Tu ne lui avais rien promis. Ni pétales de fleurs, ni chocolat, ni pouvoir dormir à tes côtés dans ton lit pour le restant de ses jours. Tu ne lui avais même pas dit « Je t'aime » quand lui te l'avais avoué, malgré le fait que tu aurais pu facilement mentir pour l'avoir dans ton lit. Tu aurais pu lui dire, sans ressentir de remords après, mais tu ne l'avais pas fait, t'avais estimé en avoir besoin, et t'avais eu raison. Il ne pouvait donc même pas dire que tu l'avais trompé, que tu lui y avais menti, quand la seule chose que t'ai fini par lui demander c'est s'il voulait venir chez toi. Tu pris une grande inspiration, afin de te calmer, afin de faire retomber la pression d'un coup. Tu bues une nouvelle fois dans sa bouteille, la gorge légèrement sèche d'avoir parlé, puis tu la posa sur l'un des bancs à côté de toi. Tu le voyais, maintenant plus loin de toi, presque nu si ce n'est ce bout de tissu appelé boxer. Ton fidèle sourire en coin réapparu, lentement, et t'avançais vers lui, prenant ton temps, pas après pas, tel un chat. Tu le plaquais doucement contre le mur, son torse contre ce dernier, enlaçant sa taille en bloquant ses bras en même temps, qui étaient le long de son corps. Ton torse était contre son dos, et tu fis un petit mouvement de bassin, frottant un peu ta semi-érection emprisonnée dans ton jeans contre ses fesses deux-trois fois, lâchant un petit « Allumeur. » contre son oreille avant de lâcher prise et de s'éloigner de lui, satisfait.
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MessageSujet: Re: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyMar 31 Déc - 16:05


   
LUCKARY❧ I hate you almost as much as I love you.
« Pour quoi faire ? J'ai qu'à te regarder si j'ai envie d'être excité. » Décidément, on ne le changerait pas. Même dans sa colère, Zackary ne pu s'empêcher de se sentir un peu flatté. De la part d'un mec aussi canon que Luc, il fallait dire que ça faisait très plaisir...Mais allez, il ne fallait pas se laisser aller. Même si à ce moment là, il était plutôt assez satisfait de lui. Il n'aurait jamais pensé avoir la force de lui dire non. Il avait réussit à mettre ses sentiments de coté deux minutes, pour vraiment lui dire ce qu'il pensait, même si l'idée de parler ne semblait pas vraiment enchanter Luc, qui roulait déjà les yeux. Eh bien oui, parfois on ne réglait pas tout par la baise, surprise ! Cependant, alors que Zack s'attendait à une réponse évasive, souhaitant rapidement clore le sujet, Luc écouta très attentivement et répondit tout autre chose : « Mais arrête de faire ta putain de victime ! » s'écria-t-il d'un seul coup, alors que Zack écarquillait les yeux, surpris. Sa victime ? Sans doute en avait-il fait un peu trop, mais de là à dire qu'il faisait sa victime ? Mais merde, ce n'était pas comme si il avait joué à cache-cache ce jour là, il s'était bien passé quelque chose dans ce lit, comment pouvait-il autant minimiser cela ? Il avait bien comprit que pour lui le sexe ce n'était rien, mais pourquoi refusait-il de comprendre que cela pouvait-être très important pour d'autre ? Il ouvrit la bouche pour répondre, mais déjà l'autre poursuivait, enragé d'un seul coup : « Si tu veux faire ton grand, et montrer que t'es fort et que tu peux te défendre tout seul, ce que tu essaies désespérément de montrer, tu dois arrêter. De faire ta putain. De victime. » Ouah. C'était très choquant. Zack cligna longuement des yeux, vraiment surpris. C'était très rare de voir le chat dans un tel état, lui qui était toujours si calme et si évasif, comme si rien n'était jamais grave. Il perdit un peu de sa rage sur le coup, avant d'analyser ce qu'il disait. « Mais je fais pas ma victime ! » Il soutenait le regard de Lucifer, sans mal cette fois. Il fallait discuter, c'était important. Il ne devait pas perdre de son assurance, parce qu'il connaissait Lucifer, il savait mélanger réalité et mensonge pour tourner cela à son avantage. Il n'avait pas tord, mais jamais totalement raison. Il fallait vraiment écouter ce qu'il disait, et décortiquer le vrai du faux, l'exagération de la réalité... Luc était très bon orateur, lorsqu'il décidait d'abandonner son petit air dragueur pour celui du type sérieux en colère. « Ça t'éclate hein ? De me faire passer pour un monstre ? De me dépeindre comme une ignoble créature sans coeur et sans pitié ? Et bien tu sais quoi ? Si toi, toi plus que tous les autres, tu viens de t'en rendre compte, t'as qu'à t'en prend qu'à toi-même. On était pas censé être pote avant que tu trouves nécessaire de me fuir ? Arrête de faire comme si tu ne m'avais jamais rencontré avant que je te baise. Tu connaissais très bien comment j'étais et quel était mon caractère.  Arrête de faire comme si j'étais le mec le plus romantique de la terre avant ça et que j'ai changé juste avec toi.  » Il eut alors une sorte de déclic dans l'esprit de Volt, juste après cette tirade. Son regard se radoucit, et il se mit à observer son ancien ami avec un regard tout à fait différent. C'est vrai ça, il le connaissait bien avant de coucher avec lui, et là était tout le problème. Il inspira, croisa les bras, et se mit à parler d'une voix plus posée, réfléchissant tout à fait à ce qu'il allait dire. « Le problème est là. » Il leva les yeux vers lui. « Toi aussi tu me connaissait avant que l'on couche ensemble Luc. Joue pas au con, tu savais très bien ce que je voulais. Fais pas le mec qui n'a pas compris que j'étais puceau et amoureux de toi. Tu savais très bien que je cherchais bien plus qu'une partie de jambe en l'air, je ne fais pas ma victime. » Il ne bougea pas de sa place, le regardant longuement. « J'exagère c'est vrai, mais t'as l'air de faire comme si ne te ça signifiait rien pour moi cette première fois, et tu fais genre le mec qui s'en fout et qui de toute façon n'a jamais été romantique. Dans ce cas fallait me répondre que tu m'aimais pas, et puis voilà. C'était nécessaire de m'attirer chez toi pour me baiser après ? Bien sûr que non, pourtant tu l'as fais, alors fais pas ton innocent. T'es autant responsable que moi dans cette histoire. » Il baissa les yeux vers ses pieds nus. « Et moi j'ai aussi joué au con, parce que j'ai cru que ça pouvait être plus que de la baise, alors qu'au fond tu m'avais laissé pleins de signes qui montrait le contraire. Tu sais très bien pourquoi je te fuis, la vérité c'est que t'as pas l'habitude de voir ça. Excuse moi mais moi je suis pas comme tous les cons que tu te tape après les cours un peu partout dans le lycée. » Il conclu, se rasseyant sur le banc, toujours en boxer. Il se demandait si il avait écouté, ou si il avait décroché. Enfin bon, au moins il avait dit ce qu'il pensait. Il soupira. Pourquoi était-ce si compliqué ? Deux points de vue tout à fait différent s'affrontait, et c'était difficile de reconnaître la vérité car aucun des deux n'avait tord. Pour une fois, le chiot aurait préféré avoir totalement raison et pouvoir partir en ayant déversé toute sa haine, seulement voilà, lui aussi avait eu tord quelque part. Il avait été idiot de se laisser embarquer la dedans, alors qu'au fond il savait très bien que Luc n'était pas son genre. « Au départ je voulais juste t'avouer mes sentiments pour me soulager, pas pour te chauffer. » ajouta-t-il avec une mine songeuse, regardant ailleurs. Il inspira, ne remarquant pas que le chat faisait quelques pas vers lui, et le plaquait soudainement contre le mur. Notre héros écarquilla les yeux, se retrouvant la face collée contre le mur. « Qu'est ce que tu... ?! » dit-il, pensant avoir totalement anéanti l'excitation du chat après cette engueulade. La semi érection qu'il sentait contre ses fesses lui prouva le contraire. « Mais...Han...Arrête toi là ! » Un autre gémissement s'échappa d'entre ses lèvres, accompagné d'un couinement. Il se laissa tomber au sol lorsque Luc le lâcha. « Allumeur. » Il inspira, se tourna vers lui. « C'est toi qui dis ça... » Il déglutit, au fond ils n'avaient pas vraiment avancés. Même après ce dialogue. « ...Excuse moi pour la bouteille, ça non plus ce n'était pas nécessaire. » dit-il, allant la ramasser puis attrapant enfin son jogging pour l'enfiler. Mieux ne valait-il plus jouer avec le feu. Il se tourna vers le mur, pour ne pas que Luc voit sa demie-érection à lui aussi, il aurait été trop fier de constater que son frottage avait fortement excité le petit brun... Et puis merde, pourquoi ce jogging était-il aussi moulant ?

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MessageSujet: Re: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyDim 5 Jan - 3:28


   
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Il t'avait prit d'un comme ça, d'un coup, ce coup de colère. Si subitement que tu ne l'avais même pas sentit arriver, si subitement que tu n'avais rien pu faire pour le contrer. Tu avais la réputation d'être quelqu'un de toujours très calme, même dans les pires moments. Quelqu'un pouvait tout faire pour essayer de t'énerver pendant des heures, sans te lâcher une seule seconde, que tu restais de marbre. Bien évidement que ça te saoulerait, mais tu savais aussi que tu pouvais lui faire payer autrement. C'était ça ta force, rester calme. Impassible face à des gens trop imbéciles, c'était le genre de réaction - ou plutôt non réaction - qui prenait les gens de cours et les déstabilisaient, quand ils pensaient te mettre hors de toi. C'était peut-être pour cela que tu étais assez bon avec les enfants en bas âge, tu avais la patience d'attendre et de ne pas t'énerver coûte que coûte. Cette fois-ci par contre, cette boule de nerf t'avais prit de plein fouet. Cela pouvait t'arriver, de ne pas sentir une montée de colère et de devoir finalement la subir, atteindre que le feu s'éteigne de lui-même, tout cela car tu n'avais pas réussi à prévenir cette émotion et que tu n'avais pas pu la supprimer précédemment. C'était néanmoins bizarre cette fois-ci. Il ne t'avait suffit que d'entendre Zackary, l'entendre parler de ce que tu avais fait l'autre soir, pour te laisser submerger par ce que tu pensais de lui à ce moment-là et l'impossibilité de taire tout haut tes réflexions. « Mais je fais pas ma victime ! » Il répondait, l'air assez surpris tu devais te l'avouer, face à tes deux premières attaques. Et toi, tu n'avais qu'une envie, celle de soupirer devant son aveuglement. Bien sûr que si, il l'a faisait. Tu avais compris ce que tu avais fait, tu savais bien que tu avais couché avec lui ce jour-là, et qu'après, plus rien. Tu avais été là, toi aussi. Tu savais que tu lui avais fait comprendre qu'il fallait qu'il parte et que la soirée avait été complètement finie pour toi. Tu l'avais jeté juste après l'avoir utilisé, tu en étais conscient. Et après ? Il n'était pas obligé de te ressortir le même refrain à chaque fois qu'il le pouvait , juste pour montrer à quel point tu étais un mauvais garçon qui l'avait brisé en quelques minutes. Il allait s'en remettre de cette histoire, il n'en était pas mort à ce que tu saches. Tu ne pris même pas la peine de répondre à cette remarque par un « si », car ça pouvait ne jamais finir si lui affirmait ne pas faire sa victime, et que toi tu affirmais le contraire. Il t'avait donc écouté te plaindre, alors que tu lui disais à quel point tu en avais marre qu'il te fasse passer pour le méchant dans l'histoire. Lui aussi était un minimum responsable non ? Il te connaissait. Il n'était pas l'une des victimes que tu avais pu tromper facilement dans le lycée, car lui connaissait ton caractère. Il te regardait dans les yeux, continuant à être surpris par ce que tu pouvais lui reprocher, avant que quelque chose dans ses yeux change à la fin de ta tirade et que lui se mette à son tour à parler, mais d'une voix calme et posée. « Le problème est là. Toi aussi tu me connaissait avant que l'on couche ensemble Luc. Joue pas au con, tu savais très bien ce que je voulais. Fais pas le mec qui n'a pas compris que j'étais puceau et amoureux de toi. Tu savais très bien que je cherchais bien plus qu'une partie de jambe en l'air, je ne fais pas ma victime. J'exagère c'est vrai, mais t'as l'air de faire comme si ne te ça signifiait rien pour moi cette première fois, et tu fais genre le mec qui s'en fout et qui de toute façon n'a jamais été romantique. Dans ce cas fallait me répondre que tu m'aimais pas, et puis voilà. C'était nécessaire de m'attirer chez toi pour me baiser après ? Bien sûr que non, pourtant tu l'as fais, alors fais pas ton innocent. T'es autant responsable que moi dans cette histoire. Et moi j'ai aussi joué au con, parce que j'ai cru que ça pouvait être plus que de la baise, alors qu'au fond tu m'avais laissé pleins de signes qui montrait le contraire. Tu sais très bien pourquoi je te fuis, la vérité c'est que t'as pas l'habitude de voir ça. Excuse moi mais moi je suis pas comme tous les cons que tu te tape après les cours un peu partout dans le lycée. » Tu n'avais pas envie de répondre à tout ça, pas du tout. Tu n'avais pas envie d'écouter, et si t'aurais pu, tu te serais bouché les oreilles et t'aurais chanté fort par-dessus afin de ne rien entendre de sa longue tirade. Si seulement t'avais pu faire ça, ça aurait le bonheur absolu. Mais non. Être responsable, éviter de faire le gamin, ça passait aussi par là, et t'étais obligé de rester devant lui, et de souffrir. Tu détestais ça. Tu l'écoutais, mais tu détestais chacune des secondes qui s'écoulaient. Pourquoi il était obligé de parler de ça comme ça ? Pourquoi il était obligé de rajouter ses sentiments au tout, quand toi tu voulais juste de bonnes parties de jambes en l'air avec lui ? Il fallait qu'il te ressorte qu'il était amoureux, il fallait qu'il te ressorte que c'était important pour lui. Et toi, t'étais planté là, et tu ne savais pas quoi répondre. Tu pouvais dire que c'était aussi important pour toi, et qu'au fond, tu pouvais peut-être avoir des sentiments pour lui qui naîtront bientôt... Mais c'était faux. Tu pouvais aussi d'un autre côté lui rappeler que tu n'étais pas du genre à t'en soucier, des sentiments des autres, et que tu te fous un peu du fait qu'il soit amoureux de toi, mais ça l'éloignerait encore, le pousserait à te fuir et tu pouvais surement faire une croix pour recoucher avec lui dans le futur. C'était un dilemme, un cruel dilemme. Et tu te retrouvais au point où quoi que tu dises, ça te retomberait dessus soit de suite, soit dans un futur proche. Ta voix était redevenu plus calme, la tempête précédente maintenant passée. « Mais je suis comme ça. Quand j'ai l'envie de baiser, quand j'ai ma cible en vue, je ne fais pas attention aux sentiments que peuvent avoir les autres. Je me préoccupe de moi, que de moi. C'était une occasion trop grande que je ne pouvais pas laisser passer en te disant juste que je ne t'aimais pas. » Parce que c'est ça, au final. Des occasions de baiser. Chaque corps en était un à sa manière, et toi, t'étais le collectionneur, pour une nuit, pour une heure. Dès qu'un beau mec avait le malheur de passer dans ton champ de vision, tu ne réfléchissais pas plus à si tu allais tenter ta chance ou pas, tu le faisais, voilà tout. Tu réfléchissais intérieurement à ta technique, et tu sautais le pas. Il y avait des oui, il y avait des non. Beaucoup de oui. Des homosexuel qui ne s'assument pas, des hétérosexuels curieux ou en manque, des bisexuels libertins qui n'échappent jamais une occasion de s'amuser. Tu piochais, tu faisais ton marché, tous les jours. Zackary avait juste eut la malchance de t'avoir dévoilé ce qu'il ressentait, et voilà que toi aussi, tu l'avais emprisonné, prit pour cible. « J'étais obligé de te proposer de venir chez moi. Tu aurais pu dire non. Tu te doutais bien que ce n'était pas pour jouer aux cartes. » Il était difficile, d'admettre que tu avais pu faire une erreur quelque part, de reconnaître que tes agissements n'avaient pas été justes et bons. Là encore, tu remettais la faute sur Zackary, tu lui montrais que c'était lui qui aurait dû repousser tes avances car il était en parfaite connaissance de qui tu étais et de ce que ton invitation voulait sous-entendre, sans voir que lui avait été aveuglé par ses sentiments, étouffé d'un espoir qui ne s'était révélé qu'illusion à la fin de la soirée. « Au départ je voulais juste t'avouer mes sentiments pour me soulager, pas pour te chauffer. » Tu n'avais jamais su quoi répondre à ça. C'était l'une des raisons pour laquelle tu détestais ce genre de déclaration d'amour - tu ne savais que répondre. A vrai dire, ça te mettait un peu mal à l'aise. Tu ne retournais pas les sentiments de la personne en face de toi, mais en même temps, Zackary était un ami, alors tu n'avais pas vraiment envie de lui dire que non, toi tu ne lui trouvais rien de spécial pour qu'il soit ton petit-ami, d'une manière brusque et cruelle. C'était peut-être ça le problème, qu'il ait été ton ami. Il y aurait toujours ce mini sentiment d'affection amical quoi qu'il se passe, et c'était peut-être ça qui posait le gros du problème. C'était tellement plus facile quand tu étais face à des gens dont tu te foutais royalement et que tu n'avais peut-être vu qu'une fois de ta vie dans les détours d'un couloir. Eux, tu pouvais les briser facilement, d'un battement de cil. « Je ne comprends pas pourquoi tu insistes avec tous ces sentiments superflus, quand tu vois que la seule chose qu'ils te rapportent, c'est du mal. » Tu le regardais, fronçant les sourcils. Cela avait l'air d'une accusation de ta part, mais c'était aussi, au fond, une réelle question. Avoir des sentiments si fort pour une personne, c'était s'emprisonner à elle, abandonner sa liberté pour elle, et quand tu en voyais sombrer pour des je t'aime non mutuel ou des infidélités découvertes, tu avais du mal à comprendre. La vie n'était-elle pas mieux, libérée de toutes chaînes, libérée de tout poids ? Étant de moins en moins à l'aise avec la conversation, et le voyant comme ça, en boxer, tu décidais de te rapprocher une nouvelle fois de lui, le planquant contre le mur. Comme ça, il ne pouvait s'échapper, et il était à ta merci, ce qui ne faisait rien pour calmer ton membre qui ne réclamait que lui. Tu ricanais en l'entendant réagir sous tes mouvements, et puis tu t'écartais, comme si rien ne s'était passé. « C'est toi qui dis ça ... » Tu haussais un sourcil interrogateur en le regardant, sourire à l'appuie. « Je ne suis pas un allumeur babe, c'est toi qui t'obstines à faire ton difficile. » Ça avait l'air mal agencé pour la partie de jambe en l'air, et à ce stade, t'étais presque sûr que rien n'allait - malheureusement - ce passé à cette heure-ci. « ... Excuse moi pour la bouteille, ça non plus ce n'était pas nécessaire. » Il dit en attrapant la bouteille que tu avais posée précédemment, avant d'enfiler son jogging. Oh, cette bouteille. Il était peut-être très bon viseur - si visé entre tes deux yeux avait été sa volonté première, mais il était aussi très dangereux avec ce genre d'arme entre les doigts. « Tu m'aurais moins aimé, la gueule défigurée. » Tu répondis en haussant un peu les épaules. Et toi, t'aurais été bien dégoûté si ta tête aurait été défiguré par une simple bouteille d'eau remplie. Cela aurait été la défiguration la plus naze et honteuse de la planète, et tu ne l'aurais pas pardonné d'avoir détruit ton si beau visage humain. « Bon on sèche ? » Tu lui demandais, levant ta tête vers lui et haussant un sourcil en questionnement. Cela faisait déjà de bonnes minutes que vous étiez dans ces vestiaires, à parler, et le cours avait surement déjà commencé depuis. Vous pouviez toujours y entrer rapidement, mais l'appel avait déjà été fait et cela faisait toujours con d'arriver dix minutes après le cours quand tout le monde était déjà en train de faire les exercices en duo ou en groupe. Et puis ... Le prof n'allait plus vous lâcher des deux heures après ce retard-là, et tu n'osais pas imaginer quelles idées il pourrait avoir pour ne plus que vous arrivez en retard, comme par exemple, te prendre afin de faire toutes les démonstrations des exercices avec lui, devant tout le monde. T'étais nul et tu détestais ça, tu faisais à peine les exercices quand on te les demandait, ce n'était pas pour faire les démonstrations devant tout le monde de ton talent. Pour toi, c'était raté pour le cours de sport d'aujourd'hui. Ce n'était pas comme si tu avais l'habitude d'adorer ça, au contraire, alors tu n'étais pas si triste que ça. Tu ne séchais pratiquement jamais par contre. Les cours, en général, étaient loin d'être tes passions, mais t'y allais quand même à la majorité, même si tu n'écoutais pas vraiment. « Et me fait pas le coup de l'intello, c'est que du sport. » Tu lui rappelais. En fait, tu n'allais pas prendre « non » comme réponse, tu le savais déjà. Et encore moins s'il voulait te sortir des excuses débiles sur les bienfaits du sport ou juste qu'il n'a pas les couilles pour, une fois dans sa vie, ne pas y aller. Tu n'allais pas y aller, et tu n'allais pas faire ça tout seul.
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MessageSujet: Re: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyLun 6 Jan - 22:43


   
LUCKARY❧ I hate you almost as much as I love you.
« Mais je suis comme ça. Quand j'ai l'envie de baiser, quand j'ai ma cible en vue, je ne fais pas attention aux sentiments que peuvent avoir les autres. Je me préoccupe de moi, que de moi. C'était une occasion trop grande que je ne pouvais pas laisser passer en te disant juste que je ne t'aimais pas. »  Un soupir s'échappa des lèvres du plus petit, pourquoi perdait-il son temps à vouloir s'expliquer avec lui ? Tout ce temps là, il le perdait bêtement. Luc ne l'écoutait même pas, totalement centré sur lui même, et sur son innocence. C'était comme ça. Il n'y avait rien à ajouter. Tout était rose. Enfin bref, il fallait qu'il arrête d'y penser parce que ça le mettait terriblement en colère. Même pas contre quelqu'un d'autre, même pas contre Lucifer, mais contre lui même. Il s'en voulait à lui même d'avoir été assez con pour tomber amoureux d'un pareil type. Ça en revenait presque à du masochisme là... Vous savez, comme lorsqu'on agite un bonbon devant votre nez, mais que vous ne pouvez le croquer. Tans pis. Il refusait d'abandonner ses idées pour lui. Ah ça non. Il ne pourrait devenir libertin, les parties de baise à droit et à gauche... C'était loin d'être son truc. Un jour sans doute il trouvera quelqu'un d'autre... Mais il pouvait oublier Lucifer. « C'est bon, j'ai compris. On clôt le sujet. » lâcha-t-il, pinçant les lèvres. Pas la peine de retourner le couteau dans la plaie : Luc ne l'aimait pas, ne l'aimerait jamais... Tout le monde avait comprit. La bouteille craqua un peu sous le poing de l'ancien chien, qui avait sans s'en rendre compte, serré les poings. Il n'avait plus envie de parler de cela, heureusement, le chat changea de sujet... Ou pas. « Je ne comprends pas pourquoi tu insistes avec tous ces sentiments superflus, quand tu vois que la seule chose qu'ils te rapportent, c'est du mal. » Zack leva les yeux vers son interlocuteur et lâcha un petit rire. « C'est bizarre, tu dis ça comme si ça se choisissait, de tomber amoureux. » Il se leva. « Tu penses vraiment que si j'avais eu le choix, c'est toi que j'aurai choisi ? » Il roule les yeux. « N'importe quoi. » Enfin bon, il devait être loin de s'imaginer à quel point il devait être à coté de la plaque, niveau sentiment. Luc, y comprend quoique ce soit en amour ? Certainement pas. Et Volt avait abandonné l'espoir que cela puisse changer. Il y avait des gens comme si, qui ne pensait qu'a leur queue... Et puis voilà. Le chiot rangea ses affaires, lorsqu'il se fit plaquer au mur, bandant de moitié, poussant un grognement. « Je ne suis pas un allumeur babe, c'est toi qui t'obstines à faire ton difficile. »  Il roula à nouveau les yeux. « Je ne fais pas mon difficile. » Il se tourna vers lui, tiltant « Mais au fait, t'es pas censé complètement m'ignorer maintenant qu'on a couché ensemble ? C'est vrai quoi, d'habitude tu lâches tout le temps tes anciens amants après une bonne partie de baise. Qu'est ce qui t’arrive, t'es malade ? » Il plissa les yeux, le défiant du regard. Oui il se fichait un peu de lui, mais ce n'était rien de bien méchant, et puis bon, il aimait lui tenir tête.... Non : il aimait lui tenir tête, ne pas l'écouter, pour voir son petit sourire taquin, et qu'il le regarde encore et encore. C'était tellement con... Il se faisait pitié lui même.

« Bon on sèche ? » Il cligna des yeux. Sécher l'heure de sport ? Est-ce que c'était bien raisonnable ça.. ? Ce n'était pas vraiment le genre de Zack de sécher les cours... Mais il avouait qu'il se serait passé volontiers d'un nouveau cours de sport débile, ou le seul but était de courir sans cesse, épuiser les élèves, puis les renvoyer vite en cours. Merci l'éducation nationale, très constructif. Il haussa les épaules. « Pour aller où ? » Luc ne tarda pas à imiter le mouvement d'épaule. Zack hésita un peu, mais il finit par lâcher.... « Tu viens à la fête, avec moi ? » Il parlait évidement de la grande fête foraine qui se déroulait à quelques pas d'ici. En éternel enfant, Zackary rêvait d'y aller depuis qu'elle s'était installée au début de la saison, seulement Mittaine était très prise par son travail, Sea semblait très bizarre ses derniers temps, et Rino était occupé ses derniers temps tous les soirs depuis que White Collar avait reprit. Zack n'aurait jamais cru avoir le courage de proposer ça à Luc. Il écarquilla les yeux en le voyant accepter, surpris et tout heureux. Tellement qu'il en aurait presque remué la queue... Dommage qu'elle ne soit plus là. Enfin, la deuxième. « Oh tu veux bien ? » dit-il avec une mine surprise. « T-Top ! Attend. » Il renfila à la quatrième vitesse son jean (refusant de sortir comme tous ses cas sociaux en jogging...) et renfila sa veste, constatant avec soulagement que son érection avait disparue. Surexcité, il attrapa la main de Lucifer, qu'il serra doucement, et qu'il emporta avec lui dans son élan, jusque la fête. Il regardait un peu partout autour de lui, émerveillé par tous ses manèges, ne songeant même plus au fait qu'ils étaient légèrement ''hors la loi'' en allant pas en cours. « Oh putain, ça, je veux faire ça ! » s'exclama-t-il, pointant une énorme boule à l’élastique qui montait à plus de quarante mètres de hauteur dans le ciel. Il fit un grand sourire et se tourna vers Luc. « A moins que tu ais peur ? » Il sourit en coin.

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MessageSujet: Re: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyMar 7 Jan - 18:33

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MessageSujet: Re: LUCKARY (+) I hate you almost as much as I love you. LUCKARY (+)  I hate you almost as much as I love you. EmptyDim 27 Avr - 3:40

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