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 Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc)

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MessageSujet: Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) EmptyDim 29 Déc - 14:32



Luc&Sea
On est tellement nombreux à être un peu bancal un peu bizarre. Et dans nos têtes y’a un blizzard. Comme les mystiques loser au grand cœur. Il faut qu’on sonne l’alarme, qu’on s’retrouve, qu’on s’rejoigne. Qu’on s’embrasse. Qu’on soit des milliards de mains sur des milliards d’épaules. Qu’on s’répète encore une fois que l’ennuie est un crime. Que la vie est un casse du siècle, un putain de piment rouge. Nique sa mère le Blizzard.

Humeur massacrante, nausée, fatigue, mal de crâne persistant et l'envie de manger n'importe quoi à n'importe quel heure. Ces symptôme était de plus en plus difficile à cacher, que ce soit à la maison ou durant les heures de cours. J'arrivais tout de même à passer cette grossesse pour un gastro accompagner d'une fatigue passagère mais ça ne pouvais plus durée. Mais comment pourrais-je l'annoncer à mon entourage alors que je n'arrivais même pas a un croire moi même ? Je ne m'imaginais pas dans sept mois un bébé sous le bras, des couches à changer, des berceuses à chanter alors que j'avais l'impression d'être sortit de cette période là il n'y a même pas deux ans. Enceinte, dix sept ans, deux père potentielle. Des mots qui me terrifier et que je n'avais pas du tout envie d'utilisé dans une même phrase. Je n'avais rien d'une délirer, une marie-couche-toi-là sans foie ni lois, juste une adolescente à la quête de son vrais moi, ne sachant pas vraiment où regarder et un peu trop curieuse à son âge ayant perdue ses repères. Mais qui croirais ça? Dix sept pige, aimant porter des choses courtes, qui passe son temps chez des garçons ça ne peut être qu'une salope, ou du moins une salope de bonne famille dans mon cas. Mes tantes se sentirons coupables de ne pas m'avoir assez protéger, mes oncles voudrons la mort des deux papa potentielle et je ne parle même pas de la réputation que je me fait au lycée. J'entendis un claquement de porte, puis des pas se dirigeant vers moi. « ça va la dedans ? » demandait Kerridwen  tout en frappant doucement contre la porte. J'hésitais à ne pas répondre et la laisser repartir ou prétendre que tout vas bien.  Le plus dur dans toute cette histoire, c'est sûrement que je n'avais aucune envie d'enlever le bébé. Le retirer de mes entrailles serais comme de tuée une personne aveugle. Jveux dire, cette être n'a encore rien vue de ce monde, il n'a encore rien entendue, rien vécue, le tué serais comme lui retirer tout ses sens et le laisser dans le dénis. J'arrêter l'eau et plonger une serviette dedans afin de me laver le visage. Un autre claquement de porte et d'autre pas m'arrêter dans ma préparation. « Elle va bien ? » murmurais Stan, « Je sais pas trop.. » répondit Kerri sur le même ton « tu devrais la laisser, elle a peut être besoin d'espace ? » , « j'en sais rien Stan, ça fait des semaines qu'elle vomis sans arrêt et qu'elle est de mauvais poil. » ronchonner Kerri tout en s'éloignant de la porte. La porte claqua une dernière fois et j'entendis leurs pas s'éloignait en direction de la cuisine. Je levais les yeux vers mon reflet dans la glace. Mon visage était pale, mes yeux épuiser et mes lèvres abîmer par froid. Ce n'était plus vraiment moi, c'était une autre, une fille qui n'avais aucun respect d'elle même et qui se cacher derrière de fausse maladie pour cacher sa honte et son dégoût de sa personne. J'aurais voulue frapper mon reflet pour qu'il disparaisse mais à quoi bon, elle me rattraper un moment ou un autre pour me dire à quel point c'était stupide de me leurré ainsi. Ce n'est pas en cassant ce miroir que je casserais la vérité, je suis entrain de vivre dans le mensonge. En sortant de là, j'enfilais ma veste et me diriger vers la sortit. Kerri était assise sur le canapé, je sentait son regard sur moi mais je ne détournais pas le miens de la sortit. La cles dans la porte, d'un geste je tournait la césure avant que Stan me coupe dans mon élan. « Soit là à 20h pour le dîner » je hocher positivement la tête. « Et je t'aime. » , « on t'aime. » soulignais Kerri.

«  rejoins moi au coin secret à dix heure.  »  j'avais envoyer ce message à Luc deux jours après. Je n'avais pas eu l'occasion de le voir durant ses deux jours, jeudi j'avais atelier toute la journée et vendredi je n'avais eu cours que le matin pour grève, j'avais profiter de l'après midi pour travailler chez flower power. Je n'avais envie de voir personne de  toute façon, personne en dehors de Lys. Jeudi soir avant de rentré, je suis aller la voir, elle n'était pas là, alors j'ai profiter de son absence pour me rouler dans ses draps et de m'imaginais que le temps c'était arrêter le jour où je l'ai annoncer à elle, que j'étais enceinte. Elle m'avais prise dans ses bras et on est rester allonger dans ses draps propres tout le reste de la journée à profiter du nouvelle album d'Ellie Gouldin. Elle ne m'avais pas donner de conseille ce jour là, lorsque j'ai du m'en allais elle m'a juste regarder dans les yeux d'une manière compatissante, comme pour me dire qu'elle serais toujours là pour assurais mes arrière mais qu'elle ne pouvais pas m'aider en ce qui concerne les deux pères et l'annonce de cette tragédie à mes proches. On sait quitter et depuis, c'est devenue le sujet numéro un de nos discussions. Luc était le première père potentielle. Ce qui semble pourtant comme une énorme plaisanterie, étant donnais qu'il était avant tout mon meilleur ami. Mais c'est arriver comme ça, sans qu'on s'en rendue compte. Je stresser à l'idée de le faire avec Némo, qu'il me trouve flasque, nul et extrêmement banale. Le faire avec Luc était comme une sorte d'entraînement, ce qui ne le gêner en aucun cas, puisque l'idée venais de lui. Mon cœur battait à cent à l'heure lorsque j'appercue sa silhouette à l'autre bout du parc. Je l'ai vue, il m'a vue, je l'ai souris et il a fait de même. « ça va ? » murmurai-t-il en me faisant la bise. Non, avais-je envie de répondre franchement. Non, je suis enceinte, tu me soûle, le froid me soûle, les gens me soûle, les nausée, le mal de ventre et l'envie de manger un burritos à sept heure du matin me soûle ! Tout ça a cause d'un des tes spermes dégueulasse qui c'est aventurer dans mes entrailles, va chier luc, va chier. « ça peut aller. T'as vue, Tom Daley à fait son coming out sur youtube, je pensait pas qu'un mec aussi viril que lui pouvais aimais les bites. » je riais doucement, et me laisser emporter par le vent jusqu'au banc.  Il faisait abominablement froid, mes cheveux volais dans tout les sens sans parler de mon écharpes. « Il fallait que jte dise un truc en fait, promet moi de pas t'énerver. » c'est partit.

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MessageSujet: Re: Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) EmptyDim 29 Déc - 23:43

Sea "Melody" Tysee & Lucifer "Luc" Norris
tu es le gruyère sur mes nouilles
Je me suis levé tôt, trop tôt, et pas d'humeur joyeuse. Je suis resté à contempler le plafond pendant une trentaine de minute, dans le calme complet de ma chambre du Méli-Mélo House, puis je me suis levé, comme un automate. Je me suis retrouvé sans le savoir assis par terre, au pied de mon lit, un couteau suisse à côté de mon cellulaire. Et j'ai continué à contempler. J'ai enlevé mes bracelets que j'entassais depuis toujours sur mon bras gauche et j'ai passé la suite de l'heure à tourner et retourner mes doigts sur les cicatrices que j'avais précédemment faites, traçant leur chemin, avec un regard vide d'émotion. Je me sentais comme absent, comme loin de tout ça, comme spectateur de la scène. J'aime pas ses moments-là, je me sens pas humain. Si au moins je me sentais chat, mais non. La vérité, c'est que je me sentais rien. Et puis comme ça, j'ai voulu y remédier. J'attrapais le petit couteau et je le tournais entre mes doigts, faisant durer l'instant. Même avec moi-même, je suis obligé de rester dramatique il faut croire, je me créer moi-même mon petit suspens et tout. Je ne saurais dire si c'est du génie ou si c'est pathétique. Je pris une petite inspiration, et au moment ou j'allais enfin me décider à enfoncer la lame tendrement dans ma chair, mon portable vibra horriblement sur le carrelage. « Rejoins moi au coin secret à dix heure. » C'était Sea. Encore un jour où elle pouvait me faire arrêter, où elle pouvait me passer l'envie qu'une seconde auparavant j'avais, et cela même sans être-là réellement à mes côtés, même sans le savoir. C'était comme si elle était possédée d'un sixième sens, comme si elle pouvait sentir ce genre de chose, me sentir dériver, et cela même si elle ne m'avait pas vu depuis plusieurs jours. Comme si elle pouvait savoir à la seconde où je vais pour foncer droit dans un mur, et comme elle ne peut pas être présente à mes côtés, comme elle ne peut pas physiquement se métamorphoser afin de me prendre par la main et de me montrer ce qu'il fallait faire ou ce qu'il ne fallait pas, elle utilise la seule méthode qui puisse marcher à cet instant, et me distrait avec l'un de ses messages. Je sais. Ce n'est surement pas ça. C'est juste qu'elle à envie de me parler, ou de me voir. L'heure à laquelle elle à envoyée ce message est un pur hasard, qui dépend de l'heure à laquelle elle s'est réveillée. Mais j'aime penser qu'il y a autre chose, un espèce de lien mystique en plus. J'aime penser qu'on est encore plus relié qu'on le croit, et que de petites actions débiles comme envoyer un sms peuvent avoir plus d'impacts que si c'était quelqu'un d'autre, en tout cas, pour ma part ça marche. Je me fais peut-être des films, je m'imagine des trucs débiles, mais j'aime bien. Ça me fait sentir important pour elle, ça me fait sentir que notre relation est peut-être plus forte encore que ce qu'elle est déjà. Poussant un petit soupir, je décide enfin de me relever du carrelage qui était en train de glacer mes pauvres fesses, et je me décidais enfin à m'habiller. Je me dépêchais, je remettais mes bracelets, je passais de l'eau sur mon visage pour rester éveillé, puis j’enfilais mon écharpe et manteau afin de partir. La voix de mon colocataire endormit m'arrêta, et je me tournais vers lui afin de le voir la moitié du visage enfoncé dans son oreiller, l'oeil demi-clos en train de me regarder. « Tu fous quoi mec ? T'as vu l'heure ? » Je secoue un peu ma tête, un petit sourire sur mes lèvres en l'entendant. Je dois avouer qu'il à raison, il est à peine neuf heures passées et que je sois déjà réveillé, lavé, et même habillé à une telle heure, c'est un vrai miracle. Sans exagéré. C'est encore plus étonnant maintenant, alors que les vacances ont commencées et que je peux enfin dormir à ma guise sans qu'une putain d'alarme me réveille à cinq ou six heures du matin pour me forcer à aller en cours. Je comprend donc que ça lui fasse un choc à Cillian de me voir debout. J'ai toujours aimé dormir, j'ai toujours été un gros dormeur, demander à Cendrillon un peu pour voir. Je trouve ça tellement inhumain maintenant que je suis dans ce corps qu'ils nous obligent à se lever si tôt pour aller écouter des cours dont les trois quarts des personnes n'en n'ont absolument rien à foutre. « T'inquiète, je vais voir Sea, rendors-toi. » Je finis par lui dire, lui envoyant mon oreiller en pleine tronche afin qu'il finisse sa nuit. Je finis ensuite par fermer mon manteau, puis je sors, prenant la direction du parc dans le froid hivernal de Fantasia Hill. Putain, c'est dans ces moments-là qu ma fourrure me manque à un point inimaginable. Ma belle fourrure de chat noire et grise, qui me protégeait contre le vent et le froid glacial, chose que mon nouveau corps et des centaines de couches de vêtements ne peuvent apparemment pas reproduire. Je resserrais légèrement ma grosse écharpe alors que j'entrais dans l'immense jardin public, et je pris la direction que je connaissais par coeur, que moi et Sea avaient baptisé notre coin secret. Je la voyais déjà là-bas, au loin, et sa vu me suffit à me tirer un sourire sur mon visage, avant que je m'approche et que je lui fasse la bise. « Ça va ? » Ça faisait déjà deux jours qu'on s'était pas vu, et j'avais l'impression que ça faisait une éternité. Vous pouvez encore voir quel mal cela fait au gens, les cours : ça empêche de voir ses amis quand ils n'ont pas les mêmes options où ne sont pas dans les mêmes classes. Mais maintenant, c'était enfin les vacances depuis vendredi, et j'espérais en profiter un max et la voir tout le temps. Ou presque. 'Fin, la majorité du temps quoi. « Ça peut aller. T'as vu, Tom Daley à fait son coming out sur youtube, je pensais pas qu'un mec aussi viril que lui pouvait aimer les bites. » J'éclatais d'un rire en l'entendant. Elle était comme ça aussi Sea, elle avait toujours la petite phrase ou la petite remarque que j'attendais pas à entendre si vite, mais qui me faisait toujours rire. « Tu déconnes ? Il empeste le gay à dix mille kilomètre celui-là, avec son sourire colgate extra white. » Oui. Certaines pouvaient prétendre qu'il était trop mignon pour être gay, moi au contraire, je le trouvais trop mignon pour être hétéro. C'était presque un luxe d'être gay maintenant, luxe dont je pouvais jouir, car tous les plus beaux mecs finissent par dévoiler une homosexualité tôt ou tard. Regardez Matt Bomer. Faut pas se voiler la face, je n'ose même pas imaginer combien de meufs se sont touchées en pensant à lui, combien de femmes l'ont imaginé à la place de leur mari pendant l'acte afin de pimenter un peu leur vie de couple ou pour s'imaginer en plein milieu d'un fantasme devenant enfin réalité, quand finalement, depuis tout ce temps … Bah lui, il gobait les bites de son mec Sam Halls. Triste sort, pour toutes ces femmes qui pensaient un jour pouvoir se marier avec lui et fonder une famille de bébés Bomer qui lui ressembleraient traits pour traits. « D'ailleurs, s'il pouvait faire un petit tour par Fantasia Hill, j'le mettrais bien dans mon lit celui-là. » Je lui avouais, un sourire en coin. C'était vrai, il est super canon le Tom Daley, et s'il venait toquer demain à ma porte je lui dirais pas non quoi. Je virerais rapidos Cillian pour la soirée en lui promettant de me rattraper le lendemain, et j’entraînerai se beau plongeur dans ma chambre et le déshabillerait vite fait bien fait. Je suivais ma meilleure amie jusqu'au banc, puis je m'assied dessus, une jambe de chaque côté. Ce n'était pas le plus confortable à cause du dossier qui compressait un peu l'une de mes épaules à cause de ma position, mais je m'en foutais un peu à ce moment-là, j'aimais bien m'asseoir comme ça. « Il fallait que jte dise un truc en fait, promet-moi de pas t'énerver. » Je fronçais légèrement les sourcils en analysant sa phrase, pendant quelques secondes. Je ne voulais pas commencer à stresser pour rien ni à me faire des films improbables dans ma tête juste parce qu'elle venait de me dire que j'allais surement m'énerver. Alors j'essayais de me concentrer pour ne pas faire déborder mon esprit par trop d'imaginations malsaine et je mordais un peu ma lèvre en la regardant, amusé. « Si je peux te stresser encore plus, ce début de conversation commence très mal. » Ouais. C'était typiquement le truc qu'il ne fallait pas qu'elle dise, mais qu'elle à dit quand même. Qu'est-ce qu'elle allait bien me sortir. J'ai beau essayer de ne pas chercher, j'y arrive pas. Mais j'ai beau chercher en même temps, je ne vois pas ce qu'elle pourrais m'avouer de si incroyable, de si détestable. Je pris une petite inspiration, et je croisais mes bras sur mon torse. « Aller accouche, tu peux compter sur mon merveilleux sens du calme profond et absolu de moine chinois. » J'essayais de la rassurer un peu, attendant impatiemment qu'elle se mette à parler et à déballer cette nouvelle qui, je ne le savais pas encore, allait changer ma vie.
1592 mots / fiche crée par © Summers


Dernière édition par Lucifer "Luc" Norris le Mar 4 Fév - 23:42, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) EmptyMar 31 Déc - 16:39



Luc&Sea
On est tellement nombreux à être un peu bancal un peu bizarre. Et dans nos têtes y’a un blizzard. Comme les mystiques loser au grand cœur. Il faut qu’on sonne l’alarme, qu’on s’retrouve, qu’on s’rejoigne. Qu’on s’embrasse. Qu’on soit des milliards de mains sur des milliards d’épaules. Qu’on s’répète encore une fois que l’ennuie est un crime. Que la vie est un casse du siècle, un putain de piment rouge. Nique sa mère le Blizzard.

Javais envie d'une clope. C'est fou, parce que j'avais fumer grosso modo trois fois dans ma vie et qu'à chaque fois je m'était étouffer. Je sais pas d’où sors cette envie, c'était peut être le stresse, le froid, la réalité qui me donner envie de me cacher dans la clope. J'avais peut être envie de me suicider et de fumer était un genre de suicide. C'est vrais, c'est écris partout que fumer tue et pourtant tout les fumeur s'en fiche royalement, ils se tuent à petit feu chaque jour sans se soucier que peut être ils auraient pue avoir une vie plus longue et plus belle si ils ne se trimbaler pas avec ce petit bout de cancer chaque jours. C'est comme si chaque fumeur défier la mort tout les jours, qu'à chaque bouffer de cette merde il enculer le créateur la haut et qu'ils disaient haut et fort à la grande faucheuse qu'ils l'emmerder. C'était comme une sorte de rébellion en somme. Tout ça pour dire que j'aurais tué pour une clope, un arizona au thé vert et un énorme churros remplis de nutella. Je suis persuadé que ce n'est pas mes hormones de femmes enceintes qui parle mais mon moi intérieur qui souffre de ne pas pourvoir toucher a une seule cigarette, ni un verre d'alcool, ni un après midi sushi pendant neuf long et pénible mois. Quand nos culs ce sont poser sur ce banc glacer, on c'est mis à aborder mon sujet préféré : ce que les stars deviennent. Une chose qui me passionner particulièrement, savoir si x ou y était devenue gay, si pierre ressors avec jack alors qu'il était avec paul, ou encore si machin et bidule venait de rompre à cause de trucmuche. Ça me permettait de penser à autre chose, de me dire que même ces gens super connue et adorais de tout le monde avait les mêmes défaut que nous, tomber dans les trucs aussi débile que nous, qu'ils menaient une vie encore plus pourrit que la notre vue qu'ils sont publiquement humilier et juger. C'est méchant, on est d'accord mais si les gens n'ont pas ça, ils se dirons que leurs vies est pourrit parce qu'ils ne conduisent pas de lamborghini et qu'ils n'ont pas passer le réveillons dans la maison de  Brad et Angélina. Vaut mieux en rire qu'en pleurer comme on dit. « Ça peut aller. T'as vu, Tom Daley à fait son coming out sur youtube, je pensais pas qu'un mec aussi viril que lui pouvait aimer les bites.  » dis-je dans un rire, il fit de même, un gros rire bien à Luc qui briser le silence du parc. « Tu déconnes ? Il empeste le gay à dix mille kilomètre celui-là, avec son sourire colgate extra white. » je riais à sa remarque. Il était beau quand même Tom Daley, battit comme Hercule, un sourire parfait et un bronzage à en faire juir les française comme les petites chinoises. Un fantasme absolue, un peu comme Ryan Gosling  ou Henry Cavill qui sont devenue deux idoles pour la gente féminine. «  Excuse moi, tu devrais envoyer ton cv à la cia, ils ont sûrement besoin d'un détecteur de gay !  » dis-je avec un soupçon de moquerie. La cia avait bien sur autre chose à faire que de savoir si Pierre, Paul ou Jack était gay, c'était juste une allusion stupide. Quoi qu'Hollywood serais capable de faire une émission qui s'appellerais « la police des gay » ils inventent des trucs débile chaque année.  J'adore Bones, mais sachant qu'ils résoudre des crime à partir de vieux os est complètement débile, sans parler de tout ces expert à Miami, Manathan, Los Angeles ou ils font toujours la même choses : résoudre des crime commis par des malades mentales.  Le seul que j'aime bien, c'est probablement esprit criminel, non pas parce que Shemar Moor est un bel étalon mais surtout parce que ça sors de l'ordinaire, relever des empreintes, les analysé dans un labo et trouver la source comme par enchantement en interongant les témoins. Non, ça va plus profondément et c'est ce que j'aime dans cette série. «  D'ailleurs, s'il pouvait faire un petit tour par Fantasia Hill, j'le mettrais bien dans mon lit celui-là. »  bien sur, qui refuserais Tom Daley à sa porte ? C'est comme refuser d'aller au paradis alors que les portes son grande ouverte, ou refuser de voler une paire de chaussure dior alors que Christian Dior en personne vous ouvre la porte, c'est totalement débile. «  Tu sais qui je soupçonne d'être gay ? George Clooney ! Il est jamais sortit avec une meuf plus d'un mois, il embrasse aucune de ses filles dans les pubs et il il a des mimiques des gays.  » j'aurais du ouvrir un blog sur : qui est gay ou pas ? Et faire des articles sur ça au lieu de mon blog sur mon amour éternelle envers Finnick ! Il a beaucoup de vue pourtant mon blog, j'ai même un mec amoureux de moi sur ce blog, il m'envoie des paroles de fauve en priver et me fait de la pub h24 pour que j'ai des nouveaux follower. Je me sentait de nouveau bien, c'est fou comme sa simple présence m'aider à remonter la pente. J'aurais voulue qu'on reste comme ça toute le temps, toute notre vie, qu'il me raconte des blagues de merde alors qu'on écoute le dernier album des 5SOS en fond sonore qu'on mange tout et n'importe quoi sans prendre un gramme et sans ce soucier de ce que les autres, ces gens qui nous apporte que du mal, pense de nous.«  Il fallait que jte dise un truc en fait, promet-moi de pas t'énerver. » dis-je doucement. Il fallait revenir au sujet initiale, je ne pouvais pas lui cacher pas, pas à lui, pas à mon meilleur ami. J'ai besoin de lui pour avancer, pour exister et lui cacher une tel chose serais égale à le trahir. « Si je peux te stresser encore plus, ce début de conversation commence très mal. »  il se pincer les lèvres, sûrement tourmentât pas ce début de phrase, ce n'était pas la meilleure manière d'introduire la chose mais je ne pouvais pas lui dire de bout en blanc que je portait probablement son enfant. «  Aller accouche » dans sept mois oui, tu peut en être sûre. «  tu peux compter sur mon merveilleux sens du calme profond et absolu de moine chinois. » je riais, lui calme ? Il avait gueuler sur Cillian la dernière fois, parce que le blondinet avait manger tout les chocobons, il a commencer à faire un discours sur la vie à deux comme si il venais d'apprendre que Cillian le tromper avec un arabe a barbe qui vendait des kebab, il a hurler toute l'aprem et a bouder jusqu'à ce que l'un d'entre nous ce dévoue pour aller lui en racheter. Tout ça pour un sachet de putain de chocobon ! J'aurais voulue lui rappeler cette joyeuse après midi mais ce n'était pas vraiment le bon moment. «  Bon, tu te souvient quand on baiser dans ta chambre ?  » super introduction d'un événement qui va marquer à jamais la vie d'un pauvre garçon de dix sept ans adorateur de bite. «  Et bien... Némo et au courant et il a rompue avec moi. Si on peut appeler ça 'rompre' parce qu'on était pas vraiment ensemble tu voit. Et j'ai besoin de toi pour m'aider à surmonter ça, parce que j'ai l'impression que tout s’effondre autour de moi, t'es mon seul pilier dans ce monde de dingue..tu comprend ?  » Les larmes en venais presque, c'était la première fois que j’étais si honnête avec quelqu'un. Mes lèvres en tremblait et mon mains aussi. C'était pire que de ce mettre totalement nue devant lui, lui dire à quel point notre amitié compter pour moi. «  Et faut pas que tu m'en veille, parce que j'y suis pour rien dans tout ça... Il était trop tard quand je l'ai appris, je pouvais plus rien faire et je l'ai dit à personne encore.. enfin si à Lys mais Lys c'est mon moi intérieur alors lui dire c'est comme de lui dire.  » Je saisissait ses mains dans les miens, sa chaleur me réchauffer. Les larmes monter à mes yeux, comme si je me sentait coupable de lui gâcher la vie «  je suis enceinte de toi.  » respire Sea, respire. «  je suis désoler..  »

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MessageSujet: Re: Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) EmptyMar 4 Fév - 23:38

Sea "Melody" Tysee & Lucifer "Luc" Norris
tu es le gruyère sur mes nouilles
Ça me faisait du bien de me retrouver à ses côtés, de la voir, après ces quelques jours. Je me sentais mieux avec sa simple présence, et tout irais beaucoup mieux pour moi même si on restait des heures sans se parler, à juste rester l'un à côté de l'autre. Comme quoi, je n'étais pas un mec si difficile, il fallait juste savoir ce qui m'apaisait et pouvait me faire aller mieux. Dans ce cas-là, aujourd'hui, c'était Sea. Sea et ses discussions passionnantes, Sea et son amour pour les célébrités et leurs secrets. On pourrait croire, en me regardant comme ça, que c'était le dernier des sujets que je voudrais discuter avec quelqu'un, mais non. Peut-être que c'est l'habitude maintenant, l'habitude qu'elle me parle de ça, peut-être que c'est elle qui m'a initié et m'a obligé à l'écouter pendant des heures résumer la vie de ses stars préférées jusqu'à ce que j'aime un minimum et que je m'y fasse. Ouais, surement. « Excuse moi, tu devrais envoyer ton cv à la cia, ils ont surement besoin d'un détecteur de gay. » Elle répondait en se moquant de moi, quand je lui affirmais qu'il était facile de savoir la sexualité de Tom Daley en l'observant un minimum. Je roulais des yeux en la regardant, un sourire satisfait tout de même sur mes lèvres. Je ne pensais pas que la cia aurait besoin de moi en matière de gay radar, mais j'avoue que si jamais ça payait bien, je serais prêt à l'envoyer, ce cv. Malheureusement, ils n'avaient jamais besoin de se genre de métier, eux c'était plutôt les métiers difficiles et barbant, ou t'as besoin d'avoir bac plus quinze et des connaissances de malades. Désolé, j'étais peut-être surdoué, mais ce n'était pas pour moi. « Tu sais qui je soupçonne d'être gay ? George Clooney ! Il est jamais sorti avec une meuf plus d'un mois, il embrasse aucune de ses filles dans les pubs et il a les mimiques des gays. » J'éclatais de rire, encore un fois. C'était toujours comme ça avec elle de toute manière, j'avais du mal à rester sérieux – même si je ne l'étais pas plus habituellement – et elle me faisait toujours rire, quoi qu'il se passe. Elle avait toujours une connerie à dire ou une nouvelle bizarre à m'apprendre, sur les stars ou sur une nouvelle vidéos qui faisait fureur sur internet et que je n'avais peut-être pas encore eu le temps de voir. Sérieusement, elle est la meilleure pour ce genre de chose. Je peux rester deux heures avec elle et j'en ressortirais par connaître la vie des dix dernières années des plus grandes stars et des vidéos et youtubers qui ont le plus fait le buzz. Pour George Clooney, je n'en savais rien. Je n'y avais jamais vraiment réfléchit il faut avouer, ce n'est pas l'acteur qui me fait le plus vibrer ou que je trouve le plus canon, même s'il est quand même bien conservé pour son âge. Ce n'est pas de ma faute si les vieux ce ne sont pas vraiment ce que je préfère. Je pense quand même que s'il était gay, il pourrait le dire librement et ne pas se cacher ou vivre dans le secret. Ce n'était pas comme si sa révélation pouvait gâcher d'un coup sa carrière bien entamée et puis, de plus en plus d'artistes homosexuels se délivrent et continuent d'avoir du boulot sans être discriminés. Il suffit de voir Matt Bomer ou Chris Colfer par exemple. Donc George, je ne savais pas trop. Mais dans la phrase de Sea, quelque chose d'autre m’interpella. « Comment ça des mimiques gay ? » Je m'exclamais tout d'un coup, la regardant d'une expression entre mi-choque et mi-rire. C'est vrai non ? Des mimiques ? Elle était sérieuse ? Ça voulait dire quoi pou elle quand quelqu'un avait des mimiques de gays ? Je secouait ma tête de droite à gauche en riant, avant de la regarder. « J'ai des mimiques gays moi peut-être ? » Je répondais en jouant le parfait gay-plus-efféminé-tu-meurs, la voix aiguë et mes mains bougeant pour essayer d'imiter ce à quoi elle pouvait faire référence en parlant de mimiques de gays. Mais plus sérieusement … Je n'ai pas de mimiques de gays moi … Non ? Oh mon dieu, dites moi que je n'ai pas de mimiques de gays.

La discussion à ensuite dérivée, arrivant au sujet principal, à ce pourquoi elle m'avait fait venir ici. Elle me demandait de ne pas m'énerver, et rien que ça, ça ne présageait rien de bon. J'allais faire ce que je pourrais pour rester aussi calme que je le pouvais, mais ça dépendait de la nouvelle. Je n'étais pas toujours quelqu'un qui perdait son calme, ça dépendait surtout des situations et des gens avec lesquelles je me trouvais. Pour cette fois-ci, je verrais bien. Mais je n'étais pas rassuré. « Bon, tu te souvient quand on baisait dans ta chambre ? » Et bien, il fallait dire qu'il était difficile d'avoir oublié ce moment de ma vie. Ne vous méprenez pas, c'est loin d'être le genre de souvenir qui tourne dans ma tête vingt-quatre heures sur vingt-quatre, c'est loin d'être le souvenir auquel je pense tout le temps et qui réapparaît à la seconde où mes paupières se ferme, même brièvement. C'est loin d'être le souvenir que je choisisse dès que j'ai besoin de me masturber, lorsque je suis seul dans ma chambre ou dans les toilettes du lycée. Ce n'était pas un souvenir que je chérissais avec toute mon âme, et pourtant, ce n'était pas quelque chose que je pouvais oublié si facilement. Je n'y pensais pas tout le temps, pas chaque jour, mais ça restait quelque part, rangé dans un coin de ma mémoire, dans l'attente d'être peut-être sorti un jour, ou de rester là pour toujours, en secret. Apparemment, c'était aujourd'hui qu'il allait devoir sortir, que j'allais devoir y repenser et m'en rappeler. J'hochais la tête en la regardant, pour lui affirmer que oui, je m'en souvenais. Ma première fois avec une fille. Je pense que si ça n'avait pas été Sea, je n'aurais jamais de ma vie proposé ça à quelqu'un du sexe féminin, aussi mort d'ennuie que je pouvais être. Mais c'était elle, ma meilleure amie, et c'était peut-être la meilleure des personnes que je pouvais choisir pour me laisser aller dans cette première fois expérimentale avec une fille. « Et bien … Némo est au courant et il a rompu avec moi. Si on peut appeler ça « rompre » parce qu'on était pas vraiment ensemble tu vois. Et j'ai besoin de toi pour m'aider à surmonter ça, parce que j'ai l'impression que tout s'effondre autour de moi, t'es mon seul pilier dans ce monde de dingue … Tu comprend ? » Je ne pouvais détourner mes yeux d'elle, de ses lèvres qui tremblaient, de ses beaux yeux marrons qui semblaient se remplir au fur et à mesure qu'elle parlait de larmes, qui risquaient de dévaler sur ses joues dans les minutes à venir. Je ne connaissais pas très bien la relation qu'elle avait Némo. Enfin, j'en savais un peu, c'est ma meilleure amie, mais pas plus que ça. Je savais juste que lui et moi, ça n'avait jamais été ça. Ça n'avait jamais été le grand amour. Je sais pas. Ce qu'il dégage, ça ne me plait pas. La personne que je pense qu'il est, ça ne me plait pas. On s'est vu une seule fois, histoire de faire les présentations, de ce connaître un peu, et c'est tout. C'était suffisant pour moi. Mais avec ce qu'elle me dit maintenant, avec ce qu'elle me dit qu'il à fait, avec la réaction qu'il à eu, je me dit que j'avais pas tord. Je me dis que j'avais raison d'avoir mes réserves par rapport à lui. Je me dis que j'étais dans mon droit le plus total de ne pas l'aimer. « Hey, t'es pas seule okay ? Faut que tu saches que quoi qu'il se passe, que même si tout tombe en ruine autour de toi, moi je serais toujours la pour te supporter ok ? Et qu'on reconstruira tout, pierre après pierre, et que je ne te laisserai pas tomber, jamais jamais. » Je décidais de garder mon opinion sur Némo pour un peu plus tard. Dans quelques minutes, mais pas de suite. C'était plus important pour moi d'essayer de déjà la rassurer, là, tout de suite, sur ses insécurités et sur ce qui n'allait apparemment pas en ce moment dans sa vie. Je ne pouvais pas comprendre ce qu'il se passait dans sa tête, et je ne pouvais comprendre le mal au coeur et la peine qu'elle pouvait vivre. Après tout, moi je suis celui qui ne s'attache pas sentimentalement parlant, qui fait que coucher sans s'emmerder à aller aux rendez-vous et à être doux et tendre. Moi j'étais celui qui ne voulait que le corps, qui utilisait puis qui partait, alors je ne savais pas ce que ça faisait d'être dans une relation ambiguë, où on ne sait pas si l'on est avec l'autre ou non. Je ne savais pas ce que c'était d'entendre de la bouche de quelqu'un qu'on affectionne que la relation était finie, car je n'aimais personne de cette manière. Je ne savais rien du manque et de la peine que pouvait causer l'absence de Némo dans son coeur, et en la voyant comme ça, ça ne faisait que confirmer que s'attacher ce n'est pas bon, ça fait mal, et ça vous brise. Et je ne voulais pas me faire briser par une simple personne, même si peut-être qu'au fond de moi, je l'étais déjà. Je prenais ses mains dans les miennes, les emprisonnant contre mes paumes chaudes en signe de réconfort, même si j'imaginais bien qu'il faudrait plus qu'un simple contact physique pour qu'elle se sente mieux. « Faut pas que tu te laisses aller Sea. Némo déjà, c'est un gros connard s'il à décidé de s'éloigner de toi juste pour ça. Il est peut-être parti, mais ça va aller tu vois. Tu peux pas te laisser déprimer et tomber au fond du trou juste par un mec pareil. T'es plus forte que ça, on est plus fort que ça. Ça ira. » J'ai jamais été quelqu'un de très doué pour remonter le moral des gens. Ce n'est pas vraiment quelque chose que j'ai jamais eu à faire, avant Sea. Avant j'étais un chat, alors les mots, les belles phrases, les bons encouragements, ce n'était pas quelque chose que j'ai pu pratiquer dans mon ancienne vie. Et maintenant … Et bien, ça ne m'arrivait pas toujours, car je n'étais pas l'un de ces mecs qui s'excusaient à chaque occasions. Plutôt le contraire. Je n'avais donc aucune idée de ce que je faisais. Si ce que je disais était bien, ou pas du tout. Si ça pouvait l'apaiser un peu, ou si ça la stressait encore plus. Ce que je savais, c'est que je ne pouvais pas dire quelque chose de bien ni de gentil par rapport à Némo, c'était sur et certain. Le mec il l'a laissait tomber comme ça, alors qu'ils n'étaient apparemment même pas encore ensemble, juste car elle avait couché une fois avec moi ? Je veux bien qu'il soit jaloux de qui j'étais, de la chance que j'avais eu, mais qu'il ne reporte pas ça sur Sea. J'essayais quand même de ne pas trop parler de lui, car si je me laisser dire, ça n'en finirait pas. Savoir ce qu'il avait fait m'énervait déjà, et il ne fallait pas que je me mette à faire un monologue sur l'enflure qu'est Némo, car Sea ne l'avait pas encore dévoilé ce qu'elle devait me dire. Et qui, au vu de son visage, avait l'air bien plus gros que l'absence de Némo. « Et faut pas que tu m'en veuilles, parce que j'y suis pour rien dans tout ça … Il était trop tard quand je l'ai appris, je pouvais plus rien faire et je l'ai dit à personne encore … Enfin si à Lys mais Lys c'est mon moi intérieur alors lui dire c'est comme de lui dire. » Je commençais à avoir un petit peur, c'était vrai. Elle savait qu'elle pouvait tout me dire, mais la manière dont elle essayer d'amener ça, et rien que le fait qu'elle m'ait déjà demander de ne pas m'énerver, ça ne présageait rien de bon. J'essayais tout de même de me concentrer sur elle, de bien l'écouter, de ne pas perdre le moindre indice qu'elle pouvait placer dans ses phrases, afin d'éviter de faire tourner mon cerveau à mille à l'heure et de chercher où elle voulait en venir. Si je commençais à lister toutes les choses graves et horribles et importantes qui pouvaient arriver et dont elle aurait peur de me dire, je n'aurais jamais fini. Alors j'essayais de ne pas y réfléchir, de ne pas me faire des films, et de juste attendre qu'elle se dévoile. Je ne sais pas si le fait que Lys le sache déjà est une bonne chose ou non, par rapport à moi. Je me dis que c'est bien, car si c'est vraiment grave, comme ça elle à déjà pu avoir un peu de soutient, elle à déjà pu en parler et se faire supporter par elle. Mais ça voulait aussi dire que c'était tellement gros comme truc que elle avait besoin les conseils de quelqu'un d'autres que moi pour voir si c'était bien de me le dire, ou savoir comment me le dire, et qu'elle avait du stresser un maximum durant tout ce temps là. Et moi je la regardais, alors qu'elle serrait mes mains, et je n'avais aucune idée de ce qui allait m'arriver, de ce qui allait me tomber dessus. « Je suis enceinte de toi. » Elle lâchait enfin, les larmes aux yeux. « Je suis désolée ... » Elle continuait, et elle avait l'air tellement mal, tellement au fond du trou, que je ne compris pas de suite ce qu'elle voulait dire. « E-enceinte ? » Je lui demandais, la voix tremblante. Je sais, c'est loin d'être la meilleure réaction, parce que je ne suis pas sourd, j'ai très bien entendu ce qu'elle a dit. Mais j'avais comme un besoin de confirmation, parce que je trouvais cela tellement … Impensable. Je ne savais pas depuis quand elle gardait pour elle cette nouvelle, depuis quand elle le savait, mais ça a dû être la grosse angoisse pour elle toute seule de prendre son courage à deux mains pour prononcer ce mot à voix haute, pour me l'avouer. C'est fou, comme le simple fait de dire quelque chose, de le lâcher dans l'air plutôt que de le laisser raisonner dans sa tête, peut rendre les choses d'un seul coup tellement plus vraies, et surtout, plus terrifiantes. C'est ça, à ce moment-là précis, à la seconde où j'avais prononcé ce mot pour lui en demander la confirmation, j'étais terrifié. Ça m'a sauté à la gorge, comme ça. Je regardais dans le vide au loin, par dessus son épaule, et il y avait cette question qui me revenait en tête : Pourquoi ? Pourquoi moi ? Pourquoi je ne pouvais pas avoir une vie tant soit peu normale ? Pourquoi fallait-il toujours que je finisse par faire une connerie plus grosse que tout ? Je n'étais pas toujours sage, je faisais des bêtises, je n'étais pas toujours poli, mais mes erreurs me valaient-elles d'avoir un enfant à dix-huit ?

Enfant. Un bébé. Ce concept me paraissaient si loin, si abstrait. Étant gay, je n'étais même pas sur si je pouvais avoir un gosse un jour. Et même si oui, pourquoi pas, l'idée d'en avoir ne sonnait pas si horriblement dans ma tête, tout ça était tôt, tellement tôt. J'étais encore au lycée, j'avais pas d'autres boulot que de faire des vidéos sur internet ou je parle de ma vie et je fais des blagues, et il fallait maintenant que j'élève un bébé et que je lui apprenne la vie quand j'étais encore moi-même un jeune adulte qui passe sa vie à rien branler ? Ça paraissait irréaliste, inconcevable.

Ma première terreur resta un petit moment. Je ne pouvais plus parler, j'étais comme paralysé. Pas le plus brillant moment de ma vie. Il n'y avait que ce mot, enceinte, qui flashait dans ma tête de toutes les couleurs, s'imprimant dans mon esprit. Enceinte. Enceinte. Mon coeur battait de plus en plus vite au fur et à mesure que la paralysie désenflait et que je prenais conscience de ce mot, de ce qu'il impliquait, des conséquences auxquelles je ne pourrais jamais me dérober. Bébé. Cris. Pleurs. Responsabilité. Autonomie. Maturité. Éducation. Et ce n'était là que quelques premières idées qui passaient à ce moment-là dans ma tête. Allez dire ça à un mec qui passe son temps à faire chier les gens et à poster des vidéos de ses délires sur le net. Allez voir s'il comprendre ce que ça veut dire. « C-Comment c'est possible Sea ? » Encore une question à la con que je posais là, mais je pense que celle-là était plus pour moi. Posée pour me donner le temps de sortir de transe, le temps de réfléchir moi-même, le temps de me calmer peut-être. Ça marchait un peu, pas beaucoup. Mon coeur avait du mal à calmer sa course folle, et je savais qu'il n'y arriverait peut-être pas avant un long moment. Que ce n'était pas l'une de ses frayeurs éphémères que l'on pouvait vite oublier. C'était tout autre chose, et c'était indélébile. Ça donnait un mauvais goût en bouche, une mauvaise sensation, et je me sentais mal, comme si j'étais coupable de quelque chose et que la culpabilité ne voulait pas me quitter. Sérieusement. Je me sens rarement coupable de quelque chose, et je ne sais pas si tous les nouveaux papas qui n'étaient pas supposés l'être ressentent la même chose que moi à ce moment où si c'est différent pour chacun, ou si ce n'est que moi, mais c'est comment je ressent la chose. Comme une enveloppe de culpabilité qui ne voulait me quitter, comme la sensation de quelque chose d'important que j'avais oublié sans pouvoir me souvenir de quoi, comme si la terre venait de s'écraser en pleins sur ma tête. C'est drôle, apprendre que l'on a mis quelqu'un enceinte. On pense, naïvement, qu'on intègre la chose et qu'on va se calmer, que ce sentiment désagréable sera le dernier ressentit par rapport à cette découverte, mais non. On prend une seconde plus tard un nouvel élément que l'on n'avait pas compté et nous voici une nouvelle fois le coeur battant accompagné d'une nouvelle émotion non plaisante. C'est les montagnes russes, apprendre que l'on va être papa. Et quand on pense que ça s'est enfin calmé, ça recommence. Une myriade d'émotions qui vous donne envie de dégueuler. Il fallait tout de même que je finisse par redescendre du wagon, et que je me concentre de nouveau sur la situation qui se déroulait toujours. Je pris une grande inspiration pour me calmer, et j'essayais de me focaliser sur une chose à la fois, d'être en plein contrôle de moi-même. « On l'a fait qu'une fois et on avait une capote ... » C'est ce qui me venait à l'esprit après m'être axée sur la chose et avoir réfléchit un minimum. Car je me souvenais parfaitement d'avoir enfilé un préservatif, je peux me revoir glisser mes doigts sur mon membre en l'enfilant. Je n'étais pas si débile que ce que je pouvais en avoir l'air, j'essayais de ne pas oublier ces choses-là, car ce serait vraiment con que je m'attrape un truc dégueulasse à cause de tous les mecs avec lesquels je couche. Surtout que cette fois-là, j'étais avec Sea. J'allais faire ça avec Sea. Une fille. J'aurais jamais oublié. « Putain ! Faudra leur dire que leurs capotes elles puent du cul. Résistances de rien du tout, ils se foutent de notre gueule. » J'évitais toujours de m'énerver pour rien, pas avant d'avoir analysé la situation dans tous les sens. Même là, j'arrivais pas à me laisser aller et à crier de vive-voix sur l'injustice du monde. Mais oui, à ce moment-là de ma découverte, je commençais à être énervé au fond. Pas forcément contre moi, pas contre Sea, mais contre ces putains de fabriquant de préservatifs pourris. Est-ce que tous ce serait passé de la même manière si il n'avait pas craqué ? Est-ce que tout ce serait passé de la même manière si j'avais choisi une autre marque quand j'en avais acheté cette semaine-ci ? Est-ce que tout se serait passé de la même manière si on avait capté après l'acte que la capote avait craquée et que les risquent étaient devenu plus grands ? Je sais, le préservatif protège bien mais jamais à cent pour cent de toute manière. Il y avait toujours un petit risque, un petit pourcentage, qui, comme par hasard, nous est revenu à la gueule. C'est tombé sur moi, sur elle. Quelle connerie. « On est dans la merde. » j'avais l'impression que mes mains tremblaient, alors j'en passait une dans mes cheveux, mordillant ma lèvre inférieure. Je n'étais pas fan de tout ce qui était imprévu, et là, c'était l’événement le moins prévisible du monde. Jamais je n'aurais parié sur cela si l'on m'aurait dit que quelque chose de grave et important allait me tombé dessus jeune. Je venais d'apprendre que j'allais avoir un gosse, et je me sentais déjà perdu, déjà croulé et enseveli sous cette nouvelle et sur la montagne de charge qu'elle nous apportait. Ce n'était pas censé ce passer de cette manière, c'était pas prévu dans le plan de vie de mon futur proche. « T-tu … T'as prévu de le garder ? » J'avais du mal à y croire : il suffisait d'apprendre qu'elle soit enceinte, et je me mettais à bégayer à chaque début de phrase. Je n'arrivais pas à faire autrement, je me sentais tellement faible d'un coup, tellement impuissant. Et encore, j'avais de la chance : si elle décidait de le garder, ce n'était pas à moi qu'on allait demander de garder le bébé et de le faire grandir dans mon ventre pendant neuf longs mois. Car c'était aussi une autre solution, de ne pas le garder. Je ne suis pas sur que ça existait à l'époque pendant laquelle j'étais encore chat, mais ici, on peut avorter, on peu donner son bébé à l'adoption, il y a tellement de moyens si jamais vous voulez vous en débarrasser. Et je ne savais pas ce qu'elle voulait, ce que Sea avait en tête, ce qu'elle préférait. Je ne savais pas comment elle se sentait fasse à cette situation, autre que le fait qu'elle avait eu du mal à me le dire et qu'elle se sentait désolé que ça nous soit tombé dessus. Je ne savais même pas ce que je voulais non plus. Tout ça était si soudain, si impossible. J'avais l'impression qu'une immense montagne à gravir s'était plantée en plein milieu de ma ligne droit et tranquille que j'espérais avoir pour mon futur. Je n'étais pas du genre à m'encombrer avec les problèmes, et j'avoue que là, je pouvais faire pareil. Lui dire que désolé, mais que je n'avais pas la tête pour être père, et qu'elle pouvait faire ce qu'elle voulait, que je m'en foutais. Mais ça ferait moi quelqu'un d'horrible n'est-ce pas ? Quelqu'un de sans coeur, d'ignoble et de cruel, quand je lui avais promis même pas dix minutes auparavant que je serais toujours là pour elle malgré les autres qui venaient et partaient dans sa vie, malgré tous les problème qu'elle pourrait avoir aussi. Puis est-ce que lui méritais ça ? Cet enfant qui vivait au creux de son ventre ? Il 'avait rien demander, tout comme elle et moi. Et j'avais une part, au fond de moi, qui ne voulait pas l'abandonner, pas comme mes parents avaient fait – avec le petit chaton que j'étais. Mes jambes bougeaient toutes seules sous le stresse et l'anxiété que j'avais en moi, tapant mon talon contre le sol répétitivement. « Écoute, ça va aller d'accord ? Quoi qu'il arrive, quoi que tu décides de faire, je serais avec toi, tu comprends ? Je te laisserais pas. On va s'en sortir, on va s'en sortir. » Je répétais, autant pour la rassurer elle que moi. Il fallait que je sois fort, mais c'était beaucoup à prendre en compte cette histoire, et j'avais besoin moi aussi de me calmer et de me rassurer. Moi encore, j'étais seul, j'avais personne. Pas de parents ou de vraies famille, je pouvais faire autant de gosses que je voulais même à mon âge. Mais elle avait une armée de tantes et deux parents, qui allaient sans doute la tuer d'être tombée enceinte si jeune de son meilleur ami gay. J'avais plus de chances qu'elle sur ce coup-là, il fallait l'avouer. « T'es … T'es sur que c'est le mien aussi ? Je sais que c'était ta première fois avec moi mais … T'as couché avec quelqu'un d'autre après ça ? » Je me sentais tout d'un coup pas très sur de poser cette question, quand dans d'autres circonstances, je l'aurais poser comme si c'était la question la plus simple du monde. Sauf que ça avait un impact là, et que je ne savais pas comment elle pouvait réagir. Je veux dire, c'était quelque chose à prendre en compte non ? Ça pouvait tout changer. Mais dans les films, quand le mec demandait ça à la fille, il finissait par se prendre une gifle parce que évidement que non, elle n'avait pas couché avec quelqu'un d'autre. Mais elle et moi n'étions pas ensemble, ne l'avions jamais été, et elle avait pu, pourquoi pas, tomber dans les bras d'un autre mec avec qui elle l'aurait fait. Un autre mec qui n'aurait pas utiliser de capote ou qui aurait choisi les mêmes que toi, aussi pourris qui se cassent en moins de deux. Putain de capotes.
4342 mots / fiche crée par © Summers
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Faites place à la vedette
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MessageSujet: Re: Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) EmptyVen 2 Mai - 14:38



Luc&Sea
On est tellement nombreux à être un peu bancal un peu bizarre. Et dans nos têtes y’a un blizzard. Comme les mystiques loser au grand cœur. Il faut qu’on sonne l’alarme, qu’on s’retrouve, qu’on s’rejoigne. Qu’on s’embrasse. Qu’on soit des milliards de mains sur des milliards d’épaules. Qu’on s’répète encore une fois que l’ennuie est un crime. Que la vie est un casse du siècle, un putain de piment rouge. Nique sa mère le Blizzard.

A chaque faux pas que je faisait, j'entendais la douce et sévère voix de ma mère résonnais dans ma tête. « Tu n'es pas prête pour aller en dehors du royaume », « Tu n'es pas prête à aller nager seule », « Tu n'es pas prête à endosser le rôle de princesse » et malgré que les traits de son visage rester flou dans mon esprit, le son de sa voix non tolérante y était intacte, je l'entendait dire de là où elle était, ses yeux river sur les miens « Tu n'es pas prête à avoir un enfant » bien sur que je n'étais pas prête, qui l'est vraiment ? J'allais devoir partager mon intérieur avec un autre être pendant un quart d'année et finir cette colocation les jambes en l'air à hurler devant un regroupement de personne censé « m'aider » alors que je tuerais pour sortir de là. Némo ne m'a était d'une aucune aide, hormis m'enfoncer encore plus dans le merdier dans lequel je m’était fourrée toute seule et Luc avait plutôt l'air de vouloir porter plainte contre Durex qu'être à mon écoute. Je trembler « Je suis enceinte de toi. » ça devait sonner comme un coup de bulldozer dans la tête de Luc. Il est rester immobile, un instant fixant loin devant lui comme pour se demander à quel moment de sa vie de gay il avait foiré. Sa vie était des plus belle depuis quelque temps, il avais arrêter de se mutiler et était dans un partenariat sexuelle et émotionnelle avec Zackary, c'était encore un des mecs les plus branches du lycée et il venais de mettre la main sur une amie d'une autre vie, comme il aime l'appeler. « E-enceinte ? » je secouais la tête pour dire oui, m'éloignant un peu de lui pour le laisser de l'air. Il avait la même tête qu'à l'annonce de la mort de Cory Montheit et la bouche ouverte comme quand il..eum, vous savez ce que les gay font entre eux, je n'entre pas dans les détails. « J'en aurais pas fait toute une histoire si c'était une simple gastro..aha. » J’essayais tant bien que de mal de détendre l'atmosphère. Je n'avait aucune idée à quel point sa vie aller être fichu à cause de moi, comme celle de Némo, comme celle de ma mère lorsqu'elle apprendras qu'elle est grand mère alors qu'elle espionne chaque trais de son visage à la recherche d'une ride. Je forcer tout mon entourage à avancer plus vite que la musique et je m'en voulais affreusement, plus à moi qu'à cette énorme erreur que j'ai fait de ne pas avoir protéger mes ovaires. « C-Comment c'est possible Sea ? » Je n'allais pas lui faire un cour de sexualité, alors je me contenter de hausser les épaules. Je n'en avais aucune idée. Comment le destin pouvait-il faire ça à deux âme innocente ? On avais pêcher, mais était-ce une raison de nous punir aussi violemment ? Nous n'étions que deux gamins tout aussi paumer l'un que l'autre, et nous forcez à élever quelqu'un était hors de portez. Si on l'élève qui va nous élevez nous ?  On était pas capable de faire les courses sans passer par le rayon bonbon, on finissait toujours par jouer au loup à chaque fois qu'on se décidé à faire un jooging, on prenais des happy meal à chaque fois que les cadeaux nous intéressez et on utilisez encore le terme « je te boude » comme des gamins de huit ans. Nous n'avions aucun projet d'avenir, et le destin nous forcez à en avoir. « On l'a fait qu'une fois et on avait une capote ... » j’acquiesçais. C'était pas géniale d'ailleurs pour une première fois, mais étant donner que Luc avais l'habitude d'être celui qui était à quatre patte, je le pardonnais. La capote avait salement lâcher, on était trop feignant pour la changer et j'avais trop peur d'aller à la pharmacie seule pour une pilule du lendemain. C'était de ma faute, mais aussi de la sienne, il a voulue remettre le couvert une deuxième fois pour s’assurer de sa sexualité et je pense qu'après une tel performance il a du penser que l'option gay lui était bien attribuer. Je préféré le laisser dans sa bulle le temps qu'il se remette de ses émotion, je me souvient avoir rouler en boule pendant trois heures en disant « non » quand j'ai vue les deux barres sur le teste de grossesse, il en auras besoin d'autant. Je saisissait sa main afin de le rassurez, j'espère que le « je  ne te laisserai pas tomber, jamais jamais. » était toujours d'actualité.  Même si nous étions ami et non amant, j'avais quand même besoin de la présence de Luc pour vivre. « Putain ! Faudra leur dire que leurs capotes elles puent du cul. Résistances de rien du tout, ils se foutent de notre gueule. » totalement. « On est dans la merde. » je porter sa main sur mon cœur. Oui on  l'était, c'était même le cas de le dire. Je ne l'avais pas encore à qui que ce soit, mais je voyais déjà les gifles et les engueulade arriver tel un tsunami déferlant d'hormone sur moi. Ma famille était très ouverte d'éspirt, sinon l'alliance entre mes parents ne se serais jamais fait, ils sont aussi porter sur l'amour et le respect des uns et des autres. En sachant que mon « copain » slash le fils adoptif d'Heloïse m'avait lâcher comme une grosse merde et m'enfoncer dans une longue et dur dépression, je les voyais plus se réunir avec des fourchette pour le tuer vivant. Heureusement, Luc était très apprécier par mes tantes et c'est peut être une bonne chose qu'il soit l'un des pères potentielles. « T-tu … T'as prévu de le garder ? » prévue n'était pas le bon mot. « J'ai pas vraiment le choix.. Je suis à mon troisième mois et d'après mon gynéco, c'est fou que les 'premiers signes' ne me touche que maintenant.. J'ai toujours était déréglés, il m'arrive de ne pas avoir mes règles pendants quatre mois sans que ça m'inquiète. J'aurais peut être du m’inquiète ? »  j'étais totalement déboussoler. Et le bébé me réclamer un bol de céréale avec des fruits couper et du lait froid. C'était vraiment pas le moment. Je n'arrivais pas à me sentir coupable parce que c'était quand même magique ce qui m'arrivais, un être humain grandissait en moi. Un tout petit être, innocent et tendre qui n'attendait que de voir le jour peu importe dans quel situation. « Écoute, ça va aller d'accord ? Quoi qu'il arrive, quoi que tu décides de faire, je serais avec toi, tu comprends ? Je te laisserais pas. On va s'en sortir, on va s'en sortir. »  c'était exactement les mots que je voulais entendre, sortit de la bouche du mauvais garçon. Si seulement Némo pouvais avoir la gentillesse et l'amour de Luc.  J'eus une monter d'hormone qui me fit pleurer. J'avais envie qu'on me soutienne, pas qu'on me rabaisse et qu'on me traite comme si j'étais un horrible monstre sans scrupule, détruiseuse  -ce mot n'existe pas – de vie. Je voulais qu'on m'aime quoi qu'il arrive et il a fallut que ce soit le mauvais garçon qui m'épaule. « Je déteste Némo. » soufflai-je d'une voix serré et remplis de larme. Je posait ma tête dans le creux de la nuque de mon meilleur ami, celuil qui ne me lâcherais jamais quoi qu'il arrive. « Tu resteras avec moi pour toujours hein ? Tu me laisseras jamais tomber ? Promis ? Avec le petit doigt ? » je lui présentait mon petit doigt pour qu'il l'enlace avec la sienne. J'étais une gamine qui allait avoir une gamine, on se serais crus dans Juno ou dans la saison un de glee. Sauf que je n'étais pas aussi jolie que Quinn Fabray.  « T'es … T'es sur que c'est le mien aussi ? Je sais que c'était ta première fois avec moi mais … T'as couché avec quelqu'un d'autre après ça ? »  comment dire ? « c'est là ou je voulais en venir. » dis-je en séchant mes larmes et mon mascara. « Tu es le deuxième père potentielles. Juste après toi, enfin la semaine qui a suivie j'ai coucher avec Némo pour la première fois. On a pas utilisé de capote, parce que j'ai prétendue être vierge, mais quand je lui ai annoncé avant hier, il m'a littéralement jeté dehors et demander de ne plus jamais m'approcher de lui.. » la fin de la phrase est partit dans les aigus à cause du gros sanglot qui était rester dans ma gorge. Némo ne voulais plus de moi, non pas parce que j’étais enceinte mais parce qu'il n'a jamais voulue plus que ce qu'on avait déjà. Il voulais qu'on couche ensemble, il a eu se qu'il voulait et a fait le parfait connard on m'envoyant boulait. J’étais vraiment stupide de croire que l'amour parfait exister. « On devrais quitté la ville et acheter un ranch dans le Texas. T'en dit quoi ? On aurais deux beau chevaux et une vache laitière. » je riais. C'était les hormones. Je passer du rire au larme en passant par des mini dépression et des envies de manger à tout bout de champ. « J'ai pas envie de gâcher ta vie. » avouai-je, le regard dans le sien. « T'es un mec super intelligent, t'es beau, t'es le prochain roi du bal de la promo, t'as un avenir tout à toi et ça, ça, ça va t'handicaper à tout jamais. Et je te laisserais pas gâcher un tel potentielles pour une stupide nuit passer dans les bras d'une totale bourrique. » Si j'en voulais beaucoup à Némo de ne pas être là pour le bébé, j'arrivais facilement à laisser partir Luc. Si sa vie était dans un si bon tournant, ça ne l'a pas toujours était. Il a eu des hauts et des bas et surtout des bas et sachant que son avenir était parsemer des hauts, je ne pouvais pas laisser des conneries que j'avais engendrais lui gâcher l’existence. Je ne suis pas une détruiseuse de vie après tout.

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MessageSujet: Re: Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) Tu es le gruyère sur mes nouilles. ♡ (luc) EmptyMar 19 Aoû - 22:44

Sea "Melody" Tysee & Lucifer "Luc" Norris
tu es le gruyère sur mes nouilles
« J'en aurais pas fait tout une histoire si c'était une simple gastro... aha. » Elle te disait, et tu aurais bien ris, poussé un petit bruit amusé, mais à vrai dire, t'étais encore un petit peu sonné. Ce n'était pas de sa faute et tu le savais : c'était juste toi qui avait un peu plus de mal à comprendre ce qui arrivait, ce qu'elle te disait. Tu n'aurais jamais cru entendre cela de ta vie, à part si c'était quelqu'un qui te faisait un canular, comme on pouvait voir sur internet par d'autres Youtubers que toi. Mais ce n'était pas par téléphone, elle était bien là devant toi, et elle avait l'air mal, et ça avait l'air affreusement vrai toute cette histoire. Tu commençais petit à petit à digérer le truc, ton cerveau se mettant à former des questions, et tu devenais plus curieux que sonné, ce qui était une assez bonne chose. Tu lui demandais donc si elle comptait le garder : tu n'étais pas vraiment pour ce qui était avortement, mais elle avait seize ans, et c'était elle qui avait ce genre de décision à prendre, et non toi. A cet âge-là, si on peut, c'est souvent le choix le plus facile, le plus soulageant. « J'ai pas vraiment le choix... Je suis à mon troisième mois et d'après mon gynéco, c'est fou que les 'premiers signes' n'apparaissent que maintenant... J'ai toujours été déréglé, il m'arrive de ne pas avoir mes règles pendant quatre mois sans que ça m'inquiète. J'aurai peut-être dû m'inquiéter ? » C'était encore pire que ce que tu pensais, car Sea n'avait même pas eu à faire ce choix de le garder ou non. Non, même si elle était pour, même si elle le voulait disparu, ce n'était plus possible pour elle, il était trop tard pour arrêter le processus. Tu ne connaissais pas vraiment tout ce qui était règle et compagnie, ça avait toujours été un truc de fille, et tu ne te sentais donc pas concerné. Encore si tu aimais les filles, tu en aurais peut-être su plus sur les périodes de menstruations, mais en plus de cela, tu étais gay, alors tout cela te passait complètement au dessus de la tête. Et non, tu n'étais pas du genre à bien écouter les cours de sciences et vie de la terre sur le sujet. Tu savais juste reconnaître quand Sea avait ses règles, comme elle plaquait ses mains contre son ventre comme pour le faire disparaître, et qu'elle changeait toutes les trois secondes de positions, toutes plus improbables les unes que les autres afin de diminuer la douleur, en vain. « C'est pas de ta faute, à quel moment tu te serais dit "tiens j'ai pas mes règles peut-être que j'ai un gosse ?" hein ? » Ce n'était pas vraiment le genre de pensées que les filles avaient à chaque petit dérèglements non ? Quoi que, peut-être que si, qu'est-ce que t'en savais. T'essayais ensuite de sortir des mots rassurants, autant pour elle que pour toi. Vous allez y arriver. Des tas de gens apprenaient des naissances chaque jour, des tas de bébés sortaient du ventre de leurs mères à chaque minutes. Ce ne devait pas être si difficile que ça hein ? ... Hein ? Et là, tu ne comprenais pas, mais elle commençait à pleurer, comme si t'avais dit les mauvaises paroles, ou qu'elle pensait à un truc trop triste. Peut-être que c'était toute cette situation, qui lui donnait envie de chialer. « Je déteste Némo. » Soufflait-elle de sa petite voix brisée par les larmes, et tu ne comprenais pas pourquoi d'un seul coup on en revenait à lui, mais tu acquiesçais d'un mouvement de tête, la serrant un peu plus contre toi alors qu'elle nichait sa tête dans ton cou, frottant doucement son dos d'une main afin de la réchauffer de ce temps plus que pourri et glacial. « Tu resteras avec moi pour toujours hein ? Tu me laisseras jamais tomber ? Promis ? Avec le petit doigt ? » Elle te demandait, te montrant son petit doigt, et tu n'hésitait pas une seconde pour enlacer ton petit doigt au sien, pour seller cette promesse. « Toujours. » Tu répétais, parce que même si tu n'avais aucune idée de comment vous allie faire pour vous en sortir, même si cette nouvelle avait l'air complètement folle et semblait presque irréelle pour quelqu'un comme toi, même dans ces moments-là, t'avais pas besoin de réfléchir des heures pour te demander si oui ou non tu resterais à ses côtés. Vous n'étiez pas mariés,vous n'aviez pas promis devant le maire que vous deux ce serait pour le meilleur et pour le pire, mais c'était comme tel. Et là n'avait pas l'air comme le meilleur moment de vos vies. « C'est là où je voulais en venir. » Disait-elle quand tu posait la vraie seconde question qui t'était venue à l'esprit. Est-ce que j'étais le seul avec qui elle avait couchée, ou est-c qu'après moi, elle en avait profité avec d'autres ? C'était important, et cela pouvait tout compliquer. « Tu es le deuxième père potentiel. Juste après toi, enfin la semaine qui a suivie j'ai couché avec Némo pour la première fois. On a pas utilisé de capote, parce que j'ai prétendu être vierge, mais quand je lui ai annoncé avant hier, il m'a littéralement jeté dehors et demandé de ne plus jamais m'approcher de lui... » Et ça, ça te faisait quand même un coup. C'était déjà dur, de te dire là de suite que t'allais être père, qu'un enfant de toi allait grandir dans le ventre de ta meilleure amie et sortirait dans quelques mois. Il fallait que tu encaisses, que tu comprennes exactement ce que ça voulait dire pour toi. Mais ça, c'était pas facile non plus. Maintenant, t'avais comme stresse en plus l'incertitude du sang du bébé. Peut-être qu'en naissant, il serait ton portait tout caché, ou celui de Némo. Et t'avais du mal à envisager la suite. T'avais promis il y a quelques minutes que tu n'allais pas la laisser comme ça, la laisser gérer ça toute seule. Tu l'accompagnerais à chaque étape, car c'était ton devoir. Mais qu'est-ce qui allait se passer plus tard ? Si au fur et mesure des mois tu te mettais à avoir de l'affection pour ce futur enfant, tu te conditionnais pour ne pas devenir un père pourri et qu'on découvrait que c'était celui de Némo ? Là ce ne serait pas Sea le problème, mais ce serait toi qu'on laisserait tomber, comme si tu n'avais pas été là depuis le début, comme si t'avais jamais fait parti de l'aventure. Tu hochais doucement ta tête, digérant à nouveau la nouvelle. Les deux ennemis, pères potentiels de la même fille ? Il fallait le faire. « Ok … Je suis second t'as dit ? Tu penses donc qu'il y a plus de chances que ce soit celui de Némo ? » Ou elle espérerait fortement que ce soit celui de Némo. C'était tout à fait compréhensible, si elle l'aimait, même si ce connard l'a jeté comme une mal-propre. Et puis t'avais cette rage, qui se bousculait en toi, en analysant une nouvelle fois tout ce qu'elle t'avais dit. « T'es sérieuse qu'il n'a même pas mis de capote ? Il est débile ou quoi ce bouffon, vierge ou pas vierge, les maladies ça existe, surtout s'il lui il a déjà baisé. Putain, t'as peut-être un bébé et le sida tiens. » Tu finissais par marmonner plus pour toi-même la fin de la phrase, parce que tu savais que ça ne l'aidait pas, mais tu ne pouvais pas ne pas te révolter contre ces putains de conneries que t'entendait, même si la révolte était juste dans ta tête. C'était typiquement le genre de truc qu'on voyait dans les films, de mecs qui veulent juste baiser avec des filles qui s'y connaissent pas. Ça voulait rien dire « être vierge » putain, plus t'entendais la voix de Sea résonner dans ta tête, et plus t'avais envie de coller ton poing bien dans la mâchoire de ce Némo, et plus tu entendais parler de lui, plus tu finissais par le détester à un niveau encore plus haut que ce que tu pensais être possible. « On devrait quitter la ville et acheter un ranch dans le Texas. T'en dis quoi ? On aurait deux beaux chevaux et une vache laitière. » Tu riais avec elle, secouant ta tête en t'imaginant un instant dans cette nouvelle vie qui serait totalement différente que celle que vous connaissiez. « Hm tu me vois, sexy dans ma chemise à carreaux version bûcheron, à planter un potager pour qu'on puisse bouffer de nos récoltes sans qu'on ai plus jamais à sortir et avoir à faire face aux gens extérieurs ? » Évidement que tu serais sexy, le look bûcheron c'était en vogue non ? T'avais pas encore autant de pilosité qu'eux sur le visage – même si t'avais des périodes sans rien et des périodes où tu te laissais un peu pousser la barbe – et t'avais surtout pas autant de muscles mais ça irait, tes biceps grossiraient au fur et à mesure que tu devras rapporter des bûches pour chauffer le ranch en hiver, tel Charles Ingalls dans la petite maison dans la prairie. « J'ai pas envie de gâcher ta vie. » Elle reprenait plus sérieusement, et tu la regardais dans la yeux, soutenant ton regard. Tu sentais que c'était le début, qu'elle n'avait pas finie de parler, alors t'attendais qu'elle te sorte tout ce qu'elle voulait, avant que tu puisses la traiter de débile de penser un truc pareil. « T'es un mec super intelligent, t'es beau, t'es le prochain roi du bal de la promo, t'as un avenir tout à toi et ça, ça, ça va t'handicaper à tout jamais. Et je te laisserais pas gâcher un tel potentiel pour une stupide nuit passée dans les bras d'une totale bourrique. » Ça t'aurait fait plaisir dans d'autres circonstances. Ça t'aurait fait plaisir si quelqu'un d'autre qu'elle te disait ça, aujourd'hui même. Mais plus elle parlait, plus t'avais envie de retrouver ton couteau de ce matin. Tout ce que tu ressentais, c'était à quel point t'étais un bon à rien, dans la vie. Ouais t'étais intelligent, ouais t'étais canon, mais ça s'arrêtait là. L'intelligence était cachée et demeurait non-utilisée si ce n'était pour faire des farces ou établir des tactiques compliquées dans les jeux vidéos, et être canon, ça marchait sur le net, mais après ça ne faisait pas tout apparemment. Ironiquement, c'était toi qui avait envie de verser des larmes maintenant, même si tu te contrôlais et tu ne laissais rien passer. « Déjà, arrête de te dévaloriser. » Tu commençais par dire, parce que c'était ta meilleure amie et que non, elle n'était pas une totale bourrique. Évidement il y avait des fois où elle oubliait des choses, où elle était tête en l'air, où elle pouvait oublier la date de votre dernière sortie ciné prévue, mais c'était normal. Elle était comme toi, comme tous les adolescents de votre âge. Commençait par ça te permettait également de réfléchir à ce que t'allais pourvoir dire, et surtout à croiser les doigts pour contrôler ta voix le plus possible. « Puis Sea … De quel avenir tu parles ? Tu demandais du but en blanc, dans un rire crispé. Je suis qu'un con qui n'fout rien de sa vie, qui sèche les cours dès qu'il en a l'envie et qui profite de faire des vues sur Youtube afin d'éviter de trouver un vrai boulot. Je mens, je couche avec des gens, je fais chier des gens, et rebelote la même histoire chaque jour depuis que je suis ici. » Tu haussais de manière las tes épaules, ton regard totalement perdu parmi les branches des arbres et les feuilles qui s'écrasaient au sol sous se vent. Il avait fallu que tu détournes tes yeux pour continuer, que tu reprennes contenance, car t'avais l'impression à ce moment-là d'aborder l'expression de darren criss dans glee quand son personnage découvrait que son petit-copain parlait avec un chandler super gay. « Où est le si grand potentiel que tu vois, Sea ? » Tu finissais, secouant ta tête dans l'incompréhension, alors que tu la regardais une nouvelle fois. C'était malheureux à dire, mais il n'y avait rien qu'elle puisse gâcher de plus.
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