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 Time of punishment has come ø feat. Talie [+18]

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Aphria M. Ysley

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J'ai posé bagages ici le : 29/01/2014 Jouant le rôle de : Maléfique #teamsleepingbeauty. Nombre de messages : 739 On me connait sous le pseudo : Kikiwette aka Juliette. Un merci à : Vava : @roseadasio & Sign : @bazzart Je suis fier(e) de porter l'avatar de : Angelina Jolie.
MessageSujet: Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] EmptyLun 3 Fév - 23:18




Time of punishment has come

« Je suis ta came, ta coke, je suis ton trip. Et si tu suffoques, je m'en moque. »
C'est la cinquième clope en même pas une heure que tu te grilles. Tu sais que tu peux en crever mais tu t'en fous et tu recommences à tirer de plus belle sur cette saloperie de pompe à cancer du poumon. Et comme si ce n'était pas suffisant, tu te sers un nouveau verre de Brandy. Tu en bois une, puis deux gorgées et, tu ne prends même plus le temps d'apprécier son goût prononcé et boisé. Tes pensées sont ailleurs que dans ses saveurs divines dont tu aimais tant t'enivrer les soirs où tu n'avais pas la tête à pourrir la soirée de la blondinette. Car, c'était bien elle la fautive dans l'histoire .. si tu n'avais plus la tête à tout ça c'est parce que, cette moins que rien t'obsédée. Chaque appétissante courbe de son corps, chaque ondulation de sa chevelure doré et chaque battement de cil te rendait folle. Toi qui fessait tout ton possible pour la détruire à petit feu, voilà que tu commençais à t'enticher d'elle. Pourtant tu sais que tes sentiments à son égard ne sont que purement fictifs bien que parfois tu aimes à en douter. Rien que de penser que tu pourrais ressentir un quelconque amour pour elle te donnes envie de vomir.

Tu termines ton verre cul-sec, tires sur ta clope comme il s'agissait de ta dernière avant de la jeter dans le feu de cheminée qui ronronnait tel un gros chat après une bonne pâtée. Tu quittes le salon pour t'engouffrer dans la chambre de celle qui te donnes tant de nuit blanche. Et lorsque tu y rentres, tu peux la voir dans son lit en train de dormir. Tu l'observes de tes beaux yeux bleus, t'amusant même à la déshabiller du regard. Tant d'idées plus malsaines les unes que les autres sont en train de germer dans ton cerveau si vicieux. Tu ne veux plus attendre une seule seconde pour les mettre à exécution alors, tu allumes la lumière et tel une lionne assoiffée de sang, tu te jettes sur elle.

Tu l'a sens se débattre sous le poids de ton corps mais, tu fais en sorte de la maintenir dans cette position de soumission pendant que tu cherches du regard un objet pouvant servir de corde. Lorsque enfin, tu t'empares de deux écharpes qui étaient au sol et avec rapidité, tu attaches les poignets et les chevilles de la jeune demoiselle aux barreaux du lit. T'asseyant sur son ventre avec domination, tu l'a regarde d'un sourire vil alors qu'on peut admirer dans ton regard une pointe d'amusement et de perversion.

Tes doigts viennent caresser sa chevelure brillante puis, son si doux visage sur lequel tu te perds. Avant de t'arrêter soudainement près de sa joue, que tu gifles avec une telle rudesse, qu'elle fit écho dans toute la pièce. Sa joue rougît, tu ris doucement avant de l'attraper par la mâchoire pour la fixer dans le blanc des yeux. Comme toujours, tu peux y lire la peur et la supplication et comme toujours tu n'en fais rien alors que tu te plais à te conduire comme la pire des garces avec elle. Tu arrêtes de la regarder pour, l'embrasser à pleine bouche où ta langue gloutonne de désir perfore ses lèvres pour s'entrelacer dans la sienne. Et lorsque tu juges en avoir assez, tu te retires pour lui mordre la lèvre inférieur jusqu'au sang. Admirant cette morsure si parfaite, tu te mets à rire avant de te coucher tout entièrement sur elle pour venir te hisser jusqu'au creux de son oreille.

ø L'heure de la punition a sonné. Il est temps pour toi d'hurler et temps pour moi de m'amuser.

À ces mots susurrés, tu te retires en lui mordant le lobe de l'oreille et de tes deux mains, tu vins déchirer la chemise de nuit qui cachée, son corps si fragile. Tu sors une nouvelle cigarette et l'allume. Tu étais sur le point de l'apporter à tes lèvres lorsque tu décidas t'en faire autre usage .. Et d'un geste calculé, tu appuyas le côté brûlant sur son avant bras droit puis, sur le gauche. Les cris perçants de la blondinette te font rire aux éclats alors que tu continues cette mutilation à la cigarette pendant une bonne dizaine de minutes. Ce n'est qu'après ce lapes de temps, que tu décides enfin à la fumer tout en regardant avec un léger sourire les traces que tu venais de lui infliger. Tu jettes par la suite ton mégot et l'a fixe.

ø J'espère que tu aimes ce que je te fais ?! Parce que ce n'est que le début d'une longue série d'idées dès plus malsaines que je puisse t'infliger ma douce. Tes paroles claquèrent tel un fouet alors que tu continuais à la dévisager de ton regard froid et imperturbable qui attendait, une éventuelle réponse où interaction de sa part.


La Poupée  leche  & la Sadique  Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] 4153354820 

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Dernière édition par Aphria M. Ysley le Mar 20 Mai - 14:34, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] EmptyLun 10 Fév - 8:50







▲ défoncée, défonce-moi.



C’est comme une douce chaleur qui t’envahit le corps et l’esprit. Tu t’évades, tu es libre. Tu t’es défait de ces chaînes de fer qui te gardaient prisonnière de son envoûtement. Il n’y a plus que toi désormais. Tu peux respirer à nouveau, tu peux vivre enfin. Tu n’éprouves plus cette peur qui te rongeait de l’intérieur depuis ton arrivée dans ce nouveau monde. Non, tu es juste apaisée pour de bon. Le cauchemar est terminé, une page a été tournée. Ta Maîtresse n’est plus, tout a désormais disparu. De nouveaux rêves, de nouveaux espoirs t’emplissent et ton cœur recommence à battre. C’est comme si la vie coulait à nouveau à flots dans tes veines. Il y a même une douce mélodie qui semble résonner à tes oreilles, doucement, furtivement. Un peu pareil à un chant d’oiseau, celui que tu fredonnais durant tes escapades en forêt – là-bas, dans un autre monde, une toute autre vie. Un goût familier de bonheur se dépose sur ta langue et tu souris. Tu souris à la vie. Mais tout devient sombre soudainement. Le soleil se cache, le bonheur s’enfuit. Un vent glacé te pétrifie jusqu’aux os. Ta respiration s’accélère, c’est comme un tambour entre tes côtes. Tu sens ton estomac se nouer, l’angoisse revient et tu as l’impression de tomber. Les grands yeux jaunes se dessinent dans l’horizon. Tu entends son rire malsain qui te foudroie sur place. Elle est revenue. Elle est là, elle te guette. Tu es sa proie, son trophée. Tu es sa convoitise et sa licencieuse friandise. Tu tentes de t’échapper mais tu n’y parviens pas. Tu es paralysée de peur et d’effroi, parce que tu sais que quoi que tu fasses, elle gagnera le combat. Elle gagne toujours.
Tu es arrachée à ton cocon de peur glacée et, l’esprit encore embrouillé, tu sens plus que tu ne vois le corps de ta Maîtresse surplombant le tien. Elle est là, dans ta chambre. Dans ton lit. Un frisson d’angoisse mêlé d’excitation te parcourt et ton regard flou se fixe au sien, comme par automatisme. Avalant difficilement ta salive, tu subis un baiser vorace qui te remue jusqu’aux tripes. Une nausée te soulève le cœur en même temps que ton corps se tend vers elle, comme réclamant déjà plus encore. Tu te dégoûtes d’être autant affamée, autant frustrée. Tu te sens avide de son contact, de sa peau, de ses mains. De sa bouche. Un gémissement rauque t’échappe lorsque ses dents entaillent ta lèvre sans douceur. Et la gifle tombe alors, crue. Partagée entre douleur et plaisir, ce geste te révulse. Mais, déjà, dans un coin de ta tête, tout un tas d’images défile les unes après les autres. Obscènes, excitantes, dégradantes. Frustrantes. Ton être est telle une immense boule de feu que seules ses lèvres peuvent éteindre. Bientôt, tu sens tes mains et tes pieds liés, emprisonnés aux barreaux de ton lit. Soumise, en position d’infériorité, tu vois dans son regard empli de perversité que c’est ainsi qu’elle te préfère – offerte au moindre de ses désirs. Et quand elle déchire le tissu fin de ta chemise de nuit, ton dos s’arque de son propre chef. Elle libère ta poitrine, met à nu ce corps gracile et pâle qui lui appartient et dont elle compte disposer à sa guise cette nuit. Tu le sais, tu le comprends à ce sourire malsain qui déforme sa bouche aux courbes sensuelles.
Tu es presque entièrement nue, entièrement offerte à ses yeux pleins de convoitise et de concupiscence. Ton estomac se tord, éperdu d’un désir honni. Une part de toi aime lorsqu’elle te regarde comme ça, lorsque ses yeux hurlent autant d’envie que les tiens. Dans un geste automatique, ta langue passe sur tes lèvres avec lenteur, léchant la blessure fraîche. Le goût ferreux du sang émoustille tes papilles et échauffe ton être. Tu sais pourtant que ta Maîtresse va te torturer, que la douleur va faire plier ton corps jusqu’à ce que tu t’évanouisses. Jusqu’à ce que le noir profond t’engloutisse. Tu as bien essayé de te débattre, de te défaire de son emprise douloureuse et nocive mais rien n’y a fait. Tu es trop faible devant elle. Tu es sa petite poupée de porcelaine complètement désarticulée entre ses mains. Parce que lorsqu’elle t’embrasse, lorsqu’elle te touche, tu sens ton âme toute entière se liquéfier. C’est pareil à des torrents de lave en fusion qui se déverseraient en toi, brûleraient tes organes de l’intérieur. C’est à la fois si bon et si insupportable. Un plaisir malsain qui fait naître ce besoin au creux de tes reins. Ce besoin d’elle, de son contact. Ce besoin de plus, toujours plus. Tu te dégoûtes tellement d’avoir envie d’elle en cet instant. De te sentir excitée par cette position de soumise dans laquelle elle t’a postée. Tu es nue, offerte à son regard brûlant, il ne reste que cette petite culotte en dentelle qui couvre un dernier morceau de ta féminité. Et la seule pensée qui te traverse en la seconde est que tu te languis de sentir sa peau glacée et nue recouvrir la tienne.
Elle susurre quelques mots à ton oreille que tu ne déchiffres pas tellement. Tu sens juste ce frisson agréable qui te parcoure toute entière et tend ton corps arqué sous le sien. Un son guttural t’échappe quand ses dents égratignent le lobe de ton oreille. Tu serres les poings, tires sur les écharpes qui nouent tes mains comme pour tenter de t’en échapper. Et par-dessus le désir, l’envie brûlante de ta Maîtresse, une peur sournoise s’infiltre à l’intérieur de ton corps. Elle t’envahit, t’enserre la gorge jusqu’à t’étouffer quand tu la vois allumer le long bâtonnet de nicotine. Tu lui jettes un regard suppliant malgré toi, tu vois dans ses yeux sombres l’idée folle qui lui traverse l’esprit. « Non… non… tu supplies tout en te tortillant sur le matelas. S’il vous plaît, non… » Mais ta demande reste sans réponse et tu sens bientôt la brûlure de la cigarette sur ta peau diaphane. C’est comme une marque au fer rouge, comme un barrage cédant sous la pression de l’eau. C’est une marque de possession. Alors tu cries de douleur, le regard embué de larmes qui te piquent les yeux comme de l’acide. Tu hurles chaque fois que le mégot mutile ta peau, tu hurles devant cette joie intense que ta Maîtresse dissimule à peine. Et ses éclats de rire tonitruants qui te font tourner la tête. « Pitié… S’il vous plaît, arrêtez… tu quémandes, la voix enrouée et le souffle court d’avoir trop crié. »
Mais la douleur continue, les brûlures marquent ta peau blanche. Et la souffrance finit presque par s’évanouir derrière la lassitude. Quelques dernières larmes roulent sur tes joues, tu les sens qui vont s’écraser sur ton oreiller rose pâle. Elles mouillent ta nuque, tes mèches blondes comme les blés. Tu as envie de fermer les yeux, de t’abandonner. D’oublier. « Vous savez que je vous appartiens et que vous pouvez me faire tout ce qu’il vous plaira, tu réponds quand tout a enfin cessé. Je ne saurais m’y opposer, Maîtresse. » Tu sais que c’est ce qu’elle veut, que c’est ce qu’elle attend de toi. Tu sais qu’elle aime te voir ainsi. Alors tu rends les armes et lui donnes ce qu’elle désire, sans même réfléchir. Tu courbes l’échine, te soumets à son bon vouloir. Tu sais qu’il ne te servirait à rien de te rebeller, de vouloir te soustraire à son volonté – tu en es tout bonnement incapable, de toute façon. Tu finis toujours par lui céder, parce que ces foutus sentiments dégueulasses et répugnants te rendent faible et malléable comme de la pâte à modeler. Elle est devenue l’artiste qui te façonne, te crée. Elle est ta Pygmalion et tu es sa Galatée. Elle a donné naissance à ta féminité. « Fais-moi du bien, tu lances tout à coup dans une supplique quelque peu désespérée. S’il te plaît… ça fait bien trop longtemps que tu ne m’as pas touchée… Je t’en prie, Aphria… » Le souvenir de ses mains sur ta peau ramène le désir et l’envie au creux de tes reins, comme une flèche qui te transperce et réveille tes sens. Elle comme ta drogue. Elle est ta cocaïne.




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Aphria M. Ysley

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MessageSujet: Re: Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] EmptyLun 10 Fév - 23:15




Time of punishment has come

« Je suis ta came, ta coke, je suis ton trip. Et si tu suffoques, je m'en moque. »
Tu commençais à peine à t'amuser et déjà elle te supplie de lui faire du bien, de la prendre sans attendre un millième de seconde. Un sourire narquois étire les courbes charnelles de tes lèvres carmins alors que, tu lui caresses de ton index et avec une certaine douceur les côtes. Tu remontes et redescends ses formes généreuses et sveltes sans éprouver un quelconque ennui, c'était le calme avant la tempête imminente. Ses supplices t'ont légèrement rendu un peu moins bourrue mais, se doutait-elle que ce n'était qu'une vile fumisterie pour mieux la détruire par la suite. Tu veux lui faire croire que, tu allais céder à sa requête. Que tu lui détacherais les membres pour qu'elle puisse te toucher de ces fines mains pendant que, tu l'a baiserais sans ménagement. Tu céderas bien entendu à cette demande soudaine mais, pas tout de suite .. Non, tu étais beaucoup trop habité de perversion et de malveillance pour tout arrêter maintenant. Tu voulais l'entendre hurler à perdre haleine, l'entendre pleurer comme un nouveau-né mais surtout, tu voulais sans lassitude voir s'afficher cette douce peur dans les moindres parcelles de son si attrayant visage. Et pendant que de ta main gauche tu lui caresses sa chevelure doré, de l'autre main,  tu t'amuses à effleurer les boules roses si sensibles de ses seins. Tu approches ton visage du sien et du l'embrasse du bout des lèvres puis, plus franchement en y insérant ta langue. Un ballet entre vos deux organes charnus commence à prendre forme et lorsque tu sens qu'elle commence à en prendre du plaisir, tu te retires rapidement pour ne pas lui donner de satisfaction immédiate. Et tu l'as regarde avec une légère pointe de sadisme dans le regard avant de prendre la parole d'une voix doucereuse.

ø Sois sûre que je te ferais du bien ma toute belle .. Oh oui, je te ferais jouir comme jamais mais pour l'heure, je tiens encore à te faire du mal. J'ai tellement de frustration en moi que, j'ai besoin de la laisser sortir. Alors tais-toi et profite des méfaits de ma cruauté.

Aussitôt, tu te retires du lit et te diriges vers la porte que tu fermes à clé afin de n'être dérangée sous aucun prétexte où que l'un de tes sbires n'aient la subtile envie de se mêler à ce jeu malsain. Enfin, tu détaches les poignets et les chevilles de la demoiselle et tu l'a jette hors du lit. Tu l'obliges à rester coucher au sol avant de la relever en l'a tenant fermement par les cheveux. Tu fais tout de même attention de ne pas lui en arracher par inadvertance car, tu y tiens précieusement comme à la prunelle de tes yeux. Et sans douceur, tu viens coller son visage contre le mur froid de la chambre. Ton corps vient se coller contre son dos nu pendant que ton souffle chaud s'étale contre sa nuque. L'odeur de fruit des bois provenant de la crinière de la demoiselle embaume tes narines et laisse pousser un léger soupir d'extase alors que d'un coup sec, tu viens mordre à pleine dans son cou de cygne. Comme un vampire qui aspire le liquide purpurin de sa victime, tu aspires la peau laiteuse de ton esclave et lui dessine un joli suçon. Tu te lèches les lèvres avec convoitise alors que tes mains viennes s'entrelacer aux siennes et lentement tu les posent sur le mur au dessus de sa tête. Dans un susurrement, tu lui ordonnes de ne pas bouger d'un millimètre pendant que tu retires ta ceinture de cuir. Tu te recules légèrement pour avoir une meilleure angle de frappe et sans crier gare, tu fais claquer avec force le cuir sur le dos de la demoiselle. Au premier cri, tu constates que tu n'as pas frappé assez fort alors, tu continues sans relâche jusqu'à faire tomber comme la fièvre, ta frustration.

Le dos de Talie complètement rougit par tes coups répétés, tu décides de t'arrêter là en laissant la ceinture glisser au sol. Tu reviens vers elle et brusquement, tu l'as retourne pour plonger ton regard dans le sien. Elle était effrayée, les larmes lui coulant à flot sur ses joues pâles mais, cela ne t'attendrie pas pour autant alors que, tu la gifle à nouveau .. Tu lui sers si fort la mâchoire qu'il ne te suffit que d'un geste brusque pour la lui déboîter. Et comme tu n'as pas très envie de te farcir une visite à l'hôpital pour violence domestique, tu décides de diminuer la pression sur sa mâchoire. Et en prime, tu lui offre une nouvelle gifle qui l'a fait tomber à terre .. Tu ne lui laisse aucun moment de faveur et tu la reprend une nouvelle fois par les cheveux pour la balancer avec agressivité sur son lit. Tu l'as regarde se recroqueviller comme pour se protéger de tes assauts, cela te fait doucement sourire alors que, tu allumes une autre cigarette. De ta poche de jeans, tu sors un petit sachet en plastique contenant une belle poudre blanche appelé : cocaïne .. Si les fraises tagada sont ta drogue, la blanche est celle de ta chose et tu le sais. Et comme tu sais qu'elle n'en a pas consommé depuis un petit bout de temps, tu vas t'en amuser en la lui mettant sous le nez sans possibilité de consommation. Enfin, sauf échange de service, celà va de soit. Avec toi, elle sait qu'on à rien sans rien.

ø Regardes ce que je tiens ma toute belle. Un petit rail ça te tente ?! Je sais que, tu en meurs d'envie alors, viens la chercher .. Allez la droguée dépêche toi, viens chercher ta came.

Tu t'assois en secouant et balançant lentement le petit sachet de droite à gauche pendant que toi, tu t'extases avec ta cigarette remplie de merde chimique. Tu sais qu'elle va venir en rampant car, une droguée ne résiste jamais longtemps à l'appel strident du manque. Ce n'est pas pour rien que, tu l'as fait devenir accro à cette merde ainsi, lorsque l'idée de vouloir fuir lui viendrait à l'esprit, elle serait inévitablement obligé de revenir à la maison pour avoir sa dose. Tu l'avais engouffré dans tellement de dépravation et de perdition que parfois, ta propre méchanceté te révulsait. Quoi qu'il en soit, cette sensation s'en allait toujours comme elle venait c'est à dire, rapidement.


La poupée  leche  & la Sadique  Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] 4153354820 

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Dernière édition par Aphria M. Ysley le Mar 20 Mai - 14:34, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] EmptySam 8 Mar - 14:30







▲ défoncée, défonce-moi.



Partagée entre désir et haine, tu ne sais plus où donner de la tête. C’est insupportable ce tumulte de sentiments contraires qui t’envahissent au seul contact de ta Maîtresse. Tu es tiraillée, déchirée entre cette envie d’elle et cette répulsion qui t’anime chaque fois que ton regard se pose sur elle. Elle, Aphria. Maléfique. Cette indécente beauté divine qui met ton corps et ton cœur à sang. Cette sorcière sulfureuse qui détient ton âme entre ses mains. Rien que la pensée de ses doigts glacés sur ta peau nue déclenche en toi des myriades de sensations contradictoires – besoin, dégoût, colère, dépendance. Chaque fibre de ton être se tend vers elle, toujours. Tu ne peux plus rien empêcher de cette envie qu’elle a déposée au fond de toi et qui a grandi telle une plante carnivore qui semble te bouffer de l’intérieur, petit à petit. Non, tu n’y peux rien et tu as abandonné la lutte depuis longtemps déjà. Alors tu la supplies, tu quémandes. Tu la pries de te faire du bien, d’arrêter ses tortures et de faire ployer ta carcasse vide sous le plaisir charnel. Oui, tu as envie d’elle. Tu as envie d’oublier ce qu’elle te fait vivre, tu as envie d’oublier la douleur, la mort et l’ennui. Tu as envie d’hurler jusqu’à devenir aphone, que ton esprit ébloui stoppe chaque pensée traversant ton crâne éclaté. Parfois, tu te dis que mourir de sa main ne serait pas une mort si horrible. Ce serait plutôt la délivrance d’une trop longue souffrance que tu n’as plus la force d’endurer. Quitter une vie qui a décidé qu’elle ne te désirait pas, qu’elle ne te désirait plus. Oui, tu as envie d’hurler jusqu’à la mort.
Mais tu la connais. Tu sais comment elle fonctionne. Ta Maîtresse ne t’accordera pas ce que tu souhaites sans contrepartie. Sans que tu n’en payes le prix. Avec elle, c’est toujours donnant-donnant. Et tu vois à son regard brûlant de convoitise et de sadisme qu’elle compte bien faire ce qu’elle désire de toi avant. Ses phalanges de glace parcourent tes seins, les bouts de chair brune durcissant sous le contact léger. Ton buste se tend, tu laisses échapper un gémissement. Déjà, ton corps réclame plus, beaucoup plus. Plus d’attouchements, plus de sensations. Plus de plaisir. Alors quand ses lèvres emprisonnent vivement les tiennes, tu regrettes ces liens qui retiennent tes mains aux barreaux de ton lit. Tu as l’envie brûlante de t’agripper à elle, de fourrager dans sa chevelure ébène tout en geignant d’envie et de plaisir. Mais tout s’arrête trop tôt, comme si tu n’avais pas le droit à plus. Comme si elle ne voulait pas que tu y prennes trop de plaisir. Tu grognes de mécontentement, la fusillant presque de ton regard enfiévré. Et dans sa voix pleine de promesses de plaisirs à venir, tu sens déjà l’excitation qui t’envahit de toute part. Ton sang est bouillant dans tes veines, ton cœur bat à tes tempes, fort. Trop absorbée par ton imagination débordante qui t’envoie ces images indécentes, tu ne protestes même pas lorsqu’elle annonce de sa voix mielleuse que ton corps sera mutilé avant ça. Tu es prête à tout endurer, pourvu qu’elle éteigne l’incendie qui brûle en toi. « Bien, Maîtresse, tu souffles, les joues déjà rougies et la respiration courte. »
À travers une brume épaisse, tu la regardes fermer la porte de ta chambre à clef, tu la sens qui défait tes liens et te jette hors du lit sans ménagement. Le sol sous ton corps nu est glacé, le choc est rude et tu laisses échapper un halètement de douleur. Ce n’est encore qu’un début. Le commencement d’une souffrance sans fin. Elle attrape soudain tes cheveux d’une poigne de fer et tu grimaces, geins sous la douleur mais tu n’as pas le temps de dire quoi que ce soit qu’elle t’oblige à te relever et te plaque violemment contre le mur. Le contact de la pierre est comme une brûlure sur ta chair. Bientôt, ses formes épousent les tiennes et tu retiens un frisson. Son souffle chaud balaye ta nuque et tu presses les paupières, chamboulée. Tout ce désir qu’elle insuffle en toi par sa seule présence. Tu ne le supportes pas, c’est nocif. Nocif et pourtant, tu as tant besoin de tout ça. Même de la douleur, même des coups qu’elle te porte. Tu en as besoin. La morsure qu’elle t’inflige au creux de ton cou te faire gémir bruyamment. Tu sens comme ta peau craqueler sous ses dents d’ivoire. Tu respires fort. Encore ce plaisir douloureux, cette souffrance trop agréable. Parce que ses lèvres sucent, aspirent ta chair blanche et nacrée. Tu vois déjà la marque de sa possessivité sur toi, comme laissée à l’encre indélébile. Tu es sienne, elle te le rappelle encore une fois. Ses mains s’entrelaçant aux tiennes, elle t’ordonne de ne plus bouger. Excitée, impatiente, apeurée, tu obtempères d’un hochement de tête et restes immobile, les bras levés au-dessus de ton crâne. Il te semble que le temps s’arrête lorsqu’elle s’éloigne de toi. Dans l’expectative, tu trembles légèrement d’appréhension, un frisson te parcourant le dos. Alors quand le cuir de sa ceinture s’abat sur ton corps, déchire ta peau, tu hurles à plein poumons. La brûlure est si vive que ta respiration se coupe instantanément. Tu ne sais combien de coups te lacèrent le dos, tu ne les comptes plus. Tu ne sens même plus la morsure de sa ceinture, c’est juste un picotement de plus. Ta tête se renverse en arrière, laissant les larmes couler dans ta chevelure blonde. Entre deux cris de douleur, tu la supplies d’arrêter mais tes suffocations t’empêchent de parler. Tu es juste bonne à hurler comme une folle à lier.
C’est comme une libération lorsque les coups s’arrêtent. Ne reste plus que ton dos brûlant, comme chauffé à blanc. Tu as les jambes qui tremblent, tu as envie de t’effondrer au sol, de t’évanouir sur le champ mais ta Maîtresse ne t’en laisse pas le temps. Empoignant ton visage humide de larmes, elle serre ta mâchoire et te gifle ensuite. Trop faible, tu t’écroules au sol comme une poupée désarticulée. Ton corps n’est plus qu’un amas de douleur tout entier. Tout en toi hurle la souffrance. « Maîtresse… tentes-tu vainement dans une supplique mais elle ne t’écoute même pas, te balance seulement sur ton lit de nouveau comme si tu n’étais qu’un vulgaire jouet entre ses mains. » Dans un geste instinctif de protection, tu te roules en boule. Tu es une chienne apeurée, blessée. Sa chienne. Tu pleures doucement en silence et ton corps est secoué de légers spasmes irréguliers. Tu n’en peux plus. Tu ne veux plus de tout ça. Tu voudrais juste que tout s’arrête. Que tout ça se finisse, une bonne fois pour toutes. Elle ne t’aimera jamais comme toi tu es désespérément amoureuse d’elle ; elle continuera de te maltraiter, de te haïr parce que c’est ce qu’elle a toujours fait – depuis le début. Mais tu ne peux pas partir, tu n’en as pas le courage. Tu sais que le manque d’elle se ferait trop pesant, trop lourd à chaque instant. Ce vide creusé à l’intérieur de toi te laisserait achevée, morte avant l’heure. Ce serait comme dépérir doucement, à petit feu. Tu verrais ta fin arriver mais avec tant de lenteur que tu finirais par supplier pour être achevée. Tu ne peux pas la quitter.
Sa voix doucereuse s’élève dans l’air moite de ta chambre et tu viens fixer ton regard embué au sien. Malgré les larmes qui te brûlent encore les paupières, le petit sachet de poudre blanche au bout de ses doigts attire tout de suite ton œil. Tu avales ta salive avec fébrilité. Cocaïne. Ta seconde addiction née de ta première. Cette poudre couleur de neige que tu chéris au moins autant que ta propre vie. Depuis combien de temps n’as-tu pas eu droit à ta dose ? Depuis combien de temps Aphria ne t’a-t-elle pas donné ton comptant de coke ? Tu sursautes légèrement quand elle t’appelle. Elle t’ordonne de venir, de venir chercher le sachet qui se balance presque sous tes yeux. Déjà, tu sens l’appel de la drogue hurler à l’intérieur de toi. C’est comme une bête féroce qui rugit. Avec précaution, tu quittes la chaleur de ton lit aux draps défaits et moites. Le corps tremblant, tu t’avances vers ta Maîtresse avec réticence. Tes yeux sont rivés sur la poudre, c’est comme un appel auquel tu ne peux pas résister. Et alors que tu es sur le point de prendre ton bien, il t’échappe. Ta Maîtresse le retire et tes doigts se referment sur du vide. Haussant les sourcils, tu tentes à nouveau de le prendre mais elle recommence. Encore et encore. « Aphria… tu supplies d’une voix rauque et fatiguée. » Mais ta demande reste sans réponse, et tu ne peux que voir ta drogue t’échapper une nouvelle fois. Inlassablement. Le regard à nouveau humide, tu te stoppes et restes immobile à fixer ta Maîtresse. Tu sais. « Que dois-je faire afin d’obtenir ma dose, Maîtresse ? tu demandes doucement, emplie de lassitude. Ordonnez et j’obéirai. » Voilà ce qu’elle attendait. Tout se paye avec Maléfique. Tout n’est qu’une question de services rendus. Et si tu veux ta dose alors tu te devras payer de ta personne. C’est toujours comme ça avec Aphria.






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MessageSujet: Re: Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] EmptyDim 9 Mar - 21:41




Time of punishment has come

« Je suis ta came, ta coke, je suis ton trip. Et si tu suffoques, je m'en moque. »
Assise avec grâce, tu regardes ta poupée s'avancer vers toi à quatre pattes comme la chienne qu'elle est. Cela t'excite au plus haut point que de voir ton objet être dans un tel état de faiblesse. Sa soumission à ton égard, te fait lentement sourire alors que tu ne cesses de balancer le sachet devant ses yeux vitreux, fatigués et remplis de larmes. Et lorsqu'elle tente de s'en saisir, tu lui retires rapidement, hors d'atteinte. Tu ris aux éclats lorsqu'elle retente le coup, encore et encore. Et lorsqu'elle sait qu'elle ne l'aura pas sans une contrepartie de sa part, tu lui lances un vil sourire narquois alors qu'elle te fixe de ses grands yeux de biche. Que devait-elle faire pour obtenir sa dose ?! C'était une bonne question. Tu n'y avais pas encore réfléchie. Il y avait tellement de choses qu'elle pourrait faire pour toi, tellement de possibilité mais, malheureusement pour cette soirée, tu ne pourrais en choisir qu'une seule. Tu réfléchis longuement quand finalement, l'idée fuse à toute vitesse dans ton esprit. Une bonne petite auto-mutilation ferait bien l'affaire. Mais, voilà pas n'importe qu'elle scarification .. tu voulais que celle-ci porte ton prénom et que les cicatrices soient indélébiles. Tu voulais lui faire comprendre, qu'elle t'appartenais. Que son corps autant que son esprit était tien. Pour toujours, elle serait tienne et cela, jusqu'à la fin des temps.

L'idée malsaine mise en place, il ne te manquait plus que l'objet à mettre à sa disposition. Un instrument bien tranchant avec lequel tu étais certaine de voir de belles et tenaces cicatrices sur sa si belle peau au teint nacré. Le seul objet capable de faire cela sans bavure était une lame de rasoir. Et justement, Talie en avait toujours une dans sa chambre pour tracer ses petits rails de coke. Eh bien voilà, tu n'aurais donc pas besoin de chercher plus loin .. il était maintenant temps pour elle, de passer pour au travail manuel et toi, de passer au travail visuel. Rien que de penser à cette lame tranchant chaque centimètre de son épiderme si fragile, te fessait frissonner d'extase. Écrasant ton mégot de cigarette sur le sol de la chambre, tu viens passer tes doigts dans sa chevelure blonde comme les blés avant de venir essuyer de tes pouces les larmes coulant sur ses joues.

Tu viens te mettre à sa hauteur pour pouvoir la fixer plus profondément dans les yeux. Avant de prendre la parole d'un timbre de voix à la fois mielleux et doux : ø Oh trois fois rien juste, une scarification où tu devras y introduire mon prénom. Et pour ce fait, je veux que tu utilises cette même lame de rasoir qui te sers à faire tes rails. Quant à l'endroit, je te laisse le choix tant qu'il reste bien visible. Alors, à toi de jouer ma petite poupée. Lui dis-tu dans un grand sourire qui se veut malsain voir, cruelle.

Tu lui caresses une dernière fois le visage avant de retourner t'asseoir sur ta chaise. Afin d'admirer au mieux le spectacle .. tu avais hâte d'entendre ses cris de souffrance, de voir ses larmes couler à flot. Tu aimais tant la voir souffrir qu'à chaque fois, tu y prenais vraiment un plaisir malsain. Parfois tu te demandais si, dans toute cette perversité pouvait se cacher autre chose que de l’acharnement où de la satisfaction personnelle. Une chose que tu n'avais jamais apprit à connaître, une chose qui t'avais toujours répugné, une chose qui te fait horreur et dont tu ne souhaites pas t'engouffrer. Car tu sais que si ton cœur de pierre y était infectée, il serait impossible pour toi de t'en sortir. Tu espérais de tout ton être que cette malveillance ne soit que le fruit de ta haine et non de ton amour caché et refoulé pour Talie.


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MessageSujet: Re: Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] EmptyLun 17 Mar - 9:46







▲ défoncée, défonce-moi.



Elle écrase son mégot au sol et tu vois dans son regard sombre que le jeu n’est pas terminé. Il y a tant de sadisme et de perversité dans ses grands yeux brûlants que tu ne peux t’empêcher de frissonner malgré toi. Tu ne devrais pas ressentir tout ça mais c’est plus fort que toi. Elle t’excite, elle te fait envie lorsqu’elle te regarde comme ça. Même si tu sais que tu vas souffrir, qu’elle va te malmener, tu n’arrives pas à contrôler ce désir qui te consume toute entière de l’intérieur. Elle est belle, elle est vénéneuse. Elle est pareille à ces sirènes qui, par leur chant, attiraient les marins dans les profondeurs de la mer pour les y noyer. Tu t’es noyée. Depuis longtemps, elle t’a emmenée dans son royaume de Mort et tu y as rendu ton dernier souffle. Elle a réussi finalement. Elle aura réussi à te tuer comme elle le désirait depuis ton baptême, depuis sa prophétie qui te voyait mourir au contact de la pointe du fuseau. Oh oui, tu es morte maintenant. Tu es morte en-dedans. Tu ne sens plus cette essence de vie qui t’animait tant autrefois. Non, tout est vide. Ton corps n’est plus qu’une carcasse vide dont les charognards se régaleraient, déchiquetant ta peau blême sous leurs becs acérés. Et quelque part, tu te dis que c’est mieux ainsi. Tu te dis que c’est mieux parce que tu ne pourrais pas supporter tout ça si tu étais véritablement vivante. Si tu pouvais réellement ressentir la douleur, la peine. Si tu devais endurer les afflictions de cet amour destructeur qui te consume toute entière. Tu ne le sais que trop bien – cette vie ne veut pas de toi. Et ta Maîtresse a réussi à prendre tout ce qu’il restait de l’ancienne toi, de cette princesse joyeuse et rieuse. Cette princesse amoureuse. Adieu, belle et douce Aurore.
Depuis le tout début, tu n’as été qu’un pantin entre ses mains. Une sorte de marionnette qu’elle s’est amusée à désarticuler petit à petit, lentement, comme pour laisser les cicatrices plus longtemps. Elle a imposé sa marque sur toi, sur ta chair comme pour t’enchaîner à elle. Tu ne les vois pourtant pas, ces liens invisibles, mais ils sont bien là. Ils t’étouffent. Ils enserrent ta gorge et te coupent la respiration. Ils bloquent l’air dans tes poumons et font ralentir la course effrénée de ton cœur dans ta poitrine. Il s’éteint petit à petit, tout comme cette étincelle dans ton regard d’azur. Tu ne sens plus rien, plus rien de bon. Il n’y a que ces frissons glacés de plaisir lorsqu’elle pose ses mains sur toi, sa langue un peu partout sur ton corps ; il n’y a que ce nœud désireux au creux de ton estomac lorsqu’elle te cajole. Tu ne ressens plus que par elle, plus que pour elle. Comme si, parce que tu lui appartiens toute entière, elle était la seule à pouvoir faire naître quelques sensations diffuses à l’intérieur de toi. C’est elle qui te fait vivre cette moitié d’existence ; c’est elle qui te dit quand vivre et quand mourir. Tu ne contrôles plus rien de tout ce qui est toi et tout est entre ses mains graciles et enchanteresses. Et, résignée, tu acceptes ton sort. Tu acceptes la situation car tu sais que, dehors, plus personne ne t’attend. Plus personne n’est là pour toi. Plus personne ne te sauvera.
Ses doigts passent dans tes mèches couleur de blé et tu fermes doucement les yeux, comme bercée par ce geste qui n’a de douceur que le nom. Il rallume en toi l’espoir vivace qu’un jour, elle aussi t’aimera comme toi tu es profondément amoureuse d’elle. Tu lui as déjà tout donné de toi et tu ne sais pas quoi faire d’autre pour qu’elle t’aime à son tour. C’est peut-être sans espoir mais il y a ce foutu espoir trop tenace qui te brûle le cœur à mesure que le temps passe. Mais rien ne change. Elle continue de te haïr comme au premier jour ; elle se sert de toi pour satisfaire ses envies morbides et emplies de sadisme égoïste. Elle t’utilise pour son seul bon plaisir malsain, ce même plaisir que tu ressens pourtant sous ses mains. C’est affreux, c’est dégoûtant. C’est avilissant et pourtant tu te complais dans ces instants de béatitude factices et trop courts. Ils sont pareils à ces chimères que la cocaïne injecte à ton cerveau l’espace de quelques heures. Ce sont là les seuls moments où tu éprouves un peu de bonheur. Mais la bulle finit toujours par éclater et la réalité te retombe dessus, froide et cruelle. Sa voix douce et mielleuse t’annonce la sentence et c’est l’envie de vomir qui remonte jusqu’à tes lèvres. Avec ta Maîtresse, tout se paye au prix fort. « Quoi… ? Non… tu souffles, la voix enrouée et fatiguée. Pas ça. » C’est comme si tu n’avais plus la force même d’essayer de protester. Tu sais que tu finiras par lui obéir, par exécuter ses ordres sans même broncher. Une poupée désarticulée, une marionnette dont les fils sont tirés – voilà ce que tu es désormais.
Scarification. Rien que le mot te donne des frissons d’horreur qui dégringolent ton dos ; rien que d’imaginer cette lame courant sur ta peau te donne envie de pleurer, de gerber. Elle ne peut pas te demander ça. Non, c’est impossible et tu as dû rêver. Pourtant, son sourire malsain empli d’une sorte de cruauté sadique te prouve que tout ça est bel et bien réel. Tu dois graver son nom sur ton corps, comme on appose le fer chauffé à blanc sur ces animaux de ferme pour marquer sa propriété. Tu es sa propriété. Tu es comme son bétail. Tu lui appartiens. « Bien, Maîtresse, tu lâches d’un ton morne avant de te traîner lourdement jusqu’à ta petite table de chevet. » D’une main tremblante, tu ouvres le tiroir où la lame semble déjà te sourire narquoisement. Son éclat funèbre sous la lumière crue est comme aveuglant, oppressant. C’est comme si elle savait déjà ce que tu es sur le point de faire. De te faire. C’est comme un tourbillon, comme tomber dans un gouffre trop profond et sombre. Tu entends déjà tes hurlements, tu sens déjà ta peau craqueler sous la lame d’acier. La douleur court le long de ton bras tremblant. Et une seule question semble émerger dans tout ce chaos qu’est ta tête – pourquoi. Pourquoi ça ? Pourquoi toi ? Pourquoi tant de haine ? Tu n’as jamais voulu de tout ça, tu n’as jamais cherché à la blesser, à lui faire du mal. À croire qu’elle était prédestinée à te détester pour tout ce que tu es, pour tout ce que tu représentes – la jeunesse, la beauté, la pureté. C’est comme si elle prenait un malin plaisir à te souiller jusque dans les moindres parties de ton corps et de ton âme ; c’est comme si elle cherchait à te rendre aussi monstrueuse qu’elle. Comme si elle voulait faire de toi son égale.
Les doigts toujours tremblants, tu prends la petite lame et viens t’agenouiller devant ta Maîtresse. Tu hésites un instant et offres ton avant-bras nu à sa vue. Et la lame vient doucement caresser ta peau de porcelaine. A. C’est l’amour inconditionnel que tu lui portes, celui-là même qui te ronge et te bouffe de l’intérieur comme un véritable poison coulant dans tes veines. C’est l’angoisse qui te prend chaque jour à la gorge et t’étouffe parce que tu ne sais jamais de quoi demain sera fait, ce que ta Maîtresse te réserve encore pour cette nouvelle journée à venir. P. C’est cette possession qu’elle marque sur ta chair à travers cette lame que tu tiens entre tes doigts. C’est cette pureté qu’elle est en train d’effacer à coups de baisers féroces et de gifles rougissant tes joues. H. C’est la haine que tu éprouves envers toi-même de la laisser te faire ce mal, de la laisser te posséder sans même te rebeller. C’est l’horreur que tu subis à chaque heure de ton existence délabrée, démantelée. R. C’est ta raison qui s’envole, qui s’évapore petit à petit et te fait devenir folle. C’est ton rire qui s’évanouit en même temps que tes sourires, remplacés par des larmes sèches parce que ton cœur est devenu trop vide. I. C’est cet idéal dont tu rêves encore, même après tout ce temps, ce paradis qui t’attend quelque part et que tu voudrais tant voir. C’est cette identité que tu as perdue, quelque part sur le chemin de la douleur et de la haine qu’elle t’a fait suivre. A. C’est ton amour, toujours, que tu lui voues pourtant, malgré tout le mal qu’elle t’a fait. C’est ton aversion sauvage pour tous ces sentiments qu’elle a su faire naître à l’intérieur de ta poitrine alors qu’elle se sert seulement de toi. Aphria, marqué en lettres rouges sur ta peau ensanglantée. Aphria, le nom de ton bourreau et de cet être tant aimé.
La douleur est vive, c’est comme si ton avant-bras brûlait. Tu sens chaque lettre être comme chauffées à blanc. C’est insupportable, insoutenable. Le sang coule, il tâche même tes vêtements. Et tu restes immobile, paralysée, les yeux rivés sur cette marque infernale. La marque de sa possession, la marque de ta soumission. La marque qui restera à jamais gravée sur ta chair, comme une cicatrice indélébile. Comme pour te rappeler que tu es son objet. Les coupures sont profondes, le tracé net. Tu as serré le poing et les dents mais rien n’y a fait. Tu n’as pas pu t’empêcher de hurler, de hurler la douleur et la haine qui pourrissent au fond de ton ventre. Hurler ta peine. Les larmes ont dévalé tes joues, brouillant ta vue floue et tu sens quelques perles salées qui se mélangent à ton liquide de vie, brûlant un peu plus tes plaies à vif. « Voilà, c’est… c’est fait, arrives-tu à prononcer, la voix hachée. » Tu entends ta respiration lourde et rapide, pareille à un animal en fuite. Tu es comme ces animaux blessés qui tentent de s’échapper mais qui, trop fatigués, sont obligés de se cacher pour mourir en paix. Mourir. Mourir te semble être une bien douce alternative comparée à tout cet enfer au quotidien. Elle apaise ton esprit enflammé, fait taire tous les cris qui te hantent. La mort est peut-être tout ce qui pourra te délivrer. « Alors maintenant… est-ce que je peux avoir ma coke, s’il vous plaît… ? tu finis par demander, sans même oser la regarder. » Et tu n’as toujours pas bougé. Et le sang continue de doucement couler.




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MessageSujet: Re: Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] EmptyMar 18 Mar - 0:21




Time of punishment has come

« Je suis ta came, ta coke, je suis ton trip. Et si tu suffoques, je m'en moque. »
La façon dont elle se traine vers son tiroir, te fais légèrement sourire. Tu la vois, tu l'imagines comme un pauvre petit animal blessé qui, tenterait en vain de fuir son assaillant sans possibilité d'échapper à son funeste destin. Elle se sait prit au piège et pourtant, elle continue de croire que tu pourrais, au dernier moment changer d'avis. Elle pouvait toujours rêver, cette scarification, tu l'attendais de tout ton être ... tu voulais plus que tout, contempler cette lame pendant qu'elle, lui trancherait la peau - entendre ses cris de douleur - ressentir cette souffrance et cette douce acrimonie la brûler, au plus profond de son être. Et, aussitôt la lame de rasoir sortie de son dortoir, de son sommeil profond. Talie vient s'agenouiller face à toi, de façon à ce que tu puisses être à bonne vue du bras qui subirait milles tortures, qui serait marqué de ce prénom qui dans ce monde est tien : APHRIA. Elle tremble, elle hésite cela t'amuses, tu la regarde, la fixe de ton regard impatient et avide. Tu sais qu'elle le fera, elle n'a pas le choix - elle sait pertinemment que : pas de mutilation, pas de coke ... alors, tout était entre ses mains et sa seule volonté ... et, si elle souhaitant réellement sa dose, elle le ferait sans même réfléchir aux conséquences que peut amener cet acte dit : d’inhumain et immoral. Et lorsque enfin, le tranchant de la lame cisaille la peau nacré de ton esclave, un léger soupir d'extase s'échappe malgré toi de tes lèvres. Tu ne sais pas pourquoi, tu prends autant de plaisir à la voir souffrir .. mais, pourtant tu le prend, tu aimes quand sa douleur t'anime de tout côté, tu aimes quand dans son regard te renvois sa souffrance et son désarroi. Tu trouves y trouves ton compte dans sa soumission .. en faites, c'est sa docilité, sa faiblesse d'esprit et sa naïveté qui t'excite le plus chez elle. Et, de voir que tu peux la tisser à ta façon, à ton image te donnes encore plus d'envie, de raisons de te servir d'elle. Car, tu sais qu'elle ne pourra jamais rien te refuser tant qu'elle restera sous ton influence néfaste.

Pour chaque lettres tracées,  pour chaque spasme de douleur,  pour chaque larmes versaient par Talie tu avais lâché un soupir de plaisir ... C'est donc, un peu plus d'une bonne dizaine de délectation qui s'évaporèrent dans la chambre de ta belle. Vous n'étiez pas encore passée toutes deux à l'aspect pratique et physique que, déjà tu te sentais bouillante de désir. Le fait de voir ce sang, son sang couler gouttes par gouttes, te faisais un drôle d'effet .. comme un aphrodisiaque, tu te plaisais à t'exalter sur le liquide purpurin sortant de l'avant bras de ta chose. Pour qu'enfin, tu viennes poser tes yeux sur, une Talie complètement absente, comme tétanisée par ce qu'elle venait de faire subir à son corps. Un sourire en coin vint courber tes lèvres - ce qui est fait et fait et rien ne pourra rien y changer. Avec, ton prénom à vie sur le bras, elle n'était pas prête d'oublier à qui elle appartenait, à qui elle devait obéissance, à qui elle devait soumission et existence. Tu es sa seule famille, son seul désir, son seul tourment, sa seule raison d'exister et surtout son seul d’échappatoire dans ce monde, qui n'est pas le vôtre.

Elle ne te regarde pas, mais toi tu la regardes ... tu souris en coin - tu t'allumes une nouvelle cigarette. Ce fût la calme plat pendant un long instant jusqu'à ce que la voix faiblarde et enrouée de ta possession, de ton obsession vint à briser ce silence digne d'un sinistre cimetière à l’abondant. Elle avait gâcher ce qui lui restait de salive pour savoir si, à présent la mutilation faîte elle pouvait profiter de sa coke ?! Tu n'y voyais aucune objection, elle avait fait ce que tu lui avais dit de faire - et tout ça sans broncher. En même temps, tu ne lui avais pas laissé tant le choix que, t'obéir au doigt et à l’œil. Elle avait fait sa part de la contrepartie - à ton tour maintenant, de tenir la tienne. Tu n'avais qu'une parole et c'est pour ça que, tu n'irais pas lui refuser ce dont, elle avait envie .. Et qui vraisemblablement lui tenait terriblement à cœur. C'est ça quand on est accro, plus qu'une envie, retourner dans sa bulle le temps d'un trip. Et c'était le seul cadeau, le seul luxe que, tu pouvais te permettre de lui offrir.

ø Bien sûr ma toute belle que tu peux .. Prend là. Dis-tu tout en sortant de ta poche de jeans, le petit sachet de poudre blanche. Et, lorsqu'elle était sur le point de s'en emparer, tu lui retira des doigts. Tu lui offris un sourire amusé avant de balancer, le petit sachet à l'autre bout de la pièce. ø Allez ma petite chienne, va chercher le beau sachet .. Allez va. Lui dis-tu en la poussant avec force .. comme un chien, à qui tu venais de lancer son jouet préféré, tu la regardes s'aventurer vers le bout de la pièce où tu avais jeté le sachet de coke. Tu la laisses faire son shoot bien tranquillement pendant que toi, tu t'occupais de ta clope et de te déparier de tous tes vêtements. Entièrement nue, tu offrais une vue d'ensemble sur les parties les plus appétissantes, convoitées et charnues de ton anatomie. Clope consumée, tu t'approches de Talie et t'agenouilles à sa hauteur pour lui caresser le creux des reins.

ø Tu sais de quoi j'ai envie en ce moment même ?! Je meurs d'envie de t'arracher ce dernier morceau de tissu, de m'engouffrer à l'intérieur de tes cuisses et t'entendre me supplier à nouveau de te faire du bien. Tu n'attends pas spécialement qu'elle te réponde alors, tu t'exécutes et arrache la dernière barrière entre toi et son intimité. Nue, sous la proie de tes assauts imminents, tu lui caresses la peau, effleures les boules de chairs sensibles de sa poitrine et l'embrasses à pleine bouche en introduisant ta langue pour jouer, t'amuser avec la sienne. Tes doigts descendent, serpentent tout le long du corps de Talie pour s’arrêter devant l'antre de son intimité. De tes doigts et de ton expérience habile, tu viens la caresser à cet endroit érogène afin d'obtenir ce que tu attends des suppliques de désespoirs et d'envies. Oui, tu voulais l'entendre te supplier de la prendre, de la faire hurler à en perdre haleine.


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MessageSujet: Re: Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] Time of punishment has come ø feat. Talie [+18] EmptyDim 30 Mar - 9:47







▲ défoncée, défonce-moi.



Tu t’en veux tellement. Tu te dégoûtes. Tu te dégoûtes d’aimer un être aussi néfaste, aussi malsain. Tu te dégoûtes de ne pas être capable de lui refuser quoi que ce soit. Tu es tellement en colère après toi-même, après elle aussi. Tu la détestes de te faire subir ça alors que tu n’as jamais cherché à lui nuire. La brûlure sur ton bras est intense, comme si un fer chauffé à blanc calcinait ta chair translucide. Chaque mouvement, chaque respiration semble être une douleur de plus à supporter. L’esprit embrumé, la vue brouillée, tu as juste la sensation de suffoquer. Tu as juste l’envie de mourir. Que tout ça finisse, que tout ça se termine. Que ton cauchemar prenne fin et qu’elle te libère enfin. Mais tu sais que ça ne sera pas aussi facile, tu sais qu’elle ne te laissera jamais tranquille. Non. Ta Maîtresse te tient entre ses mains, fait de toi son objet de convoitise. Et tu n’as plus qu’à subir, sans rien dire. Sans élever la voix, sans même essayer de penser à te rebeller. Ton destin a été scellé du moment où ta main a pris la sienne, en croyant naïvement qu’elle allait te sauver. Tu as vendu ton âme au Diable et tu es condamnée à errer dans les Enfers pour l’éternité. Marquée du sceau de la douleur et de la torture, tu ne peux plus t’échapper. Il y a son nom inscrit dans ta peau mutilée, il y a son poison qui coule dans tes veines déchirées. Il y a son addiction dans ton âme blessée. Tu n’es plus rien, absolument rien. Ton être n’est plus que la carcasse vide, anéantie et brisée de cette Princesse aux cheveux de blé que tu as été. Ta Maîtresse a tout pris de toi, a tout cassé en toi. Pour la vie.
Dans ta bouche remonte cet affreux goût de bile qui te brûle le palais comme un acide. Tu sens encore la chaleur de ton sang qui coule sur ta peau et un long frisson à la fois de dégoût mêlé de fascination te traverse. Ce liquide de vie, si rouge, si vif. Ce liquide de vie qui te remplit et qui te quitte désormais. C’est comme voir ton dernier souffle arriver, c’est comme apercevoir la lumière blanche au bout du tunnel. Et tu te dis que la mort est bien douce comparé à la vie ; et tu te dis qu’elle te tend les bras, tu n’as qu’à ouvrir la main pour l’embrasser toute entière. Et être enfin libérée. Cette idée te semble si alléchante. Peut-être alors pourrais-tu enfin être apaisée. Apaisée de cette souffrance qui te ronge, apaisée de ces sentiments infâmes qui te bouffent. Ton corps ne serait plus une carcasse vide et sans âme. Tu retrouverais le plaisir de vivre – le plaisir de vivre dans la mort. Et ta Maîtresse ne pourrait plus rien contre toi. Tu ne serais plus à sa merci. Terminée la honte, finies les humiliations. Tu serais libre, enfin libre. Libre de cette emprise sinueuse qui s’enroule un peu plus autour de toi chaque jour, cette emprise qui te garde prisonnière d’une existence dont tu ne veux plus. Et ça paraît si simple. Si simple de mourir. Il suffit de laisser couler le sang, jusqu’à ce que ta tête tourne, jusqu’à ce que ta vue devienne floue. Jusqu’à ce que le chaos du monde ne soit plus qu’une mélodie indistincte mais douce. Jusqu’à ce que tes paupières lourdes se ferment. Pour toujours.
Mais pour le moment, tu dois juste endurer. Serrer les dents et encaisser les vagues de douleur que ta Maîtresse infiltre à hautes doses dans tes veines. C’est un poison qui te ronge et te tourmente. C’est un besoin qui te hante. Le regard rivé sur la poudre couleur de neige, ton esprit s’embrouille et plus rien ne semble compter sinon ce gouffre béant au creux de ton estomac réclamant sa dose. Ce monstre qui hurle, qui a faim. Tes doigts moites se tendent vers le sachet, et c’est comme déjà sentir la libération arriver en toi par vagues brûlantes. Mais ta Maîtresse s’amuse avec toi, elle est sadique, et elle prend un malin plaisir te faire languir. Te faire désirer un peu plus cette dose de cocaïne dont tu as tant besoin. « S’il vous plaît… couines-tu seulement, comme un dernier espoir d’obtenir enfin ce qu’elle t’a promis. » Elle finit par le lancer dans un coin de la pièce et tu te rues presque sur ton sachet de poudre, à quatre pattes, sans même éprouver la moindre honte. Sans même te sentir dégoûtée par ton propre comportement. Tu t’en fiches. Tu ne penses qu’à ta dose, tu ne penses qu’au bien-être que tu vas ressentir une fois les effets de la cocaïne se déversant à l’intérieur de ton corps meurtri. Le reste n’a plus aucune importance. Alors tu t’abandonnes. La drogue s’injecte bientôt dans tes narines, plusieurs fois. Tu la sens qui brûle un peu tes parois nasales, puis tu lèches consciencieusement ton doigt, laissant le goût un peu âpre glisser sur ta langue et ton palais. Et comme un feu d’artifice qui commence. Les paupières closes, tu vois des myriades de couleurs danser devant l’écran noir de tes yeux. Tu te laisses aller à cette chimie bouillonnant dans ton cerveau. À ce bienfait factice qui, tu le sans, ne durera qu’un temps. Mais peu importe, tu profites de l’instant. Tout s’efface. Ne reste que la vague d’apaisement qui t’envahit. La réalité disparaît. Et toi avec.
Lorsque tu clignes des paupières, c’est comme une apparition qui s’avance vers toi. Entièrement nue, il y a cette déesse de beauté qui s’approche et tu es comme fascinée. Fascinée par cette attraction dangereuse et puissante qui te tend vers elle. Pendant un instant, tu te demandes si ce sont là les effets de la coke mais lorsque la voix doucereuse de ta Maîtresse semble venir caresser ta peau nue, tu te rappelles où tu es, ce que tu as fait. Qui tu es. Tu déglutis avec difficulté, sa main au creux de tes reins t’arrachant un frisson chaud. Ses paroles sont comme des promesses, comme un avant-goût de ce que tu aimes qu’elle te fasse. De ses caresses, de ses baisers voraces. De quand elle te fait l’amour avec cette passion brutale qui fait ployer ton corps, à le briser en deux. Tu subis ses assauts, la laisses te dénuder sans opposer la moindre résistance. Tu voudrais juste t’abandonner à elle complètement et tout effacer. Juste oublier tout ce qui n’est pas ton corps emmêlé au sien dans un déchaînement enfiévré des sens. Sa bouche capture la tienne, c’est comme si elle avait faim. Faim de toi, de ton être. De vous deux ne formant plus qu’une seule masse de chair brûlante. Ses doigts glissent sur ta peau vibrante d’un plaisir anticipé. Et quand elle les pose sur ton intimité, c’est comme un volcan entrant en éruption. C’est de la lave incandescente qui coule dans tes veines, calcine ta chair. Tu brûles. Tu brûles de ce désir qui s’infiltre dans tes veines, de toutes ces envies qui te viennent à l’esprit par ce simple attouchement profond. Un gémissement rauque t’échappe, tu souffles son nom dans une litanie sans fin. C’est pareil à une supplique qui viendrait du plus profond de ton âme. Tu veux plus, tellement plus. Et elle le sait. Elle sait ce dont tu as envie. « Je t’en supplie… souffles-tu entre deux respirations courtes. Je te veux… s’il te plaît… »
N’y tenant plus, tu enroules tes bras autour de sa nuque pour retrouver le goût de ses lèvres sur les tiennes. Ton baiser déchaîné étouffe chaque plainte de plaisir qui semblent se fondre dans sa gorge, faire écho jusque dans son corps. Ressent-elle ton désir, voit-elle ton envie ? Elle te connaît par cœur, jusque dans les moindres pores de ta peau. Tout ton être n’a plus aucun secret pour elle. Elle saura comment te faire hurler de plaisir, comme éblouir ton corps jusqu’à l’évanouissement. Tes mains fourrageant dans ses longues mèches d’ébène, tu te colles à elle, fais balancer tes hanches. Il n’y a plus de sang, plus de douleur, plus de marque à la lame de rasoir sur ton bras. Juste ton être qui la réclame de toutes ses forces. Avec une ardeur si puissante que ça t’effraie. « Fais-moi du bien, quémandes-tu tout contre ta bouche en noyant ton regard dans le sien, si sauvage. Je t’en prie, je t’en supplie. Fais-moi du bien. Tout ce que tu voudras. J’en ai envie. Toi aussi. Alors s’il te plaît… Fais-le. » C’est bien plus qu’une envie, c’est comme un besoin. Un besoin d’éteindre ce feu qui court dans tes veines ; un besoin d’apaiser ce déferlement de passion à l’intérieur de ton être. Tout est si puissant, tout est si sauvage. Incontrôlable. Tes lèvres dérivent sur la courbe sinueuse de sa nuque, tu mords la peau blanche. Dans son dos, tes ongles laissent des marques rouges, signes de ton désir. Il n’existe plus rien. Tout a disparu autour de vous, ne laissant que vos deux âmes qui s’affrontent, se lient et se délient à nouveau pour mieux se retrouver ensuite. C’est elle et toi. Toi et elle. Pour la vie.




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Dernière édition par Aphria M. Ysley le Mar 20 Mai - 14:36, édité 2 fois
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