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 Kocoum + I am not frightened by a teddy bear

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MessageSujet: Kocoum + I am not frightened by a teddy bear Kocoum + I am not frightened by a teddy bear EmptyMar 30 Sep - 18:10


I am not frightened by a teddy bear



Kocoum ▽ John
Etais-je stupide ? Un peu oui. Trois semaines de mon retour du Moyen Orient et je me retrouvais déjà avec une bagarre dans l’un des bars de la ville. Certes, l’homme avait cherché en ne souhaitant pas écouter les refus d’une serveuse. Je m’étais interposé pour venir en aide à la jeune femme et malheureusement, je n’avais pas eu les yeux en face des trous. Malgré les verres de Jack’ dans le sang, la victoire avait été mienne et la blonde m’avait donné son numéro de téléphone. Je perdais seulement mon temps dans cette affaire car le propriétaire avait appelé les flics. Et dire que je pourrais être chez moi avec la charmante étudiante ! « Vous savez, vous ne gagnerez pas de points en déformant mon pull. » Le policier pressait le vêtement jusqu’à ce qu’on arrive dans le hall du bâtiment. Je commençais à connaitre par coeur cet endroit pour mon plus grand malheur. Certes, ils ne m’avaient pas vu pendant deux mois suite à la mission en Irak. Certes, J’aurais préféré rester ici que de prendre une balle dans le ventre par un islamiste. Au moins, je ne serai pas un otage de plus dans leur griffe. J’avais le don pour me faire capturer en fait. Par les Turcs à mes vingt-quatre ans en cherchant quand même à les énerver. Ensuite, par des amérindiens suite à la mort de Kocoum. Et maintenant, par des islamistes qui souhaitaient nous faire comme otage avec mon collègue. Malheureusement pour eux, je n’avais pas été journaliste dans une autre vie alors, la tentative avait été un véritable échec. Certes, je me retrouvais avec des extrémistes qui souhaitaient avoir ma tête à cause de cette humiliation mais, autant aller boire un verre pour ne pas y penser. Le flic (très attentionné) me déposa alors dans un bureau en me donnant l’ordre d’attendre sagement un collègue qui se chargerait de mon cas. Il se prenait pour un cowboy à trois sous mais j’essayais de me taire. Nous avions conquis le Nouveau monde pour laisser ce genre de personnes sur terre.. quel exploit. Ce n’était pas le moment de faire des remarques déplacées avec l’alcool toujours présent dans le sang. Une pièce froide, sans décoration personnelle. Comment pouvait-on vivre dans ces conditions ? Une vie bercée par les répétitions où le métier est déprimant d’avance. Je prenais mon aise sur la chaise en allumant une cigarette. Cela ne posait pas de problème auparavant puisque plus de la moitié des policiers appréciaient le tabac. Et puis, j’avais l’habitude de les croiser et ils ne faisaient plus de chichis pour ce genre de détail. Plusieurs secondes plus tard, la porte s’ouvrit et un homme qui travaillait dans ces locaux fit son apparition. Une tête que je ne connaissais pas en tout cas. « Allons-y, finissons ceci bien et vite. » Un sourire vers l’inconnu avant de tirer une bouffée. J’avais tellement l’habitude de ce genre de rencontre.. Je pourrais surement remplir les papiers par moi-même.
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Kocoum Matohota Powhatan

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Kocoum Matohota Powhatan
J'ai posé bagages ici le : 20/02/2014 Jouant le rôle de : Kocoum #teamPocahontas Nombre de messages : 107 On me connait sous le pseudo : Cacahuète aka Juliette. Un merci à : Vava : @pigfarts is real & Sign : @bazzart Je suis fier(e) de porter l'avatar de : Martin Sensmeier
MessageSujet: Re: Kocoum + I am not frightened by a teddy bear Kocoum + I am not frightened by a teddy bear EmptyMer 1 Oct - 23:04




i am not frightened by

a teddy bear

Aujourd'hui était sans doute et sans conteste l'une de tes journées les plus remplies et fatigantes que tu n'aies jamais eu depuis longtemps. En fait même, depuis que tu es agent de police dans ce monde. Et pour cause, tu avais poursuit à pied, un voleur de sac à main dans les rues de bretzelburg avenue, arrêté une femme ivre et légèrement violente sur le bord du trottoir manquant presque de se faire renverser par une automobile. Tu avais également aidé (à contre-cœur) tes collègues et les soigneurs du Zooland House à capturer un astucieux raton-laveur qui avait réussi à faire le mur pendant que personne ne veillait au grain. Connaissant parfaitement ces petits voleurs masqués sur le bout des doigts, tu avais su parfaitement comment le capturer sans risquer une morsure mal placée. Et pour finir, tu avais empêché une bagarre dans un bar qui aurait certainement pu tourner à la catastrophe si tu ne serais pas intervenu à temps. Autant dire que ça avait été une journée bien remplie même plus que ça. Le genre de journée qui te rendait fière d'être ce que tu étais. Sauver, venir en aide et veiller au bien d'autrui, avait toujours été ton dada. Et bien que tu aimais ton métier plus que tout au monde, là en ce moment, tu n'attendais plus qu'une chose : l'heure de ta fin de service.
Oui, enlever cette tenue des forces de l'ordre, pour enfiler celle du citadin type en gardant toujours cette part indienne. Mais surtout, partir pour aller prendre un petit café sucré au Starbucks Coffee où y travaille l'amour de ta vie - l'amour qui t'a pourtant brisé le cœur à mainte reprise, la princesse indienne de ton cœur et de ton âme Pocahontas. Les heures défilèrent à une vitesse affolante que tu eus tout juste le temps de terminer tes rapports de la journée. Et alors que tu pensais rentrer aux vestiaires pour te doucher et te changer. Lorsque l'un de tes collègues vint de prévenir qu'il avait arrêter un homme dans un bar complètement ivre et qu'il te l'avait dans le bureau des interrogatoires. Tu soupiras bruyamment - passant une main sur ta nuque douloureuse. C'est pas maintenant que tu pourrais aller boire un café et te détendre. Quoi qu'il en soit, tu te diriges s'en envie apparente vers le bureau en question. Quand tu rentres, une mine de dégoût se lit sur ton visage. L'odeur de la cigarette t'embaume de toute part les narines. Tu hais cette odeur nauséabonde que dégage ce morceau de cancer à lui tout seul.
Tu tousses presque tant ça te dégoûte. Où se croyait-il celui-là ?! Te disais-tu à toi même alors que tu le dévisage en arquant un sourcil. Tu le trouvais bien arrogant avec sa façon de se tenir sur sa chaise et à sa façon de te sourire. Tu n'avais pas pour habitude d'être gentil où même clément avec des personnes comme celle-ci. En fait, elle t'horripilais plus qu'autre chose. Et une étrange sensation d'avoir déjà vu cette homme t'embruma l'esprit. Tu as comme l'étrange impression d'avoir déjà croisé cet homme - mais où ?! Le mystère était complet. Quoi qu'il en soit, tu t’assois devant l'homme - l'air sérieux avant de prendre la parole de ta voix rauque et masculine - tel un ours mal réveillé. ø Pour commencer monsieur, vous allez m'éteindre cette cigarette. On est pas dans un bar, mais dans un poste de police. Et tenez vous correctement tant que vous y êtes merci. Tu prends son dossier posé auparavant par ton collègue et commence à le feuilleter. Tes yeux s'écarquillent - un mélange de surprise et de colère s'empare de toi. John Smith ?! Ce mec s'appelle John Smith - comme celui de ton monde - le même homme blanc avec ses cheveux blonds coupés courts ayant volé ta promise. Coïncidence où signe du destin ?! Il ne faut tout de même pas que tu en tires des conclusions trop attifes. Le mieux est de l'interroger et voir ce que tu pourrais en apprendre - et seulement là, tu pourrais te faire une opinion concrète et te agir en conséquence. ø Alors Monsieur Smith ! T'exclames-tu en claquant son dossier sur la table. Je vois que ce n'est pas la première fois que vous venez au poste pour état d'ivresse et coups et blessures. N'avez vous donc pas autre chose à faire de vos soirées qu'à vous enivrer jusqu'à plus soif ?! Le questionnes-tu. Les bras croisés sur ton torse musclé.


L'homme blanc  Kocoum + I am not frightened by a teddy bear 1971109746   & l'Ourson   Kocoum + I am not frightened by a teddy bear 3702753450  

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MessageSujet: Re: Kocoum + I am not frightened by a teddy bear Kocoum + I am not frightened by a teddy bear EmptyJeu 2 Oct - 18:25


I am not frightened by a teddy bear



Kocoum ▽ John
J’avais tellement hâte de quitter ce lieu. Retrouver Jaime à la maison et ensuite appeler la demoiselle pour planifier une nouvelle rencontre. Les arrêts de ce genre arrivaient tous les mois en moyenne depuis mon arrivée dans ce monde (si on ne comptait pas les mois en mission). Cependant, cela se passait toujours avec une raison précise, sur la défensive. Je ne m’amusais pas à frapper s’il n’y avait pas une explication précise. Certes, j’appréciais ce genre de moment mais, tout dépendait de l’humeur. Pendant les expéditions, nous devions être cadrés, sans aucune faute. Depuis le titre de Capitaine, je devais donner l’exemple en soutenant la diplomatie. Malheureusement, les conflits demeuraient bien plus nombreux que les discours achevés. Le plus gros problème restait le langage. Une communication impossible entre deux peuples. Cette vie me manquait terriblement.. Découvrir de nouveaux horizons avec des camarades devenus des frères. Grâce à mon travail de journaliste, je réussissais à voyager mais l’aventure demeurait moins surprenante. Les Hommes possédaient les images du monde en quelques clics ou dans les ouvrages. Prétendre connaitre des lieux sans y avoir posé les pieds. A cause de mon accident en Irak, la chaine de télévision me donnait plusieurs semaines de repos mérité. Je ne pouvais pas nier mon ennui de ne pas être dans la nature ou dans les recherches d’actualité. Les supérieurs avaient accepté de me laisser mon documentaire mensuel. Tous les mois, je possédais une émission pour faire découvrir aux téléspectateurs un coin reculé du monde. Normalement, il y aurait aucun problème pour la santé. J’allais devoir éviter le danger plusieurs semaines avant de continuer le vrai travail de journaliste. En patientant, les bars de la ville et une charmante compagnie, voilà mon quotidien. Ce policier n’allait pas être simple. Rien qu’en observant son sourire invisible, il ne devait pas rire tous les jours celui-là. Son visage demeurait fermé. En temps normal, j’aurais laissé une vanne mais, pour une fois, j’allais éviter ce genre de propos. Je me félicitais moi-même de vouloir me retirer cette idée de l’esprit, ayant encore un peu d’alcool dans le sang. Sans ronchonner, je m’exécutai en prenant une dernière bouffée avant de l’écraser et la mettre dans la poubelle située sous le bureau. Par contre, se redresser et maintenir cette position sur la chaise était compliqué à cause de la fatigue. Mes mains frottaient les yeux pendant que l’interlocuteur lisait le dossier. Je m’imaginais déjà dans le lit et y rester sans regarder l’heure au réveil. Le rêve fut de courte durée à cause du dossier posé sans douceur sur le meuble. Un sursaut de ma part. « Quelle délicatesse » Je ne pouvais pas passer à côté de cette petite remarque alors qu’il commença son discours. Je l’avais annoncé à voix basse pour ne pas trop déranger le jeune dans son travail. S’il m’avait entendu ou pas, je m’en moquais complètement. La fatigue obligea un bâillement et un étirement. La réponse était toute faite. Ce genre de question me faisait rire puisque ce n’était pas la première personne à m’annoncer ceci. « Rectification. Je ne suis pas ivre tous les soirs sinon vous devriez me créer une pièce au commissariat. » Ayant aucune famille à gérer, le temps libre était simple. Soit je restais chez moi, plongé dans la lecture et les recherches à propos du futur voyage. Sinon, j’allais passer mes heures perdues dans les bars en accompagnant à la guitare ou en draguant les jolies demoiselles. « Si on vérifie, je suis toujours ici en venant en aide. C’est une technique infaillible. On sauve la fille et hop elle est à toi. » Les dragues de ce genre, je m’y connaissais depuis mes quinze ans. Quand la mer nous capturait pendant des mois, quand nous avions des permissions de deux jours, nous devions être rapides ! L’exception était Pocahontas. Après mon départ de la Virginie, aucune femme eut cette même emprise. Cependant, je devais vivre avec ce vide jusqu’à la fin de mes jours puisqu’elle se trouvait avec Rolfe, dans notre monde.
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Kocoum Matohota Powhatan

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J'ai posé bagages ici le : 20/02/2014 Jouant le rôle de : Kocoum #teamPocahontas Nombre de messages : 107 On me connait sous le pseudo : Cacahuète aka Juliette. Un merci à : Vava : @pigfarts is real & Sign : @bazzart Je suis fier(e) de porter l'avatar de : Martin Sensmeier
MessageSujet: Re: Kocoum + I am not frightened by a teddy bear Kocoum + I am not frightened by a teddy bear EmptyMar 7 Oct - 20:36




i am not frightened by

a teddy bear

La remarquable qu'il fit du à la façon dont tu fis claquer le dossier sur la table - te fis arquer un sourcil. Pourtant, tu n'étais pas arrêté de parler pour autant - faire comme si tu n'avais rien entendu, était la meilleure des solutions qui s'offrait à toi. Ce que tu ne peux pas laisser passer par-contre, c'est son manque de savoir vivre. le fait de le voir s'étirer et bâiller comme si ce que tu lui disais lui était complètement égal - te mettais hors toi. Comment pouvant être aussi malpoli. Tu n'arrivais pas le croire. Et on se demande pourquoi tu méprises autant les visages pales. Cet homme là était bien de ceux que tu ne pouvais pas supporter et qui fessait resurgir en toi ce guerrier haineux - sans pitié aucune. Tu n'as qu'une envie, lui coller un rapport - mais ça serait bêtise que de faire ça. Et puis, ça n'était pas une bonne excuse de coller un rapport à quelqu'un juste parce qu'il est trop abruti, trop saoule pour écouter une conversation faite par un agent de police. Et à peine avais-tu fini de prendre la parole que le blond, l'a prit à son tour. Même sa voix et ses propos t'insupportaient. Tu sais déjà que tu ne pourras pas t'entendre avec lui - bizarrement tu sais que tu ne pourras faire ami-ami avec ce gars. Ce n'est peut être pas qu'une coïncidence tout compte fait. Il possède ce quelque chose - qui te donne envie de le foutre au trou sans un procès équitable. Lui créer une pièce au commissariat. C'était pas une si mauvaise idée que ça. Après tout, ça n'était pas la première, ni la dernière fois que tes collègues le ramènerait dans un tel état d'ivresse. Et comme tu ne veux pas passer toutes soirées à le blâmer - autant lui créer une salle personnalisé où il pourrait dessaouler jusqu'au lendemain matin - et rebelote la nuit prochaine. Avec un gars comme ça qu'est ce que tu peux faire de plus ?! Rien de bon. Si il fessait un effort pour ne pas se retrouver sur votre chemin, vous n'en seriez pas là et puis c'est tout. ø Oh mais, ça peut s'arranger. Je pense qu'effectivement nous pourrions envisager de vous créer une pièce personnalisée. Puis-ce que je crois sans me tromper que, ce n'est pas la dernière que nous nous verrons Monsieur Smith.
Dis-tu en posant tes poings sur la table - ton regard ne quittant pas le sien. Alors qu'il prit une fois de plus la parole plaidant qu'à chaque fois il atterrissait ici en venant en aide à une jeune femme en détresse. Sur ce point, tu ne pouvais lui donner tord - mais la façon dont il considérait la femme, te fit arquer un sourcil. Tu ne pouvais pas croire que ce genre d'homme existait encore. Drôle façon de draguer que celle-ci. Toi. Tu ne draguais pas - parce que ton cœur n'appartenait à personne. Si ce n'est à celle pour qui tu serais prêt à donner une fois de plus ta vie. Pocahontas était la seule femme que tu voulais. Et il en sera toujours ainsi. Tu l'a bien fait comprendre à l'une de tes collègues qui en pinçait pour toi depuis le première jour. Tu lui a bien fait remarquer que la princesse de ton monde était le seule femme pour qui tu serais prêt à ouvrir ton cœur. Oui ça l'a déçu - tu en étais sincèrement navré, mais Pocahontas est la seule qui ton amour serait sincère. Et puis, tu ne voulais pas briser le cœur de ta collègue - ça n'aurait pas été juste de ta part. Tu n'étais comme ça - tu n'étais pas comme l'homme blanc. Rien a voir avec cette homme en face de toi - qui collectionne les femmes comme on collectionne les trophées de chasse.
ø En effet, je ne peux pas vous donner tord sur ce point Monsieur Smith. Mais ça l'enlève rien au fait qu'à chaque fois qu'on vous arrête vous êtes toujours aussi saoule. Avoues-tu avant de reprendre dans un même écho de voix. Etes vous réellement obliger de boire pour draguer une femme ?! Le questionnes en arquant un sourcil - ton regard soutenant toujours le sien. Tu avais hâte de voir à quel homme tu avais affaire.


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