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my dance will take you to hell where you thought you were king☽william.  Vide
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 my dance will take you to hell where you thought you were king☽william.

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MessageSujet: my dance will take you to hell where you thought you were king☽william. my dance will take you to hell where you thought you were king☽william.  EmptyVen 7 Nov - 0:18








Puis il y a cette femme qui tourne autour, qui fait sa danse qui sème le doute

william and lili.


Comment était ce possible ? N'en avaient-ils pas assez d'être enfermés là-dedans, nuit et jour, sans jamais manifester le moindre désir de sortir de cet engrenage ? Je ne comprenais rien, ni la volonté de se laisser enfermer dans une boîte aussi étroite, ni la réalisation de ce phénomène physique. Existaient-ils des personnes à la taille si réduite pour parvenir à ce prodige ? Quoi qu'il en soit, cette technique, connue de tous dans ce monde là, était considérée comme une véritable bénédiction. Ils aimaient l’appeler " la télévision ". Bien que ce soit relativement divertissant, je dois avouer que je n'ai jamais tenu plus d'une heure devant cet engin. En réalité, j'étais bien plus intéressée par l'incroyable technologie de ce dernier plutôt que par le divertissement qu'il était en capacité d'apporter. Ce matin là, ma curiosité demeurait à mon paroxysme. Tournant autour de la télévision avec précaution, craignant sans aucune raison que cette dernière se jette sur moi, j'observai avec attention les bords luisants de la machine. Elle était si fine, si fragile, comment pouvait-elle contenir le feu qui permettait de l'éclairer, ainsi que les personnes destinées à amuser ceux qui se plaisaient à la regarder ? Non, définitivement, ça n'avait ni queue ni tête. Tournant autour de la machine de nombreuses fois, je tentai de trouver la moindre faille. Laquelle ? Aucune idée. Une ouverture, une trappe, n'importe quoi. Après tout, ce n'était pas moi qui avait eu la folie d'inventer ce je-ne-sais-quoi. Je dois bien avouer que, sans me rendre compte du ridicule de la chose, il m'arrivait souvent, dans la nuit, de me lever pour vérifier si le feu qui animait cet étrange appareil n'avait pas consumé l'appartement. Après tout, c'était ma manière de procéder : je ne parvenais pas à comprendre la logique d'un feu qui n'avait pas besoin d'être contrôlé pour exister. Jusqu'alors, dans ma tribu, les indiens devaient toujours s'en occuper. L'apprivoiser. C'était ainsi. Si on voulait que la nature nous donne ce dont nous avions besoin, il fallait s'en occuper, la chouchouter. Un feu qui brûlait en permanence et n'avait besoin de personne ne me rassurait pas.

Autrefois, j'étais la personne la plus qualifiée pour cette fonction dans ma tribu. Effectivement, j'étais la princesse, la fille du chef, et surveiller le feu était une de mes principales tâches, et je ne m'en suis jamais plainte. J'aimais le feu, plus que tout. Il m'a toujours fascinée, même lorsque j'étais haute comme un totem miniature, si je puis dire. Des flammes lancinantes, sauvages, passionnantes, qui dansaient sous mes yeux ébahis. En réalité, j'avais peur de cette télévision. De ce véritable concentré de compétences qui me dépassaient. Après tout, l'inquiétude vient de ce que nous ne connaissons pas. Donnée universelle. Pas chez les indiens seulement, chez tous les humains. Dans ma tribu, on a toujours appris à se méfier des êtres dont les compétences nous échappent : on ne peut réellement savoir qui on a en face de nous tant que nous ne connaissons pas le mal qu'il peut faire. La méfiance était de mise, pour les hommes de la nature. Tout simplement parce que nous savions à quel point certains éléments pouvaient être dangereux. C'est cette méfiance qui nous a toujours permis de cohabiter avec Mère Nature, à travers une compréhension et un respect des plus total. C'est pour cette raison que ma prudence était de mise lorsque mon attention fut attirée par cette machine. D'ailleurs, à ce propos, cette dernière remarqua un détail qui avait son importance : un long fil reliait cette machine au mur qui se trouvait derrière elle. Traçant ce dernier comme un animal en chasse, je l'observais du mieux que je pouvais. Était-ce celui-ci qui permettait au mécanisme de créer du feu, un feu qui ne mettrait en danger aucune partie de l'appartement ? Difficile à dire quand on ne voit pas ce qui se passe à l'intérieur. C'est pour cette raison que, sans réelle hésitation, ma main attrapa le couteau que je gardais toujours précieusement sur moi, et que j'abattis ce dernier sur le long trait noir, persuadée qu'il n'existait que cette solution pour que je parvienne à décrypter les mystères de l'engin. Au même moment, la télévision, jusqu'alors "allumée", plongea dans le coma le plus total, renvoyant un noir profond : « Oups. » Avais-je fait une bêtise ?

Cette matinée, là encore, était une représentation parfaite de ma personne, cette dernière n'étant pas faite pour vivre dans un milieu tel quel. Ces nouveautés, cette technologie, tout était incroyable, en réalité, mais ce monde m'éloignait petit à petit du mien, m'éloignait de ma tribu, de l'essence de mon être, de mes coutumes. Et je détestais ça. Au plus haut point. Alors, pour retrouver cet atmosphère neverlandienne, je faisais ce que je savais faire de mieux : je dansais. Je dansais jusqu'à n'en plus pouvoir, comme ce soir. Il faut dire que ça rapportait bien. Sûrement parce que les clients qui venaient ici ne venaient pas simplement admirer la danse. Ils voulaient une attention. Une connexion, quelque chose. A Neverland, j'étais plutôt bonne pour ça, et il faut croire que j'offrais la même chose dans ce monde, vu que le patron était prêt à m'augmenter afin que je ne file pas vers la concurrence. Peu m'importait : tant que je pouvais danser, je restais. Il était vingt-trois heures ce soir-là, et face au miroir de la grande loge, je passais avec douceur un bâton de rouge à lèvre sur ma fine bouche rosée. J'étais calme, concentrée. Pourtant, le lieu n'était pas propice à la réflexion. Il s'agissait d'une loge immense, certes, mais commune. Toutes les danseuses s'y bousculaient, cherchant tour à tour un vêtement, une petite robe, un accessoire sexy, laissé par ci par là. Et ça jappait dans tous les coins, sans parler du bruit des talons aiguilles et des cliquetis des petites tenues parfois chargés de minuscules pièces et médaillons comme l'étaient les tenues des princesses et danseuses orientales.

Je relevais légèrement ma chevelure sauvage à l'aide d'une petite pince, laissant malgré tout de nombreuses mèches s’échappaient de part et d'autre, entourant mon fin visage de peau rouge. Une petite robe beige aux effets scintillants moulaient mon corps, laissant apparaître mes jambes et mes pieds chaussés d'escarpins de même couleur. Le tout contrastait parfaitement avec le rouge de mes lèvres. Comme toujours, les bijoux étaient nombreux. Beaucoup de joncs argentés, qui s'accumulaient au niveau de mon poignet gauche. Une plume indienne cachée dans ma chevelure, des bracelets de cheville, et un serpent argenté entourant suavement le haut de mon bras droit. C'était Clay, le patron, qui se chargeait de nos tenues et de nos accessoires "de scène", comme il les appelait. Il se plaisait à les choisir en fonction de nos personnalités.
C'était l'heure. Attachant avec douceur la seconde boucle à mon oreille, je jetai un dernier regard dans le miroir afin de m'assurer que je n'avais rien oublié. A partir du moment où je devais danser, les moments de calme durant lesquels je pouvais me poser se faisaient très rares, voire inexistants. Autant que je sois sûre d'être parfaitement préparée avant de me montrer, vu que je n'aurais certainement pas d'autres occasions de regarder mon minois dans une glace de toute la soirée. Je rejoins la salle sombre, et le show commença. Sur la petite scénette, sur les comptoirs, on dansait un peu partout, les autres filles et moi. Et j'adorais ça. Quand je dansais en hauteur, je me revoyais dansant, le soir tombant, autour des tipis familiers de Neverland, sur mon tambourin. Les feux de la tribu, ici, c'était les lumières. Les garçons perdus qui me regardaient danser, c'était les hommes qui se présentaient au club tous les soirs. Ce club, c'était mon neverland à moi. J'y faisais ce que je savais faire de mieux. Vous tourner autour, vous séduire, semer le doute, approcher mes lèvres des vôtres, pour finalement me dérober et disparaître avec un sourire qui vous charmera malgré votre frustration qui rendra la danse suivante encore plus passionnante. Et vous aimerez ça. Mieux encore, vous ferez n'importe quoi pour que je recommence, encore et encore. C'était ça, ma danse à moi. D'ailleurs, l'un d'entre eux me la demanda. Assis prêt du comptoir, il me fixait de ses yeux bleus en me faisant signe. Je descendais alors de mon perchoir, rejoignant ce Gabriel, fervent client du club, à la petite trentaine d'années, que j'avais l'occasion de voir de nombreux soirs. En descendant, j'eus l'occasion de jeter un regard noisette à une ombre que je distinguais, plus loin, de l'autre côté de la salle. Une ombre que je reconnaissais très bien parmi toutes les autres. Il était là, ce soir. William. Je pouvais sentir son charisme d'ici. Sans même avoir besoin d'analyser la pièce, j'étais capable de savoir quand il était là, ou non. Et fréquemment, c'était le cas. Or, à cet instant précis, je me dirigeais vers Gabriel. Et c'est à lui que je réservais cette danse, comme il me l'avait demandé. Je dansais, je tournais autour, je souriais. Chaque danse était unique, chaque soir était un jour nouveau, mais mon état d'esprit restait toujours le même. On retrouvait toujours ma personnalité dans les danses que j'exécutais, aussi différentes qu'elles puissent être. Cela dit, elles avaient toutes un point commun : celles-ci avaient toujours une fin. Celle que j'avais réservée ce soir à Gabriel n'échappait pas à la règle, et c'est avec un sourire énigmatique que je le quittais. Après cette démonstration, je contournai certaines tables auxquelles étaient accoudés des hommes de tout âge, longeant le comptoir principal du bar lumineux de la salle. Mon regard sa posa alors sur l'ombre qui avait attiré mon attention, un peu plus tôt. Cet homme là - grand et beau brun aux allures mystérieuses et au regard implacable - était présentement assis, de dos à moi cette fois-ci. Telle une panthère, je me fondais dans le silence et dans la pénombre. Tout près de son siège, derrière lui, je me penchai légèrement en avant, faisant en sorte que les quelques mèches de ma chevelure brune qui s'échappaient de ma coiffure effleurent ses épaules. Ma main droite se posa alors doucement sur son épaule, la faisant doucement glisser de manière exquise jusqu'à son cou. du bout de l'ongle, mon doigt glissa doucement sur la ligne de sa mâchoire, et une fois arrivée à son bout, il invita le bel homme à tourner la tête vers la droite. Ainsi, il pouvait voir mon visage, penchée sur son épaule. Tandis qu'il s'exécutait, un petit sourire illumina mon visage : « Vous ai-je manquée ? » lui demandais-je sobrement.

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MessageSujet: Re: my dance will take you to hell where you thought you were king☽william. my dance will take you to hell where you thought you were king☽william.  EmptySam 8 Nov - 10:30




❖ my dance will take you to hell where you thought you were king

« C’est là que tu devrais sauter de joie, avec gratitude.
Matérialisme. Oh oui le matérialisme était certainement l'un des plus grands fléau de notre siècle, indomptable, telle la peste, se rependant un peu partout, en vric et en vrac dans nos foyers, dans nos maisons. Influent sur le cerveau des adolescents, le stimulis des enfants et la vie sexuelle des parents, rien que ça ! Faire sa vie en fonction d'objet électronique, travailler pour appeler, appeler pour aller au cinéma, aller au cinéma pour regarder un écran géant, écran géant qu'on aime tellement qu'on en achètera un pour notre salon, et ainsi de suite, une suite perpétuelle d'une triste réalité et pourtant, William trouvait celà prodigieux. Sous une forme douce, la dictature c'était imposée d'elle même, une dictature froide et sordide, dictant aux femmes la taille qu'elle devrait avoir, aux hommes l'argent qu'ils devraient avoir. Dictant les codes de conduites et ce qu'il faut avoir pour être dans la "norme", rejetant par dessus tout le monde des "hommes simples", c'était un revers de médaille parfait. Un revers de médaille que les hommes tels que William adulaient, un monde de superflus, tout n'était qu’excès et superflus et le pirate avait toujours adorait ça, l'oisiveté, le superflus, le "trop". Les choses qui dépassent, sans mettre encore et toujours plus les poches, donnaient aux oeuvres de charités seulement le superflus, garder toujours tout et ne donner que le superflus. Quoiqu'en y réfléchissant William ne donnait rien gardait tout pour lui, toute sa richesse, tout ses bijoux toute sa superficialité, car dans un monde d'apparence la superficialité était la plus belle des protections, elle permettait de mettre le monde à ses pieds, et c'est précisément ce que voulait William, le monde.

La vie de piraterie avait forgé en lui quelque chose de dur, de fort, il avait voulu plus, toujours plus, la place de ce maudit Crochet, les femmes des bordels, les bijoux les plus beaux, les navires les plus riches, il avait vécu jusqu'alors simplement de rêve, alors que dans sa réalité il aurait voulu assassiner Crochet de ses mains, prendre la relève et diriger son équipage de pied ferme, il n'avait passé sa vie à Neverland, qu'à jalouser et à suivre le mouvement. Il avait été enrôlé dans l'équipage à seize ans, avait vécu une vie de rêve et de vice jusqu'à ce qu'il comprenne qu'il valait tellement plus que ça, que son ambition n'avait pas d'égal et que c'était à lui de mener la barque, pas ces crétins qui ne pensaient qu'à picoler ni à Crochet qui n'était même pas capable de capturer Pan. Non, lui il avait une main de fer, lui pouvait s'élever dans la société, lui avait beaucoup plus de projets que ça et il aurait été intolérable qu'il reste à cette place toute sa vie, une place qui n'était pas la sienne et qu'il comptait bien revendiquer. Le sortilège avait été alors un coup du sort, une chance in-estimée, un renouveau que le pirate avait sut saisir, il adorait sa nouvelle vie, il voulait encore et toujours plus lui qui maintenant pouvait assouvir ses désirs les plus inavouables, les plus inestimables. Il s'était fait sa place dans le monde, avait alors montrer sa puissance au niveau mondial grâce à ses bijoux, avait eu les plus belles femmes dans son lit, s'était fait sa réputation mais ce n'était toujours pas suffisant, il en voulait encore, toujours et encore. Que jamais ça ne s'arrête que sa soif de puissance n'est aucune limite et qu'il arrive encore plus haut que ce qu'il n'était déjà. Il était certes un requin dans la société mais il voulait être encore plus gros que ça.

William n'était plus à une représentation prêt, il avait fait la tournée des bars, des bordels, des clubs, des boîtes de nuits, avait dégoté les plus belles femmes, les plus beaux endroits, les plus chics, les plus rustiques, les plus cosy, les plus sexy, et à chaque jours son humeur, ce soir là il s'était rendu dans un club un peu spécial. Le Hyena club. Ah qu'il faisait bon de venir se détendre ici, les danseuses étaient des plus délicieuses et il y avait toujours de la charmante compagnie, or William adorait la compagnie, en particulier les jolies femmes c'étaient certainement sa deuxième passion aprés l'argent. Il ne pouvait s'empêcher de changer, d'enchaîner, il ne pouvait se résoudre à offrir son corps à une seule et même femme, pour le coeur c'était une toute autre affaire. Toujours élégamment vêtu, d'un costard et d'une chemise blanche car c'est quelque chose qui représentait parfaitement William en particulier la cravate, car celui-ci ne se baladait jamais sans sa cravate noire, le calme s'installa rapidement dans le club. Le pirate demanda l'une des meilleures tables afin de pouvoir profiter pleinement du spectacle qui allait s'offrir à lui.

Le show débuta alors, passionnant, envoûtant, poignant, magnifique et sensuel et dieu que c'était délicieux de voir ces superbes corps se déhancher ainsi au milieu des comptoirs et sur les tables, ça n'avait rien de vulgaire c'était plutôt diablement excitant. William savourait, faisant signe à une jolie serveuse de lui emmener un scotch, il adorait l'alcool fort, celui qui fait monter l'adrénaline dans vos veines et qui fait valdinguer tout les bons sens de l'éthique. Son regard fut bien vite attiré par l'une des danseuses, il la connaissait bien. Il lui avait demander une danse à de nombreuses reprises et n'avait jamais été déçu. Elle été aussi l'une des premières femmes qu'il avait désiré, elle qu'il avait put apercevoir tellement de fois lorsque Crochet la kidnappait, une beauté sauvage, à couper le souffle, elle qui ne pipa jamais un mot sur Peter et qui sut se montrer si courageuse. Oh oui, elle était l'un de ses premiers fantasmes, l'une de ses jeunes femmes qui arrivaient à vous faire perdre la tête avec un seul regard et c'est bel et bien ce qui se produisait encore une fois. Il la regardait danser pour un client et au fond de lui jalousait cet individu c'était indéniable, il ne lâcha pas la belle indienne du regard sirotant le verre que la serveuse venait de lui ramener, il était persuadé qu'elle viendrait à lui parce qu'il en avait toujours été ainsi. Pourtant bien vite il ne la vit plus, il ne bougea pas, sachant que la panthère ne tarderait pas à se glisser sur sa proie. Il sentit un frisson le parcourir lorsqu'il sentit la main de la jeune femme sur lui et l'odeur enivrante de ses longs cheveux. Oh Lili, chère Lili, si seulement sur savait l'effet que tu lui faisais. Passant ses doigts sur les mèches de cheveux de la jeune femme, jouant doucement avec il plongea son regard dans celui de la jeune femme lui répondant:


-Je dois bien avouer que oui, mais vous étiez en charmante compagnie.

Un brin jaloux ? Peut être bien.






Lili T. Cherokee & William J. Richardson

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