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NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. Vide
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 NOUS SOMMES UN ∇ SARABI.

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Cersei Vitani Sullivan

My life with you
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Cersei Vitani Sullivan
J'ai posé bagages ici le : 16/11/2013 Jouant le rôle de : la petite guerrière qui ne sait dans quel camp elle doit combattre : Vitani ( LK II ) Nombre de messages : 726 On me connait sous le pseudo : BELLA CIAO. (lorenza) Un merci à : smork (avatar) + endlesslove (sign). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : la badass phoebe tonkin.
MessageSujet: NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. EmptyJeu 17 Juil - 20:40

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sarabi et vitani




∞ nous sommes un.



Voilà qu’une nouvelle heure passe, alors que tu te trouves toujours à la même place, et ce depuis le début de cet après-midi déjà bien entamé. Allongée dans l’herbe de tout ton être, les yeux camouflés derrière de modestes lunettes de soleil, tu te reposes enfin. La semaine ne fut pas tant chargée, mais ton cœur le fut bien trop. Toutes ces choses que tu avais vu, ces choses que tu avais appris le concernant, ça n’avait pas arrêté de te travailler, encore et encore. Si bien que tu en rêvais même la nuit. Les images te hantaient. Il te hantait lui, tout simplement. Et c’était tellement énervant, de te laisser aller dans le petit jeu de tes sentiments. Il ne méritait pas que tu te morfondes ainsi pour lui, oh non. Il ne méritait même pas que tu daignes penser à lui. Et pourtant, c’est bien son seul et unique visage que tu voyais toujours dans tes plus profondes pensées. Damnation.
Pour ton plus grand bonheur, la chaleur est écrasante. Africaine que tu es dans le sang, tu adores venir te dorer au soleil toute la journée durant. Sans rien faire d’autres que de profiter du temps, avec de la musique pleins les oreilles. Et tes pensées de jeune femme en fleur comme seules compagnes. La musique défilait, et de manière amusante, ton humeur avait tendance à suivre la chanson du moment. Un temps, tes pensées étaient colorées et ravies lorsqu’une musique respirait la joie de vivre. Un autre temps, tu te sentais pleine d’énergie, prête à aller faire un footing quand tu entendais de la house. Et un temps, tu restais calme et quelque peu mélancolique quand une triste se faufilait. Mais appuyant comme une folle sur le bouton « suivant », tu décidas qu’aujourd’hui, c’était fini. Tu n’allais plus y penser, et puis c’est tout. Tu ne voulais quand même pas finir aussi dépressif que ton cher colocataire Bob. Après tout, tu étais son coach de vie, il t’était donc impensable de devenir dépressive à ton tour ! Encore moins pour une histoire de cœur qui n’a pas lieu d’être. Allez, voilà que tu y repenses, comme si c’était plus fort que toi ! Il allait vraiment falloir que tu fasses quelque chose pour calmer tout ça. Aller le voir ? Non, il était trop tôt pour que tu puisses à nouveau affronter son regard. Non, tu te connais trop, si tu allais maintenant le voir, tu craquerais, à coup sûr. Et il était hors de question de venir pleurer devant lui ! Pas une seconde fois, la première fut assez humiliante comme ça.

Au-delà de ta musique, déjà poussée à son maximum, tu entendis alors des semblants de cris d’enfant. Si au départ, tu n’y prêtas guère attention et continuas ta sieste dans l’herbe, tu eus alors un léger déclic et vint immédiatement te redresser pour t’asseoir, toujours à même le sol. Instinctivement, tu fis le lien entre les enfants en sortie, et elle. Elle, celle que tu avais rencontré dans cet endroit même quelques mois auparavant, et que depuis tu ne pouvais plus te permettre de lâcher. Douchka. Si tu ne connaissais rien au monde de la maternité – faute d’avoir eu une mère digne de ce nom –, à tes yeux Douchka représentait tout ce que peut être une véritable maman. Et dans ces points les plus positifs. Forte tête que tu étais, tu n’aimais généralement pas les gens trop gentils, trop bons naturellement, qui ne demandaient rien d’autre que d’aimer les autres. Non, ces gens-là d’habitude tu les trouvais suspect. Mais elle, oui elle. C’était tellement différent. Elle était devenue assez importante pour toi pour que tu puisses oser la prendre telle une mère pour toi. La mère que tu n’as jamais eu, la mère que petite, tu rêvais tant d’avoir. Une mère qui aurait pu faire de toi une toute autre personne aujourd’hui, que la petite teigne haineuse que tu es devenue. Mais Douchka, elle, elle semble t’ouvrir un nouvel espoir quant à toi-même. Avec elle à tes côtés, tu te sens devenir une bonne personne. Ce genre de personne qu’on ne t’a jamais enseigné à être, mais plutôt à combattre. Et c’est bien pour cela que tu l’aimes, car elle te prouve qu’il n’est pas trop tard pour toi.
Et tes pensées se confirment. Retirant tes lunettes de soleil pour y voir plus clair, les mettant au-dessus de ta tête, tu l’aperçois alors non-loin de toi. Entourée comme toujours de tant d’enfants. Toujours ce large et chaleureux sourire aux lèvres, celui qui redonne de la joie au cœur rien qu’en le regardant.  C’est d’ailleurs ton cas, car te voilà avec un grand sourire au visage, comme un bébé apercevant sa maman au loin. Tu te lèves alors maladroitement, n’arrivant pas à détacher ton regard d’elle – trop peur de la perdre de vue. Et à grands pas, tu te diriges vers Douchka, la saluant par un grand signe de main et avec ton plus beau et sincère sourire. « Quelle non-surprise de te voir ici !, plaisantes-tu, tout en te baissant vers un des enfants pour lui ébouriffer les cheveux. Salut les marmots ! alors, on est de promenade aujourd’hui ? » Les enfants, ça n’a jamais été ton fort. Pour tout avouer, tu ne peux t’empêcher d’avoir comme des envies de meurtre quand un gosse vient pleurer dans les transports en commun, par exemple. C’est plus fort que toi, tu n’as pas cette patience et c’est d’ailleurs pour cela que tu admires tant Douckha, qui reste avec son éternel sourire même quand c’est le désordre le plus total autour d’elle. Un véritable modèle à elle-seule. « Comment tu vas ma belle, depuis le temps ? », demandes-tu, le « depuis le temps » remontant seulement à la semaine dernière, ce qui était un temps trop long sans elle à ton goût.

  
 

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Dernière édition par Cersei Vitani Sullivan le Jeu 25 Sep - 13:41, édité 1 fois
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Douchka Sarabi Sullivan

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Douchka Sarabi Sullivan
J'ai posé bagages ici le : 12/05/2014 Jouant le rôle de : Sarabi #teamkinglion. Nombre de messages : 130 On me connait sous le pseudo : Cacahuète aka Juliette. Un merci à : @Light Spades pour le vava & @Bazzart pour la sign Je suis fier(e) de porter l'avatar de : Katie McGrath
MessageSujet: Re: NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. EmptyMer 23 Juil - 0:31




Nous sommes un.

« Toi et moi sommes pareil tout comme la terre et le ciel. Une seule famille sous le soleil, ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens. Car nos coeurs et le tien ne font qu'un. »
Tu finis d'aider le dernier bout de chou à faire ses petits lacets de chaussures et hop direction le parc. Tu veilles bien à les garder à l’œil - surtout les garçons qui ont une fâcheuse tendance à vouloir faire la course et à ne pas respecter les interdits. Heureusement, il te restait "tes petits anges" comme tu aimes à les appeler : trois petites filles tellement adorables et gentilles que c’étaient pour toi, un réel plaisir de les garder. Tu en avais aussi pour "les petits fripons", mais le fait qu'elles soient beaucoup plus calmes et beaucoup moins turbulentes qu'eux fessait évidemment bien, toute la différence. Quoi qu'il en soit, le trajet vers le parc se fait s'en encombre - les garçons ont même été un peu plus sages que d'habitude - signe d'un bon début d'après-midi en perspective sans craindre une bêtise où deux. Et connaissant les petits lascars qui ont vite fait d'avoir le diable au corps si tu ne les arrête pas à temps. Tu restais tout le temps et inlassablement sur tes gardes au cas-où l'un d'entre eux, aurait la subtile envie de faire les quatre cents coups entraînant comme toujours derrière lui et jamais bien loin les trois autres. Si "les petits fripons" sont de vraies petites terreurs des bacs à sable - "les petits anges" elles, sont tout à fait le contraire. Adorables comme pas deux, elles restaient collées fermement à toi - que ce soit chez toi où pendant les sorties de pleine air - jamais elles ne te quittaient .. si bien que parfois, tu devais un peu hausser le ton pour qu'elles te lâchent et aillent s'amuser un peu entre elles où au foot avec les garçons.
Toutes peurs et toutes craintes s'estompent enfin lorsque vous entrez tous les huit dans le parc .. comme d'habitude les garçons ne peuvent s'empêcher de crier comme si ils étaient seuls au monde - se battant par moment : ce qui t'obligeais bien évidemment à calmer de ta voix autoritaire et claire d'ancienne fauve et reine de la savane africaine. Cette voix même qui arrivait - comme un simple claquement de doigt à calmer les disputes et bagarres gênantes des petits garçons. C'est en passant devant un marchant de glaces que toute autorité s'envole d'un seul coup - que déjà les sept bout de chou se ruent vers le marchand de glaces ambulant. Tu ne peux t'empêcher de sourire en coin - alors que tu prends d'ores et déjà note de chacun des parfums énumérés : quatre cornets à la vanille et trois cornets au chocolat plus tard, vous vous dirigez enfin avec tes sept bambins - la frimousse barbouillait et dégoulinante de glace, vers le milieu de parc. Là où est situé à l'abri des voitures et du soleil chaud d'été : le terrain de jeux des enfants avec petit terrain de foot intégré.  Un endroit sympa et tranquille où ils pourraient tous se défouler sans causer le moindre à personne, mais avec "les petits fripons", ça reste encore à voir.
C'est alors que, non loin delà - tu la vis. Elle. Ce petit bout de femme qui n'en restait pas moins quelqu'un avec un fort caractère - même parfois l'air rebelle sous ses grands yeux de biche. Qui sous cette carapace de femme dur et insensible, cachait en réalité, bien plus de gentillesse, d'humanité et de douceur qu'elle pouvait en laisser paraître. Elle. Cerseï. Cette jeune femme que tu considérais comme ta propre fille. Tu n'avais jamais eu de fille et si tu en aurais eu une - tu aurais voulu qu'elle devienne comme Cerseï - pleine de vitalité et toujours le cœur sur la main. Tu accordais tellement d'importance à cette petite - comme à son propre bonheur que tu ne manquais jamais un instant pour le lui faire remarqué. Elle avait prit une telle place, une telle importance dans ton esprit que, tu ne pouvais plus imaginer ton existence sans elle. Elle était devenue la fille que tu n'as jamais eu et la fille que tu aurais aimé avoir. Lui rendant son sourire - tu lui à tour un grand signe de la main pour lui montrer que tu l'avais bien vu. Elle arrive vers toi de son grand sourire chaleureux et sincère - que bien évidemment, tu lui rends avec sincérité dans les yeux. Alors qu'elle prend rapidement la parole avant ébouriffer les cheveux d'un des gamins.
Quelle non-surprise ! Ça elle pouvait le dire. Tu ris gentiment à ses dires - sachant qu'elle avait bien raison de ne pas être surprise de ta venue en ce lieu. Puis-ce que c'était ici que tu passais le clair de ton temps avec les enfants - surtout lorsqu'il fessait une aussi belle journée qu'aujourd'hui. ø Quelle non surprise ! Oui, ça tu le dire. souris-tu avant de baisser les yeux vers les bouts de chou que Cerseï venait de saluer -attendant de voir lequel des sept seraient le plus téméraires pour prendre la parole. Et ce fût l'un des "petits fripons" le chef de bande en autre qui prit la parole : ø Je suis pas un marmot moi. Je suis un grand garçon. Je vais bientôt avoir 5 ans. clame-il de sa petite voix enfantine - montrant à Cerseï, cinq de ses petits doigts. Cette remarque te fais souris en coin  - ébouriffant à ton tour les cheveux du petit diable qui retourne auprès de ses petits camarades. Alors que les filles visiblement effrayaient par la jeune femme, reste cachées derrière toi ne laissant dépasser que quelques mèches de cheveux. Tu souris en coin à cette vison alors que Cerseï prend la parole - afin de savoir comment tu vas depuis le temps. Sachant que la dernière fois que vous vous étiez vu c'était la semaine dernière. ø Bien. Comme tu peux le constater. Dis-tu d'un sourire radieux pétillant de bonne humeur et bonne intention. Et toi alors ! Comment vas-tu depuis la semaine dernière ?! Bien j'espère. Lui demandes-tu. Ta voix devenant subitement celle de la mère inquiète pour son enfant - que celle de la simple amie. Cerseï n'était pas ton amie - elle était ta fille - peut être pas ta fille de sang, mais ta fille de cœur. Et ça, c'était plus importante que tout - savoir qu'elle allait bien, fessait tout ton bonheur à toi.


La lionne   ange & la reine déchue  chat potté  

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Dernière édition par Douchka Sarabi Sullivan le Dim 28 Sep - 21:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. EmptyJeu 25 Sep - 13:40

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∞ nous sommes un.



De mère, tu n'en avais jamais eu. Enfin si, à proprement parler, tu avais vécu une grande partie de ta vie avec ta mère. Mais de mère, elle n'avait que le nom. Si penser cela aujourd'hui ne te faisait rien de spécial, oser le penser ne serait-ce que quelques années auparavant t'aurait effrayé. Avant – quand tu étais encore lionne – tout ce que pouvait faire ta mère était considéré, à tes yeux, comme bien. Bien pour vous, pour votre survie, pour votre avenir. Mais le temps est passé et tes yeux d'adulte solitaire ont vu en Zira une toute autre image. Si tu as toujours aimé ta mère – et que tu l'aimes toujours aujourd'hui, bien que cela t'agaces de l'avouer – tu lui en veux énormément pour ce qu'elle t'a fait vivre. À toi, et à tes frères plus particulièrement. C'est seulement aujourd'hui que tu te rends compte qu'elle ne t'a jamais montré une preuve d'amour. Qu'elle n'a jamais eu cette complicité de mère à fille, comme tant d'autres l'ont. Qu'elle n'a même jamais cherché à l'avoir. Non, à ses yeux, il est évident que tu n'étais qu'un soldat. Un soldat nécessaire pour retrouver ce trône qui lui manquait tant. Un petit soldat, jamais, ô grand jamais considérée comme une petite fille. Tu devais juste veiller sur ton petit frère, veiller à ce qu'il devienne grand et fort. Veiller à ce qu'il devienne le nouveau Scar – ce père qui vous a tous abandonné mais que tu adulais tout de même.
À y penser aujourd'hui, tout cela te semble être un parfait lavage de cerveau. Et surtout, ça explique parfaitement l'état dans lequel tu te trouves aujourd'hui : complètement paumée. À avoir vécu de cette manière toute ta vie, tu ne sais plus à présent discerner le bien du mal. Qui peut dire si ce que tu fais maintenant est bien, ou mauvais ? Si tu vas dans le bon sens ou si tu continues sans le savoir sur la mauvaise pente ? Car tu n'as plus personne pour te le dire, plus personne pour te guider, que se soit dans la bonne ou mauvaise direction. Tu es à présent bien seule, sans ta mère pour te commander ta vie. Sans principes ni valeurs, tu as l'amer impression de n'être rien.
Et puis, il te suffit de plonger tes grands yeux d'enfants perdue dans ceux de Douchka pour être apaisée. La brebis égarée que tu étais n'avait qu'à suivre l'étincelle étoilée du regard de Douchka pour retrouver son chemin. Presque comme une évidence. Tout tes doutes, toute ta peine, toutes tes appréhensions ; elles se perdaient et s'effaçaient grâce à elle. Une source de réconfort à elle-même.

Quand l'un des petits vint prendre la parole, rétorquant à ta précédente remarque, visiblement vexé, tu ne pus t'empêcher de rire. Douloureusement, il te rappelé presque Kovu en agissant de cette façon. Et avoir en tête l'image de ton petit frère ne fit que faire grandir le manque qu'il avait laissé en toi. Ton rire se changea alors en amer sourire, avant que ton regard ne rejoigne bientôt celui des petites filles du groupe de Douchka. Elles te regardaient de leurs grands yeux de gamine, mais semblaient plus que tout effrayées par l'aura que tu pouvais dégager. Il est vrai que, contrairement à la tendresse naturelle de Douchka, aucune bienveillance ne ressortait de toi. Fallait-il croire que tu tenais cela de ta mère, en fait. « Je fais si peur que ça ? », demandes-tu dans un léger rire, levant ton regard incompréhensible vers ta douce mère de cœur. « Et bien.., commences-tu, répondant à la question concernant ton humeur, on va dire que tout va bien. » Tu souris à nouveau de coin, ayant conscience que tu venais de lui mentir – chose que tu détestais faire. Mais que faire d'autre ? Lui expliquer ton affreuse expérience dans les quartiers de Skyline Square ? Lui raconter, comme on parle de la pluie et du beau temps, que tu as mis les pieds dans un véritable bordel – au sens premier du mot ? Que tu as faillis ne jamais en revenir même ? Et que, oh, ironie du sort, le mec responsable de tout ça se trouve être celui qui hante ton esprit ? Non, tu ne pouvais te permettre de lui parler de ça. Tu ne voulais surtout pas l'inquiéter avec tes petits soucis à toi, même si tu mourrais d'envie de lui demander des conseils à vrai dire. De lui demander s'il était judicieux de ta part de continuer à voir Dexter, s'il était même normal que tu penses encore à lui après tout ça.. Le genre de conseil qu'une mère pouvait donner, en autre. « Juste quelques petits soucis par-ci par-là, mais rien de trop grave. », finis-tu par ajouter, avec cet habituel sourire de coin qui montrait bien que tu ne disais pas tout le fond de ta pensée.

  
 

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Douchka Sarabi Sullivan

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MessageSujet: Re: NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. EmptyDim 28 Sep - 23:17




Nous sommes un.

« Toi et moi sommes pareil tout comme la terre et le ciel. Une seule famille sous le soleil, ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens. Car nos coeurs et le tien ne font qu'un. »
Lorsque Cerseï,dans un lèger sourire te demanda si elle fessait si peur que ça - pour ainsi faire peur aux petites filles. Tu te mis à rire légèrement à ton tour. Loin de là. Au contraire, tu ne connaissais pas plus douce et gentille que la jeune femme. Elle n'est pas mauvaise contrairement à ce que les gens pourraient penser où bien même dire. Tu sais qui est Cerseï - et tu aussi qu'elle n'a pas un mauvais fond. C'est juste une jeune femme en manque d'amour maternelle - et toi, tu es là pour lui en prodiguer. Combler ce manque affectif qu'elle n'a pas pu avoir et recevoir de sa propre mère. Tu ressens énormément de tristesse à chaque fois que tu y penses - tu plains cette pauvre Cerseï. Si seulement, elle t'aurait eu toi - au lieu de cette garce de Zira - peut être n'aurait-elle pas suivi le mauvais chemin. Elle a peut être la ressemblance physique de Zira, mais elle n'aura jamais son caractère et sa façon de penser. Le coeur de Cerseï n'est pas aussi noir qu'à pu être celui de Zira - et là-dessus, tu en es intimement convaincue.
ø Absolument pas ... dis-tu dans un léger sourire - tout en posant ta main sur son bras afin de la rassurer. Elles sont timides c'est tout. avoues-tu en regardant à nouveau les petites filles - qui à nouveau, apparaissent et disparaissent derrière toi - après qu'elles aient à nouveau posés leurs yeux sur Cerseï. Et lorsqu'à son tour, elle t'annonce qu'elle va plutôt bien malgré quelques petits soucis. Une envie d'en savoir un peu plus sur les soucis qui la rongent te tourmentent l'esprit. Tu veux en savoir plus, mais peut être ne peut-elle pas en parler et d'un côté, tu l'a comprenais. Mais, d'un côté, tu as envie de savoir - peut être pourrais-tu l'aider. Après tout, tu es là pour elle si elle en a besoin. Et puis, peut être avait-elle besoin de vider son sac. Parler fait toujours du bien. Et sachant qu'elle avait des soucis, tu avais envie de connaître la où les raisons de ces soucis. Tu avais peur pour elle - peur qu'elle est pu s'en le vouloir se mettre dans des histoires qui ne la concerne où dans ennuis pas possibles. Il faut que tu saches - c'est beaucoup trop pour toi de ne pas savoir ce qui peut lui faire du tord. Mais d'abord, il faut que tu éloignes les enfants - ils n'ont pas besoin d'entendre vos histoires de grands - et puis, peut être que Cerseï n'osait de rien à cause des petits. Te tournant légèrement vers les bouts de choux, tu te mets à leur hauteur afin d'avoir leur attention :
ø Écoutez moi bien tous les sept. Vous pouvez aller vous amuser sur le terrain de jeu. Mais attention ! Cette fois, tu as prit une voix un peu plus strict pour leur montrer que tu ne plaisantais pas et ce qui allait suivre été très sérieux. Si je surprend l'un d'entre vous être en dehors de l'espace sécurisé, il sera puni en rentrant et n'aura plus le droit de me quitter d'une semelle la prochaine fois qu'on viendra au parc. On est bien d'accord ?! Les questionnes-tu à les regardant tous à tour de rôle. Ils acquiescèrent tous de leur petite tête toute mignonne - tu souris alors avant de reprendre la parole. Bien. Vous pouvez y aller. Si l'un d'entre vous me cherche, je serais avec Cerseï sur le banc en face. Dis-tu en indiquant le banc en question. Ayant aperçu l'endroit où tu serais avec la jeune femme, les petits se mirent à courir vers l'espace de jeu - t'assurant un instant que tout irait bien, tu fais un léger signe de tête à Cerseï - afin qu'elle te suive jusqu'au banc. Là au moins, vous pourriez discutés au calme sans craindre l'apparition d'oreilles indiscrètes. Assise, tu jettes un regard à la jeune femme suivit d'un léger sourire tout ce qu'il y a de plus maternel. ø Écoute peut être que ça va te paraître indiscrète comme question .. mais il faut que je sache. Quels sont ces soucis dont tu es victime ?! Si tu ne veux rien me dire je comprendrais tout à fait. Mais sache que .. si tu veux en parler je suis là. Tu sais que tu peux me faire confiance Cerseï. Lui-dis tu en posant instinctivement et machinalement ta main sur son avant-bras. Comme une mère le ferait avec sa fille - pour qui elle serait toujours là quoi qu'il puisse arriver où bien même lui arriver.


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MessageSujet: Re: NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. EmptyMar 30 Sep - 12:58

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∞ nous sommes un.



N'empêche, dans cette histoire, tu t'en voulais tout de même. Certes, tu avais vécu une très mauvaise soirée, la pire qui soit. Mais pour autant – et tu le savais – tu l'avais presque cherché, non ? C'était toi qui l'avait suivi, ce jour-là, et c'était toujours toi qui t'étais éternisée, en cherchant à avoir des explications de sa part. Si aujourd'hui, tu en ressortais quelque peu bousculée, c'était en partie de ta propre faute. Peut-être fallait-il cesser de toujours rejeter la faute sur les autres. Surtout, c'est toi qui a fait en première la démarche vers lui. En arrivant dans ce monde, tu aurais pu prendre un nouveau départ et démarrer vers la bonne pente. Mais au lieu de quoi, tu as encore – et comme toujours – était attirée vers un aspect plus obscur de la ville. Et tu as décidé de travailler pour Dexter, malgré sa réputation. Malgré tout ça, tu as accepté de redevenir un petit soldat à la solde de la mauvaise personne. Tu pouvais dire à qui voulait bien l'entendre que non, que tu avais changé, tu savais très bien au fond de toi que ça n'était que mensonge. Tu restais cette même Vitani – et non pas Cersei, cette nouvelle personne que tu prétends être – une lionne des Terres Interdites, élevée dans le seul but d'haïr son prochain et de parfaire le travail de son père mort trop tôt : répandre le « mal ». Même si d'après ta mère, Zira, vous ne faisiez rien de mal. Bien au contraire, vous étiez d'après elle l'image même de la Justice. Et dire que tu y avais cru.. Et dire que tu y croyais encore aujourd'hui.

Alors, quand Douchka demanda aux enfants d'aller jouer plus loin, tu compris bien assez vite qu'elle n'allait pas te laisser filer ainsi, sans être tenue au courant de tes soucis. De toute manière, tu ne pouvais rien lui cacher – ne le voulais. Et puis, tu avais vraiment besoin de parler à quelqu'un de confiance de toute cette histoire. À qui d'autre le pouvais-tu ? Nuka ? Non. Non, s'il apprenait tout ça, il entrerait dans une colère digne de ce nom et tu ne pourrais le retenir de faire son devoir de grand frère protecteur. Tes amis ? Déjà que tu en avais peu, alors hors de question de les faire fuir en leur racontant que tu venais de passer une soirée dans un bordel, contre ton gré. Et puis, tu connaissais à présent assez bien Douchka pour savoir qu'elle serait de bon conseil. Et – surtout – qu'elle saurait trouver les mots pour t'apaiser, te réconforter. Et t'empêcher de passer une nuit de plus à cauchemarder sur cette nuit. « Écoute peut être que ça va te paraître indiscrète comme question .. mais il faut que je sache. Quels sont ces soucis dont tu es victime ?! Si tu ne veux rien me dire je comprendrais tout à fait. Mais sache que .. si tu veux en parler je suis là. Tu sais que tu peux me faire confiance Cerseï. » Assises toutes deux sur ce banc, vous aviez véritablement l'air d'une mère et d'une fille se retrouvant dans leurs confidences. Et ce tableau ne pu que te faire sourire d'avantage, tant ce genre de scène t'avait manqué tout le long de ta vie. Ta main sur ton bras, ce geste semblait d'extraire d'un poids si lourd sur ton cœur. Comme si elle acceptait de prendre un peu de ta peine – une grande partie même – pour te permettre de te reposer. D'aller mieux. Ce genre de truc que seules les mères savent et peuvent faire. Ce genre de truc que tu n'avais connu que de vue jusqu'ici, mais que tu n'avais jamais eu la chance de vivre avant de faire la rencontre de Douchka.
« C'est assez compliqué comme histoire, tu souris, ne sachant trop par quoi commencer. On va dire que je me suis embarquée dans quelque chose qui me dépasse à présent, et que je n'ai aucune idée de comment je peux m'en défaire. » À nouveau, tu lui tends ton sourire – ce genre de sourire un tantinet gêné, gênée d'ainsi te dévoiler. D'ailleurs, tu ressens un léger stress qui te fait vigoureusement bouger la jambe droite, que tu tentes tant bien que mal de calmer en croissant tes jambes. Tu ne peux cacher que tu as assez peur de la réaction de Douchka quant à cette histoire : allait-elle être déçue par toi ? Allait-elle se mettre en colère ? Te renier même ? Te trouver bien bête, tellement idiote d'être tombée dans ce genre d'histoire ? Ça t'effrayait tant, t'angoissait totalement en fait. Tu avais été habitué à recevoir des remarques désobligeantes de la part de ta mère, et même si tu savais éperdument que Douchka ne ressemblait en rien à Zira, tu ne pouvais t'empêcher de craindre sa réaction et ses paroles à venir. « Je ne sais pas trop pourquoi, tu commences alors, n'osant déjà plus poser ton regard dans le sien, te mordant même l'intérieur de la joue à présent, quand je suis arrivée dans cette ville, j'ai commencé à travailler pour quelqu'un, à côté de mon boulot de mécano. Pas un travail officiel, plus une sorte de travail au noir quoi.. Pour le directeur de la banque, le genre de type pas vraiment fréquentable tu vois ?, tu lui lances un petit coup d'oeil, esquissant un petit sourire. Jusque là, ça allait bien, mais la semaine dernière.., tu te coupes toute seule, bloquée par le seul fait de repenser à cette soirée. Mais la semaine dernière, j'ai fait l'immense connerie de vouloir le suivre un soir pour voir ce qu'il faisait après le boulot.. Et j'aurai jamais du. » Tu te stoppas nette, n'arrivant décidément pas à mettre des mots sur cette affaire. Tu n'arrives pas, c'est tout. Ça ne veut pas sortir, comme si le dire à haute voix était te l'avouer. Et ça, tu semblais le refuser. Totalement confuse, perdue au plus profond de ton être, tu viens poser ta tête dans tes mains, te penchant légèrement comme pour cacher ton visage de Douchka, tant la honte pouvait se lire sur ton visage.

  
 

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Douchka Sarabi Sullivan

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Douchka Sarabi Sullivan
J'ai posé bagages ici le : 12/05/2014 Jouant le rôle de : Sarabi #teamkinglion. Nombre de messages : 130 On me connait sous le pseudo : Cacahuète aka Juliette. Un merci à : @Light Spades pour le vava & @Bazzart pour la sign Je suis fier(e) de porter l'avatar de : Katie McGrath
MessageSujet: Re: NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. EmptyMer 1 Oct - 22:10




Nous sommes un.

« Toi et moi sommes pareil tout comme la terre et le ciel. Une seule famille sous le soleil, ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens. Car nos coeurs et le tien ne font qu'un. »
Assise sur ce banc, tu espérais que Cerseï te donnes un plus de détail sur ce qui lui rongeait le cœur et l'esprit depuis qu'elle vivait en ce bas monde. Ce monde cruel et dur parfois. Ce monde où tu ne serais jamais à ta place où tu ne pourrais jamais te sentir bien. Il y a des jours comme ça où tu n'as qu'une envie quitter cette ville - pour retrouver le monde d'où tu viens. Retrouver ta terre promise qu'est la belle Afrique. Tu n'es plus une lionne, mais cela n'empêche rien à ton envie, ton désir de renouer avec tes racines. Oui tu aimerais pouvoir tout foutre à taire, tout envoyer balader, mais tu ne pouvais abandonner ceux que tu aimes. Non, tu ne pouvais décidément pas faire ton égoïste et abandonner tes bouts de choux et surtout abandonner Cerseï qui en ce moment avait besoin de tout ton soutien, de tout ton amour maternel. Et puis, tu ne pouvais pas partir comme ça sans avoir retrouver les deux hommes de ta vie - ton roi et ton petit prince. Quoi qu'il en soit, tu reportes ton attention sur la jeune femme - ta main toujours posé sur son bras - alors qu'elle prit la parole sous ton regard bienveillant. Dans un sourire, elle t'annonça qu'il s’agissait d'une histoire quelque peu compliquée. Tu lui rend son sourire. Tu imaginais qu'il pouvait s'agir d'une histoire un peu spécial, mais qu'importe tu n'étais pas là pour la juger où pour lui jeter la pierre, mais pour l'aider et bien sûr, la conseiller. Ainsi donc, elle continua dans sa lancée en t'avouant, s'être embarquée dans quelque chose qui est en train à présent de la dépasser.
Et que malheureusement, elle n'a absolument aucune idée de comment, elle peut s'en défaire. Tu réfléchis à ce que tu pourrais dire dans l'instant - mais rien ne te vient. Tu ne sais trop quoi penser, tu n'as pas assez d'informations pour te faire une idée, mais tu peux déjà affirmer, qu'elle s'est mise dans de beaux draps. Et encore, le pire était à venir - tu le voyais à sa façon dont sa jambe droite n'avait de cesse de bouger vigoureusement. Tu craignais réellement le pire - une telle réaction, n'avait rien d'anodin. Ça cache forcément quelque chose de pas jolie-jolie. Quoi qu'il en soit, tu ne l'interrompe pas et continues de l'écouter. Elle t'explique par la suite, que lorsqu'elle est arrivée dans cette ville, elle a commencé à travailler pour une personne - se trouvant à quelques mètres de son lieu de travail à elle de base. Jusque là, rien de très alarmant, mais c'est lorsqu'elle t'annonça qu'il s'agissait d'un emploi au noir pour un directeur de banque - le genre de personne peu fréquentable en toutes circonstances. Ton sang ne fit qu'un tour et l'angoisse commença à t'habiter.
Ton cœur se mit à battre fortement dans ta poitrine - tant le stress monté en flèche. Cerseï dans quoi t'es tu embarquée ma chérie. penses-tu d'un ton plaintif à toi-même. Tu l'écoutes toujours sans rien dire. Et elle ajoute que jusque là, tout allait bien pour elle - mais que la semaine dernière ... Et la façon dont elle coupe court à ses dires te fait serrer ta main sur son bras - ton regard planté dans le sien. Facile de comprendre que tu te sentais mal pour elle - effrayée t'entendre le pire. Finalement, elle t'annonce, qu'elle a fait la pire connerie de sa vie en ayant suivit discrètement son employeur au noir pour voir ce qu'il faisait après le boulot - et qu'elle aurait jamais du. Aussitôt l'histoire finie, tu soupires de confusion - et passes une main sur ta nuque. Tu ne sais pas trop quoi penser. Mais il est évident qu'elle a fait une bêtise en ayant suivi son employeur de la sorte. Surtout ce genre de personne - qui sait ce qui aurait pu lui arriver ce soir là. Tu ne veux même pas y penser. Un dilemme s'offre alors à toi : soit tu te chargeais de lui faire la morale - soit tu te chargeais de l'aider à oublier tout ça ..d'ailleurs, c'était pas le moment de l'enfoncer plus bas que terre. Elle est déjà assez perturbée comme ça. La voir se cacher de ton regard, te fait énormément de peine. Et comme tu ne peux supporter une telle chose, tu viens enrouler la jeune femme de tes bras de mère protégeant le fruit de ses entrailles. Tes mains caressent doucement son dos et tu prends la parole dans un chuchotement que seule elle, peut entendre. ø Tout va bien Cerseï. J'admets que tu as fait une erreur, mais qui n'en fait pas hein ?! Tu n'aurais jamais dû accepter de travailler pour cet homme - surtout au noir. Si jamais tu te fais chopper tu sais ce que tu risques. Il faut arrêter Cerseï. Il le faut vraiment. Je ne veux pas qu'il t'arrive du mal. Avoues-tu la serrant un peu plus contre toi. Et tu n'aurais jamais dû le suivre comme tu l'a fait et surtout toute seule. Il aurait pu t'arriver malheur. Et pourquoi tu n'aurais pas du ?! La questionnes-tu en relevant légèrement ta tête. Qu'est-ce que tu as découvert ?! Ajoutes-tu la peur au ventre - afin de savoir ce qui avait poussé la jeune femme à suivre cet homme qui était en train de lui apporter que du malheur et de la souffrance.


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MessageSujet: Re: NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. EmptyJeu 9 Oct - 18:26

... ... ...
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∞ nous sommes un.



Tu te sentais un peu gênée, tout de même. Voici que tu arrivais sans crier gare dans le petit monde de Douchka et que tu venais te plaindre de tes soucis. Certes, c'était elle qui t'avait demandé de tout lui raconter, de ne jamais rien lui cacher. Et pourtant, tu te sentais mal de t'incruster dans sa vie. Ne restais-tu pas une inconnue, au final ? Et puis, elle avait sans aucun doute ses problèmes à elle, sûrement bien plus importants que les tiens. Mais voilà que tu viens détaller ton petit malheur sans prendre conscience qu'elle aussi, avait sa vie avec son propre lot de soucis.
Ainsi, c'est vrai qu'elle n'y paraissait pas. Toujours sourire aux lèvres, jamais en train de se plaindre ou de râler sur telle ou telle chose. Elle diffusait sa noble bonne humeur sur le monde qui l'entourait sans rien demander de plus. Sans demander son reste, elle semblait répandre l'amour comme si ça lui fut naturel. Comme si elle ne s'en rendait même pas compte. Il suffisait de l'observer pour comprendre qu'elle était de ce genre de femme dont rien ni personne ne pouvait ébranler le sourire. Pas mêmes les peines, pas mêmes les pertes et pas mêmes les déceptions. Non, c'était ce genre de femme assez forte pour surmonter les intempéries de la vie et pour continuer à lui sourire malgré ses obstacles. Ce genre de femme que tu aurais voulu être, oui. Devenir même, s'il t'en était possible. Mais tu savais éperdument que ça ne serait jamais le cas. Tu étais Vitani, et quand les problèmes ne venaient pas naturellement à toi, c'est toi qui courais droit vers eux. Et puis non, tu avais encore moins cette force de caractère qui symbolisait tant Douchka. Si elle semblait sourire au fur et à mesure qu'elle était blessée, toi, ça t'enragée un peu plus. Comme un chien que l'on tape au bâton, jour après jour, et qui finit par devenir fou tôt ou tard. Toi tu n'arrives pas à tourner la page en soufflant un bon coup et en te disant « allez va, ce n'est rien ! ». Non, toi tu restes bloquée à chaque problème rencontré et étrangement, plus ça va mal, plus ton mauvais côté ressort. Comme si tu ne trouvais pas d'autres alternatives à ton mal-être que la haine. La haine pure et simple, sans cause. Mais avec d'horribles conséquences.

Tu avais alors commencé ta petite confession et déjà, tu te sentais mal dans tes bottes. Tu savais que tu étais la première fautive alors, en plus de te tracasser, ça te rendait folle. Et pourtant, il vint suffire d'un geste pour que ton angoisse tombe. Telle la mère qu'elle symbolisait pour toi, Douchka te prit dans ses bras, te serrant si fort contre elle que bientôt, tu crus percevoir les profonds battements de son cœur. Ses mains te caressant le dos, ce geste tendre de réconfort pouvait paraître bien basique. Mais pour toi, c'était une véritable explosion de bien-être. Tu soufflas alors un bon coup, n'étant pas vraiment prête à raconter la suite – le pire – de l'histoire. Mais il le fallait, tu le savais. Douchka ne te laisserait pas filer dans la fin de l'histoire de toute manière. Et c'est bien pour cela que tu l'aimais, et qu'à jamais tu la remercierais : le fait qu'elle se fasse tant de soucis pour toi. Que tes problèmes deviennent les tiens, même si c'était délicat à accepter pour une indépendante de ton genre. Mais c'était soulageant, comme rien d'autre au monde. « Tout va bien Cerseï. J'admets que tu as fait une erreur, mais qui n'en fait pas hein ?! Tu n'aurais jamais dû accepter de travailler pour cet homme - surtout au noir. Si jamais tu te fais chopper tu sais ce que tu risques. Il faut arrêter Cerseï. Il le faut vraiment. Je ne veux pas qu'il t'arrive du mal. » Elle ne t'engueulait pas, non. Elle ne faisait pas comme les autres mères le feraient – surtout comme la tienne. Elle te conseillait, plutôt. Te disait son avis en toute franchise et semblait surtout vouloir te réveiller sur la gravité de la chose. Et dire qu'elle n'était pas encore au courant de toute l'histoire. « Et tu n'aurais jamais dû le suivre comme tu l'a fait et surtout toute seule. Il aurait pu t'arriver malheur. Et pourquoi tu n'aurais pas du ?! Qu'est-ce que tu as découvert ?! » C'était évident, qu'elle allait te le demander. Et pourtant, à cet instant, tu paniquas tout simplement. Tout dans ta tête se mélangea. Qu'allait-elle penser de toi, bon dieu ? Mais comment allait-elle réagir ? Allait-elle te lâcher, te laisser là toute seule pour ne jamais te revenir ? T'engueuler, te hurler dessus à la mort pour te mettre face à ta bêtise ? Te faire amèrement regretter d'avoir fait cela ? Les unes après les autres, des images différentes de sa réaction s'alternaient dans ta tête. Et ça t'effrayait tant, de l'imaginer t'abandonner.
Alors tu fais tout pour éviter son regard. Tu viens poser ta tête – soudainement si lourde – contre son épaule et tel un petit enfant, serre tes mains contre sa veste. Comme pour l'empêcher de te quitter. « Je sais, viens-tu répondre dans un murmure, te sentant soudainement si honteuse. Je sais très bien tout ça. Mais je peux pas arrêter Douchka, non j'peux pas.. Je n'sais plus quoi faire, j'ai été si conne ! Si je n'avais pas fait ce que j'avais fait, si j'l'avais pas suivi, je ne serai pas hantée par toutes ces images aujourd'hui. » Tu parles comme une enfant que l'on gronde, qui tente tant bien que mal de se trouver excuses quand, visiblement, il n'y en avait aucune. Et alors, tu te serres un peu plus contre Douchka, car ça te fait un bien fou. Car tu as tellement besoin d'elle à présent. « Ce type, c'est un proxénète, tu lances la révélation dans un soupir, manquant même de bégayer sur ce dernier mot tant il te semblait encore impossible. Je l'ai suivi jusqu'à son espèce de planque. Il y avait toutes ces filles qui se vendaient, tous ces.., ta voix commence alors à se briser, les souvenirs reviennent – c'est encore trop tôt pour être guéris, oui. Tous ces types. Et cette ambiance, c'était juste, tu sembles craquer, mais tu te reprends, juste horrible. »

  
 

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MessageSujet: Re: NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. EmptyVen 10 Oct - 21:14




Nous sommes un.

« Toi et moi sommes pareil tout comme la terre et le ciel. Une seule famille sous le soleil, ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens. Car nos coeurs et le tien ne font qu'un. »
Ton regard se perd sur l'horizon lorsque tu sens la tête de Cerseï tomber lourdement contre ton épaule et empoignant telle une enfant avec ses mains ta veste. Comme pour t'empêcher de partir, comme pour te demander de la protéger du monde extérieur - comme tu sais si bien le faire. Et machinalement - comme par automatisme, tes bras se referment sur elle. Un geste protecteur qui prenait à présent tout son sens - maintenant que Cerseï venait de le réveiller. Et tu l'écoutes te murmurer qu'elle savait bien qu'elle n'aurait jamais dû suivre cette voie, ni même suivre cette homme qui l'a si facilement employé. Alors pourquoi l'avoir si bêtement suivi si elle le savait ?! Tu avais vraiment peine à comprendre à ce qui l'a poussé à le faire. Parfois, il a des choses qui sont inexplicables et cette chose en fait partie. Quoi qu'il en soit, tu continues de l'écouter et ce qu'elle t'annonce te fait grimacer. Elle ne pas arrêter ce qu'elle fait. La seule question qui te vient en cette instant c'est : Pourquoi ?! Pourquoi donc elle ne peut pas arrêter ?! Qu'est-ce que cela cache réellement ?! Tu avais réellement peur de connaître la suite. Tu avais peur pour ta protéger et ce qui pourrait lui arriver. Le pire c'est quand elle te dit ne plus savoir quoi faire - toi même tu ne savais pas quoi faire. Tu veux l'aider, mais que pourrais-tu faire à toi toute seule contre cette homme - sans doute dangereux. Tu es prête à tout pour protéger Cerseï même celà implique d'y mettre de ta personne.
Si seulement Mufasa était encore là - lui au moins il aurait faire quelque chose. Soudain, tu te rappelles qu'il existe dans ce monde - des gens capables d'aider mieux que toi Cerseï pour ce genre de situation. La police pourrait peut être intervenir - mais tu prends conscience que ce que tu dis est bête. Tu as oublié que ta protégée travaillait au noir et si la police l'apprenait, elle aussi en prendrait pour son grade. Effectivement, c'était un véritable casse-tête. Toutefois, tu ne laisserais pas tomber - tu trouverais un moyen. Pour ton problème, il existe une solution. Et lorsqu'elle s'auto-insulte de conne - tu as presque envie de la sermonner. Parce que ce n'est pas le cas. Elle n'est pas conne - juste trop impulsif. Et c'est ça qui lui fait le plus défaut - cette impulsivité qui est en train de gâcher sa vie à petit feu. Il faut qu'elle apprenne à contrôler cette impatience - cette attitude de foncer tête baisée dans les problèmes avec de réfléchir aux conséquences qu'ils pourraient engendrer. Sa voix de femme laissant place à celle de l'enfant apeuré et honteux t'annonça par la suite que, si elle ne l'avait pas fait, pas suivi - jamais elle n'aurait été hantée par toutes ces images. Certainement, mais comment aurait-elle pu savoir tout ça - si ce n'est le voir de ses propres yeux. Oui elle ne serait pas hantée parce qu'elle a découvert, mais au moins, maintenant, elle sait à quoi s'en tenir.
Que la curiosité est une vilain défaut - surtout lorsqu'il s'agit de découvrir la double vie d'un employeur au noir. Tu la sers un peu plus contre toi - pour lui prouver que tu ne l'abandonnerais pas. Sachant qu'à cet instant, elle va encore plus besoin de toi. Et ça n'était pas dans tes attributs que d’abandonner ce qui compte le plus pour toi. Et Cerseï en fessait partie. ø Nous allons trouver un moyen Cerseï. Je te le promet. Mais il faut que tu arrêtes. Il le faut tu m'entends. Insistes-tu sur le ton de la voix - pour le faire comprendre que tu ne voulais de tout ça. Que tu ne voulais plus la voir dans ce genre d'embrouille. Je ne peux pas accepter que tu puisses marcher dans ce genre de combine. Si vraiment l'argent te manque, je peux toujours t'employer à mi-temps pour m'aider avec les petits. Ça sera toujours mieux que de bosser au noir. Tu ne crois pas ?! La questionnes-tu sur un ton mi-strict, mi doux. Lui faire comprendre que tu l'aiderais pour tous les moyens. L'employer était pour toi la seule solution possible -si tu souhaitais ne plus la voir traîner dans ces eaux noires et poisseuses sentant les ennuies à plein nez. C'est alors que la révélation tombe -net. Tranchante comme la lame aiguisée d'un couteau de boucher. Un proxénète. Un frisson de dégoût te parcours le corps. Tu ne pouvais pas croire que ta protégée puisse travailler pour un homme pareil - un homme dépourvu de tout bon sens. Tu l'écoutes toujours et la suite - te donnes d'autre frisson - tu manques de vomir. Tant ce qu'elle t'annonçait à l'instant avait le don de te retourner l'estomac. Comment imaginer que ce genre de chose pouvait exister. Comment pouvait-on exploiter des femmes pour leur corps ?!
Les traiter comme de vulgaires objets - justes bonnes à satisfaire les besoins et les envies de tous ces hommes. Et surtout comment ces femmes pouvaient t'elles acceptées d'être traitées de la sorte ?! Ça t’effrayait de voir, de savoir, de découvrir que l'être humain de ce monde était prêt à tout pour quelques billets verts. Alors tu la croyais volontiers lorsqu'elle t'annonce que ce qu'elle a découvert était juste ... horrible. Et encore le mot est faible. Tu ne pouvais imaginer l'horreur qu'elle a dû voir là-dedans. D'ailleurs, tu ne veux même pas y penser. Tout ce que tu peux faire c'est serrer davantage Cerseï contre toi. Avant te reculer un peu pour prendre son visage entre tes mains. Il faut faire quelque chose - la situation est trop grave pour ne pas réagir. ø Je ne peux imaginer l'horreur que tu as dû découvrir derrière ses murs. Ma pauvre chérie. J'ai tellement de peine si tu savais. J'ai peur pour toi maintenant. J'ai peur que ce sale type t'embarque dans son raison de prostituées. Avoues-tu tes yeux commençant lentement à te piquer. Les larmes aux bordes des yeux. Je t'en conjure Cerseï arrête pendant qu'il est temps. Il faut que tu arrêtes de le fréquenter. Je t'en prie. Si il t'arrive malheur je crois que je ne m'en remettrais pas. Ce sont les mots de trop - et les larmes coulent d'elles-mêmes sur tes joues. Tu aurais souhaité ne jamais connaître la vérité - mais tu l'as voulu et maintenant tu l'as subi. C'est déchirant - c'est désagréable - horrible, affreux de se dire que cette jeune femme que tu considères comme ta fille puisse être l'employée d'un proxénète - qui si ça se trouve tentera de faire d'elle l'une de ses filles de joie. Tu cœur souffre terriblement à cette simple pensée.


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Cersei Vitani Sullivan

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MessageSujet: Re: NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. EmptyMer 29 Oct - 13:37

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∞ nous sommes un.



Et puis merde, tu aurais mieux fait de te taire. Voilà qu'elle se fait du soucis pour toi – bien joué ! Tu détestais ça, la rendre inquiète. Encore moins pour toi. C'était comme plus fort que toi, comme si tu ne te sentais pas digne de sa préoccupation, pas digne d'être une personne importante pour elle. Oui, pour toi c'était certain. Pour Douchka, tu n'aurais du rien représenter. Rien qu'une gamine un peu paumée dans sa tête, c'est tout. Elle n'aurait jamais du s'attarder sur toi, n'aurait jamais du te faire entrer dans sa vie. Car vous n'étiez pas du même monde, car vous n'aviez pas la même perception de la vie. Et pourtant, elle s'était attachée à toi, comme on s'attache à une enfant. Et de ton côté, comme une illuminée, tu as vu en elle la figure maternelle qui te manquait tant. Tu as envoyé bouler au loin – très loin – la sauvage et indomptable Vitani pour laisser ce petit cœur abandonner s'exprimer et s'enticher de la compagnie de la jeune femme. Mais voilà que tes démons reviennent, plus déterminés que jamais. Plus angoissants. Voilà que l'intrépide et obscure Vitani refait surface, sans que tu puisses t'en rendre compte. Voilà que tu reprends goût pour les jeux dangereux, voilà que ce plaisir de jouer avec le feu t'envahit à nouveau. Et le pire, c'est que tu ne désires pas lutter contre cette partie de toi. Car elle est là, belle et bien ancrée en toi. Elle fait partie de toi, toute entière. Et même si elle semble à présent te consumer, tu préfères l'a laisser faire plutôt que de lutter, encore et encore, contre elle.
Et pourtant, quand tu sens les mains protectrices de Douchka te caresser, doucement et d'une manière divinement apaisante, tu ne peux t'empêcher d'apprécier ces moments-ci. Ces moments où tu es des plus vulnérables, et où tu te laisses complètement aller dans les confidences et les levées de cœur. « Nous allons trouver un moyen Cerseï. Je te le promet. Mais il faut que tu arrêtes. Il le faut tu m'entends. » Ton cœur craque un peu plus. Elle ne devrait pas autant s'inquiéter pour toi, alors que tu n'es rien. Absolument rien ni personne pour elle. Alors pourquoi Diable, semble-t'elle prête à porter le fardeau de tes peines à ta place ? « Je ne peux pas accepter que tu puisses marcher dans ce genre de combine. Si vraiment l'argent te manque, je peux toujours t'employer à mi-temps pour m'aider avec les petits. Ça sera toujours mieux que de bosser au noir. Tu ne crois pas ?! » L'idée te fait doucement sourire. Non décidément, elle ne peut pas comprendre. Ne pourra jamais comprendre ce qui te pousse dans les bras du Mal. Elle est trop pure, beaucoup trop pour comprendre ce qui t'attire tant dans ce monde-là. Mais ce petit sourire s'envole vite, car tu ressens comme jamais l'inquiétude de Douchka. La tête appuyée contre sa poitrine, tu peux même l'entendre de par les battements de son cœur. Ils sont si rapides, si brutes. Mais bordel, qui es-tu, au juste, pour te permettre de la mettre dans cet état ? Ta tête se loge alors un peu plus prêt de son épaule – tu t'y sens si bien, que l'espace d'un instant tu te permets de clore les yeux, appréciant comme jamais cet instant de tendresse. « Douchka, tu tentes de prendre la voix la plus calme qui soit, tu ne tiens pas à l'inquiéter un peu plus, ce n'est pas l'argent le problème, tu sais. J'aurai aimé que ça soit aussi simple que ça, que l'argent soit la seule chose qui me force à continuer.. Tes yeux, humidifiés, s'ouvre à nouveau, comme éveillés, enfin. Tu sembles enfin comprendre, sembles plus exactement enfin l'admettre. Il y a quelque chose chez ce type.., ton regard fixe l'horizon, complètement vidé. Quelque chose qui m'obstine à rester. » Ta bouche s'entrouvre d'elle-même, car à cet instant, tu sembles te confier à ta propre personne. Cette chose, cette confidence, jamais tu ne l'avais clairement formulé dans ta tête. Et voici qu'elle sort enfin. Ça a beau t'arracher les tripes de le dire, ça te soulage d'un énorme poids.

Et alors, l'étreinte de Douchka se fait un peu plus forte – toujours aussi tendre. Son cœur, tu peux à présent l'entendre. Très clairement, même. Il bat si fort – et il bat pour toi. Alors, malgré la peine, tu ne peux t'empêcher de ressentir une immense et agréable joie intérieure. Ce genre de joie que l'on ressent, tout simplement, quand on se rend compte à quel point on peut être important pour quelqu'un. Quand on se rend compte que non, nous ne sommes pas rien – que nous représentons tant pour une personne. Ses mains – douces mais si tremblantes – viennent alors encadrer ton visage. Te prouvant un peu plus comme elle s'inquiète pour ton pauvre sort. « Je ne peux imaginer l'horreur que tu as dû découvrir derrière ses murs. Ma pauvre chérie. J'ai tellement de peine si tu savais. J'ai peur pour toi maintenant. J'ai peur que ce sale type t'embarque dans son raison de prostituées. » C'est instantané, presque automatique – instinctif. Ta tête vient doucement se remuer de droite à gauche, de manière négative. Et de tes lèvres ressort un léger sourire un coin – presqu'un rire même. « Non, non, souffles-tu doucement, à peine Douchka eu-t'elle le temps d'achever sa phrase. Ça, ça il ne le ferait jamais, non. » Ta tête continue alors de doucement se secouer, persuadée de ta réponse. Sans trop savoir pourquoi tu en étais si certaine, d'ailleurs. Mais non, imaginer Dexter te faire entrer dans son réseau.. Non, c'était tout bonnement impossible. L'on pouvait reprocher bien des choses, à Dexter – mais ça, non. Tu ne laisserais personne douter de la confiance que tu accordais à cet homme.
« Je t'en conjure Cerseï arrête pendant qu'il est temps. Il faut que tu arrêtes de le fréquenter. Je t'en prie. Si il t'arrive malheur je crois que je ne m'en remettrais pas. » Et voilà que le pire arrive, que des larmes s'arrachent des si beaux yeux de Douchka. Voilà donc toute l'importance qu'elle t'accordait.. Dieu que c'était prenant. Dieu que c'était beau. Alors, à ton tour, tu places tes petites mains sur ces joues brûlantes, essuyant de tes index ces perles qui ne cessaient de couler. « Allons, allons Douchka, semblais-tu dire sur un ton de berceuse, tu ne dois pas te mettre dans cet état. Pas pour ça. Pas pour moi. Tu souris, du moins tu essayes. Je.. j'aurai du me taire, oui, tes yeux se ferment, ta tête se secoue à nouveau tant tu t'en veux. Je ne veux pas que tu t'inquiètes pour moi, je ne veux pas te voir dans cet état Douchka, non.. » Car ça te fait bien trop mal. Alors, bientôt, tes mains lâchent son visage pour venir se poser derrière sa tête – pour venir loger son visage contre toi. Car tu n'es plus la seule âme à devoir être réconfortée, à présent.

  
 

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MessageSujet: Re: NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. NOUS SOMMES UN ∇ SARABI. EmptyDim 9 Nov - 0:42




Nous sommes un.

« Toi et moi sommes pareil tout comme la terre et le ciel. Une seule famille sous le soleil, ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens. Car nos coeurs et le tien ne font qu'un. »
Tu n'étais pas le genre de personne à t’inquiéter pour si peu - mais lorsque un problème quel qu'il soit touche les personnes qui comptent le plus pour toi - il t'arrive de te mettre dans des états pas possibles. Comme maintenant avec Cerseï. Ce qu'elle t'a avoué, t'a rendu complètement angoissé. Apprendre qu'elle la jeune femme la plus douce et la plus attachante que tu puisses connaître ai pu tomber aussi facilement dans les méandres du travail au noir. Tu ne comprends pas ce qui a pu la pousser dans cette voie - tu as d'abord penser à l'argent - bien sûr tu ne doutes pas que la raison est tout autre. Tu ne te doutes pas que ta protégée puisse s'être amourachée de celui qui l'a employé dans ces sombres magouilles. Toi, tu crois juste que l'argent manque énormément à la jeune femme et que c'est pour ça qu'elle a accepté de tomber là-dedans. Et c'est donc sans hésitation que tu lui avais proposé de la prendre à mi-temps pour t'aider avec tes bouts de chou. C'est alors que tu sens sa tête se loger un peu plus près de ton épaule - et son regard se plonge dans le tien. Sa voix est calme lorsqu'elle prend la parole - comme pour tenter d’apaiser cette peur qui fait follement et affreusement battre ton cœur.
Et lorsqu'elle t'annonce que l'argent n'est pas le problème de sa raison à devoir continuer ce qu'elle entreprend. Tu arques un sourcil d'incompréhension. Si ce n'est pas ça, qu'est ce que ça peut être d'autre ?! Tu cherches une réponse - mais rien ne te viens. Tu ne veux pas croire qu'elle puisse éprouver une attirance pour son employeur. Et tu déchantes bien vite lorsqu'elle t'avoue -ses yeux rivés sur l'horizon - qu'il y a quelque chose chez cet homme qu'il l'obstine à rester. Tu ne sais pas quoi dire - plus quoi penser. Tu sais que les sentiments ne se contrôlent pas - qu'il arrive qu'ils puissent nous conduire vers une personne dont on aurait jamais imaginer tomber amoureux. Toi-même tu n'aurais jamais pensé tomber amoureuse de Mufasa - et pourtant ... il a suffit d'un regard pour comprendre que ta vie toute entière lui était liée à lui - et à lui seul. Le seul à pouvoir de rendre ton amour - ce que tu n'aurais jamais pu ressentir pour Scar si les choses avaient été différentes. Quoi qu'il en soit, tu prends la peine de prendre la parole. Il faut que tu en saches davantage sur cette chose, sur ce sentiment qui l'attache à celui qui l'entraîne vers le fond. ø Et cette chose que tu ressens pour cet homme - et ce que ... tu crois qu'il la ressent aussi pour toi ?!
Il faut que tu saches si pour lui aussi c'est réciproque. Tu ne tiens pas à ce que ça ne soit qu'elle qui ressente de l'attirance et que lui, s'amuse avec elle. Tu ne veux pas voir ta protégée dans ce jeu dangereux - tu sais qu'elle est dans une pente glissante depuis qu'elle a rencontré et travaille pour cet homme. Et tu crains qu'il puisse jouer avec ses sentiments - pour l'avoir dans sa poche encore longtemps. Où peut être qu'à défaut de faire du trafic au noir - il peut très bien ressentir la même chose que Cerseï qui sait .. mais tu ne veux pas trop y croire. Sérieusement, plus elle essaye de te rassurer et plus ce qu'elle t'annonce fait chuter ce qu'elle était parvenue à adoucir. Et c'est là que, tu l'avais étreins un peu plus fort contre toi. Ton cœur battant de plus en plus fort dans ta cage thoracique. Il bat pour Cerseï et tous ces secrets qui la poursuivent depuis longtemps tu sembles penser. Et malgré tout, tu es heureuse qu'elle est fait l'effort de te les avouer - te prendre sur elle pour t'ouvrir son coeur. Elle sait qu'avec toi - elle n'a rien à craindre de ta discrétion - que tu seras toujours une oreille attentive pour elle - toujours à l'écoute de ses moindres problèmes. Elle pourra toujours compter sur toi quoi qu'il arrive. Vous vous connaissiez depuis peu de temps et pourtant - elle avait prit tellement d'ampleur autant dans ton coeur que dans ta vie - que tu ne songer vivre sans elle - sans son visage pour illuminer ta journée. C'est alors que tu as empoigné sa tête entre tes mains - lorsque t'as annoncé avoir découvert des choses horribles derrière les murs de celui pour qui elle avait tant d'attirance. Tu lui avais donc, fait part de ton inquiétude - quant au fait qu'il puisse un jour l'embarquer dans son réseau de prostituées.
Elle n'était pas convaincue - elle t'affirmait même qu'il ne pourrait pas faire ça - qu'il en serait bien incapable. Pas lui surtout pas. Comment pouvait-elle en être si sûre ?! Elle devait drôlement avoir confiance en lui - pour oser croire que jamais, il n'essayerait de l'embringuer là-dedans. Tu baisses ton visage - et doucement, tu soupires avant de lever ton regard vers le sien. ø J'espère sincèrement que tu es assez sûre de toi pour croire qu'il n'oserait jamais le faire. Et rien que de penser qu'il pourrait la traiter de la sorte, des larmes, sont venues perler tes joues d'albâtre. Parce que tu as peur pour elle - tu as peur qu'il puisse lui arriver malheur. Cerseï est plus qu'une amie proche - où une protégée. Elle est cette fille que tu n'as pas eu et que tu aurais aimé avoir en plus de Simba. Oui tu aurais tant aimé avoir une petite princesse à chouchouter, à dorloter. Elle est sans doute trop vieille pour tout ça - mais tu ne peux pas t'empêcher de te comporter comme une mère avec elle. Parce que, tu te considères comme telle - et que ta nature de lionne t'oblige à l'être. Tu n'y peux rien - tu es faite ainsi et rien ne pourra le changer - pas même ta nouvelle apparence.
Et c'est alors que tu sens les mains de Cerseï sur tes joues brûlantes, essuyant de ses index - ces perles qui n'ont de cesse - de couler sur tes joues. Sa douce voix - comme une berceuse fait de son mieux pour te réconforter. Elle te sourit - enfin elle essaye. Et malgré tout ça te fait du bien de voir - que toi aussi de ton compter, tu peux compter sur elle - sur son soutien. Elle a beau te dire de ne pas t’inquiéter - de ne pas te mettre dans un tel état  pour elle - tu ne peux absolument pas accepter ce qu'elle te demande. Comment pourrais tu ne pas te faire du mouron pour elle - alors qu'elle représente tellement tout pour toi. Et soudainement, tu sens ses mains se poser derrière ta tête - et ton visage qui se loge tout contre elle. C'était à ton tour - de ressentir tout cet amour qu'elle t'affectionne si fort. Ce même amour maternel que tu ressens à son égard. Et ça te fait tant de bien - tu en as tant besoin. ø Je ne peux te laisser dire ça Cerseï. Dis-tu tes prunelles ancrées dans le siennes. Si je m'inquiète pour toi - c'est parce que tu compte beaucoup trop pour moi. Tu es cette fille que je n'ai jamais eu. Avoues-tu d'autres larmes venant perler sur ton visage. Ça va sûrement la surprendre que tu puisses la comparer à ta pauvre enfant - et pourtant, c'est ce qu'elle représente et représentera toujours à tes yeux.


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