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Riley

My life with you
AMOUR-AMITIÉ-EMMERDE:
LISTE-DES-CHOSES-A-FAIRE:
VOTRE RÊVE: redevenir un grand frère.
Faites place à la vedette
Riley "Skipper" Penguin
J'ai posé bagages ici le : 24/12/2014 Jouant le rôle de : le commandant – skipper. #teammadagascar. Nombre de messages : 43 On me connait sous le pseudo : olympe. Un merci à : alaska (ava) endlesslove (signa) wild heart (code rp). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : nastassia lindes.
MessageSujet: (rilear) 》 and we’ll throw it all away. (rilear) 》 and we’ll throw it all away. EmptyVen 23 Jan - 15:16



and we’ll throw it all away.


Tu ne vois aucune raison à ta présence ici sinon celle de ton cœur brisé, en morceaux. Tu en as envie aussi, envie de t’oublier. Envie de tout oublier. Juste profiter de l’instant, ne plus réfléchir. Ne plus rien ressentir sinon l’évanouissement de tes sens. Faire table rase du passé et laisser Skipper derrière toi le temps d’une soirée, d’une nuit. Te sentir femme, oublier ta masculinité. Essayer de te faire à cette nouvelle vie, à ce si grand changement et accepter. Accepter ce corps si différent, si nouveau aussi. Depuis ta dernière opération, c’est comme si tout était devenu plus réel. Comme s’il n’y avait pas eu de retour en arrière possible. Comme si tu avais attendu ce moment pour enfin te dire que Riley avait définitivement pris la place de Skipper, laissant le Commandant disparaître peu à peu derrière ces traits affinés, cette bouche pulpeuse. Derrière ces seins ronds et fermes. Tu as beaucoup de mal à te faire à cette idée. C’est étrange, c’est encore nouveau. C’est surtout perturbant. Ne pas reconnaître ton reflet dans le miroir, avoir l’impression de disparaître pour devenir un autre – une autre, plus exactement. Tu ne te rappelles même plus de quoi tu avais l’air, en homme. Tout s’était passé si vite que tu ne te souviens même plus de ces traits masculins qui avaient été les tiens avant la transformation. Ou peut-être ne veux-tu pas t’en souvenir parce que l’image te serait trop douloureuse. Alors tu oublies. Tu t’oublies dans des plaisirs éphémères qui ne durent qu’un temps, qui s’évanouissent comme disparaissent les étoiles au lever du soleil. L’espace d’une nuit, tu n’es plus rien d’autre que cette âme à la dérive qui se cherche et se perd. Se retrouve avant de se perdre à nouveau. Et c’est si bon. C’est si doux. C’est si agréable de ne penser à rien d’autre qu’à l’euphorie factice qui t’envahit peu à peu sous les effets de l’alcool, de la nuit. Et comme à chaque fois que tu veux disparaître une nouvelle fois, tu as fait appel à Jafar. Jafar, cet être aussi noir que les ténèbres mais qui t’attire de façon dangereuse et immédiate. Comme si le danger qui l’entoure pouvait te laver de toute la honte, de toute la douleur qui te broie le corps. Tu as toujours su que tu l’attirais – tout du moins, que Riley l’attirait. Tu as vu ses yeux concupiscents posés sur tes courbes de femme, sur ta bouche ourlée et pleine comme un fruit mûr. Et parce que ça te plaisait quelque part, tu as joué le jeu. Tu l’as laissé te séduire, t’enivrer de ses belles paroles chatoyantes aussi douces qu’elles étaient épineuses. Tu ne te fais aucune illusion, tu sais ce qu’il attend et ce qu’il veut de toi. Tu l’as toujours su. Et tu n’espères rien d’autre que de te laisser aller dans les fumées vaporeuses d’une nuit d’amour pour ne plus penser à ton cœur qui s’est brisé. Tu as fini par céder à ses avances, avec réticence et angoisse. Parce que le souvenir douloureux d’un grand homme au corps chaud contre le tien restait ancré dans ta mémoire comme une marque au fer rouge. Mais tout s’est passé si naturellement que ça a été comme une explosion au creux de ton ventre. Tu avais le droit de te laisser aller à tes envies, à ces nouvelles sensations. Qu’importe qu’elles soient celle de Riley ou de Skipper, elles étaient là. Et tu voulais les vivre, arrêter de réfléchir, de penser à un passé qui te déchire. Tu voulais juste vivre.

« C’est un véritable palace que tu as là, tu commentes, nez levé en l’air à observer les alentours de cette immense demeure dans laquelle il t’a emmené – dans laquelle il a emmené Riley. Je vois que tu gagnes bien ta vie, dis donc. » Il y avait d’abord eu un petit restaurant, chic et intimiste, et maintenant ce manoir certainement dix fois plus grand que la modeste maison que tu partages avec tes frères. Toute cette richesse, toute cette opulence te mettent presque mal à l’aise. Tu n’as jamais été habitué au luxe – tes frères et toi viviez au jour le jour, sans vous préoccuper de l’argent et autres biens matériels. Tu te sens bien minuscule entre ces hauts murs, toi qui, aujourd’hui, es endettée jusqu’au cou. Est-il seulement possible d’avoir autant d’argent ? Est-ce que Jafar trouve seulement quoi en faire ? Peut-être est-il tout simplement ennuyé de toute sa richesse, tellement il en possède. Ce serait sûrement normal. Après tout, à trop posséder on vient à en perdre la vraie valeur de toute chose. Tu t’en es rendu compte lorsque Skipper a laissé sa place à Riley dans le reflet de ton miroir. Jamais auparavant tu ne t’étais posé de question sur ton identité, ta sexualité – tout semblait en ordre et à sa place. Mais à mesure que tu as vu ton image se transformer, plus rien n’avait été pareil. Tu n’avais plus été le même – la même ? C’est comme si, en changeant de physique, tu avais peut-être aussi changé de personnalité. Restait pourtant ton amour pour tes frères, restait cette façon que tu avais d’être constamment sur leur dos. Et puis, il était arrivé. Ce fantôme du passé que tu ne pensais jamais revoir. Il a débarqué dans ta vie comme un ouragan et tout s’est effondré. Tu t’es effondrée. Il n’y avait plus de Skipper, de Riley ; il y avait juste une (presque) jeune femme irrémédiablement amoureuse. Jusqu’à ce que la vérité éclate, jusqu’à ce que le château de cartes tombe comme soufflé par le vent. En entretenant cette liaison avec Jafar, tu avais craint que tout ça ne recommence. Que le passé ne se répète une fois encore. Mais il n’en fut rien. Tout s’est déroulé de la façon la plus parfaite qui soit et tu avais réussi à te détendre, à simplement profiter de sa compagnie déviante pour tout oublier. La douleur, les responsabilités, les soucis. Et chaque fois que tu en éprouves le besoin, tu viens le voir. Tu sens ses mains qui se posent sur tes hanches fines et tu t’esquives dans un petit rire malicieux. « Doucement, monsieur Al Enezi, tu minaudes, l’œil joueur. Ne soyez donc pas si pressé, nous avons encore toute la soirée devant nous. » Entre lui et toi, ça avait toujours été un jeu du chat et de la souris, à celui qui attraperait l’autre en premier. À celui qui rendrait les armes avant. Et tu as appris à aimer ça. Tu as très vite compris que ton apparence très avantageuse allait pouvoir te servir dans la vie de tous les jours. Une œillade brûlante par-ci, un battement de cil par là, une moue faussement innocente ensuite. Tous les hommes réagissaient pareil devant de belles femmes et tu apprenais à te servir de cette faiblesse. C’est parce que tu as tenu Jafar en haleine pendant quelques temps que tu es là, ce soir. Chez lui. Avec cette électricité entre vous deux.

Le brun sur tes talons, tu gambades à travers les couloirs de la demeure, passant de pièces en pièces. Dans la cuisine, il arrive à immobiliser ton corps contre le grand réfrigérateur et tu le laisses penser pendant trois secondes qu’il a gagné. Que la partie est finie et que tu vas te soumettre à ses bonnes volontés. Dans un sourire plein de défiance, tu t’échappes de sa prise et t’enfuies dans la pièce d’à-côté. Tu tombes dans un salon très spacieux, le faible éclairage ne te permettant cependant pas d’admirer la pièce comme tu le voudrais. Oubliant un instant que Jafar est derrière toi, tu devines les grands canapés, les vitres tout aussi immenses. Toute cette place et il semble être seul à vivre ici. N’est-ce pas un peu trop pour une âme solitaire telle que lui ? Tu es arrachée à ces réflexions lorsque deux bras s’enroulent énergiquement autour de tes reins, te faisant chavirer sur les coussins moelleux d’un divan. Tu lâches un rire amusé tandis que tu te sens t’enfoncer dans une sorte de cocon de douceur. Le corps masculin au-dessus du tien fait s’accélérer ta respiration. Tu entends ton cœur qui tambourine jusqu’à tes tempes. « Il semblerait que je sois bel et bien coincée, lâches-tu dans une fausse petite moue déçue. Êtes-vous donc là pour me torturer, monsieur ? Ou bien me libérer ? » Tu enroules tes bras autour de sa nuque, tes doigts cajolant les mèches brunes sous ta paume. Il t’est encore parfois étrange de te sentir tant attiré par les hommes alors que tu en étais un auparavant. Tu te surprends également à regarder les femmes de temps à autre, comme un vieux réflexe qui ressort quelquefois. Tu n’avais jamais réfléchi à ce concept qu’est la sexualité. Tu étais juste un pingouin, tu n’avais pas à penser à tout ça. C’était bien au-dessus de toutes tes préoccupations d’antan. Aujourd’hui, ce sont là des questions qui te hantent. Parce que tu ne sais plus qui tu es réellement. Tu ne sais plus qui tu veux, ce que tu aimes. Riley ou Skipper, Skipper ou Riley. Les deux ? C’est un peu comme être schizophrène et sentir deux entités distinctes se disputer la place la plus importante à l’intérieur de toi. C’est comme vivre un combat constant entre deux mondes différents, entre deux parties de toi-même. Comme si elles ne pouvaient pas cohabiter – un peu comme avec l’huile et l’eau qui, jamais, n’arrivent à se mélanger. Ce soir, Riley prend le dessus, et demain peut-être que Skipper fera entendre sa voix. C’est comme ça à chaque seconde de chaque minute de chaque heure de chaque journée. Tout le temps, sans répit. Et c’est une lutte que tu n’arrives plus à supporter. Ni à contrôler.

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MessageSujet: Re: (rilear) 》 and we’ll throw it all away. (rilear) 》 and we’ll throw it all away. EmptyDim 25 Jan - 14:08

“ riley&jafar ♦ and we'll throw all away

Les heures défilent , il ne te reste plus beaucoup de temps pour te préparer . Ce soir , tu ne seras pas occupé à travailler d'arrache-pied pour mettre au point  le projet du tout nouveau modèle Vazaar qui apparaîtra sur les panneaux publicitaires d'ici quelques semaines . Non, pour ce soir , tu nourris d'autres projets , des projets qui demandent sûrement moins de réflexion , des projets beaucoup plus divertissants mais pas moins exténuants . Et pourtant , tu as demandé à recommencer , à renouveler cette expérience . Tu es aussi excité que la dernière fois , peut-être même plus . L'envie d'explorer de nouveau la sensualité de cette jolie brune aux jambes interminables brûle en toi . Elle ne t'a pas laissé indifférent , c'est le moins que l'on puisse dire . Oh tu en as rencontré de toutes sortes . Des brunes , des rousses , des blondes , des minces , des rondes , les femmes n'ont plus aucun secret pour toi . Pourtant , tu restes fasciné , intrigué , médusé . Cette femme qui répond au nom de Riley n'est pas comme toutes les autres . Tu t'en souviens comme si c'était hier . L'autre soir , quelque chose d'étrange s'était produit mais tu n'arrives pas à mettre le doigt dessus . La toute nouvelle amante possédait quelque chose que d'autres n'avaient pas . Tu l'as senti l'autre soir , n'est-ce pas ? C'était inhabituel et déroutant mais cela ne t'avait pas empêché d'apprécier ce moment plein de caresses torrides et de baisers enflammés . Vos corps ne faisaient qu'un , malgré ce léger petit problème . Tu vois désormais Riley comme une sorte de défi ou peut-être même de mystère , mystère que tu désires percer par-dessus tout .

Tu te diriges machinalement vers la salle de bain du premier étage car c'est tout simplement la plus proche . Tu enlèves ton pull-over , ton t-shirt et laisse tomber ton jean seyant ainsi que ton boxer jusqu'à tes pieds . Tu laisses couler l'eau histoire qu'elle se réchauffe . Tu ne peux apprécier ta douche seulement si l'eau est brûlante . Une fois satisfait de la température de celle-ci , tu te glisses sous l'eau . Tu la laisses caresser chaque centimètre de ta peau . Elle serpente le long de tes muscles saillants . Tu fermes les yeux et tressaillis . C'est tellement bon . Tu enduis ensuite ton corps de gel douche et rinces . Tu t'accordes encore quelques minutes sous l'eau chaude puis te sèches . Tu enroules la serviette autour de tes reins et te dirige d'un pas conquérant vers ta chambre . Tu jettes la serviette sur ton lit à baldaquin , enfiles un boxer , un pantalon à pince noir ainsi qu'une chemise blanche que tu agrémentes d'une cravate simple assortie à ton pantalon . Tu passes un coup de peigne dans les cheveux , te donnant un petit air décoiffé . Tu te contemples dans le miroir de l'armoire dans laquelle tu ranges tes vêtements puis quittes définitivement ta chambre . Tu consultes ta montre . Au même moment , Alastair annonce d'une voix étranglée que tu as de la visite . Tu descends aussitôt les marches de l'escalier qui mène au hall d'entrée , prêt à accueillir ta convive , ou devrais-tu dire , l'une de tes nombreuses amantes . Tu ouvres la porte et arbores un sourire fripon . Tu prends sa main , t'inclines légèrement et lui fais un baisemain .

« Je t'attendais avec impatience , Riley » lances-tu d'une voix onctueuse .

Tu ouvres grand la porte et t'écartes du chemin pour laisser passer la jeune femme . Elle est délicieuse . Tu fais les gros yeux à Alastair et il s'exécute aussitôt . Il débarrasse Riley de son manteau et s'éclipse aussitôt . Tu détestes l'avoir entre tes pattes quand tu as des invités . Tu fais signe à Riley de te suivre tandis que celle-ci contemple avec émerveillement ton domaine . Ses compliments t'arrachent un sourire malicieux .

« Le palace comme tu dis , est  à l'image de son propriétaire . J'ai travaillé dur pour bâtir mon empire et aujourd'hui , je suis l'un des hommes les plus affluents de la ville » commentes-tu avec orgueil ,  en gonflant la poitrine . « Je voulais pour ce second rendez-vous , un lieu plus intime » ajoutes-tu d'un air faussement détaché . Un sourire coquin s'étire sur tes lèvres fines .

Tu risques un pas en direction de la jeune brune . Tu la fixes d'un regard sombre et intense . Tes mains musclés viennent se poser sur ses épaules avant de serpenter le long de ses côtes pour finalement s'arrêter sur ses hanches . Oh non , tu n'avais certainement pas oublié ses courbes féminines . Tes mains se resserrent au niveau de ses hanches . Vous échangez un sourire complice . Riley te fait remarquer que tu ne devrais pas être trop impatient . Vous avez toute une soirée devant vous . Et puis , si tu veux , cela pourra même se prolonger jusqu'à demain matin . Tu es tout naturellement prêt à lui accorder un peu de ton temps demain au réveil . Ton visage se fend en un sourire  malicieux . Tu penches la tête sur ton épaule et tenant sa main entre tes mains musclées , tu déposes de nouveau un baiser sur celle-ci .

« Tu as absolument raison . Tu veux peut-être jouer un peu avant avec moi ? J'ai pour habitude de jouer avec la nourriture avant de la dévorer . » lances-tu , alors que ton visage se fend en un sourire malsain .

Riley a tout naturellement compris le message que tu cherchais à faire passer . Elle se met alors à courir à toute vitesse dans les couloirs . Tu esquisses un large sourire , prêt à jouer et te lances alors à sa poursuite . Vous traversez les salles , risquant parfois de renverser des commodes ou quelques montagnes de papiers posés en bord de tables . Tu réussis à l'immobiliser un instant contre le réfrigérateur .  Tu agrippes ses deux mains et les cloues au-dessus de sa tête . Elle est prisonnière . Un sourire triomphant s'étire sur tes lèvres fines . Alastair t'appelle . « Pas maintenant Alastair ! » cries-tu d'une voix étranglée . La fourbe . Elle profite de ce moment pour s'enfuir à toute vitesse . Décidément , ce sombre idiot a le don de t'interrompre quand il faut pas . A la fois amusé et agacé , tu coures après elle , essoufflé . Tu as un point de coté mais il est hors de question pour toi de t'arrêter . Tu détestes perdre et encore plus face à une femme . Tu continues ta course mais Riley semble s'être arrêtée . Elle contemple la pièce mal éclairée , un salon dans lequel tu n'as pas l'habitude de passer du temps . En fait , quand on y pense , il y'a certaines pièces dans lesquelles tu n'as presque jamais mis les pieds . Tu t'arrêtes juste derrière elle , et enroules tes bras autour de ses reins . Tu bascules vers l'avant la faisant tomber sur un divan ce qui lui arrache un rire cristallin . Tu te retrouves alors au-dessus d'elle . Tu souris d'une oreille à l'autre , le regard brûlant . Tu as gagné . La partie est terminée .  Elle s'avoue vaincue et te demande si tu as l'intention de la torturer ou de la libérer . Tu te grattes le menton faisant mine de réfléchir puis quelques secondes après , tu te penches pour lui susurrer quelques mots à l'oreille .

« Tu es à présent ma captive . » lances-tu , lascif et débordant de désir .

Une nouvelle partie commence , celle où tu prends les devants , celle où tu prends les commandes .  Le sang brûle tes veines . Ton visage reprend une expression sérieuse . Tu penches légèrement la tête . Tes lèvres frémissent . Tu presses tes lèvres fines contre les siennes et fermes les yeux . Tu souhaites à présent laisser libre cours à ton génie . Elle est à toi , elle s'est avouée vaincue . Tu es désormais prêt à faire ce qui te plaît , prêt à succomber au plaisir défendu .  Tu attrapes ses mains et les immobilises .  Ta langue serpente le long de son cou où tu finis par semer des baisers enflammés . Riley va avoir beaucoup de mal à se libérer de ton étreinte . Tu relèves la tête et plonges ton regard brun dans le sien .

« Je n'ai pas l'intention de te libérer . Je vais te torturer comme jamais . » ajoutes-tu , le regard flamboyant .
©clever love.


Dernière édition par G. Jafar Al Enezi le Jeu 12 Fév - 13:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (rilear) 》 and we’ll throw it all away. (rilear) 》 and we’ll throw it all away. EmptyVen 30 Jan - 11:10



and we’ll throw it all away.


Jafar est un homme de manières et très charmeur. Dès le début, tu t’es sentie conquise par son attitude de gentleman. Bien sûr, tu ne t’es pourtant pas laissée berner par cette apparence mielleuse, tu savais pertinemment que se cachait derrière ces apparents sourires pleins de fiel, un véritable serpent en recherche d’une prochaine proie. Lui résister n’a pas été bien difficile, ça a même été un jeu pour toi. Et il a vu ton rejet comme un défi. Une conquête. À l’époque, tu n’avais pas encore subi ta dernière opération et après ce qu’il s’était passé avec cet amour disparu, tu ne voulais pas réitérer cette même erreur une nouvelle fois. Alors tu t’es amusée avec lui, le laissant croire qu’il détenait les rênes d’un jeu dont tu contrôlais pourtant les règles. Et puis est arrivée cette première fois. Une expérience très étrange pour toi. Très intense aussi. Dire que tu n’as ressenti aucun plaisir serait mentir, il y a eu un véritable incendie dans tes reins. Mais ça n’en restait pas moins troublant. Troublant parce que tu restais un homme, là – à l’intérieur. Ton corps était peut-être désormais celui d’une jeune femme, tu n’en restais pas moins un individu de sexe masculin. Et dans ta tête, tout était si confus. La douleur se mêlait si bien aux questionnements intempestifs, l’angoisse faisait parfois place à de nouvelles envies. Et Jafar t’aidait, sans le savoir, à explorer ce terrain tout à fait inconnu pour toi – le plaisir féminin. Grâce à lui, tu as découvert des parties de ton corps dont tu ne soupçonnais absolument pas le potentiel ni l’existence et le brun s’est toujours montré très coopératif en matière de recherches ‘scientifiques’ à ce sujet. Mais ce soir, tu n’étais là que par simple envie. Pour le plaisir. Pour l’évanouissement de tes sens et l’oubli total de toi-même. Il est la réponse éphémère à ce mal qui te ronge depuis tant de temps. Tu aimes sa présence presque dangereuse, tu aimes son contact qui te brûle. Tu aimes ce jeu du chat et de la souris qui s’est installé entre vous presque de manière tacite. C’est amusant, divertissant. Avec lui, tu oublies que tu as encore une fois abandonné tes frères à la maison, tu oublies que ton cœur n’est plus qu’un amas de morceaux épars à l’intérieur de toi. C’est plus facile de se donner sans avoir d’espoirs derrière ; c’est plus simple de s’abandonner dans les bras de quelqu’un qui ne compte pas vraiment. Tu apprécies Jafar, sans pour autant l’estimer. Il est une distraction, il est un garde-fou. Tu ne lui ouvrirais jamais les portes de ton cœur parce que tu sais qu’il n’y a rien à espérer de cette relation sinon le plaisir de la chair. Un jour viendra, tout ce petit manège prendra fin et personne n’en sera blessé. Elle ne sera que la simple continuité de ce qui était, de toute évidence, voué à se terminer. Un final en douceur, sans heurt. En attendant, lui et toi profitiez l’un de l’autre en toute connaissance de cause. Pas d’attente, pas de sentiments. Rien que deux adultes pleinement consentants. Et ça te suffit amplement. Ça te suffit parce que tu as fermé ta cage thoracique à triple tour sans jamais avoir l’occasion de la rouvrir un jour. Tu ne veux plus de cette souffrance abominable, tu ne veux plus de ces larmes acides. Un cœur vide, voilà ce que tu es.

Essoufflée, tu t’es laissée allonger sur le grand canapé, le corps masculin brûlant au-dessus du tien. Tu frissonnes tout entière lorsque tu croises ce regard aussi acéré que les griffes d’un oiseau de proie. Le jeu du chat et de la souris est terminé – tu es devenue la souris, tu as été attrapée. Sa bouche s’empare de la tienne, le baiser est chaud et avide. Empli d’un désir qui s’inscrit jusque dans tes veines. Tu lâches un petit gémissement, ton corps s’arquant sous le sien. Les paupières closes, tu te laisses envahir par ce feu dévorant. Tu aimes la sensation de t’abandonner au moindre de ses désirs. C’est toujours aussi excitant, tellement que ça te tord délicieusement le ventre. Ses lèvres dérivent jusqu’à ton cou et tu enfonces un peu plus la tête dans les coussins pour lui offrir la chair blanche de ta nuque, presque en signe de soumission. « J’ai hâte de voir ce que tu me réserves alors, tu susurres d’une voix chaude tandis qu’il a bloqué tes poignets au-dessus de ton visage. » Sa poigne est ferme et tu gigotes un peu, comme pour essayer de te libérer. Quelque part au fond de toi, tu n’aimes pas vraiment cette position d’infériorité mais tu sens comme une excitation nouvelle qui se répand à l’intérieur de ton être par vagues brûlantes. Toi qui as toujours l’habitude de tout contrôler, de tout prévoir aussi. Dans ta vie, tout doit être organisé à la seconde près. Et voilà que tu te trouves à la merci d’un homme et que tu t’en trouves excitée en plus de cela. Le regard charmeur, tu lui offres un sourire faussement innocent avant de répliquer : « C’est parfois impressionnant tout ce que l’on peut faire rien qu’avec nos jambes. » Et tu entoures alors sa taille de tes cuisses galbées, amenant son bassin au tien dans un mouvement sec. Vos hanches se percutent et tu laisses échapper un glapissement sonore, tête renversée. Tu profites de l’effet de surprise pour faire glisser tes mains hors de sa poigne et les enrouler autour de sa nuque. D’une pression, tu l’amènes à toi et dévores sa bouche avec gourmandise, comme si elle était une friandise gorgée de sucre. Tu sens comme une coulée de lave en fusion qui te parcourt, calcine tes organes. Tout ton corps irradie de chaleur et tu halètes dans ce baiser presque indécent. Tu as une dernière pensée pour cet Alastair, le majordome de la maison, et tu espères qu’il n’est pas là quelque part, dans un coin de la pièce à vous observer sur ce canapé, puis ton cerveau se met en pause et tu arrêtes de réfléchir. Juste pour vivre l’instant et profiter de ses mains sur toi, de sa chaleur contre toi. Tu fais dériver tes doigts fébriles jusqu’à la chemise, défais la cravate noire sans pour autant la lui ôter, dégrafes un à un les boutons. Sa peau est brûlante sous ta paume. Le ventre est plat, ferme. Les muscles abdominaux se dessinent parfaitement, tu peux en suivre chaque plein et délié du bout de tes doigts. Tu t’accroches au dos puissant, musculeux et large, tes ongles coupés court griffant légèrement la chair brunie par le soleil. Tu n’aimes pas avoir les ongles longs, c’est quelque chose que tu détestes et que tu trouves handicapant.

« Ce serait mieux si nous n’avions pas cette couche de vêtements entre nous, tu ne crois pas ? tu souffles, la voix rocailleuse alors que tes mains ont buté contre la boucle de sa ceinture. » Tu te fais charmeuse, doucereuse. Un peu joueuse. La partie est loin d’être terminée et tu ne veux pas rendre les armes tout de suite. Pas maintenant. Dans ta nature profonde, tu es le genre de personne à toujours vouloir tout contrôler. Parce que c’est plus rassurant, parce que c’est comme une stabilité dans un quotidien un peu flou. Depuis ton arrivée à Fantasia Hill, c’est comme si tu ne possédais plus aucun pouvoir sur ta destinée. Tu ne contrôles même plus ton image, ce reflet que te renvoie le miroir. Et ça te fait peur, ça t’effraie. Ton existence est comme un château de cartes balayé par le vent. Tout s’est effondré. Et, peu à peu, tu essayes de tout remettre en ordre. Tu essayes de tout remettre à sa place. « Et si on passait aux choses sérieuses maintenant, monsieur Al Enezi ? roucoules-tu, le sourire coquin alors que tu as défait son pantalon à pince. » Ce n’est pas facile, ce n’est pas simple. Tu es perdu dans un monde qui n’est pas le tien, tu es affublé d’un corps qui ne t’appartient pas. Tout est confus, vague. Et, ce soir, Jafar semble être le seul point d’ancrage auquel tu peux t’accrocher de toutes tes forces. Comme un phare dans la tempête, comme une bouée de sauvetage. Comme une lueur dans l’obscurité. Elle ne durera pas, elle n’est qu’éphémère. Mais demain, tu seras plus fort. Tu auras retrouvé ton courage. Tu pourras retourner auprès de tes frères et reprendre ton rôle de chef de la fratrie. Mais pas ce soir, pas maintenant ; pas quand tu te sens si faible, si dépourvue de tout. Pas quand tu es si perdue. Sans savoir qui tu es, où tu vas. Sans savoir ce qui t’attend ici-bas. Ton avenir est trop incertain, ton présent est trop compliqué. Tu restes accroché à un passé qui ne semble même plus être le tien – est-ce que tous ces souvenirs sont-ils ceux d’une autre personne que celui que tu as été ? Pendant un instant, tu fermes les yeux comme pour faire taire le tumulte incessant de tes pensées embrouillées. Tu ne veux plus réfléchir à tout ça, tu veux oublier. Tu n’es plus Skipper désormais, plus pour le restant de la soirée. Tu es Riley, jeune femme sans histoire qui collectionne les amants pour réparer son cœur brisé. Mais peut-être que ce n’est pas elle la plus blessée, peut-être est-ce Skipper qui a été malmené ? Tout semble si compliqué.

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MessageSujet: Re: (rilear) 》 and we’ll throw it all away. (rilear) 》 and we’ll throw it all away. EmptyJeu 12 Fév - 13:47


riley&jafar ◮ and we'll throw it all away
Ses jambes fines s'enroulent autour de ton bassin comme un serpent qui piège sa proie avant de la dévorer , ce qui te pousse à lui donner involontairement un coup de rein . Tu te mets alors à rire d'un rire salace . Tu es étonné de la voir aussi impatiente , aussi débordante de désir . Il est vrai que cela fait un petit moment . De quand date votre dernier rendez-vous ? Cela doit faire très certainement un mois et demi . Tu ne sais plus exactement , tu as la mémoire qui flanche . Une lueur perverse scintille dans tes yeux sombres en voyant la jeune femme gesticuler . Son corps est secoué de quelques spasmes et se tord de désir . Tu frissonnes alors que ses doigts fins et glacés viennent se caler derrière ta nuque incandescente . Sans plus tarder , elle prend possession de ta bouche . Elle la gâte . Tu la laisses t'embrasser avec fougue , avec passion . Tes muscles se crispent délicieusement lorsque ta langue vient caresser la sienne . Tu  fermes lentement les paupières . Tu glisses une main sous sa tête pour attirer son visage vers le tiens et l'embrasse plus profondément . Tu ne songes pas à ce qui va – ou plutôt – à ce que risque de se passer par la suite . C'était comme si tu avais rangé toutes tes craintes dans une boîte afin que celles-ci ne viennent pas t'importuner dans un moment aussi intime . Tu le sais , ça risquerait de rompre le charme .

Tu te retires lentement et la fixes d'un regard intense . Ses yeux clairs t'hypnotisent . Tu pourrais mourir pour ce regard . A Agrabah , peu de gens avaient les yeux clairs . C'était quelque chose d'extrêmement rare . Seuls quelques petits chanceux pouvaient se vanter d'avoir les yeux clairs . Tu pourrais contempler son regard de braise encore longtemps mais une petite voix dans ta tête te rappelle l'objet de sa visite . Alors tu cèdes une nouvelle fois . Tu penches lentement ta tête vers la sienne et fermes les yeux . Tes lèvres fines viennent glisser le long de sa joue . Tu sèmes des baisers enflammés par-ci , par-là . Soudain , une petite idée te vient à l'esprit . La bouche entrouverte , tu tends alors ta langue bifide ,  et lèches sa joue qui s'empourpre . Ta langue fourchue et pleine de mauvaises intentions se tord et serpente le long de son cou parfumé . Tu sens la cravate moins serrée autour de ton cou . Les mains fragiles de la jeune brune déboutonnent ta chemise . Ton corps est parcouru de frissons alors que sa paume encore fraîche vient se poser délicatement sur ton ventre brûlant . Tu regardes alternativement la ravissante brune aux lèvres pulpeuses et sa main qui visiblement a marqué son territoire sur ton ventre légèrement hâlé . Tu relèves lentement la tête alors que ses ongles fins viennent griffer la chair de ton dos musclé et courbé . Tu grimaces légèrement . Afin de te faire oublier cette sensation désagréable , tu te précipites et l'embrasses vigoureusement en enfonçant à nouveau ta langue dans sa bouche . Tu es de toute évidence concentré et ne prêtes même pas attention aux petits gémissements que tu lui arraches . Elle est désormais ta captive et tu es déterminé à prendre possession de chaque centimètre de sa peau laiteuse . Elle vient souffler quelques mots à ton oreille . Une proposition certes indécente mais qui a le don de faire monter en flèche le désir qui brûle en toi . Ses mains fines et osseuses glissent le long de ton ventre et défont ton pantalon à pince . Tu te redresses brusquement , à califourchon sur la dénommée Riley . Elle te regarde l'air quelque peu surpris . Tu la fixes , l'oeil assombri par le désir . Tu déboutonnes les derniers boutons de ta chemise et la retires . Tu la jettes ensuite sur le tapis posé juste devant le divan . Tu te penches légèrement pour faire glisser ton pantalon jusqu'à tes chevilles musclées et le retires entièrement . Tu le jettes ensuite par-dessus de le divan histoire d'en être débarrassé une bonne fois pour toute . Te voilà à présent à moitié nu , avec pour seul vêtement un boxer laissant apparaître l'organe qui illustre l'envie qui brûle en toi depuis déjà un petit moment . Tu tends tes mains vers les siennes l'obligeant à se redresser légèrement . Ton menton vient se lover dans le creux de son épaule tandis que tes mains musclées dézippent lentement sa robe . Tu en profites pour déposer des baisers passionnés et brûlants sur son épaule . Son corps te fascine . Tu t'arranges pour faire tomber l'unique bretelle de sa robe . Tu l'aides à s'allonger de nouveau et te charges de lui ôter cette robe qui aurait dû être enlevée depuis un bon moment selon toi . La voilà en petite tenue . Elle est appétissante . La voir aussi dépourvue , aussi impuissante te procure une sensation grisante .  Comme la première fois , c'est toi qui tiens les rênes . Tu te penches entièrement , ton corps  incandescent recouvrant le sien . Tes mains musclées se referment autour de ses poignets minces . Tu l'embrasses encore et encore tout en ondulant des hanches . La partie la plus virile de ton corps s'impatiente . Ton sang s'enflamme . Tu écrases tes lèvres bouillonnantes contre les siennes . Tu fais ensuite courir un collier de baisers fougueux jusqu'à son menton , puis son cou avant de glisser jusqu'à sa poitrine . Tu relèves la tête , le regard flamboyant .
Son corps est à présent chaud , presque aussi chaud que le tiens .

« Maintenant que j'y pense , je ne t'ai pas proposé à boire . Je me sens honteux » commences-tu d'un ton faussement navré . « Je peux t'offrir un verre ? Sauf si tu as d'autres propositions pour que je puisse étancher ta soif . Je t'écoute , je suis tout ouïe » finis-tu d'une voix chaude et séductrice .
©clever love.
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