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 (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind

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S. Mirage Caldwell

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S. Mirage Caldwell
J'ai posé bagages ici le : 22/01/2015 Jouant le rôle de : Mirage (les Indestructibles) Nombre de messages : 97 On me connait sous le pseudo : Atomic.Sky. Un merci à : caius (mon syndrome adoré) Je suis fier(e) de porter l'avatar de : Taylor Momsen
MessageSujet: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyVen 13 Fév - 21:35

I know that we were made to break. So what? I don't mind
I know that we are upside down so hold your tongue and hear me out? I know that we were made to break. So what? I don't mind. You kill the lights, I'll draw the blinds, don't dull the sparkle in your eyes I know that we were made to break. So what? I don't mind. Are you gonna stay the night ? Are you gonna stay the night? Doesn't mean we're bound for life so oh oh oh, are you gonna stay the night?
Elle ajusta son chemisier tout en s'observant dans le reflet de son miroir. Tournant sur elle même, s'observant sous toutes les coutures, elle appréciait l'image renvoyée par ce reflet à la lueur du soleil matinal qui perçait par sa fenêtre. Oui, elle ne pouvait le nier, elle se trouvait très belle. Mirage avait toujours été ainsi. Dans son ancienne vie comme dans la nouvelle: elle s'aimait beaucoup, rien n'avait changé. Avec un sourire coquin, elle décida d'ouvrir un bouton du chemisier blanc qu'elle venait d'enfiler, s'offrant un décolleté un peu plus généreux sans passer dans le vulgaire: elle avait beau faire des choses peu recommandable, elle tenait à garder sa classe naturelle ! Lissant sa jupe noire, elle parcourut quelques mètres, quittant sa chambre, pour aller enfiler sa paire d'escarpin fétiche non sans passer devant un nouveau miroir dans le couloir menant à la grande pièce à vivre. Se souriant à elle même, elle attrapa à la va-vite son sac à main et sa veste et quitta son appartement à la hâte. C'était un matin comme un autre, en semaine: elle avait rendez-vous avec Kyle pour travailler durant la matinée et, l'après-midi, elle se chargerait surement des tâches qui nécessiteraient de se salir les mains ... Ou d'agir avec un peu de sensualité. Cela ne gênait pas plus que cela d'agir comme la poupée de Kyle: ils étaient deux grands ambitieux, s'aimaient tous les deux beaucoup, non pas l'un envers l'autre mais bel et bien envers eux même avant tout. Elle quitta le quartier nord de Westwood Center Way pour se rendre vers Spacegreen Cross où se trouvait la maison de son patron. Elle se moquait des regards se posant sur elle, regardant son téléphone avec attention pour retenir les rendez-vous qu'elle devait annoncer à Kyle, les gens qu'elle devait appeler et les cafés qu'elle avait programmé avec des connaissances avec qui elle se devait de garder contact. Mirage s'arrêta au Coffee Nutt, escale habituelle de son parcours quotidien où elle commanda, avec une indifférence totale pour la jeune femme lui faisant face, deux cafés comme elle en avait prit l'habitude. Elle paya, toujours sans un regard pour la pauvre serveuse qui lui envoyait des sourire poli et sortie de la boutique dans une attitude toujours plus glaciale.

Elle avait toujours trouvé que Spacegreen Cross était un endroit charmant, si l'on omettait qu'il ne s'y passait jamais rien. Elle n'avait jamais été une adepte de la nature: elle aimait les vacances dans de beaux endroits, mais pour choisir un endroit ou vivre, elle préférait amplement le confort du centre-ville et ses ambiances survoltées une fois la nuit tombée. Mirage soupira alors qu'elle entrapercevait, enfin, sa destination: marcher n'était pas son activité préférée non plus, mais elle n'avait pas envie d'attendre des heures qu'un taxi s'arrête et Kyle n'était pas du genre à attendre une ponctualité stricte, bien qu'elle ait mis un point d'honneur à toujours arriver à la même heure, se moquant de savoir si elle dérangeait son patron dans sa grasse matinée ou pendant son petit déjeuner. Elle n'avait pas de clé de la grande bâtisse, mais la plupart du temps, une porte était toujours ouverte et elle parvenait à rentrer sans trop de mal. Kyle ne lui avait jamais proposé de vivre avec lui ... Ni le jour où ils se retrouvèrent, ni même plus tard. Elle s'en était grandement offusquée, au début, vexée de ne pas être suffisamment importante aux yeux de son ancien amant pour qu'il se montre charitable mais, à présent, elle se rendait compte que cela serait une erreur monumentale. Elle avait beau se sentir très concernée par les ambitions de Kyle, peut être un peu trop d'ailleurs, elle savait qu'il était impossible pour eux de rester trop longtemps l'un avec l'autre. Ils avaient des caractères bien trop explosifs pour qu'une simple colocation fonctionne ... Par chance, cette fois, la porte d'entrée était déjà ouverte et la blonde entra sans même frapper, ses gobelets en carton dans les mains. « Debout la dedans. » dit-elle d'une voix forte en déposant son sac contre un mur pour retirer sa veste. Un bruit de mouvement se fit entendre sans qu'elle ne relève les yeux des deux gobelets. «Tu as de la chance, la serveuse n'était pas trop empotée cette fois et il n'est ni sucré, ni lacté. Bref pas de raison de râler cette fois. » Elle avait à coeur qu'il soit de bonne humeur dès son arrivée: un Syndrome en colère était la dernière personne qu'elle voudrait rencontrer au réveil.
crackle bones


Dernière édition par S. Mirage Caldwell le Lun 2 Mar - 11:55, édité 1 fois
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Kyle S. Swann

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Kyle S. Swann
J'ai posé bagages ici le : 21/12/2014 Jouant le rôle de : syndrome, le méchant roux et machiavélique. #teamindestructibles. Nombre de messages : 445 On me connait sous le pseudo : caius (nico). Un merci à : paper.moon (avatar) pétulia (signature), textes profils (caius, damien saez) Je suis fier(e) de porter l'avatar de : nicholas caradoc "badass" hoult.
MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptySam 14 Fév - 20:06


i know that we were made to break. so what ? i don't mind.
kyle&&mirage








J’ai interdis à Mirage de venir tôt dans la matinée à la maison. La première raison étant que je n’aime pas me lever de bonne heure ; j’aime dormir un maximum de temps afin de profiter d’un peu plus d’heures de sommeil qui me sont si chères. La seconde raison est encore plus évidente : je refuse qu’elle sache que je me suis remis avec Shin et comme ce dernier doit aller travailler tôt, elle ne le croise donc pas en sortant de chez moi. J’ai été très clair sur ce point-là, pas avant neuf heures du matin. Elle sait très bien que si elle désobéit, elle risque gros ; bien plus que de perdre son emploi. Elle me connaît, elle connaît mes antécédents, et la violence qui m’habite. Certes la présence de Flèche dans ma vie me permet de m’adoucir un peu, elle est et elle reste ce défouloir, cet exutoire. Je peux me lâcher avec elle et recracher toute cette rancœur qui m’habite, toute cette rage de vivre qui me caractérise. Je sais également que de toute manière elle reviendra toujours vers moi pour la simple et bonne raison qu’elle est amoureuse de ma personne. Elle ne le sait juste pas, elle ne s’en rend pas compte, mais cet attachement qu’elle ressent à mon égard n’est rien d’autre que cela, de l’amour. Toujours l’amour, comme quoi ça rend les gens vraiment con toutes ces conneries. Je suis devenu con, faut le dire, être en couple avec Shin me le prouve, je souffre, je suis heureux, je l’aime et après, où est-ce que ça va nous mener ? A rien, à part partager le même toit, s’engueuler dès que quelque chose ne va plus.

Je suis donc réveillé depuis environ une heure, j’ai eu le temps de prendre ma douche, de déjeuner comme le souhaite celui qui désormais partage ma vie, de donner mes instructions à mon domestique pour qu’il nettoie et range les choses correctement dans la villa et j’ai déjà commencé à faire quelques papiers importants. Oui tout cela en une heure, mais quand je m’y mets, je suis une turbine généralement. La seule chose que je n’ai pas fais, c’est m’habiller, oh non, je ne suis pas nu pour une fois, j’ai enfilé un simple caleçon. Mais il serait peut-être temps que je me décide à aller me vêtir correctement. J’enfile un simple chandail bleu clair ainsi qu’un jean slim de couleur vert bouteille plutôt très foncé avant de mettre mes chaussures en daim marron chocolat. Ainsi prêt, quelque chose me dit qu’aujourd’hui, j’ai envie de me prendre la tête avec Mirage, et je sais exactement quoi faire. Je vais donc chercher mon domestique avant de lui donner un ordre très simple. « Dispose des affaires de Shin un peu partout de façon rangée, ses chaussures non loin de la porte, sa veste au porte-manteau, soit inventif, tu as cinq minutes pour le faire. » Quand je lui donne un timing, il sait que généralement, cela lui rapporte de l’argent en plus, eh bien oui, c’est un peu le principe de la carotte et de l’âne.

Je m’installe sur la table tout en attendant qu’elle arrive. Elle ne sera pas en retard, elle ne l’est jamais et il vaut mieux pour elle, elle le sait pertinemment. Oh non, n’allez pas dire que je suis un tortionnaire, pare que vous serez bien loin de la véracité, je suis bien pire que cela, je suis un vrai monstre et elle seule connait mon véritable visage dans ce monde, elle seule l’a déjà vu et l’a déjà testé. Je finis par entendre la porte d’entrée s’ouvrir, ça ne peut-être qu’elle, il n'y a qu'elle qui ose. « Debout la dedans. » Je suis déjà réveillé, et elle le sait, pourtant à chaque fois, elle le dit, simplement parce que je lui fais croire que je me suis levé tard, mais pas aujourd’hui, parce que cette fois-ci c’est différent. Je vais la chercher dans le hall d’entrée et souris d’un air amusé quand je vois les cafés qu’elle a dans les mains, comme tous les matins. « Tu as de la chance, la serveuse n'était pas trop empotée cette fois et il n'est ni sucré, ni lacté. Bref pas de raison de râler cette fois. » Le pire c’est qu’elle me connait par cœur, elle sait les moindres de mes goûts. J’attrape les gobelets et la laisse retirer sa veste pour l’accrocher au porte-manteau qu’elle prend tout le temps, celui juste à côté de celui où se trouve le blouson de Shin. Je n’accorde pas d’importance à cela, autant jouer la carte de l’indifférence. La connaissant, elle va voir immédiatement qu’il y a quelque chose de nouveau, que ça a changé, qu’elle n’est plus la seule à être entré dans cette demeure. Je ne prends même pas la peine de la remercier pour les gobelets, je file m’installer sur la table et attend qu’elle me rejoigne.

Je regarde les papiers, ce matin on a du boulot, il faut qu’on réfléchisse à des accords, qu’on tente de trouver un lieu où l’on pourrait ouvrir un nouvel hôtel, un lieu qui serait rentable et où les frais de constructions seront minimes. Nous devons réfléchir à un tas de choses pour lancer la construction d’un seul établissement. Nous sommes déjà ouverts un peu partout dans le monde, sur chaque continent, mais j’envisage quelque chose d’encore plus poussé, il faudrait que l’on s’implante réellement dans chaque pays avec des hôtels plus ou moins luxueux afin de toucher un maximum de public pour rentabiliser mon entreprise. Et également, elle doit me tenir informé de pas mal de choses, mes futurs rendez-vous professionnels, les appels que j’ai loupés vu qu’elle prend tous ceux auxquels je ne réponds pas, et d’autres formalités de ce type-là. « Alors, mettons-nous au travail. » Pas même un bonjour, pas même un comment tu vas. Non rien de tout cela, je me contente juste de boire une gorgée de ce café corsé qui me permet de définitivement émerger du sommeil, d’effacer toute trace de fatigue. Nous sommes enfin prêts à commencer nos tâches de la journée. « Il faut que l’on réfléchisse à nouvel endroit pour un nouvel hôtel, d’ailleurs j’ai des nouveaux rendez-vous de programmés ou pas ? » Oui je n’y vais pas par quatre chemins. Après tout cela ne sert à rien de s’encombrer avec des formalités à deux balles, nous sommes là pour travailler, par pour glander et parler comme si nous étions véritablement amis. Je n’ai aucun ami, je n’ai que des pions et Shin qui occupe une place particulière dans ma vie. Je darde sur elle un regard plutôt sardonique avant d’attraper mon téléphone portable et de regarder mes emails, rien de nouveau pour le moment. Après avoir reposé mon appareil, mes doigts se portent par habitude autour de mon cou, autour de la chaine que Flèche m’a offert alors qu’on était ensemble la première fois, chaine que j’avais refusé de remettre et la voilà de nouveau autour de mon cou.

electric bird.
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S. Mirage Caldwell

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S. Mirage Caldwell
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MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyMar 17 Fév - 19:43

I know that we were made to break. So what? I don't mind
I know that we are upside down so hold your tongue and hear me out? I know that we were made to break. So what? I don't mind. You kill the lights, I'll draw the blinds, don't dull the sparkle in your eyes I know that we were made to break. So what? I don't mind. Are you gonna stay the night ? Are you gonna stay the night? Doesn't mean we're bound for life so oh oh oh, are you gonna stay the night?
Lorsqu'elle vivait sur l'ile, avant la prison et tous les petits désagréments qu'elle avait pu connaitre, elle avait déjà pris l'habitude de materner Syndrome. On lui avait toujours dit qu'elle avait un grand sens de l'observation et c'était sans doute pour cette raison qu'elle s'en était si bien sortie dans sa carrière: cela lui permettait d'anticiper les envies et besoin de la diva qui lui servait de patron. Il n'avait pas tellement changé dans cette vie: elle se doutait bien qu'il devait avoir son jardin secret, mais elle fonctionnait toujours de la même manière. Ce qu'elle remarqua en premier fut une veste. Ce n'était pas vraiment le style de Kyle et son cerveau tilt immédiatement. Se mordant l'intérieur de la joue, elle réfréna l'envie de piquer sa crise. Ce n'était ni le moment, ni l'endroit. Mirage craignait souvent ses crise de colère: elle ignorait si c'était de la jalousie mais, dans ces cas là, elle ne perdait jamais l'occasion de lui hurler dessus, de tout jeter par terre et cela finissait généralement en crise de larme, en session de boudage d'environ 3 jours où elle se contentait de faire son travail en lui envoyant des SMS.  Elle décida donc de prendre sur elle et déposa sa veste, se retournant pour lui faire face avec un grand sourire. Il attrapa les gobelets sans un mot sans qu'elle ne s'en offusque: le contraire aurait été surprenant ... Inspirant profondément, elle tenta de reprendre son calme avant de le suivre jusqu'à la table où il s'installait déjà. « Alors, mettons-nous au travail. » Elle haussa un sourcil face à son indifférence total. En temps normal, elle ne se serait pas plus étonnée que cela mais associé à la veste et aux quelques trucs habituellement rangés qui trainaient de ça, de là ... Levant les yeux aux ciel, elle s'installa, sortant le carnet de rendez-vous qu'elle ne quittait jamais et son porte documents. « Il faut que l’on réfléchisse à nouvel endroit pour un nouvel hôtel, d’ailleurs j’ai des nouveaux rendez-vous de programmés ou pas ? » lui demanda-t-il sans même la regarder.

Affligeant. Remarqua-t-elle alors qu'il avait les yeux rivés sur son téléphone. Elle attrapa son carnet qu'elle ouvrit brutalement à la page du jour, il arrivait à bout de sa patience. Et de bon matin, c'était vraiment pas le bon plan ... « Hum deux rendez-vous à la suite cet aprem. Un fournisseur et un potentiel investisseur ... Mais je devrais peut être chargé un peu plus ton emploi du temps ... » prononça-t-telle d'un ton acide. « Je ne voudrais pas que tu te sente trop ... Oisif ! » Elle referma le carnet avec fermeté. Voilà. C'était sortit. Evitant soigneusement le regard du jeune homme elle attrapa son téléphone, faisant mine de chercher un contact: elle savait qu'il ne laisserait pas passer ce genre de commentaire. D'ordinaire, elle évitait de regarder la vie privé de son patron: déjà parce que cela lui faisait beaucoup de mal mais aussi parce qu'il avait une sainte horreur qu'elle fourre son nez partout. « En tout cas, il en faut bien une qui bosse ici, j'ai le contrait que tu voulais » Elle sortit une liasse de feuilles de son porte document qu'elle laissa glisser jusqu'à Kyle. « Mais je suis rassurée de ne pas être la seule qui COUCHE pour les affaires ... » Elle se doutait bien que les relations qu'il avait n'avaient rien à voir avec le boulot, mais c'était trop tard, elle commençait à criser et cela ne laissait rien présager de bon. Surtout pour elle.
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Dernière édition par S. Mirage Caldwell le Lun 2 Mar - 11:55, édité 1 fois
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Kyle S. Swann

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MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyVen 20 Fév - 13:52


i know that we were made to break. so what ? i don't mind.
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Parfois, je me dis que je suis un bel enculé quand même. A faire des coups comme ça aux gens qui m’entourent, je devrais peut-être revoir ma façon d’être et d’agir, mais je trouve ça drôle. Je veux dire, jouer avec les nerfs des gens, leur faire peur, les torturer psychologiquement, c’est ça qui me plaît, une meilleure façon de faire ressortir cette méchanceté qu’il y a en moi que d’aller chercher une vengeance vaine envers la famille Parr. Puis il ne faut pas oublier que c’est Mirage la cause de ma mort, c’est de sa faute si je suis décédé, tout aurait marché si elle n’avait pas aidé les Indestructibles. Depuis que j’ai appris ça, je me suis mis en tête de la faire payer, elle ne sera pas heureuse, elle restera à moi et je ferais tout ce qu’il faut pour qu’elle n’ait pas accès au bonheur, dussé-je me salir les mots pour cela. Non, elle m’a détruit, à moi de le faire, je vais la détruire de façon à ce qu’elle ne se relève pas. C’est déjà en route, elle porte les traces des coups que je lui porte, mais elle ne dit rien et je sais exactement pourquoi. Figurez-vous que Mirage est amoureuse de moi, c’est drôle non ? Elle sait très bien que je n’aime que les hommes, mais pourtant elle semble être délibérément folle de moi, chose dont je me sers contre elle pour la briser, je la laisse croire, pour finalement mieux la briser dans ce qu’elle pourrait croire possible entre nous deux. Là, j’ai joué le grand jeu, j’ai fait en sorte de modifier mon train-train habituel, et elle sait à quel point je déteste cela, il faut que tout soit absolument rangé, mon domestique sait que sinon je m’énerve rapidement. Mais là, j’ai fait exprès de lui demander de mettre des affaires de Shin en évidence pour qu’elle comprenne que je ne suis plus seul dans ma vie, encore un moyen de la briser un peu plus. C’est tellement facile en prime, j’aime réellement lui faire du mal, ce n’est pas qu’un simple lobby, c’est devenu une sorte de vice passionnel, et je suis persuadé qu’elle revient et en redemande à chaque fois parce qu’elle pense qu’il vaut mieux cela plutôt que je l’ignore. Quelle pauvre petite chose insignifiante, si elle savait qu’à mes yeux elle ne représente strictement rien et que je pourrais la tuer sans aucun état d’âme. Elle ne sera plus aussi attachée à moi, bien que ça ne veuille rien dire, je sais qu’elle m’a dans la peau et ça me fait rire. C’est pour cela que je joue l’air détaché pour qu’elle ne puisse rien croire, mais qu’en même temps je la titille de temps à autres pour que justement qu’il y ait une lueur d’espoir, lueur qui a dû s’éteindre ou se raviver en constatant que quelqu’un partage ma vie désormais.

Je lui demande alors sans la remercier pour les cafés s’il y a des nouveaux rendez-vous que je dois prendre dans la journée, parce que tous les jours c’est ça, mes après-midis je les passe avec des entrepreneurs qui souhaitent investir dans mon entreprise et acheter des actions, actions qui leur rapportent, enfin pas autant qu’à moi. Je sais que j’ai touché Mirage, ça se voit, alors petite blonde, sort ton venin. « Hum deux rendez-vous à la suite cet aprem. Un fournisseur et un potentiel investisseur... Mais je devrais peut être chargé un peu plus ton emploi du temps ... » Oh, je sens que ça promet aujourd’hui. Son petit ton acide et venimeux laisse présager qu’elle est en colère, que la petite femme fluette sort de ses gonds et qu’elle est prête à me sauter au cou pour me faire du mal. Vas-y frappe moi, je n’attends que cela. « Je ne voudrais pas que tu te sente trop ... Oisif ! » Je me mets à rire et je suis légèrement surpris quand je vois qu’elle claque son cahier pour le refermer. Oui, c’est plutôt inhabituel de la voir s’énerver ainsi. Mais en même temps, je trouve ça intéressant. « Que serait la vie si l’on ne s’amuse pas ? » Je la cherche, je sais, je ne devrais pas, mais je le fais quand même. Je clôture mes propos en attrapant mon gobelet de café, j’en bois une gorgée, elle a raison, elle n’était pas empotée la serveuse, pour une fois il est parfait. Je dois cependant admettre que mon adjointe, et souffre-douleur y met du sien pour que je sois satisfait. « En tout cas, il en faut bien une qui bosse ici, j'ai le contrait que tu voulais. » Je souris, elle est parfaite, enfin pour une femelle. Même si pour moi la perfection se trouve plutôt du côté des hommes. Mais j’admets qu’elle me surprend quand même. Elle sort la liasse de feuille de ses affaires avant de me la glisser. Seulement, je sens que ce n’est pas tout. Continue la vipère, montre les crocs. « Mais je suis rassurée de ne pas être la seule qui COUCHE pour les affaires... » Tout n’est qu’emportement, alors j’attends, montre ce dont tu es capable.

Je me mets à rire en attrapant mon téléphone portable qui est posé sur la table, je regarde mon fond d’écran et glousse de rire, si elle savait la vérité, elle comprendrait rapidement que je ne couche plus pour le travail, ça c’est son domaine comme elle vient de le dire. Non, moi, je ne le faisais que pour mon bon plaisir, maintenant je tente de ne plus le faire, je viens de me remettre avec Flèche, hors de question de tout gâcher pour des sottises pareilles. « Non, ça c’est ton job poupée. » Regard lubrique, voix amusée, visage qui exprime le jeu. Je veux simplement qu’elle sorte de ses gonds, quoi de mieux que la provocation ? Je finis par lui montrer mon fond d’écran, qui n’est rien d’autre que Shin entrain de dormir à poings fermés dans mes draps. Mange ça, comprends que ce n’est pas possible. « Mais si tu veux une augmentation, ça doit se négocier tu sais… » Je glisse mon regard vers son décolleté, j’avoue que les formes féminines ne me dérangent pas, ce n’est pas mon trip, mais j’ai fait ça avec des femmes. Avec elle par exemple, dans l’ancien monde où nous vivions, elle sait déjà tout de moi, elle sait absolument tout et c’est bien la seule d’ailleurs. « A moins que tu préfères les vieux bonshommes avec les cheveux gras et une bedaine prononcée avec qui tu es obligée de prendre du plaisir pour signer des accords… » Encore une fois, je la rabaisse pour lui montrer qu’ici c’est moi le maître. Je ne monte même pas le ton, je reste toujours neutre, c’est la meilleure façon de toucher quelqu’un de toute manière, jouer la carte de l’indifférence, ça blesse toujours plus de toute manière. J’attrape les papiers qu’elle m’a passé et les mets sur le côté, je les mettrais dans le trieur tout à l’heure. Je prends ensuite son carnet avec les rendez-vous de la journée où je dois être présent afin de tout noter, heure, lieu, personne pour pouvoir préparer attentivement ce que je dirais pour les faire plier. « D’ailleurs, tu viendras avec moi pour les rendez-vous, peut-être qu’une jolie femme déliera les liasses de billets. » L’ultime provocation, je la regarde avec un petit sourire en coin tout en attrapant un joint qui se trouve sur la table avant de le glisser dans mes lèvres et de l’allumer.

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MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyLun 2 Mar - 11:54

I know that we were made to break. So what? I don't mind
I know that we are upside down so hold your tongue and hear me out? I know that we were made to break. So what? I don't mind. You kill the lights, I'll draw the blinds, don't dull the sparkle in your eyes I know that we were made to break. So what? I don't mind. Are you gonna stay the night ? Are you gonna stay the night? Doesn't mean we're bound for life so oh oh oh, are you gonna stay the night?
Il n'y avait pas de mot pour décrire l'agacement qui se propageait dans tout son être à l'instant où il posait les yeux sur elle. Elle ignorait pourquoi elle se laissait faire. Elle avait besoin d'un boulot, certes, mais cela ne s'arrêtait pas là. Kyle avait toujours été le centre de son monde: elle savait qu'elle serait perdue s'il n'était pas là. L'ambivalence des sentiments qu'elle éprouvait pour lui, l'aimant et le haïssant à la fois, exacerbait sa personnalité. C'était pour montrer à ce connard qu'elle était capable de survivre malgré tout ce qu'il pouvait lui faire qu'elle se battait ainsi et c'était cette rage qui lui donnait la force d'avancer chaque jour. Son existence entière était construite sur cette base négative ... Il fallait s'attendre à ce que ça explose ainsi. « Non, ça c’est ton job poupée. » Elle ne cessait de se répéter intérieurement combien il l'agaçait, prenant un peu plus sur elle pour ne pas lui hurler dessus. Cela se voyait au petit air satisfait qu'il arborait: il n'attendait que ça. Ce mec était un vrai timbré, elle le savait. Elle ne voulait pas lui donner la satisfaction de la voir s'enflammer si vite. Non, il faudrait qu'il y mette vraiment du sien cette fois ...  « M'appelle pas comme ça ... » grogna-t-elle. Elle ne supportait pas qu'il la surnomme ainsi. Comme si elle lui appartenait. Bien sur, elle savait qu'il pouvait faire n'importe quoi d'elle: il n'y avait qu'à voir quel type d'extra il lui faisait faire pour se rendre compte du degré malsain de leur relation ... Pourtant, elle ne disait rien. Acceptant silencieusement son sort sans rien dire. Mais elle n'aimait pas qu'il le lui rappelle. Il la connaissait trop bien. Ça l'agaçait encore plus. « Mais si tu veux une augmentation, ça doit se négocier tu sais… » Elle ne releva pas. 9a ne servait à rien: l'un comme l'autre savait qu'il y avait eut bien plus que des relations professionnelles entre eux. Même si cela n'était plus d'actualité, elle ne pouvait l'envoyer sur les roses à cause de cette petites piques. « A moins que tu préfères les vieux bonshommes avec les cheveux gras et une bedaine prononcée avec qui tu es obligée de prendre du plaisir pour signer des accords… » Elle lui envoya un regard assassin. C'était bas. Même venant de lui. Elle avait cette partie du boulot en horreur, ce n'était pas un secret. « D’ailleurs, tu viendras avec moi pour les rendez-vous, peut-être qu’une jolie femme déliera les liasses de billets. » Elle se sentait proche du point de non retour. Il voulait la guerre ? Il allait l'avoir !

Elle recula sa chaise, se relevant doucement, la tête haute. Elle lui arracha le carnet des mains, le fourrant violemment dans son sac, réunissant le reste de ses affaires en silence. Il pouvait toujours rêvé pour qu'elle fasse quoi que ce soit aujourd'hui ! Elle venait de décider de prendre sa journée: elle allait rentrer chez elle, travailler en solo histoire de pas empirer la situation et elle irait faire la fête. Comme tous les soirs. Et essaierait de trouver quelqu'un pour lui faire oublier combien cette ordure l'agaçait. « Qui sait ... » Commença-t-elle d'une voix glaciale. « ... C'est peut être parce qu'ils savent mieux s'en servir que toi. » La bombe était lancée. Provoqué l'orgueil chatouilleux de Kyle n'était forcément l'idée du siècle. Elle attrapa son téléphone resté sur la table et foudroya le jeune homme du regard. « T'sais quoi ? T'as qu'à emmener ton nouveau joujou cet aprem ... Je suis sur qu'il sera ravie de voir à quel point tu peux être con ! » Elle fit demi tour, bien décidé à quitter l'endroit et à aller vider les rhumeries de tous l'alcool disponible dans leur réserve. Et puis elle irait voir Zarina pour médire sur les hommes. Et après elle aviserait.  
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Kyle S. Swann

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MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyLun 2 Mar - 16:48


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La complexité de ma relation avec Mirage est telle que moi-même je ne la saisis pas en entier. Je suis irrémédiablement attaché à elle. D'une façon ou d'une autre, elle fait parti de ma vie et elle n'en sortira pas tant que je ne l'aurais pas décidé, mais je sais également que de son côté elle est liée à moi par bien plus qu'un contrat. Elle n'arrive pas à faire un trait sur ce que l'on a vécu dans notre ancienne vie, dans le dessin animé. Nous étions deux amants, deux personnes dans l'ombre, des méchants qui auraient été à craindre. Puis elle m'a trahis, au nom du bien, au nom de la lumière et de la beauté d'une famille et de l'amour que cela provoque. Si je suis mort, c'est par sa faute, et jamais je ne lui pardonnerai, alors oui, je suis attaché à elle, mais je prends un vicieux plaisir à la briser, à faire en sorte qu'elle ne soit rien d'autre à mes yeux qu'un pantin articulé que je peux utiliser à ma guise. Et l'attachement qu'elle me porte me permet de le faire avec brio. Elle ne dit rien parce qu'elle a peur que je ne l'abandonne, elle ne veut pas de cela. Elle préfère souffrir plutôt que savoir que je ne lui apporte aucune importance. En réalité je pourrais facilement me passer d'elle et l'évincer de ma vie, mais ce ne serait pas drôle et j'ai bien besoin d'un défouloir désormais.

C'est pour ça que je m'amuse à la provoquer, pour qu'elle s'énerve afin de pouvoir bien plus la briser, de lui montrer que tout est de sa faute et qu'elle ne mérite que ce qui lui arrive. Elle est un peu longue à la détente, mais il ne faut pas lui en vouloir, elle est blonde et c'est une femme. Oh, je sais que je fais mouche, qu'à chaque fois que je l'attaque comme ça, c'est une véritable piqûre qu'elle se prend et le produit que je lui injecte c'est la rage et la colère. Je sais que je vais finir par réussir à semer le doute dans sa vie, que je vais réussir à devenir pire qu'une drogue pour elle. Au final, elle ne pourra plus se passer de moi, elle sera obligée de revenir, parce que je serais indispensable, que je serais comme son oxygène, sans moi, elle ne pourrait vivre. C'est ça que je veux, je veux aussi la priver de tout bonheur, je veux qu'elle soit malheureuse et qu'elle ne sache pas ce que c'est de pouvoir être réellement heureuse dans ce monde qui lui offre une seconde chance. Mais une seconde chance c'est inutile, on ne peut pas y croire, on ne change pas, on ne change jamais, on reste toujours quel on est, on vit juste avec et on fait semblant. Je parle en connaissance de cause, je ne change pas, je suis toujours le même, mais je l'extériorise bien différemment. La preuve en est avec elle.

Elle finit par prendre la mouche, et claque ses affaires, elle recule sa chaise, récupère son dossier et le fourre dans son sac d'un geste rageur. Je vois à son visage qu'elle n'est pas contente, qu'elle est énervée. Oh mais laisse tout sortir Mirage, crache ton venin comme la sale vipère que tu es en réalité. Montre moi le sombre qui sommeille autant en toi qu'en moi. « Qui sait… C'est peut être parce qu'ils savent mieux s'en servir que toi. » Un sourire amusé apparaît sur mes lèvres, non mais elle ne sait pas de quoi elle parle. La plupart de nos clients ne sont tout simplement pas intéressés par les hommes et je ne crois pas que leur forcer la main est une bonne idée, je ne peux donc pas m'en charger tout seul et elle croit donc que si je ne fais rien avec elle c'est parce que je suis genre puceau dans ce monde là ? J'aurais bien rigolé, mais elle prend à nouveau de court. « T'sais quoi ? T'as qu'à emmener ton nouveau joujou cet aprem ... Je suis sur qu'il sera ravie de voir à quel point tu peux être con ! » Oh... Là par contre je ne peux m'empêcher de lâcher un rire autant amusé que sec. Un poison insidieux qui s'inscrit dans l'air. Mon joint finit par rejoindre le cendrier tandis que je la vois attraper ses affaires pour partir de chez moi. Pas si vite, je n'ai pas dis que tu pouvais partir la blonde.

Je me lève rapidement et avance vers elle pour lui interdire le passage. Je me mets devant la porte et la ferme à clef et les fourre dans ma poche. L'un des avantages et qu'elle ne pourra pas sortir de ma résidence puisque j'ai bien veillé à tout faire fermer, et vu comment elle est habillée, l'escalade sur le grand portail est vraiment déconseillé. « Tu crois aller où comme ça ? On a du travail. » Je finis par l'attraper par le bras en la serrant dans ma paume sans faire attention au fait ou non que je puisse lui faire mal. La ramenant vers le bureau, je la jette sur la chaise pour qu'elle s'installe. Je la regarde avec un air sévère mais je souris en même temps mais plutôt comme un sadique, pour lui prouver que là je ne plaisante pas, mais pas du tout. « Pauvre petite chose, t'as vraiment cru que j'allais amener mon petit ami à des rendez-vous ? On est tous les deux pédés comme des phoques, tu crois qu'un homme d'affaire aimerait enculer un garçon ? Réfléchis un peu. » Je finis par venir la voir et mets mes deux mains sur les bras de la chaise pour la surplomber et être plus grand qu'elle par la force. Lui montrer qu'ici c'est moi qui décide et qu'elle n'est qu'un instrument à mes yeux. Je darde mon regard dans le sien et la vrille rien qu'avec cela. « Que ça te plaise ou non, tu viendras avec moi. » Je finis par lui décoller une grande claque derrière la tête, à tel point que son corps vient et s'échoue à mes pieds, la chaise recule et est au sol.

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S. Mirage Caldwell

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MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyLun 20 Avr - 22:13

I know that we were made to break. So what? I don't mind
I know that we are upside down so hold your tongue and hear me out? I know that we were made to break. So what? I don't mind. You kill the lights, I'll draw the blinds, don't dull the sparkle in your eyes I know that we were made to break. So what? I don't mind. Are you gonna stay the night ? Are you gonna stay the night? Doesn't mean we're bound for life so oh oh oh, are you gonna stay the night?
« Tu crois aller où comme ça ? On a du travail. » La voix cinglante de Kyle lui fit presque aussi mal que la soudaine pression qu'il exerça autour son bras. Elle n'eut pas le temps de comprendre ce qu'il se passait: il était plus fort qu'elle et n'eut aucun mal à la balancer contre la chaise qu'elle occupait auparavant. Le regard mauvais qu'il lui envoya lui glaça le sang. Aujourd'hui serait l'un de ces jours où elle regretterait d'être retourné près de lui. Et le lendemain, elle reviendrait. Elle le faisait toujours. Ce n'était ni leur première dispute, ni leur dernière et depuis qu'ils vivaient dans cette vie, elle n'avait pas la moindre chance de gagner contre lui. « Pauvre petite chose, t'as vraiment cru que j'allais amener mon petit ami à des rendez-vous ? On est tous les deux pédés comme des phoques, tu crois qu'un homme d'affaire aimerait enculer un garçon ? Réfléchis un peu. » Elle déglutit péniblement, se sentant soudainement petite et fragile face à lui. Cette relation était un cercle vicieux dont elle ne parvenait à s'échapper. Kyle était devenu son bourreau et son sauveur à la fois et plus le temps passait, plus elle comprenait qu'elle ne gagnerait jamais cette liberté qu'elle se vantait d'avoir. Elle voulut marmonner un truc pour lui faire comprendre son mécontentement mais quelque chose lui disait qu'il valait mieux faire profil bas. « Que ça te plaise ou non, tu viendras avec moi. » Elle sentit le coup, et, subitement, sa tête se mit à tourner violemment. Elle sentait le sol sous son corps, un gout métallique dans sa bouche, et ce fut tout. Voilà donc où cette histoire la menait: plus bas que terre.

Elle resta un moment, immobile sur le sol, incapable de se relever. Elle n'en avait ni l'envie, ni la force. Elle ignorait si ses jambes seraient capables de supporter son poids, si son être serait capable de quitter la place qu'il occupait en cet instant. Avec une pointe de cynisme, elle se mit à penser que Kyle ne la laisserait jamais décorer le sol de son salon: elle n'était pas assortie au reste de la pièce. Après quelques minutes, elle puisa au fond d'elle même la force de se redresser. Prenant appuis sur ses deux mains, la jeune femme se releva doucement, s'asseyant sur le sol avant de s'aider de la table pour se remettre debout. Lui restait alors le choix. Elle pouvait décider de partir -elle s'en savait incapable, il agissait sur elle comme l'une des merdes qu'il vendait le samedi soir dans Skyline Square. Elle pouvait choisir de ne rien dire, de rester assise et de continuer d'hocher la tete - et son égo en prendrait encore un sacré coup. Ou elle pouvait jouer le bluff. Faire du Mirage tout craché, une fois de plus. « Dans ce cas, commence par cesser d'abimer la marchandise » cracha-t-elle, amer. Elle aurait put prétendre n'avoir rien sentit, mais elle ne désirait pas particulièrement s'en reprendre une. Zarina avait raison, il fallait éviter les hommes comme la peste. « De plus, je ne vois vraiment pas ce que je peux faire à l'heure actuelle ... Il va me falloir des heures pour faire disparaitre toute trace de ... » Elle sortit un miroir de poche de son sac à main, l'ouvrit et s'observa un instant, coiffant ses cheveux avec ses doigts pour évacuer l'angoisse qu'elle ressentait rien qu'en se tenant près de lui. « Ça ! Nan mais franchement ... De quoi je vais avoir l'air maintenant ?» Ça la tuait de devoir s'écraser de la sorte. Elle se rendrait certainement chez sa mère en quittant cet endroit. La simple pensée des bras réconfortant de Zarina suffit à lui faire ravaler ses larmes. Elle ne devait pas plier. Pas devant Kyle.
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Kyle S. Swann

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MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyLun 27 Avr - 0:56


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Je me suis peut-être laissé emporter. Je n'aurais pas dû la frapper, mais bon sang que ça m'a fait du bien, laisser éclater cette haine que j'éprouve à chaque instant. Dès que je la vois, j'ai le souvenir cuisant de cette trahison. C'est de par sa faute si je suis mort dans le dessin animé. Si elle ne m'avait pas trahit, j'aurais pu mener mon plan à bien, j'aurais réussit à commercialiser les supers pouvoirs et tout le monde aurait pu vivre une vie meilleure, avoir de plus grandes chances de s'en sortir. Au lieu de cela, elle a choisis d'aider le camp adverse, le camp qui une fois qu'elle les a secourus, l'a trahis et l'a laissé croupir en prison. Les méchants ne peuvent jamais avoir une fin heureuse. C'est écrit comme ça. Ce qui fait de nous les ennemis ne s'efface jamais, malgré toute la bonne volonté des gens. On est et on restera les méchants. Quoi que l'on fasse pour effacer les erreurs du passé, la seule chose qui peut réussir, c'est peut-être l'amour, et encore, je n'en suis pas si sûr que cela. La preuve en est, malgré le fait que Shin m'aime et que je l'aime également, je ne change pas, je suis toujours le mal incarné. Une autre preuve de ce fait, ce que je viens faire à Mirage, lui en mettre une.

J'aurais dû ressentir de la honte à l'idée de lui faire du mal de la sorte. Mais en fait, c'était autre chose, de la satisfaction. Peut-être qu'au départ, ouais, j'avais moi aussi du mal à le faire. Mais ce cercle vicieux s'est installé entre nous, c'est ça maintenant, et rien de plus. Au final ouais, je risque beaucoup à l'idée de faire ça ainsi, mais elle ne dit rien, elle revient à chaque fois, comme si elle trouvait ça normal et qu'au final, il n'y avait que cela qui lui incombait. Parce qu'elle revient, à chaque fois, en redemandant, encore et encore. Toujours et toujours. Elle est comme ça de toute façon, comme si elle en avait besoin. Puis après tout, sans moi, elle ferait quoi ? Je lui apporte son salaire, son travail, c'est grâce à moi si elle a trouvé un boulot que je lui rémunère plus que gracieusement. Je lui offre la subsistance dont elle a besoin pour vivre dans ce monde si détestable. Puis moi aussi, j'ai besoin d'elle, parce qu'elle me rappelle, tout ce qui m'est arrivé, elle me fait en sorte de ne pas oublier qui je suis, qui j'étais.

Mais elle a aussi ce courage que je n'ai pas, elle reste là. Elle sait ce que c'est de souffrir, comme moi, et elle affronte la chose comme une tigresse et c'est probablement ça qui me plaît chez elle. Mirage termine par se relever, lentement, mais y mettant toute sa volonté. Puis elle me regarde, je la vois, le coup qu'elle a reçu derrière la tête, ne lui laissera aucune trace apparente. « Dans ce cas, commence par cesser d’abîmer la marchandise. » Un petit sourire apparaît sur mon visage et étire mes lèvres, c'est ça oui. Fait comme si rien ne s'était passé et rejette la faute sur moi. Je trouve cela cependant courageux qu'elle ose me dire pareille chose. « De plus, je ne vois vraiment pas ce que je peux faire à l'heure actuelle ... Il va me falloir des heures pour faire disparaître toute trace de... » Oui bien sûr, tu n'as strictement rien. Je lève les yeux au ciel, pour rendre apparent cette exaspération. Elle se la joue souvent, un peu comme si elle aussi c'était une personne de plus qui me méprisait comme tous les autres. Elle sort un miroir de poche pour se regarder. « Ça ! Nan mais franchement... De quoi je vais avoir l'air maintenant ? » Je commence à rire cette fois-ci. Non, ce n'est pas méchant, quoi que, un petit peu. Mais là, elle en fait tout un plat, elle a simplement une mèche de cheveux qui est décoiffée. Pauvre petite chose.

Je m'approche d'elle, en sachant pertinemment qu'elle ne fuira pas, elle n'a pas intérêt à le faire de toute manière, parce que sinon je la rattraperai et elle sait que ça ira mal pour elle. J'attrape sa mèche de cheveux et lui remets en place. « Voilà, t'es comme d'habitude. » Cette fois-ci, le regard que je lui porte est dénué de haine, de rancœur, mais plutôt d'une admiration toute nouvelle. Elle est tellement forte que je ne peux faire autrement. Je finis par me reculer et lui donne une feuille, remplie de chiffres de nos bénéfices, il faut que l'on fasse le calcul pour voir où installer notre nouvelle affaire. « Tu sais, j'ai jamais vu ça chez une femme, et je ne suis pas sûr que ça me déplaise. » Non au contraire, je trouve cela plutôt intéressant. Il faut que ça avance dans l'entreprise. Depuis plusieurs mois, je dois avouer que ce n'est pas très florissant, on ne perd pas d'argent, mais on n'en gagne pas plus qu'avant. Il faut absolument qu'on trouve un pays riche où l'on n'est pas encore assez installé ou pas du tout d'ailleurs.

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MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyVen 15 Mai - 17:19

I know that we were made to break. So what? I don't mind
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Elle en faisait des tonnes, elle le savait, elle voulait juste fuir: loin d'ici, loin de lui, loin de tout ce qu'il représentait ... Lorsqu'il se pencha sur elle pour remettre sa mèche en place, elle eut un mouvement de recul. Il avait toujours été plus ou moins violent: la plupart du temps dans ses propos et dans ce qu'il attendait d'elle: qu'il passe à l'acte en la frappant directement était plutôt rare, il fallait en convenir, mais c'était rudement efficace.  « Voilà, t'es comme d'habitude » Malgré la douceur du geste, Mirage resta figée sur place. C'était ce genre de situation qui l'empêchait de partir: cette façon qu'il avait de la maintenir avec lui, même si elle savait qu'elle ne ferait jamais l'affaire puisqu'elle ne restait qu'une femme. Il était bien loin le temps de leur véritable association ... Aujourd'hui, elle restait par espoir, par besoin d'exister. Il avait sut se montrer indispensable pour cela: lui insufflant petit à petit l'idée qu'il était le seul qui pourrait l'accepter telle qu'elle était: avec ses mauvaises habitudes, sa rancune et son mauvais fond. Elle l'observa s'éloigner du coin de l'oeil: ce n'était pas son genre d'être aussi sentimentale ! Elle prit une mine concentrée sur le document qu'il lui tendit, tentant de retrouver son calme. « Tu sais, j'ai jamais vu ça chez une femme, et je ne suis pas sûr que ça me déplaise. » C'était sans nul doute la raison pour laquelle elle était toujours là. S'il s'était lassé d'elle, il y avait fort à parier qu'il se serait débarrassé d'elle rapidement. Ils avaient beau avoir partager un passé commun, et une relation plus que professionnelle pendant des mois, elle ne se faisait aucune illusion: si elle avait besoin de lui, elle doutait sérieusement de la réciprocité de ce sentiment. Et puis ... Il avait Shin. Et ce n'était pas le grand amour entre eux: elle serait constamment là, présente à lui rappeler un épisode fort déplaisant de leur vie: les plans foireux de celui qui avait été le fan de Mr Indestructible, les nombreuses tentatives de meurtre ... Et pour finir, sa propre trahison. « Dans mes souvenirs, il y avait bien des choses qui ne te déplaisaient pas chez moi ...» dit-elle avec un petit rictus narquois aux lèvres, s'adossant contre sa chaise tout en jouant du bouton de sa veste. Elle se mit à rire soudainement, se surprenant elle même de ce genre d'atouts dont elle usait en temps normal pour obtenir une signature de contrat. Au final, ils étaient toujours pareil: ils continuaient de se déchirer, de se détester mais ne changeaient rien ... C'était peut être le destin de ceux qui étaient "les méchants", le prix à payer pour être soi même.
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Kyle S. Swann

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MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyDim 17 Mai - 21:22


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Mirage est de ce genre de personne avec qui on accroche ou pas. C'est tout l'un ou tout l'autre. Le juste milieu est malheureusement impossible. Pour ma part, je considère les choses sous un autre œil : je la déteste autant que je l'aime, et c'est bien ça le problème j'ai l'impression. Incapable de me passer d'elle, je fais tout pour la garder à côté de moi, pour la dominer, mais d'un autre côté, j'ai envie qu'elle se tire parce qu'elle menace mon couple, parce que sa présence me rend mauvais. Parfois je me dis que ce serait bien mieux si la blonde platine dégageait définitivement, mais quand j'imagine un monde sans mon acolyte de méchanceté, le monde me paraît morne, sans aucun intérêt. Certes désormais tout est différent, je ne suis plus fondamentalement démoniaque comme j'ai pu l'être dans le passé, mais mes activités font que j'ai besoin d'elle, tous les jours. Elle m'aide à gérer les choses dans mon entreprise, et surtout, c'est un très bon défouloir. Je ne lève quasiment jamais la main sur elle, mais ça arrive, comme aujourd'hui, et je ne serais ni honte, ni tristesse, ni joie à le faire, juste un soulagement de pouvoir me vider de mes envies violentes. Probablement qu'elle n'aime pas ça, pourtant, au plus profond de moi même, je sais qu'elle ne peut s'en aller, Mirage est comme moi, elle a besoin de moi autant que j'ai besoin d'elle. C'est comme une sorte d'ancrage dans ce monde qui me permet d'oublier que tout a changé, que tout est devenu meilleur et que le monde nous offre une seconde chance que l'on ne saisit pas forcément. Il le faudrait, on pourrait devenir d'autres personnes, tirer un trait définitif sur notre passé, mais on ne peut pas, parce que notre relation n'était pas que professionnelle, les sentiments se mêlaient à notre entente, et on a commis l'irréparable. Quand j'y repense, c'est dégoût, pourtant à l'époque, je me souviens que j'avais aimé cela, qu'a-t-il pu se passer pour que je change radicalement de bord ? Aucune idée, mais une chose est sûre, je ne veux pas me passer d'elle, jamais, c'est impossible, elle est en moi comme une drogue, ce serait ma dose d’héroïne qu'il me faut tous les jours.

Et je lui ai fais un compliment, j'ai été doux, alors que quelques secondes avant, je lui avais fais du mal. Elle doit se dire que je suis quelqu'un d'instable, de dangereux, elle ne sait pas à quel point elle a raison, mais le truc, c'est que je ne suis comme ça qu'avec elle. C'est sa présence qui me rend ainsi, et peut-être est-ce une mauvaise chose, mais je m'en fiche, parce que tout ce que je veux c'est qu'elle soit là. Le passé n'était pas une erreur, il m'a façonné tel que je suis actuellement et ma vie, même si elle ne ressemble pas à grand chose, elle me plaît bien plus que celle que je menais avant. « Dans mes souvenirs, il y avait bien des choses qui ne te déplaisaient pas chez moi... » Et je me remets à voir cette Mirage séductrice face à moi. Celle qui parle avec un petit sourire en coin qui prouve qu'elle se fiche de tout, celle qui joue avec les boutons de son chemisier pour attirer le regard de l'homme vers sa poitrine. Je comprends ce qui m'a poussé dans ses bras quand nous étions encore dans le dessin animé, elle est fort séduisante, elle sait provoquer les fougues sexuelles et les tensions amoureuses. Cette fille est un véritable poison mais elle possède en même temps l'antidote. Comment fait-elle ? Je ne le saurais jamais, mais cette double facette qu'elle possède me fascine. Je suis même persuadé qu'elle ignore ce pouvoir qu'elle possède. Celui de déchaîner les passions. Pourtant elle sait pertinemment qu'elle possède tout pour briser des cœurs. Mirage est tellement complexe à comprendre, que même moi, je m'y perds.

Je finis par la regarder avec ce petit sourire qu'elle me connaît si bien, celui qui exprime le cynisme, celui qui bafoue toutes les règles et les morales imposées par ceux qui se croient supérieurs alors qu'ils ne savent pas que elle et moi, pouvons devenir les maîtres du monde si on le désire. Mirage possède un esprit d'analyse et un carnet d'adresse époustouflant, quant à moi, j'ai l'intelligence supérieure et la capacité d’innovation qui permettent de faire des choses inouïes. De tous les méchants des dessins animés qui ont été propulsés dans ce monde, je suis probablement celui qui est resté puissant, je suis le plus puissant. Je ne parle pas d'égocentrisme, mais de réalisme. Mes pouvoirs je les tenais de la science, de la physique, de la technologie, si je le désire, je peux tout recommencer dans ce monde qui n'est pas différent de l'ancien. La regardant avec un regard qui signifie tout cela, je finis par ouvrir la bouche pour lui dire les mots qui vont soit la détruire, soit raviver cette envie. « Mirage, douce colombe, le passé c'est le passé, mais sache que je t'apprécie bien plus que tu ne peux le croire. » Je termine cette phrase en plongeant le nez dans les papiers, sachant très bien que la pauvre blonde platine va s'en mordre les doigts désormais, se perdre une fois de plus dans l’écheveau complexe de ses propres sentiments. Que vas-tu faire désormais ma belle ?


electric bird.
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S. Mirage Caldwell

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MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyMar 19 Mai - 13:44

I know that we were made to break. So what? I don't mind
I know that we are upside down so hold your tongue and hear me out? I know that we were made to break. So what? I don't mind. You kill the lights, I'll draw the blinds, don't dull the sparkle in your eyes I know that we were made to break. So what? I don't mind. Are you gonna stay the night ? Are you gonna stay the night? Doesn't mean we're bound for life so oh oh oh, are you gonna stay the night?
Elle se demandait souvent quand est-ce que les choses avaient dérapé chez elle ... Quand est-ce qu'elle avait cessé d'être l'enfant calme, sage et discrète qu'elle avait été dans le passé. Sans doute lorsque ses pouvoirs s'étaient manifestés et qu'elle avait été rejeté en bloc par tout ceux qui comptaient pour elle. Un amoureux d'école n'avait pas grande importance, mais ses propres parents ... Elle avait toujours eut certaine aversion pour les familles modèles: celle que l'on observe au parc et qui sourient sans cesse de cet air béat devant leur bonheur illusoire. Il arrivait qu'elle se rende là bas pour les observer, se demander ce qu'aurait été sa vie si elle n'avait pas été une super, si les choses auraient différentes avec une enfant normale. Ses parents se seraient-ils déchirés ainsi ? Aurait-elle fini aussi seule qu'elle l'avait été lorsqu'elle avait été enfermée ? Aussi désemparée lorsqu'elle avait compris qu'elle n'aurait d'autre choix que de laisser son enfant à l'adoption, n'ayant pas de famille pour s'en occuper ? Elle eut un regard pour le brun face à elle. Non elle n'était pas seule. Elle ne l'avait jamais été. Qu'il soit mort, émotionnellement instable ou parfaitement diabolique, il avait toujours été là. C'était un signe du destin: il avait beau préféré les mecs, ce qu'elle comprenait parfaitement, il y avait un truc entre eux que cet affreux blondinet ne pourrait jamais briser. Ce n'était pas de l'amour, c'était une sorte de compréhension commune ... Même s'il restait un con fini, Mirage était forcé de reconnaitre qu'il était bel homme, et que, malgré tout ce qu'elle pouvait dire, le fait qu'il s'intéresse à elle lui plaisait, que ce soit pour l'engueuler ou la féliciter. Au final, leurs joutes verbales étaient sans doute le meilleur moment de sa journée. Elle un ricanement en constatant qu'elle était devenue bien masochiste avec le temps et, qu'au final, il avait biien choisit son pseudo de super. Elle se souvenait s'être un peu moquée de lui au début mais aujourd'hui, il était la seule chose dont elle ne parvenait à guérir, elle, la fille qui ne pouvait se blesser. Elle avait souvent été surprise qu'il ne remarque pas cela: son aspect éternellement jeune malgré les années passantes, son absence de bleus, de coupures, de blessures même accidentelles, elle n'avait même jamais été malade. Mais lui ... Elle ne parviendrait jamais à se sortir de ce besoin qu'elle avait d'être près de lui, d'observer la lumière éclatante de son succès. « Mirage, douce colombe, le passé c'est le passé, mais sache que je t'apprécie bien plus que tu ne peux le croire. »  

Elle resta interdite quelques secondes, essayant de comprendre la dernière partie de sa phrase, et se remit à sourire, abandonnant son déboutonnage. Elle n'avait jamais été très pudique et certainement pas avec lui. Peut être était-ce parce qu'ils avaient déjà eut une liaison ? Ou peut être parce qu'elle savait que son corps ne l'attirait pas le moins du monde ? Malgré tout, elle ne résistait jamais à l'envie de le titiller un peu: il était comme un gros bouton rouge au dessus duquel s'élevait un bouton DANGER et sur lequel elle s'empressait d'appuyer. « Tu n'es pas drôle ...» bouda-t-elle avant de se relever. Elle poussa les feuilles qu'il avait devant les yeux pour s'assoir sur la table, et gigota jusqu'à se retrouver face à lui. Avec un sourire en coin, elle se pencha sur son acolyte de toujours, embrassant sa joue avant de chuchoter. « Et si tu me parlais un peu du rendez-vous de cet après-midi ?» Finalement, elle était sans doute aussi instable que lui ... Leur alliance était bancale, désastreuse mais ô combien efficace grâce à tous ces points qu'ils avaient en commun. Elle avait beau ne pas le supporter, elle ne pouvait s'empêcher de jouer avec lui la carte d'une ambiguité qu'elle trouvait divertissante bien qu'inexistante dans la réalité .
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Kyle S. Swann

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MessageSujet: Re: (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind (Kyle) I know that we were made to break. So what? I don't mind EmptyVen 22 Mai - 13:55


i know that we were made to break. so what ? i don't mind.
kyle&&mirage








Mirage est insaisissable, Mirage est un feu follet qu'on ne peut attraper à pleines mains sans se faire brûler les paumes. C'est une femme fatale à qui on ne peut dire non, elle sait jouer de ses charmes, que ce soit de son physique avantageux de femme blonde à la poitrine généreuse et aux courbes délicates qu'avec son caractère de femme entrepreneuse avec les hommes. Elle sait faire craquer n'importe qui, que ce soit avec son parlé qu'avec sa fougue, je n'aurais pu rêvé d'avoir meilleure partenaire au monde. Si nous le désirions, on pourrait faire des choses extraordinaires, peut-être que parfois j'en rêve, mais beaucoup moins qu'avant, je me contente de ce que j'ai pour ma part, ce qui ne semble pas être à son goût d'ailleurs. Je sais pertinemment qu'elle veut toujours avoir plus, qu'elle aimerait qu'il y ait plus entre nous deux également mais malheureusement pour elle, je ne suis plus de ce bord là, je préfère amplement la compagnie masculine à celle des femmes, qui néanmoins sont, je trouve, formidables et qui sans elle, nous ne pourrions pas vivre. Je ne suis pas un macho, bien loin de là, parce que je leur reconnais tant de choses que nous autres les hommes, ne pouvons faire. Porter la vie, avoir un esprit pratique bien plus efficace que le nôtre et bien d'autres choses.

Et cette relation que j'entretiens avec elle la dévore, je le sais pertinemment, et cela ne me dérange pas d'en jouer pour qu'elle reste liée à moi. Parce qu'elle est capable de me détruire, c'est bien l'une des seules personnes au monde qui en a le pouvoir. Et si je la garde à mes côtés c'est bien pour éviter cela, si je fais en sorte qu'elle soit dépendante à ma personne afin qu'elle ne puisse pas me faire de mal. Seulement, cela elle l'ignore, elle ne sait pas qu'elle a ça en elle et plus elle ignore, mieux c'est. Voilà à quoi je joue en lui disant des phrases comme celles que je viens de prononcer, pour qu'elle ne sache pas trop quoi faire, pas trop quoi penser. « Tu n'es pas drôle... » Je n'ai jamais été drôle, pour m'arracher un rire ou un sourire, il faut y aller, rare sont ceux qui y arrivent, et encore ça dépend les jours parce que je suis très renfermé et qu'on ne m'a pas habitué à cela. C'est comme tout après tout. Mirage finit par faire de la place sur la table afin de venir s'asseoir dessus pour être face à moi, de façon provocatrice et joueuse. Je comprends pourquoi j'ai pu craquer dans le passé, pourquoi on a eu une relation, cette fille est un aimant à homme. Elle finit même par se pencher pour venir déposer un baiser sur ma joue, qui au passage, me laisse de marbre quand même. « Et si tu me parlais un peu du rendez-vous de cet après-midi ? » Oh, ainsi elle s'entraîne ou elle tente de faire la même chose que moi ? Intéressant. Toujours pleine de ressources la jolie blonde, et c'est loin de me déplaire, parce qu'elle sait toujours faire des choses surprenantes.

Je finis par la regarder avec un air provocateur au visage, simplement pour jouer, pour lui montrer que ça ne me laisse pas aussi froid que je ne le suis réellement. Il faut que je la rendre accro pour qu'elle ne parte pas, pour qu'elle reste liée à moi. Je finis par m'approcher d'elle, de sorte que nos visages soient presque collés l'un à l'autre. « C'est un jeune entrepreneur, il vient d'hériter de l'entreprise de son père. » susurré-je de façon mutine, pour qu'elle comprenne d'elle-même ce que je veux dire. Pour une fois, ce n'est pas le genre d'homme qu'elle méprise tant, il est fort beau, jeune et surtout athlétique, elle pourra s'y donner à cœur joie aujourd'hui. Me reculant en croisant les bras sur mon torse, je finis par lui sourire, même si c'est plutôt rare, je plonge mes yeux bleus dans les siens tout en gardant ce petit rictus sur les lèvres. « Il faut qu'on arrive à acheter des parts dans son entreprises d'hôtel afin de finir par le bouffer tout cru, petit à petit, on va prendre le contrôle jusqu'à tout lui prendre. » Je lui dis cela, comme un carnassier, comme si j'étais prêt à le bouffer moi-même, ce qui aurait pu être le cas, s'il était gay et si j'étais célibataire. J'aurais pu le faire craquer de mon propre chef, malheureusement, il préfère les femmes, alors à mon acolyte de montrer qu'elle est une femme fatale.

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