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because love will mean some falling and shes afraid of heights. (rajakoma)  Vide
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 because love will mean some falling and shes afraid of heights. (rajakoma)

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MessageSujet: because love will mean some falling and shes afraid of heights. (rajakoma) because love will mean some falling and shes afraid of heights. (rajakoma)  EmptyDim 29 Déc - 17:38



Nakoma&Raj
J’aurais aimé t’aimer comme on aime le soleil, te dire que le monde est beau. Que c’est beau d’aimer j’aurais aimer t’écrire le plus beau des poèmes et construire un empire juste pour ton sourire. Devenir le soleil pour sécher tes sanglots et faire battre le ciel pour un futur plus beau
Mais c’est plus fort que moi tu vois je n’y peux rien ce monde n’est pas pour moi ce monde n’est pas le mien.

( fin du  chapitre 1, down on a bed of roses. )
« Merci. Merci d’être venu ce soir, Raj. », « T’as beau être un vrai emmerdeur, je ne sais pas ce que je ferais sans toi » , « Je suis contente que tu sois là, vraiment. Ça me fait du bien de savoir que je peux compter sur toi. »  tu te repasser cette scène en boucle dans ta tête depuis à peut près deux mois. Elle, toi, sur une plage, le soleil se levant en douceur, ses doigts sur ton torse, son sourire, son rire, sa présence. Elle essaie de t'attraper, elle joue avec toi, sautant sur ton dos dans un moment de folie, des fous rires, des sourires, un instant parfait. Et plus le temps passer et plus cette scène s'embellisse. Soudainement, il y avais des colombe blanche, des chants de sirène, une aurore boréale.. Et.. attend, ce serais pas plutôt ton cerveau qui a décidé de mixer le dvd de la petite sirène et de frère des ours que tu as regarder hier en compagnie de Lys ?  Ça n'a pas d'importance. Le message que tu voulais passer à Nakoma était arriver à destination.  « je serais toujours là pour toi. » lui avait-tu dis le première fois ou tu l'a sauver de sa propre destruction. Elle avais refuser jusqu'à présent, t'insultant, passant ses nerfs sur toi, te traiter comme un gosse de dix ans qui serais à la recherche d'un nouveau jouet, mais ce soir là, quand ses mots sont sortit de sa bouche tu t'es enfin rendu compte que tu avais raison de persister autant.  Tout tes amis te faisait des remarques sur votre relation « ça sert à rien de perdre ton temps avec elle » , « elle est folle cette pauvre petite » , « tu ne fais que l’étouffer en faisant ça » tous des cons. C'est vrais que durant un long moment tu n'étais plus là pour personne, tu te laisser entraîner par un train train quotidien banal, entre les cours et le taf et le peu de temps qu'il te rester était destiner à sauver le cul de Nakoma, alors oui tes amis t'en voulais de les avoirs laisser mais si c'était vraiment tes amis ils comprenait que c'est pour la fille qui te fais vivre et non une de ses bimbos prostipute qui n'en valais pas la peine. Nakoma en valais la peine, si toutes les filles du monde valais une goutte d'eau, elle elle valais une océan.

( chapitre 2, because love will mean some falling and shes afraid of heights )
« Joyeux Noël. J'ai un cadeau pour toi, si tu pouvais me rejoindre au Sliding glass sur Courtland Street  pour quinze heure je serais le plus heureux des hommes. » un jour après noël, je lui faisait parvenir cette carte avec Qui es-tu Alaska de John Green qu'elle voulais depuis longtemps. Je ne l'avais pas revue depuis cette nuit là, les partiel avait commencer et les étudiants bannissez le mot 'fête' de leurs vocabulaires. Tout ceux que j'avais pour habitude de voir complètement en transe était regrouper à la bibliothèque en essayant de rattraper ces trois mois de cours en une semaine. Tout le monde était stresser, elle aussi tu pense, enfin tu n'en avait pas la certitude. Tu ne l'a voyait jamais, à croire que le déstin essayer de vous éloignez. De plus t'avais un problème d'un tout autre niveau a réglé : Marie. Oui, la douce et tendre Marie avec qui tu avais vécu ta première romance. Votre histoire était parfaite avant que sa mère ne s'en mêle et y mette fin en manipulant la pauvre petite, mais elle était grande maintenant, enfin façon de parler. Elle était toujours plus petite que toi, même sur ses talons, elle avais ce même sourire qui te rendais dingue, cette chevelure gracieuse et ce rire qui te donner des frissons, sans oublier cette belle poitrine qui avais doubler depuis. Elle voulais que ça reparte entre vous, que tout soit comme avant, mais rien ne l'était plus. Cette histoire t'avais fait beaucoup de mal, et tu lui en voulais d'avoir obéis bêtement à sa mère, tu était si fâcher contre elle que tu en avais changer d'école. Tu était persuadé de l'avoir oublier, pourtant, dès qu'elle poser le regard sur toi, et que ses lèvres effleurer ta peau, tu te sentait toute chose. Comme si le Raj d'autrefois voulais revenir et tout revivre avec Marie. Il a t'a fallut une bonne cuite ce soir là pour oublier tout ça et te rendre à l'évidence : tu était amoureux de Marie, mais maintenant, tu ES amoureux de Nakoma. Ou un truc dans le genre, en fait ton seul souvenir ce soir là c'est d'avoir fait pipi contre la porte d'une cabriolet et t'être enfuit quand le propriétaire à dégainer son flingue, une folle nuit. Tu avais besoin de ton pour réfléchir à tout cela, du temps pour toi mais aussi en compagnie de Nakoma.

Durant les dernière semaines de Noël, tu t'étais démerder à lui trouver un cadeau parfait qui ferais passer un message d'amour et d'amitié, un truc du genre « tu me fait respirer » mais trouver un collier avec ce genre d'inscription n'était pas tâche facile. Tu as donc penser à autre chose : un livre ? Du chocolat ? Des capotes ? Et puis tu es tomber sur l'évidence : Paris. Tu voulais du temps pour toi, du temps pour Nakoma, pourquoi pas du temps ensemble loin d'ici ? De plus, Paris, la ville de l'amour, se promener sur les champs Élysée, accrocher un cadenas sur le pont des arts, monter jusqu'au dernier étages de la tour Eiffel pour admirer Paris de haut. Tu avais envie de tous ça, tout ça avec elle, rien qu'elle. Tu lui avais donner rendez-vous à la patinoire, près du stand de soda ou tu était accouder. Tu n'avais rien préparer à lui dire ou même comment introduire ça, tu pensais que ça devait venir du cœur, comme une demande de mariage. Lorsqu'elle entra dans la salle, ton cœur fit un bon. Son visage t'avais tellement manquer, tu avais envie de la prendre dans tes bras, mais tu te restreint. « Merci de faire de moi l'homme le plus heureux du monde. » dit-tu doucement un sourire au lèvre. .

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Ehawee Nakoma Powhatan

My life with you
AMOUR-AMITIÉ-EMMERDE:
LISTE-DES-CHOSES-A-FAIRE:
VOTRE RÊVE: l'empêcher de mourir.
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Ehawee Nakoma Powhatan
J'ai posé bagages ici le : 05/06/2013 Jouant le rôle de : la noix de coco – pocaca's bff. #teampocahontas. Nombre de messages : 1425 On me connait sous le pseudo : olympe. Un merci à : kika. (ava) little wolf (signa) wild heart. (code rp). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : nickayla rivera.
MessageSujet: Re: because love will mean some falling and shes afraid of heights. (rajakoma) because love will mean some falling and shes afraid of heights. (rajakoma)  EmptyJeu 9 Jan - 21:05



YOU’RE NEVER GONNA BE ALONE FROM THIS MOMENT ON, IF YOU EVER FEEL LIKE LETTING GO I WON’T LET YOU FALL. YOU’RE NEVER GONNA BE ALONE, I’LL HOLD YOU ‘TIL THE HURT IS GONE. AND NOW, AS LONG AS I CAN, I’M HOLDING ON WITH BOTH HANDS ‘CAUSE FOREVER I BELIEVE THAT THERE’S NOTHING I COULD NEED BUT YOU. SO IF I HAVEN’T YET, I’VE GOTTA LET YOU KNOW – YOU’RE NEVER GONNA BE ALONE FROM THIS MOMENT ON, IF YOU EVER FEEL LIKE LETTING GO I WON’T LET YOU FALL. WHEN ALL HOPE IS GONE, I KNOW THAT YOU CAN CARRY ON. WE’RE GONNA SEE THE WORLD OUT, I’LL HOLD YOU ‘TIL THE HURT IS GONE.
never gonna be alone.

Pour la énième fois, tu regardes la petite carte colorée et un sourire apparaît sur ta bouche. Un cadeau de Raj pour Noël, avec le livre que tu rêvais de t’acheter depuis des semaines. Cette attention t’a touchée. Tu as senti ton cœur faire un bon étrange entre tes côtes. Et depuis, tu as ce petit nœud à ton estomac qui semble diffuser une chaleur douce à l’intérieur de ton corps. Il est si attentionné à ton égard ; il est un véritable rayon de soleil dans ton ciel gris et nuageux. Ces derniers temps, tu es tellement accaparée par tes révisions et tes examens que tu ne prends plus la peine de mettre le nez dehors. Tu n’as pas le temps pour ça, ton travail est beaucoup plus important. Mais parfois, tu te surprends à sourire, seule le soir dans ton lit simplement parce que tu penses à lui. Lui et son regard tendre, lui et ses sourires chaleureux. Lui et sa gentillesse à couper le souffle. Tu ne sais pas trop ce que tu ressens exactement – en fait, tu évites de te poser cette question car la réponse t’angoisse énormément. Tu ne sais pas mais tu ne cherches pas à savoir non plus, au fond. Ça t’est égal. Tu vis les choses comme elles viennent ; tu as appris à ne plus jamais rien anticiper ou espérer. C’est plus facile comme ça. Alors tu vis juste ces drôles de sentiments pour ce qu’ils sont – de drôles de sentiments. Ils te rendent heureuse et légère, un peu bête aussi mais la sensation au fond de ton estomac est loin d’être désagréable. Tu as juste l’envie que ça continue, encore et encore. Pendant longtemps. Tu as l’impression que tes blessures guérissent une à une, que tu retrouves enfin la lumière après avoir passé des mois enfermée à triple tour dans le noir. Et tout ça, grâce à ce foutu joyeux luron qu’est Raj.
Un peu nerveusement, tu jettes un coup d’œil à ton reflet dans le miroir. Tu te trouves un peu ridicule à accorder autant d’importance à ton apparence ce soir mais tu as envie d’être jolie. Tu as envie de lui plaire. Tu as envie de voir ses yeux briller quand il te verra. Tu as appris à aimer les papillons dans ton ventre à chacun de ses regards. Il t’a donné rendez-vous. À la patinoire. Si ta première réaction a été de vouloir refuser, tu t’es finalement laissée convaincre en te donnant l’excuse que ça te changerait les idées. Mais au fond, tu es surtout impatiente de passer un moment en sa compagnie car tu sais que c’est lui, Raj, qui arrivera à te faire tout oublier – les examens, le stress, les révisions à n’en plus finir. Être à ses côtés est comme une bouffée d’air frais pour toi. Tout s’évanouit et un grand calme t’envahit. Alors après des jours et des jours de nervosité et de travail acharné, tu peux bien t’accorder ce petit moment de liberté. Et puis, faire du patin à glace pourrait être intéressant et drôle – à condition de ne pas te casser une jambe ou te fouler le poignet bien évidemment. Et il te manque aussi, il faut bien l’avouer. Alors tu enfiles une jolie tenue bien chaude et enfonces même un bonnet de laine sur ta chevelure brune indisciplinée. Tu as même maquillé un peu tes yeux de crayon noir, mis un peu de rouge à lèvres – mais c’est seulement un baume réparateur pour lèvres gercées, promis. Très frileuse, tu as aussi préparé tes gants. Et c’est avec une petite boule au ventre que tu passes les portes de la résidence où tu loges. Qui sait ce que cette soirée à deux vous réserve ?
Le vent glacial d’hiver te fouette le visage et tu frissonnes violemment. Tu détestes vraiment l’hiver. Tu repenses avec nostalgie à ta Virginie natale et sa chaleur presque étouffante, son soleil si brillant. Quelquefois, tu te demandes encore combien de temps tu vas rester coincée ici, dans ce monde auquel tu n’appartiens pas. Oh bien sûr, tu t’y es faite mieux que tu ne l’aurais pensé mais retourner à ta terre natale te fait doucement rêver. C’est un peu comme un besoin. Comme si ça t’était nécessaire pour savoir qui tu es réellement, pour te retrouver entièrement. Ça t’aiderait à avancer, sûrement. Tu repousses très loin dans un coin de ta tête toutes ces réflexions idiotes cependant que tu remets une boucle brune qui s’est échappée de ton bonnet en place. Tu n’as pas envie de penser à tout ça, pas ce soir. Tu as envie de t’amuser, de te libérer l’esprit de toutes ces bêtises. Tu te surprends à être impatiente de retrouver Raj. À croire qu’il t’est devenu indispensable. À trop te coller aux basques et te harceler sans cesse, tu as fini par le considérer comme essentiel à ton existence. C’est comme si, désormais, il devait être là – à côté de toi. Il t’aide à sourire, à retrouver goût à la vie. Il t’aide à respirer. Avec lui, tout est toujours simple et sans prise de tête. Tu ne réfléchis plus, tu redeviens enfant. Et ce n’est pas si désagréable au fond. Alors quand tu descends du bus, tu presses un peu plus le pas pour le retrouver plus vite dans la grande salle de la patinoire. Et puis tu l’aperçois, au loin. Sa silhouette menue se détache. Tu le vois qui s’est accoudé au stand de boissons froides et chaudes. Tu ne sais pas trop s’il t’a vue, mais ton regard n’est fixé que sur lui. Ton cœur bat étrangement vite. Tu aimerais bien lui ordonner de se calmer mais il ne semble pas enclin à t’écouter, ce soir. Ton ventre se noue légèrement, tu as envie de sourire. Bêtement. Stupidement. Tu ne comprends pas toutes ces sensations qui naissent en toi, comme venues de nulle part. Elles t’effrayent un peu, autant qu’elles semblent te réchauffer de l’intérieur. C’est bizarre, c’est nouveau. Mais tu aimes ça.
« Bonsoir, Raj, tu souffles, le sourire aux lèvres et certainement les yeux un peu trop brillants. Pardon, je dois être un peu en retard. Je ne t’ai pas fait attendre trop longtemps, j’espère ? » En vérité, tu ne sais absolument pas quelle heure il peut être. Et tu t’en fiches. Tout ce qui compte, c’est le son de ton cœur qui vient faire battre le sang à tes oreilles ; tout ce qui compte, c’est ce sourire joyeux sur tes lèvres. Tout ce qui compte, c’est de le voir là, tout près. Si près que tu pourrais le serrer dans tes bras si tu le voulais. Et puis, il y a ces quelques mots qui s’échappent de sa bouche. Doux et tendres. Inattendus. Ils te laissent tétanisée, le souffle coupé. Dans ta tête, c’est comme un volcan qui vient d’exploser. Ton ventre se retourne, tu as presque envie de vomir. Tu ne t’attendais pas à ça, vraiment pas. Tu ne sais pas comment tu es censée réagir, tu ne sais pas quoi dire. Tu as la stupide envie de lui souffler un simple ‘De rien.’, lâché du bout des lèvres, mais quelque chose en toi te dit que ce n’est pas une bonne réponse. Que ce n’est pas ce qu’il attend. Ce qu’il attend de toi. Mais qu’est-ce qu’il attend, au juste ? Qu’est-ce qu’il veut de toi, exactement ? Vous êtes amis, non ? Son regard est pourtant bien trop doux, bien trop protecteur pour n’être que celui d’un ami. Tu ne comprends pas trop. Tu te sens même idiote. Il y a pourtant plein de choses que tu aimerais pouvoir lui dire mais c’est comme si tout restait coincé là, au fond de ta gorge. Timidité, peur, réserve. Tout un mélange de sentiments néfastes qui te bloque, te paralyse toute entière. « Raj, je… je ne sais pas quoi te dire… avoues-tu enfin, les yeux baissés sur le bout de tes grosses bottes de neige fourrées. » Après tout, tu n’es pas tellement habituée à ce genre de démonstrations d’affection – surtout venant de la part d’un garçon. Alors tu fais quoi, maintenant ?
« Je sais que je ne suis pas toujours très sympa avec toi, que je te gueule beaucoup dessus et parfois sans raison, tu te lances finalement après une hésitation et une grande bouffée d’air pour te donner la dose de courage nécessaire. Mais… Tu es vraiment gentil avec moi, tu as toujours été là pour moi même quand je t’envoyais sur les roses pour rien. Tu m’as toujours soutenue depuis qu’on se connaît, malgré mon sale caractère. » Tu le reconnais sans peine. Raj a été très courageux de s’accrocher autant à toi alors que tu étais devenue imbuvable et aigrie. Trop engloutie dans ta douleur, tu l’as pourtant repoussé maintes et maintes fois mais il n’a jamais faibli. Il est toujours resté. Resté pour toi. « Et… Et j’ai l’impression que je ne t’ai jamais assez remercié pour tout ce que tu as fait pour moi ces derniers mois. Je crois que si tu n’avais pas été là, je serais encore au fond du trou et en passe de devenir alcoolique pour de bon, tu ajoutes avec un petit rire étranglé mais ému. Mais sache que je te suis vraiment reconnaissante pour tout ce soutien que tu m’as apporté et je ne l’oublierai jamais. Je tiens vraiment beaucoup à toi, même si j’ai parfois une façon curieuse de te le montrer. » Tu as toujours été si renfermée, forcée à garder tes sentiments à l’intérieur de toi que chaque fois que tu veux les exprimer, c’est toujours très difficile pour toi. Une véritable épreuve de force. « Voilà, je… enchaînes-tu d’un ton légèrement embarrassé. Je suis contente de pouvoir passer la soirée avec toi, Raj. » Et tu oses finalement t’approcher un peu plus de lui jusqu’à poser tes lèvres juste au coin de siennes. C’est à peine un effleurement, mais il y a comme un courant électrique qui te traverse toute entière. Tu ne sais pas exactement ce que tout ça signifie, mais la chaleur à l’intérieur de ton estomac te rend toute fébrile. Fébrile et heureuse en même temps.


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MessageSujet: Re: because love will mean some falling and shes afraid of heights. (rajakoma) because love will mean some falling and shes afraid of heights. (rajakoma)  EmptyDim 27 Avr - 3:53

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