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 You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa]

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MessageSujet: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyDim 15 Mar - 17:42

You can't speak, But i know what you're saying

ft. Isaak


« A Story by Isaak & Hayley »
Il est 6h30, mon réveil se met à sonner. C'est l'heure de se lever, et de se préparer. Ce matin, je n'ai pas envie, pas envie de bosser. C'est une grande première pour moi, qui d'habitude, aime travailler sur mes créations. Aujourd'hui, je vais passer une bonne partie de la journée au boulot, puis je dois me rendre à 16 à l'hôpital. Connaissant la langue des signes, je dois de nouveau faire la traductrice pour un jeune homme, Isaak Sullivan. Je retire mon drap, je pose un pied après l'autre, puis je me lève. Je me traîne jusque dans la cuisine, où je me prépare mon petit-déjeuner. Je m'attable, mange mes petites tartines de confiture, et un bon chocolat chaud. Une fois terminée, je me dirige vers la salle de bains, pour prendre une douche. Si je pouvais, j'y resterais pendant des heures. Mais non, à la place, je dois me coiffer et me maquiller. Je ne suis pas le genre à me mettre la tête dans un pot de peinture, du coup, je me maquille tout jeune. Je me bats pendant 10 minutes avec mes cheveux, puis une fois dans la chambre, je reste planter devant l'armoire jusqu'à dénicher une petite combinaison bleu nuit.

En route pour le boulot, je me gare juste en face de la boutique. Merci mon dieu, je n'ai pas à faire dix fois le tour du quartier pour trouver une place. Ma voiture garée, je traverse puis je rentre dans le magasin, saluant tout le monde avant de rejoindre ma place dans l'arrière-boutique. Voilà, je suis prête à passer des heures à confectionner des vêtements. La journée se passe bien, les clients sont plutôt nombreux à faire des achats et c'est une bonne chose. Je finis par m'arrêter à 15h15, puisqu'il est l'heure pour moi de quitter la boutique pour l'hôpital. Je l'avoue, j'ai une petite boule au ventre. Je vais me retrouver avec le docteur, mais surtout Isaak. J'ai du mal à le comprendre, du moins, je n'y arrive pas. C'est un jeune homme spécial, mais bon, il ne connaît pas encore la Hayley chiante qu'il y a en moi. Je reprends donc ma voiture, puis je me mets en route jusqu'au parking de l'hôpital.

Dans le bâtiment, je me dirige directement vers l'accueil pour signaler ma présence. Je remplis quelques papiers, puis je monte au troisième étage, afin de me rendre dans la salle 28. Je tape quelques coups sur la porte, mais personne ne répond. En ouvrant la porte, je découvre que la salle est complètement vide. Parfait, c'est génial ! Je me demande ce que je fais là, enfin, généralement, Isaak est déjà là. Il est peut-être déjà avec le docteur, ou bien, il est en retard. Enfin, j'espère qu'il va venir, sinon je le retrouve et je l'étrangle. Je décide donc d'attendre ces messieurs, en regardant les outils qui se trouvent dans la salle. Pour certains, je ne sais pas ce que c'est, et encore moins à quoi ça sert.

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Isaak-A.

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Isaak-A. "Kopa" Sullivan
J'ai posé bagages ici le : 10/02/2015 Jouant le rôle de : le petit lion disparu, kopa. #teamlionking Nombre de messages : 355 On me connait sous le pseudo : caius (nico). Un merci à : strawberry insane (avatar) caius, kavinsky (signa). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : william beau "gorgeous" mirchoff.
MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyDim 15 Mar - 20:22

NOTABENE:

i can't speak but you know what i'm saying.
Le réveil, c'est vraiment ce que tu détestes le plus au monde. Cet objet insupportable qui tous les matins te vrille les oreilles en te disant que tu dois te lever pour aller bosser. Parfois tu te dis que tu serais mieux en étant sourd et muet et non pas seulement privé de la capacité à parler. En prime aujourd'hui, il te rappelle que tu dois aller à la faculté parce que tu as cours mais qu'en prime tu dois retourner chez ce pervers de médecin qui s'amuse à te toucher à des endroits inappropriés lors de ton auscultation pour ta maladie. Comme s'il avait besoin de te toucher le paquet ou les fesses alors que tu as une mutite. C'est pour ça que tu te dis que ton réveil tu lui foutrais bien un coup de marteau, seulement tu en as besoin, alors tu n'en fais rien. Alors que tu sors de tes draps bien chauds, tu remarques qu'il n'y a aucun bruit dans la maison, Luffy doit encore être parti, de toute façon il n'est quasiment jamais là, tu ne sais pas ce qu'il fou à longueur de temps, et parfois tu préfères ne pas le savoir. Ce gars c'est un électron libre, il fait ce qu'il veut quand il veut. Sérieusement, c'est vraiment agaçant. Pourtant tu l'apprécies et tu sais bien que lui aussi il t'aime bien, peut-être même un peu trop d'ailleurs. T'as bien compris qu'il en voulait à ton cul parfois, mais c'est pas que tu le trouves désagréable à regarder, mais c'est ton meilleur pote, et on ne mélange pas les deux. Enfin quoi qu'il en soit, tu attrapes une tenue de rechange et file dans la salle de bain pour faire ta toilette quotidienne et tu ressors tout frais avant d'aller manger un petit truc tout en regardant la télévision. Tu aimes bien visionner les infos traduites en langue des signes, c'est ça que t'aimerais faire plus tard, ce métier là. Bref, voilà que tu vas finir à la bourre en cours. Tu attrapes ta pochette avec ton ordinateur portable dedans et files en fermant la porte de la maison à clef derrière toi.

Mais malheureusement, même avec toute la volonté du monde, tu finis par arriver en retard en cours, alors que tu signes que tu es désolé en frottant tes deux mains l'une contre l'autre dans un geste circulaire, tu t'installes à ta place et sort tes affaires pour commencer un cours d'histoire sur la langue des signes. C'est plutôt ennuyeux, mais il faut bien la connaître, parce que les sourds et muets se sont battus pour avoir leurs droits et ils ne sont pas encore réellement intégrés à la société. Tu en es l'exemple même, muet mais pas sourd, tu navigues dans les deux mondes, celui des entendants et celui des non-entendants, et parfois c'est compliqué alors que tu peux te débrouiller mieux que les autres. La journée se passe sans incidents notables, et tu finis par attraper tes affaires pour te diriger vers l'hôpital à pieds, tu n'aimes pas user des transports de ce monde, ça pollue et ça abîme la planète, tu es encore un peu trop attaché à ton ancien mode de vie, cent pour cent naturel. Mais encore une fois tu vas arriver en retard, alors tu presses le pas, certains que le médecin va du coup passer à un autre rendez-vous, mais même là tu arrives avec du décalage de cinq minutes.

Alors que tu arrives au troisième étage, tu la vois. C'est vrai, tu avais oublié qu'elle était ta traductrice à l'hôpital, le seul endroit où tu en as réellement besoin, parce que tu ne vas pas t'amuser à écrire tout sur papier pour qu'on te comprenne. Avec Hayley, tu ne sais sur quel pied danser, tu la trouves sympathique, mais trop envahissante, pourtant au fond de toi, y a un truc qui te fait sourire quand tu la vois. Tu avances d'un pas plutôt rapide, hors de question que ça dure trois heures, et tu t'arrêtes à côté de la porte. « Bonjour. » Bien entendu, tu ne le dis pas en tant que tel, tu le lui signes pour qu'elle puisse te répondre avant d'appuyer sur la poignée. Sauf que le bureau est vide, il n'y a personne. Tu soupires avant de faire un signe de tête à ta traductrice pour aller s'asseoir dans la salle d'attente. Un infirmière finit par venir vous voir pour vous informer que le médecin aura beaucoup de retard à cause de sa tournée à domicile. Tu soupires longuement, ravis de devoir passer autant de temps avec la casse-pieds. En espérant qu'elle ne te saoule pas comme d'habitude et que tu saches garder ton sang froid.
©clever love.
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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyDim 15 Mar - 21:42

You can't speak, But i know what you're saying

ft. Isaak


« A Story by Isaak & Hayley »
Toutes les journées devenaient de plus en plus longues, c'est peut-être la saison, le temps qui me fait croire ça. Il faut dire que c'est dernier temps, la magie, enfin MA magie et mes ailes me manquent terriblement. Dans mon Ancien Monde, je n'avais qu'à utiliser la magie pour faire les choses. Là, je dois utiliser mes mains, pour coudre, découper, dessiner mes œuvres. Oui, je râle toujours autant, ça, ça n'a pas vraiment changé. Heureusement pour moi, il est l'heure de quitter la boutique. Je ressemble donc mes affaires, puis je retourne à la voiture, mais cette fois-ci, pour me rendre à l'hôpital où je suis bénévole. Je suis bénévole depuis un an environ, pour un jeune homme muet. Son cas semble rare, puisqu'il doit souvent venir, du coup, je dois pouvoir être libre pour faire la traduction de tout ce qu'il dit. Honnêtement, ça ne me dérange pas tant que ça. Il est agréable à regarder, et il semble charmant et gentil, enfin du moins il en a l'air. Ce qui me dérange, c'est qu'il n'est pas très ouvert. Je m'intéresse à lui, sauf que bien sûr, le jeune homme ne se confit pas à moi. Hélas pour lui, je suis chiante et tenace, j'aurais donc les réponses à mes questions un jour.

Après dix minutes dans le bâtiment, j'arrive enfin au troisième étage. Je pensais que je serais la dernière à arriver, mais non, je suis belle et bien la première. Bon et bien, je n'ai qu'à trouvé de quoi m'occuper. Finalement, Isaak arrive, après cinq petites minutes de retard. Je ne fais aucun commentaire là-dessus, après tout, je suis moi-même en retard parfois. Je lui souris, puis à mon tour, je lui signe Bonjour toi. Bon, je l'aurais bien taquiné, mais on ne va pas commencer, sinon il va finir par m'assommer. Nous décidons de nous asseoir dans la salle d'attente, espérant ne pas y rester longtemps. On reste silencieux, nos mains ne bougent pas et ne font donc aucun bruit. Je regarde la salle, arrêtant mon regard sur un charmant jeune homme qui se trouve dans le coin de la salle. Finalement, c'est une infirmière qui attire mon attention. Elle vient nous informer, que le médecin aura beaucoup de retard à cause de sa tournée à domicile. À ce moment-là, j'espère qu'elle nous fait une blague, mais non, je me retrouve bien coincée ici, avec l'homme qui ne veut rien dire sur sa vie. Et bien dommage pour lui, mais je vais être chiante plus tôt que prévue. Merci de nous avoir informés, dis-je en souriant à l'infirmière. Après quelques minutes de blanc, je me retourne vers Isaak, puis je commence à signer Alors comment c'est passé ta journée ?. Je pourrais lui parler, mais je n'en ai pas envie, puis ça me gêne de parler devant lui. Enfin, j'aime m'exprimer avec mes mains et puis au moins, je fais travailler un peu mon savoir sur cette façon de communiquer.

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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyLun 16 Mar - 20:38

i can't speak but you know what i'm saying.
Déjà qu'arriver en retard à ton rendez-vous médical te rend passablement maussade, parce que ce foutu médecin plus que pervers en aurait profité pour prendre moins de temps et te toucher un peu plus en détail. Tu ne dis cependant rien, car tu n'es pas fou, si tu le dis, on va te dire que tu profites du fait que tu sois muet et entre guillemets handicapé pour dire que tu veux toucher des aides sociales. Et comme ta traductrice ne le voit pas, impossible de dire quoi que ce soit. Bien que dire ne soit pas le mot adéquat vu que tu ne peux que signer ou écrire pour parler. C'est vraiment la merde ça. Mais apprendre que tu vas devoir passer du temps avec Hayley en attendant le pervers, ça te rend encore plus maussade. C'est le pompon sur le haricot là. Assis sur le fauteuil, c'est encore pire lorsqu'une infirmière vient pour vous annoncer qu'il aura au moins une heure de retard. Et merde, tu l'aurais su, tu n'aurais pas couru et tu ne te serais pas pressé. Parce que là, tu vas être obligé de rester avec l'espèce de folle qui prend tout à la légère et qui veut toujours en savoir de trop sur toi. Déjà qu'elle sait pas mal de trucs gênants sur ton corps, alors inutile d'en rajouter. Il y a des limites quand même, d'autant plus que tu es très timide, alors ne pas en rajouter ce serait la moindre des choses.

Tu te tasses sur la chaise, te préparant déjà psychologiquement au fait d'aller l'envoyer se faire voir dès la première question qu'elle va te poser. Non seulement tout ce qu'elle peut te demander ne la regarde pas, et en prime, vous n'êtes pas potes, enfin tu ne sais pas, tu ne vais pas lui déballer non plus que tu es pansexuel ou que t'aimes bien regarder des magazines pornos parce que tu es très porté sur le sexe comme tous les sourds et/ou muets. Alors que Hayley remercie l'infirmière d'avoir prévenu, tu la regardes, sûr qu'après quelques secondes de blanc, elle va déjà te sauter dessus pour te demander quelque chose sur toi. Et ça ne loupe pas, car elle entame directement. « Alors comment c'est passé ta journée ? » Tu soupires de soulagement, pour une fois ce n'est pas en rapport immédiatement avec ta personnalité. Tu réfléchis rapidement, bah disons que ta journée n'a pas été extraordinaire, tu as été en cours, et tu as fait une liste de courses parce que ton feignant de colocataire n'y pense jamais. « J'ai été à la fac et je dois aller faire les courses. » Il n'y a rien de plus à dire, alors tu te tournes rapidement dans le couloir pour voir si le médecin va arriver, mais c'est beau d'y croire. L'espoir fait vivre comme le dit le dicton.

Alors que tu regardes les autres personnes qui attendent dans la salle, tu en vois certains qui vous dévisagent. Putain, sérieux les gens, vous avez jamais un muet de votre vie ? Allez vous faire mettre quoi. Tu te tournes vers Hayley avec un air totalement exaspéré avant de signer avec le visage passablement énervé. « Tu peux leur dire d'aller tous se faire mettre et d'arrêter de me regarder comme ça ? » Tu finis par regarder tes chaussures et refait les lacets de tes chaussures en daim comme si tout était normal. Seulement, avant que Hayley n'ait pu dire quoi que ce soit aux gens, tu l'arrêtes en passant ta main devant son visage pour capter son attention. « Je suis pas une bête de cirque, dis leur ça plutôt. Parce que ça va faire émeute sinon. » Tu la regardes avec sourire malicieux avant de prendre ton téléphone portable pour envoyer un message à Luffy pour qu'il pense sérieusement à aller acheter de quoi bouffer, parce que encore commander pizza pour ce soir, ça te gonfle sérieusement.
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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyLun 16 Mar - 21:14

You can't speak, But i know what you're saying

ft. Isaak


« A Story by Isaak & Hayley »
Si j'avais su que le docteur serait en retard, je ne me serais certainement pas dépêchée. Quand je viens à l'hôpital, je le prends sur les heures de travail. Heures que bien entendu, je dois rattraper. On peut donc imaginer mon état d'esprit à ce moment-là, surtout qu'en plus de ça, je me retrouve bloquée avec Isaak. Quand je me retrouve seule avec lui, je fais tout pour en apprendre plus sur lui. Ça fait un an que je suis sa traductrice, et pourtant, je ne sais rien, mais alors rien du tout sur lui. Je connais tout juste son prénom, son nom et son âge, rien de plus, ça serait trop lui demander. Oui enfin, bien sûr, je ne me gêne pas, mais en réponse, j'ai souvent le droit à des vents ou à des "je n'ai pas envie de discuter". Sympathique non ?. Assise sur une chaise, je lui demande tout de même comment c'est passé sa journée. Il répond, mais en évitant de donner des détails. Super, au moins, je sais qu'il était à la fac et qu'il doit faire les courses. Si je lui demande ce qu'il aime manger ça serait trop non ? Enfin, pour sa part, il ne prend même pas la peine de retourner la question. Mon dieu, cette attente va être terriblement longue.

Je le vois s'agiter, se lever vers le couloir, mais je ne fais aucun commentaire. Je préfère prendre un magazine, regardant tout de même vers lui de temps en temps, histoire de voir si monsieur veut bien s'adresser à moi. Alléluia, je le vois signer en s'adressant à moi. Je me concentre donc sur ses mains, et j'aborde vite un air surpris en déchiffrant ce qu'il me raconte. Je hoche la tête, après tout, s'il veut leur dire de se faire mettre, c'est son problème. Euh, excusez-moi ?, dis-je aux autres patients, tout en me tournant vers eux. Alors que j'ouvre à nouveau la bouche, la main d'Isaak s'agite devant moi. Quoi ?, dis-je en levant mon regard, afin de le voir. Oui, d'accord, d'accord, je leur dis. Je lui souris, enfin faussement, puis je me retourne pour l'énième fois vers les autres patients. Je suis désolée, mais le jeune homme me demande de vous dire...et bien....vous pouvez tous aller, vous faire, mettre, je dis fière de moi. Ah ben, il a cherché, monsieur ne fait pas d'effort, je n'en fais pas non plus. Je suis sa traductrice, mais pas sa bonniche. Sur ce, j'attrape un nouveau magazine, sans même prendre la peine de regarder Isaak. Il doit sûrement me maudire, me traiter de tous les noms. Au même moment, un docteur entre dans la salle, pour appeler une maman et son grand fils.

Une fois la mère et le garçon en dehors de la salle d'attente, c'est autour du beau garçon de se lever. Il me regarde, je lui souris, sauf qu'il s'avance vers Isaak en lui faisant le regard qui tue. Aie, les ennuis commencent. Je bondis de ma chaise, et me retrouve en moins de deux entre les garçons.  Ohlalala tout doux jeune homme, je dois avouer, j'ai un peu exagéré les choses, dis-je en grimaçant. Dieu merci, un deuxième médecin entre dans la salle, cette fois-ci, pour l'appeler lui. Je le regarde partir, puis je reprends ma place sur la chaise.

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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyMar 17 Mar - 17:38

i can't speak but you know what i'm saying.
Bon d'accord, parfois tu dois avouer que tu es dur avec elle, tu devrais être plus agréable, car après tout, c'est bénévolement qu'elle est là pour toi. Elle n'y est pas obligée et franchement tu dois admettre qu'elle a une patience qui défie l'entendement. Tu en connais qui aurait déjà péter des câbles à devoir te supporter comme ça. A sa place, tu aurais déjà donné ta démission même si elle n'est soumise à aucun contrat. Ou du moins pas à ta connaissance. D'ailleurs l'hôpital ou la ville devrait lui reverser une somme d'argent mensuelle, car elle perd quelques heures de travail à cause de sa venue pour t'accompagner. Rien ne l'y oblige. Tu te demandes pourquoi elle le fait d'ailleurs. Parce que tu te doutes qu'elle ne le fait pas pour l'argent, ou qu'elle ne le fait pas pour améliorer sa langue des signes, et encore moins pour toi, parce que vu comment tu l'envoies chier tout le temps. La pauvre doit te haïr de tout son être en ce moment précis. En plus attendre avec toi pendant autant de temps, ça ne doit pas forcément la ravir. Mais tu dois quand même remarquer, que tu es heureux qu'elle s'intéresse autant à toi, parce que peu de monde le fait de façon aussi personnelle, c'est généralement plus de la curiosité face à ta différence, mais elle, c'est... justement différent. Et tu ne sais pas si tu détestes cela ou si justement tu apprécies.

Bon, par contre tu sais que Hayley est déjà en colère. Tu le remarques dans sa façon de se tenir et de se planquer à moitié derrière son magazine. D'accord, ça commence bien. Déjà que tu as fais un effort en lui disant ce que t'avais fais à la journée, elle te réplique dans la tronche qu'elle te fait la gueule. C'est quoi son problème au juste ? Quoi que tu fasses, ce n'est jamais assez bien, bah à force tu finis par te dire que tu ne feras plus rien et ce sera vite expédié comme ça. Bah non, mais quoi ? Faut pas pousser mémé dans les orties non plus, déjà que tu te casses le cul à ne pas l'envoyer paître méchamment, en plus elle boude. Parfois tu ne la comprends pas, comment veut-elle que tu t'ouvres alors qu'elle est tellement... instable elle-même ? Tu ne sais jamais sur quel pied danser avec cette fille. Tantôt tu la vois entrain de faire la folle pour amuser la galerie, mais à un autre moment tu peux la voir totalement renfermée et grognon. Probablement parce qu'elle a ses règles tous les mois. Tu sais que certaines filles sont vraiment irascibles quand elles les ont et c'est dans ces moments là tu dis que toi t'es heureux parce que t'as juste la trique le matin au réveil et que ça s'arrête-là.

Tu viens de demander à ta « traductrice » de dire aux gens dans la salle d'arrêter de te regarder comme si t'étais une bête de foire, t'espère juste que ça va être efficace. Tu détestes le regard des autres, parce que tu te sens comme si tu n'étais qu'une pauvre chiure qui ne méritait pas de vivre. Puis comme tu es très susceptible, tu prends vite la mouche. « Je suis désolée, mais le jeune homme me demande de vous dire...et bien....vous pouvez tous aller, vous faire mettre. » Tu te retournes d'un coup pour la regarder avec un air choqué, sauf qu'elle se cache encore une fois derrière un nouveau magazine. Non, mais sérieux, c'est quoi son problème ? Tu as la bouche grande ouverte, tu ne sais pas ce qui lui a pris, mais tu répliques immédiatement alors qu'elle ne te regarde pas. « Va changer ton tampon si t'as tes règles. » Non, mais n'importe quoi elle. En prime c'est un coup à avoir vraiment des emmerdes ça. D'ailleurs une mère et son fils s'en vont car appelez par un médecin et la femme te regarde de travers. Non mais vraiment Hayley abuse. Puis c'est autour d'un garçon de se lever sauf qu'il s'avance vers toi avec un regard plutôt menaçant. S'il croit qu'il te fait peur, son doigt il se le fourre dans l’œil et jusqu'aux couilles. Mais ma petite brunette réagit immédiatement pour éviter que la salle d'attente ne se transforme en ring. « Ohlalala tout doux jeune homme, je dois avouer, j'ai un peu exagéré les choses. » Oh, un peu. Non mais vraiment ? Bon sang, sérieusement, parfois tu la trouves exaspérante. Alors que tu la regardes s'asseoir et que le garçon s'en va tu lui fais vraiment les gros yeux et claque des doigts à côté d'elle pour capter son attention. Chez les sourds, ça ne veut pas dire qu'on prend les gens pour des chiens, mais c'est simplement un geste comme un autre pour qu'on regarder la personne qui a quelque chose à signer. « Un peu ? Tu te fous de ma gueule ? » Tu finis par te renfrogner encore plus dans ton fauteuil.

Mais alors que tu finis par te dire qu'elle est vraiment, mais vraiment exaspérante, tu te rends compte que parfois tu n'es vraiment pas mieux. Et parfois c'est vraiment un mot large qui veut dire quasiment tout le temps dans ton cas avec elle. Alors, tu te mets face à elle et tu commences. « Tu veux savoir ce que j'ai fais aujourd'hui ? Alors à sept heures je me suis levé, je me suis branlé dans mon lit puis après j'ai pris une douche. Ensuite j'ai déjeuné avant d'aller au lycée où j'ai bossé mon histoire de la culture sourd et muet puis je suis venu ici. » Tu la regardes avec un sourire sardonique tout en essayant de deviner ses expressions pour voir si tu as réussis à l'emmerder un peu. Voilà, elle ne peut pas, ne pas être contente, tu as parlé de ta journée, tu lui as révélé que le matin parfois tu te masturbes. Il lui faut quoi de plus ? Le nombre de mouchoirs que tu utilises pour t'essuyer aussi non ? « Contente ? » Pour dire cela tu serres ton poing avant de le tourner dans le sens des aiguilles d'une montre devant ton torse pour finir par la pointer pour bien dire que c'est à elle que tu t'adresses, et pour signifier que c'est une question tu fronces les sourcils tout en signant. Elle ne peut pas dire que tu ne lui parles pas et que tu ne lui dises rien de toi au moins maintenant. Et peut-être même que si elle est sage, tu lui laisseras te poser une question, n'importe laquelle – dans la limite du raisonnable – et tu lui répondras en toute honnêteté. Peut-être est vraiment important dans cette suggestion.
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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyMar 17 Mar - 22:12

You can't speak, But i know what you're saying

ft. Isaak


« A Story by Isaak & Hayley »
Si j'avais encore ma baguette, je jetterais sûrement un sortilège sur Isaak. Un sortilège qui le rendrait plus aimable et surtout, surtout beaucoup plus agréable. Bon, si on compare aux premières fois où l'ont s'est rencontré il y a un an, le jeune homme a fait un gros effort. À présent, j'ai le droit à un sourire et je sais au moins son âge, en plus de son nom. Si ce n'est pas magnifique tout ça, je ne sais pas ce que ça peut être. Non mais c'est vrai, je viens ici par plaisir, enfin du moins pour aider Isaak, que les médecins trouvent ce qu'il a. Je ne suis pas payée, c'est du bénévolat. Qu'est-ce que j'ai en échange ? Monsieur grincheux ! Tiens, il vient peut-être du conte de Blanche-neige en fait. Je crois qu'en fait, c'est mon gros cœur ne bisousnours qui me pousse à aider cet homme. Parfois, j'aimerais être mauvaise, suffisamment pour ne pas m'en faire. Mais non, au lieu de ça, je donne tout mon temps libre à traduire ce qu'Isaak me dit ou veut dire aux docteurs. Si après on me dit que je ne suis pas un ange, je vous jure que j'étrangle quelqu'un.

Assise avec lui dans la salle d'attente, je décide de l'embêter un petit peu. Non, le bon mot est emmerder. Oui, j'ai envie de l'emmerder et quoi de mieux que de dire ce qu'il veut que je traduite, mais sans enjoliver la chose. Après avoir lâché la bombe, je ne cherche pas à le regarder pour voir sa tête, bien au contraire, je fais tout pour l'éviter. La mère et son enfant quittent la salle, puis c'est au tour du charmant jeune homme de se lever, sauf que vu sa tête, il a juste envie de casser la tête d'Isaak. Au fond de moi, il y a une petite pompom girl qui hurle pour l'homme, voulant le voir écraser la tête d'Isaak contre le mûr. Mais d'un autre côté, il n'y a pas stupide conscience qui me fait bondir de ma chaise et me placer entre eux. Une fois que le jeune homme quitte la salle, je reprends place sur ma chaise et reprend mon magazine en main. Alors que je pense être tranquille, j'entends ces horribles claquements de doigts. Bon dieu comme je déteste quand il fait ça, je préfère encore recevoir un livre sur la tête. Je finis par le regarder, et à sa réplique, la seule chose que j'ai envie de faire, c'est un beau doigt d'honneur, sauf que je suis bien trop polie pour ça. Je jette le magazine sur la petite table basse, puis je lui signe détend toi, tu es beaucoup trop coincé sérieux Isaak.

Mon regard le suit, alors qu'il change de place pour être en face de moi. Voilà qu'il me raconte sa vie, je regarde ses mains pour comprendre ce qu'il me dit puis j'agite mes mains, faisant semblant d'être contente. Mon dieu, la partie où tu m'apprends t'être branlé m'a donné un orgasme, dis-je en levant les yeux au ciel, tout en me levant de ma chaise pour m'approcher de la fenêtre et regarder au travers. La rue est calme, il fait beau et moi, et bien, je me retrouve ici à devoir attendre un docteur. Je me retourne, m'appuyant contre la baie vitrée, tout en espérant au fond de moi qu'elle n'explose pas, sinon je rejoins le paradis, oui parce que je suis un ange, enfin une fée qui a le caractère d'un ange... En regardant la décoration, je remarque qu'il y a de petites fées dessinées. Ça me fait sourire, non en fait, je sens comme une piqûre au cœur, ma gorge se serre. Si seulement je pouvais retrouver mon ancienne vie, ça serait beaucoup plus simple. Alors que je sens les larmes venir, je secoue la tête, reprends mes esprits, puis je viens m'asseoir à côté d'Isaak. Je le regarde, puis je lui signe qu'est-ce que le docteur a dit la dernière fois ? Quand je n'étais pas là.

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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyMer 18 Mar - 18:57

i can't speak but you know what i'm saying.
Tu te crois souvent trop malin, trop fort par rapport aux autres, puis finalement c'est régulièrement la chute parce que ton manque de la parole te prouve que ta répartie n'atteint pas forcément les gens. Il n'y a qu'avec elle que tu peux jouer au dur de la sorte, parce qu'elle comprend absolument tout ce que tu dis. Tu n'es donc pas obligé de jouer dans la dentelle, tu peux faire ce que tu veux et l'envoyer chier comme tu l'entends. D'ailleurs, c'est un peu ton souffre douleur, elle te permet d’extérioriser ce qui ne va pas, de pouvoir te relâcher. Tu te comportes comme un parfait enculé avec elle, tu le sais, mais ça te fait un bien fou puis faut avouer qu'elle te rend bien la monnaie de ta pièce, la preuve avec ce qu'elle vient de faire. Provoquer les gens de la salle d'attente pouvait faire dégénérer les choses et provoquer une bagarre dans ce lieu n'est pas l'idéal. Encore que vous êtes déjà présent si jamais il y a un blessé. Mais bon, autant ne pas en abuser, puis même si tu sais te défendre et que tu gagnes souvent dans les affrontements, tu n'aimes pas te battre, tu préfères rester plutôt sage, bien que le mot sage ne convienne pas vraiment à ta personnalité. Tu n'es pas sage, t'es un peu un branleur et ça faut l'admettre, parce que derrière ta timidité, t'es sacrément un enfoiré de première quand tu t'y mets, pourtant tu es capable d'être vraiment adorable.

Tu viens de lui expliquer toute ta journée jusqu'à maintenant, tu lui appris que tu t'étais levé à sept heures du matin dans le but d'aller en cours, sauf qu'avant de sortir de ton lit, tu t'es masturbé comme tout bon garçon qui se respecte avant d'aller finalement prendre ta douche pour être tout propre et tout beau. Puis tu t'es rendu à la fac où tu as suivis tes cours d'histoire sur la culture sourde et muette. S'il y a bien un truc que tu détestes, c'est bien ça. Toi t'étais pas là quand c'est arrivé, tu n'es dans ce monde depuis deux ans, alors tu as des trucs apprendre, beaucoup de choses d'ailleurs. Mais c'est quelque chose que tu dois faire parce que c'est ton futur métier qui est en jeu, tu veux faire de la langue des signes ton futur emploi, devenir traducteur à la télévision ou pour de grandes personnalités, voilà de quoi réjouir ton futur et ton envie dévorante d'avoir une situation stable. Puis tu sais que si tu t'en donnes les moyens, tu peux y arriver. Puis le fait que tu ne sois que muet et non pas sourd en plus, ça te donne un avantage, parce que tu peux traduire naturellement tout ce que tu entends. Puis elle qui te dit de te détendre, non mais vraiment, elle veut que tu la détentes elle aussi non ? Mais sérieusement, c'était un coup à ce que tu te fasses refaire le portrait et franchement, si tu peux éviter, ça t'arrange fortement.

Elle t'a regardé signer sans rien dire, mais toi tu jubiles à l'intérieur de toi-même, tu viens de la prendre à son propre jeu. Pourtant, elle réagit au quart de tour en disant que oui elle est contente avant de déclarer à voix haute. « Mon dieu, la partie où tu m'apprends t'être branlé m'a donné un orgasme. » Vous levez les yeux au ciel en même temps avant qu'elle ne finisse par s'éloigner pour rejoindre la fenêtre. Tu ne réagis pas, tu ne dis plus rien, de toute façon, c'est inutile, parce que de toute façon tu ne veux pas lui parler à la base, tu veux qu'elle te foute la paix parce que tu ne veux pas que les gens en sachent trop pour toi, instinct de protection que tu as acquis à cause de ton exil total lors de ta première vie dans le dessin animé. Puis finalement elle se retourne vers toi et signe rapidement pour prendre des nouvelles de la dernière fois que tu es venu. « Qu'est-ce que le docteur a dit la dernière fois ? Quand je n'étais pas là. » Tu la regardes avec une furieuse envie de lui dire qu'elle n'avait qu'à être là si elle veut savoir. Mais non, il faut que tu arrêtes d'être tout le temps méchant comme ça avec elle. Elle ne te veut pas du mal, de toute façon tu penses même qu'elle est incapable de vouloir du mal à quiconque, trop folle pour ça, mais dans le bon sens du terme. « T'as fumé quoi ? T'étais là la dernière fois. » Tu la regardes avec un petit air amusé, narquois, juste pour l'emmerder et lui mettre le doute. Parce que même si tu ne veux pas être méchant, la taquiner et l'envoyer paître, c'est toujours possible. Puis finalement tu continues à signer pour lui dire la vérité. « Non, il m'a juste... tu penses à trifouiller contre ton gré, mais non, interdiction de le dire. Dit qu'en réalité ils n'avaient toujours aucune idée de l'origine de ma maladie. » En réalité ils savent que tu souffres d'une mutite qui se caractérise par une absence totale de cordes vocales dans ta gorge. Ainsi aucun son ne peut franchir tes lèvres, ni rire, ni grognement, absolument rien, à part ton souffle et un sifflement. Mais ils n'en savent pas l'origine et ils aimeraient bien la découvrir pour trouver une solution. Solution que tu refuseras, mais qui pourrait aider d'autres personnes dans le même cas que toi.
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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyJeu 19 Mar - 11:06

You can't speak, But i know what you're saying

ft. Isaak


« A Story by Isaak & Hayley »
Ça fait un an, un an que je supporte Isaak. Les premiers temps, c'était plutôt cool de passer du temps avec lui, car je l'aide à se faire comprendre. Je traduisais ce qu'il disait aux médecins, pendant quelques heures. Au fil du temps, ça devait insupportable de supporter son caractère. J'avais trouvé plus grognon que moi, c'est un exploit en soit. Quand j'étais une fée, je pensais mon temps à râler, je m'épuisais moi-même. D'ailleurs, si j'étais encore une fée, je lui aurais bien foutu ma baguette là où je pense ! Ça l'aurait calmé le temps d'un instant au moins. Par moment, je faisais exprès de ne pas le regarder, pour échapper à ce qu'il essayait de me dire. Je m'étais amusée à provoquer la salle d'attente, après tout, il mérite ce qui pourrait lui arriver. Il me traite comme un chien et encore, il serait capable de mieux traiter ce chien. La mère le fusillait du regard, tandis que le jeune homme était prêt à lui casser les dents.

Tout le monde finit par quitter la salle bien sagement, sans avoir frappé quelqu'un. Dommage, il y aurait eu un peu d'ambiance. Finalement, il se décida enfin à me signer ce qu'il avait fait de sa journée, en oubliant aucun détail. Je fais semblant d'être tout excitait, disant que je venais d'avoir un orgasme, puis je me lève pour aller vers la fenêtre. Je n'ai plus envie de faire d'efforts avec lui, pourtant, il le faut. Je n'ai plus envie de faire d'efforts avec lui, pourtant, il le faut. Quoique s'il continue comme ça, je vais prendre mes jambes à mon cou et il se débrouillera seul. Ouais bon, finalement, je décide de faire un effort et de venir m'asseoir à côté de lui et d'engager une nouvelle conversation. Le temps d'un instant, il me mit le doute, en disant que j'étais là la dernière fois. Je lui donne une petite tape sur l'épaule, tout en souriant puis je le regarde signer sa réponse.

À sa réponse, je fis une grimace, j'aimerais tellement qu'ils puissent trouver quelque chose. Ce n'est pas grave, ils trouveront bien un jour, je signe en finissant par poser machinalement ma main sur la sienne, avant de finalement me rendre compte de ce que je fais, et de la retirer. Enfin, tant qu'il ne te touche pas sexuellement, ça va. Non parce que sinon je lui fais bouffer ses outils de travail, je finis de signer, en secouant ma tête positivement. Je reviens, je finis par me lever, puis je sors de la pièce pour me rendre à l'accueil afin d'avoir des informations sur la venue du docteur. Après cinq minutes, je reviens dans la salle d'attente en faisant la tronche, puis je lui dis il devrait arriver dans une heure, une heure et demi. Je me repose finalement sur une chaise, cherchant ce qu'on pourrait bien faire d'intéressant.

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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyJeu 19 Mar - 21:40

i can't speak but you know what i'm saying.
Certains verraient le fait d'être sourd ou muet comme un handicap, une chose dont on voudrait absolument se débarasser. Alors que bon nombre de gens l'étant ne veulent pas « guérir » ; cela s'explique par une existence à part entière d'un monde sourd et muet. Il faut entendre par là, qu'ils ont une culture propre, que leur histoire, leur lutte est un héritage profond et ancré en chacun d'eux, ils se le communiquent de génération en génération. C'est un lien puissant qui les unit. Puis leur langue a tellement souffert, ils ont été persécutés à cause d'elle, brûlés vifs car considérés comme les suppots de Satan lors des grandes chasses de sorcières. Puis ils ont eu une reconnaissance de leur langue, elle est devenue officielle, tous pouvaient l'apprendre, mais plus les années sont passées, plus les sourds et muets se sont renfermés sur eux-mêmes, devenant autonome dans un monde qui ne s'adaptaient pas à leur différence. C'est seulement depuis quelques années que l'on fait des efforts pour les intégrer dans la société, chose qui ne se fait pas assez rapidement, mais les nouvelles avancées technologiques permettent d'améliorer les choses de façon radicale. Mais outre cela, généralement les sourds et muets détestent les entendants, ils n'aiment pas se mélanger à eux et préfèrent rester dans leur monde. La preuve en est, la plupart des mariages de personnes sourdes se font avec d'autres personnes sourdes et lorsqu'un couple de sourd a un enfant, ils sont prêt à abandonner leur progéniture si elle est entendante. Non, ceci n'est pas un mythe c'est une réalité. Dure à comprendre ou accepter, mais qui est telle quelle.

Toi dans quel monde tu te situes ? C'est compliqué à vrai dire, parce que tu n'es que muet, tu es donc capable d'entendre tout ce que l'on peut te dire, mais dans l'incapacité de pouvoir toi même parler oralement. Tu baignes alors autant du côté des entendants que des sourds et muets. Tu es un héritier des deux cultures. Ce qui fait que parfois, tu peux avoir des comportements que des entendants ne peuvent pas forcément comprendre de part ta mutite, mais aussi que les sourds et muets ne peuvent non plus comprendre du fait que tu comprennes absolument tout ce qui t'entoure. Cela fait de toi un individu complexe à appréhender, parce que la plupart des gens ne savent sur quel pied danser en ta compagnie. Il faut dire que toi même tu as du mal à te comprendre parfois, parce que tantôt tu agis comme ceci ou d'autres fois comme cela. La preuve en est, tu ne sais pas vraiment comment agir avec Hayley, parce que tu es tiraillé entre une sorte d'affection que tu lui portes parce qu'elle est toujours là pour toi, mais également entre le fait que tu ne veuilles pas trop te livrer par peur de souffrir encore après. Tu ne veux pas revivre ce qui t'es arrivé dans ton ancienne vie lorsque tu as aimé quelqu'un de la sorte. C'est donc pour cela que tu fais l'enfoiré avec elle, parce que tu ne veux pas trop t'attacher à elle car tu sais qu'en sa présence tu te sens bien.

Elle semble déçue de savoir qu'ils n'ont aucune solution à ta disparition de cordes vocales, mais elle ne sait pas non plus que la solution si jamais ils la trouvent, tu n'en voudras pas. Tu n'as jamais pu parler, et tu ne sais pas quel effet ça fait de sentir des cordes vocales vibrer dans ta gorge pour sortir un malheureux petit son. Tu n'as jamais connu, et tu as peur que ça ne te plaise pas, puis c'est tellement mieux de baigner autant dans le monde des sourds que dans le monde des muets, ça t'apporte des choses inédites. « Ce n'est pas grave, ils trouveront bien un jour. » Tu ne réponds rien à cela, tu ne fais que regarder le sol, dans l'espoir que ce moment passe le plus vite. Hayley est persuadé de te connaître, mais elle ne sait absolument rien de toi, un an de temps tu ne lui as rien dit sur toi, mais elle ne te dit rien sur elle non plus. Donnant donnant comme on dit. Sauf que tu n'es pas sûr de vouloir en savoir plus sur elle, si cela signifie s'attacher, tomber amoureux et finalement souffrir voire mourir à la fin. « Enfin, tant qu'il ne te touche pas sexuellement, ça va. Non parce que sinon je lui fais bouffer ses outils de travail. » Là tu relèves le regard vivement et le darde sur elle. Comment le sait-elle ? Puis tu me rends compte qu'elle ne fait là qu'une suggestion si jamais cela arrive. Sauf que tu ne sais pas comment elle fait pour ne pas avoir remarqué que c'est déjà le cas. Sauf qu'il le fait toujours de façon à ce qu'elle ne puisse pas le voir. Puis elle te dit qu'elle revient dans cinq minutes. Tu hoches la tête pour lui dire que tu as compris avant d'aller à la fenêtre pour regarder la ville face à toi. Tu réfléchis à pas mal de choses, notamment qui tu es. Cette vie où tu étais un lion te hante, et te manque. Enfin pas pour tout. Tu finis par l'entendre arriver et dire tout haut. « Il devrait arriver dans une heure, une heure et demie. » Oh putain, non mais sérieux, il fait chier à prendre son temps de la sorte, probablement pour tripoter encore quelqu'un ça. De toute façon avec lui c'est sûrement le cas.

Tu finis par revenir t'asseoir à côté d'elle en te laissant tomber sur la chaise. A moitié afalé, tu te baisses afin de sortir un chewing gum de ton sac et lui en propose un. Quitte à s'occuper, autant le faire dans les règles de l'art. Mais alors que tu te remets correctement en position assise, tu réfléchis, tu te demandes quelque chose, elle veut en savoir plus sur toi, mais quoi de plus simple que de lui raconter que ce qui la concerne elle en fonction de toi. Ou plutôt... Enfin plutôt que de penser à des choses compliquée, tu te mets à signer pour qu'elle le sache. « Même s'ils trouvent une solution à ma mutite, je n'en voudrais pas. » Tu dis cela avec un sérieux inébranlable. Comme tous ceux qui parlent la langue des signes, les expressions du visage ne trompent pas. Il n'y a pas que les signes, tout ce qui est faciès compte énormément voire même plus que les mots que l'on peut signer. Les expressions faciales donnent le sens de ce que l'on dit, des indications pour savoir si ce que l'on veut dire est sérieux ou pour plaisanter, un peu comme une intonation de voix. Tu finis par enchaîner avec une explication. « Je suis fier de ma différence, ma culture est double et c'est un atout dont je ne veux pas me séparer. Même si c'est dur, c'est ce que je suis, la difficulté me rend fort. » Tu finis par détourner le regard, un peu gêné de lui avoir expliqué tout cela, toi qui d'ordinaire n'est qu'un livre fermé dans lequel il n'est pas possible de lire pour savoir le fond de ta pensée. Tu viens de te dévoiler, de lui expliquer une des choses fondamentales de ta vie. Comme tu lui as signé, ta mutite, c'est qui tu es, c'est ce que tu es, et tu ne changerais cela pour rien au monde.
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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyVen 20 Mar - 11:37

You can't speak, But i know what you're saying

ft. Isaak


« A Story by Isaak & Hayley »
J'ai la chance de pouvoir parler, contrairement à Isaak. Je ne sais pas ce que ça fait, de n'avoir jamais eu la chance d'avoir des cordes vocales. Contrairement à moi, Isaak ne connaît pas le son de sa voix et ne la connaîtra jamais. Par moment, je ressens de la peine pour lui. Il y a deux ans, j'aurais tout fait pour retrouver ma magie, l'utiliser comme autre fois, pour faire apparaître de petits gâteaux, m'éviter de faire le ménage ou me changer rapidement. Aujourd'hui, elle me servirait grandement pour aider Isaak. Bon, il faudrait d'abord qu'il soit au courant que je suis une ancienne fée, mais il me trouve déjà suffisamment folle pour en rajouter. Quoique, j'aimerais bien voir sa tête en lui révélant mon petit secret.

Pour le moment, tout ce que je souhaite, c'est sortir de cette salle. Que le docteur arrive enfin, qu'on commence notre séance et que je puisse enfin rentrer chez moi pour prendre un bon bain. Au lieu de ça, j'ai provoqué quelques patients en reprenant la première traduction d'Isaak. J'étais fière de moi, de ma petite vengeance personnelle, bien que ça ne le fasse pas rire. Aucun humour, je vous jure. Finalement, au bout d'un moment, je me décide à lui demander des nouvelles, n'ayant pas pu venir la dernière fois. Il ma taquine, puis il signe finalement qu'il n'y a rien de nouveau. Une grimace se dessine sur mon visage, puis je lui signe qu'ils trouveront bien une solution. Je le taquine à mon tour, disant juste espérait que son docteur n'ait pas de geste déplacé. Bon dieu, si seulement j'avais capté ses gestes, je lui aurais déjà mis une droite. Nous allons devoir encore attendre un moment, avant de voir le médecin arriver.

Je regarde mes pieds, laisse mon esprit s'évader, mais Isaak me sort vite de ma rêverie. Je le regarde, porte mon attention sur ses mains, puis son visage. Sa phrase me laisse sur le cul, je suis, bouche bée. Pourquoi passer notre temps ici, si au final, ce n'est même pas pour accepter une solution. Pourquoi passer notre temps ici, si au final, ce n'est même pas pour accepter une solution. Enfin, le jour où ils en trouveront une. Je ne sais pas quoi dire, c'est alors qu'il ajoute une explication à son choix. Je comprends que tu aimes être différent, je l'étais il y a fort longtemps, je finis de signer puis je me lève pour retourner à la fenêtre. Je finis par me retourner et signer à nouveau Pourquoi tu perds ton temps ici dans ce cas ? Ton docteur est un peu spécial sur les bords et tu ne me supportes pas, alors pourquoi ?. Je croise les bras contre ma poitrine, restant debout contre la fenêtre.

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J'ai posé bagages ici le : 10/02/2015 Jouant le rôle de : le petit lion disparu, kopa. #teamlionking Nombre de messages : 355 On me connait sous le pseudo : caius (nico). Un merci à : strawberry insane (avatar) caius, kavinsky (signa). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : william beau "gorgeous" mirchoff.
MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyVen 20 Mar - 23:15

i can't speak but you know what i'm saying.
Tu viens de te confier à cette fille. C'est bien la première fois que cela t'arrive. Qu'elle ne s'y habitue cependant pas trop vite. D'autant plus que ce que tu lui as révélé la concerne également vu que c'est elle qui traduit ce que tu signes au médecin qui a ton dossier en charge. Tu considères donc qu'elle a le droit de savoir pourquoi tu es là et surtout pourquoi, elle, elle est là également. Elle en connaît les grandes lignes, elle sait que j'ai une mutite, caractérisée par une absence totale de cordes vocales qui font que je sois muet. Mais elle ne sait pas que je suis né comme ça ou plutôt que je suis né sous une autre forme – à savoir un lion – et que je viens d'un monde de dessin animé. D'ailleurs presque personne n'est au courant, tu as bien trop peur qu'on te prenne pour un malade mental et qu'on t'envoie immédiatement en maison psychiatrique pour des troubles que tu n'as pas. Ça non, tu n'es pas cinglé. Tu as vraiment été un lion, et tu le ressens dans les moindres muscles de ton corps, ils se souviennent des longues courses, du vent qui leur donnait du tonus. Et dès ce foutu sortilège, qui t'a permis de revenir à la vie, voilà que l'esprit du lion est devenu enfermé dans un corps d'humain, tout aussi muet que tu avais pu l'être dans le passé. C'est une chienne de vie que tu subis désormais.

D'ailleurs, tout cela te manque, tu aimerais bien pouvoir redevenir l'animal que tu étais, pouvoir courir dans de grandes étendues sauvages. C'était tellement divin de pouvoir s'amuser d'un rien, de chasser pour trouver sa nourriture, de lutter contre les affres de la nature et non pas contre tes semblables actuels. Tu détestes ta condition humaine, même si tu dois cependant admettre qu'il y a des choses qui te plaisent quand même. Comme le fait que tu puisses quand même communiquer, ou les personnes que tu as rencontré. Dans ton ancienne vie, tu n'avais pas vraiment d'amis, tu n'avais que ta famille et d'autres lions, mais ce n'était pas la même chose qu'actuellement. Là tu as des personnes auxquels tu tiens vraiment et que tu ne veux absolument pas perdre. A la vie à la mort comme dit le dicton. Et même si tu n'aimes pas la tournure du monde, pollué, industrialisé, tu dois cependant admettre que c'est mieux comme cela pour toi, parce que tout est bien plus facile. Ta vie est bien plus facile et si quand tu étais lion, ce n'était qu'une question de survie, maintenant tu as le droit de vivre, tu peux enfin dire que tu vis.

Tu la vois un peu choquée suite à ce que tu viens de lui révéler. Elle doit probablement se poser un tas de questions. Questions auxquelles tu voudras bien répondre, seulement si tu juges qu'elles n'empiètent pas trop sur ta vie privée. Mais finalement Hayley reprend ses esprits, tu le vois à son regard, la vivacité qu'il reprend, tu vois qu'elle a une question qui lui brûle les lèvres. Elle veut des explications, parce que celle que tu viens de délivrer ne lui suffisent pas pour justifier ton choix. « Je comprends que tu aimes être différent, je l'étais il y a fort longtemps. » Pour le moment ce n'est pas une question et tu ne comprends pas ce qu'elle veut dire par il y a fort longtemps. Elle est jeune, elle ne peut pas avoir vécu il y a si longtemps que cela, ce serait vraiment trop étrange. A moins qu'elle n'ait le syndrome de la fille dans Esther là, mais ça serait encore plus flippant. « Pourquoi tu perds ton temps ici dans ce cas ? Ton docteur est un peu spécial sur les bords et tu ne me supportes pas, alors pourquoi ? » Tu la regardes étonné. Là c'est à ton tour d'être plutôt hébété face à ses questions. Que répondre à cela ? Tu te le demandes. Tu peux y répondre à une, mais à la seconde, c'est plus compliqué. D'accord ton médecin est plutôt étrange et trop collant, sans dire carrément insistant, mais elle... tu ne sais pas quoi ressentir à propos d'elle. C'est tellement étrange, tu te sens bien avec elle mais elle est trop pressante et veut trop en savoir sur toi. Tu la regardes alors qu'elle est de nouveau devant la fenêtre sans savoir que répondre.

Pour finir tu te lèves à ton tour avant de commencer à t'approcher d'elle pour venir vers la fenêtre et être plus proche d'elle. Il faut bien que tu te lances, parce que c'est la politesse de lui répondre à ce moment précis. D'ordinaire tu ne te serais pas embarrassé de ce genre de choses, mais là, il le faut. Tu lèves tes mains prêt à signer pour finalement lui dire le pourquoi du comment. « Je n'en veux pas, mais si je le fais, c'est pour les autres, ceux qui ont le même problème, qu'ils aient une chance. » Elle comprend donc que tu n'es pas qu'un enfoiré qui s'en fou des autres et que malgré tout, tu as un cœur comme tout le monde. On ne te voit pas comme ça au premier abord, mais tu es réellement altruiste. Tu aimes aider les autres et tu en fais une priorité, même si pour cela tu dois passer après cela. « Et je ne te déteste pas, c'est juste que t'es chiante avec tes questions tout le temps sur moi. » Tu termines de signer avant d'aller chercher ta valisette et d'en sortir quelque chose qu'elle ne peut pas voir. Tu lui fais signe de te suivre pour aller dehors, prendre un peu l'air. De toute manière il y a le temps, le médecin n'arrivera pas avant au moins une heure. Et rester enfermé c'est pas quelque chose que tu aimes. Tu as besoin de liberté, compréhensible vu que tu étais un lion dans une autre vie. Une fois que tu arrives dehors, tu sors le paquet de cigarette que tu avais pris avant d'en prendre une et de l'allumer. Tu la regardes avec des yeux qui lui disent clairement de ne pas faire de commentaires. Tu cales ta cigarette entre tes lèvres avant de signer à nouveau. « C'est mal, je sais, mais je suis tombé dedans et impossible d'arrêter même si j'essaye. » C'est la pure vérité, tu n'inventes rien là. Tu as déjà essayé d'arrêter de fumer, mais tu replonges immédiatement dès que tu vois quelqu'un avec une cigarette et comme énormément de monde fume, ce n'est pas évident.
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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptySam 21 Mar - 11:14

You can't speak, But i know what you're saying

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Le monde magique me manque, mes aventures là-bas avec Flora et Pâquerette me manquent. Nous volions là où nous le voulions, on utilisait notre magie comme on le voulait, bien que Flora était toujours entrain de me gronder. J'étais la plus jeune de nous trois, bien qu'on ait plus de 1000 ans. Je devais donc respecter les ordres des deux autres, bien que ça m'énervait plus qu'autre chose. Je déteste qu'on me donne des ordres, c'est une chose horrible. J'étais une petite fée bleue libre, marraine d'une magnifique petite Princesse. Dans ce Monde, il faut aussi que je respecte les ordres : sur le lieu du travail, à l'hôpital ou bien dans d'autres lieux. Je n'ai pas beaucoup d'amis et la seule personne que je vois plusieurs fois par semaine, et la seule qui ne veut rien dire sur elle. Un an, tant de mois que j'essaye de faire parler Isaak, mais non, il ne veut rien dire !  

J'en suis donc arrivée à un point, à me dire qu'en fait, il me déteste. C'est la seule raison que je vois, non parce que niveau caractère de cochon, le sien est aussi horrible que le mien. Alors qu'on attend bien sagement dans la salle d'attente, Isaak se décide enfin de se confier. Il m'avoue ne pas vouloir de cette solution, celle que les docteurs pourraient trouver un jour. Ça m'étonne, pourquoi ne pas en vouloir ? Il me donne alors sa raison. Ok, c'est son choix, je n'ai rien le droit de dire là-dessus, mais bon dieu pourquoi nous faire perdre notre temps ici ? D'autant plus, qu'il ne me supporte pas. Enfin, je me retourne, pour faire face à la fenêtre, regardant ce qu'il se passe dans la rue. Il avoue ensuite, qu'il ne me déteste pas, mais qu'il me trouve juste chiante à poser pleins de questions. Alors là, c'est trop, il m'a mise en colère. Excuse-moi de m'intéresser à la personne avec qui je passe 98 % de mon temps, excuse moi de poser des questions, après tout, ce n'est pas comme si on se connaît depuis un an !, je lui signe complètement énervée. Voilà, jusqu'à présent, j'étais calme, et là, je suis devenue une vraie petite bombe.

Il s'éloigne pour retourner à nos fauteuils, pour faire, je ne sais quoi. Regardant par la fenêtre, je vois sa silhouette se retournait vers moi. Levant les yeux au ciel, je me retourne à mon tour, on ne sait jamais, s'il est entrain de me signer quelque chose. Finalement, il me fait juste un signe de le suivre. Je le regarde partir, puis en soufflant, je ramasse mon sac et décide de le suivre. Marchant derrière lui, je le suis le long du couloir, amenant à une petite cour. Ça fait du bien de respirer l'air frais, je n'aime pas être enfermé, quoique à ce moment-là, j'ai juste envie de me retrouver seule. Je reste à quelques mètres de d'Isaak, le regardant sortir un paquet de cigarettes. Je lève les yeux au ciel, levant les mains comme si j'en avais rien à faire, tout en passant devant lui pour m'asseoir sur un banc. Tu le regardes te signer, disant que c'est mal, mais qu'il n'arrive pas à s'arrêter. Je ne lui réponds pas, que ce soit avec mes mains, ma bouche ou une expression de mon visage. Je préfère tourner la tête, regarder un petit groupe d'enfants qui est à l'intérieur et qui s'amuse. J'en profite pour sortir une petite barre de chocolat de mon sac, de la sortir de son emballage et d'en prendre quelques bouchées. C'est fou comme j'aime ces petites barres, elles me rendent folle depuis deux ans. Bien qu'à ce moment-là, le goût du chocolat et gâchait par l'odeur horrible de cette foutue cigarette.



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J'ai posé bagages ici le : 10/02/2015 Jouant le rôle de : le petit lion disparu, kopa. #teamlionking Nombre de messages : 355 On me connait sous le pseudo : caius (nico). Un merci à : strawberry insane (avatar) caius, kavinsky (signa). Je suis fier(e) de porter l'avatar de : william beau "gorgeous" mirchoff.
MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptySam 21 Mar - 15:24

i can't speak but you know what i'm saying.
Tu te rends finalement compte que tu n'es pas sympathique avec elle. Elle n'est pas obligée de venir, elle pourrait te laisser te débrouiller avec les médecins, mais elle ne le fait pas. Elle vient à chaque fois que tu as un nouveau rendez-vous à l'hôpital pour traduire ce que tu as à dire. Tu ne devrais pas être aussi méchant, mais au fond de toi, il y a quelque chose qui te pousse à l'être, cela tout simplement parce qu'elle veut trop en savoir sur toi et ça tu ne le supportes pas. Elle te pose toujours tout un tas de questions auxquelles tu n'as pas envie de répondre tout simplement parce qu'il n'y a rien à dire. Tu n'es pas extraordinaire, tu es quelqu'un comme tout le monde, un simple garçon parmi tant d'autres. A part que tu viens d'un autre monde, qu'à la base tu étais un personnage de dessin animé que l'on a transféré dans un monde qui n'est pas le sien. Mais ça tu n'as pas envie qu'on le sache alors tu ne le dis à pratiquement personne. D'ailleurs le nombre de personne au courant doit pouvoir se compter sur les doigts de tes deux mains. Tu n'arrêtes pas d'envoyer chier Hayley et peut-être que tu ne devrais pas après tout, parce qu'elle use de son temps pour toi. Alors qu'absolument rien ni personne en l'y oblige. Tu te doutes qu'au fond d'elle, cette fille est un vrai trésor, la bonté qui se réincarne ou se personnifie.

Tu l'as énervé après lui avoir répondu que tu ne la détestais pas mais que tu ne voulais pas qu'elle te pose autant de questions. Tu l'as très bien compris. C'est aussi en partie pour cela que tu as voulu sortir. Même si tu avais envie de fumer, il faut qu'elle s'aère l'esprit, parce qu'être enfermé autant de temps avec quelqu'un comme toi pour seule compagnie ça ne doit pas être évident à gérer. Il faut admettre qu'elle est persévérante par contre, elle ne lâche pas l'affaire d'où le fait que tu sois de plus intrigué par cette fille qui souhaite absolument en savoir plus sur toi. Que veut-elle réellement ? Tu ne le sais pas vraiment et à vrai dire tu ne souhaites pas le savoir. Être dehors entrain de fumer t'aide à te changer les idées, ça t'occupe l'esprit à autre chose que de se torturer pour tenter de la comprendre et de comprendre ses motivations. Tu devrais t'excuser d'être comme cela, mais tu n'y peux rien, c'est ta façon d'être. Tu te caches, tu ne veux pas que les gens puissent en savoir trop sur ta personne, parce que si c'est le cas, tu as peur que ça redeviennes comme avant, que quelqu'un te fasse du mal à cause de cela. Voilà pourquoi tu préfères que peu de monde en sache sur toi. C'est bête ici, les choses sont différentes mais avec le traumatisme que tu as vécu dans ton autre vie, tu ne peux agir différemment.

Elle n'a rien dit pour la cigarette, mais tu as bien vu que ça ne lui plaît pas. Oh puis c'est bon, tu n'es plus un enfant, tu as l'âge de décider si tu veux fumer ou non, ou si tu veux faire ceci ou cela. Personne n'a rien à te dire pour les mauvaises habitudes que tu as pris, tu es adulte aux yeux de la loi, alors c'est comme cela et pas autrement. Tu la vois regarder les enfants qui jouent un peu plus loin et tu te dis que tu étais comme ça avant de mourir, toujours à vouloir jouer, à t'amuser avec les rares amis que tu avais, parce que c'était ça le monde de l'enfance. Maintenant tu es adulte et tu dois faire avec, même si tu aimes toujours autant faire le fou et repousser tes limites. Et quand elle sort une barre chocolaté, tu souris doucement. Ah, tu ne savais pas qu'elle était gourmande, voilà quelque chose à noter. Et là tu te rends compte qu'en réalité c'est ce genre de chose qu'elle aimerait savoir sur toi. Sauf que voilà, tu n'es pas forcément prêt à le lui dire tout cela. Une fois que tu as terminé ta cigarette et que tu l'as mise dans le cendrier prévu à cet effet, tu viens t'asseoir à côté d'elle. Ne sachant pas trop quoi faire, tu restes là, comme un idiot, les mains sur tes cuisses.

Tu finis par te retourner vers elle, tu tentes de plonger son regard dans le sien, sauf qu'elle l'évite réellement. Tu ne sais pas comment agir dans ses conditions là, tu aimerais qu'elle te regarde, qu'elle voit que tu veux lui parler, mais c'est vain, elle t'évite. Tu finis par venir te mettre devant elle et tu veux absolument qu'elle te regarde. Une fois que tu as capté son regard, tu commences à signer en signant son prénom. Ah en parlant de cela, chaque prénom est définis en fonction du physique ou du caractère de la personne, un prénom en langue des signes peut changer, puisqu'il peut évoluer au fur et à mesure de l'existence de la personne. Celui de Hayley c'est le bleu que tu fais aller sur ton tout le torse, elle adore le bleu et en porte souvent, alors quoi de plus normal ? Le tien c'est plus compliqué, c'est le I que tu mets devant ta bouche, le signe muet changé pour te correspondre. « Hayley, écoute, je suis désolé. » Tu ne dis rien de plus, tu finis par retourner t'asseoir à ses côtés et rester là, à regarder l'extérieur industrialisé et laisser le vent caresser ta peau.
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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptySam 21 Mar - 19:48

You can't speak, But i know what you're saying

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« A Story by Isaak & Hayley »
Honnêtement, je me demande ce que je fais ici. Pourquoi est-ce que j'ai perdu un an, à être présente pour quelqu'un qui en a strictement rien à faire de moi. Non mais c'est vrai, en un an, on aurait pu devenir amis. Parfois, je croise des binômes, des couples qui bossent ensemble dans la joie et la bonne humeur. Ça me fait de la peine, car Isaak et moi pourrions être comme eux. On pourrait parler de tout et de rien, au lieu de ça, je me contente de traduire ce qu'il dit et lui, il se contente de faire la tronche. Je ne le connais pas, je ne sais pas qui il est vraiment, mais ce qui est sûr, c'est que je ne l'ai jamais vu rire ou sourire sincèrement. Je suis peut-être folle et curieuse, mais lui, il est grognon et triste à mourir. Même quand j'essaye d'être marrant, il me fait ce regard de tueur.

Enfin, au moins maintenant, je sais qu'il me trouve chiante. Ah ben ça fait toujours plaisir d'apprendre ce genre de chose. La chiante elle au moins, prend le temps pour s'occuper, si on peut dire, de lui. Et on ne me paye même pas pour ça ! Je n'ai même plus envie de lui parler, ou même de le regarder. Je me contente de le suivre dehors, ça me fera du bien d'être à l'air libre. Il fume, ben voyons aggrave ton cas mon grand ! Je préfère ne rien dire, je suis bien trop occupée à bouder, puis c'est sa vie, sa santé, je n'ai rien le droit de dire sur ça. Sinon, il risquerait de me trouver doublement chiante. Non, je préfère m'asseoir sur un banc, regarder les enfants malades qui s'amusent et qui rigolent. Je devrais peut-être leur laisser Isaak, ils arriveraient peut-être à le dérider.

Enfin bref, je continue à regarder les enfants, regardant par moment autour de moi, tout en mangeant ma petite barre de chocolat. Je le vois bien, il essaye de capter mon attention, mais je n'ai toujours pas envie de le regarder, j'évite donc tout contact avec le jeune homme. Finalement, il trouve le moyen de se mettre en face de moi. Je le regarde, il est entrain de me signer qu'il s'excuse avant de venir s'asseoir à côté de moi. Woah, Isaak Sullivan vient de s'excuser, est-ce que quelqu'un a eu le temps de filmer cette scène ? Histoire que je puisse la regarder plus tard ? Plus sérieusement, je baisse mon regard sur ma petite barre de chocolat. Je me retourne légèrement, afin de faire face à Isaak. Je finis ma barre, m'essuie les mains avec un mouchoir, puis je lui signe je ne sais pas pourquoi tu ne te confies pas à moi, mais Isaak, je ne te veux pas de mal, tu sais. Bien au contraire, je veux juste que tu sois heureux, mais j'aimerais te connaître.... Je lui souris, tendrement tout en plongeant mon regard dans le sien. Bien s'il ne veut pas me parler, je n'ai qu'à attendre qu'il soit en confiance, bien que dans 5 ans, on en soit encore au même point.



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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyDim 22 Mar - 0:58

i can't speak but you know what i'm saying.
Tu te demandes parfois si tu es réellement comme les autres. Outre le fait que tu sois muet, parfois avec les gens, tu deviens méchant alors qu'au fond tu ne l'es pas. Mais c'est ton côté secret qui te rend ainsi, parce que tu ne sais pas si tu peux faire confiance aux gens, tu ne le sais tout simplement pas. On t'a fait du mal dans le dessin animé parce que tu étais trop transparent, tout le monde savait tout de toi et ça t'a mené à ta perte finalement. On savait que tu étais amoureux de cette jolie lionne et elle s'en est servie pour te forcer à t'exiler de ton plein gré en menaçant ta famille. Tu as préféré l'écouter pour ne pas risquer la vie de tes proches. Sauf que c'est la tienne qui a été en danger, tu as couru de nombreux dangers. Avant de périr, lacéré de la faute des vautours et un œil crevé par ceux-là également. Voilà pourquoi tu ne veux pas que les gens en sachent de trop sur ta personne, trop peur que cela finisse comme la première fois, même si les moyens de protection sont beaucoup plus avancé dans cet endroit qui n'est décidément pas le tien. Sauf que cela est beaucoup plus sûr pour toi et tu as de meilleures chances de réussir. Tu n'étais qu'un fardeau pour ta famille, un boulet qui ne servait à rien, ici, tu peux devenir quelqu'un et tu es prêt à saisir cette opportunité.

Maintenant que tu es là, tu te poses de plus en plus de questions. Est-ce que tu as raison d'agir de la sorte ? S'il y a bien une personne en qui tu peux faire confiance c'est bien en cette fille. Elle t'accompagne depuis plus de deux ans, elle t'as vu dans des états peu probables, malades comme pas possible, dans une tenue plutôt simplistes en caleçon par exemple. Et elle n'a jamais fais aucun commentaire, elle est simplement là pour t'aider. De toute manière, elle est bien trop folle sur les bords pour avoir ne serait-ce que l'idée de te faire du mal. Mais malgré tout cela, ton besoin de rester secret ne te lâche pas. Tu devrais t'ouvrir aux gens. Cela t'ouvrirais et tu ne serais pas autant sur la défensive à longueur de temps. Peut-être même que tu découvrirais que les gens ne sont pas tous aussi méchants que l'étaient la lionne qui t'a causé de telles infamies dans ton ancienne vie. Seulement, on répète tout le temps que les gens de ce monde sont des enfoirés et que tu ne peux faire confiance à personne. Tu ne sais donc pas quoi penser, parce que tout est trop confus dans ta tête.

Alors que tu viens de lui dire que tu es désolé – ce qui est un exploit soit disant passant – tu t'es de nouveau assis à ses côtés. Voilà que tu doutes de tout. De ce que tu es et de ta vision du monde. Seulement, tu n'es pas encore prêt à l'abandonner, il faudrait que tu prennes le temps d'y réfléchir. Il faut que tu saches comment appréhender cette nouvelle vue du monde. Il semble d'ailleurs qu'elle est toute autant étonnée que toi à propos du fait que tu te sois excusé pour l'avoir encore une fois de plus envoyé chier d'une façon peu orthodoxe. Elle termine sa barre chocolatée avant de s'essuyer les mains et de les mettre en marche pour signer. « Je ne sais pas pourquoi tu ne te confies pas à moi, mais Isaak, je ne te veux pas de mal, tu sais. Bien au contraire, je veux juste que tu sois heureux, mais j'aimerais te connaître. » Voilà qu'elle te sort la carte de la mère poule. Sauf que ta mère, tu ne sais pas où elle est et tu ne sais même pas si elle est ici, à Fantasia Hill. Mais malgré tout cela, tu trouves cela sympathique qu'elle t'assure qu'elle ne te souhaite aucun mal. Son regard bienveillant vrillé dans le tien te met cependant mal à l'aise et tu te mets à rougir, et à te tasser sur toi même. C'est ça le problème avec les sourds et muets, dès qu'ils ressentent quelque chose, cela se voit immédiatement sur leur visage et dans leurs expressions corporelles. Et là, c'est le cas, on voit que tu es gêné, malheureusement.

Oh puis au diable les habitudes. Tu reprends tes esprits rapidement en passant l'une de tes mains dans tes cheveux afin de le remettre en place. Puis tu réfléchis à quelque chose pendant quelques secondes, comme si tu cherchais ce que tu voulais dire, ce qui après tout est à peu près le cas. Seulement, il faudrait que tu commences par le début. « Si je ne me confie pas, c'est parce qu'il n'y a rien à dire, je ne suis pas différent des autres. » Ça c'est vrai, la seule chose qui est différente chez toi c'est le fait que tu sois muet, et rien d'autre. Tu es un homme comme un autre, tu as les mêmes rêves, les mêmes attentes dans la vie et tu n'aspires à rien d'autre à être heureux. Voilà le plus important après tout non ? Tu fais une pause dans tes gestes mais avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit d'autres, tu enchaînes. « Tu veux en savoir un peu plus ? Je veux bien répondre à deux questions, mais si elles sont trop personnelles, je me garde le droit de ne pas répondre. » Oui, tu es dans un jour de bonté, et comme tu l'as pensé tout à l'heure, au diable les habitudes. Puis cela ne veut rien signifier du tout puisque tu te gardes le droit de refuser de répondre à une question si tu la trouves trop embarrassante. Voilà que tu fais un pas vers elle, chose rare. Tu dois beaucoup la surprendre aujourd'hui, il n'est pas trop tard d'ailleurs, après un an à la côtoyer une ou deux fois par semaine, c'est peut-être le moment de commencer quelque chose de nouveau non ?
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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyDim 22 Mar - 20:20

You can't speak, But i know what you're saying

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Je me demande ce que j'ai bien pu faire, pour qu'il me déteste autant. Non mais c'est vrai, j'essaye de m'intéresser à lui, comme tout autre personne ferait, mais non, pour lui, c'est beaucoup trop. C'est vrai que lui demander quel est son plat préféré, est plus grave que si je lui avais demandé s'il était vierge. Je l'ai déjà vu en boxer, mais oui, bien sûr savoir quel film il aime est beaucoup plus important. Enfin bref, parfois, je me dis qu'il faudrait que j'arrête tout ça, que je cesse de prendre du temps pour lui et que je m'occupe plutôt de moi-même et du fait d'être dans ce Monde si différent du mien depuis bien trop longtemps.

Dans la salle d'attente, il m'avoue me trouver chiante parce que je pose beaucoup trop de questions. Bien, je ne parlerais plus dans ce cas, comme ça, je serais moins chiante. Une fois à l'intérieur, je ne le calcule pas. Je ne le regarde pas et je ne signe pas non plus. Non, je préfère regarder les enfants qui s'amusent et qui profitent de la vie, en mangeant ma bonne barre de chocolat. J'adore ces petites cochonneries qui viennent de ce Monde, c'est une horreur. J'en ai un placard entier et si ça continu, je vais retrouver mon ancienne apparence. Isaak finit par se planter devant moi, afin que mon regard se pose sur lui. Il me signe qu'il s'excuse ce qui me laisse sur le cul. Je suis plutôt contente qu'il se soit excuser, c'est bien la première fois. Je lui explique alors que je veux juste apprendre à le connaître et qu'il soit heureux, même s'il ne peut pas parler. Même si je ne le montre pas, je suis plutôt protectrice envers les autres, loin de moi l'aspect de la mère poule. Le pauvre petit poussin serait déjà mort depuis bien longtemps, si je devais m'en occuper.

On est tous différents Isaak..., je signe, tout en passant à la petite fée que j'étais il n'y a pas si longtemps que ça. C'est vrai, qui aurait cru que trois fées, une princesse, une sorcière, et un prince se retrouveraient dans ce Monde ? Personne, car ici, nous ne sommes que des histoires. Juste avant que je puisse prendre la parole, Isaak m'a accordé le droit de lui poser deux questions. Après son accord, la seule chose que j'ai envie de faire, c'est de sauter sur place. Oui, on l'aura comprit, ce n'est pas tous que monsieur Sullivan nous fait une telle offre. Au bout de quelques secondes, je me redresse, me retourne vers lui, puis je lui signe qu'est-ce que tu aimes faire de ton temps libre ?. Bien évidemment, je parle de la façon dont il s'amuse. S'il aime sortir, aller en boîte, regarder des films, enfin ce genre d'activité là. Puis j'enchaîne avec la deuxième question qu'elle est ta couleur préférée ? Attention, si tu me sors rose, je risque de devenir très violente. Je finis de signer en rigolant. Il ne doit sûrement pas pourquoi je ris, mais pour moi, j'ai l'anniversaire d'Aurore dans ma tête. Là fois où, j'ai absolument voulu que sa robe de princesse soit bleue. Donc oui, sa dernière question est stupide, mais elle veut savoir ce genre de détail.



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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyDim 22 Mar - 21:53

i can't speak but you know what i'm saying.
Tu finis par te demander si c'est vraiment une bonne idée que tu viens d'avoir. Tu tentes le diable en donnant lui donnant le droit de te poser deux questions, même si tu as dis que tu n'y répondrais pas forcément suivant ce qu'elle allait demander. Mais trop tard, tu as dis, tu ne peux pas revenir en arrière et tu n'as qu'une seule parole. Tu détestes mentir et ce n'est pas aujourd'hui que tu vas commencer à raconter des salades à tout le monde. Ou plutôt tu sais mentir, mais que quand cela t'arrange, par exemple tu mens aux gens lorsque tu dis que ton médecin tu l'aimes bien. Ou pour être plus exact, tu modifies la réalité. Parce que ton médecin tu le détestes, si tu pouvais lui arracher la tête tu le ferais. Quand tu imagines ses doigts dégueulasses sur ton corps, t'as qu'une vie, c'est d'aller te mettre la tête dans une cuvette de toilettes et vomir. Même avaler ta propre gerbe te paraîtrait moins immonde qu'avoir ses doigts de pervers qui te touchent le boxer. Mais tu ne peux rien dire, tu sais exactement comment les gens vont réagir : ils vont tous dire que tu abuses du fait d'être muet pour faire virer un professionnel. Puis si seulement Hayley pouvait le voir, encore tu pourrais lui dire, mais tu as une fierté à garder. Et oui, les hommes sont tous pareils et ça les plonge souvent dans des cercles vicieux inimaginables. Comme toi là.

Elle t'affirme cependant que tout le monde est différent. Fondamentalement, tu es d'accord, mais en réalité la différence n'existe pas. Tu lis peut-être trop de livres philosophiques, mais tu sais que justement le fait d'être différent est universel et général, c'est à dire que oui, tout le monde dans le fond est différent, sauf que cette universalité et généralité fait en sorte que plus personne ne l'est vu que c'est un trait commun à toute l'humanité. C'est compliqué de comprendre ce concept, il t'a fallu du temps, surtout pour toi qui n'a pas le cerveau qui fonctionne de la même manière que les autres. Tu alternes souvent avec la syntaxe des entendants et la syntaxe des sourds, elles sont totalement différentes et du coup pour comprendre parfois c'est compliqué. Mais à force d'entraînement, tout devient beaucoup plus naturel et fluide. Oui de toute manière il n'y a pas de recette miracle, si l'on veut réussir dans la vie, il faut travailler, toujours et encore. Voilà pourquoi tu suis des études, pour devenir traducteur à la télévision et tu travailles de nuit dans un musée afin de payer tes études, le loyer de ta maison avec Luffy.

Tu crains quand même un peu les questions qu'elle va pouvoir te poser, mais de toute manière, tu sais très bien qu'avec ce que tu lui as dit avant, elle ne va pas non plus te demander si tu es puceau ou un truc dans ce genre-là. De plus tu ne lui répondras pas si jamais c'est le cas. Ce genre de question, ça fait justement des choses que tu ne diras pas, les questions interdites. On dirait une enfant à qui on vient de donner un cadeau formidable. Bon sang, il ne lui en faut pas lourd, mais tu la regardes signer sa première question avec un intérêt non dissimulé. « Qu'est-ce que tu aimes faire de ton temps libre ? » Tu hoches la tête, ça au moins tu peux y répondre, ce n'est pas vraiment personnel, puis c'est facile, tu sais exactement déjà quoi lui signer, mais tu attends la seconde question qui finis par arriver bien assez vite, surtout avec elle. « Qu'elle est ta couleur préférée ? Attention, si tu me sors rose, je risque de devenir très violente. » Tu la regardes rire en te demandant si c'est du lard ou du cochon là. En quoi c'est drôle ? Tu ne comprends pas vraiment, d'ailleurs tu ne la comprends pas toujours, mais elle non plus n'arrive pas à te saisir tout le temps. Au moins une chose de plus que tu sais, soit Hayley est très sectaire au niveau de ses a priori sur la couleur rose associée aux hommes qui fait immédiatement de ces derniers des tapettes ou alors elle déteste tout simplement le rose. Et en connaissant le personnage un minimum, tu penches plus pour la seconde option quand même.

Tu t'installes légèrement mieux sur le banc dehors avant de soupirer légèrement. Il faut que tu te lances. Tu réfléchis rapidement à ce que tu vas bien pouvoir lui répondre pour la seconde question car des couleurs tu en aimes beaucoup, mais de toute manière autant se lancer pour la première. « J'aime lire toutes sortes de choses, poésie, philosophie, romans par exemple ; sinon je sors souvent en boite avec mon meilleur ami. » Bon c'est pas vraiment des boites, c'est plutôt des soirées où tu finis dans le lit de quelqu'un tellement t'es bourré, une fois de plus tu enjolives la situation, mais de toute façon, elle n'a pas à connaître tous les détails. Arrivé là, il te reste encore la seconde question, mais là tu ne sais vraiment pas. Alors tu tentes de te lancer quand même. « J'en ai plusieurs, le bleu nuit, juste avant que le soleil ne se couche et le marron, oui, je sais c'est bizarre. » Tu souris faiblement avant de chercher une ressemblance pour le marron, parce que pour chaque couleur il y a différentes teintes et de ce fait ce n'est pas évident de voir avec précision ce que tout le monde aime. Tu finis par lever le regard vers le visage de Hayley. « Marron comme tes yeux en fait. » Et là, tu viens de te rendre compte que tu as parlé beaucoup trop vite et tu te mets à rougir. Mais là, tu te lèves et commence à rentrer à l'intérieur. Tu lui signes tout en marchant de venir parce que t'as froid. Sauf que tu voulais pas qu'elle ne te voit rougir. C'est compliqué bon sang. En plus avec elle tu ne sais pas sur quel pied danser parce que tu te sens justement un peu trop bien en sa présence.
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MessageSujet: Re: You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa] EmptyDim 22 Mar - 22:34

You can't speak, But i know what you're saying

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« A Story by Isaak & Hayley »
Isaak venait de me donner la permission de lui poser deux questions, et seulement deux. Je réfléchissais à ce que j'allais bien pouvoir lui demander, mais il y a beaucoup trop de choses qui se bousculent dans ma tête. Ça fait plus d'un an que je lui pose des questions, auxquels, il n'a jamais répondu. Peut-être étaient-elles trop intimes ? Ouais, non, même pas, c'est lui qui est dingue dans sa tête, c'est tout. Enfin, après quelques secondes, je lui pose finalement deux questions. Elles ne sont pas fameuses, mais c'est déjà un début et j'en saurais un tout petit peu plus sur lui. Après tout, je ne vais pas commencé à râler, alors qu'il propose d'en dire plus sur lui. Bon déjà, je sais qu'il aime lire, ce qui est plutôt intéressant. J'ai envie de lui demander quel genre il aime, ou encore qu'est-ce qu'il a déjà lu, mais ça serait dépassé mes deux questions. Bon, celles-là, je me les réserve pour plus tard. Il aime sortir en boîte, bien pourquoi pas, je ne suis pas fan de ce genre d'endroit, mais c'est plutôt sympa.

Il répond en suite à la deuxième question. Alors là, je me prépare à toutes les couleurs, sauf le rose. S'il y a un dieu sur Terre, bon dieu faites qu'Isaak choisisse tout sauf le rose. Je ne supporte plus cette couleur, elle me sort par les yeux. Je porte quelques fois cette couleur, mais c'est rare, où c'est pour montrer à Flora qu'elle me va mieux à moi. Il annonce qu'il aime le bleu, enfin le bleu, celui qu'on voit juste avant que le soleil ne se couche. Bon dieu que c'est romantique, enfin non, c'est cool, c'est un bon choix. Après tout, il a choisi le bleu, MA couleur à moi. Si je pouvais, je l'aurais certainement pris dans mes bras. Il ajoute alors qu'il aime le marron, puis il fait une pause avant d'ajouter qu'il aime le marron, celui de mes yeux. Alors là, je fonds littéralement sur place. Je ne sais pas ce qu'il m'arrive, mais j'ai un petit peu chaud, en plus de ça, j'ai l'impression d'avoir mon visage en feu. Je ne sais pas quoi répondre, me cachant derrière ma grande mèche que je fais semblant de remettre en place. En reposant mon regard sur lui, je le vois partir en direction de la porte. Il me signe alors qu'il a froid. D'accord, d'accord, je me lève aussi tout en marchant à ses côtés. Bon, cette chaleur ne passe jamais ? C'est juste horrible.

Finalement, nous remontons à l'étage, où une infirmière nous saute dessus. Mon dieu, mais où étiez-vous ? Ça fait cinq minutes que je vous cherche, le docteur vous attend dans son bureau, dit-elle tout en fronçant les yeux. Pardon, pulsation sexuelle, il fallait qu'on fasse l'amour, c'était plutôt urgent, dis-je en faisant une fausse grimace, tout en me dirigeant vers le bureau. Une fois devant la porte, je me retourne vers Isaak, puis je lui signe tu es prêt ?. Je sais que ce n'est pas une partie de plaisir pour lui, alors je préfère prendre mon temps avant qu'on entre enfin dans le bureau. Après sa réponse, j'ouvre la porte, laissant entrer Isaak, puis je me dirige vers le docteur tout en lui souriant. Je le salue, puis j'attends qu'il fasse son boulot, pour pouvoir ENFIN commencer le mien.



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You can't speak, But i know what you're saying [Pv Kopa]

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