Sujet: # Les pécheresses ont aussi un droit d'asile. Mar 24 Sep - 23:02
Les pécheresses ont aussi le droit d'asile.
Mardi, 23h” Le cœur battant à tout rompre. Impénétrable carapace semblant pourtant si fragile, insurmontable et indomptable lionne reine de la savane qui jamais ne se laisserais dominer, une véritable battante qui court à travers son destin peut-être pour le fuir ou l'éviter. Je sentis mon souffle glacée, mes forces peu à peu s'estompèrent, j'en étais convaincue que dorénavant je ne serais plus reine mais une simple proie pour quiconque désirerait s'attaquer à moi et Simba ne pouvait rien face à cela, il n'était plus auprès de moi. La lune, seul lueur d'espoir me poursuit à travers ma course, peut-être parviendra t-elle à m'isoler. Je l'ignore. J'ignore encore tant de chose de ce bas monde et de tout ses habitants qui vous hantent et vous jugent sans même vous connaître. La peur est un sentiment naturel quand l'on est face à de mauvaises révélations, des vérités qui parfois peuvent nous mettre en danger de mort voir même pire nous mettre face aux tentations les plus malfaisantes et je craignais bientôt subir l'une des punitions pour mes innombrables péchés.
Les péchés sont immoraux et ne doivent être pardonnés que par l'être suprême au dessus de nos têtes, mais ci ce même dieu m'avait fait reine de mon univers c'est qu'il avait foi en moi et en mes bonnes volontés. Désormais humaine et perdue dans cet univers complètement loufoque je divague. Je ne crois plus qu'en un seul dieu, celui qui me préservera moi et ma famille de tout les malheurs qui s'abattent sur Fantasia Hill et qu'il préserve les miens, le reste m'importe que très peu à vrai dire. Ce cœur semblant exploser à travers ma poitrine ma course s'arrêta face à l'église de la ville, une pluie fine vint s'abattre sur mon pauvre visage innocent apeuré par le diable. Sans honte mais craintive je frappais violemment la porte de l'église suppliant un droit d'asile, suppliant qu'une âme bienveillante puisse m'ouvrir la porte et me préservait du mal qui me poursuivais. Je me mis à hurler de plus en plus fort, la pluie également se fit plus forte et lorsque je me rendis compte que personne ne viendrais m'aider, des larmes inondèrent mon visage et je me laissais tomber devant l'énorme porte de bois de l'église, tête contre celle ci je repris peu à peu mon souffle.
J'ai peur si peur Simba. Ici les gens te regardent comme ci tu n'étais pas des leurs, une inconnue aux yeux de tous alors j'évite de croiser leurs regards. J'espérais et priais de tout mon être pouvoir obtenir un droit d'asile auprès de l'église de la ville mais celle ci m'avait lâchement abandonnée, je n'avais plus foi en rien, ni même en moi même. Pétrifiée d'être punie et abandonnée en enfer, que les démons saisissent mon âme pour les sombres songes qui hantaient mes nuits. J'avais peur pour Kiara et son avenir, peur de lui révéler que je doutais de nôtre amour. Peur qu'il ne finisse par m'attraper dans ses filets et que je deviennes alors son jouet.Je n'étais pas encore prête à vivre cela. Les larmes vinrent s'abattre sur le devant de l'église, je levais la tête au ciel laissant le liquide cristallin de mes prunelles se mélangeait avec la pluie. Abandonne moi si tu veux mais ne me condamne à l'enfer. Je ne le mérites pas, du moins je crois. "Asile.. Droit d'asile."
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Gabriel C.R. Frollo
J'ai posé bagages ici le : 11/06/2013 Jouant le rôle de : Frollo (team bossu de notre dame) Nombre de messages : 375 On me connait sous le pseudo : nenes (Inès) Un merci à : SWAN ; northern lights. ; tumblr Je suis fier(e) de porter l'avatar de : Johnny Perfection Depp
Sujet: Re: # Les pécheresses ont aussi un droit d'asile. Jeu 26 Sep - 23:30
Saramon Church † Nala-S Sullivan & Gabriel C.R. Frollo
Les pécheresses ont aussi un droit d'asile.
Discuter avec la tentation, c'est être sur le point d'y céder.
a main sur le crâne, le regard dans le vide, marmonnant quelques prières imperceptibles, il marchait depuis déjà une bonne heure lorsque la pluie vint le tirer de son état de semi-somnolence. Inconscient du parcours entreprit, il se retrouva perdu au milieu de cette maudite ville qu'il ne connaissait encore que trop mal. Les fines gouttelettes d'eau fraîche vinrent apaiser le feu qui s'emparait de sa tête, souvenir douloureux d'une ancienne fin tragique. Fermant les yeux un instant, il se remémora les flammes de l'enfer qui avaient léchées, dans la torture, chaque parcelle de son corps. Refusant de revivre ce moment d'horreur, il rouvrit les yeux rapidement, scrutant alors le monde qui l'entourait. Encore ces misérables qui polluaient son espace, qui s'incrustaient comme de la vermine dans la vie droite et rangée qu'il tentait depuis si longtemps de se créer. Énervé, comme souvent, il reprit sa marche d'un pas plus rapide soufflant entre ses dents « Pourquoi tu me fais ça à moi ? » le regard porté vers le ciel. Si il était sûr de ne pas être là par hasard, il avait parfois du mal à savoir si le Tout Puissant l'y avait envoyé pour le punir ou pour lui donner une seconde chance. Il ne voyait rien de bon dans ce nouveau monde. Il semblait rempli de pécheurs sans la moindre honte de leur mauvais agissement. Comme si se moquer ouvertement de Dieu n'était pas un problème. Tout ces lieux qui l'entouraient, cette débauche constante, ce manque de pudeur, cette ambiance relâchée et sans limites lui donnait le tournis. Qui pouvait bien vouloir vivre ainsi ? Mais il y avait un lieu dans tout cet enfer qui lui servait de phare dans la tourmente. Saramon Church. Lieu paisible, familier, saint et tout de même respecté, la plupart du temps. Sans même y penser, ses pas se dirigèrent instantanément en sa direction. Poussé par la force de sa foi, il avançait d'un pas sur et décidé alors que la pluie s'intensifiait. La froideur de l'eau diminua encore un peu le feu qui s'emparait continuellement de lui. Il aimait ce contact humide et frais, il savourait cet instant bénit. Dans quelques instants, il pourrait s'adresser au Seigneur dans la maison que celui-ci s'est choisi pour laisser aux Hommes l'honneur de le solliciter. Ce n'est pas que Gabriel avait besoin de ça, il entendait Dieu lui murmurer ses pensées en permanence, mais il savait qu'il ne fallait pas ignorer les volontés du Seigneur. Si ce dernier souhaitait voir ses fidèles réunis dans une Eglise, alors Gabriel s'y rendrait tout les jours. Il y était allé ce matin, comme chaque matin, mais il ressentait maintenant le besoin inexplicable d'y retourner.
Trempé mais imperturbable, il aperçut enfin les murs de pierre de l'édifice se dessiner au loin. Impatient, il accéléra encore plus le rythme de ses pas. Mais, à mesure que les détails de l"Eglise se précisait, il remarqua la silhouette posée à la porte. Surpris de voir quelqu'un à cette heure ci de la nuit, il ressentit une vive colère, il allait encore être dérangé par l'un de ces êtres abominables qui trainent dans ce monde. Bien décidé à chasser cet intrus de son lieu de recueillement, il continua à avancer d'un pas ferme et décider. Plus la silhouette s'approchait, plus il pouvait deviner les formes graciles d'une jeune femme et quand il aperçut son visage alors qu'il se trouvait à quelques pas d'elle, il ne put empêcher un sourire malsain de se dessiner sur son visage d'habitude si fermé. Rapidement il reprit pourtant ses esprits, replaçant l'expression neutre qu'il aimait aborder sur ses traits. "Elle est là pour toi." « Je sais bien, elle a du enfin comprendre qu'elle ne pouvait faire autrement. » La voix résonna dans son esprit, il y répondit distinctement, il s'adressait à Dieu et si beaucoup le croyait fou, il se moquait de leurs avis, le Seigneur attend toujours une réponse de sa part. Reportant son attention sur la jeune femme, il la trouva bien misérable. Aucun doute qu'elle était en ce moment même à sa merci, quelle qu’en soit la raison. « N'as tu donc pas senti la pluie, Nala ? » Insistant sur son prénom, il injecta tout le mépris qu'il possédait dans le regard qu'il lui lança. Se rapprochant d'elle, il l'attrapa par le poignet, glissant ses yeux froids dans les siens, son visage à quelques centimètres du sien. « Tu sais que ce n'est pas prudent de se balader seule, sans son roi. Comment s'appelle-t-il déjà ? Sumda ? Sinja ? Incapable ? » Il sourit, un air glaciale lui parcourant le regard. Puis, il la dégagea de la porte, tenant toujours fermement son poignet délicat. Tirant une clef de sa poche il l'introduisit dans la serrure et la débloqua en un tour. Il avait persuadé le curé de lui faire un double si il ne voulait pas avoir de sérieux problèmes et les menaces avaient marché. « Entre. » Sa voix sombre raisonna dans l'Eglise alors qu'il poussait Nala vers l'intérieur, lui emboitant le pas. « Et dis moi ce que tu fais là. »
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Sujet: Re: # Les pécheresses ont aussi un droit d'asile. Ven 27 Sep - 17:09
Les pécheresses ont aussi le droit d'asile.
Mardi, 23h” La maison de dieu était le seul endroit de recueil aux personnes les plus démunis. Un lieu sacré de prières et de chansons religieuses apportant paix et propriété au sein des inconnus à la maison de Dieu et même de certains pécheurs. Jamais nul endroit n'avait était aussi saint et aussi épuré que celui ci et bien qu'il pouvait également être lieu à d'affront rebelle athéisme ou autre, à l'intérieur de l'énorme bâtisse chaque individu y est à son aise comme de puissants bras imaginaires qui nous enveloppent contre eux pour nous préserver. Elle n'était pas bien grande, ni trop petite mais elle était somptueuse et admirable. Des vitraux à perte de vue et des figures de saintetés tout les mètres en longueur du mur. Aucun bruit n'était imperceptible mais les murs de prières cachent parfois de sombres mais précieux indices sur ce qui en est de la vie nôtre sauveur et père de tous. Le droit d'asile fût instauré il y a fort longtemps et celui qui l'implore au sein d'une église obtient protection et jugement auprès du saint esprit et uniquement de cela. Cette fois et pour la première fois durant son existence, la sublime lionne enragée le proclama haut et fort dans les hauteurs de cet antre catholique et face à cela, il s'était limite mis à ricaner. Un rictus apparu sur ses lèvres. Elle prit le temps de l'analyser. Les lueurs des bougies et des lumières éclairèrent son visage le dévoilant au grand jour aux yeux apeurés de sa pauvre petite victime. Il fût un temps ou ses menaces et hurlements firent trembler bien des personnes, cette époque est malheureusement révolue et ce fût l'unique des choses que Nala regrette aujourd'hui.
Nous, êtres humains, désirons plus que tout obtenir un "super pouvoir" ou quelque chose qui pourrait nous défaire du mal qui pèse sur nos épaules. On rêve de voir nos assaillants et rivaux tomber par terre à nos pieds mais cela ne sont que des envies car la réalité en est tout autre. Elle scruta le moindre de ses faits et gestes. Tout en lui était ténèbres:Son visage et ses expressions, ses mouvements et agissements pour finir par ses murmures et paroles et bien que la maison de Dieu pût lui appartenir à travers une simple et minuscule clé, la liberté et les droits, eux, n'étaient pas sien. On ne peut renier et soumettre une femme qui, un jour, a mis au monde un enfant. Une femme qui a aimé ce petit bout d'elle même et qui a appris à le préserver des forces obscures et du mal qui pouvait l'entourer. Si la vierge Marie de son piédestal céleste observe en silence les futures mères protégées par le Dieu éternel, alors Nala n'avait rien à craindre de ce perfide personnage. L'église n'était pas bien grande mais elle était doté d'objets qui même insignifiants pouvaient apporter la mort. Son regard se dirigea vers les longs chandeliers qui avaient délimité un chemin de croix dans la bâtisse, avec lenteur elle s'avança vers l'un d'eux et posa sa main avec délicatesse sur le manche de celui ci. Son visage haineux d'auparavant se métamorphosa en celui d'une pauvre brebis suppliante et innocente à l'écoute de ses paroles, il avait l'apparence d'un prêtre exorciste malsain, croyant faire de cet endroit son unique et saint royaume ce qui en était tout autre. Dans les contes et les rêves les plus fous, toujours la même histoire: Celle d'une pauvre princesse aux rêves fous se fesant brutalement arracher de son château par un être machiavélique qui la séquestre dans les hautes tours d'un royaume aussi noir que la nuit.Elle soupira et ferma les yeux quelques instants. Cette fois, c'était elle la princesse, et c'était elle qui allait se retrouver enfermer ici durant plusieurs heures voir même plusieurs jours mais peu importe, ses premières pensées se tournèrent vers sa fille adorée. Si à première vue les apparences furent autres, intérieurement, Nala priait de tout son être pour qu'on la préserve du mal et qu'elle puisse rapidement retrouver sa fille pour lui conter cette mésaventure.
Ce fou à lier qui l'avait épiée depuis des semaines entières et qui se présenta ce soir à elle pour la séquestrer à l'intérieur d'une église. Ignorant son prénom ou même son identité, elle crût d'abord à un psychopathe anciennement interné ou fanatique religieux. Il était peut-être armé, un couteau dissimulé et face à ses sombres songes, plusieurs frissons vinrent parcourir l'échine de sa colonne vertébrale. C'est avec la même douceur d'antan qu'elle baissa la tête et son regard vers le manche du chandelier dont elle avait posé la main quelques minutes plus tôt."Dois-je me considérer comme morte?". Un rictus s'offrit sur ses lèvres alors qu'elle releva les yeux plongeant son doux regard de biche dans celui de son assaillant: "Que nôtre sainte vierge me pardonne d'avoir échouer dans mon rôle de mère." La haine et la colère ne mènent à rien surtout lorsque l'on est fasse à un dangereux personnage de son ampleur à lui.
Dernière édition par Nala-S Sullivan le Ven 11 Oct - 10:29, édité 1 fois
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Gabriel C.R. Frollo
J'ai posé bagages ici le : 11/06/2013 Jouant le rôle de : Frollo (team bossu de notre dame) Nombre de messages : 375 On me connait sous le pseudo : nenes (Inès) Un merci à : SWAN ; northern lights. ; tumblr Je suis fier(e) de porter l'avatar de : Johnny Perfection Depp
Sujet: Re: # Les pécheresses ont aussi un droit d'asile. Ven 11 Oct - 1:09
Saramon Church † Nala-S Sullivan & Gabriel C.R. Frollo
Les pécheresses ont aussi un droit d'asile.
Discuter avec la tentation, c'est être sur le point d'y céder.
vec le temps, il avait pris l'habitude de ressentir le mépris des gens qui pouvaient bien l'entourer. Ces regards noirs, pleins de haine, cette force qu'ils mettaient tous à tenter de rabaisser la puissance dont il était la source, toutes ces tentatives d'intimidation qui avaient sur lui l'effet inverse de celui escompté. Si seulement ils savaient. Rien sur cette Terre ne pouvait l'effrayer. Il ne craignait personne, dans aucune situation car quoi qu'il se passe dans sa vie, il savait que Dieu était derrière lui et que jamais Il ne pourrait l'abandonner si il s'arrangeait pour être à ses ordres. Le seul être qu'il craignait c'était lui, Dieu. En dehors de la colère du Seigneur, rien ne pouvait l'atteindre, il en était sur. Elle fronçait les sourcils, il souriait. Elle lui semblait si frêle, si facilement atteignable qu'il avait du mal à l'imaginer lionne, chassant des proies et régnant sur son royaume. Pourtant il savait que c'était ce qu'elle avait été. Il avait mené son enquête, il avait tout appris d'elle. Son passé, sa famille, sa vie ici. Il avait lâché sur elle ses détectives les plus fidèles, les plus performants. Tout savoir pour mieux contrôler, telle était son idée du pouvoir. Et bien que la jolie Nala semblait vouloir lui résister, il était persuadé qu'il arriverait un jour ou l'autre à obtenir ce qu'il souhaitait. Personne ne pouvait lui résister. Pourtant, elle ne semblait pas encore décidée à se laisser faire. La voir le mépriser, le prendre de haut, l'amusait autant que cela l'agaçait. Il supportait ce petit jeu depuis bien trop longtemps pour la laisser continuer. « Elle te fait mariner, mais c'est évident qu'elle finira pas craquer. » Si Il en était sur, alors Gabriel ne pouvait douter. Il hocha la tête en signe de réponse. Il la fixait impassible face à la douleur qu'il lisait sur son visage, satisfait de voir que sa prise provoquait l'effet attendu. « Vous n'avez pas le droit d'empêcher quelqu'un de se recueillir dans ce lieu saint et la violence de vos actes vous condamnera à la peine capitale qu'est les portes de l'enfer pauvre fou. » La rage passait dans ses yeux. Il supportait beaucoup de la part de la jeune femme et depuis bien trop longtemps pour la laisser lui parler sur ce ton. Sa résistance commençait à sérieusement l'agacer. Qui était-elle pour résister à la volonté de Dieu et oser se proclamer son enfant dans ce lieu Saint ?
Elle se dégagea de son emprise, il grimaça, surpris de la voir tout à coup si sure d'elle. Il avait bien l'intention d'effacer son petit sourire narquois aussi vite qu'il était arrivé sur son doux visage. Il reprit pourtant très vite l'attitude neutre qu'il abordait en toute circonstance. Il ne souhaitait pas que quiconque réussisse à lire à travers lui. Il n'était pas un livre ouvert ou toute autre sorte de stupidité. Il n'y avait que le Seigneur qui avait le droit de connaitre ses ressentis, ses pensées le plus enfouies. « Droit d'asile! Que vous soyez ou non face à moi, je serais toujours préserver dans cet endroit! Et vous ne pourrez malheureusement rien faire face à cela! Je ne serais jamais l'une de vos marionnettes.. Jamais! » Il laissa échapper un rire effrayant devant tant de courage mal placé et de tentative désespérée pour l'intimider. « Elle ne comprend rien. Sait-elle seulement que tu es ici chez toi ? » Il haussa les épaules, la regarda, la méprisa un instant. « J'ai bien peur que non. » S'avançant, il se rapprocha d'elle, montrant par de grands gestes l'immensité de l'Eglise. « Ma mignonne, tu peux lutter tant que tu voudras, tu peux implorer tout les droits de ton souhait. N'as-tu rien remarqué ? N'as-tu pas vu cette clef qui nous a ouvert ? La maison du Seigneur est aussi la mienne. Il m'y accompagne chaque jour et m'y invite en toute circonstance. Je suis son messager, tu ne peux rien n'y faire. » Sa voix se voulait douce, elle était en réalité fière et sure. « Droit d'asile ! » Répéta-t-il, insistant bien sur chaque syllabe, retenant son envie de rire. « Tu peux rester croupir dans cette Eglise, tu n'en sortiras plus avant d'avoir cessé cette lutte idiote. » Marchant d'un pas lent, il se dirigea vers la lourde porte qu'il referma à clef d'un coup sec. Il rangea le petit objet dans une poche intérieur de sa veste, reportant son attention sur Nala, un sourire déjà victorieux aux lèvres. « Elle ne pourra plus t'échapper maintenant. » Si elle voulait jouer à la plus forte avec lui, elle ne serait pas déçue. Qu'elle tente de se protéger entre ses murs, il était sur qu'elle regretterait bientôt ses paroles.
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Sujet: Re: # Les pécheresses ont aussi un droit d'asile. Ven 11 Oct - 10:31
Les pécheresses ont aussi le droit d'asile.
Mardi, 23h” La maison de dieu était le seul endroit de recueil aux personnes les plus démunis. Un lieu sacré de prières et de chansons religieuses apportant paix et propriété au sein des inconnus à la maison de Dieu et même de certains pécheurs. Jamais nul endroit n'avait était aussi saint et aussi épuré que celui ci et bien qu'il pouvait également être lieu à d'affront rebelle athéisme ou autre, à l'intérieur de l'énorme bâtisse chaque individu y est à son aise comme de puissants bras imaginaires qui nous enveloppent contre eux pour nous préserver. Elle n'était pas bien grande, ni trop petite mais elle était somptueuse et admirable. Des vitraux à perte de vue et des figures de saintetés tout les mètres en longueur du mur. Aucun bruit n'était imperceptible mais les murs de prières cachent parfois de sombres mais précieux indices sur ce qui en est de la vie nôtre sauveur et père de tous. Le droit d'asile fût instauré il y a fort longtemps et celui qui l'implore au sein d'une église obtient protection et jugement auprès du saint esprit et uniquement de cela. Cette fois et pour la première fois durant son existence, la sublime lionne enragée le proclama haut et fort dans les hauteurs de cet antre catholique et face à cela, il s'était limite mis à ricaner. Un rictus apparu sur ses lèvres. Elle prit le temps de l'analyser. Les lueurs des bougies et des lumières éclairèrent son visage le dévoilant au grand jour aux yeux apeurés de sa pauvre petite victime. Il fût un temps ou ses menaces et hurlements firent trembler bien des personnes, cette époque est malheureusement révolue et ce fût l'unique des choses que Nala regrette aujourd'hui.
Nous, êtres humains, désirons plus que tout obtenir un "super pouvoir" ou quelque chose qui pourrait nous défaire du mal qui pèse sur nos épaules. On rêve de voir nos assaillants et rivaux tomber par terre à nos pieds mais cela ne sont que des envies car la réalité en est tout autre. Elle scruta le moindre de ses faits et gestes. Tout en lui était ténèbres:Son visage et ses expressions, ses mouvements et agissements pour finir par ses murmures et paroles et bien que la maison de Dieu pût lui appartenir à travers une simple et minuscule clé, la liberté et les droits, eux, n'étaient pas sien. On ne peut renier et soumettre une femme qui, un jour, a mis au monde un enfant. Une femme qui a aimé ce petit bout d'elle même et qui a appris à le préserver des forces obscures et du mal qui pouvait l'entourer. Si la vierge Marie de son piédestal céleste observe en silence les futures mères protégées par le Dieu éternel, alors Nala n'avait rien à craindre de ce perfide personnage. L'église n'était pas bien grande mais elle était doté d'objets qui même insignifiants pouvaient apporter la mort. Son regard se dirigea vers les longs chandeliers qui avaient délimité un chemin de croix dans la bâtisse, avec lenteur elle s'avança vers l'un d'eux et posa sa main avec délicatesse sur le manche de celui ci. Son visage haineux d'auparavant se métamorphosa en celui d'une pauvre brebis suppliante et innocente à l'écoute de ses paroles, il avait l'apparence d'un prêtre exorciste malsain, croyant faire de cet endroit son unique et saint royaume ce qui en était tout autre. Dans les contes et les rêves les plus fous, toujours la même histoire: Celle d'une pauvre princesse aux rêves fous se fesant brutalement arracher de son château par un être machiavélique qui la séquestre dans les hautes tours d'un royaume aussi noir que la nuit.Elle soupira et ferma les yeux quelques instants. Cette fois, c'était elle la princesse, et c'était elle qui allait se retrouver enfermer ici durant plusieurs heures voir même plusieurs jours mais peu importe, ses premières pensées se tournèrent vers sa fille adorée. Si à première vue les apparences furent autres, intérieurement, Nala priait de tout son être pour qu'on la préserve du mal et qu'elle puisse rapidement retrouver sa fille pour lui conter cette mésaventure.
Ce fou à lier qui l'avait épiée depuis des semaines entières et qui se présenta ce soir à elle pour la séquestrer à l'intérieur d'une église. Ignorant son prénom ou même son identité, elle crût d'abord à un psychopathe anciennement interné ou fanatique religieux. Il était peut-être armé, un couteau dissimulé et face à ses sombres songes, plusieurs frissons vinrent parcourir l'échine de sa colonne vertébrale. C'est avec la même douceur d'antan qu'elle baissa la tête et son regard vers le manche du chandelier dont elle avait posé la main quelques minutes plus tôt."Dois-je me considérer comme morte?". Un rictus s'offrit sur ses lèvres alors qu'elle releva les yeux plongeant son doux regard de biche dans celui de son assaillant: "Que nôtre sainte vierge me pardonne d'avoir échouer dans mon rôle de mère." La haine et la colère ne mènent à rien surtout lorsque l'on est fasse à un dangereux personnage de son ampleur à lui.
Préférant jouer la carte de la douceur et l'intelligence, elle espérait que le dialogue finalement ne soit possible pour pouvoir partir avant même qu'elle ne fût enfermée ici et si ce n'était pas le cas et qu'il se voulait être cruel et sans pitié auprès d'elle, alors une terrible bataille obscure ferait rage à l'intérieur même de ce lieu saint car il était bien hors de question qu'elle ne se fasse manipuler ou toucher par une personne tel que lui bien que depuis ses derniers jours, la belle a beaucoup de mal à penser à Simba son mâle dominant. Il est le seul qui ai pût la toucher et l'aimer et elle se refuse tout autre homme bien que son agresseur face à elle fût assez agréable à regarder dans le sens ou sa beauté ravageuse était la raison qui avait poussé Nala à ne pas l'abattre de suite à coup de chandeliers. Elle n'était pas cruelle, c'était une femme respectable et respectée et peut-être un peu infidèle, non?? charney
Spoiler:
Sh*t. J'ai voulu reprendre mon code pour rédiger mon RP et du coup j'ai éditer le post' au dessus du tien et sauvegarder comme une imbécile. Pas de soucis tant que le RP est la c'est le principal! J'espère que la réponse te plais.
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