« Bonjour Belle ! » Comme tous les jours on te saluait sans grande conviction, sans réel attachement  à toi . T'avais l’habitude , les gens ne t'aimaient pas dans cette ville. Ils te trouvaient étrange, dans la lune et ne savaient pas que tu entendais malgré leur impression de discrétion toutes les discussions dans lesquelles tu étais l'objet de moqueries & remarques toutes plus insignifiantes les unes que les autres. « Bonjour monsieur. » Répondais-tu sans grande motivation .   Ton seul vrai "ami" si tu pouvais l’appeler ainsi,  était le libraire chez qui tu passais le plus claire de ton temps. T'y allais tous les jours surement, à la recherches de  livres tous différents qui sauront t’émerveiller. Les romans étaient toute ta vie, ils te transportaient, te faisaient voyager dans des histoires que tu n'osais même pas imaginer dans tes rêves et ça  ils ne comprenaient pas . Ces stupides villageois qui ne savaient à peine lire ne comprenaient pas à quel point les livres étaient magiques. Comme tous les jours tu faisais le même chemin de ta petite maison au village  sans même regarder les gens qui te saluaient. scotchée à ton bouquin comme si tu l'avais lu pour la première fois, comme si chaque page laissaient un suspens si grand que tu ne pouvais décrocher tes yeux de la prochaine page pleine d'espoir.  
Et puis il y avait cet homme qui te tournait sans-cesse autour tel un chien enragé, Gaston. Tu le détestais, le méprisais profondément lui et sa stupidité ahurissante. Evidemment lui n'avait pas l'habitude qu'on le rejette ainsi, il avait inexplicablement  toutes les femmes à ses pieds peut-être le village entier même . Alors peut-être aimait-il secrètement le fait que tu sois la seule à ne pas vraiment l'apprécier . De plus ce primaire et son imbécile de fou n'hésitaient pas à critiquer ouvertement ton père de fou et cela te mettait hors de toi... Encore une fois ils ne comprenaient pas qu'il était vraiment, et qu'ils faisaient de son mieux pour créer des choses nouvelles pour faciliter la vie des gens. En parlant de ton père une fois son invention terminée, il décida sous tes encouragements  de partir présenter sa création à la foire du village voisin.
« Je me demande ce que tu sais de mes rêves, Gaston. » Ton père à peine parti Gaston en avait profité pour passer à l'attaque, si seulement il savait à quel point il t'exaspérait .
« Tout, tu nous imagines, un chalet niché dans les arbres, un quartier de sangliers  grillant sur le feu, ma petite femme qui me masse gentiment les pieds pendant que nos enfants gambadent avec les chiens, six ou sept ce serait parfait.»  
La seule évocation de ce possible futur te fis prendre une mine de dégoût. Oser te demander d'être sa femme ? Comment pouvait-il faire une chose pareille. Ce qui était sûr, c'est que tu ne deviendrais jamais l'épouse soumise de cet analphabète de Gaston. Une fois publiquement humilié et rejeté, Gaston s'en alla en compagnie de toute sa troupe qui avait déjà entièrement planifié  le mariage. Tu en avais marre de cette vie, marre de ton petit village et marre de ton petit quotidien dans lequel tu étais totalement incomprise. Tu rêvais de vivre une de ces folles aventures romanesques, mais tu ne pouvais pas  il y avait ton père et tu étais la seule personne pour lui alors tu ne pouvais l'abandonner ainsi.

« Philibert ?  Qu'est-ce que tu fais là tout seul ? Où est papa ?  »Demandais-tu un peu paniquée, car  en effet le cheval qu'avait monté ton père pour se rendre au village d'à côté venait de revenir  à la maison complètement apeuré et surtout, sans ton pauvre père et cela signifiait forcément qu'il lui était arrivé quelque chose en chemin. Hélas ce genre d'événement arrivaient très fréquemment on père étant quelqu'un de très maladroit,  il se perdait souvent ou provoquait un accident et pour tout avouer c'était plutôt toi qui t'occupait de lui que l'inverse mais tu ne pouvais pas lui en vouloir pour ça, il avait passé toute ton enfance à d'éduquer comme il le pouvait en l'absence de ta mère et tu ne pouvais que le remercier pour le reste de ta vie . En voyant l'état de ce pauvre Philibert tu décidas de partir à la recherche de ton père en sa compagnie, et essayas de retracer le chemin qu'ils avaient tous les deux parcourus.



La nuit tombée, Philibert te conduisit dans un endroit vraiment étrange, une sorte de château qui semblait abandonné depuis longtemps. En y entrant tu pus en effet ressentir l'atmosphère pesante qui se dégageait de chaque pièce de ce château, comme si même les murs craignaient quelque chose. En explorant cet endroit tu réussis à retrouver ton pauvre père enfermé dans un cachot mais tu n'eus à peine le temps de le retrouver qu'une monstrueuse bête fit son apparition.  La Bête refusa de laisser ton père malgré sa maladie, malgré tes supplications . Mais c'était impossible, tu devais faire quelque chose il était hors de question que tu le laisses mourir de ce cachot enfermé à jamais, seul. Tu demandas donc à contre-coeur de prendre sa place et qu'il laisse partir ton père en échange . La Bête accepta ton marché, et tu te retrouvas donc prisonnière à jamais dans ce lugubre château comme seule compagnie  la monstrueuse Bête. Tu ne pus même pas dire au revoir à ton père, l'embrasser une dernière fois avant qu'elle ne l'embarque et le mette dehors. Une fois parti, elle te conduisit dans ta chambre, t'expliquant à l'occasion que tu avais le droit de visiter tout le château excepté l'aile ouest de celui-ci. Tu ne pouvais même pas poster une question qu'aussitôt elle s'énervait sur toi, criant de toutes ses forces pour t'effrayer.
« Vous viendrez dîner avec moi ce soir, et ce n'est pas une invitation ! » crias-t-elle soudainement en fermant la porte de ta chambre. Ce n'était pas possible , tout ceci n'était qu'un cauchemar... Oh si seulement tout ce qui arrivait n'était qu'un cauchemar... Tu t'effondras sur ton lit en pleurant , tu avais si peur , si peur de la  bête et de ton avenir à présent que tu semblais enfermée pour toujours. Tu ne voulais pas aller dîner avec la bête, tu n'irais pas . Ellr t'effrayait, te criait dessus à la moindre occasion et ce n'était tout simplement pas supportable, tu ne voulais plus jamais la voir, plus jamais ressortir de cette chambre. Tu venais de perdre ton père , tes rêves et il fallait que tu t'habitues  à cette nouvelle vie et elle ne comprenait tout simplement pas.
Alors que tu ne savais plus quoi  faire pour contenir ta peine ,on toqua à la porte et en ouvrant tu fis la découverte  la plus surprenante qu'il soit . en effet une théière venait d'entrer dans ta chambre en compagnie d'une petite tasse semblant être son fils. Tous deux parlaient comme vous & moi, tous deux bougeaient , se déplaçaient seuls comme s'ils était vivants... Enfin non ils étaient vivants !  Tous les meubles de la pièce commencèrent à s'animer un par un , te consolant un peu comme dans un rêve.
Puis la bête découvrit que tu ne te joindrais pas à elle pour le dîner & décida donc , que tu ne dînerais pas du tout si cela se passait ainsi. Après quelques heures à réfléchir , tu sortis de la chambre pour te diriger vers les cuisines car la faim commençait à se faire sentir et une fois là-bas , tu fis la rencontre de Big-Ben une horloge plutôt coincée,  et Lumière un lustre déluré .« Ma chère mademoiselle, c'est avec une profonde fierté et immense plaisir, que nous vous invitons ce soir. Détendez-vous, ne pensez plus à rien, prenez place, et laissez la haute gastronomie française vous présenter, votre dîner ! »
Afin de te remonter le moral, Lumière prépara un grand sow avec l'aide de tous ses amis . Il y avait absolument toutes sortes d'objets qui dansaient , des services, plumeaux , qui se pavanaient devant toi comme si vous étiez au cabaret. Grâce à cette fin de soirée Lumière te fit un peu oublier la tristesse qui t'avait gagnée depuis que tu étais enfermée dans cet étrange endroit.  Il n'y avait plus aucun doute à présent, ce château était bel & bien enchanté et afin d'en savoir plus tu décidas de visiter un peu plus les lieux en compagnie de tes nouveaux amis. Malgré l'interdiction formelle d'y pénétrer ,  tu te rendis fis une troublante découverte. Il y avait une magnifique rose sous cloche, qui scintillait comme les étoiles mais tu ne pus la toucher sans que la Bête découvre ton intrusion et commence à devenir violente. Totalement paniquée tu te résignas à ne pas pouvoir tenir ta promesse  tant la peur était grande . Tu quittas donc le château avec Philibert, alors qu'une violente tempête faisait rage dehors. Mais alors que tu étais bien décidée à t'enfuir malgré ta promesse , des loups firent leur apparition et virent t'attaquer, tous plus affamés que possible.  Et alors que la situation semblait désespérément perdue,  La Bête vint miraculeusement prendre ta défense. Elle brava tous les dangers et combattit de façon héroïque tous ces loups pour te secourir . Pour la première fois depuis votre rencontre, tu découvris la bête d'une nouvelle façon et pour la remercier de t'avoir secouru ainsi , tu décidas de le ramener au château pour le soigner.
Plus le temps passait, plus tu te sentais à l'aise à ses côtés, tu n'avais plus peur d'elle, plus du tout au contraire. Tu voyais la bête différemment , et tu ne savais pas comment gérer ses sentiments nouveaux naissant en toi
Y 'avait quelque chose qu'hier encore n'existait pas... Tu pouvais enfin envisager un futur avec La Bête, tu n'étais plus prisonnière mais restais au château  de ton plein grès et tu n'aurais pu imaginer à quel point le choses avaient changé. Et puis ce soir... Ce soir où tous deux avez dansé sous  les lumières de l'immense lustre, ce soir- là tu avais compris que tu l'aimais du plus profond de ton coeur, que tu avais confiance et qu'il n'était à présent plus une bête à ses yeux.


« Belle , est-ce que vous êtes heureuse avec moi ? » Tu lui souris timidement . « Oui... » Oui tu étais heureuse vraiment heureuse mais... Mais tu pensais à ton pauvre père malade, seul face aux stupides villageois... La Bête demanda ce que tu avais pour avoir un aussi triste regard , et tu lui répondis la vérité. Ton père te manquait et tu voulais le revoir. Touchée, la bête t'amena dans l'aile l'ouest afin de te montrer un miroir magique capable de montrer tout ce que l'on lui demande.  La vision qu'il t'offrit ne te plaisa guère , ton père malade était en train de te chercher désespérément dans le froid et s'il continuait ainsi il mourrait surement. La Bête comprit à quel point avait-il besoin de toi,  te rendit donc ta liberté pour pouvoir le retrouver ainsi que son miroir magique afin de ne jamais l'oublier. Sauf qu'une fois avoir secouru ton père, rien ne se passa comme prévu. En effet tout le village se réunit pour faire interner ton père qu'ils croyaient complètement fou  depuis qu'il les avait prévenus pour la bête. Afin de prouver à tout le monde qu'il avait encore toute sa tête tu fus obligée de montrer grâce au miroir que la Bête existait bel & bien mais Gaston réussit à monter tout le monde contre ton ami et ils décidèrent tous de le  tuer . A ce moment tu te sentis tellement coupable de lui avoir montré le miroir , tout était de ta faute .Bien heureusement , Zip la petite tasse parvint à vous délivrer, et vous partîtes sur champs  au château dans l'espoir de sauver ton ami.

« La Bête ! » Tu tendais la main vers elle heureuse, alors qu'elle venait de reposer Gaston , s’empêchant de le tuer par pitié. «  Belle ... Tu es revenus ..»  Tu lui souris tenant sa patte , lorsqu'elle cria soudainement de douleur. En effet Gaston venait de poignarder ton ami par derrière alors que vous étiez enfin réunis.  Tu réussis à remonter la Bête de justesse pour qu'elle ne tombe pas mais, elle était tout-de-même gravement blessée. Dans un dernier élan elle caressa ton visage pendant que son coeur cessait de battre.  Tu ne savais plus quoi faire pour le sauver, tout était de ta faute .« Je t'en prie, je t'en supplie ne m'abandonne pas...  Je t'aime... »Murmurais-tu dans un dernier espoir , elle ne pouvait pas te laisser comme cela , elle ne pouvait pas t'abandonner, elle ne devait pas....
Et c'est lorsque que tu pensais que tout était perdu ,qu' une  lumière étrange jaillit puis souleva la Bête , et tu assistas à sa transformation soudaine.
« Belle, c'est moi .» L'homme aux longs cheveux te regardait , tu ne savais pas comment réagir, il y a pas même quelques minutes tu étais effondrée sur la Bête et là... Elle s'était transformée en humain, et dans son regard intensément bleu tu fus sûre et certaine qu'il était le même. Après cela tout revint dans l'ordre, le château sombre reprit toutes ses couleurs éclatantes d'antan , les domestiques redevinrent humains à nouveau , tout le monde étaient heureux et tu savais à présent que tu pouvais rester avec ton prince tout le reste de ta vie.  


« Héé.... Madame est-ce que ça va ???  » Tes paupières sont lourdes... Beaucoup trop lourdes pour la normale et tu sens quelques choses de dur, quelque chose de froid tout contre ton corps. Tu ne comprends pas tellement ce qu'il se passe mais tu entends une voix , mélodieuse, qui te semblait inconnue mais .... Familièrement inconnue. Après quelques difficultés tu parvins enfin à ouvrir les yeux . Ta tête te faisait mal , atrocement mal et on aurait dit que tu portais toute la peine du monde tellement ton corps semblait lourd et engourdit.  La voix continuait de parvenir à tes oreilles sans que tu ne puisses interpréter chaque mot qui arrivait jusque dans ton cerveau. Après quelques efforts tu levas ta tête, et réalisa que quelque chose n'allait pas non, vraiment pas. C'était tellement étrange, tu ne parvenais pas à comprendre le monde qui t'entourait, tu voyais des formes inconnues , des lumières sans pouvoir vraiment savoir où est-ce que tu te trouvais.« Vous-êtes sûre d'aller bien ?   » Encore cette voix... Tu réussis à lever un peu plus la tête pour croiser le regard d'une jeune femme à la chevelure incroyablement flamboyante . Elle semblait inquiète et ce fut à ce moment -là que tu te rendis compte qu'elle était inquiète à propos de toi. Un peu paniquée tu essayas de vite te relever mais ne parvins pas , prise d'une  insaisissable douleur qui te ramena vers la terre ferme. « Où suis- je ? Je ne ... Je ne comprends pas ...   » Réussis-tu à articuler avec difficulté . La jolie rousse essaya à son tour de te relever et toutes deux  parvîntes à te mettre sur pied.  Tu ne comprenais pas... Tu ne comprenais tellement pas la raison pour laquelle tu t'étais retrouvé dans cet endroit , et tu avais l'impression qu'il n'y a même pas quelques minutes tu étais en train de valser avec ton prince charmant. La douleur provenant de ton crâne te ramena à la dure réalité des choses. « Je suis désolée... Je-je ne veux pas vous embêter.... Vous pouvez me laisser je ne sais même pas où aller. » Elle sourit pour te rassurer, tout en te tenant par l'épaule surement pour que tu ne t'écrases pas à nouveau sur le sol. « Hors de question ... Vous n'avez qu'à venir chez moi en attendant ? Je vous jure que cela ne me dérange pas.  » Tu lui souris en retour , émue par sa proposition si soudaine et tu hochas timidement la tête. Une chose était sûre, tu n'étais pas dans le petit village de ton enfance,  ces géantes tours de lumières grises le prouvaient largement tu regardais donc autour de toi , un peu surprise de cet environnement totalement nouveau. « Au fait... Si je peux me permettre quel est ton nom ?   » Demanda t-elle timidement comme si ce fut un effort surhumain pour elle de te poser la question en te tutoyant ainsi  mais tu passas outre pour réfléchir à la réponse que tu pouvais émettre. En effet , peut-être que cet endroit signifiait une nouvelle vie pour toi , un nouveau départ... Et peut-être qu'il fallait que t'avances malgré ce que t'avais laissé derrière pour ton bien. Alors tu dis que ce serait pas mal de te donner un nouveau nom, représentation symbolique de cette nouvelle vie, de ce nouveau futur. Puis là tu pensas à ton roman préféré , et tu décidas de tout même garder une trace de ton passé. «Tallulah... » Murmuras-tu doucement.  «Tallulah ! Et toi ?  » Evidemment , tallulah était le prénom du personnage préféré de ce roman , ta passion pour les livres toujours aussi présente tu te devais de ne pas choisir n'importe quel nom par hasard. Ta sauveuse sembla apprécier puis répondit doucement.  « Eden. Bienvenue à Fantasia Hill Tallulah.   »


« Mademoiselle j'ai besoin de votre numéro de téléphone s'il vous plait . » Tu le regardas les yeux ébahies tant tu ne comprenais pas ce qu'il te demandait. « M-Mon quoi ?  » On aurait dit que vous ne parliez pas la même langue , toi tu voulais juste t'inscrire à la bibliothèque de la ville et cet étrange monsieur te demandait des choses futiles et inadaptées, comme si tu ne pouvais pas lire sans avoir de compte bizarre de fidélité enfin quelque chose que tu ne comprenais absolument pas . Cela faisait maintenant plusieurs  mois que tu étais à Fantasia Hill.  En effet, alors que t'étais enfin heureuse avec La Bête redevenue Adam le beau prince , tu vis une soudaine lumière blanche qui t’aveugla puis tu t'étais retrouvée par terre dans un parc la tête lourde On t'avais pris absolument tout ce qui t'était cher en l'espace de quelques secondes et tu ne supportais pas cela.  . Et puis t'étais seule sans personne , sans ton père , sans l'amour de ta vie. Tout avait changé pour ton plus grand regret. T'étais perdue dans cette nouvelle époque , t'étais perdu dans ce nouvel environnement complètement différent de l'époque où tu vivais  . Il y avait ce qu'on appelait des or... ordinateurs tu comprenais rien de tout ça t'en pouvais plus c'était beaucoup trop fatiguant. Et puis t'aimais pas passer pour une vielle fille , pour une mamie totalement réfractaire aux changements alors t'essayais de t'adapter pour ne pas paraître étrange comme avant parce que tu ne voulais pas être rejetée mais t'étais seule sans guide , sans appuie dans ce monde et c'était dur au quotidien.
Mais t'essayais , plus les semaines passaient plus t'essayais de positiver et d'aimer la vie comme elle se présentait  à toi . Alors te tu te mis à rechercher la bête partout, désespérément il fallait que tu le trouves coûte que coûte.  Fallait que tu le revois parce que t'avais du mal sans lui , parce que tu l'aimais vraiment ... Alors tu commenças à espionner chaque personne te faisais penser à lui, qui te le rappelait d'une certaine façon . Et malgré tous tes efforts t'arrivais à rien , tu perdais petit à petit espoir revenant  au point de départ comme si tous tes efforts n'avaient servis à rien , jusqu'à ce que tu le croises , jusqu'à ce qu'en le voyant t'aies un déclic . C'était pas possible , il lui ressemblait pas tellement en tant que  prince mais .... Mais il dégageait quelque chose de tellement similaire que tu devais en être sûr, il fallait que tu tentes quelque chose , alors tu commenças à le suivre à noter tous ses faits & gestes et tu repris goût à tout , d'une certaine façon t'avais repris espoir t'étais motivée plus que jamais à retrouver Adam. Mais il fallait juste que tu trouves le courage de lui parler, que tu n'aies plus peur de l'échec tu étais courageuse alors il fallait que tu le fasses, tu devais le faire...«Ex-Excusez-moi, je m'appelle Belle, e-est-ce qu'on se connait ? ...   »Il fallait que ce soit lui... Oh si seulement cela pouvait être lui.