Ta soeur jumelle. Difficile à croire puisqu'au départ, tu ne savais même pas que cela était possible chez les fées. Mais vous provenez bel et bien du même rire de bébé. La différence entre elle et toi est qu'elle fut née dans la Forêt Blanche et toi dans la Vallée des fées. Différence qui ne semble pas avoir d'importance, mais c'est elle qui change tout. Vous vécurent dans deux mondes si proches mais si différents sans savoir l'existence de l'autre. Puis, en grande aventurière que tu es, tu as fais expédition dans la Forêt Blanche et y a découvert ta précieuse soeur. Malheureusement, le destin vous a séparé quand il a décidé de faire naître Periwinkle dans la Forêt Blanche et toi dans la Vallée des Fées. Mais ce n'était pas assez pour vous séparer définitivement, et vous avez finalement trouvé un moyen d'unir ces deux mondes.
À Fantasia Hill, tu désespères de ne pas la retrouver. Mais cela ne saurait tarder encore plus longtemps. Après tout, que peut faire une soeur sans son autre moitié?

Amie d'une autre vie. Ce qu'elle est douce cette Ondine, avec sa précieuse gentillesse et sa facilité à tout pardonner. Même avec les pires intentions, tu n'aurais pas pu ne pas l'aimer. Ton amitié avec elle date du jour où tu es née à la Vallée des Fées. Déjà, Ondine était d'un accueil attendrissant, d'une bonté sans pareil. Elle t'a beaucoup aidé à t'intégrer à la Vallée et à t'accepter telle que tu étais. Et quand tu as décidé de quitté la Vallée, Ondine ne fut pas fâchée. Elle a accepté ta décision, elle a compris. Et ça t'a fais un grand bien.
Alors quand tu l'as retrouvée à Fantasia Hill, c'est avec joie que vous vous êtes liées d'amitié à nouveau. Amie d'une autre vie, amie encore dans cette nouvelle aventure. Et quant au sujet de Noa, Birdy fut un peu déçue au départ que tu n'aies rien dit, mais elle a compris, encore une fois.

Ayuka, c'est la mannequin qui doit supporter à peu près tous tes caprices en ce qui a trait au stylisme. Tu l'as rencontrée alors que tu suivais un stage où Ayuka travaillait, et depuis tu fais essayer tes créations par ta nouvelle amie. Ayuka t'encourage dans cette voie et à poursuivre ton rêve, pas étonnant donc que vous soyez devenues complices. Et à travers vos échanges, vous discutez de tout et de rien. Si bien qu'Ayuka finit par te parler des rumeurs qu'elle a entendues sur les personnages de contes arrivés à Fantasia Hill. Ayuka n'y croit pas, mais toi, tu connais pertinemment la vérité, et tu sais que ces choses qu'elle a entendues sont bien plus que des bruits qui courent. Mais en voyant comment ton amie perçoit ces rumeurs, tu tiens ton identité secrète et feignes d'être aussi sceptique qu'elle sur le sujet.

Des sœurs. Enfin, ce n'est pas ce que vous êtes exactement, mais tu le ressens comme tel. Dans la Vallée des fées, vous étiez des amies inséparables, toujours prêtes à vous aider mutuellement. C'est un peu pour cette raison que tu t'accroches tant à la nouvelle Noa de ce monde d'humains, même si celle-ci n'a rien à voir avec la Noa que tu as perdue. Tu t'occupes d'elle et des problèmes qu'elle cause comme le ferait une mère poule avec une fille trop turbulente. Tu en deviens presque trop contrôlante et trop sévère. Tu es persuadée que tout ce que tu fais est pour le bien de Noa, mais ce n'est pas tout le monde qui voit les choses comme ça. Que penseront Rosélia, Iridessa, Ondine et tes autres amis de la Vallée des fées quand ils apprendront que la soeur mystérieuse et malade que tu as dans ce monde n'est nul autre que leur bonne vieille Noa?  

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

C'est un gamin, un gamin immature et manquant parfois de coeur. Et dès que tes yeux se sont posés sur lui, ton petit coeur de fée s'est mis à bondir à toute vitesse dans ta cage thoracique. On dit que l'amour rend aveugle. Toi, en plus de t'enlever la vue, il t'a rendue jalouse, dure et même méchante par moment. À l'époque du Pays Imaginaire, tu étais prête à tout pour lui. Tu était sa campagne fidèle, son alliée loyale, la douce moitié qui suivait chacun de ses pas. Et lui c'était à peine s'il t'offrait un peu de sympathie. Et pourtant il tenait à toi, mais lui et l'amour ce n'est pas ce qu'il y a de plus compatible.
En arrivant à Fantasia Hill, tu t'es construis une nouvelle vie. Et dans ce sens, tu as décidé que tu prenais enfin soin de toi et que tu allais un peu t'accorder de l'importance. Alors tu t'es dis que tu allais l'oublier, ou du moins oublier tes sentiments pour lui qui dépassaient l'amitié. Et tu y arrives à peu près, mais étrangement tu n'arrives jamais à rien lui refuser. Et il t'arrive parfois de penser à lui d'une façon que tu ne le devrais pas, alors tu essaies de ne plus y songer.

Il faut dire que tu n'as pas été la plus gentille avec sa grande soeur. Tu avais même essayé de la faire tuer à l'époque, alors tu mérites quand même un peu de sa méfiance. Avec le temps tu t'es assagies et tu tiens à montrer que tu n'es plus aussi difficile. Ou presque. Alors tu t'es montrée à John sous tes beaux jours et tout fut oublié. La relation que tu as avec John s'est même changée en quelque chose de bien différent. Aujourd'hui, lui est fasciné par la poussière de fée. Et il se trouve que la seule personne qu'il connait qui avait de la poussière de fée à profusion à l'époque du Pays Imaginaire, c'est toi. Alors tu le fascines toi aussi, et il voudrait bien découvrir que tu as encore de cette précieuse poussière. Il t'observe, t'examine, tu l'obsèdes. Mais pour rien au monde il ne te ferait du mal.

(nature du lien) | Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

(nature du lien) | Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.