AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez

Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. Vide
Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. Vide
Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. Vide
Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. Vide
 

 Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Invité
Anonymous

Faites place à la vedette
Invité
MessageSujet: Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. EmptyVen 15 Fév - 23:13

Iagourt-chou & Pavetlounet
« All Are Here. »

I Know You Want Me (Calle Ocho) (Radio Edit) by Pitbull on Grooveshark


"I know you want me, You know I want cha..." Ces mots résonnèrent plusieurs fois au creux de mes oreilles. Je tenais mon cinquième verre d'alcool de la soirée. Le désastre. Je n'avais guère pour réputation de tenir à l'alcool pourtant cela me rendait davantage fougueux. J'observais les corps se déhancher sur la piste sans toutefois vouloir m'y aventurer. Un parfum assez insupportable vint alors me chatouiller les narines. Mon regard croisa une femme d'une blondeur presque fausse. Alors voilà d'où venait cette senteur insupportable. Elle avait sans doute abusé sur la touche de parfum. J'en avais des migraines. Elle m'observa longuement de son sourire dépravé avant de se coller à moi. Sur le coup j'avais peur pour ma chemise blanche. J'avais mis plus d'une heure à la repasser. Pourquoi ? Parce-que la fausse blonde en question avait un pot de peinture à la place du visage. Encore un désastre auquel je ne voulais pas participer. Je me dégageais malgré moi. Difficile avec l'alcool que j'avais dans le sang. Mon regard se fit plus agressif mais malheureusement le message ne passa pas. A croire que tout l'émoustillait en moi. En la regardant de plus prêt je fus contrains d'admettre que même l'homme le plus nymphomane de la terre ne voudrait pas de ce déchet ambulant. Ma pensée pouvait-être d'une cruauté indétrônable mais à vrai dire elle ne me donnait guère envie. Plutôt crever. C'est alors qu'elle se jeta à mon coup. Je cru défaillir de dégoût. Bon dieu pourquoi je me coltinais tous les boulets en boîte ? J'avais l'expression d'un type désespéré sur le visage ? Bon sens seigneur soyez indulgent avec moi. Et ma chemise merd* ! J'aurais dû une nouvelle fois écouter maman Jane et rester à la maison. Fort heureusement le pot de peinture quitta rapidement mes bras tirée par une amie qui s'excusa maladroitement. Finalement je pouvais enfin respirer. Reprendre le court de ma soirée avant qu'un événement fâcheux ne recommence. Sauf que je fus subitement captivé par quelque chose. Plutôt quelqu'un. Une femme. Et cette fois-ci elle était plus que parfaite. Elle n'avait rien à envier à l'autre pot de peinture ni aux autres femmes présentes. Mes yeux suivaient lentement ses formes impeccables dangereusement moulées dans cette robe qui la rendait désirable. Trop désirable. Je poussais un soupir de satisfaction sous cette vue bien plus qu'imprenable. Quoique je fasse, quoique je dise cette femme me plaisait. Cette attirance physique me poussait à aller vers elle. Évidemment je ne manquais jamais de courage. Surtout avec mon taux d’alcoolémie dans l'organisme. Je ne savais pas si elle était accompagnée ou non. De toute façon je m'en fichais royalement. Je ne voyais qu'elle. Non rectification je ne voulais qu'elle. Sous un geste délicat, je m'approchais vers elle tout en lui frôlant les hanches d'un air faussement timide. "Puisse savoir ce qu'une femme aussi charmante soit-elle fait ici ? Seule sans aucune compagnie. Je serais prêt à me sacrifier pour vos beaux yeux." lui dis-je d'un sourire ravageur. Blablablabla...Mec arrête de jouer ton beau parleur. "Maldito alcohol" me répétais-je sans cesse pour apaiser mon esprit ravagé par l'alcool. Après tout qu'avait-il de mal à être sincère ?

© Chieuze


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Faites place à la vedette
Invité
MessageSujet: Re: Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. EmptyJeu 28 Fév - 18:00

Le rythme entêtant de la musique résonnait dans son esprit. Elle se déhanchait, yeux fermés, se laissant porter par les vagues de sons qui lui parvenaient. Le monde autour d’elle n’existait plus. Elle était là, seule sur la piste dansant, encore et encore, pour oublier, tout oublier. Rien ne comptait plus, non rien à part cette chanson qui lui indiquait comment bouger. C’est en sentant une présence derrière elle que Nymeria ouvrit les yeux. Des mains venaient de se déposer sur ses hanches. Un homme, ivre, qui se collait à elle pour l’entraîner à son rythme. Sourcils froncés elle s’écarta, posant une main sur son torse pour lui signifier qu’elle ne voulait rien avoir à faire avec lui. Il tenta de la forcer à rester, l’attirant un peu plus à lui, alors, elle se montra plus ferme, lui expliqua d’un ton sec qu’elle n’était pas venue ici pour se frotter à des lourds en manque de sexe, et d’un mouvement fluide elle s’éloigna, le laissant planter là. C’était incroyable, chaque fois c’était le même cirque. Quand elle venait ici simplement pour danser, pour faire la fête, pour se changer les idées, il fallait qu’un homme vienne tout gâcher. Elle soupira, résolue, les hommes elle ne savait plus quoi en penser. D’une démarche assurée, elle se dirigea jusqu’au bar où elle commanda un verre au barman qu’elle connaissait bien. Puis un deuxième, et un troisième, et un quatrième… Ainsi de suite, jusqu’à ce qu’elle sente la tête lui tourner et qu’elle arrête de compter. Maintenant elle pourrait vraiment se laisser aller. Maintenant elle pouvait réellement arrêter de penser, éloigner son esprit de lui. Celui qui infligeait tant de souffrances à son cœur. Ce soir, elle était venue ici seule, sans prévenir personne, elle n’avait envie d’être avec aucune de ses connaissances, ainsi pas d’obligations de parler de soi et de ses soucis. C’était tout ce qu’elle désirait. En rentrant de la patinoire, elle avait donc pris une douche avant d’enfiler une sublime robe noire, un peu décolleté et dos nu, qui lui allait à la perfection. Elle l’avait agrémentée d’un collier argent et de talons hauts noirs. Ses cheveux blonds flottaient, libres. Sans même prendre le temps d’avaler quoique ce soit, elle avait filé, quitté la chambre, pour venir se réfugier ici. Une voix la tira de sa rêverie : « Puisse savoir ce qu'une femme aussi charmante soit-elle fait ici ? Seule sans aucune compagnie. Je serais prêt à me sacrifier pour vos beaux yeux. ». Son regard se posa sur le jeune homme qui venait de s’adresser à elle, en laissant sa main frôler ses hanches. Elle arqua un sourcil, amusée. Il semblait complétement sous l’emprise de l’alcool, sans pour autant ressembler à ce lourd qui l’avait abordée un peu plus tôt. Et puis, il était plutôt très mignon il fallait le reconnaitre. Nymeria n’était pas le genre de fille facile, que n’importe quel homme peut mettre dans son lit mais l’alcool aidant, elle décida qu’elle allait passer un moment avec cet inconnu. Sans trop savoir pourquoi il lui plaisait. Il l’attirait beaucoup même. Rien que sa jolie chemise bien repassée le distinguait des autres looseurs présents ce soir. La jeune femme lui offrit un sourire et rétorqua : « Trop aimable. Rassure-moi, je suis la première à qui tu dis ça ce soir, pas la dixième ? Je serais vexée sinon ! » Un rire charmeur accompagna ses paroles. Elle se tourna vers lui et planta son regard dans le sien avant d’attraper sa main en susurrant : « Invite-moi à danser alors si tu es prêt à me tenir compagnie. C’est pour ça que je suis là. Pour danser. » Elle se mordilla la lèvre puis sans même attendre sa réponse, l’entraina avec elle sur la piste. Ses gestes, elle ne les contrôlait plus, elle se laissait totalement guider par son instinct, sans même réfléchir une seconde à ce qu’elle devait faire ou non. Une musique latine résonnait dans les enceintes, toujours collée à son beau cavalier, Nymeria commença à se déhancher, ses yeux, plantés dans les siens. Il lui plaisait. Beaucoup.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Faites place à la vedette
Invité
MessageSujet: Re: Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. EmptyJeu 8 Aoû - 17:13

J'archive Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. 1823284050
Revenir en haut Aller en bas

Faites place à la vedette
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Vivons, profitons comme-ci nous étions immortels sans peur du lendemain - Feat Nymeria.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» "Chacun sa folie : la mienne fut de me croire normal, dangereusement normal. Et comme les autres me paraissaient fous, j'ai finis par avoir peur, peur d'eux et, plus encore, peur de moi-même." Ҩ Francoeur
» ROBIN ᄽ nous n'étions encore que deux enfants, deux coeurs neufs à leur printemps.
» # MAIS T'ES UNE FEE ?! Feat Nymeria
» Comme un charmant besoin ∆ nymeria
» RANDALL ║ Nous faisons peur et nous le faisons bien

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pixie Dust ::  :: Vieux RP-