tu me souris ma chérie, et le monde est un paradis. tu es le chant de ma vie, tu es ma jolie mélodie. | As-tu déjà entendue l'histoire de ce Royaume qui avais pour reine une sirène ? Elle était si belle que cette marin qui la croisé tomber amoureux d'elle, elle avais une voit angélique, une jolie crinière rousse qui tomber le long de sa peau parfaite, un doux visage qui rappeler qu'il s'agissait d'une créature mythique. Cette femme était tomber folle amoureuse d'un jeune prince qui vivait des aventures formidable au quatre coin du monde, il était fort, courageux, ambitieux et charmeur. On avait refuser toute les pouffes des autres royaume, en se persuadant que le grand amour aller arriver, et qu'il ne voulais pas tout gâcher en épousant l'une des prétendante que son père lui présentait. Et il avais raison d'y croire, il avais raison de se dire que le grand amour c'était pas que dans les contes de fée et que quelqu'un quelque part penser à lui chaque matin et rêver de lui chaque soir. Sauf qu'il ne regardait pas vraiment ou il fallait, il laissa donc cette quête du grand amour pour se lancer dans la quête d'un grand voyage. Le prince Eric, partit un an aux larges des côte étrangère. Il voulais trouver l'amour, l'or mais aussi se trouver lui et en fin de compte, un an après, il n'avait rien trouver des trois. En revenant son bateau s'ombra. Un des événements les plus marquant du royaume, à quelque mètre de la terre le bateau s’effondra sous les vagues, le prince ce noya. Il avais vue une dernière fois la lumière avant de s'enfoncer dans les profondeurs des océans. Il ne pouvais plus respirer, plus bouger, son corps se refroidit, ses poumons se remplissais d'eau et ses yeux lui brûler. Lorsqu’il la repris connaissance, il juras l'avoir vue, elle. Celle qu'il est aller chercher ailleurs, celle qui faisait battre son cœur, celle qu'il attendait. Elle avais de magnifique courbe, une longue chevelure et surtout, une voix ravissante. En s'éveillant, il racontas cela à qui voulais bien l'entendre, mais personne ne voulue croire à son histoire. Après tout, il venais de passer des heures dans l'eau froide, il était au porte de la mort et le revoilà hurlant qu'il avais était sauver par l'amour de sa vie. Pauvre prince. Et pourtant c'était bien vrais. Elle, la sirène, la créature d'une autre monde, sa destine, elle l'avais bien sauver mais personne ne voulais l'entendre. Quelque semaine après, une jeune fille a fait son entré dans la vie d'une prince Eric. Le petite rouquine était comme il avait d'écrit sa sauveteuse, à un détail près, elle était muette. Eric n'était pas sûre que la petite rouquine soit la femme de sa vie, mais il passèrent tout de même une longue semaine ensemble, au fil des jours il pensait de plus en plus à elle, à son sourire, à ses gestes amusant, à sa manière étrange de se dandiner lorsqu'elle danser. Le rouge lui faisait rappeler sa couleurs de cheveux, le rose la couleur de ses lèvres, les fourchettes, sa manie de se brosser les cheveux et le bleu la couleur de ses yeux. Tout lui ramener a la jolie rouquine dont il ne savait même pas le nom. Mais son esprit était torturer, car le chant de sa sauveteuse résonner à ses tympan. Il ne cesser de se dire que ce n'était qu'une illusion, un rêve, un délire que son esprit aurais crée pour qu'il se sente mieux. Que la rouquine elle, était bien réelle et qu'il devais favoriser la réalité au rêve. Jusqu'à Vanessa. Vanessa est arriver le lendemain même que le prince c'est résolue à oublier cette créature qui l'avais sauver, Vanessa était belle, une longue chevelure noir, de jolie yeux bleu, un sourire divin, il était comme dans ses rêves et avec cela, une douce voix. Une voix que le prince reconnue de suite, c'était elle qui l'avais sauver. Il décidas donc de l'épouser le lendemain. Pourquoi attendre plus ? Il avait l'argent et le peuple était tous derrière lui.  Il n'avais besoin que d'elle pour vivre, il voulais passer le restant de ses jours à ses côté et ça il le voulais tout de suite, maintenant. La rouquine ne sut quoi faire. Et c'est là que toute la vérité est sortit, la rouquine se nommé Ariel, dernière fille de la famille Tysee, une sirène, une princesse qui a vendue sa voix pour une paire de jambe. Et la fameuse Vanessa n'était d'autre que la sorcière à qui elle avais vendue sa voix, elles avaient passer un marcher ensemble qui stipuler que si Ariel n'arrivais pas à avoir un baiser de son prince avant une semaine elle serais obliger d'êtres esclave et travaille pour elle a jamais. Mais la sorcière avait déjà tout prévue, elle savais que le prince allais êtres tourmenter et que sans sa voix Ariel n'arriverais pas à le séduire assez pour un baiser. Tout allait êtres catastrophique, jusqu'à ce que le fabuleux roi d'Atlantique intervient ! Il sauve tout le monde, et il donne a sa petite dernière des jambes et la bénédiction de se marier avec l'homme qu'elle aime. Leurs amours était grand et fort, et ensemble il donnèrent naissance à la première fille de la terre de la mer. Un petit êtres minuscule qui sceller une alliance entre les deux mondes.

on croirai nager dans un ciel aquarel ou la vit et bien plus réel, j'ai des ailes. en ce moment c'est la gloire ma nageoire ma larguer ses amarre. si mes doigts sont fripé cela ne m'importe peu ! ou l'ocean bleu qui défait mes cheveux. en ce moment je ressent, tout mes rêves d'enfants sont vivant si maman entend ce chant elle saura vraiment.. quand ce moment, j'aime follement l’océan. | Et cette petite fille fut un vrais trésor nationale, que ce soit sur la terre comme dans les fond aquatique. Le jour de son baptême, tout les êtres d'Atlantica rejoignait la surface afin d'apercevoir le petit bout de chou, et tout les êtres de la terre se regrouper sur leurs navire afin de souhaiter la bienvenue à l'adorable enfant. Mais la petite était une Tysee, et les Tysee n'ont jamais une vie paisible comme elles aimerais. Vanessa, la méchante sorcière de son vrais nom : Ursula, avait une petite sœur. Une petite sœur qui souffrait dans son coin d'avoir toujours était dans l'ombre de sa grande sœur. Pour se mettre en valeurs, elle interrompe la cérémonie et jura de tuée la petite princesse avant de s'évaporer je ne sais ou. Affoler, Ariel annonça que la fête était finit, apeurer, elle s'enfuit au fond du bateau pour serrer sa tendre fille dans ses bras alors que les gardes du corps du roi arpenter les recoins de l'Océan pour retrouver l’infâme sorcière. La jeune reine eu ensuite une discussion avec son père et son marie, après une longue réflexion et le cœurs serrez elle annonça qu'à partir de maintenant sa petite princesse ne devait plus rien avoir avec l'Ocean afin d'êtres le plus éloigner possible de Morgana. Elle fit donc construire une énorme muraille qui entourer le château et empêcher qui qu'once venant de l'Ocean d'entré ou qui qu'once venant du château de sortir. C'est ainsi que la princesse fut enfermer durant les treize années de sa vie dans une vie qu'elle n'avais pas choisit. Elle se entait incroyablement seule, différente, comme si il lui manquer quelque chose pour êtres heureuse, pourtant elle avait tout mais il manque la chose qui aurait pue la rendre heureuse : l'Océan. Son envie de liberté était de plus en plus grande au fil du temps et un jour alors qu'elle promener le chien de ses parents elle tomber sur une fail dans le mur. Un barreau mal placer qui s'en aller avec un coup de main ou une vague trop puissante. L'idée de s'enfuir lui effleura l'esprit, mais elle se contenta de sortir se baigner dans l'eau fraîche, cueillir des coquillages, regarder le soleil couchant les pieds dans l'eau. Et cette petite activité elle le fît, une fois, deux fois, trois fois, jusqu'à en faire une habitude. Une habitude inconnue de tous, excepté un crustacé avec qui elle discuter une fois dehors, du nom de Sebastien. C'est le jour de ses treize ans que cette habitude est devenue malsaine. Elle était en retard à son propre anniversaire et tout à déraper. Cette sensation d'êtres juger par tous à cause de ses différences lui revenait, elle se sentait seule alors qu'elle était entourer de tous et elle en voulais tellement à sa mère de l'avoir obliger à vivre ainsi. C'est ce même soir qu'elle décidé de partir et toujours dans la soirée qu'elle se faisait attraper par Morgana. La sorcière lui promis une queue de sirène en échange, elle devait récupéré le triton magique roi. La princesse n'en savait rien de qui était ce roi, elle ne savait même pas l’existence d'un royaume sous la mer. Elle était juste heureuse de pouvoir respirer sous l'eau, profiter de la mer et nager comme elle n'a jamais pue le faire. Ça aurais pue êtres un beau rêve si toute cette mascarade n'avais pas était mise en place pour une terrible vendetta ! Comme Morgana l'avais prévue, Ariel partit à la recherche de sa fille sous sa forme aquatique, et la petite princesse récupéras le triton de son grand père sans problème. Une fois que les pièces du puzzle son trouver il ne suffit plus que de les rassembler. Morgana pris le triton et s'emparer de chaque êtres marin se trouvant dans l'Océan, elle tenta de tué la princesse en la noyant mes ses amis la sortit de là. Morgana mis la population aquatique sous ses pieds, mais la petite princesse ne se laissa pas faire. Doté de ses jambes humaines, elle renversa Morgana, récupéras le triton et le redonna a son grand père qui pris un grand plaisir à punir la sorcière comme il l'avais fait à son aîné. Les choses repris alors son cours, il n'y avais plus de raison de garder ce mur immense qui séparer les deux mondes, plus de raison d'avoir peur et plus de secret à cacher. La terre et la mer unis de nouveau. Jte raconte cette histoire, parce que la princesse en question c'est moi. Et oui, j'en ai vécue des aventures ! Pour répondre à ta question, je m'appelle Melody, Melody Tysee-Swedenborg et je suis la première princesse de la terre et de la mer. C'est étrange de dire ça comme ça, parce que pendant des années on m'a répéter que les sirènes n'exister pas, alors que ma mère en était une, que mon grand père aussi et  la moitié de ma famille également. Tout ce passe bien, j'ai fait connaissance avec toutes mes tantes et avec mon grand père, je les adores tous. Jte cache pas que je suis un peu déçus d'avoir était si longtemps loin de cette famille formidable, mais j'ai toute la vie pour les connaître maintenant. Ma mère aussi est heureuse de pouvoir aller de nouveau dans l'Ocean, c'est comme une seconde naissance pour elle de pouvoir montré les profondeur à mon père. Tout le monde dans le royaume est content et personne ne me trouve plus folle, j'espère que ça va duré pour toujours.  

J’crois que le vrai problème, c’est que tout se casse la gueule. Tout ce sur quoi tu comptais, tout ce sur quoi tu t’appuyais, ça tremble, se transforme, devient d’une inconstance déconcertante. Ta putain de canne affective dérape, et tu tombes au sol, et tu te brises le crâne, et tu te brises le cœur. D’autres cannes suivent, toutes plus médiocres les unes que les autres, si bien qu’elles se brisent tour à tour. Plus rien de stable, tout tangue sous tes pieds, ta tête tourne, tu sais plus où regarder. Tu sais même plus comment pleurer tellement t’as l’habitude de te retenir. | « calme toi.. respire.. » impossible. J'avais l'impression qu'un bus me rouler déçu. Mon cœur s'emballer, il rechercher une issue pour reprendre un souffle mais rien. Je serrais fort le bras d'Alana. Elle me serrais également, je sentait ses doigts s'appuyer sur mon épaule, ce qui me fit oublier une dizaine de seconde que j’arrivais plus à respirer. « Regarde moi Melody. Me lâche pas des yeux, compris ? » je m’exécuter. Je n'arrive plus qu'à me concentrer que sur son regard qui me rassurer, j'aurais voulue lui dire merci d'êtres là pour moi mais j'en était dans l'incapacité. « Je suis là, tiens. » Midory apporter l'inhalateur à ma bouche. Je le saisissait avant d'éjecter une dose dans mes poumons. Ma gorge cessait de me brûler, c'est comme si j'étais une maison en feu qu'on aurais arroser d'un coup d'eau froide. « ça va aller ? » me demander doucement Alana alors que je retirais l'inhalateur de ma bouche. Je secouer la tête positivement. Dans un soupire, elle se redressa pour me prendre dans ses bras. Je suis comme ça depuis que je suis arriver dans ce nouveau monde. Je ne pourrais te dire ce qui c'est réellement passer, je me rappel juste de mon corps sombrant dans l'Océan, mes membres gelé par la froideur de l'eau, mes poumons inondés et mes yeux qui me piquer. J'essaie de me débattra mais la surface était trop loin, plus je faisait d'effort plus j'avais l'impression qu'on me tirais vers le fond, j'avais bon battre des pieds et des mains j'y arrivais pas. Alors je me suis laissait couler, j'ai lâcher la parcelle d'air que j'avais garder dans ma bouche et je me suis laisser tomber vers le fond. La dernière image que j'ai est celle d'une lumière blanche qui s’infiltrait dans l'eau jusqu'à moi, cette petite lumière qui n'éclairais que moi. J'ai bien crus que c'était là fin, mais je me suis réveiller dans des draps propres et une odeur de mort, sur des coussins antibactériens et Attina endormis sur la siège à côté de moi. Ils m'ont raconter que des pêcheurs m'avaient trouver échouer sur la mer, inconsciente, que j'avais marmonner le nom « Tysee » lorsque j'étais dans les vapes et qu'ils ont retrouver toute la petite famille  Tysee qui s'est empresser de venir me retrouver. Tous, à l’excepter de mes parents qui sont porter disparue eux  aussi. Je ne savais pas vraiment ou donner de la tête, mes poumons brûler comme si on les avais enduit d'huile avant de les mettre dans une poêle à frire. Je ne respirais plus, le bipeur à ma droite commencer à clignotait en émettant des bruits aiguë. Attina commençait  à paniquer, elle lâcher mon bras pour aller chercher une infirmière, qui accourais pour donner un coup de poing sur mon thorax. C'est là que mes crises on débuter. Je me rappel avoir fermer les yeux sur le visage de l'infirmière. Deux jours après, Attina m'a ramenez chez elle. Elle a essayer de mon convaincre que tout aller bien, mais rien n'allais vraiment. Je savais pas ou j'avais atterrie ,ce que j’étais devenue, ni encore pourquoi tu jours au lendemain j'avais du mal à respirer.  Je voulais revoir ma mère, et mon père et rien n'allais. Le soir, j'ai remplis la baignoire d'eau et je suis rester deux heures assise sur le lavabo à hésiter à entré. Quand j'essaie d’entrait, rien qu'un doigt de pied je me revoyait me débattre dans l'eau glacer, et je sentait ma gorge se remplir d'eau salé. Ça m'avais littéralement traumatiser, au lieu de ça, j'ai pris une douche et je suis aller me coucher. Attina c'est coucher contre moi, elle m'a assurer encore une fois que tout aller bien, et d'un geste tendre elle a passer ses doigts dans mes cheveux comme ma mère le faisait. Elle c'est endormis avant moi, et j'ai passer le reste de la nuit à scruter le plafond. Rien n'allais plus.  

Je n’ai pas besoin de ton amour, j’ai besoin de tes bras, de ton cou, de ton souffle contre mon visage. J’ai besoin de ta voix, de ton rire, de ton sourire, de ton silence, de tes yeux, de ton regard. J’ai besoin de ton corps. J’ai besoin de mourir collée contre toi. J’ai besoin de ne pas parler, de me taire, de profiter de chaque instant durant lequel ma peau s’agrippe à la tienne comme si je perdais vie. J’ai besoin de ma personne quand je suis avec toi, parce qu’aussi magique que cela est, je crois que tu me rends heureuse. | J'ai réaliser la chose lorsque j'étais au dessus des toilettes pour la troisième fois de la journée. Je me suis redressais, j'ai regarder mon reflet dans la glace et là je m'en suis rendue compte. Jcrois que j'ai re-vomis un coup après avant de me rendre à l'épicerie. « Un bidon de jus d'orange, des smarties et un teste de grossesse, ce seras tout ? » demandait le gentil vendeur qui en avait juste marre de sa vie. J'ai secouais la tête positivement et il m'a refiler mon tout. Pendant tout le trajet, je m'imaginer avec un bidon et une poussette à ma remise de diplôme et tout en ingurgitant autant de jus d'orange que je pouvait, j'essaie de garder mon calme. Non, je pouvais pas êtres enceinte. J'ai que dix huit piges, j'ai pas de diplôme, pas de futur métier, pas de domaine ou j'excelle, et je sais même pas comment on utilise un tire lait. De plus, mes parents on toujours pas était retrouver, j'ai mes notes qui sont en chute libre et mon bac dans moins de six mois. Quand je sais pas quoi faire ou où aller, généralement je vais chez Luc et chez Luc il y a toujours Zach. Enfin quelque fois, la dernière fois, il y était pas, alors on c'est grave fait chier.  On était allonger sur son lit, je lisait un interview de Jennifer Morisson qui raconter à quel point le tournage de Once Upon A Time était géniale en me disant que j'aimerais trop devenir actrice. Luc caresser mes cuisses de sa main droite. Il était rêveur depuis un bout de temps, je ne savais pas si il c'était remis à ce mutiler ou pas, mais ça ne m'avais traverser l'esprit une fois que j'étais chez moi. « Tu t'ennuie ? » m'avait-il demander, j'hausser les épaules. « je m'ennuie jamais avec toi. Mais c'est vrais qu'on se fait chier. » il riais à ma remarque et se redressais pour mettre sa tête a ma hauteur. Il était beau Luc, il était super photogénique aussi, et son visage  était net, sans une trace de bouton. Je passer mes doigts sur la peau de sa joue, il souriait doucement. « Tu veux qu'on baise ? » je riais doucement à sa demande. Et puis. « Pourquoi pas. » Je sais pas pourquoi ça m'a pas déranger sur le coup, j'en avais peut êtres toujours envie ? Peut êtres que c'était marrant sur le coup, surtout qu'on avait qu'une seul capote pour se protéger. C'est peut êtres aussi parce que je m'imaginer ma première fois comme un instant magique et féerique, un peu trop parfait et que ça me terrifier. Alors perdre ma virginité au bras d'un garçon que je connaissait bien m’allait aussi. Quand on avais finit, je suis partit comme si de rien n'était, j'en ai parler à personne parce que ça me semblais stupide de ébruitait ça. Mais depuis, on en a jamais reparler, ça m'importer peu, ça n'avais pas vraiment de conséquence. Je n'étais pas entrain de tomber follement amoureuse de lui, comme il n'était pas entrain de rêver de moi la nuit. C'était comme être pote avec des bonus. Rien n'aurais du déraper si je n'était pas en possession de cette pute de teste de grossesse. D'un pas lent, je me rendait chez Lys. Lys était la seule personne qui me connaissent vraiment, elle avais était ma première amie en arrivant ici et je me suis battit tout autour d'elle. Je l'aimais vraiment ma Lys, et elle était au courant de tout mes secrets. Quand je suis arriver avec le teste de grossesse en main, elle avais tout de suite compris. On a attendue que j'ai envie de faire pipi avant de se lancer. Les quinze minutes d'attente pour savoir si oui ou non le teste aller devenir bleu était les quinze minutes les plus longues de toute ma vie. Pendant ces quinze minutes je repenser à ma vie si j'étais vraiment enceinte, une gosse qui a un gosse c'est pas possible. J'ai fermer les yeux très fort pour que cette journée ce soit qu'un rêve crée de toute pièce par mon esprit tordue, j’imaginais que je m'était fait attaquer par un chat et que je me suis retrouver à l’hôpital dans les vapes, que ce soit qu'une hallucination crée par la morphine trop élever dans mon corps, mais non. La voix de Lys me ramener sur Terre. « C'est bleu. »