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(hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. Vide
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MessageSujet: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptyJeu 16 Oct - 21:14



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
let's get these teen hearts beating faster, faster

C'était une journée comme les autres. Du moins, t'essayais de la voir comme ça. T'essayais de profiter de chaque bon moment maintenant que tu n'avais plus un corps de chat, et ce n'était pas car aujourd'hui tu prenais un an de plus que ce serait mieux ou moins bien que d'habitude. Pour une fois tu t'étais levé tôt, peut-être dans l'excitation de savoir que tu allais voir tes amis et passer la journée avec eux. Tu profitais du silence pour tourner une petite vidéo sans grand intérêt dans ta chambre, laissant le soleil tranquillement se lever. Tu passais quelques heures à ouvrir des lettres et des boites pleines de bonbons et de cadeaux en tout genre. T'en avais reçu du courrier, de gens attentionnés qui trouvaient ce jour important, ce jour mémorable. Tu n'avais jamais vraiment compris ce qu'ils voyaient en toi, pourquoi ils te prenaient comme l'une de ces idoles tout droit sorties d'hollywood, pourquoi ils adoraient te voir et voir tes vidéos. Tu ne t'étais jamais vraiment posé pour y réfléchir, mais tant que c'était positif pour toi, tu prenais l'attention qu'ils t'accordaient, les mots gentils et les cadeaux avec.

Lys s'est moquée de toi quand elle t'as vu arriver au green park. Elle s'est moquée des rides que t'avais pas sous les yeux car tu prenais un an de plus, et de ta petite barbe qui recommençait à pousser, piquant la joue quand tu faisais la bise, mais tu lui faisais ravaler ses paroles quelques heures plus tard en la tartinant de crème chantilly en bombe. C'était une bonne journée. Il y avait le soleil, et tu l'avais passée à faire des conneries et à bouffer tout et n'importe quoi, assis sur l'immense serviette qui trônait au milieu de l'herbe verte du parc. Même Sea avait réussie à rester joyeuse la plupart du temps malgré les hormones qui faisaient du yoyo avec son humeur. T'étais en petit groupe, avec les personnes les plus importantes pour toi, enfin presque. Il y avait les deux cousines supers chiantes qui n'arrêtaient pas de gueuler même quand elles se parlaient à deux centimètres l'une de l'autre et qui filmaient tout ; Sea ta meilleure amie qui avait réussie à venir sans son toutou Tristan pour une fois ; Ondine ta précieuse amie avec qui tu t'accrochais quand ça n'allait pas ; Lys, la toujours présente Lys, toujours aussi chiante et attachante. T'avais reçu un message de Randall, qui était devenu comme ton frère, mais il manquait cruellement la présence de Zackary. A vrai dire, tu ne savais même pas pourquoi il n'était pas là. Tu lui avais envoyé un texto ce matin, même pas à propos de ton anniversaire, et il n'y avait pas répondu. Et là, alors que les heures défilaient, t'avais le sourire aux lèvres et tu participais à toutes les conneries que les filles de ta vie avaient pu inventer, mais t'avais toujours l'absence de Zackary qui traînait quelque part dans ton esprit et qui te refroidissait à chaque fois que tu y pensais. Tu ne comprenais juste pas. Il avait bien dit qu'il avait une surprise pour ton anniversaire, quelques jours, semaines auparavant ? Il l'avait clairement annoncé, y avait fait quelques allusions, et pourtant, alors que tu le fêtais avec le groupe, il était le seul, qui manquait réellement à l'appel. Tu ne savais pas vraiment comment te positionner par rapport à ça. T'essayais de ne pas te laisser atteindre par la chose, de t'éclater avec tes amis comme tu l'aurais fait si t'étais pas en couple avec lui. T'essayais en vain d'être complet. Il avait peut-être seulement oublié la date, à trop penser à certaines choses, tu savais que des fois, dès que le jour j arrivait, c'était là où l'importance de la date s'envolait des esprits. T'espérais qu'il en soit de même avec Zackary, même si c'était un peu triste. Tu préférais qu'il ai oublié plutôt qu'il n'ai juste pas envie de venir et de le fêter avec toi.

Il était vingt heures passées, et tu marchais dans la rue de Fantasia Hill, le vent frappant sur tes bras nus. T'avais fini ta clope depuis un long moment et tu profitais juste de l'air frais, t'aidant à dé-saouler les derniers petits grammes d'alcool dans ton système. La vérité, c'était pas tard du tout, mais il était pourtant temps pour toi de rejoindre ta chambre. Loe avait été cool et t'avait laissé la chambre pour la soirée – pour rien, mais ça lui avait fait tellement plaisir que tu le laissa faire. Ça lui permettait d'aller se rapprocher de Lilo aussi, donc tu te disais qu'il ne faisait pas que ça pour ton plaisir. Peut-être que t'étais destiné à te coucher tôt le jour de ton anniversaire, puisque tu ne le faisais pas les autres jours de l'année. Tu regardais une dernière fois l'écran de ton portable, et t'essayais de ne pas trop être déçu d'y voir les messages non-lus, dont aucun ne venait de Zackary. Peut-être que c'était ça la surprise, que tu pensais le voir mais qu'en fait, tu allais passer absolument chaque seconde de cette journée sans sa présence. Franchement Zackary, t'aurais pu choisir mieux comme cadeau. Tu entrais dans le pensionnat, et t'arrivais presque de suite devant la porte de ta chambre. C'était cool ici, avec ton colocataire vous aviez la chambre un du dortoir un, ce qui voulait dire que tu n'avais même pas de sport à faire afin de la rejoindre. Ça c'était parfait. C'était fini les sourires que t'avais eu pendant toute la journée, t'allais juste prendre ta douche seul et t'endormir le plus vite possible. T'enfonçais ta clé dans la serrure de la porte bleue, et t'entrais, sans vraiment regarder. Tu laissais tomber ton sac à dos noir à côté de la porte alors que tu fermais cette dernière, et quand tu te retournais, c'est là que tu le remarquais. « Zack ..? »


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Dernière édition par Lucifer "Luc" Norris le Mar 27 Jan - 21:57, édité 3 fois
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Neo

My life with you
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LISTE-DES-CHOSES-A-FAIRE:
VOTRE RÊVE: devenir danseuse étoile unijambiste.
Faites place à la vedette
Neo "Cheshire" R. Burton
J'ai posé bagages ici le : 29/10/2013 Jouant le rôle de : Cheshire, l'esprit étrange sous forme féline. #teamwonderland Nombre de messages : 434 On me connait sous le pseudo : wednesday' (cam). Un merci à : hey jude (avatar) Je suis fier(e) de porter l'avatar de : rdj, la perfection.
MessageSujet: Re: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptyJeu 16 Oct - 22:03



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
la nuit nous appartient

T'y avais pensé toute la journée. T'avais prévu trois alarmes sur ton téléphone, préparé trois tenues pour être sûr, appelé huit fois le pâtisser dans la journée, répété avec Mitaine scrupuleusement les étapes pour s'occuper de Sparrow afin qu'elle n'ait pas à t'appeler. C'était devenu une priorité, si bien que t'avais rien écouté du cours de cinéma, pour la première fois de ta vie d'humain. T'arrêtais pas d'y penser, et tu te sentais à la fois tout excité et mort de trouille. T'avais l'impression de revenir à ce fameux jour, où tu lui avais fais ta déclaration. Seulement cette fois là, tout c'était passé si vite, que t'avais rien eu à préparer. Aujourd'hui, c'était toi qui organisait tout, et pour un anxieux chronique pour toi, c'était une lourde responsabilité. Tu dû te retenir de nombreuses fois, et même couper ton portable pour t'empêcher de lui envoyer un message, pour lui souhaiter ses dix-neuf bougies. Non, il fallait que tout soit parfait, tu savais que si tu lui envoyais ce message, tu craquerais et tu le rejoindrais.

Il fallait qu'il profite de sa journée avec ses amis, sinon il ne t'offrirait jamais une soirée comme celle ci à l'improviste. Tu voulais le surprendre, encore une fois, mais cette fois différemment. Tu voulais voir ses yeux brillants, tu voulais qu'il finisse enfin par te le dire, ce je t'aime que t'attendais tant. T'étais pas sûr qu'il te le dise, évidement, et après tout, t'aimais ces gestes tendres qui remplaçaient les mots, mais t'aurais voulu l'entendre dire au moins une fois. Et puis surtout... T'étais prêt. Ça y est, tu l'étais. T'arrivais pas à croire de ce que t'étais en train d'organiser mais oui, t'étais réellement prêt à re-faire l'amour avec lui. Tu savais qu'il le méritait, tu le lui avais dis, tu lui dirais lorsque tu te sentirais prêt. Cela faisait un mois et quelques jours maintenant, et t'étais bien avec lui. T'y avais longuement réfléchis, et tu te sentais réellement prêt. C'était tout ce qui comptait, lui et toi, ensemble. Tu voulais t'offrir, tu l'aimais tant. Mais tu ne le faisais pas seulement pour toi, tu voulais le faire pour vous deux.

Aussitôt que tu eus quitté les cours, tu passas à la pâtisserie cherché le modeste gâteau, que t'avais commandé avec tes petits moyens et qui semblait en parfait état. Poussant un soupir de soulagement, tu glissas un petit pourboire au pâtissier pour le remercier de la bougie qu'il t'avais offert, et tu filas et préparer. Enfilant un jean, les bouts remontés aux chevilles, une chemise très propre que t'avais soigneusement travaillée, et un petit nœud papillon, digne du beau Blaine de Glee, tu t'observas dans la glace un long moment avant de te décider. Tu optas finalement pour la chemise bleu claire, et le nœud-papillon bleu marine, qui irait mieux avec son jean. Tu enfilas tes nouvelles chaussures, jetant un œil à ta montre en sursautant légèrement : tu ne pouvais pas te permettre d'être en retard, c'était trop important. Tu attrapas le petit cadeau, avant de rejoindre vite l'arrêt pour prendre ton bus.

Trente minutes plus tard, après un long soupir, tu glissais ta propre clé – c'est à ça qu'on reconnaît les vrais amoureux – dans la serrure du petit studio que Luc partageait avec Loe, son colocataire, que tu appelas d'abord. « Loe ? Luc ? » Personne. Nouveau soupir de soulagement. Tu refermas vite derrière toi, allant déballer le gâteau en jetant des coups d’œil successifs à ta montre. Tu souris doucement lorsque vingt heures sonna, et que tu vérifiais rapidement dans le miroir de la salle de bain que tout était parfait. Peut être pas, mais ça semblait l'être en tout cas. Tu sursautas en entendant un bruit de serrure et tu te mis à courir comme un demeuré dans l'appartement, attrapant le gâteau et l'allumant avec ton briquet, te prostrant devant la porte. Il était là, ça y est : « Zack ..? » Qu'est-ce qu'il était beau. Tu lui adressas un petit sourire, hochant doucement la tête, avant de poser ton doigt sur ta bouche pour lui faire signe de ne rien dire de plus. Tu inspiras. « Happy birthday to you, Luc... happy birthday to you, happy birthday to you, baby, happy birthday, to youuu... » Tu t'étais mis à chanter d'une petite voix douce, rougissant légèrement parce qu'intimidé, et tu tendis alors lentement le gâteau vers lui. « Fais un vœu, et souffle. » Tu murmuras, le regardant dans les yeux, tellement content d'avoir réussi ce que tu voulais faire. T'avais aucune idée de si ça lui faisait plaisir, s'il était trop fatigué. Après tout, tout ce que t'avais prévu pouvait rapidement partir en n'importe quoi, t'avais plus qu'à espérer que ça irait. Tu ris doucement, avant de reposer le gâteau, et d'applaudir à deux mains, venant prendre le visage de ton homme entre tes doigts pour l'embrasser avec toute la tendresse du monde. « Encore bon anniversaire mon amour, tu croyais vraiment que j'avais oublié ? » Tu souris en coin, le rouge aux jours, mais le cœur battant la chamade.


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MessageSujet: Re: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptyJeu 16 Oct - 23:20



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
let's get these teen hearts beating faster, faster

Tu pensais déjà à peut-être aller faire un tour chez lui demain, pour voir comment il allait, ce qu'il faisait. Ou peut-être que tu lui téléphonerais juste quelques minutes, pour ne pas l'embêter. Tu devenais hésitant, pas sûr de toi, mais c'était pour éviter de penser à des trucs trop tristes, à des scénarios horribles. Comme Zackary qui se faisait reverser par une voiture alors qu'il était en route pour le parc – ouais, décidément, t'avais vraiment pas envie de penser à ça.

Tu ne savais pas vraiment si tu allais réussir à dormir. Pour tout dire, tu étais encore dans l'euphorie du moment, les rires et les sourires des personnes présentes un peu plus tôt résonnant dans ta tête comme un vieux souvenir. Peut-être que tu allais rester en boxer dans ton lit, regardant le plafond jusqu'à minuit. Peut-être que tu n'allais pas arriver à dormir du tout après tout, comptant les chats jusqu'à pas d'heures, pensant à tout, pensant à lui. Tu ne savais pas si tu devenais romantique, ou l'un de ces gros bouffons qui traînaient dans chaque série télévisée sur les adolescents traitant d'amour. En attendant de voir comment ça allait se passer, t'ouvrais la porte, puis tu la refermais. T'avais pas remarqué de suite sa présence, ni le fait que la lumière était déjà allumée alors que t'avais tout éteint en sortant.

Il était là quand tu te retournais, et bêtement, tu prononçais son prénom, comme si t'attendais qu'il confirme qu'il n'était pas une simple illusion que ton esprit te concoctait après l'avoir voulu près de toi toute la journée. T'imaginais que si c'était ton esprit qui te jouait des tours, il te serait apparu dans le plus simple appareil, et malgré tout tu préférais qu'il ai ses vêtements, mais qu'il soit vraiment à tes côtés. Il avait un petit sourire quand il entendait son prénom, et il te faisait signe de te taire, et toi t'obéissais. « Happy birthday to you, Luc... happy birthday to you, happy birthday to you, baby, happy birthday, to youuu...  » Il se mettait à chanter d'une petite voix, ses joues devenant un magnifique rosé, et tes lèvres s'élargissaient sans même que tu ne le penses. C'est bon, t'étais heureux pour la soirée. C'était con hein ? Mais le voir comme ça, tout petit dans son accoutrement qui lui allait à merveille, te souhaiter ton anniversaire en chanson, ça te suffisait maintenant à te satisfaire il fallait croire. Même s'il n'était venu que pour cela et qu'il repartait aussi sec, tu serais content. C'était peut-être juste l'effet Zackary ça, ça changeait toujours ta perception des choses. T'avais déjà mal aux joues, tellement tu souriais de le voir comme ça devant toi, puis tu posais enfin ton regard sur le gâteau qu'il tenait dans ses mains, et qui avait l'air très appétissant, malgré toutes les choses que tu avais déjà avalé cet après-midi. Oh, t'étais glouton Luc, tu l'avais toujours été. Tu mangeais tout ce qu'il passait devant toi, surtout si c'était des choses pas vraiment bonnes pour la santé, mais tellement bonnes en goût. Les sucreries, la junk food... Comment pouvais-tu dire non à tout cela ? T'avais la chance de ne plus grossir comme avant malgré le sport que tu ne faisais toujours pas. T'avais la chance que ton métabolisme soit, enfin dans cette vie, de ton côté, alors t'en profitais. Et voir ce gâteau, ça te remettait directement l'eau à la bouche. Décidément, ça avait l'air parfait tout ça. « Fais un vœu, et souffle. » Il murmurait, et tu soutenais un instant son regard avant de fixer la bougie. T'avais jamais fait de vœu avant pour tes anniversaires, et là, il te prenait de court, et tu ne savais que souhaiter. Madame Tremaine, avant, fêtait ton anniversaire – même si le chant des deux sœurs que t'aimais tant était horrible – mais c'était tellement différent d'aujourd'hui. Il n'y avait pas de vœux, pas d'ambitions, et peut-être que si t'avais eu la chance d'en avoir un, t'aurais juste souhaité d'avoir Gus-Gus et Jac morts sur un plateau d'or devant toi. Et ils auraient été ton gâteau. A vrai dire, t'avais jamais eu ça, ce qui était en train de se passer là. Zackary savait déjà que tu n'avais pas eu de réelles relations sérieuses et ça venait avec le fait que tout ces petits moments-là, si simple soient-ils et apportant pourtant tant de joie, tu n'avais jamais pu même les frôler du bout de doigts. T'en avais eu aucune envie avant, et t'aurais même pas su acheter un gâteau et surprendre ton copain, mais maintenant ça te paraissait comme une étape nécessaire. En fait, t'avais beau chercher, à cet instant-là, il n'y avait rien que tu souhaitais avoir de plus. T'aurais pu demander d'avoir plus de motivation, ou une idée précise d'un métier qui te conviendrait et que t'aurais même pas pensé. Ou simplement demander de rester avec Zackary, pour toujours. Mais t'étais là en sa compagnie, et t'avais passé une super après-midi avec tes potes, alors tu n'en fis rien. Tu fermais les yeux. Je souhaite qu'absolument rien ne change dans ma vie. Tu les rouvrais, et tu soufflais sur la flamme qui s'éteignait de suite.

Après ton vœu, il reposait le gâteau sur la table pour t'applaudir – ce qui te fis lâcher un petit rire et lever les yeux aux ciel – avant qu'il prenne ton visage entre ses doigts et qu'il t'embrasse enfin. Naturellement tes yeux se firent clos, et tu profitais du tendre moment, vos lèvres collées. Il n'y avait pas à dire, ça t'avait manqué. Tes mains venait l'enlacer autour de sa taille et tu souriais en coin alors qu'il prenait la parole. « Encore bon anniversaire mon amour, tu croyais vraiment que j'avais oublié ? » Tu riais doucement, tes yeux brillants rencontrant les siens alors que tu gardais ton visage proche de lui. Tu lui murmurais un - Merci pour ses bons anniversaires, puis tu mordais coupablement ta lèvre inférieure. « J's'rai un mauvais petit-ami si j'avouais que j'ai réellement cru que tu voulais pas le souhaiter ? » Tu demandais, parce qu'il était vrai que tu l'avais cru. Qu'il avait oublié, ou qu'il n'avait pas envie. T'aurais pu comprendre, tout le monde n'avait pas envie de souhaiter l'anniversaire du gros Lucifer. Tu venais glisser l'une de ses mèches brunes qui retombait presque sur ses yeux, et tu murmurais, avec ton sourire de mi-ange, mi-connard. « T'as jamais voulu devenir chanteur ? » Tu vannais, riant en le regardant, alors qu'au fond, t'étais super touché qu'il l'ai fait. Il fallait juste que tu plaisantes, même quand t'étais pas drôle Luc. Tu devins légèrement plus sérieux en suite, le bout de ton nez venant reposer sur sa joue chaude. « Alors, c'est toi mon cadeau ce soir, ou tu dois repartir ? » Tu demandais, en espérant fortement qu'il puisse rester, et que tu n'allais pas devoir manger ce gâteau tout seul, dans le silence.


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Dernière édition par Lucifer "Luc" Norris le Ven 17 Oct - 2:24, édité 1 fois
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J'ai posé bagages ici le : 29/10/2013 Jouant le rôle de : Cheshire, l'esprit étrange sous forme féline. #teamwonderland Nombre de messages : 434 On me connait sous le pseudo : wednesday' (cam). Un merci à : hey jude (avatar) Je suis fier(e) de porter l'avatar de : rdj, la perfection.
MessageSujet: Re: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptyVen 17 Oct - 0:42



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
la nuit nous appartient

T'avais réfléchis, tout bien minuté, pensé à tout. Tu t'étais dis, et si il n'aimait pas ? S'il ne rentrait pas ? S'il t'en voulais de ne tout de même pas l'avoir appelé, de l'avoir inquiété, et qu'il te fasse la gueule ? C'était ton problème. Tu voulais toujours tout prévoir, toujours tout minuter si bien que t'en devenais parfois un peu fou. Parce que si tout ne fonctionnait pas comme il fallait, t'avais l'impression que la situation t'échappais. T'avais peur de ne pas tout contrôler. C'était ce qui s'était passé d'ailleurs, ce sacré jour d'hiver, où t'avais pris ton courage à demain et que tu lui avais parlé, alors que la neige tombait sur vous. Comme un con t'avais songé que c'était romantique, lui à l'époque, il était plutôt concentré sur ce qu'il pouvait bien faire de toi. Là aussi, la situation t'avais échappé, et pas qu'un peu. D'un petit sourire, ton brun s'était proclamé maître du jeu, et c'était toi qui t'étais mis à courir derrière, en bavant, guettant le moindre sourire, le moindre baiser. Il t'avais embrassé oui, et la première fois, ça avait été comme une explosion de joie de saveurs, qui cachaient mesquinement un arrière-goût plus noir, celui d'un désir bafoué, et seulement porté sur le sexe. Sans doute que si t'avais eu plus d'expérience, t'aurais pu le reconnaître, ce goût, mais là t'avais pas su, t'avais été maladroit et perdu, et Luc avait su tirer cette situation à son avantage.

Et pourtant ce soir il était là, devant toi, si beau, mais semblait si triste. Ouais, tu t'en voulais de ne pas l'avoir appelé, et ce fut une vraie torture, rien d'étonnant, mais il ne fallait pas qu'il t'en veuille, tu ne voulais vraiment pas gâcher ta surprise si bien minutée. Ça aurait été si bête. Tu lui avais promis quelque chose d'un peu spécial, et tu tenais toujours tes promesses, et puis il le méritait. Il avait tant été aux petits soins ces derniers temps avec toi, lorsque t'étais malade, lorsque tu pleurais... Il se comportait comme le petit ami modèle, et t'aurais jamais cru dire un jour ça de Luc. Pourtant c'était le cas, t'avais rien à lui reprocher et tu flottais toujours sur ton petit nuage. C'était en partie pour ça, que tu t'étais dis que ce soir serait la bonne, parce qu'il le méritait, plus que quiconque sur cette planète, et que c'était le seul auquel tu voulais t'offrir. « J's'rai un mauvais petit-ami si j'avouais que j'ai réellement cru que tu voulais pas le souhaiter ? » Tu roulas les yeux, d'un air désabusé. Comme si t'avais pu oublier, ou même ne pas vouloir lui souhaiter. « Dis moi, c'est le fait que t'as dix-neuf ans qui te rend si con ? » Tu ris, secouant la tête avant de lui prendre doucement la main. «J'ai tout préparé pour te faire plaisir, bébé, j'espère que ça te plaira. » Tu lui expliquais, tout heureux de la voir. Il fit son vœux et tu l'admiras souffler sur la bougie, te demandant bien ce qu'il avait pu souhaiter. T'aurais donné beaucoup pour être dans sa tête à celui là, qui sait ce qu'il pourrait bien s'y cacher ? Telle était la question. Tu applaudis lorsqu'il soufflas avant de te diriger vers la cuisine pour poser le gâteau, et alors qu'il te rejoignais dans le salon, t'installer sur le canapé en soupirant d'aise, croisant les jambes. « T'as jamais voulu devenir chanteur ? » Outré, tu ouvris grand la bouche. Il se moquait le vilain ! Tu posas tes poings sur tes hanches, lui mettant des petites tapes sur sa la tête. « Vilain, vilain, tu te moques, vilain ! » Tu répétais, quel moqueur ce gros chat là. Tu te rapprochais de lui pour l'embrasser longuement, soupirant d'aise, caressant doucement sa joue.

« Alors, c'est toi mon cadeau ce soir, ou tu dois repartir ? » Tu souris en coin, mordillant ta lèvre. Eh oui, les cadeaux. Tu hochas la tête avant de te lever, glissant une mèche de tes cheveux hors de ton front, puisqu'elle te cachait la vue. Tu te dirigeas vers l'entrée, fouillant dans ton sac pour y sortir deux cadeaux, dont l'un était plus volumineux que l'autre. Tu revins pour finalement le lui tendre, attendant qu'il déballe. Tu souris doucement alors qu'il découvrait un bonnet noir avec un petit pompom au bout, et sur le devant, il y était écrit ''LE DIABLE EN PERSONNE''. Tu ris en le revoyant, encore amusé. « Voilà, bon c'est pas super, mais j'ai vu ça dans une boutique et je me suis dis que pour un vilain Lucifer, ce serait pas mal. » Tu te grattas l'arrière de la nuque, espérant que ça lui plairait tout de même un minimum, ce n'était pas grand chose. Tu lui tendis alors l'autre cadeau, que t'avais acheté car tu t'étais sentis mal d'arriver seulement avec un seul cadeau. Celui ci semblait plus volumineux, tu t'assis près de lui, le regardant déballer un oreiller unis banc, avec cependant un câble derrière. « C'est un oreiller MP3, avant de dormir tu colles ton oreille à l'oreiller et tu peux écouter de la musique. Le soir tu grognes toujours parce quand on s'appelle le soir, tu voudrais raccrocher pour mettre de la musique avec ton portable, là t'auras pas besoin ! » T'étais plutôt content tout de même de tes cadeaux, t'avais mis longtemps avant de chercher. Tu lui fis un petit sourire, espérant vraiment que ça lui ferait plaisir. Puis tu inspiras fortement, mordillant ta lèvre. Quoi, maintenant, d'un coup ? « Et puis... Tu commenças J'ai un troisième et dernier cadeau... » Tu dis, regardant autour de toi sans oser lever les yeux. « L-Luc je... Je suis prêt et ce soir je voudrais qu'on le fasse tous les deux. » Tu osas enfin lever les yeux vers lui, rougissant comme jamais, mais sincère.


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MessageSujet: Re: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptyVen 17 Oct - 2:21



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
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Il était si magnifique comme ça, devant toi, alors que tu ne l'attendais plus. Tu pris quelques secondes pour faire ton voeu, puis tu profitais de pouvoir le prendre contre toi, enfin. Tu glissais un instant tes doigts sur son nœud de papillon bleu qui te faisait sourire, avant de lui avouer que oui, t'y avais cru à son oubli. « Dis-moi, c'est le fait que t'as dix-neuf ans qui te rend si con ? » Il rit et tu levais tes yeux au ciel, faisant une petite moue amusée. Non, con, tu l'avais toujours été Luc. Mais qu'est-ce que tu étais censé croire quand ton petit-ami ne venait même pas fêter ton anniversaire alors que vous aviez prévu de tous vous retrouver au parc, hein ? T'étais presque sûr que lui aussi aurait douté de toi si tu ne t'étais pas montré à son anniversaire et que tu n'avais en plus même pas répondu à son message. « T'es pas venu toi-aussi. Tu aurais toujours pu prévoir ça et être avec nous au parc. » Tu disais, car au final il n'avait pas été de la partie et c'était lui, qui avait passé sa journée tout seul. Après tout, vous étiez pratiquement tous potes dans le groupe non ? Il ne se serait pas senti perdu ni entouré d'inconnus du tout. Tu serais un peu sa mai dans la tienne, alors qu'il reprenait la parole. « J'ai tout préparé pour te faire plaisir, bébé, j'espère que ça te plaira. » Tu souriais doucement quand il revenait après avoir posé le gâteau à la cuisine, venant s'installer à ses côtés dans le canapé. « Je ne me fais pas de soucis, j'imagine même pas depuis combien de temps t'y penses. » Tu avouais, car tu commençais à bien le connaitre, lui et ses vilaines petites manies de prévoir à l'avance – bien trop à l'avance. T'approchais ton visage du siens, avant de lui demander s'il n'aimerait pas devenir chanteur, après la petite chanson qu'il avait surement révisé juste pour toi. « Vilain, vilain, tu te moques vraiment vilain ! » Il répétait et toi tu éclatais de rire alors qu'il avait cet air outré, et qu'il te donnait des tapes sur la tête pour te punir de tes moqueries sur sa voix. Elle n'était pas si mauvaise, t'exagérais, juste parce que t'aimais le voir réagir et le taquiner. « Mais non bébé, c'était vraiment très mignon ! » Tu disais en riant avant d'attraper l'un de ses poignets et de répondre longuement à son baiser, le tirant vers toi.

Tu lui demandais assez rapidement s'il était ton cadeau et qu'il allait rester, ou si tu ne le voyais que pour quelques minutes, le temps de quelques embrassades. Il souriait en coin, et t'espérais que ça signifie la première de tes options. Tu n'avais pas envie qu'il reparte, pas maintenant, pas plus tard. Jusqu'à minuit, c'était encore jour de fête, et tu voulais en profiter avec lui. Il se levait du canapé et tu le regardais faire, le voyant revenir peu de temps après avec deux cadeaux de tailles différentes. Tu lui lançais un regard quand il revenait, une sorte « Vraiment ? Deux cadeaux ? » car finalement, il t'avait déjà acheté le gâteau et il était là, ça devait être suffisant. Tu prenais le plus petit emballage dans ta main avant d'enlever la papier qui cachait le cadeau de ta vue. « Voilà, bon c'est pas super, mais j'ai vu ça dans une boutique et je me suis dis pour un vilain Lucifer, ce serait pas mal. » Tu le sortais, et tu te mis à rire quand tu remarquais le message de devant, voyant sur le fond monochrome noir de tout le bonnet. Tu l'enfonçais à l'endroit sur ta tête, et tu faisais un grand sourire en regardant ton copain. « Est-ce que ça ne crie pas « Je suis Lucifer, agenouillez vous tous » maintenant ? » En tout cas, tu l'adorais déjà ce bonnet, et tu étais d'ores et déjà certain qu'il allait t'accompagner quotidiennement durant le temps capricieux de l'hiver. Tu prenais ensuite le second cadeau – plus gros – qu'il te tendait, le posant sur tes genoux afin de le déballer. « C'est un oreiller MP3, avant de dormir tu colles ton oreille à l'oreiller et tu peux écouter de la musique. Le soir tu grognes toujours parce quant on s'appelle le soir, tu voudrais raccrocher pour mettre de la musique avec ton portable, là t'auras pas besoin. » Il disait avec un petit sourire et tu glissais tes doigts sur l'oreiller tout blanc, qui semblait très confortable. Tu riais doucement car c'était vrai que t'aimais t'endormir avec de la musique le soir – t'adorais la musique en général – et qu'avec Loe, vous n'aviez toujours pas vraiment eu les moyens pour vous acheter une chaîne hi-fi afin d'éviter d'utiliser vos portables à tout bout de champ. Ça bouffait de la batterie en plus, et le soir, il était vrai que c'était le grand dilemme Zackary ou la musique. « C'est une très mauvaise idée ça bébé... Je vais plus du tout t'appeler le soir maintenant... » Tu disais en riant, parce que c'était vraiment géant ce cadeau et que tu risquais de l'utiliser très souvent. « Ils sont parfaits, merci. » Tu murmurais, embrassant tendrement ses lèvres avant de le prendre contre toi pour l'enlacer.

« Et puis... J'ai un troisième et dernier cadeau... » Il te disais et tu posais tes yeux sur lui, car il ne faisait vraiment pas les choses à moitié ton petit-ami, quand on lui disait que c'était son anniversaire. Il gardait les yeux baissés, et attendais qu'il parle afin de comprendre sa gêne. « L-Luc je... Je suis prêt et ce soir je voudrais qu'on le fasse tous les deux. » Là par contre, c'était du sérieux. C'était sérieux car t'avais déjà laissé passé votre première fois, et que si elle avait été plaisante, elle ne l'avait été que sur le plan sexuel de la chose. T'essayais en vain d'oublier les erreurs du passé que tu avais commises, mais quoi que tu fasses, tu ne pouvais oublier le soir où tu t'étais juste servi de lui. Tu n'étais absolument pas amoureux à l'époque, et lui pourtant tu le revoyais, déjà prêt à te donner la lune et les étoiles qui allaient avec. Ce n'était plus n'importe quoi, et tu savais dès le départ, en entamant cette relation avec lui qu'il n'allait surement pas retomber dans tes draps aussi vite, et surement pas si tu le brusquais. Seulement voilà, il venait lui-même de te faire la proposition, et toi, t'avais la trouille de tout gâcher au moindre mouvement que tu ferais. « Tu sais qu'il ne faut pas que tu fasses ça juste parce que c'est mon anniversaire hein ? » Tu lui demandais posément, passant une main sur sa joue qui rougissait surement d'embarras d'amener ce sujet sur la table, et tu regardais ses yeux, comme si t'essayais d'y lire une réponse claire et précise qu'il ne veuille pas faire cela juste pour toi ou parce qu'il pense qu'à force de ne pas le faire, tu te lasserais de lui. T'avais l'air de voir cette réponse en lui, ou peut-être tu avais assez confiance en Zackary pour qu'il ne s'oblige pas à faire des choses dont il n'était pas à cent pour cent certain, alors tu le regardais, un petit sourire aux lèvres. « Et si tu te sens prêt et sûr de toi... Ce sera avec joie. » Tu disais en ne lâchant pas son regardant, avant de venir déposer tes lèvres sur les siennes un court instant. Tu redevenais à nouveau un peu sérieux, haussant un sourcil. « Maintenant la vraie question c'est... Avant ou après le gâteau ? » Tu disais dramatiquement avant de rire un peu, essayant de le détendre, lui qui rougissait toujours affreusement.


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MessageSujet: Re: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptyDim 9 Nov - 22:34



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
la nuit nous appartient

Tu voyais bien qu'il était inquiet, cet idiot. Il avait vraiment cru que tu ne serais pas là, comme si c'était possible. Même une jambe dans le plâtre et des hémorroïdes au cul ne t'auraient pas empêché de le rejoindre le jour de son anniversaire. T'avais eu besoin de toute a journée pour tout préparer, et même si t'avais regretté de ne pas pouvoir rejoindre tout le monde au parc, tu ne regrettais rien. T'avais tous tes cadeaux, toute ta tenue, et t'étais fin prêt. En tout cas, la surprise avait l'ai d'opérer, et c'était tout ce que tu espérais. « T'es pas venu toi-aussi. Tu aurais toujours pu prévoir ça et être avec nous au parc. » Tu souris, venant caresser sa joue en lui lançant un regard désolé, parce que tu l'es. Tu sais qu'il aurait voulu que tu sois là, et c'est un sentiment réciproque. Seulement il fallait choisir, et t'y tenais vraiment à ta surprise. « Je suis là maintenant. » Tu lui dis, hochant doucement la tête en espérant que ta présence lui fait tout de même plaisir, et qu'il ne soit pas déçu. Il ne faudrait surtout pas. « Je ne me fais pas de soucis, j'imagine même pas depuis combien de temps t'y penses. » Ah il te connaît vraiment trop bien, il commence vraiment à pouvoir viser juste celui là. C'est bon signe, vous devenez de plus en plus proche, et ce n'est absolument pas pour te déplaire, au contraire. Parce que c'est réciproque, parce que toi aussi, tu commences à le comprendre et à percer sa grosse carapace qu'il s'impose, alors qu'en vérité, il ne peut être que douceur et gentillesse, avec toi. Bon, pas vraiment avec les autres, mais avec toi, ça oui. Et cette tendresse te surprend un peu plus chaque jour, comme à ce moment, où il t'embrasse, tout en lâchant sa petite pique taquine dont il a l'habitude. « Mais non bébé, c'était vraiment très mignon ! » Tu roules les yeux, lui rendant lentement son baiser. « Si c'est pour se moquer, moi je ne te souhaiterai plus jamais rien ! » Tu proclames, croisant les bras, en prenant une mine boudeuse qui te va si bien. Mais tu craques vite, fondant en regardant son sourire. Qu'il est beau ton homme quand même.

Tu déballes alors les cadeaux, puisqu'il se montre si impatient. D'ailleurs forcément, ça ne peux que te faire plaisir, parce que ça prouve qu'il est heureux, qu'il a envie de savoir ce que tu peux bien lui avoir préparé. Reste à savoir si ça lui plaira. Tu lui tend alors le premier présent, et il le déballe, découvrant le petit bonnet bleu marine – parce que tu as toujours trouvé que c'est une couleur qui lui va bien – avec l'inscription écrite dessus. Sans surprise, il lui va comme un gant. « Est-ce que ça ne crie pas « Je suis Lucifer, agenouillez vous tous » maintenant ? » Tu éclates de rire, hochant vivement la tête en pointant le dit-bonnet du doigt. « Si tout à fait, c'est pourquoi je m’exécute grand maître ! » Tu dis, t'agenouillant alors devant lui à la façon d'un chevalier en vue de recevoir le sacrement. Puis tu ris, et tu te redresse, allant chercher le second cadeau en souriant, le présentant à lui. Il découvre alors la boite contenant le fameux oreiller MP3, et les yeux brillants tu lui explique, espérant que ce deuxième cadeau lui ferait autant plaisir que le premier. « C'est une très mauvaise idée ça bébé... Je vais plus du tout t'appeler le soir maintenant... » La pression retombant une seconde, tu ris à nouveau, tout heureux. Ça lui fait plaisir ! Tes cadeaux lui vont très bien ! Tu as vu juste, comme un vrai petit-ami. « Ils sont parfaits, merci. » Tu lui souris alors qu'il t'embrasse pour te remercier, et tu viens te serrer tout contre lui, heureux comme jamais. Tu l'aimes tant...

Mais la pression remonte désormais, car il faut le lui dire, cette dernière chose que tu avais prévue, celle qui a vrai dire, t'as pris le plus de temps : tu es prêt, tu veux le faire, et tu réalise avec peine que tu viens de le lui dire. Ça peut paraître si con, et pourtant c'est si important pour toi, tu en rougis nerveusement. Tu l'aimes, et tu te sens prêt à t'offrir à ce beau brun que tu aimes tant. C'est même plus que ça, tu en as envie, c'est ce qui t'as fais prendre conscience. Lorsqu'il te prend dans ses bras, lorsque sa douce voix chaude murmure à son oreille, tu ressens des sensations que tu n'avais jamais vraiment ressortis auparavant. Tu frissonnes et tu sens bouillir, comme emporté, dans quelque chose que tu avais ressentis auparavant, avant qu'il ne te brise le cœur : le désir. Mais c'est passé maintenant, et tu sens bien que ton corps est à nouveau prêt. Parce que penser à lui quand tu te touches, c'est un signe. Oui tu l'aimes, oui c'est à lui que tu veux te donner, parce que ça n'avait jamais été que lui. Finalement, il ne réagit que quelques secondes après, et répond avec calme et douceur, qui lui vont si bien en vérité. « Tu sais qu'il ne faut pas que tu fasses ça juste parce que c'est mon anniversaire hein ? » Oui tu le sais, et en un sens, tu espérais vraiment qu'il te dise ça. Ça voulait dire qu'il s'inquiétait pour toi, vraiment, qu'il ne voulait pas te forcer. Tu lui souris alors doucement, pour le rassurer, car t'es vraiment fier qu'il soit à toi, cet homme là. « Je sais Luc, et je suis prêt depuis quelques semaines, mais je voulais que ce soit lors d'un soir spécial... Je savais que ce serait un cadeau non pas matériel, mais je pense... 'fin j'espère, qui te ferais autant plaisir que les autres. » Tu réponds timidement, rougissant d'avantage, tout adorable que tu es. Oui là, t'es un peu gêné, parce que ce n'est pas très facile à expliquer tout ça, mais il le faut bien, il ne faut pas qu'il s'inquiète, tu es là pour lui maintenant. Rien que pour lui. « Et si tu te sens prêt et sûr de toi... Ce sera avec joie. » Tu hoches la tête pour acquiescer ses paroles, et tu dis pour confirmer une bonne fois pour toute : « Oui, je me sens prêt, Luc. » Vraiment, prêt. Il y alors un petit silence, durant lequel tu essayes d’apaiser ton incontrôlable rougissement et il doit alors le sentir car il lâche un : « Maintenant la vraie question c'est... Avant ou après le gâteau ? » Tu souris alors en coin, roulant les yeux au ciel. Il essaye de détendre l'atmosphère. « Hm, c'est  comme tu veux...  Tu murmures.  Après tout c'est ton anniversaire...  Puis tu réfléchis, regardant le gâteau un moment, ton petit ventre se mettant alors à gargouiller bruyamment, tu rougis de plus belle.  B-Bon le gâteau risque de fondre hein ! »Tu dis en riant, te levant pour aller chercher un couteau.

Tu reviens avec l'objet et tu t'assois en face de ton homme, souriant doucement en venant découper le gâteau alors posé sur la table basse. Tu en tend une part dans une assiette à ton homme, ayant soigneusement retiré les bougies, avant d'en couper une pour toi, et de mordre avec envie dedans, gloussant doucement. « Chai trop faim ! » Tu t'expliques, rougissant, avant de lever des yeux brillants vers lui. « C'est bon ? » Tu souris en coin, espérant au moins qu'il aime, puis tu glisse ton doigt sur la crème d'une blancheur exquise. Tu prend alors de la crème et tu viens lui en étaler sur le nez, avant d'éclater de rire. « Ouuuuups ! » Tu souris et te redresse, déposant un baiser sur son nez avant de venir lécher lentement la crème, le regardant dans les yeux avant de reculer, inspirant. Oui, tu es prêt.


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MessageSujet: Re: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptyLun 10 Nov - 22:41



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
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Tu essayais de comprendre sa logique, le choix qu'il s'était lui-même imposé. Celui de soit venir passer ton anniversaire au parc avec tes amis proches, ou celui de rester seul, afin de tout préparer pour ce soir. Tout ce que tu voulais c'était qu'il ne regrette finalement pas son choix, qu'il ne pense pas après coup qu'il avait pu faire les choses autrement et passer la journée avec toi et les autres. S'il était fier de ce qu'il avait fait, et qu'il s'en foutait de ne pas être venu, c'était le plus important. « Je suis là maintenant. » Il te répondait, après t'avoir lancé un regard désolé. Tu lui souriais légèrement, hochant un peu la tête en le regardant. Oui, maintenant il était là, t'évitant de passer une nuit seul à ne faire que dormir tout en te demandant quand tu aurais la chance de le revoir. Il avait dû réfléchir longtemps, prendre du temps pour organiser et penser à tout ça. La dernière fois déjà, quand tu lui avais offert sa Madame Carotte, il t'avait dit qu'il te préparait quelque chose, une surprise. C'était lui ça, à s'y prendre à l'avance – parfois trop tôt – à passer ses journées à réfléchir au cadeau parfait, à la tenue à porter, à essayer de ne pas faire de gaffes ou de tout dévoiler avant le jour j. Plus t'y pensais, plus tu te disais que Zackary, c'était surement le mec à déjà faire ses courses pour Noël et acheter tous les cadeaux en Août histoire d'avoir le temps d'éplucher toutes les promotions, tous les catalogues, de voir les différences de prix entre les magasins et de cette manière ne surtout pas être stressé la dernière semaine avant le réveillon. « Si c'est pour se moquer, moi je ne te souhaiterai plus jamais rien ! » Tu levais tes yeux au ciel, essayant de cacher ton sourire en collant tes lèvres l'une à l'autre, ce qui n'accentuait que plus ton envie de rire. T'aimais ses réactions, et t'imaginais que t'arriverais jamais, même dans quarante ans, à ne pas te moquer un peu de lui ni de le taquiner. T'avais besoin de le voir bouder, de le voir rire, de le voir répliquer, t'aimais juste voir la palette d'émotions ou de réactions que tu pouvais susciter de sa part, d'un simple mot. « Monsieur décide de bouder lors de mon anniversaire juste parce que je le trouve très drôle ? » Tu demandais, haussant un sourcil en souriant. Il ne pouvait de toute manière jamais te résister longtemps – enfin, tu l'espérais.

Il était ensuite le temps de dévoiler les cadeaux, qui te rendait au fond de toi, un peu impatient. Qui n'aimait pas ça, les cadeaux ? Personne, où peut-être y avait-il seulement les gens sans amis, qui s'en foutaient car ils savaient qu'ils n'en auraient de toute manière pas. Déjà avant, ta maîtresse t'offrait de beaux cadeaux. Enfin, ta dernière maîtresse, pas ceux d'avant qui en profitaient pour te battre deux fois plus le jour de tes premières bougies. Avec Madame Tremaine, tu avais tout ce dont tu n'osais même pas espérer. Un moelleux coussin fait sur mesure pour toi afin que tu dormes dans le plus joli et confortable des paniers, de la nourriture, des croquettes, des sachets pour chats qui valaient très chers mais qui étaient exquis à ton palais, quelques fois des jouets, qui faisaient du bruits mais qui finissaient souvent par trainer par terre car tu préférais le silence qui accompagnait ta sieste. Et quelques rares fois t'avais eu l'immense joie d'attraper une souris, ou qu'elle t'en trouve une juste pour toi. Tu avais donc toujours été assez gâté avec elle, mais à Fantasia Hill, c'était différent. Pas au niveau de l'attachement que tu aurais à tes cadeaux, mais tu étais maintenant humain, et tes envies étaient donc devenues différentes que des croquettes puantes ou un jouet pour chat qui couine. Le premier cadeau te plaisait déjà, tu passais tes doigts sur l'inscription, avant de le mettre sur ta tête, lui demandant si ça ne te donnait pas de suite beaucoup plus de prestance et d'assurance auprès des gens. « Si tout à fait, c'est pourquoi je m'exécute grand maître ! » Tu le voyais dire avant de s'agenouiller tel un chevalier de la table ronde, et toi t'étais comme le Roi Arthur, prêt à le nommer devant ses confrères. Tu riais doucement, avant qu'il se redresse, et que tu t'approches un instant de lui. « Hm, t'es à mes ordres alors ? » Tu demandais, un grand sourire charmeur - et il fallait l'avouer un peu pervers qu'il devait bien reconnaître - sur ton visage. Il ne fallait pas te lancer la première pierre, tu n'étais pas assez fou pour refuser un Zackary prêt à exécuter le moindre de tes désirs, même si tu plaisantais. Ton attention se tournait ensuite vers le second cadeau, que tu adorais également instantanément. Tu aimais, comme tous les jeunes de ton âge, écouter de la musique – et ça changeait énormément qu'écouter Javotte et Anastasie en duo – et tu avais juste hâte de pouvoir l'essayer, et de t'endormir en écoutant tes groupes préférés, ou une playlist faite par l'oreille experte de Zack. Tu finissais par le remercier, collant tes lèvres aux siennes chastement, et il avait l'air content de lui, comme s'il avait réussi une mission, comme s'il n'avait pas tout fait foirer.

Et quand tu pensais que c'était fini, ça venait en fait à peine de commencer. Et le moins que tu puisses dire, c'est que ce cadeau-là, tu ne l'avais vraiment pas vu venir. Tu l'avais espéré, pas pour ton anniversaire spécialement mais tu l'avais juste rêvé tout court, sachant qu'il allait falloir du temps avant que tu puisses retoucher son corps, après que tu lui ai fait du mal. T'étais resté sur tes gardes, patient, et tu savais bien que tout cela n'était que ta faute, que si tu ne l'avais pas juste utilisé, il aurait peut-être gardé cette confiance qu'il avait en toi à l'époque avant même que vous soyez ensemble. Confiance qu'il semblait avoir retrouvé ce soir-là, confiance qu'il semblait vouloir remettre dans le creux de tes mains. Tu voulais tout d'abord être sûr qu'il soit vraiment partant avant de reprendre cette confiance, tu voulais être sûr qu'il fasse cela pour lui, qu'il en ai réellement envie, et non car c'était le genre de cadeau qu'on pouvait voir dans les séries et qu'il s'est dit que ça devrait te faire plaisir et qu'il devait faire pareil. « Je sais Luc, et je suis prêt depuis quelques semaines, mais je voulais que ce soit lors d'un soir spécial... Je savais que ce serait un cadeau non pas matériel, mais je pense... 'fin j'espère, qui te ferais autant plaisir que les autres. » Il disait timidement, et ton sourire grandissait en le voyant comme ça, essayant de s'expliquer mais en même en ayant du mal, vu le sujet. Ça aussi ça avait du tourner longtemps dans sa tête, afin qu'il choisisse de le faire non hier, non demain, mais bien aujourd'hui. Il aimait ça Zackary, il aimait que les choses soient spéciales, qu'elles aient une signification, une attention particulière. « Évidement que ça me fait autant plaisir. » Tu le rassurais, même si tu savais maintenant, en étant sorti avec lui, que tu pouvais tout de même contrôler tes pulsions et que t'aurais pu attendre encore longtemps qu'il se sente prêt. « Oui, je me sens prêt, Luc. » Il te confirmait, et tu fixais un instant ses joues toutes rouges, qui pouvaient dire tellement de choses à la fois. Tu décidais d'essayer de détendre un petit peu l'atmosphère qui s'était épaissie après avoir commencé à parler de ce dernier cadeau, lui demandant s'il voulait faire ça avant ou après le gâteau qu'il t'avait acheté. Tu espérais surtout que quoi qu'il réponde, ça l'aide à vider son esprit pendant quelques minute, afin qu'il redevienne détendu, et non qu'il reste nerveux comme tu pouvais le voir maintenant. « Hm c'est comme tu veux... Après tout c'est ton anniversaire... » Ce n'était pourtant pas parce que c'était ton anniversaire que tu devais décidé de tout, et encore moins pour ce genre... D'activité. Finalement, tu n'eus rien à dire, et lui non plus : un gargouillement bruyant se fit entendre dans le salon de ta chambre, et ton petit copain, rougissant une nouvelle fois, se dépêchait de se lever. « B-Bon le gâteau risque de fondre hein ! » Tu riais en le regardant, acquiesçant doucement de ton visage, comme pour lui montrer que tu étais totalement d'accord avec ce qu'il disait.

Le couteau en main, il s'asseyait en face de toi et vous servait chacun une belle tranche de gâteau dans une assiette. Tu avais déjà l'eau à la bouche alors qu'il le découpait, et sérieusement, t'étais le genre de mec qui arrivait toujours à trouver de la place dans ton estomac pour quelconque gourmandise qui passait devant tes yeux. Ce n'était pas de ta faute si ta gloutonnerie t'avait suivie jusque dans tes gènes humains, et que le gâteau qu'avait choisi Zackary avait l'air particulièrement appétissant. « Chai trop faim ! » Tu entendais Zack marmonner avec enthousiasme, du gâteau plein la bouche, et tu riais en le regardant, avant d'à ton tour mordre un gros morceau dans celui-ci. Tu fermais un instant les yeux pour savourer cette première exquise bouchée et tu hochais vivement ta tête quand tu entendais ton homme te demander si c'était bon. « J'pourrais me nourrir de seulement ce gâteau jusqu'au restant de mes jours tellement c'est bon. » Tu lui répondais, en mangeant un nouveau bout, tes yeux brillants d'appétit. C'était peut-être même meilleur que les plaintes des souris sous tes griffes avant que tu plantes tes dents de chats dans leurs chairs, c'est pour dire. T'avais vraiment un petit-ami parfait qui connaissait presque le moindre de tes goûts. Enfin, parfait... Peut-être que tu parlais un peu vite, car deux secondes après, c'est du doigt de ce dit-copain que tu sentais la texture et la fraîcheur de la crème du gâteau, en plein sur ton nez. « Ouuuuups ! » Il souriait, comme le démon qu'il était, avant d'approcher son visage du tien, et de ses lèvres enlever cette crème. Tu souriais en coin, décidant qu'il avait le droit et le devoir lui aussi, de se salir un peu, et comme lui tu plantais le bout de ton doigt dans la crème qu'il te restait en essayant d'en prendre le plus possible, avant de l'étaler grotesquement sur sa joue, qui devenait encore plus pâle qu'à l'habitude. « T'es dégueulasse Zack ! » Tu riais en faisant semblant de te plaindre, comme si c'était de sa faute, et peut-être que si, ça l'était un peu, étant celui qui avait commencé la partie. Assis sur ton canapé, tu levais un peu tes jambes afin de pouvoir les nouer légèrement à celles de Zackary, afin de le faire se rapprocher d'où tu étais, puis jusqu'à ce qu'il tombe un peu sur toi. De là, tu venais remettre de la crème sur sa seconde joue, et puis tu riais en le regardant. « On dirait un p'tit indien comme ça. » Tu remarquais, avec ses deux traits de crème sur les joues. Tu bougeais un peu afin d'être presque allongé sur le canapé, le gros coussin derrière ton dos te redressait un peu, et tu venais enlacer des tes bras la taille de ton copain qui était un peu sur toi, venant sortir délicatement ta langue pour lécher un instant un peu de crème sur l'une de ses joues. « Tu voudrais peut-être pas que je plonge ta tête dans tout le gâteau, hm ? » Tu lui demandais en souriant en coin, parce que s'il tentait à nouveau ce genre d'affront, tu savais que tu le ferais surement. C'est très appétissant après tout, un Zackary à la crème.


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MessageSujet: Re: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptyJeu 18 Déc - 13:12



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
la nuit nous appartient

C’était dans ce sourire qui te faisait fondre que tu comprenais qu’il y avait encore tant de choses que tu ignorais de lui. Tu ne commençais en vérité qu’à le découvrir vraiment, ce coté adorable qu’il cachait à tout le monde. Luc était une véritable armure de béton, et il te laissait progressivement entrer dans son monde. De bad boy mystérieux, il passait d’un jeune homme bien perdu, et si tendre. Tu l’aimais pour ça, parce que t’avais su voir sa fragilité derrière ses mots durs et tranchants. Et dans sa voix, ce soir là, tu sentais toute la joie et le soulagement qu’il avait à te voir là, devant lui, et ça aussi, ça te rendais heureux. Tu ne t’étais pas trompé, ça n’avait pu être jamais que lui. Malgré toutes les engueulades, et les pleurs… C’était finit maintenant tout ça, hein ? Tu ne voulais plus jamais revivre de telles choses, tu voulais être heureux une bonne fois pour toute, que ce soir il te serre fort dans ses bras et trouve les mots pour te rassurer. Un grognement même te suffirait, car tu savais que Luc  n’avait jamais été très doué pour exprimer des sentiments, encore moins des mots tendres. Mais t’avais appris à comprendre ce qu’il voulait dire malgré ses maladresses, qui le rendait attachant, ce gros chat.

« Évidement que ça me fait autant plaisir. » Alors t’avais pris une décision, qui avait tourné dans ta tête pendant des semaines, et qui t’avais autant fait douter que sourire. Dire que tu n’avais pas envie de Luc serait un énorme mensonge, car tu n’avais à vrai dire jamais cessé de désirer le brun depuis que vous l’aviez fait, et même avant. Tu t’étais toujours interdit de le refaire depuis, d’abord par amour propre, parce qu’il t’avait horriblement fait souffrir, mais aussi par méfiance. Mais désormais que vous étiez ensemble, et depuis pas mal de temps tout de même, t’avais pas pu t’empêcher d’y repenser, longuement. Tu savais que Luc ne ferait rien, parce qu’il ne voulait plus prendre le risque de te vexer, et qu’il – c’est ce que vous aviez convenu – attendrait un signe de ta part. Tu l’aimais, tu l’aimais comme un fou, et tu ne voulais pas le faire trop attendre. Rien ne pressait, mais au fond, tu en avais autant envie que lui, et tu ne voulais plus rien t’interdire avec lui. Tout était trop beau. Le passé était passé, mais le désir était-il toujours bien là ? Aimerait-il te toucher comme il l’avait fait auparavant ? Est-ce qu’il te désirait toujours autant, même après tout ce que tu l’avais fais attendre ? Tu n’avais qu’à le lui demander. « Est-ce que… Tu as toujours envie de moi, même après tout ce temps ? » Tu demandas alors d’une voix tout aussi timide, de celui qui veut savoir mais qui s’en veut de prononcer ses mots, qui a peur de la réponse, en un sens. Tu ne doutais pas de son amour, du moins ne doutais plus, mais quant n’était-il du coté plus physique de l’amour ? Cette idée t’angoissait. Tu n’avais jamais été bien sûr de toi dans ces choses là, et il avait dû coucher avec tant de beaux garçons, de coups tous meilleurs les uns que les autres… Et t’étais là, tombant comme un cheveu sur la soupe, avec seulement ton corps et tout ton amour à lui proposer : ton immense amour.

C’était le choix entre le gâteau et le sexe. Gêné, virant au rouge vif que ce soit à toi de faire ce choix, tu te jetas presque sur le gâteau, affamé. Tu en goûtais une part avec délice, te félicitant intérieurement pour ton choix, qui en tout cas à toi te plaisait terriblement. Tu levas les yeux vers ton homme en lui demandant si c’était le cas pour lui aussi, car après tout, c’était le plus important, qu’il aime lui. « J'pourrais me nourrir de seulement ce gâteau jusqu'au restant de mes jours tellement c'est bon. » Tu soupiras d’aise en apercevant ses yeux brillants, glouton qu’il était. La soirée commençait bien, tu avais parfaitement choisit le gâteau, et l’immense sourire de ton copain ne pouvait que te rendre heureux. Alors, ne résistant pas à l’envie de le faire, tu glissas tes doigts dans la crème et tu vins lui en étaler sur le visage, lâchant une onomatopée sur-jouée de celui qui n’a pas fait exprès. C’était en vérité tout à fait volontaire, et tu riais à gorge déployée en voyant la crème étalée sur la face du brun.  « T'es dégueulasse Zack ! » et tu riais de plus belle, encore et encore en posant une main sur ton ventre pour tenter de reprendre ton souffle. Tout aussi joueur, Luc vint encercler tes fesses de ses jambes immenses, pour t’attirer d’un coup à lui, et tu tombais sans t’y opposer sur le torse chaud du brun, le visage tout près de sien. Allongé sur lui et bercé par son souffle, riant lui aussi, tu te sentais bien comme jamais.  T’infligeant la même chose, tu te retrouvas avec les joues couvertes de crème pâtissière.  « On dirait un p'tit indien comme ça. »  Oui c’était peut être un peu ça, tu haussas les épaules en riant de plus belle. « On est deux. » Tu lui fis remarquer, glissant ton doigt à nouveau sur la crème que tu venais de lui étaler pour en goûter un peu, poussant un soupir d’aise. Lui se fit plus radicale, et tu sentis sa langue se balader le long de ta joue. Un frisson t’échappa, et vint parcourir ton corps alors que tu cessais de rire, baissant les yeux vers lui pour le regarder se délecter de la crème qui se trouvait jadis sur ta joue. « Tu voudrais peut-être pas que je plonge ta tête dans tout le gâteau, hm ? » Tu souris en coin, caressant lentement ses cheveux bruns, avec ta tendresse incroyable habituelle. « Oh non, ce serait gâcher. On pourra faire goûter le gâteau aux autres demain, non ? » Tu proposais, regardant ton homme dans les yeux, tout en continuant de lui caresser la joue. Tu inspirais alors, tout doucement. Alors, tu venais saisir doucement sa main droite, pour la poser sur ton cœur, qu'il sente à quel point il battait fort à ce moment là, à quel point t'avais envie, à quel point tu l'aimais. « Fais-moi l’amour mon Luc. » Et c’était dit.


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MessageSujet: Re: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptySam 20 Déc - 1:23



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
let's get these teen hearts beating faster, faster

Et voilà, il te l'avait dit son troisième cadeau, non sans mal. Tu essayais de le rassurer, de lui dire que ça te faisait autant plaisir que ses deux premiers cadeaux – et de toute manière c'était assez dur à comparer, pratiquement impossible. Il y avait les cadeaux qu'il avait prit du temps à choisir, à penser à ce qui te plairait, et puis il y avait cet autre cadeau qui voulait dire tout autre chose, qui avait une signification bien différente, et qui était encore plus beau. C'était son désir, c'était sa confiance, c'était son amour, et tu comptais en prendre le plus grand soin. « Est-ce que... Tu as envie de moi, même après tout ce temps ? » Il te demandait de sa toute petite voix, comme s'il n'était pas sûr de ta réponse, et tu fronçais des sourcils, ne comprenant pas vraiment où il voulait en venir. Il était vrai qu'à part l'embrasser follement et caresser le bas de son dos vous n'étiez jamais aller plus loin depuis que vous formiez un couple, mais attendre n'avait pas fait baisser ta libido ou l'envie de le retrouver dénudé dans tes bras. Sans même vraiment en parler vous étiez tombé sous le sens que c'était à Zackary de prendre les devant et de faire quelconque signe pour te faire comprendre s'il était prêt à aller plus loin avec toi, tout simplement parce que tu ne te sentais plus forcément très à l'aise de tenter ce genre d'agissements compte tenu de ce qu'il s'était passé la dernière fois. Ce n'était pas que tu regrettais autre chose que le fait de l'avoir fait sans cesse pleurer – et de toute manière, si regret il y avait, tu t'occupais très bien de l'évacuer sous la masse de bracelets couvrant ton bras gauche. Ce n'était pas parce que tu n'avais plus couché avec Zackary depuis cette fois-là que ton désir pour lui s'était éteint, tu t'en étais juste occupé aux très beaux moyens que t'offrais ton imagination, les vidéos pornographiques gays gratuites sur internet et ta magnifique main, meilleure amie de tes nuits solitaires. « On est pas un vieux couple marié depuis 150 ans hein, évidement que j'ai toujours envie de toi. » Tu murmurais, ton pouce venant caresser la pulpe de ses lèvres tendrement. Même s'il avait été puceau et complètement sans expérience, ta fois avec Zackary avait été assez mémorable, et cela même sans les sentiments que tu éprouvais maintenant. Ce n'était pas pour rien que tu avais voulu réitéré l'expérience, ce que lui n'avait pas souhaité à l'époque, blessé que tu te sois servi de lui.

La gâteau était délicieux, et rapidement vous en veniez à jouer, Zackary commençant à salir ta joue, ne cachant aucunement son rire parce qu'il était fier de lui le petit monstre. Tu riais à ton tour devant ses conneries, le faisant tomber sur toi grâce à tes jambes habilles, et n'y réfléchissant pas à deux fois pour toi aussi le salir, venant créer deux traits sur chacune de ses joues, tel un petit indien à la peau pâle. « On est deux. » Il répondait, venant goûter de son doigt la crème dont il t'avait barbouillé. Toi tu avais une méthode très différente de la tienne, ne voulant en aucun cas défaire tes bras autour de sa taille, et c'est de ta langue que tu nettoyais doucement ses traits de crèmes. Le son mélodieux de son rire se stoppait, et tu léchais tes lèvres comme un chat léchait ses babine après avoir mangé, levant tes yeux pleins d'appétit vers son regard observateur. « Oh non, ce serait gâcher. On pourra faire goûter le gâteau aux autres demain, non ? » Tu faisais une petite moue, alors que tu détournais quelques secondes tes yeux pour réfléchir. C'était ça quand on avait des amis non ? Il fallait partager, il fallait avoir le coeur sur la main et donner sans attendre en retour. Tout ce genre de message positif qu'on pouvait entendre dans les titres qui passaient à la radio, comme quoi aider les autres c'était bon et que le monde était magnifique et que les gens étaient tous aussi exceptionnels les uns que les autres, et blablabla. Tu y pensais, sachant que c'était la bonne chose à faire, mais on parlait de bouffe, on parlait de ton anniversaire, et tu te disais que tu avais assez partagé pour cette journée. « Je sais pas. C'est mon gâteau. » Qui osait dire que tu ne pourrais jamais manger un gâteau à toi tout seul et que tu aurais surement mal au ventre avant d'arriver à la moitié ? Celui-là ne connaissait définitivement pas le grand Luc Norris. Tu avais toujours été glouton, bien plus attiré par croquer les souris à l'époque que maintenant, mais tu n'avais pas perdu cet amour de la bouffe et tout le monde le savais. Tu sentais sa main qui caressait ta joue alors que ton esprit divaguait vers la bouffe, quand sa petite voix résonnait dans tes oreilles, et qu'il te ramenait à la réalité. « Fais-moi l'amour mon Luc. » Tu plongeais tes yeux dans les siens, et tu sentais malgré toi ton coeur battre un peu plus vite dans ta poitrine à l'entente de ses petits mots qui s'échappaient de sa bouche avec une douceur qui lui était propre. Merde, c'était ça être amoureux ? Tu commençais pourtant seulement à prendre l'habitude de cette chaleur qui entourait constamment ton coeur à la seule vue de Zackary, mais ça avait une saveur particulière cette fois-ci, et t'avais l'air de redécouvrir la signification de ce mot du tout au tout. Le pire dans tout cela, c'est que t'étais toujours là, allongé dans ce canapé, à te perdre en le regardant. Tu ne faisais absolument rien, tu ne bougeais pas, tu l'écoutais juste, et t'avais pourtant déjà les mains moites juste en connaissance de cause, juste parce que tu savais que tu étais sur le point de passer à l'acte avec lui. Comme pour la première fois. « Autoritaire au lit hein ? » Tu demandais avec ton fidèle sourire en coin, essayant de rendre l'atmosphère un peu plus légère comme pour reprendre un peu de contenance et effacer un peu ce trop plein d'émotions qui te submergeait déjà. Tu savais que c'était beau, que c'était grand,que c'était précieux, mais le problème résidait dans le fait ça te stressait tout ça. Toi qui était totalement partant quelques secondes auparavant l'était toujours, mais depuis qu'il avait prononcé ces mots, t'étais moins à l'aise, et t'avais cette peur que t'essayais d'étouffer, parce que la vérité c'est que tu n'avais jamais fait ça encore. Faire l'amour comme il le disait si bien était quelque chose que tu ne connaissais pas, et tu te retrouvais à te dire que peut-être que t'allais tout foirer. Tu ne pensais pas au fait que tu allais être mauvais ou avoir la grosse panne qui gâcherait l'ambiance, mais tu avais peur que dans la hâte du moment ton esprit finisse par s'embrouiller et que Zackary ne devienne qu'un corps, comme avant. En fait c'était plutôt ce que lui ressentirait qui t'effrayait : tu avais peur qu'il ne ressente pas tout l'amour qu'on était censé ressentir quand deux être qui s'aimaient se retrouvait pour ne plus faire qu'un, et tu ne voulais pas qu'à la fin il ne se sente qu'usé et sali car tu n'étais pas arrivé à faire passer ce que tu voulais lui faire passer.

Stresse ou pas, ce soir serait le soir Luc. De toute manière tu n'avais plus vraiment le choix, parce que tu connaissais bien trop Zackary. Si jamais tu finissais par vouloir t'arrêter à cause de la peur et de la panique que tu ressentais pour la première fois, tu savais qu'il se monterait la tête. Il se dirait que c'est de sa faute, il ne parviendrait pas à dormir de la nuit en ressassant la soirée et en se disant que tu avais menti, et qu'il ne faisait envie à personne, et qu'il était trop gros, et qu'il n'était pas assez beau, tout le genre de conneries qu'avait déjà bien pu se dire Zack depuis qu'il est devenu humain. Tu inspirais doucement, te donnant du courage, avant de poser tes lèvres contre les siennes. C'était parti. Tu te redressais doucement, jusqu'à ce que Zack se mette bien et attache ses jambes autour de ta taille, et puis tu te levais, le soutenant de tes avant-bras sous ses fesses. Tu laissais tes jambes se diriger vers ta chambre, parce que c'était là-bas que se trouvait tes capotes et ton tube de lubrifiant et qu'il était hors de question que tu fasses cinquante mille allers-retours parce que t'oublieras l'un, puis t'oublieras l'autre. Et puis le lit, c'était vachement plus confortable pour faire l'amour – ou peut-être disais-tu cela parce que tu avais l'habitude de rapidement t'endormir après, et donc que le lit était l'endroit parfait pour tes petites habitudes post-coïtal. Tu fermais la porte de ta chambre de ton pied, et puis tu t'approchais du lit, t'arrêtant quand tes tibias tapaient contre le matelas, et tu y déposais Zackary au centre de celui-ci, t’entraînant avec lui, gardant ton corps collé au sien. Tu dérivais ton regard quelques secondes, penchant le haut de ton corps le temps de sortir du tiroir de ta table de chevet le paquet de préservatif et le tube, et tu les posais sur le côté du lit pour après, retournant pour le moment vers ton petit-copain qui attendait. Tu tentais un petit sourire, et putain, t'espérais que t'avais pas l'air trop timide parce que là, ce serait le comble de tout. Tu commençais par l'embrasser une fois, deux fois, trois fois, pas encore très à l'aise avec la tendresse que tu devais déployer mais tu tentais de faire de ton mieux, espérant qu'au moindre mauvais mouvement Zack ai le cran de t'arrêter, de te dire ce qu'il ne va pas, que ce soit maintenant, durant les préliminaires, ou plus tard, quand vous serez en plein acte. Tu commençais par défaire le nœud de papillon à son cou car il était surement assez difficile de se détendre avec un truc qui vous serre la gorge, avant de glisser tes mains sous sa chemise bleu claire, venant caresser sa peau chaude qui vibrait déjà de tes quelques effleurements. Tu laissais tes lèvres descendre dans son cou, venant embrasser la fine peau entre sa nuque et son épaule, et t'aimais le voir comme ça, si réceptif de tes caresses du bout de tes doigts, de ton souffle sur sa peau, de tes dizaines de baisers papillonnant dans le creux de sa nuque jusqu'au bout de son épaule. Tes doigts finissaient par ouvrir peu à peu les boutons de sa chemise, désireuses d'en voir plus de sa peau nue, sans artifice, sans aucune épaisseur pour la voiler de ta vue. Tu déposais des baisers à chaque pan de chemise qui s'ouvrait, vénérant chaque petites parcelles de son corps avant de complètement enlever son haut et de le laisser retomber quelque part par terre, venant t'occuper à présent des deux petits boutons de son jean, puis du zip de celui-ci. Tu l'embrassais langoureusement pendant que tu faisais glisser le pantalon, tes yeux vitreux de désir pour ton homme, et tu finissais par exercer une pression de ton bas ventre contre le sien, lui faisant ressentir ton envie non dissimulable. Tes mains glissaient le long de ses jambes, remontant pour caresser son torse pâle, et tu prenais le temps de ravir ses lèvres, jusqu'à ce qu'elles soient adorablement rosées et légèrement gonflées par trop de baisers. Collant ton front contre le siens tu haussais un sourcil, demande silencieuse pour savoir s'il n'avait pas changé d'avis entre temps, et après sa confirmation tu lui enlevais son boxer, dévoilant son membre que tu gratifias rapidement de quelques caresses. Tu y allais lentement, prenant le temps de faire monter le désir, venant taquiner l'intérieur de ses cuisses du bout de tes doigts, et recouvrant de baisers brûlants chaque fragment de sa peau découverte.

Après  quelques minutes tu attrapais le tube de lubrifiant pour l'ouvrir, en mettant partout sur le lit parce que tu n'avais jamais été très doué avec ça, et tu regardais ton copain dans les yeux, glissant ta langue sur tes lèvres pour les humidifier. « Tu me dis si je te fais mal ok ? » Ou si t'es inconfortable ou si t'as juste la merveilleuse idée d'arrêter en pleins milieu. Tu avais déjà fait tout ça avec Zackary, ce n'était pas la première fois que vous vous retrouviez nus dans ce lit, mais tout avait l'air si différent à cet instant. Ce n'était pas comme si tu avais été l'un de ces bourrins qui ne se souciaient que de leurs propres érections sans faire attention à l'autre, mais tu prenais plus ton temps, et tu y mettais bien plus de ta personne qu'auparavant. Lui faire ressentir ton amour et vénérer son corps, c'était ça les deux grandes missions de la soirée, et ce n'était pas si aisé que ce qu'on l'on pouvait croire à première vu. Tu essayais d'être doux et attentif à la moindre de ses réactions, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. T'essayais d'apprendre ce qu'il aimait, de garder dans un coin de ta mémoire toutes les zones où il avait l'air de particulièrement apprécier d'être touché, celles qui le faisaient frissonner, celles qui faisaient accélérer les battements de son coeur, celles qui lui arrachaient un doux gémissements qui parvenait à tes oreilles. Tu t'appliquais à faire de même durant les préliminaires, et tu le préparais lentement, appréciant chaque petits sons qu'il émettait grâce à la dextérité de tes doigts, comme une douce mélodie qui remplissait le silence religieux de la chambre. Tu mordillais ta lèvre inférieure, tes yeux ne le quittant pas d'une seconde alors que tu l'admirais, sa poitrine se soulevant au rythme des petits plaisirs que tu lui procurais, et puis tu remontais pour déposer un long baiser sur ses lèvres, avant d'arracher le sachet et t'enfiler le préservatif. Tu collais ton torse nu au sien, tes yeux dans ses perles océan, et puis tu entrais lentement, très lentement, en lui, réunissant vos deux corps pour n'en faire plus qu'un. Comme si c'était la première fois.


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MessageSujet: Re: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptyMar 27 Jan - 21:35



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
la nuit nous appartient


Ta question pouvait paraître sotte, mais lorsqu’on connaissait toutes les conquêtes passées de Lucifer, alors on doutait de tout. Combien de fois est-ce que tu t’étais sentis rougir en voyant de beaux hommes sortir des chiottes suivis de Luc, les cheveux en bataille et la braguette encore baissée ; et combien de fois est-ce que tu avais envié les corps musclés de tous ces mecs qu’il se tapait nuit et jour. Toi, tu étais seulement toi. Tu n’étais ni musclé, ni magnifique, t’avais le physique banal d’un chiot transformé en humain et comparé à tous ses hommes tous plus beaux et sexy les uns que les autres, que Luc pouvait se taper sans aucun mal, tu n’étais rien. Pourtant, c’était avec toi qu’il était, et c’était à lui que tu proposais de faire l’amour ce soir. Tu n’avais rien d’autre à lui offrir que ton corps fin, ta peau blanche, tes yeux bleus marines et tes dents de traviole ; tes lèvres, ton cœur, tout ton amour servi sur un plateau doré. Mais ça ne faisait pas tout, tu l’avais tant fait attendre… Ta question, aussi bête qu’elle pouvait paraître, était légitime, et tu sentais bien que si tu ne la posais pas, tu te sentirais anxieux. « On est pas un vieux couple marié depuis 150 ans hein, évidement que j'ai toujours envie de toi. » Il te répondit tout naturellement, après un  petit froncement de sourcils comme s’il ne comprenait pas pourquoi tu posais la question. Peu importait maintenant, un petit sourire rassuré se posa sur tes lèvres et tu pus t’abandonner doucement à l’envie. Il avait encore envie de toi, malgré tout ce temps, malgré toute l’attente que tu lui avais d’abord imposé par haine, puis par hésitation, par besoin d’attendre… Maintenant tu te sentais prêt, et si il avait toujours envie, alors il pouvait te prendre, tu t’offrais volontiers. Ses doigts caressèrent lentement tes lèvres, et tu déposas des petits baisers dessus, très lentement, en closant les yeux. Tout était parfait, ce soir était le bon soir, tout se passerait bien s’il était là. C’était juste vous deux, tu n’avais pas à avoir peur. Il t’aimait, oui, il ne te l’avait jamais dit mais tu le sentais, tout ça se passait de mots. Tu te fichais de ce que pensaient les autres, ils ne savaient pas. Ils ne parvenaient pas à lire en Luc, ils ne voyaient pas à quel point son regard pétillait lorsqu’il te regardait, ils ne comprenaient pas à quel point il te rendait heureux, et à quel point tu lui pardonnais tout.

Mais d’abord : le gâteau. Et Luc y était drôlement attaché à ce gâteau. Rien ne pouvait plus te faire plaisir, cela voulait dire que tu commençais réellement à connaître ses goûts en matière de nourriture : d’abord pour les bonbons, que tu lui avais ramené la dernière fois où tu l’avais trouvé en sang, et puis ensuite ce fameux gâteau d’anniversaire que tu avais mis tant de temps à choisir. Tu avais tant voulu que ce soit parfait que tu avais même été jusqu’à le commander à l’avance chez un pâtissier, histoire qu’il ne soit fait que des choses que ton brun aimait. Enfin, direz vous, il n’était pas bien difficile en ce qui concernait la nourriture, mais comme tout le monde il y avait des choses qu’il préférait plus que d’autres. Ainsi, t’avais demandé à ce qu’on ne lésine ni sur la crème, ni sur le chocolat qui plaisait tant à ton copain, et t’avais demandé le dessert très frai. Il semblait que tu avais plutôt bien réussi ton pari. « Je sais pas. C'est mon gâteau. » Mais quel connard, il ne voulait même pas partager avec ses amis ! Tu ne pus t’empêcher de rire cependant, parce qu’au fond tu t’en doutais, Luc n’était pas très partageur quand il s’agissait de nourriture. Tu avais dû te battre pour qu’il partage le paquet de pop corn la première fois que vous aviez été en cinéma en couple, et il avait fait exprès de tout manger très vite pour s’en mettre plein la pense. Tu ne lui en avais pas voulu, parce que tu avais tant ris que tu n’avais plu réussi à respirer. Tu te souviendrais toujours de ses grosses joues pleines de popcorn prêtes à exploser, et son air angélique du genre : [i]« quoi, je mange normalement ! »[ /i]. Qu’il était bête. « Oh, tu pourrais un peu partager quand même ! Mais quel goinfre. » Tu riais de plus belle, roulant les yeux en attrapant une fraise sur le gâteau, et lui glissant doucement dans la bouche en souriant, avant de déposer un baiser sur son nez.

Et puis t’avais décidé de le lui demander maintenant que vous aviez fini de manger. C’était d’une petite voix douce, mais convaincue cependant. Et tout à coup son esprit divaguant vers la nourriture revenait brusquement sur toi. Tu sentis étonnement son cœur tambouriner contre sa poitrine, et tu te demandas même un instant si cela pouvait l’angoisser un peu, lui aussi. Pourquoi ? Tu n’osais lui demander, tu avais peur qu’il te trouve lourd avec toutes tes questions, tu parlais tant… Pendant un instant vous ne bougeâtes pas, vous regardant dans les yeux, lentement, stressant autant l’un que l’autre. Tu avais si peur de ne pas être à la hauteur, de le décevoir, mais ses peurs étaient étrangement partagées, comme si Luc t’avait déjà déçu. Enfin, oui, lorsqu’il t’avait dit avoir mit Sea enceinte, tu t’étais sentis triste et trahis, mais est-ce qu’il t’avait déçu ? Non, parce qu’à cette époque tu n’avais rien attendu de lui. Lorsqu’il t’avait fait de la peine ? Un peu. Mais c’était un nouveau Lucifer que tu avais en face de toi, celui que tu aimais, qui t’aimais. Il avait su reconquérir ta confiance, malgré tout, et aujourd’hui tu voulais le récompenser, tu voulais partager un plaisir nouveau avec lui : un plaisir sexuel. Tu voulais de l’intimité dans votre couple, tu voulais être heureux, et que lui aussi le soit. « Autoritaire au lit hein ? »  La pression retomba le temps d’un rire, que tu émis sans soucis à vrai dire. Il savait comment détendre l’atmosphère, lui aussi avait sentit la gravité que prenait lentement la situation. C’était important, et l’essentiel était de se détendre, et ne pas se mettre la pression. Après tout faire l’amour était la chose la plus naturelle du monde, alors pourquoi y’aurait-il un problème ? parce qu’il n’était pas question que d’enfoncer sa bite quelque part, il était question de faire ça bien, de donner du plaisir, et de mettre l’autre en confiance, il était question de s’offrir l’un à l’autre, et c’était beau. « Un peu. » Tu soufflais contre ses lèvres pour répondre, riant doucement en caressant sa nuque brûlante

Alors il commença, très lentement. Ses lèvres rejoignirent les tiennes une nouvelle fois, et tu soupiras pour évacuer le stress qui te prenait quand même. Tu le sentis se redresser et tu compris le message, venant timidement nouer tes jambes autour de sa taille, ton bassin se retrouvant collé au sien. Evidement, tu ne pus t’empêcher de rougir, et ce ne serait certainement pas la dernière fois de la soirée que tes joues viraient au rouge vif. Il te souleva sans mal, et tu te dis que contrairement à ce dont tu te persuadais, tu ne devais pas être si gros que ça, car ce fut avec une grande facilité qu’il t’amena jusqu’à la chambre, t’allongeant avec grande attention sur le lit. Son odeur parfumant ses draps vint te saisir puissance un million, et tu souris doucement, rassuré par cet environnement qui t’étais familier ; c’était une bonne idée que d’avoir décidé de le faire ici, c’était toujours mieux que sur le canapé. Tu tournas la tête pour le voir rejoindre ta table de nuit, devinant ce qu’il allait chercher. Il trouva sans mal une capote et un tube de lubrifiant parmi tout son bordel sexuel, et dans ton anxiété, tu trouvas quand même le temps d’esquisser un petit sourire amusé par le nombre de préservatifs que tu apercevais dans ce tiroir. Ca ne t’étonnait pas vraiment qu’il soit autant équipé, mais il l’était beaucoup moins que la première fois que vous aviez couché ensemble, où là tu avais aperçu toutes sortes d’autres choses dont tu tairais le nom. Tu ne fis cependant aucun commentaire, mordillant nerveusement ta lèvre alors qu’il revenait vers toi. Il t’embrassa plusieurs fois et tu sentis de l’hésitation et de la timidité dans ses baisers, ce qui t’étonna sans pour autant te déranger. Tu comprenais. Alors tu inspiras, c’est vrai que depuis tout à l’heure, tu imposais les choses en te disant que pour lui se serait naturel, mais si lui aussi se sentait anxieux ? Après tout, c’était peut-être la première fois qu’il le faisait… Par amour ? Tu attrapas doucement son visage entre tes mains, lui levant les yeux vers les tiens. Peut-être que tu te plantais totalement, qu’il n’avait pas besoin de se sentir rassurer, et que même ça l’énerverait que tu le crois mal à l’aise… Mais tu pensais quand même sentir ses choses là, depuis le temps. Tu lui parlas d’une vois douce : « Eh bébé, je te sens stressé... Ne le sois pas, c’est que nous deux. » Tu murmurais à voix basse comme si tu voulais que seulement lui n’entende tout ça. Tu soupiras, disant un peu ça pour te rassurer toi aussi. « Et puis si on rate, alors on en rira, et on recommencera une prochaine fois, hein ? » C’était ça qui était bien avec un couple, il n’y avait aucune obligation de bien faire, pas de compétition ni de moquerie possible. Vous alliez juste faire quelque chose qui ne concernait que vous, qui vous réunira encore plus, et si c’était raté, alors personne n’en voudrait à l’autre. Luc ne devait pas se sentir stresser, ni même ressentir la moindre pression, car tu ne voulais lui en mettre aucune, qu’il fasse comme il le sentait, qu’il hésite même si il le voulait. Devant toi il n’y avait pas besoin de t’impressionner, tu n’avais connu que lui, et tu n’aimais que lui. « Je sais pas si je vise juste hein, mais ne te mets pas la pression, d’accord ? » Tu lui souris timidement, avant de retourner l’embrasser. Lui savait baiser, mais pas faire l’amour. Tu pouvais peut-être le guider un peu aussi non ? Lui rappeler que ce n’était que toi, qu’il n’y avait aucune pression à se mettre, que tu n’étais pas ses plans culs prêt à se foutre de la gueule à la moindre panne ou soucis, si tu riais, tu rirais avec lui. Alors, tu vins l’embrasser tendrement en collant ton torse au tien, soufflant, l’embrassant plusieurs fois. Tu sentis ses doigts venir déboutonner ton nœud papillon, et tu le laissas faire. C’est vrai que ça faisait du bien de ne plus avoir ce truc autour du cou, aussi élégant soit-il. Il commença alors sa torture sensuelle et douce qui t'avais fais tourné la tête la dernière fois, quand t'avais été si naïf. Tu l'avais peut-être été, mais le plaisir que t'avais ressentis ce jour là était réel, mais pas comparable avec ses caresses beaucoup plus tendres que tu ressentais maintenant. Ton corps se mettait à frissonner et vibrer sous ses doigts, et tu mordillais doucement ta lèvre, fermant les yeux pour te concentrer sur les sensations qui te transcendaient une par unes, ou même parfois toutes en même temps. Tu soupiras d'aise, tâchant de te détendre, et tu vins glisser tes doigts sur le torse de ton homme pour le caresser lentement, puis sur son dos, déposant des baisers sur ses épaules alors que tu tendais le cou pour qu'il puisse pleinement le baiser. Tu grognais doucement de plaisir, restant chiot jusqu'au bout alors que tu soufflais, ton corps s'échauffant peu à peu sous ses doigts. Tu le débarrassais alors de son haut à lui aussi, tandis qu'il faisait de même avec ta chemise, et tu revenais immédiatement recoller ton torse contre le sien, comme de peur d'attraper froid sans la chaleur de son corps, et la protection de son souffle. Ta chemise et son t-shirt tombèrent à terre, et tu prêtas pas la moindre attention, grognant de plaisir en caressant le bas du dos brûlant de ton homme et venant très lentement - avec une légère hésitation - défaire doucement sa ceinture puis le premier boutons de son pantalon. Tu te sentais toute chose, tout chaud, et le désir te montait progressivement à la tête. Tes doigts frôlèrent la bosse s'étant formée dans son pantalon et tu rougis brusquement, mordillant fort ta lèvre - allez Zack un peu de cran - tu soufflais, venant délicatement lui enlever une bonne fois pour toute son pantalon, les doigts tremblant légèrement sous l'anxiété de mal faire. Mais tout allait bien, il te le confirma avec un petit sourire encourageant, et tu vis qu'il faisait de même avec ton propre jean. Envoyant chier tes rougissements, tu l'embrassas à pleine bouche lorsqu'il se mettait à chercher tes lèvres, hochant vivement la tête à sa question du regard : oui, t'étais toujours partant, tout allait bien, et t'avais cruellement envie, la bosse dans ton boxer était là pour en témoigner. Boxer qui d'ailleurs ne tarda pas à disparaître à son cours, tandis qu'il exerçait une pression de son bassin contre le tien. Tu sentais alors tout le poids de son érection contre la tienne, qui te fi à la fois sourire et rougir. C'était qu'il avait envie, lui aussi.

Tu levas ton visage vers le sien pour le regarder dans les yeux, lui adressant un petit sourire confiant, caressant sa joue et le regardant avec tout l'amour dont t'étais capable.  « Tu me dis si je te fais mal ok ? » Il soufflait doucement en passant sa langue sur tes lèvres, alors que tu hochais précipitamment la tête, la cognant doucement à la sienne sans le vouloir sur le coup. « Aoutch, pardon ! » Tu grimaça, massant ta tête puis la sienne pour te faire pardonne, ce que tu pouvais être maladroit... Tu lui fis un petit sourire désolé, avant de rire doucement. Tu retournas l'embrasser après ça, vu qu'il ne semblait pas avoir si mal que ça. « Promis je te le dis. » Tu murmurais, caressant sa nuque, alors qu'il glissait à nouveau ses lèvres dans ton cou. Particulièrement sensible sur cette zone, un gémissement discret de plaisir t'échappa, tes doigts glissant sur son dos en soufflant. Il te prépara avec douceur, et tu lâchais des gémissements à chacun de ses gestes, d'abord pris par la douleur puis te détendant progressivement. Après tout, ce n'était pas la première fois, c'était juste un renouveau, pour de vrai. Tu entendis le sachet du préservatif se déchirer et tu rouvris les yeux, haletant, le regardant discrètement l'enfiler. Alors ça y était ? Tu sentis ton coeur tambouriner dans ta poitrine, de plus en plus fort. Il ne fallait pas que tu te crispes, ce serait trop désagréable. Son torse rassurant revint contre le tien, et tu nouas tes bras autour de sa nuque, soutenant son regard. Et il entra en toi, avec une tendresse infinie que tu redécouvrais d'un gémissement. Vous ne faisiez alors plus qu'un, tes jambes autour de sa taille. Il ne bougea plus une fois qu'il fut totalement entré, tu te mis à frémir de partout, enfonçant tes incisives dans ta lèvre inférieure. Après une petit minute, enfin habitué à cette sensation, tu relevas enfin les yeux vers les siens pour lui faire signe que tout allait bien, et qu'il pouvait commencer à bouger. C'est ce qu'il fit, t'arrachant d'abord un petit gémissement, puis un autre, puis un autre, puis encore un autre. Rapidement tu pris goût à ses coups de reins, perdant ton anxiété paralysante pour venir l'embrasser à pleine bouche et te laisser aller à gémir plus fort. Tu encaissas les coups qui s'accéléraient de plus en plus, mordillant fortement ta lèvre pour canaliser tes cris de plaisir. Tout allait bien, tout était parfait oui, tu le ressentais ce plaisir désiré, recherché, qui t'avais poussé à le faire ce soir. Tu jetas un oeil à Luc pour voir si lui aussi prenait plaisir, et un énorme sourire pris place sur tes lèvres en l'entendant gémir, lui aussi. Tu mordillas son épaule, sentant ton corps devenir de plus en plus chaud encore, puis moite, tans l'exercice était physique et terriblement bon. « O-Oui... H-Han oui... » Tu soufflais comme un fou, les minutes passant sans jamais te lasser tant le plaisir montait. Ca n'avait jamais été aussi bon, ça n'avait rien à voir avec la dernière fois, tu sentais ses coups parallèles à tes mouvements de hanches, le souffle de ton homme dans ton cou, ses gémissements de plaisir et ses baisers passionnés, qui n'avaient rien à voir avec une simple partie de baise. Non, tu ne t'étais pas trompé, Luc t'aimais et t'aimerais toujours.  « J-Je vais venir... Han Luc... Han Luc je t-t-'aime... » Et tu vins dans un jouissement terrible.


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MessageSujet: Re: (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. (hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs. EmptySam 14 Fév - 21:53



cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs, j'me suis enfin senti reprendre des couleurs.
let's get these teen hearts beating faster, faster

Pour toi, la question qu'il te posait ne se posait justement même pas. Évidement que tu savais pour ses complexes physiques, même si tu ne les comprenais pas toujours. Peut-être que si toi tu te sentais moins bien dans ta peau, tu pourrais plus facilement l'aider dans ses appréhensions et ses questionnements incessants. Mais d'un gros chat grassouillet tu t'étais transformé en un beau jeune homme qui plaisait, et à part tes dents pas très droites et écartées et ton poignet gauche scarifié, tu remerciais cette étrange malédiction qui te permettait d'être quelqu'un d'autre et plus apprécié par les gens autour de toi. Zackary te souriais, comme rassuré par la réponse que tu lui apportais, et t'avais envie de lever tes yeux au ciel afin de lui montrer à quel point il pouvait être bête parfois – mais tu te retenais. Tu essayais de ne pas oublier que les complexes pouvaient gâcher la vie de quelqu'un et qu'ils ne voyaient souvent pas les choses de la même manière que les autres autour d'eux. Toi tu l'aimais le corps de Zackary. Et si lorsque tu ne faisais que coucher avec les premiers mecs qui étaient d'accord tu essayais tout de même de bien les choisir et tu ne faisais pas ton difficile lorsqu'il y avait de beaux muscles ou abdos qui te faisaient baver, c'était juste différent maintenant. Ça ne te dérangeait pas que ton copain ne soit pas parfait ou ne ressemble pas à un Ken aux pectoraux grossit par la gonflette, au contraire. C'était toutes ses petites différences et imperfections qui le rendait si magnifique et tu ne le voudrais surement pas autrement. Et peut-être que Zackary avait la mauvaise idée d'essayer de se comparer à tes anciennes conquêtes, et peut-être qu'il se regardait parfois dans le miroir en se disant qu'il avait un peu trop ou un peu moins de cela par rapport à untel, mais il y aurait toujours une grosse différence qui changeait tout entre lui et les autres, c'était que lui tu l'aimais de tout ton coeur, et que rien qu'à cause de cela il serait toujours le plus magnifique à tes yeux. Il déposait des petits baisers sur ton pouce qui te faisaient frissonner alors que tu le fixais du regard, et ouais, ouais t'avais énormément envie de lui, toujours. C'était comme ça, il avait cette particularité qui faisait que t'avais l'impression que tu ne pourrais jamais te lasser de lui, quoi qu'il se passe. Que même si vous en veniez à trop faire l'amour pour ton bien – on ne savait jamais, ça pouvait être possible - ou à ne pas assez le faire, tu resterais toujours avec lui et à ses côtés. T'étais peut-être aveuglé complètement par le fait que c'était ta première vraie histoire – et la seule tu espérais – mais c'était ce que tu ressentais réellement à son sujet, et c'était beau.

T'aimais pas partager. Et c'était un défaut dont beaucoup de gens dans ta vie de tous les jours étaient au courant, et dont tu ne te cachais pas vraiment. Pourquoi donner à quelqu'un d'autre quelque chose qui te plaisait à toi, hein ? Pourquoi prêter quelque chose quand tu avais réussi à l'obtenir et qu'il te donnait satisfaction ? Pourquoi même prêter à quelqu'un un cadeau que tu avais reçu pour qu'il l'essaie ? Tu ne comprenais pas. Si l'autre en avait tant envie, qu'il aille se l'acheter, ou se le faire offrir par une autre personne, ou qu'il trouve n'importe quelle solution qui t'omettait dans l'équation. Alors quand en plus on parlait de bouffe, mamamia, il fallait faire très attention à toi. T'aimais tellement manger, et avoir ton propre plat rempli de tous les bords rien qu'à toi, que tu préférais au pire payer un second plat pour la personne à tes côtés afin qu'elle ne te prive pas de faire plaisir à tes papilles gustatives. C'était sûr que ça faisait bien moins romantique lorsque tu étais en compagnie de Zackary, mais pour le moment, ça n'avait pas l'air de le déranger tant que ça – puis au moins, lui aussi il mangeait correctement au lieu d'avoir la moitié d'un plat et d'avoir la dalle juste après. Être romantique ou avoir le ventre nourri, il faut choisir. Il riait tout de même quand tu disais ne pas être très sûr de vouloir partager ton gâteau avec tes propres amis, t'appelant un goinfre, mais tu oubliais complètement de lui démontrer le contraire quand il glissait une fraise qui était parsemée sur le gâteau, entre tes lèvres. Tu venais croquer doucement dedans alors qu'il te nourrissait, sentant son baiser sur le nez, et tu finissais par mordiller légèrement le bout de ses doigts après que la fraise se fit réduire en compote.

Son rire était une douce musique à tes oreilles quand tu essayais de faire retomber l'atmosphère un peu trop sacrée que prenait la tournure de la chose, et tu te sentais toi aussi un peu mieux, d'entendre qu'il pouvait se détendre et rire de tes petites remarques habituelles. Ça t'évitait d'être trop crispé, et t'espérais que lui aussi se découvrait plus calme et zen. « Un peu. » Il soufflait et tu souriais en coin, venant l'embrasser tout d'abord lentement, avant de faire peu à peu évoluer le baiser, taquinant ses lèvres de ta langue.

Tu préférais ensuite changer d'environnement, et le porter jusqu'à ta chambre plutôt que de faire ça moins confortablement sur le canapé. Tu voyais ses joues devenir toutes rouges alors que tu le soulevais sans mal – comme quoi, t'arrivais à avoir assez de force dans tes bras pour porter ton amoureux, et cela même sans monter à la corde comme un débile ou tout simplement faire du sport – et tu déposais deux doux baisers sur celles-ci, avant de rejoindre la chambre sans te casser la gueule. Ton espace personnel rappelait la fois où après avoir couché avec lui tu lui avais demandé tranquillement de partir, mais t'espérais bien changer ce souvenir en rapport à cette chambre en quelque chose de plus appréciable et intime entre vous. C'était peut-être l'un de tes problèmes : tu voulais tellement te différencier de la première fois où vous l'aviez fait, tu voulais tellement arriver à lui faire ressentir l'homme différent que tu étais entre avant et maintenant, que ça te donnait les mains moites et que ça te faisait stresser encore plus de passer à l'acte. Tu ne voulais pas être trop brusque et tu voulais lui donner du plaisir juste comme il aimait et malheureusement, tu ne connaissais pas encore tout de lui ni tout ce qu'il préférait en la matière. C'était le genre de choses qui viendrait avec le temps et l'expérience de vos corps l'un contre l'autre, mais toi t'aurais tellement aimé deviner dans les moindres recoins ce qui lui faisait perdre la tête et craquer complètement. Tu l'embrassais après avoir posé la capote et le tube sur la grosse couette, et peut-être que tes baisers étaient trop maladroits et hésitants, parce que Zackary semblait sentir que tu n'étais pas dans ton confort habituel. Ses mains venaient encadrer ton visage, et tu ne pu que lever tes yeux vers lui, alors qu'il te parlait doucement. « Eh bébé, je te sens stressé... Ne le sois pas, c'est que nous deux. » Ça te donnait envie de rire, le fait qu'il te dise ça. C'était que vous deux, c'était que vous deux, et c'était peut-être ça, le truc. Le fait que ce soit lui et toi, c'est ce qui rendait le fait de faire l'amour ensemble important, et qui justement devenait stressant. Ça aurait été n'importe qui, tu n'y aurais pas pensé à deux fois, mais là c'était le mec que t'avais appris à aimer, et ça semblait tellement différent et sacré que t'en devenais peureux. Néanmoins, tu comprenais tout de même où il voulait en venir en te disant ça, alors tu hochais doucement ta tête en le regardant. « Et puis si on rate, alors on en rira, et on recommencera une prochaine fois, hein ? » Tu riais doucement en l'entendant dire, acquiesçant vivement d'un mouvement de tête une nouvelle fois avant de l'embrasser durant quelques secondes. Comme vous étiez en couple, vous étiez censés être à l'aise ensemble et ne pas avoir cette peur constante du jugement et du regard de l'autre. C'était plus sur ça, que tu devais te concentrer. Tu voulais tellement que ce soit différent et exceptionnel que tu oubliais que c'était toi, et que c'était Zackary, et que ça devait forcément créer quelque chose de magique. « Même si on ne rate pas je compte bien recommencer... » Tu répondais doucement, d'une voix quelque peu prédatrice, avant de mordiller le lobe de son oreille tout en caressant son torse. Tu te sentais un peu mieux sur le coup, et t'essayais de faire le vide dans la tête. Ça allait bien se passer, ça allait bien se passer. « Je sais pas si je vise juste hein, mais ne te mets pas la pression, d'accord ? » Tu lui rendais son petit sourire, venant caresser du dos de ta main sa joue chaude, soupirant légèrement. « J'veux juste pas tout gâcher... » Tu lui avouais, tes yeux dans les siens, avant qu'il vienne t'embrasser avec toute la tendresse dont il était capable. A partir de là tu commençais à le déshabiller, alternant entre habits perdus et baisers sur sa peau nouvellement dénudée, essayant de peu à peu faire monter le désir et de tenter - malgré toi - de déjà lui faire perdre la tête. Tu levais tes bras afin de l'aider lorsqu'il enlevait ton haut, et tu soupirais d'aise en sentant de suite son torse se coller au tien, frémissant à chaque caresses de ses doigts sur ton corps. Tu occupais tes lèvres à embrasser chaque parcelles du haut de son torse pendant que tu le laissais aller à son rythme et défaire tranquillement ta ceinture et ton pantalon. Tu lâchais un petit « Hmm. » de plaisir en le sentant tâter légèrement ton érection à travers le tissu de ton jean et tu souriais doucement en observant le rouge délicat de ses joues. Tu le laissais prendre ses décisions quand à ton bas et lorsque le pantalon se retrouvait à terre, tu attrapais ses mains tremblantes pour y déposer quelques baisers réconfortants. « Calme-toi... » Tu lui murmurais, lui faisant un petit clin d'oeil complice, comme quoi, tu n'étais pas totalement le seul à ne pas être à l'aise avec toutes les étapes par lesquelles il fallait passer. Tu en profitais pour retirer à ton tour le pantalon de Zackary, et tu soupirais d'aise contre ses lèvres, répondant à son baiser alors qu'il te montrait d'un hochement de tête qu'il était toujours partant et qu'il n'avait pas une soudaine envie de s'arrêter. Une fois vos boxers disparus, tu tentais d'exercer quelques pressions, ton bassin contre le sien, qui te faisaient mordre ta lèvre inférieure de plaisir.

Il avait maintenant l'air plus confiant contre toi, mais ça ne t'empêchait pas de vouloir prendre toutes les précautions comme de lui demander cinquante fois qu'il te dise bien s'il avait mal ou qu'il voulait faire une pause. Il caressait ta joue et tu déposais un tendre baiser dans le creux de sa paume, avant qu'il hoche vivement sa tête – un petit trop vivement. « Aoutch, pardon ! » Tu éclatais de rire alors qu'il te cognait toi aussi dans le processus, grimaçant sur le coup de la petite douleur vive qui se propageait sur ton front, qu'il s'empressait de masser afin d'atténuer le choc. « Très mauvaise idée d'essayer de me tuer maintenant... » Tu lui disais dans un petit sourire avant de déposer un baiser sur son front, à l'endroit où il s'était également cogné. Zackary restera toujours Zackary, avec ses maladresses même durant les préliminaires... T'avais de la chance que ce soit léger, t'aurais un petit moins rigolé s'il t'avait envoyé un bon coup de pied dans les bourses... Ouais. Tu venais caresser son nez du tien - comme lorsque l'on fait des bisous esquimau - en voyant son sourire désolé, et tu riais doucement contre ses lèvres, venant prolonger son baiser. « Mh, j'aurai dû m'y attendre avec toi... » Tu murmurais, taquin, avant qu'il te promette de te dire s'il y avait un quelconque problème. Tu commençais donc à le préparer, étape obligatoire si vous vouliez faire plus par la suite, et tu faisais tout pour être doux et y aller très lentement afin de ne pas lui faire du mal en plus. Tu souriais doucement à l'entente de ses gémissements de plaisir, avant d'enfin enfiler le préservatif dès que tu eus la sensation qu'il était assez prêt. Il nouait ses bras autour de ta nuque, et tu posais une main sur son torse, sentant son petit coeur qui tambourinait fort avec surement l'appréhension de ce qui allait se passer. Tu plongeais dans son regard, et tu entrais en lui, prenant ton temps malgré l'envie pressante que tu ressentais. Une fois fait, tu t'immobilisais, bougeant seulement ton visage afin d'embrasser avec bienveillance son cou, ou de le caresser légèrement du bout de ton nez, essayant de lui procurer d'autres petits plaisirs qui atténueraient la douleur qu'il pouvait peut-être ressentir. Une main glissait le long de sa jambe, et après une minute, il te regardait, afin de te faire comprendre qu'il s'était habitué à la sensation et que tu pouvais de nouveau bouger. Tu mordais ta lèvre alors que tu entreprenais de lui procurer plus de plaisir, finissant par libérer totalement tes gémissements au fur et à mesure que tes mouvements devenaient plus rapides. T'avais l'impression de ne plus pouvoir penser à rien, l'impression que ta tête était vide, remplie seulement d'amour et d'un objectif clair. Tu répondais à son baiser avec passion comme tu le pouvais, alternant entre coups de reins doux et plus rapides, ton coeur battant la chamade alors tu te donnais à lui. Tu frissonnais quand il mordillait ton épaule, et tu montais peu à peu au septième ciel si c'était possible. C'était enivrant, c'était oppressant tout ce plaisir que tu sentais et qui parcourait ton corps, et que tu cherchais avec dynamisme à passer à Zackary. Ton souffle devenait saccadé alors que ton petit-copain se mettait lui aussi à bouger ses hanches, et tu entrecoupais tes gémissements afin de répondre à ses baisers, ou de gratifier son coups de petits coups de langues – comme le petit chat que t'avais pu être. « J-Je vais venir... Han Luc... Han Luc je t-t-'aime... » Tu accélérais à l'entente de ses mots, l'une de tes mains venant s'occuper de son membre, le caressant afin de l'aider et de l'amener au bout de l'orgasme, et tu venais ensuite fortement à ton tour, dans un râle rauque. T'avais pas été aussi cliché que de jouir lorsqu'il te disait qu'il t'aimait, mais t'avais vraiment pas été loin. Tu restais un moment contre lui, sans plus bouger, reprenant quelque peu ton souffle alors qu'à l'intérieur de toi, c'était ton coeur qui tentait de s'échapper de ta poitrine. Tu ne faisais qu'entendre se dernier, vibrant dans tes tympans, alors que la chambre replongeait dans son silence intime. Tu te retrouvais dans un état second, dans un état de pure plaisir comme tu ressentais à chaque fois quelques secondes après que tu aies fini, sauf que cette fois-ci, c'était bien plus intense. Tu te sentais déjà bailler, alors que tu sortais délicatement de lui, et que tu prenais la capote afin de la fermer et de la jeter dans ta petite poubelle de chambre, au pied de ton lit. Mécaniquement, ton esprit étant très loin de pouvoir fonctionner correctement, tu attrapais des mouchoirs afin d'essuyer le torse de ton amoureux et le tien, sans oublier son entrejambe, que tu jetais à son tour dans la poubelle avant de t'écrouler sur le lit, restant nu. « Ça va ? » Tu réussissais à articuler, venant coller ton corps à la moitié du sien, une main entourant son ventre alors que tu tentais de prendre une position confortable. Tu frottais doucement ton visage contre son torse, prêt à t'endormir, mais t'essayais de rester encore un peu éveillé, même si tu n'en avais pas l'habitude. « Verdict ? Faudra qu'on s'améliore ou on a placé la barre très haut ? » Tu demandais d'une petite voix, ouvrant un oeil afin de juger sa réaction, un petit sourire sur ton visage. Puis tu baillais une nouvelle fois, ce qui te fis un peu grogner. « Bon, j'ai compris, c'est surtout sur l'endurance après l'acte qu'il va falloir que je travaille... »


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(hot) LUCKARY (+) cette nuit à côté de toi, c'était comme une lueur dans les profondeurs.

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