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Cesse de me fuir. Affronte moi plutôt, au lieu de jouer l'indifférent. Alejandro y Pavel. Vide
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 Cesse de me fuir. Affronte moi plutôt, au lieu de jouer l'indifférent. Alejandro y Pavel.

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MessageSujet: Cesse de me fuir. Affronte moi plutôt, au lieu de jouer l'indifférent. Alejandro y Pavel. Cesse de me fuir. Affronte moi plutôt, au lieu de jouer l'indifférent. Alejandro y Pavel. EmptySam 23 Fév - 12:45


Cesse de me fuir.

Affronte moi plutôt,

au lieu de jouer

l'indifférent.


(Dryden) ▽ La jalousie est un tyran, mais un tyran de l'esprit.
Ce manque qui vous tourmente sans cesse l'esprit. Qui vous rends peu à peu sénile par la seule force de vos réflexions. Je me pinçais fortement la lèvre inférieur avec force. Cela faisait plus de trois semaines qu'il avait pris l'initiative de partir sans un mot, sans une explication, sans une excuse valable. Suis-je la cause de cette fuite soudaine et précipitée ? Malheureusement je n'avais guère les réponses. J'avais essayé tant bien que mal, avec le peu de force qui me restait de comprendre pourquoi il m'avait laissé seul. Seulement cela servait à attiser ma colère davantage. Une colère rancunière qui ne désirait que vengeance. Mais j'étais à bout de force. Je n'avais qu'une seule envie frapper à la porte de sa nouvelle demeure et le surprendre. J'étais bien trop possessif, bien trop sensible. Je m'attachais si vite à une personne qu'aussitôt je souhaitais me l’approprié. Une forme d'égoïsme que je n'avais pas appris à refouler. Certes notre amitié avait été toujours un peu spéciale. Peut-être un peu trop tactile mais où était le mal dans tout cela ? J'avais beau parcourir plusieurs de mes souvenirs, aucune explication plausible ne me venait en tête. Inutile de se torturer autant l'esprit. Je me précipitais dans la cuisine afin d'engloutir tout ce que je pouvais trouver pour apaiser mes maux. Par moment, j'avais l'impression d'être boulimique. Puis cette envie d'étrange refit surface. Ce réel désir de comprendre la vrai raison de cet abandon. Je ne pris nullement la peine de mettre un jean convenable. J'enfilais rapidement mes Converses qui traînaient dans le coin. Je claquais la porte de l’appartement sans vraiment prendre en compte le sommeil léger de Jane. Une fois dans les couloirs je retraçais pas à pas le chemin qui m'avait amené à rencontrer à nouveau ses deux orbes sombres. Une fulgurante colère monta en moi. Comment avait-il pu quitter Jane et moi afin de s'installer en colocation avec un autre type. Un homme qu'il ne connaissait sans doute pas. Un homme. Oui un homme autre que moi. Bordel, je haïssais cette jalousie. De plus, il n'avait pas jouer la carte de la discrétion en trouvant le moyen d'habiter dans le même étage que nous. Quel enfoir*. Mon visage qui d'habitude reflétait une once de joie et de calme était crispé par la colère. Une fois face à la porte de sa nouvelle demeure, je tambourinais comme un forcené. Tant pis pour le voisinage. Ma chance était à son rendez-vous étant donné que Alejandro ouvrit la porte étonné par le bruit. Lorsqu'il me vit, son expression passa de l'étonnement à la stupeur. Dans le mille. Ce salau* cherchait à me fuir. Mais pourquoi ? Je perdis aussitôt le contrôle. D'une voix forte, irritable, mais tremblante je lui adressais sans toutefois peser mes mots. "Comment tu as pu me faire ça ? Tu t'attaches aux gens pour mieux les fuir espèce d'enflure ! Tu crois que j'allais rester dans mon coin sans rien dire ? Tu as idée de combien j'ai souffert ? Mais non ! Cela ne ta guère traversé l'esprit. Toi t'es le genre de mec qui vit comme bon lui semble. Un pacha entouré de toutes ses conquêtes ! Tu es partis sans donner aucune explication. Tu m'as lâchement abandonné. Je te hais !" Ce qui était naturellement faux. Mais la colère me poussait à dire certaines choses que je ne pensais pas. Je voulais le faire souffrir comme son absence m'avait fait souffrir. "Tu t'es trouvé un nouveau pote ? Quelqu'un que tu vas abandonné par la suite ? T'aime faire souffrir les gens on dirait ! J'en peu plus de me torturer l'esprit pour toi. J'en ai marre de passer mes journées à penser à toi. Tu m'épuises et tu n'en vaux pas la peine. Mais je veux savoir quelque chose. Pourquoi t'es partis ? Jane et moi on n'est pas assez bien pour toi ? Excuse moi mais je ne vois que cette explication là Don Juan !" J'avais du mal à reprendre mon souffle. Lui hurler dessus m'avait également épuisé. Mais j'avais eu tort de lui parler ainsi. ► ALEJANDRO & PAVEL
(c) AMIANTE

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MessageSujet: Re: Cesse de me fuir. Affronte moi plutôt, au lieu de jouer l'indifférent. Alejandro y Pavel. Cesse de me fuir. Affronte moi plutôt, au lieu de jouer l'indifférent. Alejandro y Pavel. EmptyDim 24 Fév - 11:51

Crochète moi mieux qu'un boucher...
Comme un goût amer....
Des nuances de bleu et de violet s'étalaient dans le lointain par delà les fenêtres entrouvertes du dortoir. Assis sur son balcon, qui n'en était pas vraiment un, l'espagnol savourait le serpent glacé qui enlaçait sa nuque, le faisant frémir comme une pucelle. Il cracha des rouleaux de brume de son antre carnivore avant d'aspirer longuement une nouvelle bouffée de nécrose à son joint désarticulé, comme pour noyer ses poumons, l'air lointain. Il laissa la lèpre noire chatouiller ses bronches. Un nuage de fumée l'enveloppa. Sur la table de nuit en bois de rose, nuancée de brun avec de subtiles stries rouges et noires, une bougie parfumée ne parvenait à masquer l'odeur de tabac qui imprégnait déjà les lieux de sa gangrène. Sur sa cuisse droite trônait un livre aux ornements douteux. On put croire à vieux manuscrit dont le contenu cachait quelques secrets illicites, et ça n'en était pas loin puisqu'il s'agissait de son journal intime. Il devint alors cascade et laissait les mots ruisseler sur le bout de papier. D'une plume dont le sommet était léchée d'encre, le bellâtre méditerranéen transcrivait des vers. Il était encore de la vieille époque et se plaisait à utiliser des méthodes archaïques. Il saupoudra ses phrases d'amertume et de frustration. On pouvait y sentir toute la culpabilité qui en regorgeait. Ainsi, il avait l'impression de se confier à quelqu'un. Des ridules profondes soulignaient ses Onyx, les stigmates d'une récente période difficile. Depuis son déménagement dans le dortoir de Siam, son acolyte félin, Alejandro ne pouvait chasser la honte qui s'agitait dans son esprit. Sans nulle explication, il avait pris ses affaires personnelles et avait lâchement abandonné Jane et Pavel. Il s'était enfui comme un voleur. Cette simple réalité le froissait jusqu'aux tréfonds de son âme. Lui, le Chat Potté, avait agi comme un parfait crétin. Son jeune ami ne lui avait pourtant pas laissé le choix. Il avait réveillé en lui des sensations qu'il ne se serait jamais cru pouvoir ressentir à l'égard d'un homme. Ce beau diable lui faisait tourner la tête comme une girouette. L'esprit embrumé par l'incertitude, le jeune homme se laissa retomber contre le mur dans un soupir angoissé. Une boule épineuse logeait au fond de sa gorge. Il suffoquait. Il ne parvenait pas à se débarrasser du bouillonnement qui couvait son crâne. La migraine l'assomma. Dans la lueur matinale, il perçut quelques silhouettes ombrageuses s'enlacer dans le décor serein. Ses pieds nus adoptèrent lentement une couleur violette. Il pouvait à peine bouger ses orteils. L'hiver n'était pas sa saison de prédilection. La chaleur d'été lui manquait terriblement, et cela se faisait sentir sur son moral. Ses mains glissèrent vers les orteils endoloris pour les masser maladroitement dans l'espoir de les réchauffer. Au même moment, quelqu'un frappa à la porte. Interloqué, son sourcil droit s'érigea et, les lèvres pincées, Alejandro en vint à se demander qui venait le déranger d'heure si précoce. Peut-être Jane? Il s'extirpa de son modeste trône et traina les pieds jusqu'au seuil, l'air peu engageant. Ses doigts glissèrent sur la poignée glacée, lui arrachant quelques frissons. Sa voix d'ordinaire neutre et grave changea d'octave en découvrant l'importun. « Pavel?! » Sa cigarette tremblait entre ses lèvres. Il aurait pu simplement lui refermer la porte au nez. Ça aurait été si facile, cloisonné dans sa prison imaginaire. Des fourmis noires lui bouffaient les extrémités des membres. Une chaleur se propagea dans sa chaire, une brûlure terrassante, jusqu'au cerveau. Il était soudain pris de vertiges et dut prendre appui contre le mur qui encadrait la porte. Il expira longuement avant d'être noyé dans les reproches de Pavel. Le cœur martelant sa poitrine et les jambes flageolantes, il reprit le contrôle et se campa sur ses deux jambes. Il ne s'était jamais imaginé le faire souffrir autant. Dans cette histoire, il se pensait être le seul martyr. Il avait eu tort. Alors, la bouche scellée, il encaissa la colère de son bourreau. Une fois que Pavel eut fini sa longue complainte agonisante, Alejandro ravala sa salive comme pour se remémorer chacun de ses mots. « Pavel... » Sa voix se voulait atone. Il tira une longue taffe, en proie à une angoisse dévorante. Lorsqu'il se remit à parler, il avait le souffle court et une sorte d'explosion mangeait ses traits. « Ne me juge pas si durement... » Les sourcils froncés, les joues creusées, l'espagnol avait mal digéré les dures paroles du jeune homme. « Je suis désolé...Je ne pensais pas que ça allait t'atteindre à ce point, sincèrement. » Et il le pensait vraiment. « J'aurais du te donner plus amples explications, mais je les pensais anodines. » Alors, tel un lâche, il se mit à bâtir un mensonge à ses yeux. Il aurait voulu lui cracher la vérité au visage, cette vérité qui le faisait souffrir. Au lieu de quoi il trouva un nouvel échappatoire. « Tu t'égares...La seule raison pour laquelle je vous ai quittés, c'est simplement question pratique. Je me sentais confiné, oppressé...J'ai désiré plus d'espace et de liberté. Ni vois pas une raison personnelle... » Son talent de comédien le faisait pâlir d'horreur. Il se gifla mentalement pour ce nouvel affront. « Accepte juste cette réalité... Crois-moi, ça vaut mieux pour toi... » Il n'avait pu s'en empêcher. Sa langue avait claqué, comme un avertissement. Il se voulait froid. Sans doute était-ce la seule manière pour lui de ne pas flancher. Il ne pouvait se le permettre, pas maintenant.

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MessageSujet: Re: Cesse de me fuir. Affronte moi plutôt, au lieu de jouer l'indifférent. Alejandro y Pavel. Cesse de me fuir. Affronte moi plutôt, au lieu de jouer l'indifférent. Alejandro y Pavel. EmptyVen 8 Mar - 19:23


Cesse de me fuir.

Affronte moi plutôt,

au lieu de jouer

l'indifférent.


(Dryden) ▽ La jalousie est un tyran, mais un tyran de l'esprit.
"Pavel..." Cette voix. Combien de fois l'avais-je entendu même dans mes songes ? Elle résonnait en moi comme un coup de poignard en plein cœur. Je le haïssais tellement de me faire ressentir ces émotions dont je n'avais aucun contrôle. Je m'effondrais bêtement contre le mur. Je ne voulais pas l'entendre. J'en avais mal au crâne. Comme-ci des milliers de bourdonnements s'étaient insinués dans mon cerveau. Il me mettait hors de moi. Son comportement, son attitude démesurée. J'avais tellement envie de pleurer. De laisser mes larmes couler à flot mais je ne fis rien. Je résistais tant bien que mal en serrant les poings. Je me répétais sans cesse cette phrase stupide dans laquelle je me poussais à le haïr. Sauf que je me mentais à moi même. Je ne voulais qu'une seule chose, me jeter dans ses bras et oublier. Mais c'était si dur de se montrer faible. Tout était plus simple lorsque la colère me brûlait de l'intérieur. "Ne me juge pas si durement..." Je me mis à rire nerveusement. Il se moquait de moi ? Mon rire résonnait à travers les murs du couloir. J'avais mal au crâne. Terriblement mal. Je n'arrivais plus à réfléchir. Je me faisais violence afin de ne pas flancher. Je voulais qu'il s'excuse pour son attitude. Pour sa lâcheté. Et plus je désirais des excuses de sa part, plus je me sentais défaillir. J'enfouis ma tête contre mes genoux de sorte à reprendre une certaine contenance. "C'est pourtant si simple de te juger. Tu crois que je vais oublier facilement alors que tu habites à deux pas de chez moi ?" Et en plus d'être lâche il était stupide. Si il désirait tant nous fuir, ou plutôt me fuir il aurait du tout simplement disparaître d'ici. Mais non, il avait préféré davantage remuer le couteau sous la plaie en s'installant à côté. Comme-ci il prenait plaisir à me faire souffrir. Mais quel enfoir* ! "Je suis désolé...Je ne pensais pas que ça allait t'atteindre à ce point, sincèrement. J'aurais du te donner plus amples explications, mais je les pensais anodines." J'avais tant rêvé de ces excuses. D'entendre de sa voix que son comportement avait été cruel. Et pourtant, malgré moi, ses excuses me passaient au dessus de la tête. J'avais tellement attendu et maintenant cela ne me faisait ni chaud, ni froid. J'avais l'impression qu'il avait beau me dire tout ce qu'il souhaitait j'étais bien trop en colère pour écouter quoique se soit venant de lui. Je relevais doucement mon visage afin d'encrer mon regard vers le sien. "Tu te fous de moi en plus ? Anodines ? Mais Alejandro au moins j'aurais pu me raccrocher à quelques choses même si ce n'était que des mensonges ! Je ne sais même pas pourquoi je me met dans ces états pour toi. Qu'est-ce que tu as de plus que les autres ? Hein ? Qu'est-ce qu'il y a de si bien chez toi pour que tu me rendes si faible. Tu m’agaces." J'abandonnais tout espoir. Il ne reviendra jamais. Plus jamais. Je m'appuyais contre le mur afin de me relever. Il avait beau me donner des explications, plus ne sera comme avant. Je n'étais pas prêt à lui pardonner. J'étais bien trop borné. Bien trop attaché à lui pour admettre qu'il m'avait fait terriblement souffrir. Je le regardais à nouveau avec un arrière goût amer dans la bouche. Tous mes membres se mirent à trembler. Pourquoi ? pourquoi lui ? Et cette douleur qui s'insinuait davantage dans mon cœur. Malheureusement pour moi, cette souffrance continua davantage. Ses propos me désarçonnaient. Prenait-il plaisir à me les adresser ? N'avais-je pas assez souffert pour écouter ses mensonges déplorables ? Oh il mentait. Il mentait si mal que je le lisais dans ses yeux. "Tu t'égares...La seule raison pour laquelle je vous ai quittés, c'est simplement question pratique. Je me sentais confiné, oppressé...J'ai désiré plus d'espace et de liberté. Ni vois pas une raison personnelle..." Hum. Il se moquait une nouvelle fois de moi. Si il voulait tant que cela me faire du mal dans ce cas je n'allais pas partir sans me défendre. Et dire que je m'entendais si bien avec lui. Mais pourquoi nous en étions arrivés jusque là ? Qu'est-ce réellement la vraie raison de cette guerre ? Je m'étais mis face à lui. D'un côté j'étais bien trop proche, mais cette promiscuité ne l'avais jamais dérangé, jusqu'à présent. J'avais l'impression que je le révulsais. "Tu avais besoin d'espace ?! C'est pour cela que tu es partis sans rien dire. Tu crois que je suis co* ? Que je vais gober tes conneries sans rien dire ? Je ne te pensais pas aussi bête. Tu aurais pu trouver autre chose comme mensonge. Quelque chose de plus réaliste. Dommage. Pourtant tu n'avais pas besoin d'autant d'espace lorsque tu dormais avec moi ? Hum ? Je me trompe ? Je crois que j'ai bien compris. La raison c'est moi. Mais comme tu me crois stupide je vais faire comme-ci j'avais tout oublier. Après tout c'est que tu désires." Je ne sais pas moi même pourquoi je lui avais avouer tout ceci. C'était sortis tout seul. J'avais également envie, mais surtout le besoin irréversible de le faire souffrir. Pourtant dans mon fort intérieur je ne voulais que le retrouver. Cependant cette histoire était partie bien trop loin. "Accepte juste cette réalité... Crois-moi, ça vaut mieux pour toi..." Un sourire sarcastique c'était emparé de mes lèvres. "Ne t'inquiète pas c'est déjà fais. Mais contrairement à toi j'évite de me mentir à moi même. Dans ce cas je pense qu'il est inutile que l'on se reparle ? Après tout tu me dégages comme-ci j'étais de la peste ambulante." J'avais mal. Tellement mal d'en être arrivé jusque là. Et cette haine repris le dessus. C'était toujours plus facile de se mettre à le détester. ► ALEJANDRO & PAVEL
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MessageSujet: Re: Cesse de me fuir. Affronte moi plutôt, au lieu de jouer l'indifférent. Alejandro y Pavel. Cesse de me fuir. Affronte moi plutôt, au lieu de jouer l'indifférent. Alejandro y Pavel. EmptyJeu 8 Aoû - 16:52

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