Incapable de dormir. J'ai chaud. J'ai simplement trop chaud et surtout que ceci commence à me déranger parce que je ne suis pas habituer d'avoir une chaleur corporelle pareille. Je me suis lever vers 5h30 du matin et d'habitude, je me réveille vers les 8h00 du matin avant d'aller préparer la glace pour mes cours de patinage artistique. Oui, je suis professeur de patinage artistique, mais j'adore me sentir sur de la glace. J'avoue que mes pouvoirs me manque et de retrouver ma vie humaine me tient sur un pied d'alerte, mais j'ignore toujours si je suis immortelle. Je pris une bonne douche froide. Abdon était encore coucher, mais je sais que je l'endort lorsque je prend une douche. J'ai toujours aimé l'eau froide parce que ceci me redonnait de la force et parfois, je ressent encore cette force revenir en moi. Une simple journée me donne envie d'aller tout de suite aller me coucher, mais j'ai un pré-sentiment que cette journée était pour être spécial. Je n'avais pas de cours à donner aujourd'hui parce que j'aime beaucoup prendre des journées personnelles simplement pour me redonner la chance de pouvoir me redonner un peu de couleur et non d'être comme un zombie. Je pris le temps de manger et moi qui a un réfrigirateur simplement pour moi avec des "Mister Freeze" et de la crême glacé, ma diette n'est pas ce qu'un docteur aimerais avoir de ma part. Je mange aussi des choses comme de la viande et tout, mais j'aime le froid ! Mon matin à passé quand même assez rapidement. J'ai pu aller courir avant d'aller prendre ma douche et de manger, mais je ne voulait pas rester enfermé chez moi. Il faisait beau aujourd'hui. Un simple chandail beige avec des pantalons noir et des converses me suffit grandement. Je n'oubliais pas mes lunettes de soleil et mon porte-feuille parce que j'adore dépensé et surtout pour manger, mais je me suis imposé une modération sur mon dépenssage.

Abdon n'était encore debout et le laissé dormir était mon intention. Prendre la journée pour moi était mon but aujourd'hui. Marcher dans les rues de Fantasia Hill et de profité du beau aussi me tient dans une bonne humeur. Lorsque j'étais avec les gardiens, je pouvais faire tous les conneries qui me passait par la tête. Je pouvais me prendre plusieurs fois avec mon charmant lapin qui n'aimait pas que je lui donne des compliments avec tous les petits cocos qu'il distribuait, mais parfois, père noël se mêlait de nos affaire. J'aimais être avec lui parce qu'il n'était pas le père noël que les gens pensait. Il y avait aussi la fée des dents. Sublime dans ses plumes de couleur et surtout que nous étions très proche l'un de l'autre. J'étais devenue, enfin... je ressentait des sentiments pour elle. Oui, j'étais amoureux, mais j'ignore comment elle a prit mon départ. J'arrivais devant un dentiste. Ouais, il fallait vraiment que ceci me passe par la tête, mais depuis quelques jours, j'avais mal à la machoir. C'est vrai qu'avec tout la crême glacé que je mange, mon corps d'humain ne le supporte pas. J'entrais chez le dentiste et un papier sortie de ma poche lorsque j'ai pris mon téléphone. Il faut vraiment avoir la mémoire courte comme moi. J'avais oublier que j'avais un rendez-vous, mais que simplement pensé à elle, ceci m'a fait rappeler de mon rendez-vous. Je donnait mon papier à la secrétaire et elle me fis assoir dans une salle bien tranquille. Je pris ma patiance dans un bon terme, mais lorsqu'elle je vis la personne qui appelait mon nom, un choque me pris dans mon torce.

Un sourire s'affichait dans mon visage et je lui donnait ma main pour me présenté à mon tour, mais quelque chose se passait. Elle me fixait et elle me regardais droit dans les yeux. Quelque chose me dit que cette fille, je la connais. Je riais un peu lorsqu'elle me dit qu'elle était dans la lune. Je la comprend parce que moi aussi j'aurai été dans la lune parce qu'elle est tout simplement magnifique. Je me suis installé sur la chaise bien tranquille et je venais de réalisé que s'était elle. Ses yeux, son sourire et son ton de voie. Oui, s'était elle ! Lorsqu'elle prononçais mon nom, je me suis lever rapidement de la chaise et un sourire s'affichait dans mon visage.

« Attend... tu es la fée des dents ?? Tu es ma fée adoré ! » Dis-je en la prenant dans mes bras.

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Lorsque j'ai rencontré pour la première Élizabeth ou la fée des dents comme je les connus avec les gardiens, nous étions devenus très proches tous les deux. Une amitié a commencé entre nous et nous étions inséparables. Disons que nous avions notre propre imagination pour apporter du plaisir dans les coeurs d'enfants. Pour y aller plus en détail, je le savais que moi et Élizabeth avions beaucoup de points en commun. Nous étions uniques et j'étais surprise de voir beaucoup de son espèce. Elle est remplie de positivisme et surtout qu'elle peut facilement nous rendre un sourire sur notre visage après avoir donné notre précieuse dent. Pour certains enfants, c'est assez difficile de donner sa dent lorsqu'elle tombe. Ils sont fascinés et surtout curieux de savoir comment elle est formée en dedans. J'ignore comment Élizabeth faisait avec les dents et je n'ai jamais posé la question. En ce moment, tout était spécialement bien placé dans ma tête. Notre rencontre ou devrais-je dire, nos retrouvailles. Je n'étais pas allongée pour longtemps parce qu'elle n'avait qu'à dire mon prénom avec un espace énergique dans son ton de voit et j'étais prise par cette émotion qui m'a forcée à la prendre dans mes bras. La serrer contre ma chair chaude et douce qu'elle avait de la difficulté à m'approcher correctement sans que je puisse la changer en glaçon. Elle s'agrippait à moi et je la laissais faire. Son regard plongeait dans le mien et je déposais mes mains sur les siennes qui étaient déposées sur mon torse. Je lui affichais un grand sourire et je pouvais apercevoir les émotions dans son regard.

« Oui, c'est moi Éli. Tu n'as plus à t'inquiété maintenant. Tu m'as tellement manqué et c'est dure à expliqué, mais maintenant, je suis heureux de t'avoir retrouver. » Dis-je en déposant mon front contre le sien et je caressais sa joue avec le dos de mon index.

Mes sentiments commençaient à prendre les devants. Elle se reculait pour me voir et elle me dévisageait de la tête au pied. Je dois dire que c'est assez bizarre de la voir sous une forme humaine, mais sa beauté me rend complètement nostalgique. Comment je ne pouvais pas lui résister ? C'est tout simplement impossible parce qu'elle est là, avec moi, près de moi. Mon coeur bas la chamade tellement que je suis content. Elle prit ma main et elle restait encore une fois surprise. Un sourire apparu sur mon visage parce que oui, mon sang est persistant en moi. Avec mon corps glacé que j'avais, on ne pouvait pas le sentir. J'étais vraiment un homme de glace. Elle voulait maintenant faire mon examen. Je n'attendais que ça et disons que même si je ressentais de la douleur, la perfection que j'avais restait intacte.

« Disons que j'essaie de me sentir près de ce qui me manque, mais il y a bien une chance qui m'a manqué et je ne pourrai plus me passer de cette personne. »

© charney

Je l'avais bien constater que mon retour n'étais pas évident pour elle. Je la rendais nerveuse et ceci ne me surprenait pas parce que moi aussi j'étais un peu nerveux en ce moment. Je me demande comment c'est d'avoir une forme humaine pour une personne qui a toujours eux des ailles dans son dos ? J'ai tellement de question à lui posé et je veux absolument des réponses à propos de tout ce qui c'est passé lorsque j'étais partie. Je sais que je lui est brisé le coeur. Je ne suis pas stupide parce que je le ressent en moi. S'est difficile pour moi de me retenir et surtout que je veux voir un futur proche avec elle. Je suis amoureux de cette fille et c'est difficile de lui dire, mais je ne veux pas forcer les choses plus rapidement. Je veux prendre mon temps avec elle parce que je veux la voir sourire, la sentir près de moi et d'entendre sa douce voie venir me séduire. Je me laissais faire pour mon examen et elle était très capricieuse sur ce qu'elle faisait. Ses yeux était tout près des miens et s'était intriguant de savoir ce qu'elle pouvait pensé. Après tout ça, elle me donnait un goblet pour rincé ma bouche et je recrachais en riant avec son commentaire.

« Tu veux me faire souffrir dit moi ? C'est vrai que je ne peux pas partir sans donner ma part. Tu sais que tu es fascinante ? » Dis-je en lui donnant un clin d'oeil.

J'avoue que je suis un peu frais chier quand je veux, mais si je peux la faire rire comme je faisais avant, je pourrai le faire n'importe quand parce qu'elle est important dans ma tête et dans mon coeur. Lorsque nous sommes arriver au comptoir, je sortie mon porte feuille et je pris ma VISA pour payer mon examen. La jeune dame derrière le comptoir me fixais comme si elle serait dans la lune. Je sentie la tête d'Éli sur mon épaule et sa main entrelassé la mienne. Elle était mignonne et disons que je ne pouvais la repousé. Je remerciais la dame et je lui donnait un visage qui voulait dire: Désolé, je suis pris.

« Allons manger maintenant... » Dis-je en me retournant et en enroulant mon bras à l'entour de son épaule.

Mon humanité en impressionne plusieurs et surtout pour ceux qui non aucune idée de qui je suis vraiment. Une chance que je n'ai pas mes cheveux blanc, sinon, elle n'aurai jamais imaginer qu'elle âge que j'aurai en ce moment. C'est une chose qui me tracasse par contre parce qu'Éli est plus vieille que moi. Je suis quand même âgée de 300 ans, mais mes 17 ans peut facilement rendre les choses difficiles. Ce n'est pas mon intention de m'aventurer dans des problèmes d'âge parce que pour moi, ce n'est qu'un chiffre. Je me suis toujours infliger ça dans ma tête et je veux qu'elle comprenne ceci si elle me demande la question. Je la regardais droit dans les yeux avec un sourire qui voulait tout dire.

« Tu as un endroit préféré ? Je vais te suivre et je te dirais tout ce que tu voudrais savoir. Je te le promet. »

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Me faire séduire par les filles dans mon monde, s'était un peu difficile parce que je n'étais pas capable de rester assis sur mes fesses. Je ne pouvais pas apporter d'attention aux autres filles, mais lorsque j'étais avec Élizabeth, mon attention était que pour elle parce que s'était tout simplement mon intention. Je ne pouvais pas enlever mes yeux d'elle tellement qu'Éli était ravissante avec ses plumes de couleur tropicale et surtout qu'elle avait une beauté incroyable dans ses plumes. Je ne voulais pas être méchant envers cette jeune femme derrière le comptoir. Elle doit être gentille, mais toute mon attention va à Éli. Marcher avec elle dans les rues, c’était superbe. Parler de tout et de rien, c'est pratiquement quelque chose que nous avions tendance à faire dans l'autre monde. Je lui ai fait son bonheur lorsque je lui ai dit qu'elle pouvait choisir l'endroit qu'elle désirait pour aller manger. Je crois que je vais devoir me contenter de boire beaucoup d'eau ce soir parce qu'elle va me faire oublier à qu'elle point que j'ai vraiment besoin de mon corps froid.

« Oh, tu veux me changer en une torche humaine ? D'accord, je veux bien essayer les tacos... » Dis-je en marchant sur le même rythme parce qu'elle avait accéléré le pat.

Elle est plus vite que moi lorsqu'on décide de se donner des défis au niveau de notre vitesse surhumaine, mais en ce moment, ce n'est qu'une force humaine qu'elle pouvait donner. Tout comme moi, je ne peux pas tout donner comme force, mais je dois avouer qu'elle est rapide. Elle commençait à me parler rapidement et je n'avais pas compris ce qu'elle m'avait dit. Je n'avais pas remarqué que nous étions arrivés aussi devant le restaurant. Elle avait l'eau à la bouche et moi aussi d'ailleurs. Elle, plus que moi parce qu'elle m'avait parlé et quelque chose m'avait surpris. Elle s'était dégagée de moi et je me suis sentie vexée d'un coup. Je ne veux pas qu'elle se fasse des idées sur des conneries. Surtout pour une question qui me choque beaucoup parce que je suis célibataire et je ne veux pas être avec une autre fille qu'Élizabeth. C’était une belle ambiance en dedans. Tranquille, mais l'odeur était tout simplement alléchante. Nous avions pris une place bien tranquille et Élizabeth se commandait une boisson alcoolisée.

« Oh. Madame se gâte aujourd'hui. Je vais prendre un verre d'eau s'il vous plait. » Dis-je poliment en regardent le serveur qui pris la commande.

Je me sentais un peu mal alaise phase à ce qu'elle a pu pensé. Je peux bien me tromper, mais je veux quand même qu'elle puisse se confier à moi. Je ne suis pas un étranger quand même, mais je lui laisse le droit de penser ce qu'elle veut. Je regardais mes mains. Je frottais mes doigts et je ressentais la douceur de chacun. Parfois, je pouvais ressentir une froideur, mais c’était peut-être simplement dans ma tête aussi parce que cette sensation d'être froid me manque. Je restais pensif quelques minutes parce que je ne savais pas comment lui dire à qu'elle point qu'elle m'avait manqué. Je dois être franc avec elle et je ne serais jamais capable de lui mentir.

© charney

Je peux comprendre que je lui est brisé le coeur, mais ce n'étais pas mon intention parce que je n'ai pas décidé de me faire téléporté ici ou encore, j'ignore comment j'ai fais pour atterrir ici. Je sais ce qu'elle désire le plus et je ne vais pas l'abandonner de nouveau parce que j'ai du surpassé cette misère de ne pas l'avoir près de moi. Elle avaut changer de ton et ceci m'a surpris parce que même si je voulais lui expliquer ce qui s'est passé, je ne pouvais pas chercher les meilleures mots pour lui dire que s'était peut être sur utilisation de mes pouvoirs, mais je ne crois pas que s'était ça. Je la regardais et elle pouvait avoir ses raisons pour être fâchée contre moi. Je ne pourrai jamais lui mentir aussi parce qu'elle est la raison à la qu'elle que je suis débordant de bonheur et d'amour envers elle. La perdre encore une fois serait pratiquement la fin du monde.

« Je ne pourrai jamais te mentir Éli. Tu es importante à mes yeux et te perdre encore pourrait me déchirer en deux, mais j'ignore comment c'est arriver. Ceci a été plus vite qu'une éclaire, mais je commence à penser que c’était peut-être une sur utilisation de mes pouvoirs, mais je doute encore que ça soit ça. Comme tu peux voir, je n'ai pas changé à part de mes cheveux et de ma chaleur corporelle, mais il n'y a que mes yeux qui n’ont pas changé. » Dis-je en la regardent et en admirant son visage scintillant.

Elle s'était calmée. Je ne peux pas lui en vouloir et moi aussi je voulais tout savoir ce qu'elle avait vécu. Moi aussi j'aurai pu être chiant avec elle pour lui faire la morale, mais ce n'est pas mon genre d'être méchant. Je pris le verre d'eau que j'avais commander et pris une gorger. Ceci passait bien dans ma gorge et je ressentie une légerte remonter d'énergie me donner un coup de pouce. Lorsqu'elle avait prononcé le prénom de quelqu'un d'autre, une seule personne est venue dans mes pensées et c’était père Noël. Je lui fis des yeux aussi gros de mon fond de verre et je ressemblais à un garçon qui venait de manger des bonbons.

« PÈRE NOËL ! » Criais-je en avant de me calmer les nerfs.

© charney