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(johneddy) ● je t’attends sur le banc comme on attend la mort en espérant la vie. Vide
(johneddy) ● je t’attends sur le banc comme on attend la mort en espérant la vie. Vide
 

 (johneddy) ● je t’attends sur le banc comme on attend la mort en espérant la vie.

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MessageSujet: (johneddy) ● je t’attends sur le banc comme on attend la mort en espérant la vie. (johneddy) ● je t’attends sur le banc comme on attend la mort en espérant la vie. EmptyMar 28 Jan - 11:40



j’ai perdu ma lumière.
Je marche dans les villes où des âmes sans nom me fredonnent le tien, Des concerts en sourdine où je chante ton nom pour oublier le mien. Pour oublier un peu que toi, tu n’es pas là quand l’hiver se fait rude. Que je n’ai plus que moi avec qui partager ma propre solitude. Je marche sous des cieux qui me rappellent un peu la couleur de ta flamme Quand le rouge et le bleu donnent aux amoureux des beautés océanes. Moi, je fuyais l’amour parce que j’avais trop peur, oui, trop peur d’en mourir. Mais à trop fuir l’amour, c’est l’amour qui nous meurt avant que de nous fuir.




Tu ne sais pas exactement ce que tu fais là avec elle. Ni pourquoi tu l’as laissée te traîner jusqu’ici sans vraiment opposer de résistance. Tu détestes les fêtes foraines en plus. C’est sale, trop bruyant et toutes ces odeurs immondes de nourriture mélangées te donnent la furieuse envie de vomir ton petit-déjeuner. Alors tu ne sais pas pour quelles foutues raisons tu as capitulé. Oh si, tu ne sais pas résister à son sourire doux et enfantin. Tu es faible devant ses grands yeux sombres qui caressent ta peau comme une plume. Voilà la raison – tu ne sais pas lui dire ‘non’, tout simplement. Et il faut avouer que ces jours passés à l’éviter comme la peste commençaient sérieusement à te peser. Elle te manquait, même si tu as essayé de te convaincre du contraire, en vain. Mais la vérité est là – elle t’a furieusement manqué. Tu as beaucoup pensé à elle, à sa voix chantante comme une mélodie. C’est comme si tu n’arrivais plus à te la sortir de la tête. C’est entêtant, comme un refrain qui résonne en boucle à tes oreilles. C’est agréable autant que ça te rend véritablement fou. Elle t’obsède, tu crois. Plusieurs fois, tu as pensé à la contacter, à prendre de ses nouvelles mais tu es finalement resté dans ton coin, presque apeuré. Tu n’étais pas capable de lui faire face, pas capable de te trouver à ses côtés. Pas tout de suite, pas si vite. Pas maintenant. Parce que tu ne sais plus vraiment où tu en es, plus vraiment ce que tu es censé faire. Tu ne sais plus qui tu es. Tu as toutes ces questions qui tournent à l’intérieur de ton crâne sans avoir aucune réponse à donner. Elles sont là, à chaque seconde de ta vie, à te torturer et te narguer. Tu sens pourtant que les réponses ne sont pas loin, qu’elles sont toutes proches. Que tu pourrais même les toucher des doigts si tu le désirais. Mais voilà, tu es comme bloqué de l’intérieur. Coincé. Enfermé dans une petite pièce sombre dont la porte est verrouillée. Et tu dois maintenant retrouver la clé.
Ces flashs colorés qui semblent être comme des souvenirs de ta vie passée te martèlent l’esprit, jour après jour. Ils surgissent du fond de ta mémoire, frappent ta rétine comme un éclair en plein ciel d’orage. Tu vois des visages, des sourires. Il y a des hurlements, des éclats de rire. C’est tout un amalgame de couleurs différentes, comme un arc-en-ciel vivant. Des prénoms dansent sur une musique qui t’est encore inconnue. Ils sont les paroles d’une chanson que tu as pourtant déjà entendue – la chanson de ton passé, d’une toute autre vie que tu as vécue. Et le décor brille, étincelle sous un soleil sans nuage. Tu le sens, cet endroit est paradisiaque. L’image de cette île au milieu de la mer amène des vagues de calme et de douceur à l’intérieur de ton être. Chaque fois que tu y penses, tu es comme apaisé. C’est comme te sentir chez toi, à la maison. Entouré de chaleur et d’amour. Sans aucune peur, sans aucune crainte pour venir assombrir tes jours. Tu as envie de secouer la tête, de rire de ta folie. Tu peines à croire que tout ceci soit réel. Tous ces souvenirs semblent sortis tout droit d’un livre de pirates, de ceux que tu lis le soir avant de t’endormir. Et même si leur contact t’est familier, tu ne peux t’empêcher de penser que tout ça n’est que le fruit de ton imagination débordante et quelque peu dérangée. Ton esprit scientifique et rationnel ne peut te laisser accepter autant de mystère. Rien ne te prouve que tout ça ait pu être réel un jour, il y a longtemps. Ce désir de combler les trous noirs de ton existence est tel que tu serais prêt à croire n’importe quoi. Parce que tout ça, c’est du n’importe quoi, pas vrai ? Oui, voilà. Tout ça, c’est du n’importe quoi.
« J’espère qu’on ne va pas rester trop longtemps, te plains-tu de façon enfantine bien que tu ne sois finalement pas si pressé que ça de rentrer chez toi. J’ai du travail qui m’attend, tu sais ? » C’est une excuse comme une autre, bancale et stupide. C’est tout ce que tu trouves pour essayer de te sortir de cette impasse. Au fond, tu es heureux que Teddy soit venue te chercher pour te sortir un peu de ta chambre. Depuis combien de temps n’avais-tu pas mis le nez dehors ? Bonne question. Tu as arrêté de compter à quatre jours, il te semble. Alors sa venue a été comme cette bouffée d’oxygène que tu attendais. Et tu te rends compte à quel point ces jours loin d’elle t’ont paru longs. Longs et fastidieux. L’avoir à tes côtés était devenu une habitude. Une habitude plaisante et douce, comme un gâteau au chocolat pour le goûter. Elle apporte le soleil dans une journée grise et nuageuse ; elle amène avec elle des chansons rythmées et joyeuses. Elle est un arc-en-ciel. Elle est magique. Tu ne sais pas pourquoi, mais tout est toujours plus beau quand elle est là. Comme si la brunette savait effacer tous tes problèmes, tous tes tracas d’un sourire ou d’un regard. Tu oublies tout, te laisses porter par ces vagues de bonheur simple. Teddy est le remède à tous tes ennuis. Elle est ton remède. Tu n’aurais jamais pensé qu’une seule personne puisse accomplir autant ; tu n’aurais jamais pensé qu’un si petit bout de femme puisse être aussi puissant. Mais le fait est qu’elle semble accomplir des miracles partout où elle passe, sans même s’en rendre compte. Oh non, elle est trop innocente pour ça. Elle ne voit pas. Elle ne comprend pas tous les bienfaits qu’elle produit. Et c’est sûrement ce qui est le plus magnifique chez elle.
Pourtant, tu sais que quelque chose ne va pas. Tu sais qu’il y a quelque chose qui cloche. Depuis que ces flashs ont commencé à envahir ta vie, ton quotidien et même tes nuits, quelque chose te dérange. Tu le sens, là, au creux de ton estomac. C’est comme si une petite voix te disait que tu fais quelque chose de mal sans savoir quoi. Tu es perdu. Tu aimerais pouvoir agir comme si de rien n’était mais le fait est que tout ça te perturbe. Tu ne sais pas quoi en penser. Tu espérais que passer du temps seul, enfermé dans ton petit monde, allait pouvoir t’aider mais tu n’as pas même eu le temps de trouver la moindre réponse que voilà qu’à nouveau, tout est embrouillé. Qui es-tu  ? D’où viens-tu ? Même tes parents adoptifs n’ont pas les réponses à ces questions pourtant basiques. Selon leurs dires, tu as débarqué dans leur vie, un jour, comme ça, comme venu de nulle part. Comme si tu étais tombé du ciel. Sauf que, pour toi, on ne peut pas venir de nulle part. C’est impossible. Tout vient forcément d’un endroit, de quelque chose. Et toi aussi. C’est bien trop de questions à la fois, bien trop d’embêtements. Tu aimerais ne plus y penser, arriver à te faire à l’idée que tu ne sauras jamais où tu es né, qui sont tes vrais parents et quel est ton passé. Un jour, peut-être, ça te reviendra. Comme ça, d’un coup. Tu aimerais pouvoir rester calme et être patient, seulement c’est bien trop difficile. Tu as besoin de réponses. Est-ce que toutes ces images qui tourbillonnent à l’intérieur de ta boîte crânienne sont réelles ? Est-ce que tu dois te fier à elles pour savoir qui tu es ? Encore d’autres questions. D’autres questions qui ne font qu’amener encore plus de questions. Et toujours pas de réponse. « Bon, tu veux commencer par quoi ? tu demandes, comme pour échapper au tumulte de ton esprit embrouillé. » Et si tu oubliais tout, le temps d’un après-midi ?




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gustavo007

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MessageSujet: Re: (johneddy) ● je t’attends sur le banc comme on attend la mort en espérant la vie. (johneddy) ● je t’attends sur le banc comme on attend la mort en espérant la vie. EmptyLun 5 Mai - 23:36


« Le temps des coeurs qui se serrent »
ft. ben & teddy۰funfair attraction.



« Bonjour Mrs. Smith ! Je vous emprunte votre fils pour l'après-midi, je lui ai pris rendez-vous avec les attractions de la fête foraine ! (...) Merci Mrs., bonne journée ! »
Le moins que l'on puisse dire c'est que la jeune fille n'avait guère laissé le choix à cette gentille dame -et encore moins à Ben- lorsqu'elle était venue chercher son ami ce jour-là. Une fois la porte ouverte, le petit ours en peluche s'était engouffré dans l'habitat qu'elle connaissait suffisamment pour que ses pas la mènent sans hésiter à la chambre du jeune homme qu'elle avait ainsi dérobé sans plus de ménagement. Elle était comme ça, Teddy. C'était quelqu'un d'impulsif, quelqu'un qui ne s’encombrait pas de manières ni de boniments. Elle avait appris la politesse et n’était pas grossière mais la bienséance, telle que la majeure partie des gens l’entendent, la dépassait complètement. Elle était de ceux qui, impatients, croquaient la vie à pleine dent et ne s’embarrassaient pas de réflexion ni de préméditation. Teddy fonctionnait dans l’immédiateté. Profiter avant qu’elle ne redevienne une âme en peine dans une enveloppe de fils et de coton. Elle ne l’avouerait pas à voix haute mais cette idée la terrifiait plus que tout. C’était indubitablement sa plus grande crainte, peut-être la seule. Teddy, elle n’aime pas se montrer faible. Teddy, elle se définit elle-même comme un vaillant et intrépide petit ourson qui n’a peur de rien mais Teddy, elle a bien conscience que si quelqu’un ou quelque chose lui a permis de devenir humaine, ce quelqu’un ou ce quelque chose peut tout à fait la renvoyer à son malheureux état de nature. Et maintenant qu’elle a goûté à la vie humaine dont elle rêvait tant, elle sait que le retour à la condition de simple jouet dépourvu de toute sensation physique la briserait. C’est une chose d’imaginer quelque chose et ne jamais l’avoir, c’en est une autre de la connaître, d’y prendre goût et de la perdre à jamais. Il lui arrive encore d’en faire des cauchemars. Elle se retrouve dans son ancien corps, enfermée dans le coffre à jouets, toute seule, privée de surcroît de sa motricité d'antan et percevant le rire des Darling qui vivent sans se soucier de son absence. Rien qu’une pauvre carcasse rigide avec un trop plein de sentiments indéfinissables qui ne servent qu’à la rendre folle. Elle se réveille en sursaut, tétanisée et tâchant de se convaincre de son humanité sans que Nattéo ne s’en rende compte. La vie humaine lui plait infiniment, elle est toujours avide de découvertes et pour rien au monde Teddy ne veut être privée de tout cela. Ce serait effroyable. Mais c’est envisageable. Alors elle s’économise toute perte de temps. Profiter au maximum, vivre sa vie à deux cents à l’heure et en déguster chaque instant, aussi minime soit-il, ne pas laisser cette vie s’échapper entre ses doigts. La petite boule de tendresse et d’énergie avait donc ainsi extirpé son cher Ben de ses livres de chimie en un rien de temps et ils s’étaient retrouvés face à face, immobiles. La rue ensoleillée et leurs doigts enlacés. C’est lui qui, gêné comme il savait si bien l’être, avait rompt ce doux contact. Teddy n’avait même pas réfléchi, elle lui avait tout naturellement pris la main pour le guider sur le chemin de la sortie de sa propre maison. Elle n’avait pas cherché quoi que ce soit dans ce geste mais elle avait cette étrange impression que sa main  était  à sa place dans celle du jeune homme. Sans doute n’avait-il pas ressenti la même chose ... « C'est bon de te voir Ben. » Les lèvres du petit ours avaient laissé s'échapper ces paroles avec la plus grande sincérité et formaient un franc sourire à l’égard de son ami. Ben. Celui avec qui elle s’entendait si bien, celui de qui elle se sentait inséparable, celui qu’elle n’avait pas eu l’occasion de voir depuis un temps qui semblait bien trop long. Elle ne comprenait pas ce qu’il se passait, Michael avait laissé supposer qu’il pourrait l’éviter mais Teddy ne comprenait pas pourquoi Ben ferait une telle chose. Elle n’était même pas certaine de savoir ce que cela signifiait réellement. Elle estimait que lorsque deux amis étaient si proches qu’ils l’étaient tous deux, il n’y avait pas de gêne à avoir. Ces deux amis pouvaient se voir tant de fois qu’ils le souhaitaient, profiter l’un de l’autre. Tant qu’ils le souhaitaient. Teddy n’avait pu s’empêcher de se demander si cela ne voulait pas dire que son cher Ben n’avait plus envie de passer du temps en sa compagnie. Mais pourquoi ce changement soudain ? Avait-elle fait quelque chose de mal ? Serait-ce à cause de cette fois où il avait déposé ses lèvres sur les siennes éveillant en elle des sensations nouvelles et merveilleuses ? Mais … En quoi cela aurait-il pu le pousser à s’éloigner d’elle ? Cette éventualité lui faisait perdre toute certitude et la plongeait dans un autre sentiment très désagréable qu’elle ne parvenait à définir. Elle refusait cette hypothèse et se contentait de dire qu’il devait effectivement avoir du boulot ou qu’il était occupé d’une manière ou d’une autre. Cependant son ombre planait autour d’elle, enserrant son cœur pour lui rappeler un peu plus son absence. Il lui manquait. Atrocement. Il n’avait répondu à aucun de ses petits mots sur le téléphone et ce matin-là l’absence s’était fait sentir plus vivement encore. Elle n’y tenait plus et s’était décidée à briser cette situation. Quand elle avait enfin pu poser les yeux sur son ami, elle s’était inconsciemment assurée qu’il avait toujours ses quatre membres et sa tête sur les épaules. Elle avait remarqué qu’il avait le teint un peu pâlot mais après tout elle ne l’avait jamais connu autrement. Hormis pour leurs petites escapades il ne sortait pas beaucoup et n’était pas vraiment fervent des bains de soleil. Et elle lui avait souri, et avait continué à sourire sur le chemin de la fête foraine, bien trop ravie de le retrouver pour se préoccuper de la raison de son absence. Parce que le bonheur d'être à ses côtés avait tout balayé. Profiter l'un de l'autre tout simplement.

« J’espère qu’on ne va pas rester trop longtemps, j’ai du travail qui m’attend, tu sais ? » La jeune fille ne put retenir un éclat de rire. Il n'y avait que Ben pour sortir ce genre de remarques et il était là à ses côtés, toujours soucieux de sa chimie organique. Teddy avait conscience que c'était un génie, quelqu'un de très sérieux. Elle aimait ses cours, elle adorait cette grande Histoire qu'elle découvrait avec plaisir mais elle avait du mal à apprendre, elle se mélangeait avec tous ces chiffres qui se battaient en duel, pour montrer que leur date était la plus importante. Elle admirait Ben pour ses aptitudes, sa réussite et pour un peu elle se sentirait coupable de le distraire de sa vocation. Pour un peu. La fête foraine, c'était tout de même trop extraordinaire pour qu'elle culpabilise vraiment. « Tu ne vas quand même pas me dire que tu n'es pas content d'être ici ... Il y a tellement de choses à faire dans un endroit comme celui-ci, je suis sûre que tu vas t'amuser ! ... Je te parie même une barbe à papa que tu ne regretteras pas d'être venu ! » Taquine, elle insuffle la promesse d'une douceur à la sortie, guettant la réaction de son ami même si elle était persuadée qu'elle dériderait Monsieur Bougon. Il ne résisterait pas à l'appel de la sucrerie et du défi. « Bon, tu veux commencer par quoi ? » Teddy porta son regard émerveillé sur le paysage de manèges et attractions aux lumières étincelantes ne sachant trop ce qu'elle cherchait. « Hum ... » Puis prenant un air sérieux elle déclara « Celui-ci ! » en désignant du doigt un manège proposant d'embarquer dans de simili rondins de bois pour un parcours tortueux avec des montées et des descentes sur un chemin repli d'eau. « On se croirait presque à Neverland, pensa-t-elle. »

Il faut chatouiller Teddy pour voir la magie opérer.

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(johneddy) ● je t’attends sur le banc comme on attend la mort en espérant la vie.

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