Cher Journal,

Si j'écris dans le journal, c'est que ma vie d'avant me manque et je ne veux pas oublier qui j'étais avant de devenir une fille banale. Ce que je peux dire, c'est que j'aimerais aller quelques années voir siècles en arrière pour retrouver ma famille du moins les membres qui sont encore vivants. Voici mon histoire avant d'être à Fantasia Hill.

Là où mon histoire a commencé, c'était en 1916. Ce soir-là, nous fêtons le trois-centième anniversaire de règne de ma famille dans le palais royal. Il y avait énormément de personnes qui dansaient au rythme de la musique. Les femmes portaient de très jolies robes, tandis que les hommes étaient vêtus de leur plus beau costume. J'étais dans les bras de mon père, le Tsar Nicolas II qui me faisait valser en l'air dans le seul but de me faire rire. Malgré les fonctions et le titre de mon paternel, ils essayaient de faire passer sa famille avant tout. Lorsque j'ai vu ma grand-mère arrivait, j'ai fait une révérence à mon papa et je me suis dirigée vers la Reine Marie, offrant le dessin que j'avais pour ma mamie dont j'étais très proche. Je l'avais suppliée à plusieurs reprises de ne pas retourner à Paris. Cela me déchirait le cœur de la voir partir loin de moi dans un autre pays. Soudain Marie sort de sa poche une boite toute ronde de couleurs or et vertes. Émerveillée par ce trésor et excitée comme une puce, j'avais aussitôt dit. « C'est pour moi ? Un coffret pour mes bagues ? » je pris l'objet dans mes petites-mains en ne le quittant pas des yeux. De son sac grand-maman sortit un collier où il y avait écrit « Ensemble à Paris » qui ouvrait la boite à musique. Je voyais deux petites statues minuscules qui représentaient mes parents tournaient en rond, dansant ensemble. J'entendis une petite musique qui me disait quelque chose. Lorsque la reine se mit à chanter, je reconnus ma berceuse préférée. Je me suis mise à chanter avec elle, me faisant tournoyer sur moi-même avant de me jeter dans ses bras en guise de remerciement.

Cela me déchirait le cœur de la voir partir loin de moi dans un autre pays. Une ombre maléfique ou plutôt un homme du nom de Raspoutine était bien décidé de jeter un sort à la ligner des Romanov pour nous bannir. Quelques heures plus tard les hommes étaient devant les portes du palais en train de tout dévaster. Je courrais vers la sortie lorsque je me suis rendu compte que j'avais oublié ma boîte à musique. Je me suis retournée pour aller dans ma chambre afin de prendre le cadeau qui m'a été offert quelques minutes plus tôt. J'étais paniquée, j'avais peur, mais il fallait que je trouve le précieux malgré les ordres et les plaintes de ma grand-mère. La boite à musique était dans la maison à poupée. Me tirant par le bras, la dame me suppliait de partir lorsqu'on entendit quelque chose exploser, nous empêchant de faire demi-tour. Soudain, un petit garçon qui travaillait à la cuisine tira Marie par le bras « Par la chambre des domestiques. » Avant de nous enfuir par cette cachette secrète, j'avais entendue la boite à musique tomber par terre. Je dis au garçon « Ma boite à musique !! » Celui-ci m'ordonne de courir. Tenant la main de grand-maman, nous étions dans le froid et la neige qui tombait à flot, nous étions en train de courir quand Raspoutine saute d'un pont en attrapant ma jambe qui m'a fait tomber. Je me débattais pour qu'il puisse lâcher ma jambe en le suppliant de me laisser tranquille. Heureusement, le temps était avec moi, puisque la glace à commencer à se briser et à faire tomber l'horrible homme dans l'eau glacée. Nous étions arrivées à la gare où les gens se précipitaient pour prendre le premier train afin de fuir la Russie en pleine révolution. D'ailleurs ma grand-mère a réussi à être dans le train grâce aux personnes qui l'avaient aidé à monter. Quant à moi, j'essayais tant bien que mal à rattraper le train qui était en marche ne lâchant pas la main de la mère de mon père des yeux. Tenant la main de grand-maman, nous étions dans le froid et la neige qui tombait à flot, nous étions en train de courir quand Raspoutine saute d'un pont en attrapant ma jambe qui m'a fait tomber. Le choc a dû être violent lorsque ma tête a frappé le sol. C'était le trou noir.


Tout ce que je savais, c'est que je m'appelais Anya que j'étais orpheline et que je devais absolument me rendre à Paris coûte que coûte et par n'importe quel moyen pour retrouver ma famille. Le seul objet qui me disait d'où je venais était celui que je portais autour de mon cou. " Ensemble à Paris." J'avais très peu de souvenirs de mon enfance. Néanmoins, le seul que j'ai est que j'étais perdue en pleine compagne à 8 ans avant d'être hébergée dans un orphelinat. À dix-huit ans, j'étais obligée de partir pour travailler dans une poissonnerie, mais j'ai préféré suivre mon propre chemin en allant à droite au lieu du chemin indiqué.Tout ce que je savais, c'est que je m'appelais Anya que j'étais orpheline et que je devais absolument me rendre à Paris coûte que coûte et par n'importe quel moyen pour retrouver ma famille. Un petit chien mignon et attachant qui m'a en quelque sorte poussée à aller à Saint-Petersbourg en piquant mon écharpe. Plus déterminée que jamais à me rendre dans la capitale de la France, je suis allée demander un billet pour Paris, mais je n'ai pas réussi à en obtenir un car je n'avais pas de visa. Portant toujours Pooka dans mes bras, j'entendis une vielle dame m'appeler. « Hey va voir Dimitri lui t'aidera. » « Où puis-je trouver cet homme ? Plus déterminée que jamais à me rendre dans la capitale de la France, je suis allée demander un billet pour Paris, mais je n'ai pas réussi à en obtenir un car je n'avais pas de visa.  »[/i] Rêveuse, je me suis dirigée vers le palais en demandant de l'aide à un homme. Deux rues plus tard, j'étais devant une porte remplie de planches à bois. Mon fidèle compagnon était à l'intérieur. Maladroitement, j'ai brisé la porte et me suis retrouvée les fesses par terre. Néanmoins, j'ai réussi à rentrer dans ce lieu en poussière. Néanmoins, j'ai réussi à rentrer dans ce lieu en poussière. Tout était exactement comme dans mes rêves. Alors que j'étais agenouillée par terre faisant semblant de faire une révérence. « Hey ! Qu-est-ce que tu fais là ? » Ouvrant soudainement les yeux, je me suis mise debout et à courir pour échapper à cet homme lorsqu'il me supplie de m'arrêter. Me trouvant face à un tableau, je reprends doucement mon souffle et retourne afin de mettre un visage sur celui qui m'a appelée. C'est ainsi que je fis la connaissance de Vlad & Dimitri.


Lorsque j'ai expliqué aux hommes que je devais me rendre à Paris, Dimitri me pose une condition. Celle de me faire passer pour la Duchesse Anastasia. En effet, les deux personnes voulaient réunir la grand-mère et la petite fille dans le seul but d'empocher une très jolie somme d'argent offerte par l'impératrice à qui réussira à réunir les deux membres de la famille Romanov. Ils partirent ensemble en France en prenant d'abord le train, mais fut contraints d'aller dans le compartiment à bagages dû à la mauvaise couleur de l'écriture du visa et éviter de se faire contrôler. Comme si cela ne suffisait pas, Raspoutine a fait son retour en mettant en place un plan diabolique. Celui de détruire le train où se trouver le trio, mais cela ne marche pas grâce à moi. Parce que j'ai donné un explosif à Dimitri qui détache le premier wagon du compartiment à bagages. Les forces du mal en forme de chauve-souris détruisent le pont. Nous étions obligés de sauter si nous ne voulions pas mourir.


Après leurs mésaventures, les deux escrocs m'appris comment il fallait se comporter, les bonnes manières et surtout l'histoire des Romanov ainsi qu'à répondre aux questions et pièges de Sophie, sans oublier l'arbre généalogique de la famille Royale pendant le voyage jusqu'à Paris. Que ça soit en calèche de fortune, à cheval, en voiture, à vélo pour terminer en bateau. Inutile de dire que le trajet fut très long, mais je commençais à prendre goût à cet apprentissage.


Je me trouvais dans le couloir du bateau où se trouver les cabines. Je croise Dimitri qui me tend une robe bleue et avec un col blanc. « Tiens, je t'ai acheté une robe. » Je le regardai en étant surprise par ce geste. C'était la première fois en dix ans que j'allais porter une robe, être plus féminine. Il faut dire que cela fait des années que je porte les mêmes vêtements usés. Je me suis mise à rigoler en prenant les extrémités de la robe qui étaient blanches et dit d'un ton plaisantin. « Tu m'as acheté une tente ? » En disant ces paroles, j'avais mis ma tête dans le tissu. « Tu espères trouver quoi ? » « Le cirque du Russie, j'ai entendu dire qu'il était là. » « Très amusant, habille-toi. » Dit-il en me jetant la robe dans les bras. Je mis un moment avant de sortir de ma cabine et me rendre sur le pont. J'avais personnalisé la robe en enlevant le col blanc. Mettant une ceinture marron autour de ma taille. J'avais attaché mes cheveux en queue de cheval grâce à un nœud bleu tandis que j'avais gardé mes bottines. Je racle ma gorge plusieurs fois pour avertir ma présence. Lorsque les regards furent sur moi, j'ai tourné plusieurs fois sur moi-même pour faire voir le résultat. Il ne restait qu'une seule étape à apprendre. La valse.


Ce moment, je ne l'oublierai jamais. Pendant la danse, j'ai ressenti quelque chose que je n'avais jamais éprouvé envers une personne. Une petite chaleur en moi et mon cœur qui battait très vite. Je me laissais guider pendant la valse ne lâchant pas Dimitri des yeux. Je me sentais si proche et en même temps si loin de cet homme. J'étais bien avec lui, même si nos débuts ont été houleux et nous sommes partis sur de mauvaises bases. Notre amour commençait à naître même si aucun de nous ne voulait pas se l'avouer. Après s'être dit des compliments et danser sous un magnifique couché de soleil, on s'est failli embrassés. Malheureusement, Pooka qui semblait être possessive a interrompu cet instant magique en aboyant.


Durant la nuit, j'ai fait un rêve qui s'est transformé en cauchemar. Je voyais deux papillons. Un orange et l'autre vert. Je les suivais jusqu'à ce que j'arrive en haut d'une falaise. J'ai également vu mon petit-frère qui a sauté en premier, tandis que mes sœurs ainsi que mon père étaient déjà dans l'eau. Jusqu'au moment où mon paternel prend l'apparence d'une chauve-souris diabolique répétant « Oui saute que les Romanov meurent. » J'étais sur le point de sauter du bateau lorsque Dimitri m'a rattrapée de justesse. Toute cette mascarade a été un plan de Raspoutine. Apeurée, je me suis blottie contre le brun qui a su trouver les mots justes pour me rassurer.


Le lendemain, nous sommes arrivés à Paris et plus précisément chez Sophie. Vêtue de la même robe bleue que Dimitri m'a offerte. L'entretien a duré pendant des heures. J'avais fait tout mon possible pour bien répondre aux questions et seul Dieu sait qu'ils étaient difficiles. Je m'étais très bien tenue, droite, en étant polie. Vient ensuite la dernière question. « Comment avez-vous réussi à vous enfuir durant le siège du palais impérial ? » Penchant la tête et mettant la main devant moi, je raconte alors. « Il y avait un enfant, un enfant qui travailler au palais, il a ouvert un mur. » Néanmoins, j'avais répondu à toutes les questions et étions invités à un ballet russe. D'ailleurs, nous avons pu obtenir un rendez-vous avec la Reine. Chose qui n'était pas du tout gagner au départ.


Assise à côté de Dimitri, je n'étais pas très attentive au spectacle qui s'offrait à moi. Je tremblais rien qu'à l'idée de rencontrer celle qui est supposée être ma grand-mère. j'étais tellement stressée que j'avais déchiré le programme du ballet. Par curiosité j'avais jeté un coup d'œil afin de me faire une idée à quoi ressembler Marie à l'aide d'une paire de jumelles. Sentant des doigts qui se resserraient autour des miens, je jette un coup d'oeil à Dimitri, ne pouvant pas cacher ma nervosité. Une fois le spectacle terminé, le moment tant redouter est venu. J'ai essayé à plusieurs reprises de me défiler mais le brun aux yeux marron ne l'avait pas entendu de cette oreille. J'étais là derrière la porte, j'écoutais malgré moi ce qu'ils se disaient. « Dimitri, oui, on m'a parlé de vous, vous êtes ce jeune aventurier de Saint-Pétersbourg a organisé des auditions afin de trouver des sosies d'Anastasia. » En entendant ces mots, je fus choquée. J'ai mis mes mains sur ma bouche en sentant la colère montait en moi. Et lorsque je suis en colère vaut mieux pas me provoquer, car je ne me contrôle plus aussi bien dans mes paroles que mes gestes. J'ai essayé à plusieurs reprises de me défiler mais le brun aux yeux marron ne l'avait pas entendu de cette oreille. « Alors tout ça n'était qu'un mensonge ? Tu t'es servie de moi, je n'étais que l'intermédiaire entre toi et la récompense ? » Je commençais à m'éloigner de cet imposteur, mais ce dernier essayait de se justifier. J'ai attendu que les gardes le mettent à la porte pour m'expliquer. Je commençais à le pousser en continuant à m'énerver contre lui, lorsqu'il me prit le bras, je lui ai mis une gifle et je suis partie en courant vers ma chambre.


Me sentant déçue et trahie, je faisais ma valise pour repartir à Saint-Pétersbourg lorsqu'une personne tape à la frappe. Pensant que c'était Dimitri, j'ai rejeté la personne qui se trouvait derrière la porte. Lorsque je me suis retournée, j'ai vu la Reine. Aussitôt, je me suis confondue en excuse lorsque la vielle dame demande. « Mais vous qui êtes-vous ? » Hésitante, j'ai répondu. « Je crois que c'est à vous de me le dire. »  « Ma chère, je suis vielle et fatiguée de ses faux-semblants et de ses ruses. » ... « Je veux seulement découvrir qui je suis. Je veux savoir si je fais partie d'une famille, VOTRE famille. Menthe poivrée » « Une huile pour mes mains. » « Oui j'en ai renversé un flacon, notre tapis était inondé, et il a senti la menthe plusieurs mois. Comme vous. Je me suis allongée sur ce tapis et comme vous m'avez manqué quand vous êtes parti, quand vous avez immigré à Paris. » Dis-je en caressant mon médaillon tout en faisant des allée et venues entre la chambre et le balcon. L'impératrice s'assit sur un siège avant de faire signe que je devais faire de même. Me demandant ce que c'est ce bijou, je lui explique qu'on me l'a offert quand j'étais enfant mais que je me souviens plus qui me l'avait donné. Ensuite, elle demande si elle pouvait le prendre. Chose que j'acceptais avec plaisir. Enlevant le collier de mon cou, je glisse ce dernier dans la main. Marie sort de sa pochette de soirée, la boîte à musique. Avec étonnement, je l'ai pris entre mes doigts, et fit tourner le médaillon afin d'ouvrir la boîte à musique, commençant à fredonner la musique de mon enfance. Après l'avoir chanté, émue jusqu'aux larmes, je me suis jetée dans les bras de cette personne âgée. Je suis Anastasia Romanov, la princesse de Russie.


J'avais tout pour être heureuse ou presque. J'ai retrouvé ma famille dont je réapprends à faire la connaissance, je savais qui j'étais. Vous vous demandez ce qui me manque ? Dimitri. En effet, nous nous sommes quittés en mauvais terme. Pourtant, cet homme avait raison sur toute la ligne me concernant. Je l'aimais et j'étais triste qu'il parte du jour au lendemain sans me retenir. J'avais appris qu'il avait refusé la récompense. L'histoire aurait très pu se terminer ainsi, mais il y a un dernier point qu'il vous faut que je vous parle. Vous allez me demander où est passer Raspoutine ? Ce dernier préparait son énième plan diabolique. Tout d'abord, ça a commencé lorsque que Pooka s'échappe dans le jardin qui ressemblait très fortement à un labyrinthe. Je suivais le petit chien, lorsque j'entends une voix qui m'est familière. Suivant mon instinct, je me suis retrouvée face à Raspoutine. Son âme en forme de chauve-souris, m'avait décoiffé et déchiré la robe. Lançant un sort pour je tombe du pont après l'avoir provoqué jusqu'à que l'homme que j'aime vienne à mon secours. L'aventurier se retrouve ensuite sur le cheval en pierre désormais vivant grâce au sortilège du cadavre. S'en suit un combat entre Raspoutine et moi après avoir réussi à me relever. Je me suis jetée sur cet homme pour le faire tomber et attraper par la même occasion son objet précieux pour vivre. Je ne réussis pas. La personne à la longue barbe noire, me pousse quelques mètres plus loin et se relève en récupérant sa petite gourde où il y a son âme. Ce fut mon fidèle compagnon à quatre pattes qui réussit à le prendre. Sous mes pieds, je crie  « ça c'est pour Dimitri » dis-je en écrasant son objet en verre  « ça c'est pour ma famille » continuant à faire le même geste mais un peu plus fort et  « ça c'est pour vous. Das Vidaniya !!! » Le récipient en verre se brisa en mille morceaux réduisant en centre celui qui a été le confident de mon père. Pendant ce temps, j'étais allée protéger Dimitri qui était assommé après avoir reçu un débris du pont sur la tête. Le pensant mort, je commençais à pleurer tandis que Pooka aboyait à la mort. Soudain, on l'entend gémir de douleur, je lui ai une gifle sans le faire exprès avant de me jeter sur lui. Nous étions enfin sur le point de s'avouer nos sentiments que mon animal de compagnie interrompt pour la deuxième fois le moment où nous allons nous embrasser. La boule de poil avait retrouvé mon diadème.


Comme dans toutes les belles histoires de princesse, le Happy End arrive. Nous sommes partis sur un bateau afin de rattraper le temps que nous avons perdu à nous disputer. Avant de partir, j'avais envoyé une petite lettre à ma grand-mère pour éviter de l'inquiéter. Dimitri & moi étions des amants en fugue. Pendant que le moyen de transport était en train d'avancer, nous avons dansé la valse ce qui nous a rappelés pas mal de souvenirs et nous nous sommes enfin embrassés sous un Pooka plus que gêné. Après trois jours de cavale, nous sommes retournés au palais de Paris. Avec ceux qui restent de la famille Roumanov, nous avons rénové le palais de Russie et vivons entre deux pays. La Russie et la France. Quant au couple que je formais avec Dimitri, grand-maman l'avait accepté dans la famille. Car c'est grâce à cet homme que nous avons été réunies. Certes, il n'a pas de sang royal mais je l'aime pas ce qu'il est. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. Enfin, c'est ce que je croyais.


J'étais tranquillement en train de me reposer aux côtés de mon compagnon lorsque je me suis réveillée. Rien n'était pareil puisque j'étais en pyjama allongée sur des feuilles mortes. En effet, je me trouvais dans une forêt. Étonnée puis apeurée, j'appelais au secours et surtout Dimitri, mais en vain. Je ne me souviens pas de ce qu'il s'est passé. Je me souviens juste que j'étais heureuse avec mon homm à ses côtés dans une très grande chambre. Le reste je ne m'en souviens pas ou très peu. Il m'arrive très souvent de faire des rêves où je me vois dans une belle et longue robe portant un diadème sur la tête. Ceci est un exemple de nombreux rêves que je fais. Espérant que Dimitri se souvient de tout et m'aider à retrouver la mémoire.