Tout n'est que chantage ◘ Snow [+18]

Tout n'est que chantage

Mary S. White
feat.
Andrew E. Glass

	More Machiavellian he is attractive, he never uttered a single word without some dishonest projects. Of all those he conquered it is not who is to complain. Flee at all costs ...
Tyrannique. Aujourd'hui, le jeune homme n'était pas d'humeur à plaisanter, il avait constaté des failles dans le service et comptait bien y remédier. Il avait fait la tournée des bureaux, dirigeant d'une main de maître ses employés, rageant contre leurs fautes inadmissibles. Certains oubliaient de compter les dommages et intérêts, d'autre les primes de fidélité des clients et autant dire que les plaintes avaient été particulièrement nombreuses ce matin là. Il avait viré deux ou trois employés, avait collé un rapport à quatre ou cinq et avait également viré sa secrétaire, qu'elle potiche, tout juste bonne à répondre au téléphone. Particulièrement désagréable, particulièrement froid, particulièrement tyrannique. C'est le mot qui était revenu principalement sur toutes les lèvres. Peut être étais-ce parce que derrière son costard il ne laissait passer aucunes fautes de conduites ? Assit dans son bureau, il remplissait de la paperasse, il était principalement agacé de sa journée et n'avait qu'une hâte qu'elle se termine. Le téléphone se mit à sonner. Une fois. Deux fois. Trois fois. Andrew soupira et finit par décrocher, on lui affirmait qu'une jeune femme voulait le voir, et elle n'avait visiblement pas prit de rendez-vous, le jeune homme fut bien tenté de refuser mais quelque chose lui disait que ça allait être intéressant. Il ordonna qu'on la fasse monter à son bureau. Belle. Incroyablement belle. Elle l'avait toujours été, dés le premier jour. Il se souvenait de l'avoir vu vagabonder dans le palais, il se souvenait de la fureur de la Reine lorsqu'il lui avait apprit qu'une jeune femme dans le royaume était plus belle qu'elle. Il aurait reconnu la jeune femme entre milles, elle avait cette aura, cette présence qui faisait qu'on ne pouvait se trompait. Il se demandait bien ce qu'elle voulait, se demandait bien pourquoi elle était venue se perdre dans l'antre dans l'antre du loup. Il croisa les bras, se calant dans sa grande chaise en cuir, la détaillant du regard. Elle était indéniablement attirante et il sentait que le jeu en valait largement la chandelle. Il se leva, et alla lui serrer la main, la faisant entrer dans la pièce avant de refermer la porte derrière elle. -Bonjour mademoiselle, que puis-je pour vous ?
© Gasmask

Invité

Andrew & Mary

Perdue, j'étais perdue. J'allais de plus en plus souvent jouer aux jeux de fortune, alors que je n'aivais pas un rond. On m'avait conseillé d'aller demander un prêt àà la banque, peut être que cela pouvait m'aider après tout. Si ça continuait, je risquais de me trouver sans logement. Et ça, je ne le souhaitais absolument pas. Qui aimera ça, franchement? J'ai beaucoup de remarques venant de personnes jalouses. Selon elles, je suis un mannequin, donc je suis millionnaire. Je ne devrais même pas parler de pauvreté. Mais, ce qu'elles ne savent pas c'est a quel point je suis malade. Ces problèmes d'argent, sont une maladie. Même si je devrais arrêter, stopper tout, je continue tout de même. Et ça, c'est affreux. J'en suis conscience, je suis consciente de ma perte. Je vais sombrer en même temps que ma vie, cela n'est-il pas ironique? Moi, la jolie jeune fille au minois resplendissant, je vais finir dans la rue si cela continue. Ou trouver d'autres emplois pour que je puisse envisager de survenir a mes besoins. Malgré cela, je garde toujours le sourire. Je ne pleure pas, je reste fidèle a moi même. Je me demande même pas comment je fais, vu que c'est ce que je suis. Je l'ai toujours été.

J'étais stressée, mais je gardais la tête froide. Si je ne réussissais pas à avoir ce prêt, je n'allais jamais pouvoir m'en sortir. Mon père me disait toujours, qu'avec un sourire sincère, on obtient plus facilement les choses. C'est ce que j'étais entrain de faire. Mais n'allez pas croire que je faisais ça pour amadouer le banquier en question, ou même l’accueil. Je suis tout le temps comme ça, que ce soit dans mon métier ou dans la vrai vie. Je suis toujours positive et sincère. Même si je l'avoue, comme tout le monde j'ai déjà menti plus d'une fois. Et oui, je ne suis pas non plus un ange. Il faut des fois mentir, si l'on veut sauvegarder quelques choses. Nous avons tous des secrets tapis dans l'ombre. Moi la première. Après avoir réussi a faire comprendre que je devais absolument voir la personne qui se trouvait dans le bureau, a la secrétaire qui me regardait comme ci je n'avais rien a faire là. Je suis bien trop gentille pour relever ce genre de regard remplis de sous entendu. Et puis, je trouve ça assez méchant. J'ai eu l'autorisation de monter jusqu'au bureau de – peut être – la future personne qui allait changer le cours de ma vie. Le banquier en question, était un homme d'une grande classe. Il devait avoir vu beaucoup de personnes venir a lui, pour demander de l'aide. Je ne faisais même pas attention a notre serrement de main, j'étais trop stressée pour ça. Même si il ne devait sûrement pas s'en rendre compte.
«Bonjour, alors voilà, j'ai de gros soucis avec l'argent. Je voudrais savoir si il m'était possible de faire un prêt a la banque?»
Directe, mais polie. Je suis tout le temps comme ça. Pourquoi lui aurais-je mentit? Il était là pour m'aider, pour me guider dans un monde où je menaçais de tomber.

Tout n'est que chantage

Mary S. White
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Andrew E. Glass

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Depuis son arrivée à Fantasia Hill, Andrew en avait vu des âmes vagabondes, des âmes qui parfois erraient, se demandant où elles allaient et pourquoi elles continuaient dans cette direction. Parfois, elles ne savaient pas pourquoi elles étaient là, mais elles existaient alors elle continuer d'avancer dans l'espoir qu'un jour elles trouvent enfin une raison de vivre, un but qui leur serait commun. Certaines personnes se laissent tomber dans le désespoir pur et dur, un désespoir tellement fort qu'ils sont submergés, anéantis, d'autres continuent de sourire à la vie dans l'espoir qu'un jour les choses s'arrangent, puis d'autre prenne les choses en mains et décident de changer le cours de leur histoire, le cours de leur destin envers et contre tout. c'est ce qu'Andrew avait fait, pendant trop longtemps il s'était laissé submergé par le désespoir, il avait assisté à la montée en puissance de la Reine, son ancien amour, elle qui l'avait brisé, elle qui avait réduit à néant ses sentiments, jouant avec son coeur sans se soucier de la douleur qu'elle lui avait infligé. Maintenant qu'il avait une deuxième chance, il avait décidé de prendre sa vie en main, de se relever de cette chute qui l'avait, jusque là, étalé par terre. Il s'était hissé dans la société, s'était fait sa place et était à présent l'un des gérants les plus influents de la banque de Fantasia Hill. Pour continuer à garder le statut qu'il s'était crée il devait gérer les employés, les cadrer au risque que ceux-ci foutent en l'air tout ce qu'il avait réussi à bâtir jusqu'à maintenant, lui qui n'avait plus rien à voir d'un vulgaire miroir mais qui était bel et bien devenu un homme. La secrétaire l'appela pour lui signaler qu'une jeune femme voulait le voir, il refusa d'abord puis, devant l'insistance de la jeune femme auprés de la secrétaire il décida que ce serait certainement intéressant de rencontrer la jeune femme. Andrew avait put entrevoir beaucoup de personne venu lui demander son aide, des SDF, des personnes victimes d'escroqueries, des hommes qui avaient tout perdu, des femmes qui en voulaient toujours plus. Il en avait vu passé du monde et à chaque fois avait fait en sorte de trouver une solution, du moins pour les plus méritants, on a jamais rien sans rien dirons nous. Il se leva, s'apprêtant à saluer la jeune femme qui venait d'entrer dans son bureau, qu'elle ne fût sa surprise en apercevant la jeune femme, une jeune femme qu'il avait entrevu jadis. Ravi de la tournure des évènements il lui sourit, lui serrant la main, dieu qu'elle avait la peau douce, avant de retourner s'asseoir, écoutant attentivement la jeune femme. Claire, nette et précise, la jolie jeune femme n'était pas passée par quatre chemins. Il lui désigna d'un geste de la main la chaise qui se trouvait en face de son bureau: -Asseyez-vous mademoiselle. Il décroisa tranquillement ses mains, attendant que la jeune femme s'exécute, tandis qu'Andrew réfléchissait à la tournure de sa phrase. Il lui expliqua tranquillement: -Voyez-vous mademoiselle, les prêts ne se font pas comme ça, il faut des garantis de remboursements, quel travail faîtes-vous ?
© Gasmask

Invité

Andrew & Mary

L'homme qui se tenait devant moi, m’effrayait. Il me mettait mal a l'aise. Il semblait être assis sur un trône, j'avais l’impression de n'être qu'un vulgaire insecte face a lui. Il avait quelque chose, de presque triste en lui. Mais ça, il tentait de bien le cacher. Et oui, j'arrive a voir quand des personnes ne sont pas heureuses. Mais là, il ne fallait pas être devin pour le deviner. Il était vêtu d'un costume sombre, ne laissant place à aucune couleur. Vous allez penser, que cela est normal quand on est une sorte de patron, mais moi je trouve ça dommage. J'aime les couleurs, ça tout le monde le sait. Je ne suis presque jamais, dans un habit noir profond. Ce n'est pas mon état d'esprit, alors pourquoi mes habits seraient-ils comme ça? Je me sentais toute petite a côté de lui. Mais je ne fis pas la fille, intimidée, non au contraire. Je restais encore et toujours fidèle a ma bonne humeur. Même si j'étais préoccupée par lui. Son regard, était vide de sentiments. Cela, m'avais sauté aux yeux.

A côté, je devais ressembler a une jeune femme d'affaire qui venait demander de l'aide. C'était ce que je suis d'un côté, mais c'était différents des autres personnes je suppose. Ma vie était menacée, je pouvais tout perdre d'un instant a l'autre. Mon logement, mon métier... J'étais en instant de faiblesse. Mais je ne pleurais pas. Alors que d'autres auraient sûrement versés des larmes. Que ce soit pour montrer leur mal-être ou amadouer le banquier. Je ne faisais rien de tout cela. Comme jamais, d'ailleurs. Personne ne m'avait vu pleurer a cette époque. Ils me demandaient toujours comment je faisais pour rester forte comme ça, et de ne pas déprimer. Ma réponse fut simple, je n'avais pas de quoi me plaindre. Et puis, mes amis suffisaient a mon bonheur. On ne peut remplacer ça. Même pas, par un prince charmant.
« Ah, d'accord. Je suis mannequin. Je sais que vous allez sans doutes ne pas comprendre comment je peux me retrouver dans cette démarche. Comme la plupart des autres d'ailleurs... C'est assez compliqué.»

Je préférais le prévenir que ma vie était compliquée. Je ne lui avais pas encore parlé de mes problèmes de jeux, mais aurait-il du le savoir dès le début de notre rencontre? Le mannequinat est un arts a part entière. Même si beaucoup pensent que ce n'est rien. Quand on doit poser, on doit poser. Un point c'est tout. Qu'il pleuve ou qu'il y a du vent, c'est comme ça pas autrement. J'aime mon métier, ce n'est pas un problème. Mais des fois, on aimerait changer de voie.

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Mary S. White
feat.
Andrew E. Glass

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La jeune femme en face de lui semblait respirer la joie de vivre, elle n'avait rien de triste ni de compatissant, elle était d'une beauté vive, tout à fait adéquate à sa bonne humeur, elle semblait si belle, si innocente, que venait-elle faire ici ? Dans l'antre d'un monstre. Andrew n'aimait pas les couleurs, la lumière, il préférait de loin le noir, les couleurs sombres, parce que c'était ce qu'il était: quelqu'un de sombre, incapable de respirer la joie et la bonne humeur, il ne souriait pratiquement jamais, il n'était qu'un homme de violence, de tristesse, parce que son coeur lui avait été arraché il y'a bien longtemps par une méchante Reine, par une Reine qui s'était joué de lui, une Reine pour qui il avait tué un roi, parce qu'elle avait l'air si malheureuse dans sa nouvelle vie, parce qu'elle lui avait promit le grand amour lorsqu'il aurait accompli sa tâche, hélas tout n'avait été que mensonge, que désillusion, elle l'avait enfermé dans un miroir pour qu'il ne puisse jamais la quitter, et il était resté là, pendant des années, enfermé entre deux glaces, sans jamais pouvoir s'enfuir. Il contempla la jeune femme en face de lui, la Reine avait essayé toutes les manipulations, tous les sorts pour tuer la jeune femme mais elle n'y parvint jamais, elle était bien trop pure, bien trop lumineuse pour être ainsi éteinte, de par sa joie elle avait toujours vaincu la Reine, peut importe le stratagème que celle-ci avait mise en place. La jeune femme avait une classe et une allure impeccable, il était donc difficile de s'imaginer que la jeune femme avait des problèmes d'argents, il était à peu prés persuadé qu'elle se trouvait en mauvaise posture à cause de dettes et non du fait qu'elle n'avait pas de travail car il suffisait de la voir pour se douter qu'elle en avait un. Elle gardait la tête haute et sa dignité était intacte, c'était un petit bout de femme plutôt impressionnant mais Andrew décida qu'il allait bien vite corsé le jeu, il avait ressenti du désir pour elle au moment même où elle avait passé la porte et ça faisait bien longtemps qu'il ne s'était pas trouvé un jouet, et quel merveilleux jouet il avait devant ses yeux. Il croisa les mains, regardant la jeune femme, lui lançant un regard enflammé. Il se leva tranquillement, fermant la porte de son bureau à double tour, avant de s'appuyer sur le dossier de la chaise, derrière la jeune femme, passant ses bras sur les siens. -Dîtes moi tout ma chère, avez-vous des dettes ? Il ne voyait pas la jeune femme vivre dans la rue, ce serait une vie bien trop sauvage pour elle, bien trop pénible, et il avait une petite idée qui lui venait en tête, aprés tout si elle était prête pour avoir de l'argent, il avait sa petite idée sur la question. Il approcha alors sa bouche de l'oreille de la jeune femme et lui demanda d'une voix suave: -De combien avez-vous besoin ?
© Gasmask

Invité

Andrew & Mary

Je ne me sentais pas a l'aise. Je me sentais comme compressée dans un milieu libre. N'était-il pas étrange de ce sentir dans un tel état alors que je ne me trouvais pas dans un cercueil de verre? Peut être parce que, la personne qui se trouvait en face de moi, avait le regard perçant. Celui, qui montre qu'il a tout vu. Celui qui peut lire a travers entre vous. Rien de plus perturbant. J'étais certaine qu'a chaque fois qu'il faisait ça, il obtenait tout. Même des hommes d'affaire devaient garder les yeux vers le sol. Je me sentais toute petite par rapport a lui. Il semblait pouvoir me transpercer du regard, sans que je puisse rien faire. Je le regardais attentivement, je devais me concentrer pour ne pas montrer ma faiblesse. Car après tout, je n'avais aucune raison de me méfier de lui. Il devait m'aider a m'en sortir, je lui faisais confiance. Enfin, je devais lui accorder ma confiance. Tenter de créer une sorte de lien avec lui. Je ne souhaitais pas être en froid directement avec mon banquier. Même si il m'inspirait de la crainte, je restais fidèle a moi même. Toute souriante, toute joyeuse. Je me tenais droite, un large sourire sur mes lèvres. Je ne devais pas montrer a quelqu'un plus puissant que moi, qu'il me mettait mal a l'aise. C'était la même impression que j'avais eu, dans une autre vie, envers ma belle-mère. J'étais comme face a une glace, je ne voyais que ma propre peur. Mes propres défauts. Cette même sensation, cette même angoisse...Pourquoi cela me revenait-il d'un coup? Je tentais d'oublier ça, mais elle reviendrait toujours. J'étais comme prise au piège, dans une toile d’araignée.

Je le regardais, se lever. Et aller fermer le verrou de la porte. Je ne faisais rien, je restais assise a ma place. Même quand je sentis ses mains sur mes bras, je ne bougeais pas. Je gardais la tête haute, après tout n'étais-je pas une princesse? Ne devais-je pas garder la tête haute, dans quelconque situations? C'est ce que je fit, calmement. Sa respiration près de mes oreilles...Je me posais tant de questions. « Oui, j'ai des dettes. Je perds bien trop vite ce que je gagne, dépense ce que je n'ai pas. Mon métier ne me rapporte plus rien. Je suis seule dedans. Je ne peux pas me sauver, j'ai besoin de votre aide Monsieur.» Cela ressemblait plus a une complainte, qu'une demande d'aide. Sa question me pose problème, je ne savais pas combien j'avais besoin. Après tout je n'y avais pas réfléchi. C'était quelque peu immature de ma part. « De quoi subvenir a mes besoins...Je ne sais pas, combien pouvez vous me prêtez?» Simple question, mais pourtant vraie. De combien pouvait-il m'avancer?

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Mary S. White
feat.
Andrew E. Glass

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Oppressant. Intimidant. C'est l'impression qu'Andrew voulait que les gens ressentent en le voyant, il voulait inspiré la crainte et la peur parce qu'autrefois il était bien loin de cette image là. Il ne voulait plus être la personne d'autrefois mais bel et bien l'homme froid et dur de maintenant. Un homme plongé dans la dérision, la désillusion, dans la folie. Il la regardait de son regard perçant, Snow, douce Snow, il se souvenait bien d'elle, de ses lèvres rouges sang et de ses cheveux ébènes, elle était encore plus belle que dans ses souvenirs, il l'avait aperçu à travers le miroir magique qu'il était, elle qui avait la beauté parfaite et pure et dont la Reine jalousait la vertu. Le jeune homme était prêt à lui apporter un soutien financier, mais il y'avait toujours une contrepartie, il n'y avait jamais rien sans rien aprés tout et quelque chose lui disait que la jeune femme pouvait probablement lui donner ce qu'il voulait, aprés tout ça ne dépendait que d'elle. La jeune femme faisait preuve d'un sang froid à toute épreuve, d'une force d'âme qui l'avait toujours caractérisé, un sourire éclatant, une chevelure soyeuse et la tête haute, même dans la requête elle restait digne, et rien que d'imaginer une belle princesse à ses pieds, l'ego du jeune homme en était flatté. Il lui adressa un petit sourire en coin, histoire de la mettre en confiance, détournant les yeux pour aller fermer la porte, il n'avait aucune envie d'être interrompu dans un moment pareil. Il tenait là sa vengeance contre la Reine. Elle le regarda simplement faire, restant à sa place et Andrew admira beaucoup la force d'âme de la jeune femme, était-elle consciente de ce qu'il allait lui demander ? En avait-elle tout aussi envie que lui ? Il s'approcha d'elle, le regard avide tandis qu'il glissait ses mains sur la peau douce de la jeune femme, un contact grisant, électrisant. Il était si doux d'entendre la complainte de la jeune femme, si doux de l'entendre lui demander de l'aide. Il déposa un baiser dans les cheveux de la demoiselle en lui répondant: -Je vais t'aider ma belle. Il était passé au tutoiement, signe que son petit jeu commençait. Il s'éloigna d'elle pour aller se rasseoir sur sa chaise de bureau, face à elle. Il croisa les mains et la regarda, d'un regard rempli de sous entendus: -Et bien tout dépendra de vos compétences ma chères. Celà fait longtemps que je n'ai pas eu de ... jouet à ma disposition. C'est un échange de bon procédé non ?
© Gasmask

Invité

Andrew & Mary

J'aurais dû, m'enfuir. Oui, j'aurais dû faire la chose la plus logique. Prendre mes jambes a mon cou, crier...Ou même, le remettre a sa place. Mais qu'aurais-je pu lui dire? Il détenait le pouvoir. L'argent. Si il le voulait, il pouvait me mettre a la rue. J'aurais passé le restant de mes jours, a regarder les passants avancer. Réclamant de quoi me nourrir, usant de mes atouts pour réussir. Je serais devenue une personne faible, exténuée, fragile...au bord du gouffre. Personne n'aurait pleuré ma perte, personne ne serait venu m'aider. Car après tout, j'étais et je resterais Blanche Neige. Celle qui attise la jalousie des femmes, le désir de hommes...Chaque pas que je faisais dans la rue, m'offraient des regards de plus. Qu'ils étaient, remplis de sentiments négatifs ou positifs, cela n’importais peu. Je vivais avec ça, depuis bien longtemps. Même lorsque des individus, me sifflaient lors de mes envies de libertés, je gardais la tête haute. Je ne pleurais jamais, quand on essayait de me forcer a entrer dans une voiture. J’avais sans doute garder ma détermination, de mon ancienne vie. Celle d'une princesse, qui avait tout perdue. Non, je n'étais pas partie. J'étais différente des autres personnes, j'avais beau craindre cet homme, j'étais aussi attirée par lui. Par sa tristesse au fond de ses yeux. Même si il se tenait droit, je pouvais apercevoir un vide au fond de lui. Qu'elle femme avait-elle put lui briser ainsi le cœur? Il n'en avait sans doute plus, suite a cela. Oui, c'était sans doute en grande partie pour ça, que j'étais restée. Certes, mes problèmes d'argent, étaient en grande cause ce qui me retenait là-bas, près de lui, mais j'étais curieuse. Curieuse, d'apprendre un peu plus sur cet personne si sombre. Quand il déposait un baiser sur mes cheveux, ma respiration s'arrêta. Un jeu dangereux, allait commencer. Et ça, je le savais déjà.

Il s'éloigna de nouveau, retournant sur sa chaise de bureau. Le signe, de son pouvoir ici. Je n'étais qu'une souris face a un chat. Il me tenait entre ses griffes, sans le savoir, j'y étais depuis que j'avais passée cette porte. Je ne faisais même pas attention, qu'il était passé du vouvoiement au tutoiement. Ou plutôt, je ne disais rien a ce sujet. Quel qu'était sa proposition, je ne pouvais plus refuser.

-« Vous voulez que je devienne votre jouet? En échange donc, vous m'aidez a me sortir de mon pétrin, n'est ce pas?»

Je ne pouvais pas le tutoyer, je ne le connaissais pas. Et je ne serais qu'inférieure a lui, si j’acceptais son marché. Je fis mine, de réfléchir a la question, mais je savais déjà, que je ne pouvais pas contré cette demande. Je n'avais personne, pas mon prince, pas un compagnon. Après tout, je ne ferais de peine a personne. J'affichais, un sourire, mon sourire que j'abordais quand je me mettais d'accord avec quelqu'un. Celui, où on pouvait lire, la réussite et où l'angoisse s'était envolée.

-« J'accepte, mais puis-je avoir confiance en vous? Que vous n'obtenez pas ce que vous désirez, en assurant pas ma demande.»

» « Tout feu tout flamme » -Quinn « Dragon » Shadow .
» Lucy + la fille qui dit oui à tout, ou presque tout.
» SNOW FALLS
» I always find you. - Pv SNOW-
» Je n'ai qu'un seul chant. | Snow

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