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Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Vide
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 Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice]

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MessageSujet: Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] EmptyVen 22 Fév - 21:53

Une journée ensoleillée. C'était inespéré à cette époque de l'année, quoique pas si incongru que cela. Les rayons de soleils tombaient en trainées chaudes et doucereuses, les feuilles d'arbres bruissaient dans le lointain. Les rumeurs des conversations emplissaient petit à petit l'espace, le petit parc ne semblait plus si calme désormais. Mais il y avait toujours ce qui semblait apaisant dans la nature et non présent dans cette ville où tout était en constante évolution. C'était un endroit de la ville qu'il avait par plusieurs fois côtoyé. Il pressa le pas, ramenant le tissu de sa veste, le lissant d'un geste rapide de la main. Un peu prés de trois heures de l’après midi conclut-t-il à demi satisfait après avoir jeté un coup d’œil à sa montre, une antiquité accroché au bout d'une chaîne, et rangé la plupart du temps, bien à l'abri au fond de sa poche. « Bellerophon ! » Il avait suspendu son geste, scrutant le visage de l'inconnu qui l'avait interpelé. Ah oui. Ce n'était pas inconnu. Un des gens de la petite boutique de chapeaux, il avait oublié son portefeuille, ses papiers aussi et celui ci avait été assez aimable pour lui rappeler. Distrait. Il oublierait sa tête si il n'était pas chapelier. Enfin celle ci il ne l'avait plus en entier d'ailleurs mais ça avait toujours été comme ça... Et le voilà parti pour une autre après-midi d'errance dans la ville. A chaque fois qu'il voit une demoiselle, il ne peut s'empêcher de penser à la gamine qui a mis le pied dans leur monde, ou a qui appartenait ce monde. Tout était relatif. Il soupira et se remis en route, surement se rendrait-t-il au magasin de tissu. Enfin, il verrait plus tard... pour le moment, il avait le droit à un peu de repos. Il écarquilla les yeux, portant une main à son chapeau, lissant le ruban qui entourait celui ci.. Il devrait résoudre quelques affaires avant de retourner au Méli-Mélo House à droite et à gauche avant de pouvoir se reposer un peu d'une longue journée de labeur.

Souvent il se demandait si il ne ferait pas mieux de prendre un appartement. Seul. Cette pensée lui arracha un sourire. La demeure où résidait une bonne partie des êtres comme lui n'était pas dénué d'un certain charme. Difficile de la quitter. Surement, si il prendrait un appartement il chercherait des colocataires. Il y avait songé. Pourquoi pas quelques personnes du pays des merveilles ? Il en avait rencontré quelques. D'autres venants d'autres monde, tout aussi agréable à vivre, qui pardonnait son extravagance... si il y avait quelque chose à pardonner. La vie en solitaire n'était pas son fort. C'était comme ça après tout, il n'y pouvait rien et la présence d'autres personnes aussi extraverties que lui était un ressort à cette mélancolie dont il avait été pris. Un effet secondaire de son arrivée ici sans doute et puis il n'était pas le seul. Enfin... Peut-être s'arrêterait-t-il à un petit café ? Il errait un peu trop souvent à son goût ces derniers temps. Un peu trop perdu dans ses pensées. D'ailleurs ce fut pour cette raison qu'il ne la vit pas.

Le choc. Quelques vagues bredouillements, un grand sourire. « Bien le bonjour. » déclama-t-il. Chapeau bas, par galanterie. Il la salua, un peu gêné de l'avoir bousculer ainsi mais sans se départir de sa bonne humeur. Une jeune demoiselle, la vingtaine peut être un peu moins. Jeune. Un visage qui ne lui disait rien. « Veuillez pardonner ma maladresse, jeune dame. » Il eut l'air un peu songeur et s'apprêta à prendre congé de celle ci.
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MessageSujet: Re: Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] EmptyJeu 28 Fév - 11:46

Les sirènes, créatures merveilleuses sortant des gouffres des océans, leur chevelure retombant telle des perles nacrées sur leur épaule n’avaient pas à se soucier des cours, horrible chose dont les enfants devenant esclave pour cinq jours se devaient d’être présents pour avoir un avenir, un futur, un lendemain dans leur vie morne et triste. Alice, jeune fille en plein âge de raison, était telle la sirène voyageant, suivant un navire au grès du vent et des marées, elle était là, seule au milieu des loups, une aiguille dans le bras et des filtres au creux des mains. Ses yeux ne révélaient alors que le vide ambiant, un espace sanglant où le néant régnait tel une pieuvre, ses tentacules prenant et dévorant les âmes qui osaient s’aventurer de trop près. Alors, les mains tremblantes, les gouttes de sueur s’écoulant le long du front de la vierge, l’aiguille venait s’encastrer dans ce membre demandeur. La coke, le shit, la drogue avait remplacé cette fumée vertigineuse qui se faufilait dans le corps tout entier des hommes entassés dans des bars de quartier, l’opium n’existait plus qu’en songe, cette exhalaison violette s’enfuyant dans l’air ambiant, était mise au rebut, au ban de la société… tout comme la fille aux fils épineux, aux yeux corbeau. La matinée cheminant de ses talons aiguilles prit son habituelle pose stratégique au-devant des arbres aux couleurs vives, le soleil commença à réchauffer les cœurs gelés par la nuit sombre et les adolescents cheminèrent parmi leur semblable sur la voie de l’exploitation. Alice fut en retard, comme tous les jours, Alice fut seule comme tous les jours et Alice prit la poudre d’escampette dès que la sonnerie résonna comme le gong au milieu d’une meute de tigres affamés.

Diane, déesse sauvage, déesse de la chasse sauvegardant la virginité de ses protégées était présente partout dans les arbres, les fleurs, le soleil, le vent qui bruissait, coulait, caressait les cheveux, les bras, soulever les vêtements, les feuilles égarées. La nature, élément éphémère dans la vie d’un homme qui détruisait, profitait de cette dernière, joyaux éreinté par tant de méprise, la nature omniprésente réconfortait le cœur de la demi-femme, debout comme un roc, les voiles effilées, trempée, voltigeant dans l’air pur et cristallin. La rêveuse prit son temps, là, dans le parc qui l’apostrophait de souvenirs enfantin, merveilleux, des souvenirs doux à la candeur de vivre. Elle se vit, image passagère, dans les arbres, chantant de sa voix perlée, coulante comme l’eau d’un ruisseau, elle se vit, jouant entre les chênes protecteurs, les champs de blés et les prairies chatoyantes. Avisant un espace aéré, un intervalle où les gens, de leurs pieds habillés de simulacres n’allaient pas, elle, fillette, de sa marche chaloupée y progressa, s’assit enfin et ferma les yeux. Elle affectionnait cette nature, dieu puissant et maitre de la terre. Elle pouvait y enfouir ses doigts rongés dans cette terre chaude, recelant des êtres vivants, elle pouvait sentir, amener son visage dans le souffle de Diane elle-même. Elle observait la vie, elle observait les gens, analysait, comparait pour ensuite s’en aller, s’affaler dans sa chambre dérangée, débraillée, à l’image de la jeune fille. Aujourd’hui n’était pas un jour semblable pourtant, le soleil haut dans l’azur écarlate, les choses ne bougeaient pas, restaient à leur place mais elle, elle, n’avait plus la force de soulever des montagnes. Chaque jour devenait un peu plus dur, chaque jour devenait tourment, torture, seule sur une planète habitée par des êtres mesquins, aux mœurs légères. Son cœur lui pesait et elle marcha, vagabonda dans ce parc épineux, les nuances de couleur lui apparaissant comme des joyaux. Elle ne remarqua pas tout de suite l’homme sur lequel elle fonçait, la voiture ne pouvant s’arrêter, la collision était inévitable. « Bien le bonjour. ». Le chapeau sur la tête, le personnage semblait sortir tout droit des rêves de son enfance, des représentations printanières, joyeuse de son innocence partie en dérivation diverses. « Veuillez pardonner ma maladresse, jeune dame. ». Elle ne dit rien. Le silence est d’or sur la surface bleuté de l’eau, sur la terre des ancêtres. Mais, l’image s’imposa telle l’épée pénétrant dans le corps de l’ennemi, forte, redoutable, l’homme au chapeau à Wonderland. Peut-être était-ce lui, il l’appelait, lui disait des mots mielleux… Peut-être… « Vous portez un délicieux chapeau. Est-ce une œuvre faite de vos mains ? Si c’est le cas vous êtes très talentueux. ». Elle avait transgressé sa règle d’or, celle de ne jamais, ô grands dieux, jamais parler à un inconnu. La force de l’attraction était là pourtant, guettant, sautant, et percutant le cœur de la brune. « Je m’appelle Alice. ».
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MessageSujet: Re: Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] EmptySam 9 Mar - 21:58

Il inclina légèrement la tête. « Alice ? » Sa surprise était presque imperceptible mais... y avait-t-il une chance que... il secoua la tête comme pour tenter de se raisonner. Comme LA Alice. « Mon chapeau ? Comme tout ceux que je porte, chère dame. » dit-il avec un clin d’œil. Pays des merveilles ou non, c'était sans conteste que seulement ses créations avaient le droit de parer sa tête. Jamais celle des autres. Il n'aurait pas été Chapelier digne dans le cas contraire en aucun cas. C'était surement ce besoin de s'imposer aux autres, mais chez Bellerophon... aucunement. Peut être la satisfaction de porter quelque chose que l'on avait réalisé sans aucun doute. Haut de forme toujours, ou presque. Il ôta son chapeau et passa une main légére dans ses cheveux bruns, jetant un regard chafouin à celle ci. « J'ai connu une Alice... » dit-il d'un ton pensif. C'était il y avait.... longtemps. Il s'en souvenait vaguement. Cette gamine aux cheveux blonds, et à la robe bleue, le regard étincelant, la rêverie au fond des yeux, intruse à Wonderland. Ou créatrice de ce monde ? Être le fruit de l'imagination d'une enfant... très peu pour lui. Chacun avait sa fierté, il avait la sienne et sa venue en ce monde avait sans aucun doute gonflé son ego. Au moins, elle avait affronté l'ire de la terrifiante reine de cœurs et avait, d'une certaine façon, influencé et changé ce monde. « Je vous remercie. » Elle l'avait complimenté sur son habilité, sans doute l'avait-t-elle deviné. On aurait dit un navire à la dérive. La légére brise faisait flotter les feuilles d'arbres.

Peut-être l'étaient-t-ils tous ? Ceux qui avait supporté ce coup du sort, qui les avait envoyé loi de leur patrie, de leur contrée, de leur univers, de leur monde. C'était effrayant, nouveau, inattendu. Surement n'avait-t-ils aucune chance de le revoir un jour. On n'avait qu'à se résigner. Abandonner un bien maigre espoir, peut-être était ce définitif. Il soupira, et replaça son chapeau sur sa tête, jetant à la jeune fille un coup d’œil amical. Alice.... souffla-t-il pensif.
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MessageSujet: Re: Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] EmptyLun 11 Mar - 16:37

Son chapeau sorti tout droit d'un conte de fée savamment posé sur sa tête, Alice ne voyait pas les cheveux de l'homme, mais ses yeux, d'un bleu intense, l'azur du ciel incarné dans deux sphères aux mille saveurs, aux points reflétant les rayons du soleil, elle les observait avec la ferveur d'une nonne assise devant une statuette de Jesus Christ... Tout cela avait quelque chose d’irréelle. La jeune fille n'était plus sur la planète terre, n'était plus dans ce parc aux herbes fraîches où il était bon de s'assoupir, elle était entre la terre et le ciel, là où les souvenirs pénètrent le cœur des hommes, là où les odeurs du passé se mêlent aux sons du présent.

"Alice". Son prénom sorti de la bouche d'un inconnu eu un effet sournois sur l'état de la demoiselle déjà pantelante d'avoir parlé à un homme qu'elle ne connaissait nullement. Il semblait qu'elle sortait d'un profond sommeil en entente de ce nom, plutôt commun à présent, mais porteur de souvenirs espiègles qui s'amusaient à pourchasser la vierge de leurs mains glacées. Ses orbes vertes ne quittaient pas l'étrange personnage, et, plus elle regardait ce dernier, plus un air familier, une image flottante comme un miroir à la face lisse, lui faisait penser à cet homme-là bas, à Wonderland, pays des possibles, pays florissant la joie. Le Mad Hatter, elle en avait eu peur au début, paraissant fou et hors d'atteinte telle la brise, le vent des montagnes soufflant si fort mais jamais prenable entre des mains grasses, laides, fines ou endoloris. « J'ai connu une Alice... »... Des Alice il y en avait des milliers maintenant, pleuvant sur les nouveau-nés, ce prénom prenait des allures printanière mais fané. A trop vouloir être original, on ne l'est tout simplement plus. Alice, ce prénom répété inlassablement, le son familier trop souvent pénétrant les oreilles de cette filles aux cheveux des blés devenus noirs d’encre face à tant de souffrances éprouvées, face aux hommes tous hypocrites, méchants, portant sur eux la misère de la terre, la culpabilité des animaux chassés, tués pour l’amusement de ces créatures que l’on appelait les êtres humains. La jeune femme gardait en son sein une vive émotion, là, juste là dans son organe lui servant à respirer, une vive révolte contre ces êtres qui n’étaient rien d’autre que des microbes, enfouis dans un univers aboli, gâché par l’argent et ce capitalisme vivant partout. « Moi aussi j’ai connu une Alice. De longs cheveux d’or brillant sous le ciel aux nuages blancs, de beaux yeux bleus, des bras fins, une taille gracile et une bonne éducation. Une fillette sage comme le demandait ses parents. Mais l’oiseau sort un jour du nid, prend son envol et part. Ce monde n’était qu’illusion malheureusement. ». L’homme la salua d’un signe de tête, il ne dit rien, il semblait penseur, les pensées ayant pris possession de l’être au chapeau. Prêt à partir vers un nouvel horizon. Une nouvelle heure qui se lève, les aiguilles des horloges courant toujours après des chimères, des visions cauchemardesques. Elle ne voulait pas qu’il parte. Pas tout de suite. Pas maintenant alors qu’elle était sur le point de percer ce mystère lancinant, lui faisant mal à la tête, ce livre posé sur une table en acajou, devant les yeux d’Alice comme un délice, une envie, une tentation. « Vous partez déjà Monsieur ? ».
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MessageSujet: Re: Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] EmptyVen 29 Mar - 19:13

Il s'arrête un instant, moment qui se suspendit en plein voile. Alice, la alice. A demi-mot, presque teintée de la douce folie du pays des merveilles. Peut-être pas cette sortie brutal de l'innocence, cette confrontation face à un monde brusque et inattendu. « Ce n'est pas mon chapeau...» dit-il pensif, comme à soi même. Pour se rasséréner. L'abime, le fossé, le creux. Le chapelier hocha vaguement la tête, partir, ne pas partir, aucunement un dilemme, il était fou les fous ne se posent pas ce genre de question. Il avait perdu son monde alors à quoi bon tentez de se raccrocher aux vagues tentatives du contrôle d'une réalité par eux. Aussi effrayant que la reine de cœurs, aussi effrayant que le pire des monstres tapit au fond du pays des merveilles. La légèreté de la jeune dame. « Ciel, la damoiselle Alice. On avait dit qu'une Alice aux cheveux d'or avaient inventé un monde, un univers dont était tiré un homme, cet homme et ses compagnons n'existaient pas si ce n'est en dehors de l'univers de cette jeune demoiselle, mais si il n'existait pas plus au delà du réveil, alors qu'était la légitimité de son monde. De plus, en quoi ce monde peut-il être bien différent ? Peut-être nous nous trouvons dans le rêve d'un fou. » Il réfléchit quelques instants avant de reprendre activement la parole. « Ou d'une personne bien pensante, avide du rangement et de l'ordre et dont surgirait du fin fond de l'inconscient une brutale réalité qui la dépasserait. » Le monde, ce monde et ses règles ces règles étouffantes. Bien se comporter, la folie est déraison et les fous sont à bannir. Mais alors où pourraient-t-ils se retrouver ? Dans un quelconque écueil à l'écart ? Tapis entre des murs qui sauvegarderaient les biens pensants de leur folie ? Qu'ils essaient si ils veulent la folie guettent tout un chacun. « Excusez-moi j'étais perdu.. » dit il en lui décochant un grand sourire.

La petite Alice, celle ci était une grande Alice. Ô certes pas aussi grande que lorsqu'elle avait mordu dans le gâteau, mais plus... enfin différente. Des cheveux fins et sombres, la silhouette frêle, le regard perdu dans les méandres d'un monde supposé en ruine. Alice la désenchantée. « Plus d'Alice la jeune alors... la connaissiez vous vous aussi ?  Je serais curieux d'entendre votre histoire. » Il ôta son chapeau et passa à nouveau sa main dans ses cheveux, les ébouriffant au passage, un léger soupir de nostalgie à l'idée de son bon vieux pays. Peut-être un jour avait-t-il était ailleurs ? Peut-être n'était-t-il qu'une vague création ? Peut-être que le pays des merveilles n'avaient été que le songe d'une folle âpres tout, car ne faut-t-il pas l'être pour rêver de tel endroit ? Il tritura nerveusement les coutures de son couvre chef avant de le remettre sur le sommet de son crâne et de plonger son regard azur dans le regard turquoise de cette Alice. Originel ou fausse. Copie ou simple homonyme. Est-ce que cela avait véritablement une quelconque importance maintenant que le passé était le passé et que l'on avait plus qu'à regretter ? Laisser le passé derrière et allez de l'avant, un discours teinté de fantasme que bon nombre des victimes du sortilèges avaient prononcé, teinté de désillusion. Et d'incertitude.
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MessageSujet: Re: Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] EmptySam 13 Avr - 11:39

Infini était ce monde et le malheur sur les airs de Mozart partait dans un rire déchainé, les navires échoués sur le rivage de détresse, elle était là c’te gamine. La tête haute et les yeux plein de délires morbides la drogue moyen éphémère d’oublier qu’elle était là et que les problèmes existaient, elle fuyait par tous procédés, prenait le nord mais revenait toujours… Toujours la même rengaine, litanie profonde qui la tourmentait plus encore. Pas d’échappatoire possible, seul la coke emplissant ses narines et finissait son chemin dans son cerveau embrumé de songes ténébreux. « Ce n'est pas mon chapeau...». Ce n’est pas ma vie non plus. Putain Alice ! Face à elle l’homme hocha la tête tel le perroquet dans sa cage son plumage coloré souriant à c’te existence. La gosse n’aimait pas les gens… Tous des menteurs et des trafiquants d’espoir ! « Ciel, la damoiselle Alice. On avait dit qu'une Alice aux cheveux d'or avaient inventé un monde, un univers dont était tiré un homme, cet homme et ses compagnons n'existaient pas si ce n'est en dehors de l'univers de cette jeune demoiselle, mais si il n'existait pas plus au-delà du réveil, alors qu'était la légitimité de son monde. De plus, en quoi ce monde peut-il être bien différent ? Peut-être nous nous trouvons dans le rêve d'un fou. ». Le livre trônait sagement posé sur sa table de chevet. C’est au détour d’un couloir qu’elle l’avait vu ce bouquin fascinant et son titre portant son nom comme on porte un enfant, sa main voleuse le prit. Elle l’avait lu, relu mainte et mainte fois. Larme à l’œil et l’abattement en son sein, elle pleurait enfouie dans ses couvertures, solitude amer lors des nuits d’insomnies où rien n’a d’égal que la lame salement accrochée aux veines. Elle ne l’avait jamais fait. Brisée, détruite mais jamais ne touchant à son enveloppe charnelle. « Ou d'une personne bien-pensante, avide du rangement et de l'ordre et dont surgirait du fin fond de l'inconscient une brutale réalité qui la dépasserait. ». Elle restait là debout devant l’immensité majestueuse de l’univers, de Dieu son aura éclairant le commun des mortels… sauf elle la maudite ! « Excusez-moi j'étais perdu.. ». Je le suis aussi. Elle resta quelques instants muette face à ces paroles dévoilées dans ce parc se dressant tout autour et l’herbe se pliant à la volonté de Zephyr. « Elle aurait bien voulu que ce rêve soit réalité croyez moi. Tout sauf ça… Tout sauf cette vie qui détruit l’homme, arrache ses membres bout par bout et après, son sourire dentelé de croc à la face de l’humanité. Ô ! Elle peut bien dire ce qu’elle veut, le fait est là : il y a pas beaucoup… même aucun gens heureux sur terre. Et Wonderland avait au moins ce privilège de soutenir en son royaume des gens bienheureux. ». Les mots s’échappaient de leur prison, les lèvres se rassemblaient, les yeux reluisaient de cette souffrance accumulée. « Ce n’est pas un rêve… C’est un cauchemar où la réalité n’a de cesse de nous plonger et nous noyer comme les microbes que nous sommes ». Le chapeau arrivait à lui faire sortir des mots, phrases, sentiments, douleurs, cette rage au fond d’elle-même qu’elle essayait de posséder, de contrôler… Partie en fumée que les doigts n’arrivaient plus à attraper.

« Plus d'Alice la jeune alors... la connaissiez-vous vous aussi ? Je serais curieux d'entendre votre histoire. ». D’histoire il n’y en avait pas, Zeus ayant pris son bonheur en sa main, la petite Alice devenue frêle et fragile dans ce monde sans valeur, perdus les rêves des découragés, des magnifiques inversés et les amours coulant comme de l’encre et les larmes mal séchées. Il souleva son chapeau mit la main à ses cheveux batailleurs. « Y’en a pas d’histoire. L’est partie comme les signaux de détresse. Elle était juste conne la Alice et maintenant elle est perdue dans ce styx. Presque morte. ». Vraiment, il n’y avait rien à signaler, à dire, à déblatérer… Elle n’en valait tout simplement pas la peine. « Mais vous… vous me rappelez quelqu’un. Il aimait bien les chapeaux et les choses dans ce genre. Un personnage fou qui prenait le thé tout le temps. J’sais pas si vous le connaissiez… Mais j’aime bien les histoires. ». Elle se mettait à parler comme la fillette de son temps… Il fallait bien évoluer n’est-ce pas ?
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MessageSujet: Re: Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] EmptySam 20 Avr - 18:13

Un rêve, un rêve... peut-être que cela en avait été un, peut-être n'avait-il pu être que rêver, mais qu'est-ce un songe dans un monde où la réalité n'est que cauchemars ? Seuls les enfants peuvent eux seuls croire à un possible pont, un échappatoire vers un ailleurs bien heureux ? N'était donc pas ça, ces mondes dont venaient tout les gens comme lui ? Les adultes eux étaient ancrer dans ce mauvais rêve, ce cauchemar envahissant qui accaparait chaque fibre de leur être. Un grand sourire s'étira sur son visage. La ou une Alice était peut-être folle, qui s'exprimait à demi-mots, ces paroles sibyllines traversant ces lèvres innocentes ou non. Chapeaux, thé, fou... c'est que ce portrait que la frêle créature dressait ressemblait fort à celui que tout habitant du pays des merveilles aurait dépeint de lui, si ceux ci auraient eu le temps à ce genre d'activité. Quoique... dans ce monde-ci c'était ainsi qu'il était aussi décrit. Curieuse chose, « chapeaux » tout simplement aurait convenu. Il fit mine de tapoter son chapeau, demi-pensif : « Un bien curieux personnage, j'aurais aimé le connaître, nous aurions eu forts sujets de discussions. »

« Wonderlaaand » Le pays des merveilles. Antique création, jeune création, sans âge comme ses habitants. Il était prés à parier qu'il reverrait ou qu'il ne reverrait pas cette bon vielle terre un de ces jours, ce monde où il s'était perdu autrefois, et où désormais il se retrouvait dans ces vagues souvenirs qui habitaient son être, ses pensées, ses rêves. Le bout de son crayon aussi, d'où il tirait, quand ce n'était pas les esquisses des chapeaux, ces instants éphémères, ces clichés flous du pays des merveilles. Parfois, ceux-ci étaient à peine reconnaissables, tempête de couleurs vives, d'autrefois ceux ci étaient plus nets, vague brise de couleurs pastels et ocres. Ces croquis s'étendant ironiquement sur le pavé de cet ancien et nouveau monde. Les jours gris, les gouttelettes de pluie effaçaient ces traits. Parfois, il se pressait de les rassembler pour les dissimuler au regard du temps capricieux. D'autres fois alors que l'effervescence faisait place autour de lui et que les passants se dépêchaient de chercher quelques abris, il restait à observer la pluie ravager ces croquis tourmentés. Il n'aurait qu'à tout refaire, plus tard, encore et encore, pour pouvoir peut être, une fois, voir le pays des merveilles jaillirent de ces feuilles de papier qui battaient violemment au gré du vent.

Terrible.

« Enfin... je pense que si celui-ci venait bien d'une histoire, il doit bien être triste désormais. Je l'imagine arraché brutalement à ce vieux monde qu'il a connu. A faire des chapeaux à s'en user les mains. On reste tous fou, damoiselle. Juste d'une autre folie. Ils doivent tous désirés s'enfuir d'un tel endroit. On, surement. Mais qui n'est fou dans ce monde où la folie est ordinaire ? Personne ne se regarde, si ce n'est cette subtile esquisses, ces yeux qui se croisent un instant avant de faire place à la gêne. On peut souvent rêver d'une période où les rires, les sourires et non pas ces sous-rires étaient moins ou plus lestes. Ou l'on riait agréablement, quitte à dire choses ridicules, et multiplié farces. » Il baissa la tête. « Ce monde est bien las je crois. » Surement la raison d'avoir attirer, comme un gouffre, tout ces mondes colorés, d'avoir arracher personnages bien heureux de ces mondes dont ils faisaient partis et qui faisait partie d'eux. « Mais vous semblez tristes, mademoiselle... ou dame. Y-a-t-il quelques raisons à votre tourment ? Si je puis vous aidez.... si vous n'êtes que l'ombre d'une Alice et moi l'ombre d'un Chapelier, surement complétement nous cette triste marge du destin. » déclara-t-il. Le Chapelier soupira, avant de la gratifier de nouveau d'un sourire. Peut-être était-ce Alice, peut être ne l'était-t-elle pas, mais cela n'avait aucune importance. C'était un autre monde. ]
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MessageSujet: Re: Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] EmptyLun 6 Mai - 14:31

Dans les bras de Morphée elle se mettait à rêver, songes éphémères tentateurs de brutalité joyeuses dansant dans cette pièce si petite, si fragile à l’image même de cette fleure fanée, le soufre de la coke salement éteint dans ses narines pulsant des palpitations, requiem aveugle ; elle vivait, retrouvait ce monde enchanteur, enchanté de gaieté enfantine. Violon sur le lit et cheveux lâchés rythmé par le souffle des grands vents que les Dieux du haut de leur sommet faisait naitre un brin de jalousie mesquine. Dans ce parc verdoyant, les souvenirs prirent vie valsant de martèlements étrangers. Berceuse douteuse envolée dans l’air frais de la grâce des muses créatures innocentes, les images tourbillonnantes comme les pétales d’une rose déchirée, ses pupilles dilatées… Elle n’était pourtant pas droguée, ne planait pas telles les journées moroses passantes dans un voile de souffrance ; témoins de moments volés dans les cours des lycées. Plein rêve devenu réalité alors que la voix de son compagnon la ramenait, la décrocha de sa branche tendue vers les cieux, mais toujours accrochée cependant. « Un bien curieux personnage, j'aurais aimé le connaître, nous aurions eu forts sujets de discussions. ». Baissant la tête vers les souterrains, ce Styx menant vers la fin, le vide, ses cheveux éteints alors comme annonce du précipice, elle ne dit rien. Sa voix disparue et larme joyaux de renaissance commençant doucement à marcher le long de ces joues enfantines, mémoire vagabonde d’une folie renouvelée mais ô combien joyeuse, bonheur accessible par la faveur de l’origine. De ces gouttes de pluie se formeraient peut-être la délicate attention d’un monde meilleur, d’une hallucination si pure, si grande une fenêtre ouverte d’un imaginaire prompt à exploser d’existence. « Enfin... je pense que si celui-ci venait bien d'une histoire, il doit bien être triste désormais. Je l'imagine arraché brutalement à ce vieux monde qu'il a connu. A faire des chapeaux à s'en user les mains. On reste tous fou, damoiselle. Juste d'une autre folie. Ils doivent tous désirés s'enfuir d'un tel endroit. On, surement. Mais qui n'est fou dans ce monde où la folie est ordinaire ? Personne ne se regarde, si ce n'est cette subtile esquisse, ces yeux qui se croisent un instant avant de faire place à la gêne. On peut souvent rêver d'une période où les rires, les sourires et non pas ces sous-rires étaient moins ou plus lestes. Ou l'on riait agréablement, quitte à dire choses ridicules, et multiplié farces. » Pareillement, deux jumeaux se retrouvant il planta son regard traversant les murs souverains de cet enfer jamais atteint. « Ce monde est bien las je crois. ». Puis, les mots doux sonnants clochettes agréables dans le son du vent mugissant, les lèvres se mouvant comme le sable taquinant les pieds des pèlerins, assise à présent contre le tronc s’élevant majestueux de beauté, tressé ses cheveux de dentelles noires… « Et Alice, la petite blonde ? Comment la verriez-vous maintenant ? ». Un rire fusa entre les stries, les rayures maléfique, faméliques des ancêtres, de ce monde laid de plus en plus. « Chapelier du haut de son sommet, tristes larmes gâtées par cette vie diluvienne, puisses-tu prendre ton envol comme l’oisillon prenant sa vie en main. Si je te revois un jour être de folie passagère, je te promets les plus grandes échappées affectueuses. Alice n’était pas folle mais l’est devenue. Bruns ses cheveux obscurcissant son univers. Bleus ses yeux presque aveugles. Seule, seule ! Seule et puissante cette solitude matraquant le cœur de l’innocente ; Alice plus qu’une junkie détruite, cassée ! Fragile poupée de porcelaine les morceaux éparpillés sur le fil de la mort proche. C’était un doux rêve que Wonderland… ». Le rire soyeux transformé alors en larmes de détresse par un destin fuyant, bougeant mais jamais n’allant dans le meilleur chemin, où le bonheur métamorphosé en malheur entrait, sortait du corps de la poupée écartelée. Cachant Tristesse entre ses fils de soie ébène, son visage enfoui dans la tourmente des bras protecteurs enfin cette voix venue comme la main tendue d’un gardien. « Mais vous semblez tristes, mademoiselle... ou dame. Y-a-t-il quelques raisons à votre tourment ? Si je puis vous aidez.... si vous n'êtes que l'ombre d'une Alice et moi l'ombre d'un Chapelier, surement complétement nous cette triste marge du destin. ». L’apparition fugace d’un sourire rempli de joie, d’une esquisse réalité furtive traversa cette plaine étendue, ouverte à l’infinie. Trouvant là un ami, une âme charitable. Souffrons… Souffrons oui… Mais souffrons à deux ! Se levant élan passionnelle d’un requiem mélodique, il fut vu qu’elle traversa ce gouffre béant où les cadavres entassés vision peut-être d’un avenir proche et s’approchant une mariée funeste, folle à n’en pas douter. Une première fois seulement, sa main tendu sur cette joue râpée de barbe de trois jours. Et la phrase sortie du néant : « Je suis heureuse de vous connaitre ».
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MessageSujet: Re: Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] EmptyDim 2 Juin - 9:49

« Cassée » dit-il en regardant fixement la jeune fille. « Comme tout ceux qui ont goûtés à l'inconscience d'un autre monde. » Brisée, effacée, retournée, modelée, par un univers qui était brutale et qui de sa main violente martelait les individus innocents ou inconscients pour en faire des bijoux, des joyaux creux, tordus. Un doux rêve que le pays des merveilles. Cette idée ne lui avait-t-il par plusieurs fois effleurer l'esprit ? Alors qu'il n'avait lui même jamais douté, lors de son existence là bas, de la réalité qu'était ce qu'il avait côtoyé, du moins lui semblait-t-il, depuis toujours ou presque ? Désormais, ils étaient ermites dans un monde qui ne les comprenait aucunement, mieux qui les remettait violemment comme le corps rejette un tissu étranger. La greffe ne s'était pas faite, ils en avaient payé le prix. Bien sur, ils n'étaient pas les seuls, les isolés, les voyageurs, les étrangers venant d'autres mondes, d'une infinité d'univers qui avaient du avoir connu, même si ce n'était que dans l'imagination, une quelconque existence, même si celle ci n'avait été qu'une seconde pour l'endroit dans lequel ils évoluaient désormais. Ceux-ci... ceux-ci pouvaient être aussi perdus qu'eux, d'autres s'y étaient accoutumé, mais les habitants du pays des merveilles, sans doute parce qu'ils étaient le pays des merveilles avaient eu du mal à effectuer pareil transformation sur leur corps et sur leur esprit. Ils étaient perdus, perdus dans un monde qui pour une fois était trop fou pour eux. Perdus dans une réalité qui ne les comprenaient pas, qui les agressaient. Alice... alice avait appartenu plus au pays des merveilles que l'on pourrait le croire, car elle avait franchis son seuil, parcouru ses terres, rencontré ses habitants. Elle s'était fondu en son sein, elle était presque devenu l'une des leurs.

Car la folie n'est-t-elle pas contagieuse. Aux quelques mots volages prononcées par la jeune fille, il se tira de ses rêveries, de ces rêveries folles de Chapelier. « Heureux de vous connaître » dit-il en écho. Oui, pour une fois une rencontre lui semblait comme une lueur, légére, discrète, teintée dans le lointain, retrouvé des habitants du monde qu'il avait chérie, c'était comme retrouvé une partie de celui ci, des pièces de puzzle qui cherchaient à s’imbriquer. Peut-être qu'ensemble leur malaise s’effaçait un peu, car ils retrouvaient un peu de leur identité, un peu de l'endroit dont il avait été arraché quand ils rencontraient l'un des leurs. Peut-être était-ce ceci qui était le remède à leur mal ? Qui sait... Il posa ses mains sur les épaules frêles de la jeune fille, en un geste qui se voulait protecteur, rassurant, même si il était en réalité maladroit. « Wonderland existe toujours... tant que ceux qui l'habitait continue à vivre. Alice... si vous n'êtes pas l'Alice que le pays des merveilles a connu et si ce monde l'a brisé, le fantôme de celle qu'elle a été doit toujours être présent à ses cotés. Comme au fond du Chapelier, il subsiste le personnage prétendu fou et coloré qu'il fut. Tous, ils ont été marqué par le pays des merveilles, la pire des substances, la pire des drogues, et sa privation en est pire que sa prise. C'est un pays qui colle à la peau, et ne vous quitte pas. On y est insouciant.... » Il plongea son regard dans celui d'Alice. Poupée brisée. Elle avait dû voir, et subir des choses qui l'avait privé de l'innocence qui la caractérisait. Junkie avait-t-elle dit. « Si la Alice n'est plus, et si le Chapelier n'est plus, il existe toujours d'une certaine façon... quelque part, que ce soit dans le temps ou dans l'espace. » dit-t-il d'une voix douce. « Alice.... si vous aider de quelque façon... »
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MessageSujet: Re: Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] EmptyJeu 8 Aoû - 17:20

J'archive Il est pas beau mon chapeau ? [PV Alice] 1823284050
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