nom ↕ Radcliff. prénom(s) ↕ Perdita Spencer Anita. âge ↕ Vingt-huit ans. conte d'origine ↕ Les 101 dalmatiens. lieu de naissance ↕ Londres, Angleterre. emploi/études ↕ Chien de compagnie et à présent éducatrice spécialisée. situation amoureuse ↕ Mariée. situation sociale ↕ Très modeste. traits de caractère ↕ Indépendante ♦ Fragile ♦ Impulsive ♦ Intelligente ♦ Dévouée ♦ Amoureuse ♦ Déterminée ♦ Rancunière ♦ Protectrice ♦ Courageuse.

Même après sa rencontre avec Pongo, Perdita est restée très indépendante et fière. Vous savez, elle aime marcher avec le museau bien en l’air. Même encore maintenant, sous sa forme humaine, elle marche souvent avec son menton relevé. Elle n’a pas une grosse fortune, mais elle est fière de ce qu’elle est. ✖ Dévouée – Amoureuse, ça elle l’est. Elle est capable de tout par amour. Elle pourrait courir des kilomètres, ou tuer rien que pour se motif, aussi démesurée soient ces réactions là. Elle avait l’habitude de donner quelque coup de lèche à son amour de Pongo. Malheureusement, sous sa forme humaine, elle ne peut plus se le permettre. D’une, parce que cela paraitra véritablement dégoûtant, mais aussi parce qu’elle est séparé de son « mari ». ✖ Fragile – Rancunière – Déterminée. Rien n’est plus dangereux qu’une femelle blessée, affectée. La disparition de ses chiots la rendu plus dangereuse et hargneuse, alors ajouté à son arrivée inexpliqué dans ce monde inconnu, sous une nouvelle forme et sans son chéri ; Perdita est devenu très agressive. Mais pas toujours. Qu’envers ceux qui sont en couple, ou ayant des enfants. Elle ne supporte pas le bonheur que les autres affiche, alors qu’elle l’a perdu. Mais elle est déterminée à retrouver sa famille et ne souhaite qu’une chose : savoir si Cruella d’Enfer et parmi eux, pour l’égorger de sang froid. ✖ Perdita attache beaucoup ses cheveux. Elle a longuement vu Anita le faire, alors elle sait comment procéder. ✖ Elle est devenu éducatrice spécialisé grâce à sa gestion des enfants. Après quinze petits chiots, on sait y faire. ✖ Elle tient absolument à ce qu'on l'appelle Perdita et pas autrement. Elle ne voit pas pourquoi elle aurait changé de nom, sous prétexte qu'elle est à présent humaine. C'est aussi un souvenir de sa chère compagne.

PSEUDO/PRÉNOM ◆ BEETLEJUICE/MÉLANIE. ÂGE ◆ DIX-NEUF ANS (presque et demi). PAYS/RÉGIONS ◆ FRANCE/NORD. OU AS-TU CONNU LE FORUM ◆ BAZZART, LE MAGNIFIQUE. TES IMPRESSIONS ◆ LE FORUM EST VRAIMENT TRÈS BEAU ! J'EN SUIS DÉJÀ AMOUREUSE ! SCÉNARIO OU PI? ◆ PI. UN DERNIER MOT POUR LA FIN ◆ MOT.

APRÈS LE SORT
Nous courrions pour rejoindre le Castel d'Enfer, où nos bébés étaient retenus. J'étais en tête, derrière moi, mon bien-aimé Pongo m'imitaient. Et je ne sais pas ce qu'il s'est passé. La seconde d'après, je me retrouvais seule. Je courrais toujours, mais dans un couloir protégé du froid. Mon mari n'était plus là, j'étais seule. Toute seule. Et puis, j'avais des jambes, des bras et ce que les humains appellent une robe, à pois semblables aux miens. Je m'arrêtais de courir, paniquée, regardant partout autour de moi. Qu'est-ce qui avait bien pu se passer ? Pourquoi étais-je devenue semblable à Anita ? Je me tenais sur mes deux pattes arrières comme elle ! Je me rapprochais d'une rangée de fenêtre, où je pouvais voir mon nouveau reflet. De longs cheveux un peu moins sombres que mes tâches et un petit corps beaucoup moins blanc que mon ancien pelage. Je portais ces doigts qui remplaçaient mes pattes, sur mes joues rondes. Je me préférais en version canine, pourtant je pense être plutôt jolie comme ça... mais les chiens ne sont pas très bon juge de la beauté humaine...Finalement, je parcouru le reste du couloir, pour tomber sur une plus grande salle. Des personnes par dizaine s'y trouvaient, d'accord, mais moi je voulais retrouver mon Pongo et mes bébés. Ce n'est pas une mince affaire qui allait m'attendre.

FLASHBACK
Mon histoire a commencé à Londres, il n'y a pas si longtemps... Je vivais avec ma maitresse, Anita. Nous n'étions qu'à deux, mais nous étions très heureuses ainsi : deux jolies célibataires, affirmant leur indépendance. Très complice et avec le même état d'esprit, nous pensions que la présence de deux spécimens mâles dans nos vies, bouleverserait toutes nos habitudes. Pourtant, sans que l'on ne demande rien à personne, nos vies basculèrent avec l'arrivée justement de deux garçons. Lors d'une de nos promenades habituelles, bien que plus tardive qu'habituellement, alors qu'Anita lisait tranquillement sur son banc habituel, un homme passa devant nous, accompagné d'un chien. Un dalmatien, comme moi ! Je ne le connaissais pas et je ne l'avais jamais vu dans le parc jusqu'ici. Il était plutôt mignon en plus, mais rien ne pouvait me faire changer d'avis : je ne souhaitais pas être la compagne de quelqu'un, ou en tout cas, pas maintenant. En s'éclipsant lorsqu'ils eurent le dos tourné, nous pensions être tranquilles : loin de là, puisque ce chien visiblement joueur vint coincer les jambes de son maître et celle de ma maîtresse avec sa laisse, avant de les faire tomber dans la mare voisine... Bonté divine, je ne sais même plus ce qui m’a le plus plut chez Pongo, mais quelques mois plus tard après cette rencontre, je portais déjà ses chiots. Quant à Anita et Roger, ils étaient déjà mariés. Oui, c’est plutôt rapide, mais quand le coup de foudre opère tout de suite, on se moque bien de ce que les gens pensent. Les humains étaient heureux. Les chiens aussi. Mais c’était sans compter la présence insoutenable de l’horrible patronne de ma maîtresse, Cruella d’Enfer, qui n’en voulait qu’à mes chiots même pas nés. Chaque jour ne passa pas, sans qu’elle ne fasse son interruption chez nous. Anita et Roger avait beau la mettre dehors, D’Enfer semblait les tenir dans sa main malgré tout. J’en étais même venu à regretter d’avoir des chiots. Oh, nous les avons eut ces petits chiots. Quinze en tout. On a bien failli en perdre un, mais grâce à Roger, le petit dernier à survécu. Ca, je ne peux pas dire, nous étions bien logés chez les Radcliff ; Nanny s’occupait bien des petits et Pongo a toujours été un gentleman avec moi. Nous vivions une vie de famille rêvée et parfaite. Jusqu’à ce qu’on nous les enlève. Ce fut une catastrophe, l'horreur. Pour moi, pour les humains. Pongo est pourtant resté très fort, grâce au ciel et je ne l'en remercierais jamais assez d'ailleurs. J'avais déjà perdu tout espoir de les retrouver, alors qu'il ne pensait qu'à persévérer. Pour mieux les retrouver, il pensa à l'aboiement du soir. Après avoir alerté tous les chiens de Londres et plus loin encore, nous partîmes à la recherche de nos bébés. Nous ne pouvions pas rester sans rien faire, tandis que Scotland Yard avait décidé de nous tourner le dos. Nous étions seuls et nous devions les retrouver au plus vite, avant que Cruella ne les change en manteau...